Marc S

bord rabattu : avis des opticiens

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oups :( et lui en dit quoi ? Il a l'air sympa et sérieux. Il est allégé le miroir ?

Modifié par jldauvergne

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Pour les tests proposés (ceci dit amos a quand même fait un bulletin pertinent), il y a un réseau 13lp/mm chez TS. Il faut au moins cette densité pour un résultat aussi pertinent. On doit y voir le bord avec le réseau de traits infléchi sur le bord avec une amplitude de 1/2 frange en gros et puis sur les zones avec une inflexion de rectitude.

Une étoile de magnitude 3-4 doit suffire avec la vision sur 3-4 traits au maximum.

C'est surtout qualitatif. Faut essayer aussi l'obs visuelle d'une étoile au zénith avec 600x (cela doit faire) et regarder le disque d'airy et le premier anneau.

Pour le roddier faire au moins une série de 12 sur chaque intra extra, il y aura bien 3 ou 4 vues convergentes qui seront utilisées. Comme vous avez l'interfero c'est facile de comparer.

Le temps d'intégration peut aller à 60s (faut intégrer la turbulence) tout en évitant de saturer le chipset (cela vient vite).

Utiliser un filtre (celui pour la couleur du laser de test).

Cependant je ne vois pas trop l'intérêt d'aller à ce niveau de test avec un interféro disponible.

Le ronchi vérifiera l'absence des macro défauts avec le diaphragme, en carton au début puis dès défini en ctp qui reste à demeurre sur le scope.

Faut penser aussi à le faire re-polir pour un vrai L/6 et un barillet solide.

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Je réagis un peu tard en laissant certaines questions ... 

 

jld> oups :( et lui en dit quoi ?

 

C'est une longue histoire et quelques années de déboires et d'attentes.  J'e ne rentre pas dans les détails : un résumé du résumé....

Fullum a pretexté  que la matière en BVC du miroir qui lui a été fourni n'avait pas  la stabilité

et ne conservait pas une figure stable suivant son orientation...

"En cas de problème les tords sont pour l'autre"

 

stanislas>

merci pour tes conseils. Oui un test qualitatif de Ronchi et aussi ce que j'envisage.

Je compte aussi améliorer mes résultats au Roddier.

Je n'ai malheureusement pas d'interféro disponible.... Peut être me faire un Bath...

 

Maintenant c'est cette histoire d'astigmatisme qui me préoccupe plus.

Un problème en amène un autre......

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Bonsoir,

 

"Fullum a pretexté  que la matière en BVC du miroir qui lui a été fourni n'avait pas  la stabilité

et ne conservait pas une figure stable suivant son orientation...

"En cas de problème les tords sont pour l'autre""

 

 

Ce n'est pas toi qui lui a fourni?  Si?

 

...J'ai vu évoquer le test de Roddier... Avec la polaire...

Il ne faut pas avec la polaire, c'est une double (et même une multiple), faire un Roddier avec une double fausse le résultat , il va  interpréter cette double comme de l'astigmatisme.

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Dites, il y a quand beaucoup de différence de luminosité avec le plus fort compagnon, avec le peu de précision du Roddier c'est pas si grave vu que si on relit ce qui a été proposé, c'est pas une mesure absolue qu'on veut obtenir mais trouver facilement la meilleure taille de diaphragme.

Comparaison sur référence identique...

Avec une telle focale, c'est casse-pied le suivi.

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il y a 30 minutes, astrovicking a dit :

Ce n'est pas toi qui lui a fourni?  Si?

 

Non..... longue histoire. C'était l'atelier "ASM product "qui devait faire le travail avec le BVC. Mais sans prévenir, ils ont arrêté leur activité...

 C'est fullum, a ma demande, qui a repris le flambeau. 

 

il y a 6 minutes, lyl a dit :

Avec une telle focale, c'est casse-pied le suivi.

 

Pas de souci de ce côté là. J'ai MCMT32 avec lecture d'un encodeur  haute résolution que j'ai intégré au programme.... Suivi au pixel près...

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Bon c'est pas simple avec les brillantes il y a un paquet de doubles.

