lambda

alternative aux réducteurs de focale "classiques" pour de très forts taux de réduction ?

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Bonjour à vous.

 

Dans le cadre de mes petites bricoles à base d'intensificateur de lumière, je me posais la question suivante:

 

J'aimerai utiliser comme objectif pour un de mes tubes un petit Maksutov russe 100/1000.

 

J'ai modifié ce tube en retirant une optique correctrice de champ en aval du système, ce qui m'a permis de ramener ce petit MAK à un F/D d'environ 7.

 

Je souhaiterais rendre encore plus rapide cet objectif catadioptrique en procédant de la sorte:

 

* installer à la sortie du Mak, non pas un réducteur classique, mais plutôt une optique relais faites de 2 lentilles achromatiques montées sur un même fût.

 

Pour faire plus clair:

 

Le Mak de focale F1=700 mm (environ) et en aval de celui-ci, la première lentille achro (F2) montée telle que le foyer objet de celle-ci corresponde au foyer image du Mak, et en vis à vis, à la suite, la seconde lentille achro (F3) qui projetera l'image finale relayée sur le capteur de mon choix (ici la photocathode de mon tube).

 

L'idée c'est d'obtenir une optique très rapide (paramètre très important pour l'usage des tubes amplificateurs de lumières). Sans avoir le problème de plan focal qui se décale trop vers/dans le tube (backfocus (c'est le bon terme?) insuffisant) et qui deviant inaccessible...

 

Numériquement, imaginons:

 

F1= 700 mm

F2= 30 mm

F3= 10 mm

 

Fres= F1XF3/F2= 700 X 10/30 = 233 mm d'ou un F/D final de 233/100= 2.33

 

Alors, sur le papier (si je me suis pas planté dans mes calculs), ca parait une alternative intéressante aux réducteurs commerciaux, plus flexible et permettant d'obtenir des taux de reduction de focale très importants:

 

Mais, j'imagine, volontier qu'au niveau planéité du champ obtenu et distortion géométrique en tout genre, cela doit - être pas fameux.

Mais ici, pour ce que je voudrais faire, ca reste secondaire pour le moment.

 

Par contre qu'en est il du cercle image résultant? sera t'il aussi réduit dans les mêmes proportions?

 

Y'aurait il quelque chose qui rendrait cette manip impossible à metre en oeuvre? (hors les problèmes de planéité de champ que j'accepte..)

 

Je vous présente ici cette envie de manip sur un Mak, mais on pourrait reporter l'expérience sur d'autres optiques sans souci, sur le papier, c'est juste que c'est ce que j'ai de dispo sous la main pour le moment...

 

L'idée est toute simple, et forcément fait partie de votre background, du coup, je lirais vos avis éclairé là dessus avec attention...

 

Merci pour vos retours...

 

Lambda

 

 

 

 

 

optic.jpg

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Si j'ai bien compris tu passes d'une image réelle à une autre image réelle plus petite. Pourquoi ne pas utiliser un objectif macro optimisé pour ça ?

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Re bonjour,

Merci Alain, Froggyseven pour vos passages..., oui, si Lyl passe par la, ça serait bien c est vrai....

Pour l usage de l objectif macro optimisé, ce sans doute serait une excellente idée, mais quel modèle, a quel prix?? Serait ce une formule facilement modifiable? Je ne m y connais pas assez pour le dire...

par contre je trouvais l idée de l optique relais avec 2 achromat pas trop conmpliques a trouver (ça pourrait 2 oculaires orthoscopiques mis en vis à vis, lentille d œil de l un faisant face à la lentille d œil de l autre),assez sympa, flexible, et pas trop chère....

c est surtout de savoir ce que va devenir le cercle image? Et éventuellement si ce genre de montage induit du vignetage?

 

A bientot.

Lambda

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Avantage 2 achromates : c'est bien pour mettre un filtre dichroïque entre les deux (cf très faible incidences des rayons).

Inconvénient : longue focale, optimisé pour le rapport 1:1, je ne sais pas si la courbure de champs s'annule par symétrie ou pas du tout.

 objectif macro : un pas cher genre 50 ou 70mm d'occase ?

 

Bien noter que ça n'a de sens que pour adapter la taille de l'image à un plus petit capteur. Là seulement on gagne en luminosité.

On ne peut pas augmenter l'angle de vue max initial ou le diamètre de la lentille frontale.

 

 

 

 

Modifié par FroggySeven

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Ok, je prends note de tout cela. Merci!

 

Pour le filtrage, c'est clair que le système de lentilles relais est nickel pour cet usage, c'est assez facle d'imaginer un fût avec une fente de passage entre les 2 lentilles pour y glisser un filtre ou une réglette à filtres, voir une roue "low profile"...

