jackbauer 2

I.A & astronomie : un couple qui a de l'avenir !

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Traduction automatique :

 

https://news.northwestern.edu/stories/2023/10/first-supernova-detected-confirmed-classified-and-shared-by-ai/

 

Première supernova détectée, confirmée, classée et partagée par l’IA


Un nouvel outil d’intelligence artificielle supprime les humains de l’ensemble du processus de recherche et de découverte
Un processus entièrement automatisé, comprenant un tout nouvel outil d’intelligence artificielle (IA), a détecté, identifié et classé avec succès sa première supernova.

 

Développé par une collaboration internationale dirigée par la Northwestern University, le nouveau système automatise l’ensemble de la recherche de nouvelles supernovas dans le ciel nocturne, éliminant ainsi efficacement les humains du processus. Non seulement cela accélère rapidement le processus d’analyse et de classification des nouvelles supernovas candidates, mais cela contourne également l’erreur humaine.
L’équipe a alerté la communauté astronomique du lancement et du succès du nouvel outil, appelé Bright Transient Survey Bot (BTSbot), cette semaine. Au cours des six dernières années, les humains ont passé un total estimé à 2 200 heures à inspecter visuellement et à classer les candidats supernova. Avec le nouvel outil maintenant officiellement en ligne, les chercheurs peuvent rediriger ce temps précieux vers d’autres responsabilités afin d’accélérer le rythme des découvertes.

« Pour la toute première fois, une série de robots et d’algorithmes d’IA a observé, puis identifié, puis communiqué avec un autre télescope pour finalement confirmer la découverte d’une supernova », a déclaré Adam Miller de Northwestern, qui a dirigé les travaux. « Cela représente une étape importante car un perfectionnement supplémentaire des modèles permettra aux robots d’isoler des sous-types spécifiques d’explosions stellaires. En fin de compte, retirer les humains de la boucle donne plus de temps à l’équipe de recherche pour analyser leurs observations et développer de nouvelles hypothèses pour expliquer l’origine des explosions cosmiques que nous observons.

« Nous avons réalisé la première détection, identification et classification entièrement automatiques au monde d’une supernova », a ajouté Nabeel Rehemtulla de Northwestern, qui a codirigé le développement technologique avec Miller. « Cela simplifie considérablement les grandes études sur les supernovae, nous aidant à mieux comprendre les cycles de vie des étoiles et l’origine des éléments créés par les supernovae, comme le carbone, le fer et l’or. »

Miller est professeur adjoint de physique et d’astronomie au Weinberg College of Arts and Sciences de Northwestern et membre du Center for Interdisciplinary Exploration and Research in Astrophysics (CIERA). Rehemtulla est une étudiante diplômée en astronomie dans le groupe de recherche de Miller.

 

Éliminer l’intermédiaire
Pour détecter et analyser les supernovae, les humains travaillent actuellement main dans la main avec des systèmes robotiques. Tout d’abord, les télescopes robotiques imagent à plusieurs reprises les mêmes sections du ciel nocturne, à la recherche de nouvelles sources qui n’étaient pas présentes dans les images précédentes. Puis, lorsque ces télescopes détectent quelque chose de nouveau, les humains prennent le relais.

« Un logiciel automatisé présente une liste d’explosions candidates aux humains, qui passent du temps à vérifier les candidats et à exécuter des observations spectroscopiques », a déclaré Miller. « Nous ne pouvons savoir définitivement qu’une candidate est vraiment une supernova qu’en collectant son spectre – la lumière dispersée de la source, qui révèle les éléments présents dans l’explosion. Il existe des télescopes robotiques capables de collecter des spectres, mais cela est aussi souvent fait par des humains utilisant des télescopes avec des spectrographes.

Les chercheurs ont développé le BTSbot pour éliminer cet intermédiaire humain. Pour développer l’outil d’IA, Rehemtulla a formé un algorithme d’apprentissage automatique avec plus de 1,4 million d’images historiques provenant de près de 16 000 sources, y compris des supernovae confirmées, des étoiles temporairement flamboyantes, des étoiles périodiquement variables et des galaxies éruptives.

