BenjDob

Techniques d'observation

Messages recommandés

Pareil que Serge, quand j'observe j'alterne les deux yeux, même si il y en a un qui sert plus que l'autre. 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
13 hours ago, yapo said:

 

J'en ai aussi mais je l'utilise moins que rarement, la faute du manque d'habitude certainement (je dois être hyper-musclé de la paupière gauche, -dopé dirait Laurent-) et puis quand tu dessines, l'avantage c'est que tu peux consacrer l'œil directeur à l'oculaire et l'autre à la planche à dessin éclairée, en alternance. Cela permet de préserver un peu la rhodopsine de l'œil directeur. Avec le cache œil, ça rajouterait pas mal de manipulations, mais ça pourrait un jour faire une différence pour de l'extrême, pourquoi pas.

 

Ah oui pour les dessinateurs effectivement ça n'est pas une solution. Pour ma part si je me mets au dessin, l'oeil gauche n'y vois pas grand chose, je serai de toute façon obligé de solliciter le droit pour les deux. Ou alors je me trouve un monocle 🧐

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

cela étant, c'est aussi ça la pratique de l'observation, c’est de pouvoir passer une nuit à l'oculaire sans ressentir de fatigue oculaire, preuve que tout est idoine, sans crispation, décontracté du...  Et c’est pas si simple que ça à atteindre, une MAP très précise avec un calage lointain, un placement de l'oeil nickel sur la pupille de sortie, surtout pas la tête en extension, le petit pipi satisfait tout comme une petite soif rapeuse, un oeil inutile qui la joue à la Clint Eastwood tout juste fermé mais sans aucune crispation, et le bonheur est là..... J'crois qu'on en causait dans un excellent grimoire.

A noter que si tel n'est pas le ressenti, si une fatigue oculaire se fait sentir, ben c’est qu'on n'est pas en configuration idoine, et que c’est donc perfectible:)

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Hello, 

Un autre détail à ne pas négliger : l'oxygénation. 

Parfois en observant, on peut avoir tendance à arrêter de respirer. 

Parfois, prendre 2min et se dégourdir les jambes avant de revenir à l'objet peut être intéressant et permettre de voir de nouveaux glimpses. 

 

Pour ce qui est du dessin, en plus d'un éclairage faible, il peut être judicieux d'utiliser l'œil qui n'observe pas. 

 

Astronomicalement, 

José 

  • J'aime 4

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Oui José, d'où aussi certains témoignages de personnes (je ne sais pas si ça a aussi été ton cas ?) qui, ayant observé sous des ciels exceptionnels mais à une altitude extrême (4 000 mètres par exemple) n'ont pas trouvé l'expérience plus sensationnelle que ça. La faute semble-t-il à ce manque d'oxygénation.

Modifié par PerrouriefhCedric
  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

.... oui, il parait, mais pour ma part (notre part, on était en nombre du club), ce fut une expérience d'observation parmi les plus merveilleuses, les plus incroyables, véritablement extrêmes, même mieux, les plus ultimes, radicales. Il est probable qu'on fut bien oxygénés, mais on a rien fait de particulier pour cela.... J'ai le sentiment que dans notre cas, c'était davantage un sentiment de "sécurité", ce qui n'est pas anodin à 4200m d'altitude, qui nous permit d'apprécier et déguster ce très rare privilège.

Cela étant, ce que dit José est important !

  • J'aime 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le 25/12/2023 à 19:53, Adamckiewicz a dit :

la baleine, son baleineau et la crise de hockey dans le meme champ c’est sympa aussi!

 Voilà un exemple de la nécessité de ne pas trop grossir en CP ! :)

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 1 heure, etoilesdesecrins a dit :

 Voilà un exemple de la nécessité de ne pas trop grossir en CP ! :)

Pas forcément…. Ce trio d’admirer à faible grossissement et fort grossissement ( 200-300x sur la baleine). Comme m81/82 que j’observe avec une pupille de 5mm (80x) , 2-3mm (m81) et 1mm (400x sur m82) :) 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Et oui, une chose est d'avoir une vue plaisante d'ensemble, une autre en est de détailler chacun de ses membres, car ils le méritent tous !!!! Et là de-diou, faut grossir ce qu'il faut

!!!

  • J'aime 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Confucius a dit : en ciel profond, tous les grossissements sont utiles (ou c'est Herschel ? je ne sais plus...)

 

  • J'aime 1
  • Haha 4

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Me suis mal exprimé, je voulais dire qu'il est des cas où il vaut mieux (je ne dirais pas "nécessaire" pour ne pas être directif) ne pas trop grossir en CP : bien entendu pour tout ce qui est vue d'ensemble, comme ici l'ex de la Crosse donnée.

