Jean-Philippe Cazard

Le Soleil et la meteo (Suite)

Messages recommandés

> JD a dit : "Le problème c'est que les médias nous abreuvent de
> considérations climatiques dès qu'il fait doux ou chaud, jamais
> lorsqu'il fait froid"
> C'est tellement vrai que ça en devient ridicule !

> et plus les medias se ridiculisent, plus le nombre de sceptiques augmente.

----------------

Tout ceci montre bien qu'on exagere sur le rechauffement de la Terre. Surtout que ce n'est pas par ce qu'on a pendant 1 ou 2 semaines des temperatures tres douces (canicules,...) que ca veut dire qu'il y a un lien avec le rechauffement des temperatures. Car il y a toujours eu des canicules,.....


Concernant Copenhague on nous n'en parle plus et nous savons rien pour le bilan. Tout se qu'on sait c'est que le sommet Copenhague qui a eu lieu pour qu'entre pays un traité soit signé pour emmettre moins de CO2 et bien voila que tout ceci a motivé tellement de monde (45000 personnes)que PLUS DE 46.000 TONNES DE CO2 ONT ETE EMIS POUR UN TRAITE MINABLE ! !

Voir dans cette video => http://www.dailymotion.com/video/xbj8q3_copenhague-bilan-carbone-pas-tres-e_news

Et apres cela on nous dit de moins emmettre, on nous mets une taxe carbonne... alors que tout comme vous avez pu voir ce sont les personnes en haut de l'echelle (Ministre, Presidents,...) qui émettent le plus de CO2 compare a nous ! !

Tout ca montre qu'on revient au temps des rois !

Williams

[Ce message a été modifié par williams (Édité le 21-12-2009).]

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Article du Monde ce jour sur la collecte des données climatiques. On se demande comment ils arrivent à des conclusions objectives, vu que la majorité est "réinterprétée"... Ahurissant.

Les données climatiques devraient devenir publiques, par Gil Mahé et Alain Gioda

Aujourd'hui il n'existe pas de fichier unique de données climatiques mais une multitude de fichiers, contenant des données de sources diverses et de qualité variable, traitées de façon indépendante. Pourquoi ? Parce que les données climatiques ne sont pas du domaine public.
Ces données proviennent pour une bonne part des services météorologiques nationaux. Elles représentent une marchandise qui fait l'objet d'un commerce rapportant des sommes importantes aux services nationaux et leur vente participe à leurs frais de fonctionnement et de formation coûteuse et aléatoire, sachant la fuite chronique des cerveaux des pays du Sud.
Pour les obtenir, ou du moins pour en obtenir des fragments, les laboratoires des pays du Nord passent des accords de confidentialité avec ces services, souvent dans le cadre de projets de recherche, des accords interdisant leur copie à d'autres chercheurs. Néanmoins les données climatiques arrivent souvent de façon non officielle dans les machines de ces chercheurs qui ne peuvent et – pour cause ! – en faire la publicité.
Ainsi chaque laboratoire, étudiant des séries de données climatiques mondiales, continentales et régionales, construit son fichier de manière indépendante selon ses contacts et ses opportunités : les contenus puis les traitements peuvent être assez différents et ils sont parfois difficiles à justifier simplement parce que la critique des données fait appel à une dose importante de savoir-faire au moment de l'acceptation ou du rejet d'une information. Il faut savoir enfin que les fichiers dits opérationnels diffèrent de ceux des données brutes.
Pourquoi ? Parce que certaines informations brutes douteuses ou celles erronées sont retirées afin d'éviter la contamination des fichiers opérationnels. Cette façon de travailler ouvre la porte à toutes les interprétations sur la qualité des résultats obtenus à partir de tels fichiers.
Depuis novembre, la polémique au sujet du réchauffement des températures moyennes de la Terre est animée par des groupes mettant en doute la qualité du fichier de données du CRU (Climatic Research Unit de l'université d'East Anglia du Royaume-Uni), ou pis encore, mettant en cause l'intégrité de chercheurs d'aujourd'hui et de leurs prédécesseurs puisque la banque de données y a été bâtie pendant des décennies de travail.
Il faudrait plutôt travailler de concert pour l'élaboration d'un fichier universel de données. Face à l'ampleur des enjeux, il est urgent de mettre en place un fichier mondial, rassemblant les données météorologiques de l'ensemble des pays, et qui soit mis à la disposition du plus grand nombre possible de laboratoires de recherche afin de réaliser des études comparées et d'obtenir des résultats acceptés par tous. C'est la seule démarche scientifique qui ne prête pas à la critique ; des hypothèses antagonistes doivent pouvoir être testées à partir des mêmes jeux de données par plusieurs équipes qui emploient des méthodes différentes. La confrontation des méthodes, des techniques et des résultats fait partie de la controverse permanente qui est normale dans le monde scientifique.
Afin d'atteindre cet objectif, il faudrait que l'Organisation météorologique mondiale favorise l'utilisation gratuite des données climatiques pour la recherche. Le sommet de Copenhague aurait pu proposer d'appuyer économiquement la création d'une banque commune de données climatiques. En parallèle, pour accompagner la perte de revenus de certains services météorologiques, il faudrait mettre en place des mécanismes compensatoires pour permettre à tous les services de poursuivre correctement leurs activités, et notamment la collecte de données de terrain, base de la climatologie d'aujourd'hui et de demain.
Gil Mahé et Alain Gioda sont hydro-climatologue et historien du climat à l'IRD.

