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Pascal,

 Il ne faut pas mélanger la mécanique moteur thermique à tr hautes performances qui tourne à 8 ou 10.OOO tr/mn , elle demande des protocoles très serrés et du JEU !  Ce petit mécanisme tout simple du Sc-Cass est facile à résoudre , sans doute est-ce pour cela que tu n'y a pas pensé et que tu le dénigre .. Le résultat est presque parfait mais ce qui ne te plait pas c'est sa simplicité, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, diras-tu ! 

      La tige filetée n'a AUCUNE flexibilité ici , tu sembles n'avoir aucune appréciation des forces transmises , de plus la démultiplication de la vis est telle que ne l'on ne sent pas les frottements  ajoutés .

      INUTILE d'employer des mots techniques , les grands principes …….. et même la Mécanique Quantique …. totalement hors sujet !!!    en plus , tu tombes mal car c'est un de mes sujets de prédilection et je peux te faire un cours là dessus. 

 je te salue

J-Louis

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Il y a 3 heures, lyl a dit :

Je n'ai pas besoin qu'on m'enseigne les règles des jeux mécaniques.

 

Je ne crois pas qu'il soit utile de "monter dans les tours" !


 

Il y a 3 heures, lyl a dit :

Je dis que le jeu de ce montage devient trop important par conception pour le besoin de qualité nécessaire a une optique astronomique.

 

C'est certain qu'il n'y a eu aucune étude statistique pour savoir quel ajustement limite pouvait être raisonnablement donné...

 

Si la modif apporte un plus, tant mieux. On parlait au départ d'une map impossible à faire sur Vénus... Et d'une collimation à refaire, ce qui est un problème de SC...

 

De passage pour quelques heures seulement, je ne vais pas me plonger dans les proses de chacun... dsl

La pièce photographiée ne me "cause" pas quant à mon C11 mais le principe doit être le même : comment transformer un pivot glissant en glissière avec guidage micrométrique par vis+écrou

Si ça fonctionne sans jeu, ça ne fonctionne pas sans déformation : tout est flexible là dedans du barillet jusqu'à la tige filetée...

 

Je serais sur Tours en milieu de semaine mais sans doute sans connexion internet...

Modifié par Pascal C03

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Tss tss les amis :)

Bon, on part dans du H7g6 ok.

Mais qu'en sera-t-il l'été par 40° et l'hiver par -10° ?

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C'est avec plaisir quez je réponds à ton intelligence et ton savoir . Comme je l'ai dit je ne suis pas un grand astronome mais je "bricole" depuis 60 ans, hélas, ai des machines outils pour le plaisir et sais ce qu'est 1/100 e ou 1 micron, toi aussi …. mais pas le cas de certains ….. là pour se rendre intéressants….. ils vont devenir silencieux , après mouchage ! A mon âge, on ne supporte plus la bêtise.

J-Louis

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Si tu fais de l'astro depuis 60 ans, peux-être as-tu connu ce grand monsieur qu'était E Geneslay... Sur Tours

Ou bien Gino Faronni ? Club d'astro du Beffroi : il y a de cela 45 ans !

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Lyl : pour avoir démonté et bricolé pas mal de vieux et moins vieux SC dans ma (non moins vieille ) vie d'astram, la grosse bloblotte sur ce genre de tubes vient surtout avec le vieillissement des lubrifiants, plus qu'avec l'usure des pièces mécaniques, qui sont manoeuvrées si lentement et avec si peu d'efforts que leur usure reste négligeable en pratique.

Par contre, les jeux fonctionnels d'origine sont prévus "laaarges" pour permettre des tolérances de fabrication économiquement peu contraignantes : on a intérêt à les réduire si possible, mais ça dépend vraiment des tubes ; sur certains le shifting demeure acceptable, sur d'autres il devient vraiment handicapant...

Sur mon île on travaille avec 2 SC : un 8'' et un 14'', et j'en entretiens 3 autres, dont 2 à Maurice.

(je précise que tous ont moins de 10 ans et bénéficient d'optiques honnêtes voire très satisfaisantes - une fois réglées, cela va de soi ;))

Sur notre 8'', le problème reste contenu : j'ai juste remplacé les lubrifiants d'origine pour maintenir une viscosité adaptée au climat tropical en vigueur ici, et revêtu l'intérieur de ProtoStar. Pas de blocage primaire, MAP Célestron d'origine, shifting modéré peu gênant, ça roule.