Epsilon Cassiopeiae (Segin) merci stellarium

Tu as du bleu dedans faut voir si ça passe bien avec la turbu, une rouge ça serait peut-être mieux, faut chercher un peu parmi celle tout le temps disponible avec pas grand chose autour.

------------------------

Iota Cephei est une géante orange avec pas trop de voisins lumineux, ça devrait pas se recouper quand tu défocus.

 

Modifié par lyl
une belle orange

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La polaire suffit pour des petits diamètres, ici il faut trouver autre chose sur le zenith du momment en utilisant un filtre passe-bande.

Cependant l'interféro de chez amos, le 2eme sketch qui intègre tout les défauts,est semble-t'il de confiance (le mirroir est posé sur la tranche pour éviter des flexions pendant la mesure).

Qualitatitement en observant la répartition des couleurs, le diaphragme à 400mm environ bloque les zones les plus denses colorées bleues e rouges.

Avec un barillet 6 points, 3 points astatiques on doit à priori pouvoir niveler à L/4. Le réglage des leviers sur le ciel en observant le donut d'une étoile pour le faire le plus circulaire possible (vue intra-extra d'une étoile). Puis roddier comme vérif finale.

Le cercle des points d'appui du mirroir sur le cercle du diaphragme.

Le réglage des leviers peut se faire au 1/10 d'onde près avec de l'habitude visuellemnt, affné avec le roddier. Mais les limites vont vite arriver au point où l'on ne verra pas grand chose changer mais plutot se dégrader. Faudra passer quelques nuits de patience.

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Ok, je crois que tu n'a pas ouvert le document complet, il y avait déjà les limites du rabattus qui sont indiquées et moi qui a rajouté une couche.

Mais comme je n'ai pas autant d'expérience technique (réglage levier), j'ai poussé le vice vers du l/12, l'indication d'AMOS indique déjà la zone en zig-zag à enlever. 390mm c'est sans doute ce qu'il y a de mieux avant de repasser au polissoir.

diaphragme500.jpg

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Le ‎12‎/‎09‎/‎2017 à 13:45, Marc S a dit :

Merci pour vos commentaires...... qui me rassurent.

 

A l'époque chez Amos (en 2012),  j'étais plutôt stressé par le résultat du test et des commentaires... 

Il est vrai que chez eux c'est de "la haute couture". Il me proposait une retouche à 10 000 Eur..... (zic)

J'ai utilisé le miroir tel quel, jusqu'à  aujourd'hui où je m'interroge sur le bord rabattu..

Subjectivement, à cause de leurs commentaires, je n'était jamais satisfait de mes images....

 

Je suppose que vous l'avez remarqué, le RMS de 28 nm et le PTV de 193 nm, c'est en enlevant les 9 premiers Zernikes.

(Effectivement Jean Luc, le strehl ne m'a pas été transmis par Amos.)

 

Sans enlever les 9 Zernikes, c'est bien sûr moins bon : RMS 70 nm et  PTV de 398 nm. (voir copie écran)

Je ne suis assez spécialiste pour savoir si cela change vos commentaires (positifs) ?

Là, on observe un astigmatisme.....

 

Ps: pour Cédric, CCD placé au foyer primaire

 

carte de phase.png

Je prends en compte plutot ce document, Lyl, qui regroupe tous les défauts.

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Lyn et Stanislas, je suis épaté par vos réactions. Sincérement, je vous en remercie....

 

A vous lire, deux interrogations :

 

1) ok je peux tenter le coup du diaphrame à 390 mm (ou 400mm), mais dans ce cas j'obtiens avec l'obstruction(16cm)  de la caméra au foyer 

     16/39 = 41%  ( pour le ciel profond avec la QSI)

      Eventuellement je change alors de disposition et je place un miroir plan..... Je vais regarder sa taille...

 

2)

il y a une heure, stanislas a dit :

Avec un barillet 6 points, 3 points astatiques on doit à priori pouvoir niveler à L/4

 

     J'ai un bariillet (classique) à 6 triangles donc 18 points d'appui fixes  (calcul par PLOP). Je cherche pour poster une photo......