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Voila qui est pertinent pour expliquer la défiance à l'égard du système.

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Un florilège des mails piratés. On croit rêver.
(copié d'un article du Monde)

"Dans un de ces courriels-là, un scientifique de l'Unité communique son intention de baisser de 0,15 degrés les températures enregistrées de l'océan pour qu'elles s'ajustent mieux à ses "modèles climatiques".
Un autre scientifique, David Parker, discute avec un collègue sur la possibilité de changer la période de référence d'une étude sur la température de la planète, en considérant que cela démontrerait que la période actuelle est moins chaude que ce qu'ils avaient prévu. Tom Wigley, un scientifique du centre de recherche, disait dans un courriel qu'il faudrait ne pas montrer que le réchauffement de la surface de la planète a été deux fois plus élevé que celui de l'océan, parce que cela pourrait remettre en cause leurs thèses. Un autre collègue a reconnu avoir supprimé certaines données enregistrées depuis 1960 pour que le réchauffement semble plus élevé que ce qu'il est. Pourtant, la révélation la plus grave est que plusieurs scientifiques du CRU ont avoué dans leurs courriels avoir influencé quelques magazines scientifiques ("peer reviews") pour éviter la publication d'articles questionnant l'origine humaine du réchauffement. Quelques jours après, nous avons appris la démission du président du CRU, Phil Jones."

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Kaptain, je me suis permis de copier-coller tes propos sur le bistrop pour expliquer à JLD certaines choses qu'il semble ou feind d'ignorer.

Par ailleurs, le forum futura science semble avoir totalement pété les plombs, par le biais d'une censure qui devient digne de ce que pratiquait l'URSS avant 1989. Ces modérateurs zélés (qui ne sont même pas capable d'apparaître sous leur réelle identité)ne se rendent pas compte qu'en procédant ainsi, ils vont obtenir et renforcer ce qu'ils redoutent le plus.
http://forums.futura-sciences.com/environnement-developpement-durable-ecologie/362461-moderation-discussions-climat.html
http://forums.futura-sciences.com/environnement-developpement-durable-ecologie/362665-une-oscillation-curieuse.html

Merci à ce Yoyo de nous montrer au grand jour ce que la science peut avoir de plus pervers...

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Un extrait de la prose édifiante d'un des liens fournis par JD :

"... le probleme est que le flood fait par certains donne à ce forum une tonalité sceptique manifeste en contradiction avec la quasi unanimité des climatologues (donc des gens qui savent de quoi ils parlent)"

A vos ordres M'sieur l'admin' !..