Par contre j'ai dû faire la totale au C14 : ventilation forcée, blocage primaire maison (réglable, pour adapter la position du primaire selon l'objectif de la session) flocage interne, etc, avec installation d'un focuser FT derrière.

J'ai rencontré sur ce tube un problème inédit : l'axe du baffle central n'est pas coaxial au tube du télescope.

Il n'est pas seulement décalé latéralement : il ne pointe tout simplement pas en direction du centre de la lame de fermeture et à fortiori du secondaire... il s'en faut d'une grosse poignée de millimètres !

En gros ce tube, sur lequel coulisse le bloc primaire pour la MAP d'origine, est de traviole dans le télescope !

La conséquence évidente - mais ayant complètement échappé à l'acheteur initial par manque de références, qui se contentait d'images très molles pour rester very soft :) - c'est qu'une collimation fine n'est chaque fois possible que pour une et une seule position du primaire, donc que pour un seul réglage de la MAP d'origine : si je fais la MAP à ma vue avec un oculaire de courte focale par exemple, je parviens bien à collimater pour cette position du primaire, mais tout observateur qui passera derrière moi avec une vue différente, soit verra une image collimatée mais floue, soit verra une image nette mais décollimatée... elle n'est pas belle la vie ? 9_9

C'est évidemment un défaut d'origine qui aurait nécessité un retour chez l'importateur même hors garantie (je n'ai découvert ce télescope et son défaut que plusieurs années après qu'il ait été acheté) sauf que là, le coût d'un retour hors garantie chez Médas depuis l'Océan Indien, et surtout l'absence d'instrument de remplacement durant son absence - avec la perte d'exploitation correspondante - ont rendu cette option rédhibitoire.

Le truc restant indémontable sans risquer sa destruction, j''ai donc décidé de faire avec, et conçu/optimisé mon système pour pouvoir bloquer le primaire dans différentes positions selon l'usage prévu, chacune imposant bien sûr une collimation (mais c'est de toute façon toujours recommandé ;))

La MAP fine se faisant cette fois sur un PO externe, plus de problème derrière.

Ce système offre l'avantage - outre de contourner le problème sus-cité - de conserver la polyvalence totale de l'instrument en dépit du blocage

(j'ouvrirai un fil là-dessus si certains sont intéressés ou ont rencontré le même problème)

En tout état de cause et pour confirmer quand même ce que disait Norma plus haut : le principe utilisé par Bricoleur37, pour séduisant qu'il soit par sa simplicité, ne peut convenir que sur un tube présentant à la base une géométrie correcte, des jeux modérés, et pour un usage non-extrême type imagerie planétaire haute résolution par exemple.

Cependant pour l'utilisateur standard, il me semble bien adapté et facile à mettre en oeuvre :)

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Ah, j'avais raté un message...

J'ai retouché à peu près intégralement mon C11 donc je connais la mécanique des SC si elle s'apparente au C11... Je n'ai pas ouvert de C8...

 

Je ne dénigre rien et je pense qu'on est sur 2 discours // ce qui semble créer de l'incompréhension...

 

dire que l'on passe d'une mécanique physique à la mécanique quantique, heu, c'est de l'humour... 9_9

Même si un principe d'incertitude demeure en mécanique des solides par manque de moyen d'évaluer la géométrie exacte des pièces que l'on assemble...

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Clairement, oui !

(et c'est là que l'ajusteur justement - donc le praticien éclairé - peut faire des merveilles :) ... pourvu qu'il y ait matière à ajuster - donc à enlever, ou comme l'a fait notre ami : à ajouter ;))

Modifié par Alain MOREAU
précision (il manque une poignée de microns ;)

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 Réponse à Pascal,

   Alors on effectue un rétropédalage peu glorieux , après la critique irréfléchie, on botte en touche !  2 discours //  ? pas du tout , je discerne en plus la mauvaise fois de quelqu'un qui en dit bcp plus qu'il n'en sait . Puisque vs insistez sur la MQ , je pense que s'y vous vous y connaissez  un peu plus qu'en bricolage de précision , dites moi donc rapidement ce qu'est l'Intrication Quantique ? sans aller sur le Net , je vérifierai ce qui est mis .

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 j'ai pensé à vérifier le centrage du tube central avec un pied à coulisse spécial de profondeur . La précision est inférieure à 1/10 e de mm , la mesure n'est pas facile à l'intérieur. Il me parait difficile de faire mieux cat il faudrait usiner , le tube étant  monté.

