Fred_76

Euclid, le satellite de l'ESA va rejoindre le JWST

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Il y a 7 heures, jackbauer 2 a dit :

Les étoiles ont une aigrette à 6 branches, "...en raison du support du miroir secondaire tenu par trois mâts...."

jwst aussi...

 

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il y a une heure, asp06 a dit :

jwst aussi...

Pas tout à fait, la diffraction se fait sur 8 branches. La composante majeure est la forme hexagonale du miroir. Le support du secondaire n'est pas tenu à 120° pour des raison origamesque je suppose. 

La NASA a fait une infographie qui aide à comprendre. Pardon c'est en anglais :) 

STScI-01G6934F9PKRPVD8J1HVSA65CR.png

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Vraiment extraordinaire toutes ces belles photos !!!

... Impatient de voir la suite de ce que nous réserve EUCLID.

 

Merci pour le partage. B|

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Il y a 2 heures, Fred_76 a dit :

.

Oui, plus qu'on ne le dit et moins qu'on ne le pense.

 

Quant à Euclid les images sont fabuleuses, on se régale par avance de la suite, normalement au moins 6 ans de merveilles photo devant nous.

Le site de l'ESA est bien, et à part le coup de cirage à Aschbacher le dernier en date des fossoyeurs, le texte est juste et suffisamment mesuré pour se différencier valablement des enflures textuelles de la NASA.

https://www.esa.int/Science_Exploration/Space_Science/Euclid/Euclid_s_first_images_the_dazzling_edge_of_darkness

 

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Il y a 16 heures, Superfulgur a dit :

Pour la petite histoire, l'image de l'amas de Persée approche la magnitude 27.

 

Il me semble qu'une région du ciel (pas forcément celle-là) sera très régulièrement observée au cours des 6 ans ou plus de la mission à des fins de calibration, genre plusieurs heures par mois. De ce que j'ai compris, cette région atteint déjà la magnitude 28, et ce sera donc beaucoup, beaucoup, plus à terme.

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il y a 43 minutes, dg2 a dit :

De ce que j'ai compris, cette région atteint déjà la magnitude 28

 

Non, Jean-Charles Cuillandre, avec qui je discute de ces images (qu'il a produites) depuis quelques semaines (dur de pas en parler ici ! :/) m'a donné 26.7 à 27 pour l'amas de Persée.

 

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Il y a 4 heures, Superfulgur a dit :

Non, Jean-Charles Cuillandre, avec qui je discute de ces images (qu'il a produites) depuis quelques semaines (dur de pas en parler ici ! :/) m'a donné 26.7 à 27 pour l'amas de Persée.

Je parlais de la région de calibration, qui vérification faite, n'est effectivement pas celle montrée hier. Elle sera (et a déjà été) observée plusieurs heures tous les mois.

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Il y a 12 heures, Mercure a dit :

Quant à Euclid les images sont fabuleuses, on se régale par avance de la suite, normalement au moins 6 ans de merveilles photo devant nous.

 

hum hum... Pour ce communiqué de presse ils ont traité quelques photos spectaculaires ; ils le referont probablement de temps en temps mais l'immense majorité des autres restera à l'état brut j'imagine...

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L'ESA n'est pas brillante en ce moment, c'est le moins que l'on puisse dire, mais j'espère quand même qu'ils feront un peu de com par images spectaculaires interposées.

Actuellement ils ont vraiment tout à gagner à sortir des infos calamiteuses qui sont leur quotidien depuis bien avant le dernier tir d'Ariane V.

Nous verrons, restons optimistes (même si ce n'est pas le plus fréquent ici :D).

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Il y a 20 heures, dg2 a dit :

Je parlais de la région de calibration, qui vérification faite, n'est effectivement pas celle montrée hier. Elle sera (et a déjà été) observée plusieurs heures tous les mois.

 

Alors le "Self Cal Field" monte effectivement déjà à 28, mais il ne sera rendu public que fin 2024...