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Ouille ça casse là. Content de vivre en zone libre !

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quote:
Un article intéressant, même si non scientifique. [URL=http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2352/dossier/a414143-du_rififi_chez_les_chercheurs.html

Très très bien le lien que tu donnes JD, mais je ne suis pas certain qu'il prêche pour ta paroisse

Quelques extraits :

quote:
Plusieurs de ces institutions ont des liens avérés avec les groupes pétroliers. Entre 1998 et 2005, ExxonMobil a versé 560 000 dollars à l'Institut Heartland. Et Singer a reconnu avoir reçu d'Exxon un chèque «non sollicité» de 10000 dollars

quote:
Dans le débat qui concerne le changement climatique et ses causes, je constate cependant que, d'un strict point de vue de la rationalité scientifique, les chercheurs, qui étaient très majoritairement sceptiques quant à ce phénomène voici une vingtaine d'années, sont à présent très majoritairement convaincus de son existence. C'est parce qu'ils ont conduit de nombreux travaux qu'ils sont arrivés à ce constat. Alors, lobby intempestif ? Conjuration des élites ? Les écologistes seraient soudainement devenus bien puissants... Aux Etats-Unis, où le courant «sceptique» est très virulent, on note que ce sont surtout les grands groupes de l'industrie lourde et de l'automobile qui le financent. On pourrait douter avec eux si ces importants moyens avaient servi à produire de véritables recherches qui démontreraient la validité de leurs thèses.

Dans tout ça on se sait pas qui a mis sur la table les moyens nécessaires pour faire de façon totalement frauduleuse l'un des plus grands casse informatique de tous les temps en allant pirater plus de 1000 emails.
Tout ça juste avant le sommet de Copenhague par le plus grand des hasards, alors que certaines correspondances incriminées sont vielles de 10 ans, ...

*Qui a intérêt à mettre en œuvre des moyens malhonnêtes pour en arriver là ? Je n'ai pas la réponse, mais on peut raisonnablement douter que les intentions derrière ça soient louables.

*A qui des mesures plus fortes passées à Copenhague auraient elles portées préjudice ?
Ça on en a une petite idée, et je ne vais pas verser une larme pour eux
Car pour nous (simple citoyen lambda), même en admettant que les décisions soient prises sur des bases erronées, une chose est certaine, c'est qu'émettre moins de CO2 ça ne peut pas nuire.

*Pourquoi avoir peur de changer de mode de production d'énergie (car c'est bien de ça qu'il s'agit) ?
La simple peur ancestrale du changement ? Peut être en ce qui concerne l'opinion publique. La peur de la décroissance et de la remise en cause de notre mode de vie ? Certainement.

Faire croire que se préoccuper de nos ressources en énergie (qui posent bien d'autres problèmes que le climat), ça va se faire au détriment d'autres problématiques est allègrement une escroquerie . Typiquement, les ressources en eau sur Terre, c'est un problème posé à l'humanité depuis bien plus longtemps que le climat. Un sommet mondial sur l'eau aurait pu avoir lieu depuis longtemps et peut toujours avoir lieu, l'un n'empêche pas l'autre. A défaut de sommet, ça n'empêche pas à des ONG de s'en préoccuper et d'agir sur le terrain, idem pour les famines.
Si le CO2 préoccupe tant les pays riches, c'est bien parce que les enjeux dépassent largement le simple problème climatique (qu'il soit avéré ou non, en fait on s'en fou presque, il faut laisser le temps au débat scientifique). La famine ici on ne connait pas, par contre le pétrole à 1,5€ au moment de partir insouciant en vacances à la plage, on connait, et on n'aime pas ça du tout. Du coup on se sent très concerné. Le pétrole à 1,5€ s'était un micro aperçu des menaces qui planent sur notre modèle économique. La guerre en partie pour le pétrole, on connait aussi. Les marrées noires, on connait très bien en France malheureusement. Les scandales politico-financiers liés au pétrole (et aux ressources d'énergie en général), idem, c'est même un sport nationale, ...
Alors que le CO2 (et donc l'utilisation du pétrole) ne soit qu'un des problèmes à régler sur Terre c'est un fait. Il n'empêche que nous aurions tous à gagner à moyen et à long terme de voir ces questions résolues. Le débat -par trop passionné- qui a lieu partout ces temps-ci ne fait que parasiter et retarder les prises de décisions nécessaires des politiques. Et ça c'est bien dommage ! En décidant aujourd'hui de limiter nos besoin en pétrole, il est possible de le faire en relative douceur. Dans 20, 30 ou 40 ans ça risque d'être beaucoup plus compliqué et brutal. Il n'y a qu'a voir la réaction de la France suite au choc pétrolier de 1973, nous nous sommes précipité dans le nucléaire. Je ne suis pas un antinucléaire, loin s'en faut, mais force est de constater que la façon dont cette mutation brutale a été opérée dans notre pays ne va pas sans poser de lourds problèmes sur la santé humaine et l'environnement.