 

Ce que je devrais faire, c'est mesurer soigneusement len diametre du cercle image de mon mak seul (D1) et faire le ratio de D1 avec le diametre de la photocathode de mon tube pour definir la reduction maximale réaliste qui me permette d'utiliser toute la surface de ladite photocathode (dans mon cas, ce serait 25 mm de diameter pour la photocatode). En espérant que le cercle image fournit par le Mak soit de façon significative, plus grand que la photocathode, pour que la manip est un sens...

 

https://www.edmundoptics.com/optics/optical-lenses/achromatic-lenses/mounted-near-ir-nir-achromatic-lens-pairs/

 

Voilà, pour illustrer l'idée...

 

à+,

Lambda

 

 

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Bonsoir, un équipement relai devrait convenir (idem chez Edmund Optics, faut aller regarder les cellules pour les filetages disponibles)

Relay Lens

Le soucis est l'équipement d'adaptation à leurs filetages

Thorlabs Adapters

Si tu réduis la taille de l'image, tu augmentes aussi la courbure de champ, ça risque d'être assez moche...

Vaut mieux un champ aplati avant : peut-être avec un aplatisseur de champ de type pour lunette apo, ça devrait marcher si l'ouverture du primaire du Mak est entre f/D=2 et 3 (20cm à 30cm de courbure)

Tu colles le relai-lens derrière dans le sens de traversée qui réduit et tu ajustes comme tu peux la distance entre l'aplatisseur et le relai (back-focus de l'aplatisseur + working distance du relai dans le sens d'utilisation choisi)

Dans ce cas forte chance d'obtenir une belle image (après quelques réglages bien sûr).

Pertes estimées : 10-12% de lumière

Modifié par lyl

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Bonjour à tous.

 

Merci Lyl pour ses suggestions! :)

 

Pour Thorlabs, c'est une bonne idée de fournisseurs, c'est vrai que je pense toujours par reflexe à EdmundOptics...

 

Bien que lorsque j'utilise le Mak, sans sa lentille de correction native, donc à F/D 7, je ne note pas d'abberation geometrique particulière, avec le tube, si ce n'est celle introduite par le tube lui-même, je veux bien croire que ca ne va as s'arranger si je ne fais pas gaffe à ce problem de champ plat...

 

Ce que j'ai constaté, et qui m'autorise de ne pas être trop ragardant sur les corrections en tout genre, c'est que niveau resolution et aberration géométrique, et dans une moindre mesure, chromatique, ces systèmes d'intensificateurs sont moins exigeants ou autrement dit, plus tolerants pour obtenir une image sympa exploitable (usage terrestre longue distance, ou astro, plutôt "grand champ" basse résolution).... C'est plutôt le seuil de detection qui importe pour moi, et quand même un minimum de champ d'image regardable...

 

j'ai fais quelques tests intéressants avec un réducteur fait à partir d'un simple lentille plano convexe, meme pas achromat, de 75 mm de focale et en la placant en sortie immediate de la bague de sortie tu mak, j'ai pu obtenir un rapport F/D de 4.2 (vérifié en projetant l'image du soleil sur un calque (Mak seul), avec et sans ce réducteur improvisé, et aussi, pour être sûr, en faisant une photo nocturne d'une mire improvise avec un carrelage de salle de bain, avec et sans ce réducteur (Mak installà sur l'intensificateur), pour mesurer proprement les tailles des carreaux du dit carrelage).

 

Ce que j'ai pu constater , c'est que le chromatisme est suffisament contenu pour ne pas dégrader l'image à l'écran de mon intensificateur, et que à part un fish eye effect plus present, la netteté de l'image reste bonne, jusqu'au bord de l'écran (à titre d'infos cmplémentaires: diamtre de la photocathode: 25 mm et taux de reduction du tube: X0.87).

 

Il faut quand meme que je regarde sur un bout de ciel étoié comment cela se passé niveau coma, entre autre...

 

Mais à F/D 4.2 avec un mak de 100 mm de diameter, je commence à trouver un bon compromise luminosité de l'image/resolution (ou je devrais dire ici plutot detection et reconnaissance à longue distance) pour mon tube.

 

Le truc qui biaise un peu la discussion, c'est que ce dispositif est volontairement cogité pour être utilisé tans en astro qu'en vision terrestre nocturne 50/50... du coup, les exigences ne sont pas forcément les memes que pour un usage 100/100 astro....

 

A bientôt !

 

Lambda

 

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je m'inquiéterais surtout du vignetage...je ne connais pas le diamètre optique de sortie du Mak mais je serais surpris que ça dépasse 30mm...à partir de là, diminuer le rapport F/D d'un facteur 3 (ou même 4 si on part du rapport initial) va diminuer la zone illuminée au foyer du même facteur...on risque donc d'arriver à un "trou de serrure" de moins de 10mm de diamètre (6-7 mm peut-être en comptant le vignetage d'origine de la formule Mak ?) autour duquel c'est tout noir... :/ Alors pour un tout tout petit capteur éventuellement, mais si ça marchait pour des capteurs plus grands ça fait longtemps que les fabricants de matos proposeraient ces accessoires optiques sur lesquels sauteraient les utilisateurs de caméras CCD ou d'APN !