 

S

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Vous parlez de quel type de magnitude ? De magnitudes V, ou infra-rouges ? En infra-rouge, les magnitudes des galaxies son presque toujours des nombres plus élevés. Prenons M51 : https://simbad.cds.unistra.fr/simbad/sim-id?Ident=M51&NbIdent=1&Radius=2&Radius.unit=arcmin&submit=submit+id . Magnitude V = 8,4 mais K = 5,5, quasiment 3 magnitudes d'écart. Si ce sont des galaxies de magnitude K = 27, elles ont peut-être V = 24, les détecter n'a rien d'extraordinaire (à part qu'on peut les observer en infra-rouge), si ? Ou alors vous parlez de magnitude V ? Je pose ces questions pas pour chipoter mais plutôt pour avoir des repères corrects.

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On peut constater quelques petites choses curieuses sur les images d'Euclid :

 

- des aigrettes de diffraction (ou reflets) en arc de cercle partant des étoiles très lumineuses. Ce sera je pense LA signature des images d'Euclid.

image.png.f81e4b1742176d98166c36a4837dcdf6.png

 

- des blobs bleutés, un artefact causé par des reflets internes sur les filtres :

image.png.97fd24cf2d6b9e7c4dbb6d0e049946af.png

 

- des réflexions internes avec des images fantômes du primaire/secondaire :

image.png.e790f525528d139e21a050ace56c69b9.png

 

- des bandes verticales (à peine visibles), causées par l'espace entre deux capteurs (le capteur d'Euclid est en fait une matrice de 6x6 capteurs), ce qui peut provoquer des altérations locales de couleurs, dans le jaune ici :

image.png.676c99f053bf6a925ff74a7b272cd0d7.png

 

- des aigrettes dédoublées (n'affecte pas toutes les images), peut être causé par le soucis de guidage et de pointage du satellite, qui ne retrouve pas parfois sa même orientation entre deux images...

image.png.d145e117f7d6e31a5f6b00656b4cc011.png

 

 

Donc voici la signature des images d'Euclid, les arcs de cercles sur les étoiles très lumineuses.

image.png

Modifié par Fred_76
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Il y a 23 heures, Bruno- a dit :

Vous parlez de quel type de magnitude ? De magnitudes V, ou infra-rouges ?

 

Il s'agit de magnitudes visibles, à 700 nanomètres, c'est donc du R, j'imagine...

 

S

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Ah, merci pour l'info. On est entre R et I, probablement un système de magnitude propre à Euclid.

JOHNS-3.png

En tout cas on n'est pas trop éloigné des magnitudes V qui nous sont familières.

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En tous cas l’histoire des aigrettes courbes semble laisser les gens perplexes. Certains avancent l’idée  que ce serait de la matière noire localisée au point L2 qui pourrait en être la cause, mais d’autres hypothèses émergent.

 

À suivre…

Modifié par Fred_76
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Le CNES donne des nouvelles de la mission. RDV  dans un peu plus de deux ans pour les premiers résultats 

 

L'essentiel :

 

https://cnes.fr/fr/euclid-debute-sa-grande-enquete-autour-de-lenergie-et-de-la-matiere-noires


EUCLID DÉBUTE SA GRANDE ENQUÊTE AUTOUR DE L’ÉNERGIE ET DE LA MATIÈRE NOIRES
Le 14 février 2024 est un jour spécial pour Euclid : faute de trouver l’amour, le satellite de l’ESA commence officiellement son enquête afin de percer les secrets de l’Univers sombre.
14/02/2024 - Saint-Valentin : Cupidon a réservé la plus belle des surprises aux équipes Euclid puisque c'est le début du « survey ».  Autrement dit, le satellite européen commence sa phase d'enquête autour de la matière et de l'énergie noires afin d'étudier l'expansion et la formation des grandes structures de l'Univers. Durant les 6 prochaines années, Euclid va observer et capturer plus de 10 milliards d'années d'histoire cosmique !
(...)
Le télescope est actuellement paramétré pour observer une portion de 130 degrés carrés – soit 500 fois la taille de la pleine Lune ! – durant les 14 prochains jours : c'est autant que la zone couverte par Hubble en 30 ans. Les objets de ces observations : les constellation Caelum et Pictor.