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Bricoleur37, s'il est encore temps, ce serait sympa, avant de remonter le tube, de faire une ou deux photos de l'ensemble du système de déplacement du miroir. Ce serait très instructif pour les possesseurs de C8 qui comme moi, faute de compétence, n'ont jamais osé se lancer dans le démontage du tube. Merci.

 

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ok , je ferai ça demain mat , ce n'est pas difficile , il faut juste repérer  la position relative des 2 miroirs qui sont "appareillés". Sur le Net il y a 2 sites bien expliqués avec ttes photos : Améliorer un Célestron C8 . Si vs voulez discuter, donnez moi  un  mail  à jl0007@orange.fr , je vs donnerai mon  n° de portable en retour .

J-L

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Il y a 3 heures, Alain MOREAU a dit :

Lyl : pour avoir démonté et bricolé pas mal de vieux et moins vieux SC dans ma (non moins vieille ) vie d'astram, la grosse bloblotte sur ce genre de tubes vient surtout avec le vieillissement des lubrifiants, plus qu'avec l'usure des pièces mécaniques, qui sont manoeuvrées si lentement et avec si peu d'efforts que leur usure reste négligeable en pratique.

Ok Alain, clair que tu en as démonté plus que moi.

Mais il y a tellement de types de lubrifiants maintenant que je sèche sur ce genre de truc.

J'aurais tendance à reprendre les vieilles graisses pour métal qu'on ne remplace que rarement. Celles au téflon ça coule de trop à mon goût sur les surfaces non poreuses et ça se fait éjecter.

Et puis il ne faut pas oublier la température en Europe, pas la même que chez toi, moi ça m'arrive de descendre sous zéro et ça devient dur.

Des graisses/huiles qui font un film de surface, ça doit compenser le jeu natif. Tant qu'on reste < à 3/100e c'est bien.

----------------------------------

Bon en gros si le jeu d'origine est bon, c'est le type du lubrifiant d'origine qui n'est pas pérenne ?

Modifié par lyl

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Yep Lyl ! (histoire de ne pas laisser ton y en solo ;))

À Rodrigues, j'ai remplacé les lubrifiants par une graisse au lithium industrielle "haute température" (graisse US ABRO, index de viscosité 145) nettement plus adaptée au climat que celle d'origine, qui fondait et devenait trop fluide.

Le shifting s'en est trouvé significativement réduit, sans autre intervention nécessaire sur les 8''.

D'autre part les périodes cycloniques m'obligent de toute façon a démonter les optiques au moins une fois l'an (et plutôt deux ou trois...) pour procéder à leur nettoyage complet, préventif et souvent même curatif anti-fongique, malgré toutes les précautions et protections d'usage...

J'en profite donc pour contrôler voire remplacer la graisse, ça ne mange pas de pain et j'évite toute complication liée à son vieillissement.

Mais la particularité climatique qui facilite grandement cette adaptation, c'est que l'amplitude thermique nocturne été/hiver reste en général inférieure ici à 10°C !

La température nocturne de l'air ambiant - porté 95% du temps par l'alizé - se cale à peu de chose près sur celle de surface de l'océan en fonction de la saison : typiquement entre 22 et 30°C, sauf canicule exceptionnelle en été, où le vent peut tomber durant plus de 48 à 72h d'affilée... L'eau du lagon grimpe alors en surface jusqu'à 33-34°C, et sur les terres desséchées subissant une forte insolation dans la journée sans plus de tampon végétal (cramé !) ça peut atteindre la même température humide même la nuit ! (là il fait vraiment trop lourd pour dormir, mais c'est rare heureusement :P) En hiver, la remontée exceptionnelle d'une masse d'air froid de l'Antarctique peut faire à l'inverse descendre la température temporairement sous la barre des 20°C, mais c'est moins gênant car le plus souvent le ciel sera très nuageux sous ces conditions thermiques.

Donc la viscosité d'une graisse haute température reste stable dans cette faible fourchette, c'est bien pratique pour nous :)

Il y a 3 heures, lyl a dit :

Bon en gros si le jeu d'origine est bon, c'est le type du lubrifiant d'origine qui n'est pas pérenne ?

Bah comme tout lubrifiant, la graisse d'origine se dégrade à la longue... surtout si l'instrument sert beaucoup et alterne fréquemment chaud/froid.