JLuc

[Ce message a été modifié par jldauvergne (Édité le 23-12-2009).]

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OK Jean-Luc. OK pour arrêter le massacre des ressources naturelles, avoir un rapport plus raisonné et intelligent avec la nature, OK pour essayer de produire une énergie moins polluante. OK même qu'il y a probablement réchauffement climatique. Mais avoue quand même que les méthodes employées sont pour le moins SCIENTIFIQUEMENT contestables et mériteraient une sérieuse remise à plat en virant quelques-uns qui ont cautionné cette infâme cuisine.
Deuxième problème, la fin du pétrole est, quoiqu'en disent les écolos, le plus grand défi que l'humanité aura à relever depuis sa naissance.

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Il n'y a aucun doute qu'estimer quels ont été les changements de température ces 1000 ou 10 000 dernières années, est une entreprise extrêmement complexe. A ce jeu il y a nécessairement des erreurs côté GIEC, mais les climatosceptiques en commettent également et certaines sont grossières (je ne parle même pas des scientifiques climatosceptique sponsorisés par Exxon qui nous disent que le CO2 c'est super pour les générations futures). Mais en ce qui concerne le climat la grande question est plutôt de savoir ce qui va se passer si on brûle en 50 ans les réserves actuellement connues, plus que de savoir ce qui s'est déjà passé. Certes la connaissance du passé aiderait à y voir plus clair, mais en l'absence de consensus, c'est difficile de s'y retrouver.
Or, actuellement, le débat porte plus sur l'"archéoclimatologie" que sur la question de savoir ce qui va se passer demain. Dire que le CO2 anthropique n'a pas encore eu d'effet notable (point qui est largement contesté de toute façon) ne veut pas dire qu'il n'en aura pas demain directement ou indirectement. Il peut y avoir des effets de seuil ou des effets retards dans ce genre de mécanismes. Si la débat était plus centré sur l'avenir je ne doute pas que les résultats et les pronostiques feraient polémique également, car mettre tout ça en équation est d'une complexité sans nom, c'est évident. Est-ce seulement possible ?
Outre les supercalculateurs et les modèles numériques les plus complexes du monde, il semble à peut près aussi raisonnable de se dire que le CO2 anthropique à toute les chances d'avoir une influence non négligeable sur le climat de la Terre ; tout comme il est tout à fait raisonnable d'estimer que le Soleil a une influence sur le climat. Reste à évaluer dans quelle proportion, et surtout arriver à un résultat qui fasse l'unanimité.
Sans faire des recherches pointues et complexes, il suffit de voir la coïncidence entre le minimum de Maunder et petit âge glaciaire pour se dire qu'il est très probable qu'il y ait un rapport au moins en partie entre les deux. Néanmoins le mécanisme qui les relie n'est pas vraiment compris à ce jour, ...

quote:
Deuxième problème, la fin du pétrole est, quoiqu'en disent les écolos, le plus grand défi que l'humanité aura à relever depuis sa naissance.

Tu l'as dit ! C'est pourquoi le fait que cette polémique soit au plus fort au moment où des mesures enfin raisonnables étaient en passe d'être prises, c'est vraiment consternant.