Modifié par Thierry Legault
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Il y a 7 heures, Thierry Legault a dit :

1) je m'inquiéterais surtout du vignetage...

2) je ne connais pas le diamètre optique de sortie du Mak mais je serais surpris que ça dépasse 30mm...à partir de là,

3) diminuer le rapport F/D d'un facteur 3 (ou même 4 si on part du rapport initial) va diminuer la zone illuminée au foyer du même facteur...

2) on risque donc d'arriver à un "trou de serrure" de moins de 10mm de diamètre

1) (6-7 mm peut-être en comptant le vignetage d'origine de la formule Mak ?) autour duquel c'est tout noir... :/ 

4) Alors pour un tout tout petit capteur éventuellement,

5) mais si ça marchait pour des capteurs plus grands ça fait longtemps que les fabricants de matos proposeraient ces accessoires optiques sur lesquels sauteraient les utilisateurs de caméras CCD ou d'APN !

1) C'est certes un chipotage de vocabulaire(on a compris ce que tu voulais dire), mais c'est toujours bon de rappeler que le vignetage (l'assombrissement des bords du cercle image dû à la formule optique), ce n'est pas la même chose que la taille du cercle image (lié à la notion de pupille  optique).

2) Oui, forcément , plus le cercle image initial est petit, plus l'image obtenue derrière l'optique relai sera petite, c'est le but du jeu ici.

     Mais plus il est petit, moins on risque de voir apparaitre du vignetage ou de tronquer le cercle image initial ( ça limite au contraire les contraintes sur l'optique relai).

3) La contrainte ici, c'est seulement d'avoir une optique relai plus ouverte, ce qui n'est pas trop compliqué  (c'est facile de trouver un objectif macro ouvert à 2.8)

4) Effectivement, sinon ça n'a aucun sens.

5) ça existe !!!!! Simplement, d'habitude on part d'une image virtuelle  (plus compact et moins cher) : "ça s'appelle une barlow si c'est divergent ou un réducteur si c'est convergent" ;)

    Le soucis, c'est que si on veut beaucoup réduire la taille de l'image, on se retrouve avec des angles incidents importants avec un réducteur,

     et on est obligé d'utiliser une formule rétrofocus (pour la qualité et le vignetage)... moins compacte et plus chère.

   Accessoirement, les petits capteurs, c'est pour du planétaire ou du guidage... Pourquoi on fabriquerait des réducteurs pour ça !?

 

En fait ici, tout tourne autour de deux aspects

1) le choix de réduire la taille de l'image à partir d'une image réelle

2) l'utilisation d'un très petit capteur tout en voulant récupérer tout le champ du Mak.

   

Modifié par FroggySeven
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Il y a 6 heures, Thierry Legault a dit :

je m'inquiéterais surtout du vignetage

Bah oui ... à vue de nez faut voir avec le f/D équivalent à l'entrée du relai. A f/D=7 pour le scope c'est pas trop inquiétant.

il y a des relais à 3.33 avec 30mm de diamètre, Clear Aperture 25.4 soit mieux que f/D~=4 pour 97.2mm de distance (en entrant par la droite)

Ca te donne (grosso modo sans faire le ray-tracing) la limite de champ pour un vignettage de 50% "acceptable". (50% ... normalement on se limite à 75% sinon ça se voit)

relai3-33.JPG.65099d9968b6e2d67417bf60448a0078.JPG

Si tu as besoin de plus, demande moi, je peux te faire une liste de pièces en 50.8mm (lentilles & tubes) pour 45,7mm d'ouverture claire.

ou moins avec des doublets en surplus (si ils en restent) de taille 42mm pour 38mm d'ouverture utilisable : c'est la valeur courante d'ouverture de la plupart des correcteurs en taille APS-C : 29mm de diagonale

Un petit ray-tracing de contrôle ça me semble nécessaire avant si tu veux un grand champ en entrée...

-------------

Ensuite si ça a vocation à devenir pro : @chonum peut faire ça officiellement avec ses gros outils +> AiryLab

 

Modifié par lyl
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Le gros problème, outre la courbure c'est le chromatisme !

J'ai dessiné un relai optique pour un observatoire pour déporter le poste d'observation d'un mètre.

Il y a deux télescope, un HaT et un RC.

Pour le HaT, deux doublets achro fonctionnent. Néanmoins c'est à F/D 27,5, et avec un champ plan en entrée de relai et surtout on est monochromatique.