« L’installation transitoire de Zwicky (ZTF) fonctionne depuis six ans et, pendant ce temps, moi et d’autres avons passé plus de 2 000 heures à inspecter visuellement les candidats et à déterminer lesquels observer par spectroscopie », a déclaré Christoffer Fremling, astronome au California Institute of Technology (Caltech) qui a développé un autre outil d’IA appelé SNIascore et a contribué au développement de BTSbot. « L’ajout de BTSbot à notre flux de travail nous évitera de passer du temps à inspecter ces candidats. »

 

Un succès précoce 
Pour tester le BTSbot, les chercheurs se sont tournés vers une supernova candidate nouvellement découverte baptisée SN2023tyk. Le ZTF, un observatoire robotique qui photographie le ciel nocturne à la recherche de supernovae, a détecté la source pour la première fois le 3 octobre. En passant au crible les données de ZTF en temps réel, BTSbot a trouvé SN2023tyk le 5 octobre.
À partir de là, BTSbot a automatiquement demandé le spectre de la supernova potentielle à l’observatoire Palomar, où un autre télescope robotique (SED Machine) a effectué des observations approfondies pour obtenir le spectre de la source. La machine SED a ensuite envoyé ce spectre au SNIascore de Caltech pour déterminer le type de supernova: soit une explosion thermonucléaire d’une naine blanche, soit l’effondrement du noyau d’une étoile massive.

Après avoir déterminé que le candidat était une supernova de type Ia (une explosion stellaire dans laquelle une naine blanche dans un système d’étoiles binaires explose complètement), le système automatisé a publiquement partagé la découverte avec la communauté astronomique le 7 octobre.

 

Dans les premiers jours d’exécution de BTSbot, Rehemtulla a ressenti un mélange d' énervement et d’excitation.

« La performance simulée était excellente, mais vous ne savez jamais vraiment comment cela se traduit dans le monde réel jusqu’à ce que vous l’essayiez réellement », a-t-il déclaré. « Une fois que les observations du SEDM et la classification automatisée sont arrivées de SNIascore, nous avons ressenti une énorme vague de soulagement. La beauté de cela est que, une fois que tout est allumé et fonctionne correctement, nous ne faisons rien en réalité. Nous allons dormir la nuit et, le matin, nous voyons que BTSbot et ces autres IA font leur travail sans relâche.


Dirigée par Northwestern, la collaboration comprenait des astronomes de Caltech, de l’Université du Minnesota, de l’Université John Moores de Liverpool en Angleterre et de l’Université de Stockholm en Suède.

Ce travail était basé sur des observations obtenues avec le télescope Samuel Oschin de 48 pouces et le télescope de 60 pouces de l’observatoire Palomar dans le cadre du projet Zwicky Transient Facility.

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il y a 32 minutes, jackbauer 2 a dit :

Non seulement cela accélère rapidement le processus d’analyse et de classification des nouvelles supernovas candidates, mais cela contourne également l’erreur humaine.

Bonjour,

J'adore cette phrase l'erreur humaine ben oui l'erreur humaine existe mais penser qu'une IA ne peut pas se tromper alors la je suis pantois car qui à programmé l'IA au depart et ben des humains qui sont imparfait et peuvent commettre des erreurs (c'est le serpent qui se mort la queue). Automatiser les processus ca peut être interressant pour gagner des ressources humaines mais bon ce que l'IA laissera échapper et ben c'est comme aujourd'hui se sera une chose perdu. De plus dans le processus humain il y a encore une chose qu'un programme à du mal à appréhender c'est la curiosité et l'intuition. Alors oui pour le traitement automatisé mais aller dire que ca va contourner l'erreur humaine ca m'a fait sourire.

Amicalement

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il y a 24 minutes, LoicT a dit :

je suis pantois car qui à programmé l'IA au depart et ben des humains qui sont imparfait et peuvent commettre des erreurs (c'est le serpent qui se mort la queue)

J'imagine qu'il s'agit de bien coder les caractéristiques de la recherche en question,  ainsi que de bien coder " l'éducation du système  " et la gaver d'info. Plus elle trouve et on lui que c'est bien ! Et plus elle devient performante. 

Je peux me tromper, mais c'est comme ça que j'imagine le bazar.

