Sjoerd Rutten

Le Soleil et la météo

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Et nous courrons nus sur les plaines de Mars en nous faisant des bisous, des oiseaux aux couleurs chatoyantes faisant cuicui pioupiou autour de nous

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Oh! 'zoublier la premier saut hyperspacial par Cochrane, qui va attirer l'attention des Vulcains de passage qui va a terme permettre à une clique en pyjama à bord d'un vaisseau d'aller là où nul homme n'est allez au paravent...

Je sais où est la porte, bonne soirée

André

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Frédo, la théorie du réchauffement anthropique est si peu fondée sur de la science dure que s'en est ridicule. Elle repose toute entière sur des modèles climatiques bancals tournant sur ordinateurs, qui ignorent des tonnes de paramètres et ne sont même pas capables de prévoir le temps qu'il fera dans 8 jours. Pire, des observations répétées la contredisent et on a déjà manipulé des courbes pour nous tromper (crosse de hockey). Alors ma confiance dans le GIEC est morte. Quand on voit de plus que cet organisme procède par votes unanimes de fonctionnaires onusiens qui interprètent et corrigent des études de scientifiques dont plusieurs éminents d'entre eux ont démissionné car ils se sentaient floués. Pas besoin d'avoir peur, le climat change mais c'est le Soleil qui est aux commandes, pas l'homme. On a des courbes activité solaire-évolution climatique fort impressionnantes de plus: http://www.climat-sceptique.com/article-7322742.html
Alors ma position est claire: agir pour moins polluer l'environnement oui (villes avec voitures électriques, nitrates, etc.), agir pour se passer du pétrole oui mais nous raconter des salades sur l'effet de serre d'origine humaine qui modifie le climat non!

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quote:
...Alors ma position est claire: agir pour moins polluer l'environnement oui (villes avec voitures électriques, nitrates, etc.), agir pour se passer du pétrole oui mais nous raconter des salades sur l'effet de serre d'origine humaine qui modifie le climat non!...

Et surtout sans claquer du frique à engraisser des boursicoteur du CO2 (dont un certain M. Gore) et dans projet à fixation de CO2! Fond mieux investis dans de recherche sur les nouvelles productions d'énergie comme les projets d'iles solaires etc...

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« L’apocalypse fait toujours recette »….

C’est un bon résumé d’explication du succès que remportent les « Cassandre » du réchauffement catastrophiste pimenté par la culpabilisation des sociétés industrielles et commerciales modernes.

Question : Où en est exactement la science et quel est le rôle de la politique dans cette affaire ?

Dans Sciences&Avenirs de janvier 2008, l’historienne des sciences Nayla Farouki, cherchant à expliquer la démarche scientifique, s’exprime ainsi : « Le scientifique s’inscrit dans la rationalité propre à ses disciplines. Entre autres, IL DOIT TOUJOURS ÊTRE CAPABLE DE DIRE OU EST LA LIMITE DE SA SCIENCE. Il construit des systèmes explicatifs, mais il peut également dire : telle ou telle chose sort de mes capacités, de mes connaissances, de ma méthode… »

Hors, il n’est vraiment pas besoin d’être grand clerc pour réaliser à quel point cette science nouvelle, la climatologie, demeure aujourd’hui et pour pas mal de temps encore hautement spéculative.

Pourtant, malgré les incertitudes inhérentes à ce sujet complexe, beaucoup de scientifiques « institutionnels » de l’anthropie s’autorisent des hypothèses et des prospectives audacieuses qui, de plus, tendent à évoluer vers une vision toujours plus catastrophiste.

De fait, le précepte énoncé ci-dessus – « dire ou est la limite de la science »- semble balayé d’un revers de manche.

Pourquoi ? A mon sens, ce sont essentiellement les enjeux politiques qui alimentent le phénomène et amplifient sa résonnance dans le public.
D’autant que celui-ci, pour de simples raisons de bon sens et de prise de conscience est devenu plus réceptif à la qualité de son environnement et à sa propre responsabilité.

L’homme politique enfourche donc d’autant plus volontiers ce noble cheval qu’il lui garantit quelque peu son propre avenir dans la république. En conséquence, le jeu des politiques a toutes bonnes raisons d’alimenter…les budgets de scientifiques « sommés » en quelque sorte de « trouver » du réchauffement anthropique et de noircir le tableau.