En revanche pour le RC à F/9 (champ plan et corrigé), pas d'autre choix que de faire des lentilles sur mesure, et en S-FPL53 et les maintenant célèbres verres au lanthane.

Sinon ca donne comme une vieille achro 150/750 :)

 

Modifié par chonum
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Il y a 5 heures, FroggySeven a dit :

Oui, forcément , plus le cercle image initial est petit, plus l'image obtenue derrière l'optique relai sera petite, c'est le but du jeu ici.

 

ben non, le but est de réduire le rapport F/D, pas de réduire le cercle image (il paraît qu'il faut être précis non ? ;)), seulement l'un ne va pas sans l'autre

 

Il y a 5 heures, FroggySeven a dit :

ça existe !!!!! Simplement, d'habitude on part d'une image virtuelle  (plus compact et moins cher) : "ça s'appelle une barlow si c'est divergent ou un réducteur si c'est convergent" ;)

 

évidemment que les compléments optiques réducteurs ou grandissants existent ! Ce que je dis, c'est que réduire un rapport F/D d'un facteur 3 en sortie d'un Mak pour alimenter un intensificateur dont l'entrée fait 25mm, si c'était simple (ou même compliqué), partant d'une image réelle ou virtuelle peu importe, les innombrables concepteurs optiques qui réfléchissent là-dessus depuis de décennies l'auraient déjà inventé (et on mettrait ça derrière nos Schmidt-Cassegrain au lieu de s'embêter avec des Hyperstar ou autre RASA)...il n'y a que des gens qui débarquent et qui croient qu'ils sont les premiers à réfléchir à ce genre de truc pour penser le contraire...en même temps, on commence à avoir l'habitude 9_9 xD

Modifié par Thierry Legault
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On parle de visuel ou de photo ? Quelle résolution (et taille pixel) offre ou compte offrir le photo-multiplicateur ?

Modifié par lyl

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il y a une heure, Thierry Legault a dit :

pour alimenter un intensificateur dont l'entrée fait 25mm

 

Autant pour moi, avais zappé l'info des 25mm :$   Je pensais que le "capteur" était plus petit.

 

Le 30/01/2018 à 10:45, lambda a dit :

(dans mon cas, ce serait 25 mm de diameter pour la photocatode). En espérant que le cercle image fournit par le Mak soit de façon significative, plus grand que la photocathode, pour que la manip est un sens...

Du coup effectivement, la manip' risque de ne pas trop avoir de sens...

 

il y a une heure, Thierry Legault a dit :

il n'y a que des gens qui débarquent et qui croient qu'ils sont les premiers à réfléchir à ce genre de truc pour le penser

Lambda appréciera le compliment. Je trouve pourtant que ça serait dommage de ne pas fouiner pour l'exercice intellectuel, pour le plaisir, pour mieux compendre...

... et puis une fois sur 1000  le "citoyen lambda" ;) peut aussi faire avancer les choses,

parce que l'évolution des techniques facilement accessibles ouvre sans cesse des pistes,

et que les génies ne sont pas assez nombreux et motivés par le petit monde de l'astram pour toutes les explorer.

 

Exactement de la même manière que tu as marqué l'histoire de l'astram !

 

PS : c'est d'ailleurs ça qui est génial dans l'astrophoto amateur par rapport à la photo classique, car il n'y a pas les mêmes enjeux financiers.

 

Modifié par FroggySeven

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L'objectif n'est pas le même, je n'aurais pas répondu si ce n'était pas pertinent. j'ai déjà calculé un réducteur de précision pour un tiers et je sais à quel point c'est difficile de descendre sous les 0,67 du réducteur Célestron et de conserver un piqué diffraction limited sur tout le champ utile qu'on m'avait imposé.

Photo n'est pas visuel. Les relais lens ont des specs biens affichées au centre de leur champ (spot size indicative): pas de rêves inutiles.

Je pensais à du genre 1280 pixels : rien à voir avec les plus de 4000 d'un full frame.

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    • Par Goofy2
      Bonjour   
       
      Une autre façon plus traditionnelle de réaliser la collimation. Cette méthode itérative est utilisée par plusieurs utilisateurs de Smart télescope Unistellar.
      Cette méthode est dérivée de la méthode que j'utilise pour collimater mes Schmidt-Cassegrain, mais à très fort grossissement et sur la tache d'Airy d'une étoile située sur l'axe de la chaîne optique.
       