On est bien tous d'accord sur l'utilité de toute la gamme de Gr en CP.

Après, chacun a ses préférences. Il est souvent mis en avant le fait d'utiliser des Gr outranciers quand il s'agit d'aller décortiquer telle NP, certes, quand la turbu le permet. Certes, mais j'apprécie aussi un objet petit et contrasté dans un joli champ étendu et étoilé.

Par contre, actuellement en quête de Hickson ou Arp entre autres, souvent à la limite du T300, je vois bien qu'en dessous-de 225-270 X point de salut, l'objet est souvent trop petit, trop peu défini, trop faible ou noyé dans un fond de ciel trop clair, ou tout à la fois.

Et en tous cas, ces conseils de grand-papa de rester à des Gr équi-pupillaire ou assimilé, qu'on pouvait lire jadis, sont bien révolus.

 

  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 7 heures, etoilesdesecrins a dit :

Certes, mais j'apprécie aussi un objet petit et contrasté dans un joli champ étendu et étoilé.

Exactement! ( comme ngc2438 dans m46 !!) Et profiter des couleurs quand il y a ….. comme m57….. même saturne 🪐 donne un spectacle superbe, flottant toute petite dans l’immensité de l’espace!

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Un des intérêts d'un très faible grossissement, et aussi d'un grand champ sur le ciel, c'est pour observer des objets qui ne figurent pas toujours dans les catalogues : les nuages stellaires et les nébuleuses obscures. Les nébuleuses obscures, tout le monde en a entendu parler même si elles sont peu observées, mais les nuages stellaires, vous connaissez ? On connaît M24 (ou NGC 206 dans la galaxie d'Andromède) mais il y a aussi NGC 6360, 6476 ou 6682. Ce ne sont pas des amas ouverts, aussi sont-ils souvent oubliés des catalogues et des atlas. La deuxième édition d'Uranometria 2000 les indique.

 

Je n'ai découvert leur existence que l'été dernier. C'est pour ça que je vous en parle, au cas où.

 

  • J'aime 4

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Posté(e) (modifié)

Bonjour, une petite remarque sur laquelle on m'a apprit ce qui suit : l'accommodation de l’œil n'est pas parfaite

La vision n'est que l'ouverture d'une porte vers le cerveau, la mémoire.

 

Depuis toujours, un porte-oculaire souple est un plus, la progressivité et le toucher plume (feather touch) facilite cet exercice.

Je ne suis jamais satisfaite de la première mise au point, c'est l'habitude qui vient de l'utilisation des achromats longs qui permettent une sélectivité des couleurs ; une sorte de filtrage.

 

*** apparté ***

Ce n'est pas pour moi un apprentissage originaire de l'astronomie mais des contrôles au microscope dans la fabrication des micro-composants, j'ai adapté une technique qui m'a été apprise avec des équipements moins parfaits que de nos jours.

 

Refaire la mise au point c'est comme effacer le tableau noir et recommencer à faire apparaître la scène. Le cerveau fonctionne ainsi qu'il va attendre la formation des "squelettes" de l'image considérés déjà acquis, analysant plus vite qu'à la première passe de mise au point la différence avec ce qui est déjà acquis. C'est ainsi que je construis mon image mentale.

 

Après quelques essais, tout observateur sature et c'est ensuite une phase assimilable au plaisir qu'est de comprendre formes et couleurs de l'objet observé.

 

Modifié par lyl
  • J'aime 3

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le 25/12/2023 à 01:50, yapo a dit :

 

image.png

 

tu ne veux pas le dire, mais en fait c'était pour cacher un oeil au beurre noir

 

 

  • Haha 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 2 heures, lyl a dit :

C'est ainsi que je construis mon image mentale.

 

Lyl a raison, ce qu'on voit c'est une représentation mentale, une pseudo réalité. La plaque photo sensible c'est la rétine, le traitement des photons c'est les neurones, et là tout découle d'un processus d'acquisition, de contrôle conscient et inconscient qui fait que chacun décryptera différemment selon l'état de ses yeux, selon ses connaissances sur ce qu'il observe, selon son protocole d'observation, selon ce qu'il a envie de voir ou de ne pas voir, etc. En astronomie comme en toutes choses on ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux comme écrivait A de ST Ex.

