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bpollet

C8 ou intes MK67?

Question

Bonjour à tous

 

Voilà, j'ai l'occasion d'acheter un mak intes MK67 (6" et F/12).

Parallèlement à cela, pour le même prix, je pense pouvoir obtenir un tube de C8 de la fin des années 90.

 

Je dispose d'un Mak127 celestron aujourd'hui (et d'une 80ED). Je monte les deux sur une vixen GP. (et d'un SW 150/750 que je vais certainement revendre parce qu'inutilisé)

 

Ma question est:

pour remplacer mon mak 127 en imagerie planétaire vaut il mieux partir sur ce MK67 réputé pour sa qualité? ou sur un tube de C8 de plus gros diamètre?

autrement dit: le MK67 me tente bien car plus facile à mettre en oeuvre, peu ou pas de shifting, mais vis à vis du mak 127 chinois aurais-je une réelle différence?

 

Merci pour vos avis éclairés

 

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3 answers to this question

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Le 05/06/2020 à 09:04, bpollet a dit :

mais vis à vis du mak 127 chinois aurais-je une réelle différence

 

plus de luminosité gràce au diamètre supérieur mais ce ne sera pas flagrant car tu passes de 127 à 150 !

 

Attention il te faut savoir sur les Intès que :

  1. il y a deux versions du Intès MK67 : la Deluxe et la version classique
  2. un Intès est plus massif et plus lourd qu'un Mak chinois type SW ou Celstron après 2004
  3. les Intès ont tendance à mal vieillir sur la version qui n'est pass deluxe : le traitement optique a tendance à se dégrader et donner des images jaunies !

De plus, j'ai pu comparer sur le terrain un MK67 et ma Meade Apo 102mm à f9 de 1994 : j'ai trouver plus de détails en planétaire que sur le MK67 !

Pour infos, j'ai toujours un Mak127 et mon vieux C8 Ultima, je garde les deux car ce n'est pas le même usage même ssi les deux sont très bons en planétaire !

 

Le Mak127 s'emmène facilement en avion ! avec un C8 c'est plus compliqué !

 

si tu peux te trouver un bon C8 je pense que tu t'amuseras plus qu'avec un viel Intès MK67 !

 

Dis nous ce que tu auras fait comme choix !

 

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Salut bpollet,

 

Voici quelques images de Saturne et Jupiter avec mon MAK150 si ça peut t’aider 😉 avec un capteur IMX224C environ 60% de retenue sur 4000 images.

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Bonjour a vous deux. Merci pour vos réponses.

En fait en même temps j'ai eu l'occasion d'acheter un Intes MK67 a 550€ vendu par quelqu'un du forum ou un C8 vendu a 450€ vendu par quelqu'un du forum d'en face .

 

J'étais parti pour le MK67, mais sur place avec le vendeur on a eu un doute sur l'état de la chaîne optique du petit Intes.

Du coup, je me suis rabattu sur le C8.

 

Pour l'instant, je n'ai pas encore réussi à en tirer le meilleur en imagerie planétaire. Peut être parce que les planètes sont très basse et/ou parce que je ne suis peut être pas collimaté aux petits oignons.

 

J'attends actuellement une étoile artificielle, qui devrait m'aider a améliorer cela et qui me permettra de m'entraîner.

 

A suivre. Même s'il est vrai que je regrette la facilité de réglage d'un mak, je suis aussi bien content d'être plutôt a F/d 10.

 

Bref, peut être que ce qui me conviendrait le mieux ce serait un Intes micro M603.

 

Pour l'instant, je vais essayer de tirer le meilleur de ce C8 XLT

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  • Similar Content

    • By christian viladrich
      Salut à tous,
       
      Juste pour le fun, je me suis amusé à mesurer la courbe de transmission de ma vénérable fluo 55 mm f/8 qui date de 1988 (environ ...). Elle a fait pas mal d'éclipses de Soleil celle-là
       
      Pour rappel, comme je ne peux pas mesurer la transmission absolue, mais seulement la transmission relative, j'ai normalisé le pic de transmission à 100%. Voici ce que cela donne :

       
      C'est pas mal du tout pour l'époque.
       
      Le zoom entre 800 et 1000 nm montrent les oscillations de transmission résultant du traitement multi-couches.
       
      Çà me fait penser qu'il faudrait que je mesure la lame du C8. Celestron ne fournit que la transmission entre 450 et 700 nm.
       

       
      Fait juste que je trouve un moyen de ne pas abîmer la lame lors de la mesure ...
       
