bruno thien

Sky Quakity Meter

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Bonsoir.

Bien que le sujet ait déjà été abordé, je demande l'avis des utilisateurs de cet appareil. Je me déplace souvent pour observer, et donc un tel achat pourrait prendre tout son sens.
Quels en sont les défauts? Y a t-il eu des utilisateurs déçus? Trouvez-vous cet appareil indispensable?

Merci d'avance pour vos réponses.

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Vaste sujet et parfois débats animés. Dans tous les cas se rappeler que le SQM n’est pas un indicateur de transparence mais donne une mesure de fond de ciel moyennée sur un cône de 90° environ. Un indicateur de noirceur en fait. Et c’est là que cela se corse !!!

Comme disait l’autre, les meilleures mesures c’est dans mon garage en sous sol que je les ait faite, avec la porte fermée.

C’est une boutade mais cela montre bien que la mesure, une magnitude surfacique (magnitude/ seconde d’arc au carré) doit être interprétée en fonction d’autres paramètres et ne constitue pas un indicateur universel de qualité de ciel. En ce sens le nom lui-même est mal choisi car la "qualité" de ciel c’est beaucoup d’autres choses. Voir par exemple l’échelle de Ciel Extrême qui mixe un peu tout ça .

En fait un ciel peut paraitre noir parce qu’il n’y a pas de pollution lumineuse et une couverture nuageuse imperceptible en altitude, donnant faussement une bonne valeur. Alors que la transparence est dans les choux. Noirceur n'égale pas transparence .

Donc une certaine habitude de l’évaluation de qualité de ciel par d’autres méthodes est nécessaire pour éviter les situations caricaturales. Par exemple avec l’échelle de Bortle, l’évaluation de la MVLON sur par exemple la séquence polaire, Tous éléments dépendant de l’acuité visuelle de l’observateur.

Ça devient vraiment compliqué pour le coup.

Mais en fait si l’on décide de s’en tenir à une évaluation relative sur un site donné, faire un profil sur une nuit ou une année, cela devient tout de suite plus intéressant.

Il y aurait beaucoup de choses à dire... des sites sont dédiés à ce sujet :

http://cieldenuit.fr/sqm.html du collectif SQM

In Ingliche: http://unihedron.com/pipermail/sqm/

Pour ce qui est de mon expérience, je peux te dire que cet appareil fait partie finalement de ma caisse à accessoires/ oculaires et que je l’utilise souvent pour quantifier l’évolution de la nuit sur des sites que je connais bien. Et il est évident qu’en haute montagne où je sévis d’ordinaire, les biais sur la mesure sont faibles, vu que la majeure partie de la brume est au dessous. Contrairement au ciel de plaine qui réserve des surprises bonnes et mauvaises en terme d'interprétation.

D’ailleurs j’ai toujours été surpris de découvrir que les cieux qui me paraissant les plus noirs de visu ne sont pas les plus transparents. Et qu’au contraire les meilleurs cieux que j’ai eu me paraissaient littéralement illuminés par le haut (étoiles, planètes éblouissantes,VL, lumière zodiacale, airglow… le tout favorisé par une vision nocturne parfaitement préservée). Donc l’impression subjective de noirceur n’est pas un argument. Le rapport avec la mesure SQM me direz-vous ? C’est que justement sous ces cieux préservés les mesures deviennent compatibles avec les autres mesures notamment la magnitude limite à l‘instrument qui elle ne dépend pas de la vue pour les défauts de révolution . Et j’ai pu constater qu’une simple élévation de 0,2 ,quand tu es au dessus de 21,60, transforme radicalement les objets du ciel profond à l’oculaire avec une amélioration de contraste spectaculaire.. D’où l’intérêt de la mesure pour quantifier une observation ou un dessin par exemple.

Un autre usage du SQM qui m'est apparu, c’est pour définir simplement le moment pour effectuer mes Flats pour une configuration donnée.

Bon bref depuis un post que j'avais lancé à ce sujet http://www.astrosurf.com/ubb/Forum15/HTML/000713.html , je n’ai pas fait encore le tour du bazar et de ses usages.

Il ne faut pas en faire un absolu mais c’est un outil intéressant, facile d'emploi et à transporter dont la mesure, qui peut être faite par un néophyte, peut s'intégrer aux données plus classiques d'évaluation du ciel.
Le photomètre du pauvre


[Ce message a été modifié par Bernard Augier (Édité le 19-04-2010).]

