airbus340

À quelle fréquence recollimatez vous vos Newton ?

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Bonsoir à tous ,

 

Tout est dans le titre ou presque...

Je me demandais à quelle fréquence vous recollimatez vos Newton. 

J'ai l'impression que mon SW 200/800 perd vite la sienne . Pourtant les vis arrière pour le maintien du barillet sont bien appliquées. 

Un de mes amis n'a pas touché sa collim depuis 1 an ...

Pour moi elle dure 4 ou 5 séances et encore...

J'ai loupe ma soirée d'aujourd'hui à cause de ça ...:-/

 

Ph

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- À chaque sortie en mobile

- jamais en poste fixe

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il y a 54 minutes, airbus340 a dit :

Un de mes amis n'a pas touché sa collim depuis 1 an ...

 

Tout dépend aussi  si l'instrument est beaucoup transporté, de ce que l'on en fait et de son degré d'exigence.

 

Sur mon 200/800  (transporté à chaque fois au jardin)   je fais en moyenne une petite retouche du secondaire toutes les 3 séances pour avoir une collimation parfaite à l'autocollimateur Casteye, concernant le primaire  c'est moins fréquent,  toutes les 10 séances  ou un peu plus.  Si j'ai le temps je vérifie  à chaque fois au cas où.

 

 

 

Je n'ai jamais manipulé le 200/800 SW, comment sont les ressorts du barillet ? Sur le GSO que j'avais avant ils étaient très mous.

Modifié par danielo
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Avec mon SW 200/1000 que j' ai revendu 

C était a chaques séances , vérif et réglage minime , dans le principe où je le rentrait et ressortait à chaques fois 

Cheschire uniquement ,je n es jamais trouvé que le Lazer était efficace

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Ben à chaque sortie, voire plusieurs fois dans la nuit lors de forts grossissements.

En tout cas de la vérifier tout au long des observations par un p'tit coup d'extra/intra focale lors de la MAP.

Et de le faire souvent dédramatise cette opération qui devient aussi naturelle que de faire une belle MAP, ça ne prend que quelques instants quand on ne patauge pas dans cette opération.

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Chaque soir et effectivement en cours de nuit si les conditions changent drastiquement. Mon dobson en sonotube reste dehors et la collimation "bouge" dès lors que les matériaux "vivants" subissent un cycle contraction/dilatation lié à l'alternance diurne/nocturne associée aux variations de température et/ou d'humidité.

C'est peut-être moins nécessaire avec des tubes métalliques, encore que... Mais comme dit Serge, une vérification est assez courte et au moins on est sûr. Par contre, c'est dommage de flinguer une soirée et à F/4 ça pardonne pas.

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Ce qui est important, c'est de bien comprendre qu'on vérifie la collimation en examinant une étoile focalisée ou presque. Pas avec un outil de collimation. Les outils de collimation aident à collimater si on a constaté, en examinant une étoile focalisée ou presque, que c'est décollimaté. La vérification est très facile à faire, il faut juste attendre que le tube soit à température. Avec un Dobson on pointe la Polaire et on regarde ce qui se passe lorsqu'on défocalise un tout petit poil.

 

Si on fait la vérification régulièrement et qu'on recollimate systématiquement, il n'y aura que de légères décollimation à rectifier, ça va vite avec l'habitude.

 

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il y a 19 minutes, Bruno- a dit :

Ce qui est important, c'est de bien comprendre qu'on vérifie la collimation en examinant une étoile focalisée ou presque. Pas avec un outil de collimation. Les outils de collimation aident à collimater si on a constaté, en examinant une étoile focalisée ou presque, que c'est décollimaté. La vérification est très facile à faire, il faut juste attendre que le tube soit à température. Avec un Dobson on pointe la Polaire et on regarde ce qui se passe lorsqu'on défocalise un tout petit poil.

 

Absolument d'accord avec toi pour le visuel, mais pour l'imagerie mon point de vue est  un peu différent (je crois que c'est dans ce contexte que @airbus340 a posé la question). 

 

Une collimation sur étoile va permettre de minimiser la coma au milieu du champ, mais ne pourra en aucun cas détecter si le plan focal est bien orthogonal à l'axe du porte-oculaire (en d'autre termes, que l'axe optique est confondu avec l'axe du PO, et non qu'ils s'intersectent au foyer). Pour cela, il faut soit utiliser des outils de collimation suffisamment précis (Catseye, Howie Glatter, ...)  soit faire une collimation à la caméra en examinant les étoiles sur tout le champ (avec CCD inspector, ASTAP ou autre). 

 

Là où je te rejoins c'est qu'examiner la collimation sur étoile permet effectivement de diagnostiquer un problème (mais pas nécessairement de le résoudre).

 

Personnellement pour l'imagerie je vérifie et ajuste si nécessaire la collimation en intérieur avec les outils Catseye, je monte le train optique et je ne touche plus à rien jusqu'à la fin de la séance.

 

 

Modifié par danielo
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par rapport à ce qu'a dit Bruno, une précision :

en cours de nuit, je fais une vérification avec une étoile proche de la cible que je convoite à fort grossissement (et pas sur la polaire), car il possible que l'orientation de l'instrument influe sur la position des divers éléments, et vu qu'on est alors dans le pinaillage autant pinailler jusqu'au bout.

Je ne suis pas imageur mais il me semble que pour la très haute résolution, on fait gaffe au massage au méridien pour cause de léger déplacement possible.

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Salut ;)

"À quelle fréquence recollimatez vous vos Newton ?"

ça dépendra pas mal de l'état de la route et de la vitesse ;) 

Bonne journée ;) 

;) 

 

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A chaque sortie vu que dobson démonté en 2 parties.

Collimation au Laser Howie Glatter (en général pas besoin de reprendre le secondaire) et pour la collimation du primaire, laser Howie GLatter + TUBLUG (barlow intégrée donc plus précis).

 

Je ne fais pas mieux sur une étoile avec metaguide après plusieurs essais sur plusieurs nuits, à ma grande surprise, du coup je ne me fais plus chier avec airy, quasi impossible à voir avec un 400mm de toute façon..

 

Point important, il faut connaitre sa structure/qualité de la mécanique du tube. Ma structure permet une collim qui ne bouge pas d'un poil au TUBLUG (laser le plus exigeant à ma connaissance) de 15° à 65°, puis ça bouge très légèrement de 65° à 90°.

Donc si l'objet visé est ne dépasse pas les 65 de hauteur°, je ne collimate évidemment pas au laser télescope pointé zénith donc 90° mais je reste sous les  65° pour collimater.

 

Sur les newtons Skywatcher, le talon d'achille me semble se situer côté araignée (un peu trop fine). A voir si ça bouge à ce niveau quand tu passes du zénith à l'horizon.

 

 

 

 

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Il y a 6 heures, serge vieillard a dit :

on fait gaffe au massage au méridien pour cause de léger déplacement possible.

 

Yo Serge...le massage au méridien 😁😁😁

Pour sûr que ça peut se déplacer 😉

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A chaque sortie et vérification rapide la nuit. La collimation l'oeil à l'oculaire facilite grandement la chose.

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Sur le 625 plusieurs fois dans la soirée au laser barlow mais comme c'est électrique ça prend que quelques secondes.

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il y a 9 minutes, CATLUC. a dit :

Sur le 625 plusieurs fois dans la soirée au laser barlow mais comme c'est électrique ça prend que quelques secondes.

 

tout pareil comme Luc au T500 :P mais pas électrique xD; ça me prend donc quelques secondes de plus...

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Bonjour,

 

je ne fait que de l'astrophoto en poste fixe, et effectivement, comme olivdeso, je ne collimate qu'une fois par an, a l'occasion d'un grand nettoyage (reéquilibrage du tube, collimation avec train optique monté, verification du degré d'empoussièrage des miroirs, verification de la mise en station, réenregistrement du PEC, etc et pas forcément dans cet ordre !)

 

 

Le 05/04/2022 à 11:24, danielo a dit :

Personnellement pour l'imagerie je vérifie et ajuste si nécessaire la collimation en intérieur avec les outils Catseye, je monte le train optique et je ne touche plus à rien jusqu'à la fin de la séance.

 

Là je suis moins en accord, pour moi la collimation en visuel se fait avec un oculaire monté, et en astro photo avec le train optique et la camera en place, ce qui permet de regler dans la meme étape collimation au centre du capteur ET éventuellement tilt du capteur.

 

 

Le 05/04/2022 à 14:01, serge vieillard a dit :

on fait gaffe au massage au méridien pour cause de léger déplacement possible.

 

Oui, certes pour du planétaire je le comprends, mais sur le ciel profond je pense que ça ne joue pas, d'autant qu'en remote le tube va passer deux ou trois fois  au zenith si on a prévu deux cibles, et pendant ce temps là... je dors pendant qu'il travaille au fond du jardin !!!

 

Eric

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Epsilon . Collimaté une fois en usine . puis collimaté une fois apres changement du PO . 

Depuis rien . 

 

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Il y a 3 heures, eric97417 a dit :

Là je suis moins en accord, pour moi la collimation en visuel se fait avec un oculaire monté, et en astro photo avec le train optique et la camera en place, ce qui permet de regler dans la meme étape collimation au centre du capteur ET éventuellement tilt du capteur.

 

Comme tu es en poste fixe les contraintes sont un peu différentes. Collimater à la camera prend sans doute un peu trop de temps pour une utilisation nomade (même dans le jardin) surtout si comme moi on n'utilise pas de PC pour piloter le setup. Une question que je me pose aussi c'est comment dans ce cas distinguer erreurs de collimation et tilt dans le train d'imagerie ? Si tu détectes du tilt sur l'image comment savoir s'il faut jouer sur le secondaire ou sur le  tilt de la caméra ?

 

En pratique, je pense que si le train d'imagerie est bien mis d'équerre  une fois pour toutes (avec si besoin l'utilisation d'une bague de tilt), et si sa connexion au PO est fiable (vissante), une collimation avec des outils  Catseye est suffisamment précise pour ne pas avoir à être affinée sur le ciel (quand je vois la sensibilité de l'autocollimateur aux réglage du secondaire ça me paraît difficile de faire plus fin).  Cela dit je n'ai jamais imagé avec un IMX455 ça changerait peut-être mon point de vue...

 

 

 

 

 

Modifié par danielo

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Il y a 4 heures, eric97417 a dit :

Oui, certes pour du planétaire je le comprends, mais sur le ciel profond je pense que ça ne joue pas, d'autant qu'en remote le tube va passer deux ou trois fois  au zenith si on a prévu deux cibles, et pendant ce temps là

 

ça se calcule et ça se vérifie : il faut mettre juste ce qu'il faut de jeu entre les butées latérales et le primaire. Il n'y a que ça qui doit bouger notablement. 0.1 à 0.2mm typiquement à +20°C  en fonction des matériau pour que ça n'arrive pas en contrainte à basse température.

 

Ensuite si le foyer ne bouge que de 0.1 à 0.2mm en X Y le correcteur de comma arrivera quand même à faire correctement son travail. Pr contre si on a 1mm de décalage, là oui ça n'ira plus.

 

le pire des flexions c'est l'araignée, si elle est mal faite, non seulement on perd la collimation en fonction e l'orientation du tube mais aussi la mise au point.

Modifié par olivdeso
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