Dans 1 an, Euclid aura effectué 15% de son enquête. Rendez-vous au printemps 2026 pour la révélation des premiers résultats cosmologiques.

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Posté(e) (modifié)

!!

"...Une couche de glace aussi fine qu'un brin d'ADN s'est formée sur les instruments d' Euclid . Problème courant pour les engins spatiaux, cela pourrait constituer un problème potentiel pour une mission qui nécessite une précision remarquable..."

 

 

Traduction automatique du début de l'article :

 

Quelques couches de glace d’eau – de la largeur d’un brin d’ADN – commencent à avoir un impact sur la vision d’Euclide ; un problème courant pour les engins spatiaux dans le froid glacial de l’espace, mais un problème potentiel pour cette mission très sensible qui nécessite une précision remarquable pour étudier la nature de l’Univers sombre. Après des mois de recherche, les équipes d’Euclid à travers l’Europe testent maintenant une nouvelle procédure pour dégivrer les optiques de la mission. En cas de succès, les opérations valideront le plan des équipes de mission visant à maintenir le système optique d’Euclid aussi libre de glace que possible pour le reste de sa vie en orbite.

 

La vision d’Euclide s’embrume alors qu’il s’avance « à l’extérieur »

Au cours des derniers mois, alors qu’ils peaufinaient et étalonnaient les instruments d’Euclid après le lancement et préparaient le début de la première étude de la mission, les experts en opérations scientifiques ont remarqué une diminution faible mais progressive de la quantité de lumière mesurée à partir d’étoiles observées à plusieurs reprises avec l’instrument visible (VIS).

Euclid est confronté à un problème courant auquel les engins spatiaux sont confrontés une fois qu’ils arrivent dans l’espace : l’eau absorbée par l’air lors de l’assemblage sur Terre est maintenant progressivement libérée de certains composants du vaisseau spatial, évacuée par le vide de l’espace.

Dans le froid glacial du nouvel environnement d’Euclide, ces molécules d’eau libérées ont tendance à coller à la première surface sur laquelle elles atterrissent – et lorsqu’elles atterrissent sur l’optique de cette mission très sensible, elles peuvent causer des problèmes.

« Nous avons comparé la lumière des étoiles qui passe par l’instrument VIS avec la luminosité enregistrée des mêmes étoiles à des époques antérieures, observées à la fois par Euclid et par la mission Gaia de l’ESA », explique Mischa Schirmer, scientifique de l’étalonnage pour le consortium Euclid et l’un des principaux concepteurs du nouveau plan de dégivrage.

 

Certaines étoiles de l’Univers varient en luminosité, mais la majorité sont stables pendant plusieurs millions d’années. Ainsi, lorsque nos instruments ont détecté un déclin faible et progressif des photons entrants, nous avons su que ce n’était pas eux, mais nous.

On s’attendait toujours à ce que l’eau puisse progressivement s’accumuler et contaminer la vision d’Euclide, car il est très difficile de construire et de lancer un vaisseau spatial depuis la Terre sans qu’une partie de l’eau de l’atmosphère de notre planète ne s’y infiltre.

 

Pour cette raison, il y a eu une « campagne de dégazage » peu de temps après le lancement où le télescope a été réchauffé par des chauffages embarqués et également partiellement exposé au Soleil, sublimant la plupart des molécules d’eau présentes au lancement sur ou très près des surfaces d’Euclide. Une fraction considérable, cependant, a survécu, en étant absorbée dans l’isolation multicouche, et est maintenant lentement libérée dans le vide de l’espace.

 

Après une énorme quantité de recherches – y compris des études en laboratoire sur la façon dont de minuscules couches de glace sur les surfaces des miroirs diffusent et réfléchissent la lumière – et des mois d’étalonnages dans l’espace, l’équipe a déterminé que plusieurs couches de molécules d’eau sont probablement gelées sur des miroirs dans l’optique d’Euclid. D’une épaisseur de quelques à quelques dizaines de nanomètres, soit l’équivalent de la largeur d’un brin d’ADN, le fait que la mission détecte de si petites quantités de glace témoigne remarquablement de la sensibilité de la mission.