 

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9_9

 

C'est dans le texte :

"...Pour développer l’outil d’IA, Rehemtulla a formé un algorithme d’apprentissage automatique avec plus de 1,4 million d’images historiques provenant de près de 16 000 sources, y compris des supernovae confirmées, des étoiles temporairement flamboyantes, des étoiles périodiquement variables et des galaxies éruptives..."

 

Aucun être humain ne peut avoir un million d'images dans sa mémoire, leur robot si !

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Il y a 13 heures, jackbauer 2 a dit :

Aucun être humain ne peut avoir un million d'images dans sa mémoire, leur robot si !

oui et non.

Oui il a intégré un million d'images, mais non il ne les a pas "dans sa mémoire". Ce n'est pas comme ça que fonctionnent les modèles de Deep Learning actuels.

Les modèles extraient des informations statistiques à partir du million d'images, et ce sont ces infos statistiques qui sont utilisées pour traiter une nouvelle image. Donc, il y a un risque d'erreur du modèle non négligeable, sachant que si on ne l'entraine pas assez la statistique ne sera pas représentative, et si on l'entraine trop il va effectivement finir par stocker exactement le jeu d'entrainement (pour le coup il aura un million d'images en mémoire), mais ne sera plus capable d'extrapoler correctement.

Ici le risque c'est surtout d'en rater une, surtout si elle est un peu atypique. Un humain se dirait "bizarre ce truc", un modèle l'éliminerait sans état d'âme. Mais vu le côté répétitif du truc, le risque d'erreur humaine ne doit pas être négligeable non plus:

 

image.png.f9535960c793b3a497bf3d41964e383c.png

 

Par ailleurs, je ne suis pas un spécialiste, mais il me semble bien que les jeux d'entrainement des modèles les plus impressionnants, que ça soit en "computer vision" ou en "natural language processing" ont des jeux d'entrainements beaucoup beaucoup plus volumineux que ça.

 

Sinon, la phrase

Il y a 15 heures, jackbauer 2 a dit :

éliminant ainsi efficacement les humains du processus.

fait un peu penser à :

image.png.59ece57db69170afed2edaae6cd173d3.png

Ok, je sors.

Modifié par PascalD
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Ce nouvel outil d’intelligence artificielle appliqué à la "surveillance" du ciel est un progrès remarquable et fascinant -_-

 

Il y a 13 heures, LoicT a dit :

J'adore cette phrase l'erreur humaine ben oui l'erreur humaine existe mais penser qu'une IA ne peut pas se tromper alors la je suis pantois car qui à programmé l'IA au depart et ben des humains qui sont imparfait et peuvent commettre des erreurs (c'est le serpent qui se mort la queue).

 

Il y a 11 heures, jackbauer 2 a dit :

Aucun être humain ne peut avoir un million d'images dans sa mémoire, leur robot si !

Oui mais la mémoire de ce robot a bien été alimentée par des humains, donc on ne peut pas éliminer totalement "l'erreur humaine". Dès que l'humain intervient dans un domaine, quel qu'il soit, l'erreur humaine est possible...

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Il y a 14 heures, jackbauer 2 a dit :

les chercheurs peuvent rediriger ce temps précieux vers d’autres responsabilités

ou aller à la machine à café ....

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Bonjour,

 

un exemple a Nançay :

 

sur le réseau décametrique

Détection et classification de sursauts solaires en temps réel avec un modèle type CNN

par Zaccharie AMAR

 

Résumé : Ce travail fait suite au projet ORME (Outils Radio-astronomiques pour la Météorologie de l'Espace), et au post-doc de Houssam Salman, et traite de la détection et la classification de sursauts solaires via ‘machine learning’. Une étude statistique a été réalisée sur la base de données du réseau Décamétrique de Nançay, constituée de captures radios du plan temps-fréquence des éjections solaires. De ces statistiques, il a été possible de paramétriser l'apprentissage de modèles CNN (réseau neuronal convolutif) de type SSD (Single Shot Detector) pour chaque type d'éruption. Les modèles résultants permettent une détection et une classification conjointe sur des données brutes en temps réel, avec des scores de précision/recall satisfaisants (2021)

 

et en ce moment : https://www.theses.fr/s305390

 

Bon week end 

 

Arnaud

 

 

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Ce qualificatif d'intelligence (artificielle), mis à toutes les sauces,  commence à me fatiguer.