Face à ce constat, on peut considérer qu’en dépit des incertitudes et en définitive, il demeure forcément bon de vouloir nous inciter à suivre un chemin plus « vertueux » dans nos comportements liés à la consommation des énergies ou des biens matériels.

C’est oublier ou évacuer un peu vite tout ce que les scientifiques gagnent à cultiver une certaine éthique, et les règles fondamentales qui conduisent une véritable démocratie.
Manifestement, aujourd’hui, des scientifiques consentent bel et bien à ce que leur discours soit instrumentalisé par les politiques et les médias. Et ce discours, il est pour le moins agaçant dans ses simplifications, ses caricatures et son manque d’humilité face aux arcanes du problème.

Dans l’attente qu'une vérité soit démontrée à terme, ET QUELLE QU’ELLE SOIT, ces méthodes ouvrent la porte aux excès en tous genres et, finalement, aux mensonges, aux manipulations.

Assurément, tout le monde y perdra.
Mais ce n’est que mon avis...d’ailleurs « non autorisé », comme tous ceux qui précèdent ici.
N’en tenez donc aucun compte !

********************

Joël ==> Longueur terrain de foot >>> 90 à 120m
Règlement FIFA (matches internationaux) >>> 100 à 110m

Là, vous pouvez noter !

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Vaufrèges, tu es bon, oui, très bon !

Mais moi, ce qui m'inquiète un peu, c'est que des scientifiques (les pro comme les anti) assènent finalement des "vérités" totalement contraires: comment se fait-il qu'on nous dise dans la vidéo "anti" que les océans dégazent un max de CO2, alors que j'entend depuis toujours l'inverse, que l'océan l'absorbe au contraire, amortissant encore (mais pour combien de temps?) le "choc" anthropique ? Ce qui provoque son acidification (prouvée ?).
Comment se peut-il que des observations bien menées n'arrivent pas à trancher ce point là définitivement ?
Il s'agit pourtant bien d'"observations", pas de statistiques, encore moins de théories... Et on arrive à des résultats "inverses", carrément !

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Bonjour,
Je viens d'acheter "Sans Abri" qui titre en dessous de "Joyeux Noël" et "Tout sur le père Noël":

Réchauffement, l'arnaque?

J'ai survolé l'article: c'est en gros le même contenu que ce qui est discuté ici, le réchauffement peut-être d'origine solaire et les intérêts de certains dans la lutte contre le CO2 (et les CFC pour rappeler le passé).

D'accord, ce n'est pas NATURE, mais ça a au moins un intérêt sociologique

Cordialement,
Claude

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Attention, le canard des sans abris a toujours été... d'extrême droite ! Son rédacteur en chef avait d'ailleurs eu de gros ennuis il y a quelques années...

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Kaptain >>> S’il y a de tels débats contradictoires sur le rôle exact des océans dans le cycle du carbone, c’est bien qu’ils traduisent l’extrême complexité des processus en jeu.

Dans les océans, le cycle du carbone obéit à des processus chimiques, biologiques et physiques.
Le processus physique est le mieux appréhendé : une eau absorbant du CO2 devient acide. Plus elle est acide, moins elle peut en absorber.

Côté chimique, des eaux plus chaudes dissolvent moins facilement le CO2. Les eaux tropicales qui viennent se refroidir aux hautes latitudes se chargent donc en CO2 et, sous l’effet de leur augmentation de densité, plongent en profondeur avec leur CO2 piégé pour plusieurs centaines, voire milliers, d’années.
A l’inverse, dans le Pacifique et l’Atlantique équatoriaux ainsi que dans l’ouest de la mer d’Arabie, les eaux intermédiaires recrachent du CO2 en remontant vers la surface
L'augmentation de la concentration de gaz carbonique que l'on observe dans l'atmosphère pourrait donc être la conséquence, essentiellement, de l'élévation de la température de l'Océan mondial.
Mais, parallèlement, des mesures récentes montrent que les océans de la planète se sont brusquement refroidis au cours des années 2004-2005 perdant jusqu'à 20% de la chaleur accumulée pendant les 50 années précédentes. Sans d'ailleurs que l'on sache où est passée cette gigantesque quantité de chaleur !