     Avec l'astigmatisme, je me demande si je n'ai pas intérêt à  le perfectionner

     

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avant d'envisager des corrections pointues je commencerai par diaphragmer de quelques millimètres le bord rabattu et ensuite d'essayer de repérer si l'astigmatisme supposé au vu du bulletin de contrôle se voit de façon évidente à l'image (pas moyen de faire la mise au point car "c'est net partout" ou aigrettes dédoublées au meilleur foyer, etc.).

à mon avis le défaut est probablement invisible en imagerie au foyer et en imagerie planétaire on est de toute façon dans un autre régime où à partir de ces diamètres des défauts d'ensemble de l'ampleur supposée sont peu sensibles.

Modifié par asp06
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Oui asp, je vais prendre mon temps et y aller étape par étape.

 

Mais comme le temps est moche, pas moyen de faire des mesures...

 

Je suis à l'ordi pour envisager toutes les  possibilités....

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Il y a 2 heures, stanislas a dit :

Le cercle des points d'appui du mirroir sur le cercle du diaphragme.

 

Excuse moi Stanislas, mais ça je ne comprends pas

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Je pense d'abord que les interféro produits surtout le 2eme sont pris comme argent comptant dans nos interventions.

Ceci dit, en examinant encore cette répartition des couleurs, même en diaphragmant il restera ces Zones bleues qui font sur le global moins que le L/3 encore.

Si ces zones faisaient disons moins que 5% de la surface restante diaphragmée, pourquoi pas les laisser comme telles.

Je pense qu'elles sont encore trop présentes pour être négligeables en fait.

Cela devrait se voir sur la figure d'airy en visuel.

Pour l'anecdote j'ai eu un OMC250 OOUK avec un bord déffectueux sur 1 lambda sur un anneau de 1cm de large depuis le bord externe.

En visuel O de contraste, en photo avec le flat, le dark etc etc... de belles images de m42 et puis et puis.

La photo n'est pas ce qu'il faut et ne prouve pas suffisamment.

En le diaphragmant à 230, le top obtenu. Disque d'airy et 1et anneau de diffraction excellents avec 500x.

Et puis une 120mm SW F8, avec bord aussi et zone circulaire aussi avec erreurs de L/2, déja au ronchi qui montrait néanmoins mars syrtis major et autour ces détails, mais comme derrière ce brouillard cité déja avec 200x. Les défauts bien notés au ronchi.

Ce n'est pas assez bon pour en rester là.

Cette histoire de barillet 6 points est une idée pour tricher, en déformant localement légèrement le mirroir là où il faut, les zones bleues restantes en dépression.

Le réglage des leviers pourrait récupérer le L/3 pour faire ce L/4 par simple appui supplémentaire sur l'arrière du mirroir. Ce n'est pas une contrainte mais très légère ce pendant, la dilatation thermique restant libre;

Le réglage des leviers comme dit plus haut, la répartition des points d'appui sur un cercle qui correspondrait au diaphragme ou un peu sur l'intérieur.

On peut faire le Plop dans cette hypothèse et conjuguer l'interfero fourni et le résultat du plop.

Le barillet 18 points n'est que pour garder ce qui est de l'interféro, aucun réglage possible.

Faut aussi voir l'épaisseur du mirroir pour cet excercice (le R4/E2, 1000 max pour 3 points, 6000 pour 6 points, de mémoire, à assurer ep 50 pour 400mm)

Ceci dit passer aussi par cette phase simple du diaphragme comme suggérée, faite le point comme cela et puis voyer plus avant si nécessaire, mais il n'y aura pas le L/4 minimum, ces zones bleues toujours présentes et non négligeables, destructrices de contraste. Mon opinion.

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Perso, je referai des tests avec WinRoddier en condition d’utilisation (direction verticale dans son support) soit à l’infini sur une étoile, soit au centre de courbure dans un environnement clôt. Sans le secondaire qui peut fortement modifier la surface d’onde.
Cela sous entend d’avoir les moyens pour le faire avec précision, car WR pour fonctionner correctement demande de bien maîtriser le defocus (diamètre intra et extra proche du pixel), valeur du defocus suffisant (nombre d’onde de defocus), le centrage (déplacement latéral int-ext) et faire des séries d’images pour augmenter le signal (un peu comme pour le planétaire).