      Nous réalisons une VA de 2 à 4 minutes dans la voie lactée (pour avoir un maximum d'étoiles sur le capteur) et on regarde la coma des étoiles sur tout le bord du champ de la capture, surtout dans les quatre coins (c'est l'endroit où la coma est la plus forte, car la plus éloignée du centre du capteur). Il est normal d'avoir de la coma sur les étoiles en bord de champ, car nos Smart Télescope ne possèdent pas de correcteur/aplanisseur de champ.
      Si la coma des étoile est homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur: c'est collimaté, pas besoin d'ajuster la collimation Si ce n'est pas le cas, alors la collimation doit être ajustée (un ou deux bords de champ montrent une coma stellaire plus prononcées que le ou les bords de champ opposés et les coma ne pointent pas en direction du centre du capteur)  
      ----
      Ajustement de la collimation:
      Au préalable faites une bonne mise au point de l'optique avec le masque de Bahtinov fourni avec l'instrument.
      Faire un Goto sur une étoiles brillantes située dans la Voie Lactée (pour avoir un maximum d'étoiles sur le capteur et avoir une étoile centrale comme référence bien visible). Puis faire une VA de 2 minutes (ou plus). Analyser la coma stellaire en bord de champ sur la capture de la VA (ne pas hésiter à zoomer). Repérer le bord ou le coin qui présente la plus forte coma stellaire En vision temps réelle et uniquement avec les vis de collimation, déplacer l'étoile de référence située au centre du capteur en direction du bord ou du coin présentant la plus forte coma stellaire. L'amplitude du déplacement est fonction de l'amplitude de la décollimation. Puis avec les mouvements lents de l'application, replacer l'étoiles de référence au centre du capteur. Refaire une VA de 2 minutes (ou plus) et recommencer les étapes 2, 3 et 4 jusqu'à ce que la coma stellaire en bord de champ soit homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur.  
      Il s'agit d'une méthode itérative.
      Bonne collimation...
    • Par Close-to-focus
      Salut à tous,

      voici quelques images faites au newton trusstube désaluminé skywatcher 150/750.
      Camera apollo-m mini (imx429) et mars-m en bin2 (imx290). avec barlow 2.7x, 4x, 5x.. et filtre continuum 8nm, des combinaisons qui me donnent un échantillonnage entre 0.40" et 0.24" suivant le montage.

      Je trouve que j'ai de meilleurs résultats avec un échantillonnage proche de 0.40", mais d'un jour à l'autre le seeing évoluant, pas sûr que mes "tests" soient cohérents avec la réalité.
      Les poses sont de l'ordre de la milliseconde, voire moins (ce matin j'étais à 0.5ms).

      J'image sous un ciel la plupart du temps plus ou moins voilé, ciel gris/bleu pour vous donner une idée (ce matin c'était bien bleu, mais plein de vent ), dans une cour ombragée mais située dans une (toute) petite ville, donc bitume et pavés à proximité.
      Je n'arrive pas à avoir plus de netteté, du coup je me demande si changer de setup pourrait améliorer mes images ou si mon ciel me limitera de toute façon.

      J’envisageais, à qualité optique égale, de passer sur un 200 / 1000, (en truss tube pour limiter le poids et la turbu interne), le max que ma monture devrait accepter de porter correctement.
      Mais vais-je gagner beaucoup en résolution?

      j'envisageais aussi la possibilité de rester sur mon diamètre de 150mm (vu mon ciel, est-ce bien utile d'augmenter le diamètre?) mais avec un miroir d'artisan (zen ottiche en fait en petits diamètres).

      Autre question : quel échantillonnage serait  le plus approprié sous un ciel moyen à bon?
      si je reste sur les valeurs théoriques d’échantillonnage (si j'ai bien calculé elle se situe autour de 0.25") les résultats ne sont pas top.

      merci à vous

      voici les photos en question:
      imx 429

       

       
      imx 290 bin2

       


       
    • Par Papy lulu
      Bonjour,  je débute,  la photo (M51) est le résultat de 261 fichiers empilés par le seestar S50 je présume que ce sont 261 prises de vues de 10" chacune.
      Bonne journée à tous.
      Papy lulu


    • Par BobSaintClar
      En direct du japon, je vous présente un compte-rendu succinct de mon week-end au Festival des étoiles d'Hoshi No Mura
       
      il s'agit d'un rassemblement annuel (premier WE de Juin suivant la nouvelle lune) se tenant dans un observatoire public posé dans les montagnes de la préfecture de Fukushima !
      Ceci dit, ladite préfecture est vaste et nous sommes loins de la côte : lors de ma première édition, avant les années Covid, j'avais emporté mon radiomètre : la radioactivité du site était parfaitement normale...
      Le séisme de 2011 a pourtant eut des conséquences dramatiques pour l'observatoire, j'y reviendrai.
       
      Commençons par présenter les lieux : nous sommes à 650m d'altitude, à 20km de la côte Est du japon, dans une région de moyenne montagne. De mon domicile, il faut compte trois heures de voiture. Sur place résident un observatoire, deux parkings, un restaurant, diverses boutiques et une grotte ouverte aux visiteurs.
      Sur la route menant au site, je reconnais un "magasin" déjà vu les années précédentes : il expose des sculptures religieuses, notamment...
       