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Très intéressant @lyl

Il y a 10 heures, lyl a dit :

La vision n'est que l'ouverture d'une porte vers le cerveau, la mémoire.

la mémoire, oui, mais surtout, l'analyse, c’est là où les neurones font une belle et rude besogne, en effet sur des perceptions mémorisées, attrapées, réveillées et autres. C'est clair qu'il y a un formidable travail d'acquisition, de traitement, de "stacking"

Il y a 10 heures, lyl a dit :

un porte-oculaire souple est un plus, la progressivité et le toucher plume (feather touch) facilite cet exercice.

oui - et non, à l'usage. C'est l'ami Yann qui m'a fait remarqué - et l'a écrit dans le bouquin Astrodessin - qu'une mise au point franche, directe, sans chichi était un bon gage de ne pas faire accommoder le regard dans des plages pénibles. C'est de ce constat qui  fait que je ne répare pas le mouvement lent de mon Monlite grippé de longue date et dont je me passe fort bien par habitude . Mais j'apprécie pour autant lorsque je vais sur un PO bien doux et démultiplié. Dans ce cas, il faut vraiment faire gaffe à garder une accommodation lointaine, ce qui n'est pas trivial - en témoignent les fatigues oculaires ressenties par certains.

Il y a 11 heures, lyl a dit :

Ce n'est pas pour moi un apprentissage originaire de l'astronomie mais des contrôles au microscope dans la fabrication des micro-composants

Pour ma part, ce sont les heures passées au microscope ou à la loupe bino depuis tout jeune sur des petites bestioles, ou à la longue vue pour faire de l'ornithologie, souvent avec dessin à l'appui. Il est certain que ces pratiques, ces centaines d'heures accumulées dans des oculaires variés sont de sérieux apprentissages de la façon d'observer.

Il y a 11 heures, lyl a dit :

Refaire la mise au point c'est comme effacer le tableau noir et recommencer à faire apparaître la scène.

C'est assez juste, ça se remarque en effet à bien des occasions

 

Il y a 8 heures, Adlucem a dit :

La plaque photo sensible c'est la rétine, le traitement des photons c'est les neurones,

surtout pas que !!! relis ce qu'à formulé Bernard : il y a déjà une énorme étape de prétraitement du signal dans les multiples couches de la rétine. En témoigne le nombre de récepteurs cônes et bâtonnets vs connexions nerveuses vers le cerveau via le nerf optique.

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Posté(e) (modifié)
il y a 19 minutes, serge vieillard a dit :

qu'une mise au point franche, directe, sans chichi était un bon gage de ne pas faire accommoder le regard dans des plages pénibles

Oui, il faut une mise au point stable, mais l’œil n'est pas extrêmement précis.

En particulier, et je pense que tu ne l'expérimentes plus.

 

La mise au point sur les instruments f/15 a une plage relativement large défocus = 0.225mm, même sur une qualité lambda/8 ~0.11mm ou l/12.

Il faut naviguer sur cette plage.

 

Sur du f/4 (toujours considérer la focale native du primaire) c'est extrêmement tranché à 16 fois moins (14um) donc "snap focus" comme le dise les anglais et ce n'est pas la démultiplication 1/9 ou 1/10 qui va permettre cette sensation spécifique aux long focus natifs.

Donc je comprends ton besoin de mise au point franche car ... il n'y a pas de plage sauf éventuellement avec un motor focus avec un stepper à 2um ou moins.

C'est une expérience perturbante quand on passait de mon achromat au dob ES406  lors des observations du club.

Extrêmement pénible quand tu as des observateurs porteurs de lunettes qui te bidouilles la map du dobson alors que ça touche rarement celle de l'achromat.

 

Sur un newton, c'est uniquement l'aberration sphérique résiduelle de ce dernier et la bonne conception de l'oculaire (apo) qui va compter.

Sur tout instrument qui a un résidu chromatique au-delà de 2 (RC index FC) tu as forcément un delta sur les couleurs.

Même sur un SCT de grand diamètre C11, C14 tu vas le constater.

Modifié par lyl
  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Posté(e) (modifié)

Plutôt qu'un cache œil, utiliser l'index pour juste maintenir la paupière en bas fonctionne pas trop mal aussi.

Je tiens décontracté beaucoup plus longtemps ainsi.

EDIT : message un peu en différé, je n'avais pas vu qu'il y avait une page 2

Modifié par olivufu
  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 14 heures, lyl a dit :

Refaire la mise au point c'est comme effacer le tableau noir et recommencer à faire apparaître la scène. Le cerveau fonctionne ainsi qu'il va attendre la formation des "squelettes" de l'image considérés déjà acquis, analysant plus vite qu'à la première passe de mise au point la différence avec ce qui est déjà acquis. C'est ainsi que je construis mon image mentale.

J'ai une technique subsidiaire après la MAP francche et rapide (issue d'un réflexe très certainement reptilien) qui consiste à éventuellement fignoler en vision décalée (légèrement) et en réalité plutôt fixer le fond de ciel tout en accordant l'attention sur la finesse de détail de la cible (hors-axe de la vision du coup) afin d'éviter cette petite accommodation fatigante à la longue.

