Mesure au spectro de trois lunettes Lunt - filtres Ha dans les choux !
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apricot, dans
Astronomie solaire
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Par Astralex1976
Bonjour à toutes et à tous !!
Je pose ma première question sur ce forum, excellent par ailleurs, j’ai lu beaucoup de posts avant de me lancer.
alors voilà : je suis totalement novice en astronomie et j’ai tenu à me faire offrir mon premier télescope il y a quelques mois.
je ne voudrais surtout pas être jugé sur mon choix s’il vous plaît 🙏. C’est un Celestron Nexstar SLT 90. Je sais que l’on peut avoir beaucoup plus gros sans motorisation mais le GoTo est, pour moi, indispensable. Vu mon niveau.
j’ai pu observer des planètes et des amas ouverts ou globulaires. La nébuleuse d’Orion, la galaxie d’Andromède. Des nébuleuses planétaires. La Lune, bien entendu ☺️. Et m77 tout à fait clairement en vision légèrement décalée. Ça, c’était surtout cet hiver ( je suis plein sud avec le sud-est et le sud-ouest en banlieue moyennement éclairée). Maintenant, je vois sur SkyPortal ( le logiciel de guidage du GoTo Celestron) essentiellement des galaxies. Et c’est là que ça se complique un peu : je peux les repérer dans un oculaire de 13mm mais il faut bien acclimater son œil et ne pas être trop exigeant sur le rendu visuel 😄. Mais ! Quel plaisir de « trouver » une galaxie et de la « voir » avec tout le mystère que cela comporte. Ma question porte sur la galaxie du Sombrero : même si j’ai le GoTo, je dois quand même chercher un peu pour la trouver. Je ne sais pas très bien ce que je dois m’attendre à « apercevoir » en vision décalée. Mais j’aime beaucoup chercher et je précise que l’observation est mon domaine préféré. Je ne souhaite pas faire d’astrophoto. Trop compliqué pour moi. Beaucoup de travail sur ordinateur notamment. Et puis c’est l’observation qui me plaît ☺️☺️. Je vais avoir un peu d’argent qui va tomber dans quelques mois et je serais éventuellement tenté d’acheter un Celestron 8 se…. Mais je me demande si c’est une bonne idée : encombrement, poids, collimation aussi. Et puis je me suis beaucoup attaché à mon 90. Il est léger, pratique et je ne suis pas dérangé par le fait de « voir » les galaxies un peu « mal » : ça fait partie du mystère 🥰😄. Et ça, c’est chouette. Merci de vos retours que j’espère positifs pour mon petit Mak adoré que je ne veux pas rendre malheureux en lui préférant un très gros tube qui, j’en suis certain, ne me suffira plus au bout d’un moment…. Et là, plus de sous…donc bon 😂😂. Merci de m’avoir lu ! ☺️
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Par soleil rouge
En double stack , le super Flare solaire du 13 Mai 2024 avec la lunette de 185 mm Apo Askar
et deux étalons PST Coronado , camera Player one , Barlow 2x
les deux dernières image se situe vers la fin du phénomène
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Par Bernard_Bayle
Bonjour tout le monde
Je cherche désespéramment une bague adaptatrice
de ce type .
M48 Male <-> Taraudage femelle pour y visser du 31.7mm
On trouve du M48<->28mm femelle pour y visser des filtres
mais pas du 31.7mm femelle
En fait c'est pour y visser un bloc optique de Barlow
J'ai parcouru les sites matériels astro habituels mais nada !
Merci à vous
Bernard_Bayle
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Par serge vieillard
Yo !
De retour d’une semaine astro dans les hauteurs provençales joliment profitable à plus d’un titre. D’abord le plaisir partagé de retrouver les copains, de prendre du bon temps ensemble. Et du temps disponible, il y en eut à foison, la météo de début de semaine ayant été particulièrement aquatique, giboulées printanières tant bienfaitrices que destructrices, et conchiée en ce qui nous concerne. Les trois premières nuits étant définitivement hors sujet, seules les débuts de journée montraient un ciel au bleu affirmé ponctué de jolis cumulus qui inexorablement prenaient de l’ampleur et de la noirceur jusqu’à tout masquer et se déverser en copieuses précipitations. Et ces débuts dégagés furent joliment mis à profit pour observer le Soleil, tant en visible avec Astrosolar ou prisme de Herschell, qu’en H alpha avec une belle collection de petites Lunt. Des comparatifs ont mis en valeur une évidence profitable, celle de changer le filtre IFT d’origine par un truc de meilleure qualité à moins de 100 €, offrant ainsi une vision dotée d’une pêche incomparable à l’oculaire – achat à mon avis infiniment plus profitable qu’un double stack en comparaison des coûts.