De quoi s'agit-il (dans la plupart des cas) ? Je prends un exemple très simple, mais représentatif.

J'ai des mesures (nuages de points) d'une loi parabolique. La méthode intelligente (traditionnelle) consiste à ajuster un polynôme du second degré (à trois coefficients).  La méthode ''moderne'' (IA) consiste à utiliser un réseau de neurones à un millier de coefficients, et de le faire tourner (apprentissage) sur beaucoup d'exemples. Les mathématiques nous enseignent que dans la plupart des cas le millier de coefficients va s'ajuster à la longue en trois qui sont dominants et les autres négligeables. Cette deuxième méthode, plutôt stupide (et que j'appellerai plutôt BA comme bêtise artificielle), a le mérite de s'exécuter aussi sinon plus vite que la méthode traditionnelle, grâce au progrès technologique des ordinateurs.

Rien d'intelligent la dedans, mais peut-être un gain de temps et d'efforts (comme dans l'exemple de recherche qui a initié ce fil).

 

PS: la  méthode vraiment intelligente consiste à tracer, à la main et au crayon,  la courbe parabolique dans le nuage de points  :).

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Il y a 15 heures, jackbauer 2 a dit :

Un nouvel outil d’intelligence artificielle supprime les humains de l’ensemble du processus de recherche et de découverte

 

Ah !....OK... mais attention quand même hein... ça pourrait mener loin cette affaire...

 

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il y a une heure, alx a dit :

Ce qualificatif d'intelligence (artificielle), mis à toutes les sauces,  commence à me fatiguer.

 

Je me demande s'il n'y a pas un problème de compréhension pour nous français. Le terme "intelligence artificielle" est la traduction simple de ce que les anglo-saxons nomment "artificial intelligence". Mais chez eux le mot "intelligence" n'a pas (il me semble) exactement le même sens. Pour parler de quelqu'un ils utilisent d'autres mots comme "clever" ou "smart". Le mot "intelligent" est peut-être pour les capacités et rapidité d'analyse.

Par exemple "intelligent services" : en France on dira "services de renseignement".

 

Faudrait demander son avis à un anglophone, VNA1 par exemple ! ;)

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Le mot intelligence est peut être un peu galvaudé mais c'est surtout un gain de temps dans l'analyse de To de données, ça permet aussi de passer les même données à la moulinet pour des recherches différentes, par exemple sur le forum il y en a qui font des images de Jupiter pour voir peut être une nouvelle tempête apparaître mais personne n'a envie de regarder son film image par image pour voir un éventuelle impact d’astéroïde, donc si ça peut être sous traité par un logiciel c'est bien. Quand on voit le nombre de nébuleuses planétaires non découverte sur les survey parce qu’on bosse sur les galaxies et que l’on ne cherche pas les NP.

 

Un autre exemple qui date : https://www.francetvinfo.fr/internet/google/espace-une-exoplanete-decouverte-grace-a-google_2516831.html

 

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Ben moi, j'y crois.

 

Un hôpital dans l'ouest, je sais plus quelle ville, à mis une IA dans ses urgences, pour la "traumatologie", avant, avec le personnel médical, le problème traumatique était identifié et pris en charge en quatre heures (jambe cassée, foulure, pour fixer les idées), désormais, avec l'IA, il faut trois heures.

Et, de l'aveu même des médecins, l'IA "n'est pas fatiguée, et ne fait pas d'erreur après une journée de boulot".

 

Bref, se poser des questions sur les capacités de l'IA, à mon humble avis, c'est un combat d'arrière-garde. Sachant que l'IA progresse à chaque seconde qui passe, quand les êtres humains passent leur temps précieux à écrire des âneries sur les réseaux sociaux.

Voilà, c'est tout, vous pouvez vous rassoir.

 

 

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J'ajoute, à titre personnel et à mon avis propre, que l'IA, paradoxalement, nous rend plus humains.

Perso, quand je papote avec ChatGPT, je suis comme "lui", hyper poli, et je passe mon temps à m'excuser et lui demander pardon de le déranger.

Quand je discute avec quelqu'un sur Twitter, je le traite relativement assez vite de sale moron de merde ou d'enculé de sa race.

Voilà.