Et aussi il n'y a rien qui empêche la graisse de baver peu à peu vers l'extérieur, donc à force, la quantité de graisse entre les deux tubes concentriques peut devenir insuffisante pour assurer un guidage correct et onctueux : le shifting augmente et la MAP devient moins douce et précise.

Par contre, avec un gradient thermique qui peut atteindre en France 3x cette valeur, voire plus, trouver le meilleur compromis pour la viscosité va dépendre pas mal du lieu et des habitudes de l'utilisateur du tube...

Je n'ai pas assez d'expérience pour donner des conseils généraux là-dessus.

En France dans les Monts du Lyonnais, j'utilisais à cet effet une bonne graisse à roulements basse température trouvée chez un mécanicien agricole du coin, qui me donnait satisfaction sur mon site même par basse température, mais mon instrument était sous coupole donc relativement protégé, alors je ne sais pas si c'est généralisable...

L'importateur, qui assure aussi le SAV, est sûrement le mieux placé pour faire des recommandations adaptées au site et à l'usage de l'instrument.

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Bricoleur37, merci pour le site conseillé concernant l"amélioration d'un C8 et pour la proposition de contact. J'attends que la maison soit redevenue plus calme (actuellement ambiance vacances avec les enfants et leur progéniture) pour regarder le sujet de plus près !

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Un jeu de 3/100 e sur la longueur du tube (12 cm ) du C8 fait basculer le tube coulissant de 3/100 e à chaque extrémité, cela donne un angle de 0,22° = 13,5'  d'arc ( à vérifier ) . Cela est-il compatible avec de bonnes observation ? La graisse, certes, diminue le jeu mais de manière inconstante .

J-L

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Il y a 3 heures, bricoleur37 a dit :

la longueur du tube (12 cm ) du C8 fait basculer le tube coulissant de 3/100 e à chaque extrémité, cela donne un angle de 0,22° = 13,5'  d'arc ( à vérifier )

Très bien si c'est 12cm. Et oui je pense que c'est ça. Ca gêne plus le fait de garder la cible immobile dans le champ en planétaire que la qualité optique.

En optique de précision on centre à 3' d'arc, mais c'est plus nécessaire côté oculaire et les chaines optiques courtes (correcteur/réducteur/barlow)

 

Pour la petite histoire (un peu hors sujet) : un schéma de Texereau sur la necessité d'alignement des axes optiques quand on utilise une barlow Clavé.

Il proposait un tirant poussant avec des vis ∅3 (~M3x0.5 c'est commun). (Thorlabs en propose même des plus fines). Ca fait du 1/60 (1/4 de tour) facilement ça si on évalue l'éffet sur un tube de 12cm.

barlow.png.8e785990e5645bff8d015ba2e2e96738.png

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  Bonjour à tous,

  J'ai remonté mon C8 , le miroir coulisse SANS JEU et la vis de map est SANS JEU.

J'ai regardé sur le Net , la collimation laser pour dégrossir le réglage . Dans le S-C , le pb est le secondaire convexe . Il faut déja un pointeur dt le rayon laser est parfaitement centré et focalisé ( vérif: un support fixe en Vé  face à un mur à plusieurs mètres , on le fait tourner le laser sur lui même en repérant sur le mur....un seul point apparaît sinon rectification ) . je vais usiner un tube alu de 50 cm , un bout ext tourné à 31,75 mm serrant ds le P O . l'autre extrémité : usinée int au diam  du laser . Aucun jeu tolérable . Vers l'extrémité arrière du tube alu une découpe sera faite pr insérer la cible VERTICALE avec trou de 1mm où passera le rayon incident , le point du rayon réfléchi sera de 1mm. La précision de réglage sera bcp améliorée, une petite mise au point sue étoile sera rapide.

   J'ai aussi l'intention d'équiper le miroir secondaire de vis de m a p micomètriques à molettes. J'attends avec impatience vos remarques faisant progresser ce projet.