[Ce message a été modifié par jldauvergne (Édité le 23-12-2009).]

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>> Kaptain, je me suis permis de copier-coller tes propos sur le bistrop
>> pour expliquer à JLD certaines choses qu'il semble ou feind d'ignorer.
>> Par ailleurs, le forum futura science semble avoir totalement pété les
>> plombs, par le biais d'une censure qui devient digne de ce que >> pratiquait l'URSS avant 1989. Ces modérateurs zélés (qui ne sont même pas
>> capable d'apparaître sous leur réelle identité)ne se rendent pas
>> compte qu'en procédant ainsi, ils vont obtenir et renforcer ce qu'ils
>> redoutent le plus.
>> http://forums.futura-sciences.com/environnement-developpement-durable-ecologie/362461-moderation-discussions-climat.html
>> http://forums.futura-sciences.com/environnement-developpement-durable-ecologie/362665-une-oscillation-curieuse.html

>> Merci à ce Yoyo de nous montrer au grand jour ce que la science peut
>> avoir de plus pervers...

Je ne comprends pas pourquoi dans certains forums les moderateurs reagissent ainsi alors qu'un forum est la pour que les personnes donnent leur avis, donnes des infos qu'ils on lus, ou analysé...

Quand on voit des reactions ainsi c'est tout comme si il faudrait qu'on donne que l'avis des scientifiques du GIEC et pas notre avis ou meme des avis des autres scientifiques qui sont pas du meme avis que le GIEC.

Donc c'est comme si l'égalité, la libértité.... n'existe plus !

Williams

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quote:
Donc c'est comme si l'égalité, la libértité.... n'existe plus !


On parle d'internet là ? Si ça défrise certains ils ne sont pas obligés de s'exprimer sur ce forum, n'y même d'y mettre les pieds. Les propriétaires de ce site sont bien libres de faire ce qu'ils veulent chez eux, que leur motivations soient justes où non. Internet reste un espace libre et il est possible d'exprimer tous les points de vue, sur ce sujet par exemple certains le font ici, et ce ne sont pas les espaces qui manquent pour le faire ailleurs.

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Ben oui, c'est comme Claude Allegre, il a bien le droit de dire ce qu'il veut et d'être à contre courant de la pensée unique climatique. Personne n'est obligé de croire ce qu'il dit. Hein, on est pas obligé hein !!!

C'est rigolo, tu défends la liberté d'expression quand elle pense "comme il faut", mais sinon, tu choisis plutôt le lynchage des personnes, qui plus est de personnes dont tu ne sembles pas avoir lu le moindre bouquin...

Alors disons qu'il y a des gens qui veulent pouvoir exprimer de la diversité ; et puis d'autres qui, sous couvert d'un pseudo "sérieux scientifique", voudraient contrôler ce qui se dit et être les gardiens d'un ordre établi climatique ou autre.
Mais ils obtiennent exactement le contraire de ce qu'ils cherchent. Aussi, tu ne devraient pas les aider en venant faire le schtroumpf à lunette ici.

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Allègre peut dire les énormités qu'il veut même plus grosse que lui je suis bien incapable de l'empêcher, mais je ne vais pas me priver de le souligner, ce n'est pas incompatible avec la défense de la liberté d'expression. Ma liberté à moi c'est de relever le nombre incalculable d'inepties qu'il aligne devant les caméras, et la place disproportionnée que lui donnent les journalistes.
Si il y avait un forum fermé de climatosceptiques à l'opposé de l'attitude de celui de FS, je n'irais pas plus que sur un forum d'astrologie C'est ma liberté

[Ce message a été modifié par jldauvergne (Édité le 24-12-2009).]

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Ok.
Allez trève des confiseurs, joyeux Noël à tous.

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A propos de www.spaceweather.com en date du'aujourd'hui une étude interessante sur l'environnement interstellaire proche et des surprises climatiques possibles qui peuvent en découler.