    • By christian viladrich
      Salut à tous,
      Voici la mesure de la transmission de deux Barlow UV et d'une autre "visible" :
       

       

       

       
       
      Il n'y a pas de différence très significative entre le traitement des Barlow U et non UV.
       
      A noter que le site Internet de Siebert indique la transmission suivante pour ses Barlow UV :

       
      Cela ne peut en aucun cas être la transmission du traitement anti-reflet. Au mieux, c'est la transmission d'un des verres utilisés dans la Barlow.
       
    • By Arnaud17
      Bonjour à toutes et à tous,
       
      Je suis en train de chercher un Newton de 300-350mm ouvert à f/4. J’ai vu que Teleskop Service propose une gamme appelée ONTC avec miroir chinois de GSO « testé ». Le tube est en carbone et le PO est à sélectionner parmi une gamme assez vaste. Quelqu’un a-t-il déjà utilisé / testé un instrument de cette gamme? Quel retour quant à la qualité optique et mécanique ? Je prévois une utilisation assez large de l’instrument : en spectro basse résolution avec un Alpy, en ciel profond avec un Wynne ASA et en planétaire avec un Powermate x4.
       
      Merci pour votre retour si vous avez effectivement eu un télescope de cette gamme en main.
       
      Arnaud
    • By bricodob300
      Bonsoir
      Je viens de trouver sur le net la modification qu'avait apporté Clyde Bone à  la très  ancienne formule optique  de Mersenne :
      Je trouve cela vraiment intéressant,  particulièrement le fait que la partie du ciel hors axe soit accessible au miroir de renvoi Nasmith et vienne se "superposer " à l'image issue du primaire dans le réfracteur. 
      En plus d'être intéressant je trouve cela marrant : un réflecteur qui fonctionne mieux s'il on lui colle un refracteur au cul, de quoi en réconcilier certains... (ou pas)
      Pour ceux qui maitrisent les logiciels de design optiques,  je serai curieux de connaître la tolerance des delta de fd, bien que  le secondaire peut être la calote de l'outil du primaire si je ne dis pas de bêtises ...
      Et autre question : j'imagine que ce qui détermine le projet et donc la taille des miroirs va être le rapport fd du réfracteur, peut on faire confiance au fabricant s'il affirme que la lunette est à fd 5 c'est bien du 5 et non 5.1 ou 4.9 ? Car 2 champs qui se superposent ça ne doit pas être évident 
      On peut lire un peut plus loin qu'il lui faut pas loin d'une journée pour la collim ! Mais lors de rencontres astro qui dures plusieurs jours, cela en vaut la peine, quelle persévérance ! Pour simplifier un peu, il me semble qu'on pourrait se passer du deuxième miroir plan en acceptant que le réfracteur soit orthogonal au telescope, de plus cela ferai une surface de moins...
      Qu'en pensez vous ?
       
       
      Source : https://televue.com/televueopticstalk/2019/07/11/clyde-bone-and-his-two-unusual-mersenne-telescopes/
       
      (Traduction approximative )
       