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moi ce que j'ai remarqué c'est que ce truc était souvent un très bon prétexte à rester regarder des films au coin du feu (et là pour le coup j'avoue que ça me convient bien...)

ce que j'en pense :
il ne faut pas tomber dans les travers de la prise de mesure à outrance qui va orienter l'observation.
c'est tout sauf un instrument de métrologie, j'ai remarqué que c'est souvent mis en défaut et on comprend pas pourquoi, (genre, j'ai un ciel de folie, je comprends pas mais le sqm m'indique qu'il est pas top, ou alors, j'ai un sqm de folie mais je comprends pas c'est mou du genoux)...
Donc globalement on discute plus autour de la valeur de sqm que de ce qui se passe réellement dans le ciel... (d'un autre coté moi j'aime bien discuter au coin du feu...)
et j'ai l'impression que si c'était vraiment "fiable" les pros ne se feraient plus chier à utiliser des photomètres couteux et compliqués. Mesurer des 10èmes de magnitude avec un truc à 100 roros et imaginer que ça va donner une valeur absolue comparable avec un autre truc a 100 roros ça me laisse un peu rêveur.
cela dit ça n'est que mon avis après avoir vu les copains l'utiliser depuis quelques années maintenant, au final ça apporte quoi ?, on sait pas bien, peut être faut il faire avec le ciel que l'on à sans trop chercher à comprendre... lol

Erick

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Oui Erick. Je comprends tes réserves. Mais quand tu parles des pros, il s'agit d'imageurs, comme toi

Par contre ce que je remarque, c'est que tous les fondus de visuel extrême ont un SQM dans leur panoplie et l'utilisent http://www.astrosurf.com/ubb/Forum15/HTML/001444.html , avec les limitations qu'on lui connait. Au final, avec l'expérience, on arrive à en tirer par exemple le profil d'une nuit, indépendamment des variations de l'accoutumance nocturne (le coin du feu, tout ça ), de la fatigue et des défauts de vision de l'observateur (quand tu es en crise d'allergie, quand tu es en manque de sommeil, quand tu es déshydraté ou hypoglycemique les propriétés optiques de l'œil changent)

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la ou cela va devenir ennuyeux, c'est quand tout le monde aura installe son propre LIDAR :-/

Sincerement, je prefere mettre mes sous de cote pour m'acheter une meilleure monture. N'oublions pas le simple plaisir de tout installer, laisser mettre a temperature, puis tout rentrer car les nuages sont la ;-)

La seule application est peut-etre participer a des evaluations pour aider l'ANPCEN, mais c'est une autre histoire....

Amicalement,
Yann DUCHEMIN

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Bernard, j'ai l'impression de n'être pas trop d'accord avec ta vision des choses. (Ce qui suit, ce n'est pas pour polémiquer mais pour débattre.)

Si l'on veut savoir si le ciel de ce soir sera propice à rechercher les objets faibles, ou si l'on veut comparer des observations entre des sites différents, on a besoin d'un indicateur. La vision des objets faibles dépend de la magnitude surfacique du ciel (ils sont visibles s'ils "émergent" du fond du ciel). L'indicateur est donc la magnitude surfacique du ciel. En ce sens, le noms de Sky Quality Meter me paraît tout à fait approprié.

Certes, on ne mesure pas la pollution lumineuse, la transparence, l'humidité, etc. Mais ce n'est pas le but. La finalité, c'est la magnitude surfacique, car c'est d'elle que dépend la visibilité ou non des objets faibles. L'humidité, la transparence, la pollution lumineuse, etc. sont des grandeurs intermédiaires, en quelque sorte, permettant de se faire une idée approximative sans indtrument de mesure. On évalue la transparence, la pollution lumineuse, etc. parce qu'on ne sait pas mesurer la magnitude surfacique du ciel. Que le "SQM" ne permette pas de mesurer la pollution lumineuse, etc. n'est donc pas un défaut.

Par exemple :

« En fait un ciel peut paraitre noir parce qu’il n’y a pas de pollution lumineuse et une couverture nuageuse imperceptible en altitude, donnant faussement une bonne valeur. Alors que la transparence est dans les choux. Noirceur n'égale pas transparence »

Si le ciel paraît noir parce qu'il n'y a pas de pollution lumineuse malgré une mauvaise transparence, je m'en moque : ce qui compte est que le ciel est noir. C'est ça qui intervient sur la visibilité des astres faibles. Mon but n'est pas de savoir si le ciel est transparent, il est de savoir si je peux partir à la recherche de faibles nébuleuses.

Oui, noirceux n'égale pas transparence, mais je suis astronome, pas météorologue, donc je m'arrête au mot noirceur.

(Cela étant dit, je ne possède pas de "SQM", je me contente de regarder à l'oeil nu le nombre d'étoiles pour me faire une idée de sa noirceur.)