      ... mais oui, des bites géantes en pierre (note : j'ai servi de modèle pour l'artiste )
       
      Le Site
       
      Sur place, deux parkings sont réservés aux astronomes amateurs : le premier, "en haut", est généralement préféré au second, "en bas", parce qu'il est moins parasité par les lumières de l'évènement.
      Je me suis installé sur le premier
       

       
      Kurita-san, un ami de club arrivé plus tard, a du se contenter du second :
       

      Nous sommes Vendredi après-midi, l'évènement n'a pas encore officiellement commencé, le parking est encore vide. J'ai pris cette image depuis le toit de l'observatoire. Notez l'impressionnante falaise, qui abrite plusieurs grottes !
       
      L'observatoire en question, le voici :
       

      Le bâtiment, coté gauche, propose des toilettes, un dortoir, quelques pièces réservées au staff et une boutique de souvenirs "astro". Au centre, vous avez un vaste hall dédié à l'exposition de différents matériels & objets. 
      L'espèce de tour carrée cache essentiellement un escalier en spirale permettant d'atteindre le toit ET le pont menant au télescope de 650 abrité sous la coupole.
      Sur le parvis, la plupart des exposants sont déjà installés.
      Vendredi après-midi, le ciel n'est guère rassurant...
       
      Au rez-de-chaussée (que les japonais appellent le premier étage, pour l'anecdote) de l'espèce de ziggourat qui soutient la coupole se trouve une exposition permanente :
       

      Et au-dessus - avant d'arriver au troisième étage (celui du télescope) - se trouve un planetarium. Voilà, vous avez fait le tour !
       
      Les exposants
       
      Le festival aux étoiles d'Hoshi No Mura est un évènement "classique" : les exposants y tiennent une place centrale !
      Les marques les plus connues sont représentées (Takahashi, Vixen, SVbony, etc) et l'on trouve beaucoup de matériels "occasion / exposition / fins de série" intéressants. Dès mon arrivée, je suis tombé sur une offre que je n'ai pas su refuser... un oculaire Morpheus de 9mm bradé à 27000 yens (ça fait 158 euros, au taux de change actuel). Bordel, il m'en faut un deuxième, maintenant 
       
      Je ne les ai pas tous pris en photo, je pense que vous savez à quoi ressemble un stand de marque :
       

      Avec la dépréciation du yen, les bonnes affaires sont légion ! Les binos Vixen BT80, qui ont plutôt bonne presse, sont ici à 235 euros...
       
      Lui, il a tout un stock de jumelles de randonnée, de loupes, de chercheurs 8x30 et de bordel divers (filtres, caches, boites à oculaires, etc.) à 59 centimes d'euro pièce 
       

      (Notez le poster d'un personnage Moe, nous sommes bien au japon...)
       
      Coté matos, je n'ai pas repéré grand-chose de spécial, d'original ou de vraiment nouveau... mais bon, je ne suis pas le mieux placé pour en juger : je ne m'intéresse guère qu'à l'équipement dédié au visuel. J'ai quand même vu deux-trois trucs que vous ne connaissez peut-être pas, ou pas encore ? 
      Voyons cela :
       
      Sur le stand Vixen, je me suis attardé sur ces deux versions à diamètres réduits - 70 et 90mm - de l'astrographe VSD100SS.
      Je ne connaissais pas ces modèles, je suppose qu'ils sont plus abordables que leur ainé : de mémoire, le tube de 100mm est hors de prix (je n'en ai d'ailleurs jamais vu dans les rangs amateurs, même au Japon) !
       

      Malgré la déprise du yen, le VSD90SS est à plus de 4000 euros... mais sérieux, qui va acheter ça ??
       
      Les amateurs
       
      Autant j'avais vu des équipements remarquables au rassemblement d'Aichi (celui consacré aux grosses binos, aux dobsons et aux réalisations personnelles), autant le festival d'Hoshi No Mura est basique : les visiteurs sont avant tout venus avec... des lunettes équipées pour l'astrophoto, ad nauseum !
      Je n'ai vu que deux dobsons : le 660 déjà remarqué dans des rassemblements antérieurs (comme celui d'Aichi) et le 500 décrit dans mon compte-rendu sur la star-partie de Koumi.
       
      il y avait aussi ce Ninja :
       

      Si vous avez une impression de déjà vu, c'est normal : ce tube était présent lors du rassemblement d'Aichi, comme en témoignent ses autocollants Moe (décidément...)
       