Traduction de google pas top mais la voici :

http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.spaceweather.com%2Farchive.php%3Fview%3D1%26day%3D27%26month%3D12%26year%3D2009&sl=en&tl=fr&hl=&ie=UTF-8

Voyager fait une découverte Interstellar
12.23.2009 12.23.2009

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December 23, 2009: The solar system is passing through an interstellar cloud that physics says should not exist. Décembre 23, 2009: Le système solaire traverse un nuage interstellaire dit que la physique ne devrait pas exister. In the Dec. 24th issue of Nature , a team of scientists reveal how NASA's Voyager spacecraft have solved the mystery. Dans le numéro du 24 décembre de Nature, une équipe de scientifiques révèlent comment la NASA sondes Voyager ont résolu le mystère.

voir la légende "Using data from Voyager, we have discovered a strong magnetic field just outside the solar system," explains lead author Merav Opher, a NASA Heliophysics Guest Investigator from George Mason University. "En utilisant les données de Voyager, nous avons découvert un fort champ magnétique à l'extérieur du système solaire", explique l'auteur principal Merav Opher, un chercheur de la NASA héliophysique Client de l'Université George Mason. "This magnetic field holds the interstellar cloud together and solves the long-standing puzzle of how it can exist at all." "Ce champ magnétique retient le nuage interstellaire ensemble et résout l'énigme de longue date de la façon dont elle peut exister du tout."

Right: Voyager flies through the outer bounds of the heliosphere en route to interstellar space. À droite: Voyager vole dans les limites extérieures de l'héliosphère, en route vers l'espace interstellaire. A strong magnetic field reported by Opher et al in the Dec. 24, 2009, issue of Nature is delineated in yellow. Un champ magnétique fort signalées par Opher et al dans les 24 décembre 2009, l'émission de la nature est délimitée en jaune. Image copyright 2009, The American Museum of Natural History. Image Copyright 2009, The American Museum of Natural History. [ larger image ] [Agrandir]

The discovery has implications for the future when the solar system will eventually bump into other, similar clouds in our arm of the Milky Way galaxy. Cette découverte a des implications pour l'avenir lorsque le système solaire sera finalement tomber sur d'autres, à l'instar des nuages dans nos bras de la galaxie, la Voie Lactée.


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Astronomers call the cloud we're running into now the Local Interstellar Cloud or "Local Fluff" for short. Les astronomes appellent le nuage nous courons en maintenant le nuage interstellaire local ou "Local Fluff" pour faire court. It's about 30 light years wide and contains a wispy mixture of hydrogen and helium atoms at a temperature of 6000 C. The existential mystery of the Fluff has to do with its surroundings. Il est environ 30 années-lumière de large et contient un mélange vaporeux de l'hydrogène et les atomes d'hélium à une température de 6000 C. Le mystère existentiel du Fluff a à voir avec son environnement. About 10 million years ago, a cluster of supernovas exploded nearby, creating a giant bubble of million-degree gas. Il ya environ 10 millions d'années, un groupe de supernovae ont explosé à proximité, créant ainsi une bulle géante de millions de gaz degré. The Fluff is completely surrounded by this high-pressure supernova exhaust and should be crushed or dispersed by it. Le Fluff est complètement entourée par cet échappement haut supernova pression et doivent être écrasés ou dispersés par elle.

"The observed temperature and density of the local cloud do not provide enough pressure to resist the 'crushing action' of the hot gas around it," says Opher. "La température observée et la densité du nuage local ne fournissent pas assez de pression pour résister à l'action« broyage »du gaz chaud autour d'elle», dit Opher.

So how does the Fluff survive? Alors, comment fonctionne le Fluff survivre? The Voyagers have found an answer. Les voyageurs ont trouvé une réponse.