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"Si le ciel paraît noir parce qu'il n'y a pas de pollution lumineuse malgré une mauvaise transparence, je m'en moque : ce qui compte est que le ciel est noir. C'est ça qui intervient sur la visibilité des astres faibles. Mon but n'est pas de savoir si le ciel est transparent, il est de savoir si je peux partir à la recherche de faibles nébuleuses."

Sauf le respect...C'est complètement aberrant!

...Si la transparence n'est pas bonne, il est bien évident que la visibilité des astres faibles en souffre énormément ...

Et puis un vrai bon ciel n'est pas noir... Ou alors c'est que ta vision a un problème ou que tu est en manque d'oxygène...

[Ce message a été modifié par astrovicking (Édité le 21-04-2010).]

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"quand tu es déshydraté ou hypoglycemique les propriétés optiques de l'œil changent"...

Donc au moins des problèmes que je n'ai pas ...

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Astrovicking : « Sauf le respect...C'est complètement aberrant! »

Sauf le respect, tu lis trop vite (ta vision aussi a des problèmes ? )

J'ai dit « SI le ciel paraît noir etc. » OK, j'aurais dû mettre « Quand bien même ». Il a été dit que le ciel peut très bien être transparent sans être bien noir, ou le contraire, je ne sais plus, donc que le "Sky Quality Meter" est trompeur. Alors je répond : si réellement ça se passe comme ça (note bien : si), peu me chaut, ce qui compte est que le ciel soit noir. (*)

« Et puis un vrai bon ciel n'est pas noir... Ou alors c'est que ta vision a un problème ou que tu est en manque d'oxygène... »

En apparence seulement. Un ciel parfait, c'est un ciel qui n'émet aucune lumière, donc forcément noir. Maintenant, sous un ciel parfait, les yeux sont sensibles à de très faibles lumières et perçoivent la Voie Lactée, la lumière zodiacale, la lueur que diffusent l'ensemble des étoiles, etc. Mais si on prend une image CCD, le ciel sera bel et bien noir.

--------------
(*) Cela dit, imaginons deux sites :
- Un site en ville, avec pas mal de lampdaires.
- Un site en rase campagne, pas de lampadaires à moins de 20 km à la ronde.

Vendredi soir j'observe en ville. Une perturbation vient de "nettoyer" le ciel, qui est exceptionnellement transparent. Peu de poussières, un ciel bleu sombre toute la journée. Au lieu de mes 4,0 habituels, me voilà à 4,5, j'arrive même à deviner la Voie Lactée ! Évidemment, on ne fait pas mieux car les quelques poussières qui restent diffusent la lumière des lampadaires.

Samedi soir, je pars en rase campagne, où il n'y a presque pas de pollution lumineuse. Malheureusement le ciel n'est plus aussi transparent : il était bleu clair toute la journée, à cause de l'anticyclone qui vient de se figer et accumule les poussières. Et avec la chaleur, de très légers cirrus se sont formés. Au lieu des 6,0 habituels, je suis limité à 5,0.

Verdict : c'est le site le moins transparent qui a permis d'observer les astres les plus faibles. C'est pour ça qu'il faut faire aussi intervenir la pollution lumineuse en plus de la transparence. Il me semble que c'est de ça dont parlait Bernard. Et il me semble que le "SQM"', lui, indiquera que c'est le 2è site le meilleur.

[Ce message a été modifié par Bruno Salque (Édité le 22-04-2010).]

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Autre scénario :
Je vais en montagne.
J' ai oublié ma lampe de poche, et en bon citadin je suis surpris de ne pas voir le bout de mes godasses. Je marche néanmoins à tâtons jusqu' à un endroit encore plus noir que noir.
Le SQM indique une valeur record ! il fait tellement sombre que je ne vois pas une seule étoile, mais je me dit que c'est juste mes yeux qui ne sont pas acoutumés, puisque le SQM affiche une excellente valeur.
Mais au bout de plusieures heures, je n' y vois toujours rien. Je finis par trouver une pile pour ma lampe de poche. Je la braque vers le zénith. Surprise : je vois de la roche au dessus de ma tête, j' essayais d'observer dans une grotte
Mais peu importe, j' y retournerai, parce que dans cette grotte le ciel est peu transparent mais bien noir, et j' ai lu sur Astrosurf que c' est ça qui compte.

[Ce message a été modifié par PascalD (Édité le 22-04-2010).]

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Ah ben évidemment si on ne mesure pas le ciel mais le plafond d'une grotte, ça va donner n'importe quoi...

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OK!

Mais:
"En apparence seulement. Un ciel parfait, c'est un ciel qui n'émet aucune lumière, donc forcément noir."