Pour ce qui est des processus biologiques liés au phytoplancton, personne n’est aujourd’hui capable de décrire exactement les interactions exactes liées à l’éventuel réchauffement des océans.
On suppose que celui-ci aurait pour conséquence un moindre brassage des eaux (du niveau intermédiaire à la surface) ce qui, théoriquement, diminue la quantité de sels nutritifs nécessaires au phytoplancton.
Ce qui est moins connu, c’est l’existence du "picoplancton" photosynthétique. Il s’agit de minuscules unicellulaires (cyanobactéries ou eucaryotes), de taille inférieure à 5 micromètres, vivant dans les couches supérieures de l’océan.
Le picoplancton joue lui aussi un rôle important, et méconnu, dans le transfert du carbone atmosphérique vers les fonds sous-marins.
Or, le picoplancton prospère tout particulièrement dans les eaux chaudes et stratifiées, pauvres en nutriments nécessaires à la croissance du phytoplancton !

Par ailleurs, autre aspect fondamental du cycle, les océans sont sujets à de multiples turbulences internes de diamètre de 50 à 200 km, et jusqu’à 1000m de profondeur. Ces turbulences provoquent des mouvements ascendants qui peuvent « fertiliser » les couches supérieures en apportant des éléments nutritifs au phytoplancton ce qui augmente notablement le pompage de CO2.
Mais là aussi, rien n’est simple, car ces mouvements enrichissent aussi la surface... en CO2, ce qui diminue la capacité d’absorption !

Dans ces conditions, on peut imaginer ce que valent réellement les modèles, notoirement incapables de prendre en compte valablement tous ces paramètres, particulièrement ceux liés aux aspects biologiques et aux turbulences internes anarchiques des océans.

Certains éléments ci-dessus sont issus d'un article produit par 2 membres du CNRS qui souligne toutes ces incertitudes (La Recherche Déc 07). Il est intéressant de constater que, paradoxalement, ils font quand même référence aux modèles climatiques actuels pour les prévisions... tout en soulignant pudiquement qu'ils sont "imparfaits" ou qu'ils "reposent sur des simplifications".
On peut s'étonner de la contradiction mais aussi interpréter celà comme un acte d'allégeance au courant porteur..

Mais peu importe.
Al Gore, ce grand scientifique, affirme que les sceptiques sont assimilables aux théoriciens de la « terre plate ».

[Ce message a été modifié par vaufrèges (Édité le 28-12-2007).]

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Merci Vaufrèges, très instructif !
Mais tu as l'air de dire qu'entre le CO2 qui rentre et celui qui sort, on est loin de pouvoir faire un bilan exact ?
Encore moins, donc, de savoir si l'océan est un producteur net ou un "absorbeur" net de CO2.
Ce qui voudrait dire que les sceptiques aussi n'en savent rien... contrairement aux chiffres ultra-précis qu'ils présentent dans leur vidéo !

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Ce qui est certain kaptain, c'est que les océans sont le principal réservoir de carbone, c'est admis par tous (50 fois plus que l'atmosphère).

Bien sûr des chiffres existent, mais quel que soit le bilan du cycle actuel (ou passé) du carbone dans les océans, ce qui est jeu, ce sont les modifications que pourraient apporter le réchauffement des océans dans ce cycle (dans un sens ou dans l'autre), compte tenu du potentiel de CO2 stocké.
Et là, on l'a vu, c'est pas encore gagné..

Par ailleurs il faut aussi bien comprendre qu'il existe, en rapport des apports thermiques de l'atmosphère ou du rayonnement solaire, une énorme inertie thermique des masses océaniques ... que certains chiffrent en milliers d'années !!
Et encore faut-il que le réchauffement climatique se confirme, et que les causes en soient bien cernées.
Bref, actuellement, une équation à 4 inconnues..

Un aspect qui n'est pas souvent abordé, c'est le CO2 transporté par ruissellement jusqu'à l'Océan...
Ainsi des chercheurs considèrent que la formation de l'Himalaya a été à l'origine du refroidissement après le crétacé (-135 / -65 millions d'années), la part de CO2 ainsi absorbé par les océans ayant été supérieure à celle émise par les volcans...

La montagne...son air pur...ses pentes délavées du CO2 par les pluies...