"Voyager data show that the Fluff is much more strongly magnetized than anyone had previously suspected—between 4 and 5 microgauss * ," says Opher. "Voyager données montrent que le fluff est beaucoup plus fortement magnétisé que quiconque l'avait imaginé auparavant entre 4 et 5 * microgauss, dit Opher. "This magnetic field can provide the extra pressure required to resist destruction." "Ce champ magnétique peut fournir la pression supplémentaire nécessaire pour résister à la destruction."

voir la légende

Above: An artist's concept of the Local Interstellar Cloud, also known as the "Local Fluff." Ci-dessus: une illustration d'artiste du nuage interstellaire local, également connu sous le Fluff locales "." Credit: Linda Huff (American Scientist) and Priscilla Frisch (University of Chicago) [ more ] Crédit photo: Linda Huff (American Scientist) et Priscilla Frisch (Université de Chicago) [plus]

NASA's two Voyager probes have been racing out of the solar system for more than 30 years. NASA deux sondes Voyager ont été des courses hors du système solaire depuis plus de 30 ans. They are now beyond the orbit of Pluto and on the verge of entering interstellar space—but they are not there yet. Ils sont maintenant au-delà de l'orbite de Pluton et sur le point de pénétrer dans l'espace interstellaire, mais ils ne sont pas encore là.

"The Voyagers are not actually inside the Local Fluff," says Opher. «Les voyageurs ne sont pas réellement à l'intérieur du Fluff locale», explique Opher. "But they are getting close and can sense what the cloud is like as they approach it." "Mais ils se font fermer et peut sentir ce que le nuage est similaire, ils l'abordent".

The Fluff is held at bay just beyond the edge of the solar system by the sun's magnetic field, which is inflated by solar wind into a magnetic bubble more than 10 billion km wide. Le Fluff est tenue à l'écart juste au-delà du bord du système solaire par le champ magnétique du soleil, ce qui est gonflé par le vent solaire dans une bulle magnétique plus de 10 milliards de km de large. Called the "heliosphere," this bubble acts as a shield that helps protect the inner solar system from galactic cosmic rays and interstellar clouds. Appelé l'héliosphère "," cette bulle agit comme un bouclier qui protège le système solaire interne, des rayons cosmiques galactiques et les nuages interstellaires. The two Voyagers are located in the outermost layer of the heliosphere, or "heliosheath," where the solar wind is slowed by the pressure of interstellar gas. Les deux sondes Voyager sont situés dans la couche la plus externe de l'héliosphère, ou "héliogaine", où le vent solaire est ralenti par la pression du gaz interstellaire.

Voyager 1 entered the heliosheath in Dec. 2004; Voyager 2 followed almost 3 years later in Aug. 2007. Voyager 1 est entré l'héliogaine en décembre 2004, Voyager 2, suivi de près de 3 ans plus tard, en août 2007. These crossings were key to Opher et al 's discovery. Ces points de passage ont été essentielles à Opher et al 'est découverte.

voir la légende Right: The anatomy of the heliosphere. A droite: L'anatomie de l'héliosphère. Since this illustration was made, Voyager 2 has joined Voyager 1 inside the heliosheath, a thick outer layer where the solar wind is slowed by the pressure of interstellar gas. Depuis cette illustration a été faite, Voyager 2 a rejoint Voyager 1 dans l'héliogaine, une couche extérieure épaisse où le vent solaire est ralenti par la pression du gaz interstellaire. Credit: NASA/Walt Feimer. Crédit: NASA / Walt Feimer. [ larger image ] [Agrandir]

The size of the heliosphere is determined by a balance of forces: Solar wind inflates the bubble from the inside while the Local Fluff compresses it from the outside. La taille de l'héliosphère est déterminée par un équilibre des forces: Le vent solaire se gonfle la bulle de l'intérieur tandis que le Fluff locales, il compresse de l'extérieur. Voyager's crossings into the heliosheath revealed the approximate size of the heliosphere and, thus, how much pressure the Local Fluff exerts. A portion of that pressure is magnetic and corresponds to the ~5 microgauss Opher's team has reported in Nature . Passages de Voyager dans le héliogaine révélé la taille approximative de l'héliosphère, et donc, combien la pression qu'exerce Local Fluff. Une partie de cette pression est magnétique et correspond à l'équipe 5 ~ microgauss Opher a rapporté dans Nature.