  Jean-Louis

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Le 18/08/2018 à 19:12, Alain MOREAU a dit :

C'est évidemment un défaut d'origine qui aurait nécessité un retour chez l'importateur même hors garantie (je n'ai découvert ce télescope et son défaut que plusieurs années après qu'il ait été acheté) sauf que là, le coût d'un retour hors garantie chez Médas depuis l'Océan Indien

Merci Alain pour ces infos, car je regarde pour l'achat d'un celestron C11 ou C14 d'occasion cette hiver quand je serai en metropole, donc je le ferai réviser pour être tranquille chez Medas avant de partir dans le " SUD" ;-)

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Il y a 18 heures, bricoleur37 a dit :

J'ai aussi l'intention d'équiper le miroir secondaire de vis de m a p micrométriques à molettes

Effectivement, c'est l'un des points à améliorer sur les SC, dotés d'origine d'un dispositif de collimation indigent.

(c'est ainsi que les fabricants réduisent les coûts de production naturellement - encore qu'on pourrait faire moins bourrin pour pas plus cher !)

Plus qu'à tester ton tube sur le ciel à présent pour valider définitivement tes modifs.

Un retour qui m'intéresse en particulier - si tu veux bien nous en faire part en toute objectivité (car on est toujours trop fier de ses bricolages, c'est humain ;)) - est de savoir si ton clinquant stabilise bien le primaire dans toutes les directions de pointage ?

Si oui, la retouche de collimation sur chaque cible va devenir facultative, au moins en visuel.

(il ne faut pas oublier un dernier jeu impératif par construction : celui de la lame, qui supporte le secondaire. Là, pas question de la contraindre. Donc selon la position du tube, un réalignement optique s'impose dans tous les cas si on veut vraiment en tirer le meilleur. Mais il reste minime si les 3 vis de centrage de la lame dans sa virole sont correctement réglées (attention : ce réglage doit maintenir un léger jeu pour les plus basses températures affrontées par le tube, sinon la lame peut souffrir ! Ce jeu augmente avec la température)

Tu peux vérifier cela facilement si tu disposes d'un pointeur laser, en le fixant sur la queue d'aronde du tube, et en observant si le spot se déplace dans le champ quand tu pointes dans toutes les directions, bas sur l'horizon. Ce n'est pas très précis en visuel car le spot apparaît étalé à fort grossissement, mais ça permet d'évaluer efficacement quand même le shifting résiduel.

(comme dit plus haut, je présuppose déjà vérifiés stabilité & centrage de ton faisceau laser afin d'éliminer son éventuelle contribution ;))

Il y a 18 heures, jm-fluo a dit :

je le ferai réviser pour être tranquille chez Medas avant de partir dans le " SUD"

Sage précaution ;)

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Bricoleur37,

Je ne vois pas trop comment on peut collimater un SCT avec un laser. Si on s'en tient à une définition que j'ai lue quelque part, la collimation d'un instrument est la procédure d'alignement des différents éléments optiques qui le constituent, les uns par rapport aux autres. Dans le cas d'un Newton, c'est bien ce que l'on fait avec un laser : on oriente d'abord le secondaire pour que le faisceau tombe au centre optique du primaire puis le primaire pour que le faisceau revienne par le même chemin au centre de la cible du laser. Par contre, pour un SCT, ce n'est pas le cas, le faisceau laser fait un simple aller-retour sur le secondaire, sans passer par le primaire. Il ignore l'existance du primaire. Ce n'est plus une collimation. Et si pour une raison quelconque (coaxalité imparfaite faisceau / corps du laser, léger désalignement du PO / centre optique du secondaire (ou vice versa),  jeu du laser dans le PO, ...) le faisceau laser tombe à côté du centre optique du secondaire, ne serait-ce que de quelques dixièmes de mm, on va régler le secondaire pour qu'il assure quand même le retour du faisceau sur un trajet qui n'est pas le bon trajet, sans se préoccuper de ce que devient la position du secondaire  par rapport au primaire. Il semble pourtant "à première vue" plus important que le secondaire soit d'abord correctement positionné dans le faisceau convergent très ouvert venant du primaire, d'autant plus que sa surface est parait-il hyperbolique. Et ça seule une collimation sur une étoile peut le faire.

Ce n'est qu'un simple avis, je suis peut-être complètement à côté de la plaque...

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Je rebondis sur le mécanisme de MAP du SC. En effet, actuellement le principe "simpliste" consiste à pousser hors de l'axe optique le support du primaire. Le primaire coulisse dans un tube avec un jeu que notre hote à évalué à 3/100e.

Avec le temps, et des milliers d'utilisateurs peuvent en témoigner, le lubrifiant gras a tendance à ne pas rester en place.