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Le mercredi 2 janvier à 20h40 sur Arte grande séance de bourrage de crâne climato-catastrophiste sur "l'Antarctique qui se réchauffe".
Titre de la grand messe: "Mission Antarctique".

Le voilier Sedna IV, dirigé par Jean Lemire (le "Cousteau québécois"), va visiter la péninsule antarctique de long en large (normal elle la bonne idée de se réchauffer en ce moment) pour nous faire peur avec le réchauffement. Cette expédition va éviter soigneusement les 98% restants de l'Antarctique qui eux ont la mauvaise idée de se refroidir... C'est bô, c'est grand, c'est noble, l'information objective des masses...

Le parcours du fier voilier le long de la péninsule: http://www.radio-canada.ca/sedna/index.html?p=/fr/la_mission/sedna.php

Un extrait du message pour notre édification: "on sent bien qu'il y a urgence, que ce paradis en terre australe est en sursis, avec des animaux qui s'accrochent à la vie. En 50 ans la température de l'air y a augmenté de 6°C!"

Un effet de l'expédition : Un couple de jeunes canadiens a décidé de vendre sa deuxième voiture suite aux résultats du périple de Sedna IV...

La péninsule antarctique c'est l'appendice qui pointe ici en haut à gauche vers l'Amérique du sud:

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"Bourrage de crâne"... c'est la bonne expression Joël.

Surtout très efficace, car tout ça est englué dans le flot sirupeux, et sans doute sincère, de la mélasse de nobles et bons sentiments.
Et on peut se faire flinguer à critiquer ça. Heureusement qu'on est entre nous ..

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Aux infos de 22h sur ZDF, ils ont montré un reportage sur le froid sibérien. On y voit l'interview de Mikhail Grigorjew, chercheur à l'Institut du Permafrost de Yakoutsk, qui montre un bébé mammouth conservé dans le sous-sol de l'Institut et affirme que le soleil et les océans déterminent les variations climatiques. Selon lui, d'ici 8 à 15 ans commencera une période plus froide que l'actuelle.

Le lien de l'émission ( en allemand évidemment ): http://www.zdf.de/ZDFmediathek/content/389910?inPopup=true

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Tout cela continue de me surprendre!! En cherchant un peu, on trouve des informations contraires aux croyances actuelles, "à la mode".
Mais qu'est-ce qui fait que l'affirmation non catastrophique soit niée,tue, boudée, clouée au pilori ?
Le pouvoir des médias? Les chercheurs cherchant à se faire publier ?
Un effet de mode?
En tout cas, que le débat continue!

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Le résumé des "arguments" anthroposeptiques :

(source : http://www.pensee-unique.fr/doutes.html )

La thèse du réchauffement anthropogénique, c'est à dire due aux gaz à effets de serre comme le CO2 qui est un sous-produit de la combustion des énergies fossiles, souffre de nombreuses incohérences :

1/ Si nous remontons jusqu'aux temps les plus reculés de l'histoire de notre planète (jusqu'à -600 millions d'années), nous constatons que les taux de CO2 dans l'atmosphère ont été beaucoup plus élevés que ceux que nous connaissons maintenant avec une vie, une biodiversité et une végétation florissantes et alors que la terre se réchauffait ou se refroidissait alternativement sans lien apparent avec le taux de CO2 atmosphérique.

2/ L'épisode inter-glaciaire qui couvre la période de -600.000 ans jusqu'à nos jours est particulièrement instructif parce qu'il a servi de cheval de bataille aux tenants du réchauffement anthropogénique. L'examen de ces courbes et des valeurs associées montrent que le taux de CO2 atmosphérique n'a jamais déterminé la température de notre planète mais bien au contraire qu'il en est la conséquence directe.

3/ L'examen des variations de températures qu'a connues la planète depuis quelques 5000 ans nous montre que le réchauffement actuel ne se distingue en rien des réchauffements qui ont précédé et auxquels, évidemment, l'homme n'a pas participé. Ce réchauffement actuel peut donc fort bien être totalement ou en grande partie, naturel.

4/ La hausse bénigne du niveau des mers tout comme le recul des glaciers amorcés depuis le début du XIXème siècle avant l'utilisation des énergies fossiles, se poursuivent actuellement à un rythme constant sans que l'on puisse déceler la moindre accélération liée à la multiplication (par 6 ou 7) des émissions de CO2 anthropiques.