      Le T500 (à F/D beaucoup trop, ouch, échelle de pompier obligatoire) du festival de Koumi, encore une pièce rapportée :
       

       
      Vous vous souvenez du proprio ? Non ? 
      Indice : Un homme inverti en vaut deux (sur les blagues de boomer, je ne crains personne )
      Bref, le voici  :
       

      Lorsque j'ai pris cette photo, l'évènement n'avait pas commencé, tout le monde s'installait tranquillement. Donc, notre gaillard n'est pas prêt... mais quelques heures plus tard, en soirée, il l'était ! 
      Au menu : mocassins noirs brillants à talons, longue robe grise plissée, haut bustier noir échancré et chapeau canotier à ruban rose orné d'un flot en forme de coeur...
      Ça y est, vous le remettez ??
       
      Le télescope suivant, je ne pouvais pas le manquer :
       

      Nous sommes toujours en territoire connu : c'est le 200 - diaphragmé à 198mm - F8 de Okubo-san. Le seul télescope amateur de moins de 200mm d'ouverture nécessitant l'usage d'un escabeau... 
       
      Coté binoculaires, ce n'est guère folichon :
       

      Des Miyauchi 20x100 (oculaires fixes) : j'ai eu la chance de posséder ce modèle l'année du passage de la comète Hyakutake, en 1996.
      Elle repasse dans 70.000 ans mais cette fois, j'ai des 150ED : j'ai hâte !
       
      Par le plus grand des hasards (non pas du tout, j'ai évidemment fait exprès), je me suis installé juste à coté du seul gars bien équipé en jumelles : il avait 7 ou 8 modèles, à minima, dont des Zeiss 7x50 antiques (très bonnes, une vraie surprise), des Zeiss stabilisées 20x60 (une autre bonne surprise, je les aurais pensé plus lourdes) et des Nikon 20x120 anciennes en provenance directe... d'un bâtiment de guerre (il m'a donné un nom que je n'ai pas su mémoriser) :
       

      (Oui, pardon, c'est de l'infrarouge couleur)
       
      Le CROA
       
      Et coté astronomie, me direz-vous ?
       
      La nuit du vendredi au Samedi était plutôt mal partie (cf images) mais dès 22h, les nuages sont sont espacés, puis évaporés ! J'ai profité de mes jumelles jusqu'à minuit environs, puis je suis passé en mode "monteur d'étoiles" lorsque diverses personnes - essentiellement des résidents du coin, venus en famille - sont venu dans notre secteur :
      Le ciel était très bon, peu pollué, la transparence excellente, les principales vedettes de l'été - du sagittaire au Cygne, pour faire court - en pleine ascension... succès garanti !
       
      Jusqu'à une heure et demie du matin, j'ai ainsi partagé notre passion avec les gens du cru, jusqu'à ce qu'un gars presque obèse (une rareté, au Japon), s'emmêlant les pinceaux dans le noir, s'assoit un rien brutalement sur ma chaise : CRAAACK ! Plus de chaise ! 
       
      Imaginez la scène, compte tenu de la culture du pays : le pauvre type ne savait plus où se mettre, il s'est répandu en excuses plus dramatiques les unes que les autres, je ne savais pas quoi dire ou faire pour l'arrêter !! Il ma fallut des trésors de patience pour lui faire comprendre, in fine, qu'une seule pièce de bois de 10x10cm avait lâché, que la refaire serait un jeu d'enfant (et en effet, j'ai réparé ma chaise ce Dimanche matin)... purée, il voulait absolument me dédommager en argent... oh wait, j'aurais peut-être du me laisser faire ? 
       
      Anecdotes
       
      J'ai quelque peu écorné ce chapitre, avec l'astronome transformiste (une combo rare, avouez) et le sculpteur de giga-bites (non, rien à voir avec l'informatique)... 
      Il vous reste quand même quelques curiosités à découvrir :
       
      1/ Les japonais sont honnêtes et très confiants ! On ne le dira jamais assez, le pays est sûr et au quotidien, l'on perd assez vite ses repères et ses habitudes ! L'observatoire d'Hoshi No Mura est ouvert aux quatre vents, il n'y a pas de caméras dans le bâtiment, vous pouvez vous y promener et ramasser ce qui vous plaît sans aucun problème...
      Par exemple, en montant au deuxième étage via la tour carrée, vous pouvez choisir le modèle de loupe binoculaire qui vous convient :
       

      Le détail qui tue : l'observatoire a acheté l'exemplaire du milieu (juste à droite de la caisse orange), sans doute pour le mettre à disposition du public (notamment des écoliers) il y a encore l'étiquette avec le prix affiché (20.000 yens)...
      Non seulement rien n'est sous clé ni même surveillé mais en sus, la valeur du matériel est commodément indiquée 
       
      Un peu plus haut, dans ce qui s'apparente à un débarras sans porte, vous avez tout un tas d'instruments en vrac, avec des caisses d'oculaires et de jumelles à même le sol :
       

      J'ai pris la photo sans arrière-pensée ni gêne aucune : j'étais absolument seul, dans la tour et sur le toit ! Je rappelle que le site, pour l'évènement, reçoit plusieurs centaines de personnes, de tous âges, qui vont vaquer dans tous les sens : et bien, comme d'habitude, rien ne sera volé. Les organisateurs ne sont pas des idiots : s'il en allait autrement, soyez sûrs que tout serait surveillé, ou hors d'accès. Mais ici, à quoi bon ?? 
       