Perso, dès qu'on vend à la FNAC une espèce de petit robot humanoïde doté d'une IA, je l'achète.

Juste pour le plaisir de le voir et entendre finir cet apophtegme célèbre de Lao Tseu, "Celui qui s'endort avec le..."

 

 

 

 

 

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il y a une heure, Superfulgur a dit :

"Celui qui s'endort avec le..."

regarde la lune....?????  hein j'ai bon !!! 

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il y a une heure, Superfulgur a dit :

Juste pour le plaisir de le voir et entendre finir cet apophtegme célèbre de Lao Tseu, "Celui qui s'endort avec le..."

 

 

 c'est le motard qui s'endort sur la béquille , parce que madame ne veut pas ??xD

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Il y a 1 heure, Superfulgur a dit :

Perso, dès qu'on vend à la FNAC une espèce de petit robot humanoïde doté d'une IA, je l'achète.


Nao Tseu 😁. Il met feu le samedi soir dans les Ehpad 🤣
 

IMG_6660.jpeg
 

🥂

Modifié par Roy Neary
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J'ai l'impression que le progrès le plus impressionnant a été fait lorsqu'on a automatisé les recherches de supernovæ, d'astéroïdes et de comètes grâce au numérique. Un télescope qui tourne tout seul, prend des images et les traite tout seul, et détecte dessus des astéroïdes et autres, ça existe depuis une vingtaine d'années et c'est ça qui a bouleversé ces recherches.

 

Ajouter l'intelligence artificielle sert, si j'ai bien compris, à reconnaître plus rapidement les objets découvert ou éviter quelques erreurs. J'ai donc l'impression qu'il s'agit d'un progrès, mais pas d'une révolution comme les programmes de recherche automatiques d'astéroïdes, supernovæ et compagnie. Il ne faut pas dire que c'est le couple recherche + intelligence artificielle qui a de l'avenir, mais le couple recherche + informatique (avec entre autres de l'intelligence artificielle).

 

C'est à la mode, et on en fait trop. Ce qui me gêne, c'est si on dit : génial, grâce à l'intelligence artificielle les télescopes découvrent tout seuls des supernovæ. Ce n'est pas ce que fait cet article, mais si on le lit vite, si on fait des raccourcis, le risque existe, et j'ai peur que c'est ça qu'on va présenter au grand public. Ce faisant, on jettera aux oubliettes le travail des chercheurs qui ont permis une énorme quantité de découvertes réalisées par des télescopes automatiques, que l'intelligence artificielle ne fera qu'améliorer un peu (plus qu'un peu ?). Je trouve que ce serait un manque de respect vis à vis des chercheurs de la génération précédente.

 

Est-ce que vous pensez que je me trompe ?

Modifié par Bruno-
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il y a 41 minutes, polo0258 a dit :

c'est le motard qui s'endort sur la béquille , parce que madame ne veut pas ??xD

 

Parfois c'est pas le bon moment, mieux vaut différer...

 

Frissons.jpg.2682499cc834de7ce8f161029c91a2cf.jpg

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Il y a 4 heures, arnaud18 a dit :

par exemple sur le forum il y en a qui font des images de Jupiter pour voir peut être une nouvelle tempête apparaître mais personne n'a envie de regarder son film image par image pour voir un éventuelle impact d’astéroïde, donc si ça peut être sous traité par un logiciel c'est bien.

Pour les impacts sur Jupiter et Saturne, c'est déjà le cas. Un logiciel existe : DeTeCt

http://www.astrosurf.com/planetessaf/doc/dtc/doc/dtc_tuto_fr.htm

Jérôme

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Il y a 4 heures, Superfulgur a dit :

Perso, quand je papote avec ChatGPT, je suis comme "lui", hyper poli, et je passe mon temps à m'excuser et lui demander pardon de le déranger.

 

Il faut reconnaitre que les IA sont courtoises, c'est agréable :) 

 

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il y a 58 minutes, penn a dit :

Il faut reconnaitre que les IA sont courtoises, c'est agréable :) 

 

Impeccable !!

À contrario et face à nos angoisses existentielles, il faut bien reconnaître qu'il peut arriver que le corps médical puisse manquer d'empathie et d'élégance :|..

 

Mourir.jpg.87f6da59507452df2acf3a4e1b382500.jpg

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