      Bases du télescope Mersenne de Clyde
      La lumière est collectée par un grand miroir primaire parabolique (1) situé au bas de l'instrument qui produit un cône de lumière vers le haut, comme dans un réflecteur newtonien.
      Un miroir secondaire paraboloïde convexe de rapport focal égal au primaire (2) est carré dans le tube vers le haut. Les foyers de ces deux miroirs coïncident (confocal). Cela amène les cônes de lumière à « annuler » leur sortie du secondaire et à devenir un cylindre (rayons parallèles) de lumière.
      Ces rayons parallèles se dirigent vers le miroir primaire mais sont interceptés par un miroir plat diagonal devant le primaire (3). Cela reflète la lumière à angle droit sur l’axe d’altitude de la monture.
      Un dernier miroir plat à l'extérieur du tube (4) réfléchit à nouveau la lumière à angle droit parallèle au sol. Cette fonctionnalité permet de visualiser depuis une position assise, quelle que soit la hauteur de visée de la lunette. Ceci est souvent appelé une conception Mersenne-Nasmyth.
      Enfin, la lumière traverse un réfracteur à champ plat à 4 éléments f/5 (5) qui « voit » les rayons parallèles comme une lumière venant de l'infini ─ comme si on regardait directement le ciel ─ et un L'oculaire est utilisé pour agrandir l'image du réfracteur (6).
      Étant donné que les rayons lumineux entrant dans le réfracteur sont parallèles, le rapport focal final est le même que celui du réfracteur - f/5 dans ce cas.
      Alors, qu'est-ce que ça fait
      de regarder à travers l'un
      de ces télescopes ?
      "En fait, c'est assez
      normal jusqu'à ce que vous
      commenciez à faire un panoramique.
      Ensuite, c'est magique.
      – David Nagler
      Une autre caractéristique est qu'à faible puissance, le réfracteur « voit » la lumière hors axe (lignes brunes dans le diagramme) passant autour du secondaire, rebondissant à travers les méplats et dans l'objectif du réfracteur sans rencontrer le miroir primaire ou secondaire. Cette lumière « périphérique » est essentiellement ce que le réfracteur « verrait » s’il était dirigé uniquement vers le ciel. Le résultat est une cible fortement agrandie au centre d’un champ de faible puissance ! Le système agit comme son propre chercheur ! David Nagler décrit la superposition des champs de faible et de forte puissance comme se mélangeant presque imperceptiblement — jusqu'à ce que vous déplaciez la lunette pendant l'observation. L’effet est alors « époustouflant ». En effectuant un panoramique, vous voyez des objets se déplacer lentement au bord du champ, puis passer soudainement à une « explosion d'ouverture » rapide dans le champ central de haute puissance.
      Bases du télescope Mersenne de Clyde
      La lumière est collectée par un grand miroir primaire parabolique (1) situé au bas de l'instrument qui produit un cône de lumière vers le haut, comme dans un réflecteur newtonien.
      Un miroir secondaire paraboloïde convexe de rapport focal égal au primaire (2) est carré dans le tube vers le haut. Les foyers de ces deux miroirs coïncident (confocal). Cela amène les cônes de lumière à « annuler » leur sortie du secondaire et à devenir un cylindre (rayons parallèles) de lumière.
      Ces rayons parallèles se dirigent vers le miroir primaire mais sont interceptés par un miroir plat diagonal devant le primaire (3). Cela reflète la lumière à angle droit sur l’axe d’altitude de la monture.
      Un dernier miroir plat à l'extérieur du tube (4) réfléchit à nouveau la lumière à angle droit parallèle au sol. Cette fonctionnalité permet de visualiser depuis une position assise, quelle que soit la hauteur de visée de la lunette. Ceci est souvent appelé une conception Mersenne-Nasmyth.
      Enfin, la lumière traverse un réfracteur à champ plat à 4 éléments f/5 (5) qui « voit » les rayons parallèles comme une lumière venant de l'infini ─ comme si on regardait directement le ciel ─ et un L'oculaire est utilisé pour agrandir l'image du réfracteur (6).
      Étant donné que les rayons lumineux entrant dans le réfracteur sont parallèles, le rapport focal final est le même que celui du réfracteur - f/5 dans ce cas.
      Alors, qu'est-ce que ça fait
      de regarder à travers l'un
      de ces télescopes ?
      "En fait, c'est assez
      normal jusqu'à ce que vous
      commenciez à faire un panoramique.
      Ensuite, c'est magique.
      – David Nagler
      Une autre caractéristique est qu'à faible puissance, le réfracteur « voit » la lumière hors axe (lignes brunes dans le diagramme) passant autour du secondaire, rebondissant à travers les méplats et dans l'objectif du réfracteur sans rencontrer le miroir primaire ou secondaire. Cette lumière « périphérique » est essentiellement ce que le réfracteur « verrait » s’il était dirigé uniquement vers le ciel. Le résultat est une cible fortement agrandie au centre d’un champ de faible puissance ! Le système agit comme son propre chercheur ! David Nagler décrit la superposition des champs de faible et de forte puissance comme se mélangeant presque imperceptiblement — jusqu'à ce que vous déplaciez la lunette pendant l'observation. L’effet est alors « époustouflant ». En effectuant un panoramique, vous voyez des objets se déplacer lentement au bord du champ, puis passer soudainement à une « explosion d'ouverture » rapide dans le champ central de haute puissance.
      @lyl

    • By Astreau
      Bonsoir,
      Heureux possesseur d'une ASi2600 MC, je suis frappé de la malédiction de la fuite d'huile sur le capteur de la camera. Ca fera la 2eme fois en un an....
      ZWO me demande de renvoyer la camera en chine pour réparation nettoyage.
      Là, je tique....
      Avez vous des conseils à me donner pour m'assurer que l'envoi se passe bien (précautions déclaratives, assurance, transporteur à choisir, etc....) ?
      Deuxième solution : je me sors les doigts du f.... et je nettoie le capteur moi-même. Avez vous des conseils à me donner ?
       
      Merci par avance du retour.
      Ben attendant je vais rester sur le planétaire.....
      En cadeau un petit gif de la rotation de jupiter le 10/09/2023

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