The fact that the Fluff is strongly magnetized means that other clouds in the galactic neighborhood could be, too. Le fait que le Fluff est fortement magnétisé signifie que d'autres nuages dans le voisinage galactique pourrait l'être aussi. Eventually, the solar system will run into some of them, and their strong magnetic fields could compress the heliosphere even more than it is compressed now. Finalement, le système solaire se heurtera à certains d'entre eux, et leurs puissants champs magnétiques pourrait comprimer l'héliosphère, plus encore que maintenant il est comprimé. Additional compression could allow more cosmic rays to reach the inner solar system, possibly affecting terrestrial climate and the ability of astronauts to travel safely through space. Compression supplémentaire pourrait permettre à plus de rayons cosmiques d'atteindre le système solaire interne, qui peut affecter la climat terrestre et la capacité des astronautes de Voyage en toute sécurité dans l'espace. On the other hand, astronauts wouldn't have to travel so far because interstellar space would be closer than ever. D'autre part, les astronautes n'auraient pas à Voyage jusqu'ici parce que l'espace interstellaire serait plus proche que jamais. These events would play out on time scales of tens to hundreds of thousands of years, which is how long it takes for the solar system to move from one cloud to the next. Ces événements jouerait sur des échelles de temps de plusieurs dizaines à des centaines de milliers d'années, qui est le temps qu'il faut pour le système solaire de se déplacer d'un nuage à l'autre.

"There could be interesting times ahead!" «Il pourrait y avoir des moments intéressants à venir!" says Opher. dit Opher.

To read the original research, look in the Dec. 24, 2009, issue of Nature for Opher et al's article, "A strong, highly-tilted interstellar magnetic field near the Solar System." Pour lire les travaux de recherche originaux, regardez dans les 24 décembre 2009, issue de la Nature pour l'article Opher et al: «Une forte, très inclinée champ magnétique interstellaire à proximité du système solaire."


Mais le mieux de lire le lien direct:

http://science.nasa.gov/headlines/y2009/23dec_voyager.htm

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Quelques extraits de l'édito de Nature du 3 décembre 2009 :

quote:
This paranoid interpretation would be laughable were it not for the
fact that obstructionist politicians in the US Senate will probably use
it next year as an excuse to stiffen their opposition to the country’s
much needed climate bill. Nothing in the e-mails undermines the scientific
case that global warming is real

Cette interprétation paranoïaque pourrait être risible, sauf qu'elle sera probablement utilisée l'année prochaine par les politiciens obstructionnistes du Sénat américain comme excuse pour renforcer leur opposition à la loi indispensable sur le climat. Rien dans ces e-mail n'ébranle les arguments des scientifiques sur le fait que le réchauffement global est réel. [...]

quote:
Un peu plus loin : "A fair reading of the e-mails reveals nothing to support the denialists’conspiracy theories.

Une lecture attentive de ces e-mail ne révèle rien en mesure d'étayer les théories conspirationnistes des climato-sceptique.

JLuc

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L'article précédent donne du crédit à l'idée qu'il y a variation des flux de rayons cosmiques en fonction de la position du système solaire dans les bras ou entre les bras de la galaxie. A noter que ces variations corrèlent assez bien avec tous les oscillations glaciaires et interglaciaires depuis quelques millions d'années.
On a sans doute trop négligé l'astronomie pour expliquer les variations climatiques. C'est pourtant une cause qui tient du bon sens.

[Ce message a été modifié par JD (Édité le 06-01-2010).]

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A tes souhaits, et bien content de t'agacer comme tu le dis si élégamment. Décidément tu as toujours la grande classe. Tes arguments et tes références sont tellement bétons que tu ne peux pas t'empêcher de sortir de tes gonds

quote:
Ici on discute climat, pas potins.

Ah oui ? Et là : http://www.astrosurf.com/ubb/Forum1/HTML/002820-19.html , ça parle de quoi tu crois ? J'ai rêvé où ça cause climategate ?

Meilleurs vœux quand même, en espérant qu'en 2010 tu parviennes à te débarrasser de ce vilain syndrome de Tourette.

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