 

Le 03/01/2024 à 20:02, Bruno- a dit :

Confucius a dit : en ciel profond, tous les grossissements sont utiles (ou c'est Herschel ? je ne sais plus...)

Moi, je le dis depuis 1992 (j'ai des témoins, ils se reconnaitront) : faut grossir !

 

 

  • J'aime 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a une heure, yapo a dit :

Moi, je le dis depuis 1992 (j'ai des témoins, ils se reconnaitront) : faut grossir !

 

C'est à ça que servent les fêtes de fin d'année non ? :P

 

Mais en effet, varier des grossissements permet aussi de varier l'échelle des détails perçus, c'est particulièrement sensible sur jupiter par exemple, où même lorsque la turbulence est mauvaise, ça faut la peine pour mieux comprendre certains dégradés par exemple. 

 

Pour ce qui est de la map, c'est effectivement fondamental et demande un PO sans jeu. 

  • Haha 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Posté(e) (modifié)

C'est aussi tout l'intérêt d'avoir une chaine optique de qualité et en particulier un oculaire grand champ piqué jusqu'au bord! Si on cherche une justification au prix élevée de certains oculaires, il est là... Ceci étant, cela commence par un miroir primaire de qualité sans micro-mamelonnage rédhibitoire, un secondaire parfait (pas trop grand pas destinée à l'imagerie), un alignement nickel, un PO avec un réglage fin et doux. Évidement je ne parle pas de collimation qui doit être au top et une turbulence pas trop élevée.. Du piqué de l'image arrivant sur l’œil dépend aussi les nuances perçues des objets... Certains laissent l'objet dériver dans le champ en regardant sur les cotés (cela a été dit) mais ce que Bernard Augier a dit de plus important c'est les heures de vol passées derrière l'oculaire... et parfois passer une heure pour observer la même galaxie, le même globu (genre le vagabon intergalactique...)  c'est un plaisir qui révèle de nouvelles nodosités... Et là j'aime bien spiraler le regard... sur une galaxie spirales imbriquées comme M51 ou M101 (là c'est du sport et l'oculaire grand champ se révèle d'un grand secours). Je ne sais plus où sont mes yeux après :D:ph34r:Après ma femme me dit que je ne la regarde pas quand elle cause  :D:D

Modifié par maire
  • J'aime 2
  • Haha 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Rebonjour !

 

Je reviens pour préciser certains points intéressants relevés par les copains... dans le cas d'une observation aux jumelles. C'est un instrument qui a sa spécificité, à l'usage (par exemple, le cache-oeil avec les grosses binos, c'est très surfait)

 

Le 12/26/2023 à 20:19, serge vieillard a dit :

un placement de l'oeil nickel sur la pupille de sortie

C'est un point délicat de l'observation aux jumelles (de même pour une tête bino, j'imagine) : le réglage correct de l'écart interpupillaire est essentiel. J'ai remarqué, d'expérience, qu'il variait légèrement lorsque l'on change d'oculaires (ne me demandez pas pourquoi). Inutile aussi d'écrire que l'alignement des deux axes optiques doit être parfait, surtout dans le plan vertical. Pour ces deux réglages, j'ai pris l'habitude de me reculer et de vérifier, lorsqu'une étoile donnée est vue au centre du champs, que les deux petites pupilles de sortie se superposent bien. Malheureusement, ces contraintes propres aux instruments binoculaires en font de de piètres outils pour les soirées publiques...

 

Le 12/26/2023 à 22:13, Jose Rodrigues a dit :

Un autre détail à ne pas négliger : l'oxygénation

A ne pas confondre avec la méthanisation (si vous observez avec David)

 

Le 1/5/2024 à 07:37, lyl a dit :

La vision n'est que l'ouverture d'une porte vers le cerveau, la mémoire

Très vrai ! Lorsqu'on choppe un objet difficile une première fois, les fois suivantes (à conditions équivalentes) sont plus aisées.

 

Il y a 11 heures, maire a dit :

ma femme me dit que je ne la regarde pas quand elle cause

La vision décalée, ça fonctionne mieux en astro qu'en couple :D

 

Une dernière pensée : j'ai remarqué qu'il était beaucoup plus facile de trouver un objet discret (comme une nébuleuse obscure) lorsque l'on a une idée correcte de sa taille apparente, dans le champs observé. Je me souviens avoir galéré en cherchant le canasson dans mes jumelles, lors de ma première tentative... parce que je n'avais pas anticipé qu'il serait plus petit qu'au T300 ! Ca paraît évident, à posteriori, mais ça va mieux en le disant. Sur le moment, je me suis senti très con xD

  • J'aime 4

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant