thierrymartin2018

reducteur de focale de celestron 0.63

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j ai essaye de simuler pour la retrouver ce 0.63, car certains annoncent une focale de 230 mm mais vu que c est un e optique a plusieurs lentilles qui peut savoir ou se trouve la focale. De toute maniéré  230-(230 *0.63) = 85 mm et non pas 105mm Je suis parti sachant que 105mm est le back focus du réducteur  selon Celestron. En prenant  250 mm de focale que je suppose .  je  calcule le gain reducteur de 250-105/250 = 0.58. ( ce n est pas 0.63)  le réducteur entraine un avancement du foyer final ou du backfocus du télescope par rapport a  sa position optimale  qui est 127 mm pour 2030mm de focale  au dos du télescope au pied du filetage mâle  qui permet d attacher les optiques. Or cette dilatance sert a calculer le système en sachant que le backfcus idéal se compte a partir de la surface optique du miroir primaire. . Le backfocus  + la distance qui sépare les 2 miroirs donne p' le conjugue de p qui lui est la distance du foyer du primaire a la surface du miroir secondaire. p'/p est le grandissement du secondaire qui est 5 étant donne que le primaire est a F/2 et que le télescope est a F/10. Or on peut estimer  la distance entre les 2 miroirs a  environ  303mm . ce qui veut dire que le foyer du primaire est environ a 103 mm au dos du secondaire car f1=406mm  ( 406-303 = 103)   ce qui donne p'= 5 x 103 = 515 mm et donc le miroir  primaire est a 515-303-127 =-85 mm derrière le dos du télescope qui sert a mesurer les 127mm. . Ainsi on le backfocus idéal  85+127 = 212mm. C est une approximation car on ne pas vraiment mesurer précisément la Distance entre les 2 miroirs. Une autre simulation avec  303.5 mm,  p devient 102.5 et p' = 512.5mm et donc le backfocus au dos du primaire est égale a 512.5 - 303.5 = 209mm. et la distance miroir dos du télescope égale 82mm. ( 209-127).  En prenant la valeur moyenne des 2  resultats . cette distance est fixee a 83.5 mm pour le calcul.  Pourquoi j ai besoin de savoir cette distance sinon pour recalculer la focale  quand on quitte la position 127mm. Ici on besoin de déplacer la focale du télescope de la valeur 105/0.58 = 181.03mm . La distance miroir primaire nouveau foyer vaut  181.03+83.5 = 264.53mm. . Pour rendre plus facile le procede on sait déjà qu il faut réduire la distance entre les  2 miroirs  pour atteindre ce nouveau foyer. On déplace le secondaire et on garde fixe le primaire pour garder les 83.5 mm qui le sépare de la position de référence au dos du télescope. Il faut dire que F/10 va augmenter. Cette augmentation va servir a calculer l effet réel du réducteur sur la focale résultante du télescope équipé du réducteur.  On a toujours le foyer primaire a sa position . et le miroir secondaire va bouger pour permettre de focaliser non pas a 127 mm au dos du télescope mais a 181.03mm.  j ai donc choisi  la nouvelle distance des 2 miroirs a 302mm  . p' = 302+264.53  = 566..53 mm  et p  = 406-302 = 104mm   .on calcul  p'/p = 566.53/104= 5.447. En reprenant le  rapport f/2 qui ne bouge jamais  on a F resultante = 2 x 5.447=10.894 soit 203.0x 10.894 = 2211.482mm de focal a comparer avec 2030 a l origine. la différence doit être celle qui permet d établir le foyer initiale pour introduire le réducteur. 2211.48-2030= 181.48 mm  On n est pas loin de 181.03mm . Cette simulation  sert finalement a comprendre ce que veut dire 0.63 ou F/6.3 . en effet 0.58 x 10.894 =  6.31.

Je crois  que ce reducteur a cette appelation car son usage a 105mm de backfocus engendre une augmentation de la focalde du telescope  et c est  la nouvelle focale resultante qui est reduite d un facteur 0.63 et non pas la focale originale. En effet 105mm est le bon backfocus  . et finalement  la focale finale est 0.631 x 2211.482 = 1395.44 mm  . le gain de reduction du temp est  0.58 au carre = 0.3364 ou 33.64%  plus rapide . pour un C8  le champ eclaire vaut 39x 0.58 = 22.95mm de diametre.  Un APS-C est un maximum dans ce cas...En esperant quelqu un qui a une autre proposition a presenter. Je me suis inspirerde la Doc du Alan Gee II

 

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Bonjour,

 

Ouarf, dès le matin... Je vais prendre une aspirine !

 

Cdt.

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Bonjour,
 

la théorie c'est bien mais c'est pas plus simple de faire une image avec un certain tirage par rapport au  réducteur et de faire une réduction astrométrique, comme ça on a la vraie focale résultante, donc la vraie réduction,....
 

Arnaud 

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Je sais que c est de l optique, mais pourquoi ce réducteur a un coefficient 0.63 alors que les calculs classiques  utilisés  pour une lunette ne fonctionnent pas pour retrouver 0.63.  j ai refait sur OSLO le logiciel gratuit pour le calculs optiques je ne me suis pas trompé. Maintenant  je me demande comment peut on retrouver cette réduction sans l' aide d' un logiciel qui analyse l'image pour retrouver cette réduction . Je crois que le réducteur est fait pour un seul backfocus si il sert a corriger la coma . C est a dire il est impératif de respecter la distance 105mm.  J ai découvert que  certains utilisaient la mise au point sur un objet a distance pour connaître le gain de réduction. Or cette méthode change la distance entre les miroirs  et donc la focale est différente. Ce qui change la réduction qui est différente a celle pour un objet a l infini.  . Mon opinion personnelle est de préparer le télescope pour mettre son foyer a 181mm au lieu de 127mm. Puis de monter le réducteur sur le télescope le réducteur avec la caméra a 105mm au dos de ce réducteur.

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Salut Thierry (ou Salut Martin),

Whaou, il faut être solide pour lire ton premier post :)

Essaie de penser à nous en allégeant et en aérant si possible la mise en forme (aller à la ligne de temps en temps, sauter des lignes entre deux interrogations ou concept différents etc). Par ailleurs, je n'ai pas su trouver ta question. En as-tu une ?

 

Pour le reste je n'image pas, mais au lieu de trop t'embêter par le calcul sur un tube dont la distance inter-miroirs est mobile, je prendrais quelques photos test entre 85 et 105mm de bf, je regarderais comment les étoiles réagissent en périphérie, et j'ajusterais jusqu'à obtenir le résultat le plus propre possible.

 

Il y a 11 heures, thierrymartin2018 a dit :

On déplace le secondaire et on garde fixe le primaire

 

Il y a 11 heures, thierrymartin2018 a dit :

et le miroir secondaire va bouger pour permettre de focaliser non pas a 127 mm au dos du télescope mais a 181.03mm.

 

D'ailleurs, tu as quoi comme tube avec un secondaire qui se ballade ??

 

Modifié par olivufu

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Merci Olivufu de tes commentaires. C est vrai que ma prose manque d Espace. C est paradoxale car le reducteur c est pour augmenter  l Espace observable. Quand je parle de bouger le secondaire , c est pour facilter le calcul du backfocus du telescope. Car il faudrait ajouter une ligne de plus dans la demo et ajouter le deplacement du primaire qui lui augmente la distance par rapport a la position 181.03mm Autrement cote calcul ca revient au pareil que deplacer le secondaire. Concernant le cote aberations du telescope lui meme, c est tres different avec une lame de Schmid suppose annuler la coma et le defaut de Sphericite . Le defaut de Stigmatisme etant moins grave ( 1/4 de la Coma )Je te fais la demonstration qui permet d annuler la coma sur un C8 classique.  Et tu vas comprendre que deplacer le secondaire reduit par 4 fois  l impacte  sur l e defaut de Coma que de changer la distance par le miroir miroir primaire dans le cas ou  la lame de Schmidt pour un C8 se trouve a la bonne distance du miroir primaiire et le rend aplanatique ( la tache de difraction du telescope est a l interieur de la theorie determine par l optique ondulatoire selon Airy.) comme un RC ou une MEADE). Et cela sans modifier  la surface du secondaire ni la courbure de la lame de Schmidt. Pour une chambre de Schmidt cette position est au rayon de courbure. Mais pour un SCT c est different.  Attention il faut se concentrer.

Le Celestron possède 2 miroirs. Un concave et un convexe. La solution optique doit prendre en compte l'impact du miroir secondaire pour obtenir la même qualité de champ que la Chambre de Schmidt.

Le calcul est un peu ennuyeux mais on peut trouver la méthode sur le site web https://www.telescope-optics.net/,

la formule donne la distance en R1 de la position de la lame de Schmidt en fonction de R1.

Cette formule donne l importance au secondaire qui n existe pas pour une chambre de Schmidt,

 

 

 Cette formule est  

Needed σ1 value for zero coma in the arrangement with two spherical mirrors is σ1=[2C-(kA+1)A]/2(C-kA2). Alternately, it can be expressed in terms of ρ and k as σ1=[2ρ3-k2(2ρ-k)(2ρ+1-k)]/2[ρ3-k2(2ρ-k)2].

 

 

pet k sont en fonction de R1

p   est  le rapport R2/R1  

On connaît f1  R1= 2 x f1 = 32''.

on utilse  la loi des conjugues pour calculer f2    1/f = 1/f1  + 1/f2  -e/(f1 xf2 )  e vaut 12''   304  305 mmm

1/80 = 1/16 + 16/ (f1 x f2 ) -12/ f1 x f2) =>   1/80-1/16  = 1/4 f2  =>  1/20 =1/4 f2   => f2 =20/4  = 5"

donc  R2 = 2 x 5 = 10''    p= 10/32    p = 0.3125

 

k = (1 +backfocus ) / ( m +1)   il sert a determiner la taille  minimale du secondaire en rapporta R1 .

m et le multiplicateur du secondaire ici 5. car le C8 est à F/D =10 et le primaire est à F/D =2 

 

le backfocus est la distance du miroir primaire au foyer du telescope.  On sait que celestron fixe a 5''  la distance du foyer au dos du telescope.

il y a le miroir derriere qui se deplace . cette distance moyenne vaut 3 '' environ.  En fait le C8 est calcule avec le backfocus egale a 0.5 f1 ou 8''

 

Backfocus Celestron  8= 0.5  x f1

donc 

k=(1+0,5)/(5+1)= 0,25                         k=0,25

 

 

p=0,3125  et k= 0.25

 

on a maintenant tout pour calculer σ1

p3= 0,03051

2p-k=0,375

k2=0,0625

σ1=2 x 0,03051 -  0,0625  (0,375) x (1,375)/ 2[0,03051-0,0625(0,375)2]     =  0,0288/0,04344   =0,66298

σ1=0.66298

σ1=0,66298R1 ou 32*0,66298=21,215 » ou 538,87mm pour le C8

 

La position optimale de la lentille de Schmidt doit être positionnée à 538,87mm du miroir primaire. Le télescope ainsi modifié reste encore compact avec moins de 60 cm de longueur totale. Maintenant avec Oslo je te montre ce que cela donne .

 

 

Il est possible de motoriser le secondaire meme avec un C8. Il faut soit acheter le kit Fastar pour les C8 classiques . J'utilise dans un design the FeatherTouch d un C14 et des roulements lineaires. le pilotage avec le systeme Arizona qui alimente le moteur et revoie la position. Compatble ASCOM. Moi j ai repris les cotes d un Fastar pour la compatibilite si je mets la motorisation un C8 Fastar sans toucher a la position de la lamde de Scmidt et donc sans devoir faire une araignee. 

 

 

 

 

 

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Design de la motorisation du secondaire d un C8 classique coma free,

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calcul C8 respaced.jpg

Modifié par thierrymartin2018

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Le 28/02/2024 à 05:20, thierrymartin2018 a dit :

annoncent une focale de 230 mm mais vu que c est un e optique a plusieurs lentilles qui peut savoir ou se trouve la focale.

 

La réponse est simple : tu diriges le réducteur vers le Soleil et tu mesures la distance entre le réducteur est le foyer. De mon côté, je trouve autour de 220 mm. Et comme le réducteur est composé de plusieurs lentilles, il faudrait savoir où se trouve le plan nodal.

Mais ce n'est pas aberrant de penser qu'il se trouve quelque part dans le réducteur.

Au bilan, une distance focale de 220 à 230 mm parait assez réaliste.

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Le 28/02/2024 à 05:20, thierrymartin2018 a dit :

e le backfcus idéal se compte a partir de la surface optique du miroir primaire.

 

Euh, non ...

 

Le back focus se compte à partir de la surface de référence que le fabricant donne dans les spécifications. Cela peut être par exemple le support sur lequel se fixe le porte oculaire, ou autre chose.

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Si tu cherches à retrouver le modèle OSLO du C8, cela a déjà été fait : Ken Hutchinson (Celestron SCT vigneting Analysis, 2007.

 

Pour le C8 Edge HD, le modèle est donné ci : Telescopes, Eyepieces, Astrographs by Gregory Hallock Smith, Roger Ceragioli, Richard Berry (Willmann-Bell, Inc).

 

Après, les manip où l'on repositionne la lame de fermeture pour améliorer les performances sur le champ sont intéressantes sur le papier :

http://astrosurf.com/viladrich/astro/instrument/sensitivity/sensitivity-analysis-SC14-Plate.htm

http://astrosurf.com/viladrich/astro/instrument/sensitivity/sensitivity-analysis-SC8-Plate.htm

 

Mais cela fait perdre tout l'intérêt du SC, à savoir la compacité.

 

L'autre truc à avoir en tête, c'est que cela ne résout en rien les questions de sphérochromatisme. Au bout du compte, je ne suis pas sûr qu'il y ait eu beaucoup de personnes qui se soient lancées là-dedans.

Ce qui ne veut bien sûr pas dire qu'il ne faut pas le faire ;)

 

 

 

 

 

 

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Bon ...je te passe le modèle du correcteur f/6.3 (issu du doc de Ken Hutchinson)

image.png.50f0f64c1c139064a25f3e73ca356d91.png

 

Je ne sais plus si cela correspond au correcteur actuel. Je ne me souviens plus très bien quand Celestron est passé du correcteur initial (celui de la fin des années 70, et qui était franchement mauvais) au correcteur f/6.3 (qui est mieux, sans être phénoménal pour autant).

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Pour Celestron le backfocus du TELESCOPE C8   part de la base du filetage. Pour Les REDUCTEURS  de FOCALES , chaque fabricant  decide ou il prend sa reference pour le backfocus de leur reducteur. Je sens une enorme confusion..  Je n ai pas le Reducteur de Celestron . Alors pas facile de dire ou part la reference. Pour  la version Edge son reducteur il indique une position . Le C8  ameliore   qui reste dans les  60CM,  a besoin d une monture moderne.   Maintenant  Je pense que le C8 est fait pur le planetaire surtout. Les opticiens instrumentistes  reconnaitrons un interets evident pour  la modifiation. OSLO  est vraiment un outils incroyable.   Un Schmidt Cassegrain Slevogt sera toujours mieux qu un RASA meme a F 3.6. Tout est question que les aberation  rester dans la tache d Airy .  Si necessaire on deplace la mise au point si on utilise un filtre interferentiel. Mais on parle de microns de deplacement du foyer. Des logiciels exitent pour corriger le defaut de chromatisme . 

dim C8 respaced.jpg

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Si le fabricant de reducteurs est discret,  c est qu il ne veut pas dire les problemes de son reducteur. Au contraire celui qui donne la simulation  de son reducteur il a certainement fait des testes sur la concurrence.  Pour le calcul j ai utilise le site (https://www.telescope-optics.net/index.htm#TABLE_OF_CONTENTS)   et la version gratuite de Oslo..  Cela demande un peu de travail. Concernant la recherche de la focale avec le soleil, je dirai que cela ne permet pas d avoir sa focale mais le backfocus. pour un objet a l infinie. Ce qui n a rien a voir avec la position d un conjugue proche du correcteur.  Je suis  peut etre un peu pointilleux, mais en optique c est bien le cas.  Mais la  recherche  de cette position avec lle telescope et le correcteur attache est certainement la meilleure solution. Et je rejoinds volontier ceux qui pratique cette methode. Du moment que le reducteur est avant le foyer du telescope et bien sur a une distance raisonable selon sa focale., la seule difficulte reste le champ eclaire donne a l entree du reducteur. Donc le reducteur doit etre plus proche de la sortie du telescope. Ma simulation fait bouger le miroir de 2 milimetes au plus. C est vraiment peu , et donc il faut une demultiplication  du deplacement pour y arriver. 

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il y a 23 minutes, thierrymartin2018 a dit :

Pour Celestron le backfocus du TELESCOPE C8   part de la base du filetage. Pour Les REDUCTEURS  de FOCALES , chaque fabricant  decide ou il prend sa reference pour le backfocus de leur reducteur. Je sens une enorme confusion..  Je n ai pas le Reducteur de Celestron . Alors pas facile de dire ou part la reference. Pour  la version Edge son reducteur il indique une position . Le C8  ameliore   qui reste dans les  60CM,  a besoin d une monture moderne.   Maintenant  Je pense que le C8 est fait pur le planetaire surtout. Les opticiens instrumentistes  reconnaitrons un interets evident pour  la modifiation. OSLO  est vraiment un outils incroyable.   Un Schmidt Cassegrain Slevogt sera toujours mieux qu un RASA meme a F 3.6. Tout est question que les aberation  rester dans la tache d Airy .  Si necessaire on deplace la mise au point si on utilise un filtre interferentiel. Mais on parle de microns de deplacement du foyer. Des logiciels exitent pour corriger le defaut de chromatisme . 

 

Pardonne moi, mais je ne comprends pas très bien l'objet de ce post.

 

- Tu poses une question sur le réducteur f/6.3 ?

- Tu nous présentes un projet de repositionnement de la lame de Schmidt ? Ce qui serait top.

 

Pour le sphérochromatisme, ce n'est certainement pas un logiciel qui va le corriger ;) Ou alors tu veux dire qu'avec OLSO ou Zeemax, on peut concevoir un complément optique destiné à corriger le sphérochromatisme ?

 

Modifié par christian viladrich

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Qu'elle est indigeste cette prose au km où tout est mélangé !! :S

 

Quant aux calculs en mm avec 2 ou même 3 décimales, heu...:S

 

Désolé d'être un peu direct mais moi non plus je ne comprends pas le but de tout ça O.o

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il y a 28 minutes, thierrymartin2018 a dit :

Le C8  ameliore   qui reste dans les  60CM,  a besoin d une monture moderne.   Maintenant  Je pense que le C8 est fait pur le planetaire surtout. Les opticiens instrumentistes  reconnaitrons un interets evident pour  la modifiation. OSLO  est vraiment un outils incroyable.   Un Schmidt Cassegrain Slevogt sera toujours mieux qu un RASA meme a F 3.6. Tout est question que les aberation  rester dans la tache d Airy .  Si necessaire on deplace la mise au point si on utilise un filtre interferentiel. Mais on parle de microns de deplacement du foyer. Des logiciels exitent pour corriger le defaut de chromatisme . 

 

totalement incompréhensible ! :o

 

C'est écrit par un humain ou par Chatgpt dans un moment de fatigue ?

 

Modifié par Thierry Legault

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il y a 29 minutes, thierrymartin2018 a dit :

Concernant la recherche de la focale avec le soleil, je dirai que cela ne permet pas d avoir sa focale mais le backfocus. pour un objet a l infinie. Ce qui n a rien a voir avec la position d un conjugue proche du correcteur.  Je suis  peut etre un peu pointilleux, mais en optique c est bien le cas

 

Je t'invite à faire une manip très simple dans OLSO :

- tu définis un doublet,

- tu simules pour avoir la mise au point optimale,

- tu regardes alors qu'elle est la distance entre le plan médian du doublet et le foyer,

- tu compares cette distance à la distance focale du doublet.

 

Quelle conclusion en tires -tu ?

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Nom de d' là !!! 

 

Excusez- mon intrusion mais heureusement, que je ne me suis pas pris le bourrichon comme ça quand j'ai fait mes premières photo avec mon C8 et son réducteur ! Sinon, je me serais plutôt mis à la construction d'une tour Eiffel en allumettes !  :D

 

Mais bon, il faut aussi de la techhhnique en astronomie pour pimenter les choses et le problème posé est certainement très pertinent !

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il y a 13 minutes, Rocketman a dit :

Mais bon, il faut aussi de la techhhnique en astronomie pour pimenter les choses et le problème posé est certainement très pertinent !

 

A vrai dire, je ne suis pas certain de savoir quel est le problème qui a été posé ? A supposer qu'il y en ait un ?

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J ai répondu à divers personnes a la fois. D où  la confusion Quand je parle de 2 millimètres c est dans le cadre d une simulation e réduire la distance entre les  2 miroirs qui  éloigne le foyer du télescope afin de  placer le conjugué de l image finale  donnee  par le réducteur avec  105mm de backfocus .    Si on peut connaître  les plans principaux  du réducteur on peut  déterminer sa focale affective. Avec Oslo gratuit on peut seulement ajouter 2 lentilles pour simuler un réducteur. Désolé pour  mes responses . J étais sur CN en parallele  a repondre  sur  un autre sujet.

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    • Par Goofy2
      Bonjour   
       
      Une autre façon plus traditionnelle de réaliser la collimation. Cette méthode itérative est utilisée par plusieurs utilisateurs de Smart télescope Unistellar.
      Cette méthode est dérivée de la méthode que j'utilise pour collimater mes Schmidt-Cassegrain, mais à très fort grossissement et sur la tache d'Airy d'une étoile située sur l'axe de la chaîne optique.
       
      Nous réalisons une VA de 2 à 4 minutes dans la voie lactée (pour avoir un maximum d'étoiles sur le capteur) et on regarde la coma des étoiles sur tout le bord du champ de la capture, surtout dans les quatre coins (c'est l'endroit où la coma est la plus forte, car la plus éloignée du centre du capteur). Il est normal d'avoir de la coma sur les étoiles en bord de champ, car nos Smart Télescope ne possèdent pas de correcteur/aplanisseur de champ.
      Si la coma des étoile est homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur: c'est collimaté, pas besoin d'ajuster la collimation Si ce n'est pas le cas, alors la collimation doit être ajustée (un ou deux bords de champ montrent une coma stellaire plus prononcées que le ou les bords de champ opposés et les coma ne pointent pas en direction du centre du capteur)  
      ----
      Ajustement de la collimation:
      Au préalable faites une bonne mise au point de l'optique avec le masque de Bahtinov fourni avec l'instrument.
      Faire un Goto sur une étoiles brillantes située dans la Voie Lactée (pour avoir un maximum d'étoiles sur le capteur et avoir une étoile centrale comme référence bien visible). Puis faire une VA de 2 minutes (ou plus). Analyser la coma stellaire en bord de champ sur la capture de la VA (ne pas hésiter à zoomer). Repérer le bord ou le coin qui présente la plus forte coma stellaire En vision temps réelle et uniquement avec les vis de collimation, déplacer l'étoile de référence située au centre du capteur en direction du bord ou du coin présentant la plus forte coma stellaire. L'amplitude du déplacement est fonction de l'amplitude de la décollimation. Puis avec les mouvements lents de l'application, replacer l'étoiles de référence au centre du capteur. Refaire une VA de 2 minutes (ou plus) et recommencer les étapes 2, 3 et 4 jusqu'à ce que la coma stellaire en bord de champ soit homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur.  
      Il s'agit d'une méthode itérative.
      Bonne collimation...
    • Par Close-to-focus
      Salut à tous,

      voici quelques images faites au newton trusstube désaluminé skywatcher 150/750.
      Camera apollo-m mini (imx429) et mars-m en bin2 (imx290). avec barlow 2.7x, 4x, 5x.. et filtre continuum 8nm, des combinaisons qui me donnent un échantillonnage entre 0.40" et 0.24" suivant le montage.

      Je trouve que j'ai de meilleurs résultats avec un échantillonnage proche de 0.40", mais d'un jour à l'autre le seeing évoluant, pas sûr que mes "tests" soient cohérents avec la réalité.
      Les poses sont de l'ordre de la milliseconde, voire moins (ce matin j'étais à 0.5ms).

      J'image sous un ciel la plupart du temps plus ou moins voilé, ciel gris/bleu pour vous donner une idée (ce matin c'était bien bleu, mais plein de vent ), dans une cour ombragée mais située dans une (toute) petite ville, donc bitume et pavés à proximité.
      Je n'arrive pas à avoir plus de netteté, du coup je me demande si changer de setup pourrait améliorer mes images ou si mon ciel me limitera de toute façon.

      J’envisageais, à qualité optique égale, de passer sur un 200 / 1000, (en truss tube pour limiter le poids et la turbu interne), le max que ma monture devrait accepter de porter correctement.
      Mais vais-je gagner beaucoup en résolution?

      j'envisageais aussi la possibilité de rester sur mon diamètre de 150mm (vu mon ciel, est-ce bien utile d'augmenter le diamètre?) mais avec un miroir d'artisan (zen ottiche en fait en petits diamètres).

      Autre question : quel échantillonnage serait  le plus approprié sous un ciel moyen à bon?
      si je reste sur les valeurs théoriques d’échantillonnage (si j'ai bien calculé elle se situe autour de 0.25") les résultats ne sont pas top.

      merci à vous

      voici les photos en question:
      imx 429

       

       
      imx 290 bin2

       


       
    • Par Papy lulu
      Bonjour,  je débute,  la photo (M51) est le résultat de 261 fichiers empilés par le seestar S50 je présume que ce sont 261 prises de vues de 10" chacune.
      Bonne journée à tous.
      Papy lulu


    • Par BobSaintClar
      En direct du japon, je vous présente un compte-rendu succinct de mon week-end au Festival des étoiles d'Hoshi No Mura
       
      il s'agit d'un rassemblement annuel (premier WE de Juin suivant la nouvelle lune) se tenant dans un observatoire public posé dans les montagnes de la préfecture de Fukushima !
      Ceci dit, ladite préfecture est vaste et nous sommes loins de la côte : lors de ma première édition, avant les années Covid, j'avais emporté mon radiomètre : la radioactivité du site était parfaitement normale...
      Le séisme de 2011 a pourtant eut des conséquences dramatiques pour l'observatoire, j'y reviendrai.
       
      Commençons par présenter les lieux : nous sommes à 650m d'altitude, à 20km de la côte Est du japon, dans une région de moyenne montagne. De mon domicile, il faut compte trois heures de voiture. Sur place résident un observatoire, deux parkings, un restaurant, diverses boutiques et une grotte ouverte aux visiteurs.
      Sur la route menant au site, je reconnais un "magasin" déjà vu les années précédentes : il expose des sculptures religieuses, notamment...
       

      ... mais oui, des bites géantes en pierre (note : j'ai servi de modèle pour l'artiste )
       
      Le Site
       
      Sur place, deux parkings sont réservés aux astronomes amateurs : le premier, "en haut", est généralement préféré au second, "en bas", parce qu'il est moins parasité par les lumières de l'évènement.
      Je me suis installé sur le premier
       

       
      Kurita-san, un ami de club arrivé plus tard, a du se contenter du second :
       

      Nous sommes Vendredi après-midi, l'évènement n'a pas encore officiellement commencé, le parking est encore vide. J'ai pris cette image depuis le toit de l'observatoire. Notez l'impressionnante falaise, qui abrite plusieurs grottes !
       
      L'observatoire en question, le voici :
       

      Le bâtiment, coté gauche, propose des toilettes, un dortoir, quelques pièces réservées au staff et une boutique de souvenirs "astro". Au centre, vous avez un vaste hall dédié à l'exposition de différents matériels & objets. 
      L'espèce de tour carrée cache essentiellement un escalier en spirale permettant d'atteindre le toit ET le pont menant au télescope de 650 abrité sous la coupole.
      Sur le parvis, la plupart des exposants sont déjà installés.
      Vendredi après-midi, le ciel n'est guère rassurant...
       
      Au rez-de-chaussée (que les japonais appellent le premier étage, pour l'anecdote) de l'espèce de ziggourat qui soutient la coupole se trouve une exposition permanente :
       

      Et au-dessus - avant d'arriver au troisième étage (celui du télescope) - se trouve un planetarium. Voilà, vous avez fait le tour !
       
      Les exposants
       
      Le festival aux étoiles d'Hoshi No Mura est un évènement "classique" : les exposants y tiennent une place centrale !
      Les marques les plus connues sont représentées (Takahashi, Vixen, SVbony, etc) et l'on trouve beaucoup de matériels "occasion / exposition / fins de série" intéressants. Dès mon arrivée, je suis tombé sur une offre que je n'ai pas su refuser... un oculaire Morpheus de 9mm bradé à 27000 yens (ça fait 158 euros, au taux de change actuel). Bordel, il m'en faut un deuxième, maintenant 
       
      Je ne les ai pas tous pris en photo, je pense que vous savez à quoi ressemble un stand de marque :
       

      Avec la dépréciation du yen, les bonnes affaires sont légion ! Les binos Vixen BT80, qui ont plutôt bonne presse, sont ici à 235 euros...
       
      Lui, il a tout un stock de jumelles de randonnée, de loupes, de chercheurs 8x30 et de bordel divers (filtres, caches, boites à oculaires, etc.) à 59 centimes d'euro pièce 
       

      (Notez le poster d'un personnage Moe, nous sommes bien au japon...)
       
      Coté matos, je n'ai pas repéré grand-chose de spécial, d'original ou de vraiment nouveau... mais bon, je ne suis pas le mieux placé pour en juger : je ne m'intéresse guère qu'à l'équipement dédié au visuel. J'ai quand même vu deux-trois trucs que vous ne connaissez peut-être pas, ou pas encore ? 
      Voyons cela :
       
      Sur le stand Vixen, je me suis attardé sur ces deux versions à diamètres réduits - 70 et 90mm - de l'astrographe VSD100SS.
      Je ne connaissais pas ces modèles, je suppose qu'ils sont plus abordables que leur ainé : de mémoire, le tube de 100mm est hors de prix (je n'en ai d'ailleurs jamais vu dans les rangs amateurs, même au Japon) !
       

      Malgré la déprise du yen, le VSD90SS est à plus de 4000 euros... mais sérieux, qui va acheter ça ??
       
      Les amateurs
       
      Autant j'avais vu des équipements remarquables au rassemblement d'Aichi (celui consacré aux grosses binos, aux dobsons et aux réalisations personnelles), autant le festival d'Hoshi No Mura est basique : les visiteurs sont avant tout venus avec... des lunettes équipées pour l'astrophoto, ad nauseum !
      Je n'ai vu que deux dobsons : le 660 déjà remarqué dans des rassemblements antérieurs (comme celui d'Aichi) et le 500 décrit dans mon compte-rendu sur la star-partie de Koumi.
       
      il y avait aussi ce Ninja :
       

      Si vous avez une impression de déjà vu, c'est normal : ce tube était présent lors du rassemblement d'Aichi, comme en témoignent ses autocollants Moe (décidément...)
       
      Le T500 (à F/D beaucoup trop, ouch, échelle de pompier obligatoire) du festival de Koumi, encore une pièce rapportée :
       

       
      Vous vous souvenez du proprio ? Non ? 
      Indice : Un homme inverti en vaut deux (sur les blagues de boomer, je ne crains personne )
      Bref, le voici  :
       

      Lorsque j'ai pris cette photo, l'évènement n'avait pas commencé, tout le monde s'installait tranquillement. Donc, notre gaillard n'est pas prêt... mais quelques heures plus tard, en soirée, il l'était ! 
      Au menu : mocassins noirs brillants à talons, longue robe grise plissée, haut bustier noir échancré et chapeau canotier à ruban rose orné d'un flot en forme de coeur...
      Ça y est, vous le remettez ??
       
      Le télescope suivant, je ne pouvais pas le manquer :
       

      Nous sommes toujours en territoire connu : c'est le 200 - diaphragmé à 198mm - F8 de Okubo-san. Le seul télescope amateur de moins de 200mm d'ouverture nécessitant l'usage d'un escabeau... 
       
      Coté binoculaires, ce n'est guère folichon :
       

      Des Miyauchi 20x100 (oculaires fixes) : j'ai eu la chance de posséder ce modèle l'année du passage de la comète Hyakutake, en 1996.
      Elle repasse dans 70.000 ans mais cette fois, j'ai des 150ED : j'ai hâte !
       
      Par le plus grand des hasards (non pas du tout, j'ai évidemment fait exprès), je me suis installé juste à coté du seul gars bien équipé en jumelles : il avait 7 ou 8 modèles, à minima, dont des Zeiss 7x50 antiques (très bonnes, une vraie surprise), des Zeiss stabilisées 20x60 (une autre bonne surprise, je les aurais pensé plus lourdes) et des Nikon 20x120 anciennes en provenance directe... d'un bâtiment de guerre (il m'a donné un nom que je n'ai pas su mémoriser) :
       

      (Oui, pardon, c'est de l'infrarouge couleur)
       
      Le CROA
       
      Et coté astronomie, me direz-vous ?
       
      La nuit du vendredi au Samedi était plutôt mal partie (cf images) mais dès 22h, les nuages sont sont espacés, puis évaporés ! J'ai profité de mes jumelles jusqu'à minuit environs, puis je suis passé en mode "monteur d'étoiles" lorsque diverses personnes - essentiellement des résidents du coin, venus en famille - sont venu dans notre secteur :
      Le ciel était très bon, peu pollué, la transparence excellente, les principales vedettes de l'été - du sagittaire au Cygne, pour faire court - en pleine ascension... succès garanti !
       
      Jusqu'à une heure et demie du matin, j'ai ainsi partagé notre passion avec les gens du cru, jusqu'à ce qu'un gars presque obèse (une rareté, au Japon), s'emmêlant les pinceaux dans le noir, s'assoit un rien brutalement sur ma chaise : CRAAACK ! Plus de chaise ! 
       
      Imaginez la scène, compte tenu de la culture du pays : le pauvre type ne savait plus où se mettre, il s'est répandu en excuses plus dramatiques les unes que les autres, je ne savais pas quoi dire ou faire pour l'arrêter !! Il ma fallut des trésors de patience pour lui faire comprendre, in fine, qu'une seule pièce de bois de 10x10cm avait lâché, que la refaire serait un jeu d'enfant (et en effet, j'ai réparé ma chaise ce Dimanche matin)... purée, il voulait absolument me dédommager en argent... oh wait, j'aurais peut-être du me laisser faire ? 
       
      Anecdotes
       
      J'ai quelque peu écorné ce chapitre, avec l'astronome transformiste (une combo rare, avouez) et le sculpteur de giga-bites (non, rien à voir avec l'informatique)... 
      Il vous reste quand même quelques curiosités à découvrir :
       
      1/ Les japonais sont honnêtes et très confiants ! On ne le dira jamais assez, le pays est sûr et au quotidien, l'on perd assez vite ses repères et ses habitudes ! L'observatoire d'Hoshi No Mura est ouvert aux quatre vents, il n'y a pas de caméras dans le bâtiment, vous pouvez vous y promener et ramasser ce qui vous plaît sans aucun problème...
      Par exemple, en montant au deuxième étage via la tour carrée, vous pouvez choisir le modèle de loupe binoculaire qui vous convient :
       

      Le détail qui tue : l'observatoire a acheté l'exemplaire du milieu (juste à droite de la caisse orange), sans doute pour le mettre à disposition du public (notamment des écoliers) il y a encore l'étiquette avec le prix affiché (20.000 yens)...
      Non seulement rien n'est sous clé ni même surveillé mais en sus, la valeur du matériel est commodément indiquée 
       