Avant de faire des opérations chirurgicales, il convient quand même d'appliquer les solutions éprouvées : faire jouer la map plusieurs fois d'un bout à l'autre. Cela a tendance à re-étaler la graisse tout du long du tube. Considérer cela comme un entretient courant. 

Seconde option, changer la graisse mais attention, avec le temps les graisses dégazent et les vapeurs finissent par se déposer sur les optiques. Aux US on recommande des graisses prévues pour fonctionner sous vide (j'ai pas la référence, mais cela se trouve chez Corning de mémoire, j'ai trouvé ceci https://samaro.fr/fr/vannes-et-robinets/mk3650-dow-corning-high-vacuum-grease-tube-50-g-1899.html mais je ne suis pas sur que cela soit la bonne référence).

Nota : Le mécanisme des premiers SC (bien avant les orange, ils étaient bleu ciel) il y avait une vis de map et une courroie qui transmettait le mouvement à 2 autres vis. MAIS ... le système est super galère à régler .... MAIS ... permet en même temps le réglage de l'assiette du primaire. Du coup le paragraphe de réglage fait une grosse dizaine de pages ... au lieu d'une pour les SC actuels. Ces SC originaux coûtaient le prix d'une bonne berline à leur époque.

 

Astrocapel> non tu a raison, utiliser un laser pour collimater un SC c'est assez idiot (je peux me permettre, j'ai essayé). Alors que c'est si facile de dégrossir avec une étoile. Par contre la collimation fine, c'est une autre histoire. Une très longue histoire !

 

Marc

 

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  Bonjour à tous,

     Je réponds à tous deux , mon but est de faire un dégrossissage poussé de la collimation après remontage du télescope . Je rappelle qu'il n'y a plus aucun jeu ,le miroir primaire reste // à lui même . Deuxièmement J'énonce, il est vrai, un postulat : ce miroir est perpendiculaire à l'axe , pas tout à fait certainement d'où la nécessiter de peaufiner le réglage sur une étoile . J'ai perfectionné le tube laser à l'extrême, longueur et suppression de jeu , cible verticale pour rayon réfléchi très fin. Rayon laser centré et focalisé par micro-lentille . 

    Il est vrai que je n'ai jamais collimaté sur une étoile et c'est peut-être    rapide ? Je suis en train de réaliser une platine micrométrique porte miroir secondaire qui facilitera bcp la collimation sans tournevis .

J-Louis

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Même si le miroir coulisse bien sur son axe, rien ne te garanti la coaxialité de ses axes optiques et mécaniques.

Heureusement, le primaire est sphérique et cela revient à ajouter un offset dans le champ. Peut être (c'est une hypothèse que je croise souvent) que c'est la raison pour laquelle le trou du secondaire n'est pas parfaitement centré (au mm près je veux dire). En tournant la lame, on rattrape le défaut. La lame elle même peut être décalée aussi de quelques mm dans son barillet.

 

Quoi qu'il en soit, une collimation "pour du visuel" cela ne prend pas plus de 2 à 3 minute sur un ciel correct.

Par contre tu peux y passer une heure (voire plus) si tu veux lui sortir les tripes à ton SC, et il faudra choisir une nuit avec une turbulence très faible (entre 5 à 20 fois par an selon les sites). C'est le défaut premier des SC ; l'utilisateur ne passe jamais assez de temps à peaufiner sa collimation. Mais quand c'est fait ... mamamia que c'est bon !

Et par pitié, ne collimate pas avec un tournevis, encore moins avec des bob knob, mais la bonne clef allen sur laquelle tu sais apprécier le 1/20e de tour de nuit !

 

Après, quand tu commence à bricoler, c'est sans fin : bride du primaire (bonne idée), sceller le primaire (mauvaise idée pour moi à moins de se restreindre à un usage unique), modification du support du secondaire, ... . L'extrême à mon avis consiste à replacer la lame à sa place (rayon de courbure du primaire) afin d'améliorer (sensiblement) la couverture de champ. Mais comme le secondaire doit rester en place lui, cela signifie d'installer une araignée (plus une trappe d'accès) dans un tube grosso modo 2x plus long !

 

Marc

 

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      a) Plusieurs problèmes constatés lors de la prise de vues
       
      - la mise au point est très laborieuse : l'autofocus est vraiment à la peine. Lors de l'appui à mi-course du déclencheur, l'autofocus fait de nombreux va-et-vient. Mais lorsque soudainement la mise au point est bonne, j'appuie alors vigoureusement pour prendre la vue. Parfois cela prend plus de temps pour certaines vues.
      Évidemment je pourrais éliminer ce défaut en retirant le multiplieur 1.4. Mais dans ce cas je réduirais aussi la résolution atteinte.
       