Alors que les observations et la science d’Euclide se poursuivent, les équipes ont mis au point un plan pour comprendre où se trouve la glace dans le système optique et atténuer son impact maintenant et à l’avenir, si elle continue à s’accumuler.

 

Modifié par jackbauer 2
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J’ai bien une idée pour utiliser cette glace…

1995-2.jpg

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Il y a 3 heures, jackbauer 2 a dit :

D’une épaisseur de quelques à quelques dizaines de nanomètres, soit l’équivalent de la largeur d’un brin d’ADN, le fait que la mission détecte de si petites quantités de glace témoigne remarquablement de la sensibilité de la mission.

 

J'aime bien cette phrase........................................................

:/:/:/

 

Sinan, espérons que cette glace va se sublimer... Je me demande si ils ne pourraient pas essayer de pointer des astres très brillants (Lune, Sirius, Jupiter) pour la chauffer. C'est sûrement une idée idiote...

S

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Il y a 1 heure, Superfulgur a dit :

Lune

Vu que le satellite est au point L2, pointer la Lune n'est sans doute pas possible.

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Je poste la 2ème partie du communiqué de l'ESA, qui indique la méthode avec laquelle ils vont prudemment tenter de rétablir une bonne vision du télescope :

 

https://www.esa.int/Science_Exploration/Space_Science/Euclid/Operations_begin_to_de-ice_Euclid_s_vision

 

Un tout nouveau plan pour décontaminer Euclide à 1,5 million de km de distance


« Une mission complexe nécessite une réponse unie de la part d’équipes de toute l’Europe, et je suis incroyablement reconnaissant pour les efforts et les compétences que tant de personnes ont consacrés à cette mission », a déclaré Ralf Kohley, scientifique des opérations d’Euclid Instrument qui a coordonné l’intervention.

« Il a fallu travailler avec les équipes du centre technique de l’ESTEC aux Pays-Bas, du centre des opérations scientifiques de l’ESAC à Madrid et de l’équipe de contrôle de vol du centre de contrôle de mission de l’ESOC à Darmstadt – mais nous n’aurions pas pu le faire sans le consortium Euclid et les contributions essentielles que nous avons reçues du maître d’œuvre du vaisseau spatial Thales Alenia Space et de son partenaire industriel Airbus Space. »

 

L’option la plus simple serait d’utiliser la procédure de décontamination développée bien avant le lancement et de chauffer l’ensemble du vaisseau spatial. Les équipes du centre de contrôle de la mission envoyaient l’ordre d’allumer tous les appareils de chauffage à bord pendant plusieurs jours, augmentant lentement les températures d’environ -140 °C à, dans certaines parties du vaisseau spatial, à -3 °C.
Cela nettoierait l’optique, mais chaufferait également toute la structure mécanique du vaisseau spatial. Lorsque la plupart des matériaux chauffent, ils se dilatent et ne reviennent pas nécessairement exactement au même état après un refroidissement d’une semaine, ce qui signifie une différence potentiellement subtile dans l’alignement optique d’Euclid. Cela ne suffira pas pour une mission aussi sensible où les effets peuvent être remarqués sur l’optique à partir d’un changement de température d’une fraction de degré seulement, nécessitant au moins plusieurs semaines de recalibrage fin.

 

« La plupart des autres missions spatiales n’ont pas d’exigences aussi strictes en matière de « stabilité thermo-optique » qu’Euclid », explique Andreas Rudolph, directeur de vol Euclid au centre de contrôle de mission de l’ESA.

« Pour atteindre les objectifs scientifiques d’Euclid de créer une carte 3D de l’Univers en observant des milliards de galaxies jusqu’à 10 milliards d’années-lumière, sur plus d’un tiers du ciel, nous devons maintenir la mission incroyablement stable – et cela inclut sa température. La mise en marche des chauffages dans le module de charge utile doit donc être effectuée avec une extrême prudence.
Pour limiter les changements thermiques, l’équipe commencera par chauffer individuellement les parties optiques à faible risque du vaisseau spatial, situées dans des zones où l’eau libérée est peu susceptible de contaminer d’autres instruments ou optiques. Ils commenceront par deux miroirs d’Euclid qui peuvent être réchauffés indépendamment. Si la perte de lumière persiste et commence à avoir un impact sur la science, ils continueront à réchauffer d’autres groupes de miroirs d’Euclide, vérifiant à chaque fois le pourcentage de photons qu’ils récupèrent.

De petites quantités d’eau continueront d’être libérées à l’intérieur d’Euclid pendant toute la durée de vie de la mission, de sorte qu’une solution à long terme est nécessaire pour dégivrer régulièrement ses optiques sans prendre trop de temps précieux pour la mission – Euclid a six ans pour terminer son étude.


(...)


« Le dégivrage devrait restaurer et préserver la capacité d’Euclid à collecter la lumière de ces anciennes galaxies, mais c’est la première fois que nous effectuons cette procédure. Nous avons de très bonnes suppositions sur la surface à laquelle la glace adhère, mais nous n’en serons pas sûrs tant que nous ne l’aurons pas fait.

 

Mischa conclut : « Une fois que nous aurons isolé la zone touchée, nous espérons pouvoir simplement réchauffer cette partie isolée du vaisseau spatial à l’avenir, selon les besoins. Ce que nous faisons est très complexe et très précis, ce qui nous permet de gagner un temps précieux à l’avenir – je suis extrêmement enthousiaste à l’idée de découvrir où cette glace d’eau s’accumule et dans quelle mesure notre plan fonctionnera.

 

Malgré la fréquence de ce problème de contamination pour les engins spatiaux fonctionnant dans des conditions froides, il existe étonnamment peu de recherches publiées sur la façon dont la glace se forme sur les miroirs optiques et son impact sur les observations. Non seulement Euclid pourrait révéler la nature de la matière noire, mais il pourrait également faire la lumière sur un problème qui tourmente depuis longtemps nos yeux errants dans l’espace, scrutant la Terre et l’Univers.

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C'est vraiment des branques, tous ces "ingénieurs" o.Oo.Oo.O

Alors qu'il suffisait d'installer des sachets de silicagel aux endroits critiques du chemin optique.

Ou des résistances, on fait ça tout le temps avec nos télescopes, on en fait pas tout un foin.

 

>:(

S

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Il y a 15 heures, jackbauer 2 a dit :

Non seulement Euclid pourrait révéler la nature de la matière noire, mais il pourrait également faire la lumière sur un problème qui tourmente depuis longtemps nos yeux errants dans l’espace, scrutant la Terre et l’Univers.

 

Je pressens que les temps sont proches où nous aurons tout compris de l'Univers. :ph34r:

Qu'est-ce qu'on va s'em.erder ensuite ! o.O

 

Il y a 2 heures, Superfulgur a dit :

C'est vraiment des branques, tous ces "ingénieurs" o.Oo.Oo.O

Alors qu'il suffisait d'installer des sachets de silicagel aux endroits critiques du chemin optique.

Ou des résistances, on fait ça tout le temps avec nos télescopes, on en fait pas tout un foin.

 

Encore plus simple et efficace : y avait qu'à orienter les optiques au chaud côté soleil ! ^_^

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Il y a 4 heures, Superfulgur a dit :

C'est vraiment des branques, tous ces "ingénieurs" o.Oo.Oo.O

 

C'est vraiment des branques, tous ces "ingénieurs" bizarres,

Aussi nuls que les astrophysiciens avec leur modèle standard !

Ils vont tenter de briser la glace

Pour pouvoir observer l’espace,

Et garder ainsi l’espoir

De piéger la matière noire.

Puis enfin balancer aux détritus

L' ineffable "Janus", quel falot !

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