Ben pas tout à fait, quand tu es vraiment sous un bon ciel, la luminescence du font de ciel (probablement due à l'ionisation des hautes couches atmosphériques) devient bien sensible, le ciel n'est donc pas "noir" (même avec un SQM d'enfer)...
... d'après ce qu'on m'a dit (je n'ai jamais dépassé 2800m) en montant à des altitudes encore plus élevées (au delà de 3000m?) le ciel peut reparaître noir, mais en fait, ce serait du à la raréfaction de l'oxygène, qui affaibli la perception nocturne (donc même la vision télescopique des objets faibles s'en ressent) : un apport d'oxygène rétabli la situation.

PS: Il me semble me rappeler que Bernard à fait des essais avec une bouteille d'oxygène?...

[Ce message a été modifié par astrovicking (Édité le 22-04-2010).]

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quote:
Mais peu importe, j' y retournerai, parce que dans cette grotte le ciel est peu transparent mais bien noir ...

Pascal, je t'avais bien dit de commencer par des drogues douces.

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ce bidule est rigolo,
mais franchement, j'm'en fout....car je n'y comprend que pouic là-dedans par rapport à la qualité du ciel et ne trouve pas une corrélation fine entre le chiffre qui implacable s'affiche en lettres rouges et ce qu'il se passe au-dessus de ma tête.
C'est normal, je ne suis qu'un piètre observateur et suis infoutu de quantifier un ciel, je me contente juste de le qualifier faute de mieux de "bon" à "pas bon" Mais parfois aussi "excellent", cela en ciel profond bien sur.
Serge

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amusant tout cela

ceci etant chacun fait comme il le souhaite, hein, mais meme dans les Observatoires, quand c'est "pourri" et bien on va se coucher en attendant mieux

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"C'est normal, je ne suis qu'un piètre observateur et suis infoutu de quantifier un ciel"

Ben ouai! T'es nul quoi!

MDR

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Bruno, quand je dis que le nom Sky Quality Meter est mal choisi, c’est parce que tu mesures une magnitude surfacique seulement. Or, pour avoir de bonnes observations en Ciel profond, ce n’est pas le seul critère de qualité.

La turbulence par exemple en est un autre d’importance. Pour le contraste de certaines structures de NP ou de bandes sombres galactiques à fort grossissement ou tout bonnement la magnitude limite instrumentale. C’est incroyable ce qu’elle peut s’altérer des que la turbu se dégrade. Personnellement c’est plus le ratio Transparence / Turbu qui m’intéresse en ciel extrême visuel. C’est pour cela que je préfère le versant Nord du Restefond au versant Sud par exemple, à altitude égale. Pourtant le SQM verra pas la différence lui.

D’où l’intérêt d’une échelle plus globale multicritères comme celle de Ciel Extrême citée plus haut.

Tout le souci c’est de savoir où tu peux insérer les valeurs SQM dans cette grille et à quoi les corréler.

C’est ça l’objet de la discussion qui ne dénigre pas le SQM, bien au contraire, mais en évoque les limites et cherche à en définir la place dans une moulinette multicritères, la plus indépendante de l’observateur possible.

Achète en un, utilise le intensément et après on verra tes impressions camarade.

Sinon, au risque de me répéter, un très bon ciel n’est jamais noir. Il illumine. D’ailleurs une bonne Voie Lactée sous un bon ciel transparent qui permet à sa lumière de « polluer » abaisse localement le SQM de 0,5 environ. Voici un test que j’ai fait à Restefond justement… Je te laisse conclure.


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Bernard, quel sqm utilises tu ? Celui qui à un "faisceau" large ou étroit ? Si c'est l'étroit, tu obtiens tes mesures indiquées sur la copie d'écran en pointant directement la zone (voie lactée ou non) ?

Pour la qualité du ciel, oui, je partage totalement ton point de vue, un bon ciel n'est pas noir, par contre, j'ai constaté que lorsque le ciel est bon, c'est plutôt au sol et lorsque on regarde autour de soi que l'on ne "voit pas grand chose". Lors des très bonnes nuits que j'ai eu semaine dernière, si on porte des vêtements foncés, c'est hard pour se repérer. Avec des botes noires, au sol, on voit a peine ses pieds et où on marche si le sol est par exemple de l'herbe. A voir dans les mêmes conditions avec "l'illumination" par la voie lactée.

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Diabolo, j’utilise toujours le même SQM. Le vieux a faisceau large de 90° environ. C’est pour ça que les pointages, sur mon exemple, sont à 45° les uns des autres. En fait il s’agit de valeurs vérifiées sur pas mal de tests la même nuit. La copie d’écran est un instantané représentatif je crois.

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bonjour à tous

et d'abord "pourquoi la nuit est-elle noir" ??, non trêve de plaisenterie,
Le sqm peut-il être utile pour l'ANCPEN ?, si oui dans quel mesure ?

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