      - Tentative de prise de vue en live view : on suit l'image alors directement sur l'écran arrière du boîtier.
      Problème : on n'est pas capable d'apprécier aussi bien la mise au point qu'à travers le viseur optique. Des vues sont floues, il faut alors les rejeter.
       
      Autre possibilité : On bloque la mise au point en manuel.
      Malheureusement elle bouge légèrement. Je pense que je n'ai pas encore bien la maîtrise de ce zoom qui requiert un certain apprentissage.
       
      L'autre souci dans ce type de prise de vue, ce sont les sollicitations importantes que subit la mécanique du boitier. J'aurais pu prendre 100, voire 300 images, mais l'idée n'est pas de faire usage du boîtier Nikon comme d'une caméra astro pour le planétaire, comme on fait en prenant des centaines d'images. Car on éprouverait alors sérieusement la mécanique de l'obturateur et du miroir.
       
      b) Traitement :
      i) PIPP
      - Cropp avec centrage sur lune pour réduire la taille des images.
      - export en Tif pour traitement ensuite dans Autostakkert 3.
       
      ii) Autostakkert :
      - drizzle : 3x
      - dans la fenêtre de visualisation, en passant en revue les 27 images, on voit qu'il y a de la rotation de champ, car à main levée, on bouge imperceptiblement. Et cela se voit parfaitement dans Autostakkert. L'avantage avec Autostakkert, c'est qu'il est justement capable de compenser la rotation de champ entre chaque vue. Un régal de la savoir à l'avance.
      - toutes les images sont conservées.
       
      iii) registax 6
      Wavelets :
      - réhaussement des contours
      - contraste et luminosité
      Résultat : voir image.
       
      c) Mes impressions :
      - mise en place du setup : 5mn
      - Prise de vue assez tranquille et même excitante car on se dit qu'en si peu de temps de mise en place, on est alors déjà en capacité de saisir un phénomène, ce qui est un exploit avec une focale résultante de un peu plus d'1m. Je me dis alors que je vais attendre le passage d'un avion. Mais malheureusement, après environ 20mn d'attente, les avions me narguent tous en passant parfois tout près, mais jamais devant la lune.
       
      Le traitement avec seulement 27 vues est très satisfaisant. Mais pas à la hauteur de ce que l'on pourrait avoir si l'on avait plusieurs centaines de vues.
       
      En contemplant l'image finale, je voie quand même que je suis bien loin de ce que pourrait faire un tube de 90mm d'ouverture et 1m de focale.
      Mais pour un premier essai c'est déjà satisfaisant.
       
      J'imagine alors une caméra astro montée en lieu et place du boitier Nikon D7200.
      Mais peut-être qu'avec un peu d'entraînement, je devrais pouvoir améliorer l'utilisation du mode live view.
      En lisant le manuel du boitier D7200, je voie qu'en mode miroir relevé, l'autofocus ne fonctionne plus. Il faut donc parvenir à bien verrouiller la mise au point une fois pour toutes aussi.
       
      Je me dis que la solution idéale consisterait à reproduire la mécanique du stabilisateur du Zoom 200/500, dans un tube optique dédié pour l'astro.
       
       
      2) Conception d'un tube optique stabilisé
       
      Une lunette est constituée d'un objectif et d'un oculaire.
      Comment parvenir à stabiliser l'image dans le chemin optique d'un tel instrument ?
       
      Le stabilisateur optique fonctionne comment ?
      Sur le site "les numériques" un schéma montre le principe implémenté dans les objectifs photos nikon :
      https://www.lesnumeriques.com/photo/la-stabilisation-pu101497.html
       
      Extrait :
       
      "C’est le procédé le plus ancien. Il est apparu avec le Nikkor VR 38-105 mm f/4-7,8 en 1994, suivi l’année d’après par le Canon EF 75-300 mm f/4-5,6. Deux gyromètres piézo-électriques détectent les vibrations, et une lentille flottante qui leur est asservie se déplace perpendiculairement à l’axe optique pour rétablir la fixité de l’image.
       
      Ce type de système a depuis connu des progrès importants, par exemple pour permettre de supprimer les vibrations lorsqu’on suit un sujet en mouvement.
       