Ce Soleil, comme constaté de longue date, présente une santé éclatante, pétante de joie et d’énergie. Dans le visible, un gigantesque groupement de tâches est visible à l’œil nu et se révèle comme une zone vérolée à l’oculaire. On y dénombre une soixantaine de petites formations qui s’agglomèrent en une seule entité. Faute de temps et jugeant l’exercice chronophage, je n’aurais pas l’occasion de la dessiner. En H alpha, l’intégralité du limbe est hérissée de protubérances aux aspects agréablement variés : petites flammèches torsadées ici, arches discrètes plus loin, champ de brindilles autre part, filaments hébergeant pour quelques minutes des éclats de lumière incomparables et cette énooooorme et dodue protubérance. Ce sera mon fil rouge tout au long de la semaine qu’il me plaira d’observer à la Lunt 50 et coucher sur le papier, témoignant de son évolution.
On note sur le premier du 7 mai ce gigantesque complexe, probablement le plus étendu que je n’ai eu l’occasion d’observer. Il est un amalgame de plusieurs zones actives. Pour la coquetterie et comparaison, j’ai posé un système Terre-Lune pour donner une idée approximative des formidables dimensions.
Deux jours plus tard le 9 mai, elle devient une corne monumentale finement texturée dont je n’aurais pas le temps de la détailler entièrement, ces coquins de nuages stoppant la récréation – d’où cette partie plus évanescente en partie basse traitée en esquisse rapide à travers les nuées.
Le lendemain 10 mai, l’extrémité de cette griffe rejoint le limbe en une élégante arche bien dense tandis qu’à l’opposé, une extension déjà présente s’affirme davantage.
Et le 11 mai, au lendemain de l’extraordinaire évènement nocturne du festival des aurores, cette arche se dissout, comme évaporée, peut-être l’une des origines de la tempête aurorale.
La nuit du 10 au 11 mai restera dans toutes les mémoires des innombrables témoins de ce rare phénomène. Pour ma part, il débuta à la fin d’un joyeux diner où l’on jugea bon d’interrompre les agapes et se mettre enfin à la besogne nocturne, le crépuscule étant bien affirmé. C’est alors que, faisant mon pissou au pied d’une haie où déjà chante le rossignol, je remarque cette étrange anomalie, celle d’un ciel tout rouge sur une vaste étendue. Au même instant, la joyeuse équipée explose en Viva tonitruants : les auroooooooores !!!!! Phénomène que nous espérons tous au regard des indicateurs de kp et autres paramètres de circonstance, mais de là à imaginer un tel spectacle… Nous sommes sous le 45° parallèle et, outre ces lumières intenses et colorées, voilà que s’invitent des rayons verticaux formant colonnes et piliers grimpant au-delà de la polaire. C’est le branle-bas, ça cavale en tout sens de peur que le phénomène ne s’estompe et s’achève : « merdum ! Où j’ai foutu mon appareil ? Et mon pied, qui a pris mon pied ??? Gaffe, tu emplafonnes mon instrument !!! Yaaaa, j’suis en teeshirt et ça caille !!! etc… ». Mais le spectacle dura toute la nuit, permettant d’en jouir à satiété, délaissant inexorablement les instruments pour la contemplation béate le nez au septentrion affalé dans des fauteuils.
Les deux premiers dessins sont réalisés en tout début de nuit, avec une Lune encore présente, probablement vers 22h30. Le rouge-rosé est incomparable, d’une saturation et d’une évidence stupéfiante. Même sous les contrées boréales comme l’Islande où j’ai pu en observer de remarquables, je n’ai jamais perçu une telle intensité dans les couleurs.
Quelque temps après (24h ?) le rouge s’évanouit subtilement et fait place à un vert phosphorescent bordée d’un discret bleu-violet. C’est la fin du premier acte et l’on retourne à nos oculaires, sans grand succès le ciel étant délavé de ces lueurs improbables.
Et voilà que ça recommence, c’est encore plus étendu que la première fois, tant latéralement qu’en hauteur, baignant le début de la Grande Ourse, titillant le Cygne, montant quasi au zénith. Les piliers forment un gigantesque éventail, quelqu’un a évoqué un bouquet de fleur. C’est un festival coloré où le rouge domine, mais aussi le vert et des nuances bien plus discrètes bleu et violet.
Le dernier dessin s’imposait par son côté particulièrement explosif et intense, avec l’incroyable présence d’un bas de draperie verdâtre, quant soudain, un météore s’invite au tableau. Il y a de quoi être comblé et d’abandonner les crayons avec ce point d’orgue, passant inexorablement en mode contemplatif.
La suite à venir, car il y eut un peu autre chose que le Soleil et ses caprices...
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Par banjo
Bonjour ,
tout dans le titre ou presque.
quel objectif ou lunette pourrait avoir un rapport strehl supérieur à 0.80 dans cette gamme d’onde pour une utilisation photo CaK ?
Paul
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