      Un peu plus haut, dans ce qui s'apparente à un débarras sans porte, vous avez tout un tas d'instruments en vrac, avec des caisses d'oculaires et de jumelles à même le sol :
       

      J'ai pris la photo sans arrière-pensée ni gêne aucune : j'étais absolument seul, dans la tour et sur le toit ! Je rappelle que le site, pour l'évènement, reçoit plusieurs centaines de personnes, de tous âges, qui vont vaquer dans tous les sens : et bien, comme d'habitude, rien ne sera volé. Les organisateurs ne sont pas des idiots : s'il en allait autrement, soyez sûrs que tout serait surveillé, ou hors d'accès. Mais ici, à quoi bon ?? 
       
      2/ Dans le grand hall / salle d'exposition du bâtiment principal, j'ai remarqué cet objet, quelque peu incongru dans un observatoire  :
       

      Vous l'aurez deviné en observant l'image en détail : c'est une sorte de glaive court dont la lame a été forgée à partir d'une météorite ferreuse. Cette arme n'est pas historique, elle a été faite sur commande de l'observatoire il y a quelques décennies, mais elle est néanmoins représentative d'un phénomène réel, dans l'histoire dujapon : les minerais de fer du pays étant de qualité médiocre, les artisans locaux ont du développer des techniques très élaborées pour forger leurs célèbres lames (on pense surtout au katana, évidemment). Du coup, lorsqu'ils avaient la chance de tomber sur un beau morceau de météorite ferreuse, bien plus riche en métal que n'importe laquelle de leurs pauvres caillasses, ils ne se privaient pas d'en faire une arme (sans même parler du coté "on ne va pas gâcher ce précieux cadeau des dieux")...
       
      3/ Pour transporter son matos astro et son nécessaire de camping, rien ne vaut une Keycar coupée sport :
       

      Voici la voiture de mon "autre" voisin (pour le distinguer du possesseur de jumelles, venu en minibus Totyota). Dans cet équipage minimaliste à deux places, ledit voisin a transporté une petite lunette (une 80mm à FD court), son trépied photo et une tente une place intégrée à son lit pliant !
      Mieux vaut être célibataire, sans enfants... et sans dobson !
       
      4/ L'été japonais est caniculaire. nous sommes toujours au printemps, officiellement, mais nous avons souffert de la chaleur en journée. Pourtant, une créature était bien plus à plaindre :
       

      Il ne fait pas bon être un gros chien à poils longs, au pays du soleil levant : sauf à habiter haut en altitude et latitude, la chaleur humide des mois d'été est très pénible. De plus, la loi du pays impose de ne jamais laisser divaguer votre toutou, en ville comme à la campagne, même s'il n'y a personne en vue : les chiens sont donc toujours attachés et ne sont jamais libres de leurs mouvements.
      C'est moyen, pour ces lointains cousins du loup  
       
      5/ Le séisme de 2011 dans la région de Fukushima, de sinistre mémoire, a eut des conséquences désastreuses sur l'observatoire d'Hoshi No Mura :
       

      Au plus fort de la secousse, le t650 et sa monture, installés dans la coupole, ont traversé trois étages avant de s'écraser au rez-de-chaussée, infligeant les dégâts qu'on imagine ! La carcasse de l'ancien télescope est toujours exposée dans le bâtiment, au pied de l'escalier menant au pont.
       
      Cette petite sculpture est un monument commémoratif de l'accident :
       

       
      6/ La photographie dans l'infrarouge proche, c'est beau, mais c'est aussi utile !
      Par exemple, pour discriminer le couvert végétal :
       

      on distingue beaucoup mieux les feuillus des conifères, entre autres...
       
      Clôturons ce rapport comme il convient : par une photographie astronomique !
      Voici donc la planète terre, observée depuis l'observatoire d'Hoshi No Mura, préfecture de Fukushima, Japon :
       
       
       
      Owari desu !


    • Par lpalbou
      Hello à tous,
       
      Petite vue du soleil prise le 07 juin - j'ai une vidéo de 3h qui process depuis deux jours pour faire le timelapse, mais j'essaierai de la poster quand ce sera fini.
       
      Equipement:
      - Askar FMA 180
      - Quark Chromosphere (tellement d'aventures et de mésaventures, mais ce sera pour un autre post si j'ai le courage)
      - Player One Apollo M
      - Filter ERF 2" en premier élément du Askar
      - Réducteur après le Quark
      - Tilt Rowan
      - Daystar Flatcap
      - AZ GTI aligné avec un compas + tracking firecapture
       
      Traitements:
      - AS4! + ImPPG + Photoshop

       
      J'ai encore un petit problème de Tilt, la partie gauche / bas gauche étant plus flou, mais le setup se stabilise.
      Mon autre difficulté, c'est diminuer la luminosité du limb pour que ce soit plus naturel, notamment pour mieux voir la continuité des filaments sur / hors soleil
       
       
      Même équipement mais avec un Nikon 300mm F4 avec une bague 77 - 48mm pour mettre le ERF devant. Ca permet également de diminuer l'ouverture et augmenter le f-ratio pour le contraste:

       
       
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