      Dans ce cas, les capteurs différencient les mouvements volontaires des trépidations qui ne le sont pas, et adaptent en conséquence la stabilisation.
       
      Cette différenciation est évidemment indispensable pour un appareil tenue à main levée. Celle-ci était moins efficace sur les premiers objectifs stabilisés, le gain de stabilité était ainsi moins important.
       
      Le système anti-bougé des zooms Fuji de la série X comme le 18-55 mm ou le 40-150 mm est destiné à supprimer à la fois les vibrations rapides de l’appareil et les mouvements involontaires un peu plus amples, tout en ignorant les mouvements volontaires que le photographe veut imprimer à son appareil, par exemple pour suivre un sujet qui se déplace. Illustration *
      Les objectifs stabilisés sont maintenant bien au point, de telle sorte qu’ils se sont imposés. Ce qui ne veut pas dire qu’ils soient sans inconvénients par rapport aux objectifs classiques… lorsque ces derniers sont encore en vente. Ils sont un peu plus fragiles, nettement plus lourds et plus encombrants que leur équivalents non stabilisés. On perd aussi, dans le cas de certains zooms, un bon demi-diaphragme sur la plus longue focale. Ils sont également un peu plus chers. C’est bien entendu dans le cas des téléobjectifs que la stabilisation est la plus intéressante."
       
       
      Merci de vos retours,
      Gilles
       


    • Par AlSvartr
      Hello,
       
      Je suis en train de faire le reverse engineering du coro de 160 Valmeca, et je pense que les doublets (lentilles de transfert) ont une focale trop courte (300mm) par rapport à celle de la lentille de champ (290mm). Ce n'est pas un énorme drame mais ça fait que le diaph de Lyot ne peut pas être positionné de manière optimale. Pour le dire autrement le coro fonctionne mais il y a moyen de faire mieux, surtout avec un filtrage large bande.
       
      Idéalement il faudrait des doublets ayant une focale un peu supérieure à 400mm. Le hic: elle ont une diamètre de 31.5mm. Est-ce que quelqu'un connaît des fabriquants d'optiques dans ce diamètre?
      Sinon je peux toujours faire faire un adaptateur pour mettre des doublets en 25.4mm, mais je ne sais pas encore si cela est rédhibitoire en terme de champ de pleine lumière.
       
      Merci,
       
      Simon
    • Par Gucky
      Hello a tous,
      Je suis en recherche d'un materiel (jumelles)  correctes
       
      J'ai ici une liste de ce que je souhaite prendre et aimerais avoir votre avis svp.
      https://www.astroshop.de/fr/instruments/jumelles-ts-optics-25x100-wp/p,49768
      https://www.astroshop.de/fr/plateaux-rails-de-support/omegon-180mm-rail-a-prisme-avec-vis/p,43766
      https://www.astroshop.de/fr/montures/omegon-monture-a-fourche-pour-grandes-jumelles/p,54299
      https://www.astroshop.de/fr/en-bois/trepied-en-bois-berlebach-report-322-3-8-/p,77947
      https://www.astroshop.de/fr/smartphone-et-pinces-pour-imagerie/celestron-support-de-smartphone-nexyz/p,58298
      https://www.astroshop.de/fr/filtres-a-bande-large/omegon-filtre-anti-pollution-lumineuse-31-75-mm/p,15629
      https://www.astroshop.de/fr/filtres-lunaires-filtres-polariseurs/omegon-filtre-lunaire-1-25-/p,5085
       
      Est ce que par exemple le trepied choisi est suffisant pour supporter facilement jumelles  +  monture a fourche ?
      Le trepied va t'il bien s'adapter a la fourche ? et la fourche aux jumelles ?
       
      Merci pour vos retours
      Loic
    • Par lebras53
      Bonjour les amis,
       
      Je rencontre quelques problèmes dans le résultat obtenu avec mon C8 Edge HD et ma caméra ASI2600 MC Pro. J'utilise l'assistant NINA pour réaliser les offsets et les flats en mettant une valeur moyenne pour le flat à 43000. J'obtiens le master flat suivant :

       
      Ensuite j'empile les darks et je traite les lights avec le master dark et le master flat. Après empilement, j'obtiens un master avec un énorme halo vert au milieu. Comme cela :

       
      Je peux faire partir ce halo au traitement mais je pense qu'il y a un probleme. Qui pourrait m'aider ?
       
      Merci par avance. Guy
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