      2/ Dans le grand hall / salle d'exposition du bâtiment principal, j'ai remarqué cet objet, quelque peu incongru dans un observatoire  :
       

      Vous l'aurez deviné en observant l'image en détail : c'est une sorte de glaive court dont la lame a été forgée à partir d'une météorite ferreuse. Cette arme n'est pas historique, elle a été faite sur commande de l'observatoire il y a quelques décennies, mais elle est néanmoins représentative d'un phénomène réel, dans l'histoire dujapon : les minerais de fer du pays étant de qualité médiocre, les artisans locaux ont du développer des techniques très élaborées pour forger leurs célèbres lames (on pense surtout au katana, évidemment). Du coup, lorsqu'ils avaient la chance de tomber sur un beau morceau de météorite ferreuse, bien plus riche en métal que n'importe laquelle de leurs pauvres caillasses, ils ne se privaient pas d'en faire une arme (sans même parler du coté "on ne va pas gâcher ce précieux cadeau des dieux")...
       
      3/ Pour transporter son matos astro et son nécessaire de camping, rien ne vaut une Keycar coupée sport :
       

      Voici la voiture de mon "autre" voisin (pour le distinguer du possesseur de jumelles, venu en minibus Totyota). Dans cet équipage minimaliste à deux places, ledit voisin a transporté une petite lunette (une 80mm à FD court), son trépied photo et une tente une place intégrée à son lit pliant !
      Mieux vaut être célibataire, sans enfants... et sans dobson !
       
      4/ L'été japonais est caniculaire. nous sommes toujours au printemps, officiellement, mais nous avons souffert de la chaleur en journée. Pourtant, une créature était bien plus à plaindre :
       

      Il ne fait pas bon être un gros chien à poils longs, au pays du soleil levant : sauf à habiter haut en altitude et latitude, la chaleur humide des mois d'été est très pénible. De plus, la loi du pays impose de ne jamais laisser divaguer votre toutou, en ville comme à la campagne, même s'il n'y a personne en vue : les chiens sont donc toujours attachés et ne sont jamais libres de leurs mouvements.
      C'est moyen, pour ces lointains cousins du loup  
       
      5/ Le séisme de 2011 dans la région de Fukushima, de sinistre mémoire, a eut des conséquences désastreuses sur l'observatoire d'Hoshi No Mura :
       

      Au plus fort de la secousse, le t650 et sa monture, installés dans la coupole, ont traversé trois étages avant de s'écraser au rez-de-chaussée, infligeant les dégâts qu'on imagine ! La carcasse de l'ancien télescope est toujours exposée dans le bâtiment, au pied de l'escalier menant au pont.
       
      Cette petite sculpture est un monument commémoratif de l'accident :
       

       
      6/ La photographie dans l'infrarouge proche, c'est beau, mais c'est aussi utile !
      Par exemple, pour discriminer le couvert végétal :
       

      on distingue beaucoup mieux les feuillus des conifères, entre autres...
       
      Clôturons ce rapport comme il convient : par une photographie astronomique !
      Voici donc la planète terre, observée depuis l'observatoire d'Hoshi No Mura, préfecture de Fukushima, Japon :
       
       
       
      Owari desu !


    • Par lpalbou
      Hello à tous,
       
      Petite vue du soleil prise le 07 juin - j'ai une vidéo de 3h qui process depuis deux jours pour faire le timelapse, mais j'essaierai de la poster quand ce sera fini.
       
      Equipement:
      - Askar FMA 180
      - Quark Chromosphere (tellement d'aventures et de mésaventures, mais ce sera pour un autre post si j'ai le courage)
      - Player One Apollo M
      - Filter ERF 2" en premier élément du Askar
      - Réducteur après le Quark
      - Tilt Rowan
      - Daystar Flatcap
      - AZ GTI aligné avec un compas + tracking firecapture
       
      Traitements:
      - AS4! + ImPPG + Photoshop

       
      J'ai encore un petit problème de Tilt, la partie gauche / bas gauche étant plus flou, mais le setup se stabilise.
      Mon autre difficulté, c'est diminuer la luminosité du limb pour que ce soit plus naturel, notamment pour mieux voir la continuité des filaments sur / hors soleil
       
       
      Même équipement mais avec un Nikon 300mm F4 avec une bague 77 - 48mm pour mettre le ERF devant. Ca permet également de diminuer l'ouverture et augmenter le f-ratio pour le contraste:

       
       
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