5/ La signature incontournable dans l'atmosphère, prévue par tous les modèles d'effet de serre, ne s'y trouve pas. Les écarts entre les modèles d'ordinateur de l'effet de serre et les mesures réelles sont tels que ces modèles sont carrément démentis par la réalité objective.

6/ Compte tenu de la loi en logarithme et de la hausse des températures de +0,6°C déjà observée pour un accroissement de 280 ppm à 380ppm, l'ajout de CO2 supplémentaire ne peut induire qu'une très faible augmentation de température.

7/ Enfin, il existe une alternative beaucoup plus crédible, absolument naturelle, soutenue par un très grand nombre d'observations expérimentales, pour expliquer les variations de température que connaît notre planète, maintenant et depuis de nombreux siècles : Tout simplement, les variations de l'activité solaire. Et comme on sait que l'activité solaire de ce dernier siècle a été la plus intense depuis 6000 ans...

Je trouve ce site particulièrement bien documenté, même s'il est clairement engagé "anti gore écolo médias"...

A lire d'urgence et en totalité, il y a des mises à jour très régulières (les dernières datant d'hier !!).

Certes, pour vérifier les sources (toutes citées) c'est assez fastidieux : problème de la langue (dur de se taper 20 pages en anglais) et quelle crédidibilité apporter aux scientifiques cités ?

D'après ce site, on se dirige tout droit vers.... un refroidissement global !!! ici : http://www.pensee-unique.fr/froid.html

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Perso, n'étant pas scientifique, et le climat semblant une machine formidablement complexe, je reste prudent, et sceptique, dans le sens noble du terme...

Ce qui me gêne, c'est que les "sceptiques" considèrent les "réchauffistes" comme des décérébrés, les "réchauffistes" consièdèrent les "sceptiques" comme des Crétins des Alpes.

Bien difficile de trouver des interlocuteurs qui cherchent à tout remettre à plat...
:-(

Du coup, je me contente de regarder les annonces, des uns et des autres, et les comparer aux "faits".

De çà j'ai juste tiré qu'il y a effectivement une extraordinaire entreprise de catastrophisation du réchauffement.

Ca n'empêche pas le réchauffement anthropique d'exister.
Ou pas : je ne sais pas, je doute de plus en plus...

J'ai le sentiment qu'on va, dans les années à venir, à force le temps passe... constater le décalage entre les annonces et la réalité.

Si le GIEC a déliré, et/ou exagéré, on va s'en rendre compte assez vite, j'ai le sentiment que c'est vers çà qu'on tend...

Maintenant, le Soleil comme cause du réchauffement : je ne comprends pas bien : le Soleil, c'est un objet de 30 arcminutes, c'est compliqué, de mesurer ses variations d'intensité éventuelles ? c'est le manque de recul historique, le problème ?

On ne devrait pas commencer par çà : regarder le bilan d'émission du Soleil ?

S

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> Serge,

" Crétins des Alpes"... > t'es pas tendre avec les montagnards...

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Mais non...
C'est une expression ancienne, j'ai pas le temps de développer, çà n'a rien à voir avec les habitants des Alpes... Les "historiens" comme Joël, et les "vieux" en général connaissent l'expression, il faut arrêter le tout politiquement correct, à un moment, sinon, c'est plus possible... Il faut une cellule psychologique pour vjac, chris74, etc, ou bien ?

S

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Exacte M. Brunier, c'est une dégénérescence mentale comme physique dû à une carence en iode. Carence dont souffrait particuliairement les populations montagnardes d'où le nom...
Pour ceux qui veulent en savoir plus wikipedia est ton ami, sous phramacologie...

[Ce message a été modifié par richelieu (Édité le 31-12-2007).]

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En même temps, ils ne se gênent pas plus que nous les "crétins alpins".

Pour les "Bas Alpins" (anciennement "Basses Alpes", aujourdhui Alpes de Haute Provence), l'expression commune pour désigner les marseillais ou autres populations des villes qui migrent en masse par chez eux, Restefond par exemple , c'est..."Les doryphores".
Mais c'est affectueux, comme pour les crétins.

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