La méthode permettrait la comparaison avec les résultats antérieurs pour lesquelles les condition d’ essais ne sont pas précisées, et de voir l’influence du support …

Les Zernikes de WR peuvent aussi être importés dans OpenFringe (DFTFringe) pour analyse, vue 3D … et surtout simuler l’influence de caches extérieurs et intérieurs plus facilement.
Le PTV est une donnée, mais la plus importante est la valeur RMS mesurée ou le rapport de strehl correspondant.

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Et j'ai oublié la conique du miroir primaire.

 

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Ce sont les défauts macro qui vont influencer et définir la diffraction notée sur une étoile à fort grossiment principalement.

Peut-on obtenir un strehl de 96% avec un L/3?

le rms donné par ces méthodes n'a pas beaucoup de valeur, à peine indicative sauf sur le L/.

J'ai ici un mirroir de 154mm avec rms excellent et un simple L/5 sur le global, strehl craché par une machine 89%.

Un autre avec rms similaire et L/10 presque, idem strehl de 98%.

Pour les contrastes images sur planètes y'a pas photo, nette différence sans compter la sensibilité à la turbulence.

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Trop souvent les vendeurs de miroirs pour amateur ne parle que du PTV (Peak To Valley) comme caractéristique essentielle. Hors le PTV seul, ne définit en rien les caractéristiques d’une optique.

Le PTV représente la différence de hauteur entre le point le plus haut et le point le plus bas. En clair il ne représente que la mesure entre 2 points, l’écart extrême.

On peut très bien avoir une excellente optique avec un PTV  supérieur à L/4, si par exemple ce défaut correspond à une surface relativement réduite par rapport à la surface totale du miroir.

Inversement, on peut très bien avoir une optique médiocre avec un PTV bien meilleur que L/4, par exemple si cette dernière a beaucoup de mamelonnage, micros défauts, rugueuse, et donc avec un mauvais RMS.

Un bon miroir doit non seulement avoir un défaut de forme global correct, mais doit aussi avoir un bon état de surface.
Un excellent miroir sphérique sera médiocre en utilisation parabolique. La valeur de la conique est donc tout aussi importante.

Le piqué d’une optique se traduit par le rapport de strehl, qui lui même est fonction de la valeur RMS. La valeur RMS (Root Mean Square) traduit une moyenne des écarts sur l’ensemble des points mesurés de la surface.
C’est bien l’ensemble de la surface qui donne l’image d’une étoile et non les 2 points constituants le PTV.

ZernikePolynomials James C. Wyant, 2003.pdf

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Stanislas, comment tes rapports de strehl ont-ils étés mesurés?

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390mm c'est ce que j'ai mentionné sur la première page du fil, mais c'est ce qu'indiquait le rapport d'AMOS. Vouloir le corriger avec un barillet me semble assez difficile sans avoir un interféro à disposition. De plus, je ne suis pas sur que l'appui du miroir selon la hauteur ne va pas changer et la "correction" également. Le remède ne sera t'il pas pire que le mal ? Si tu veux gagner en contraste, essaie les baffles plutôt !

 

CPI-Z> C'est aussi ce que je pense. Le PtV c'est une information, issue de mesures d'un autre age, qui à mon sens ne montre pas grand chose de la qualité d'une optique. Note bien que c'est mieux que rien du tout évidemment. Au niveau amateur, il faut s'en contenter le plus souvent. Le RMS c'est CA qui signe ce que fourni l'optique. Mais il faudrait aussi évoquer la densité de mesure, on a évidemment pas la même information avec 32x32 points ou comme ici 512x512 points. Sur un 500mm, chez amos, tu a une mesure par mm carré environ. Avec 32x32 points, ce sera une mesure tous les 240mm carrés. Cela lisse, ou ignore si on préfère, les défauts les plus fins d'un facteur 240 !! Il n'est évidemment pas facile de faire quelques milliers de zones de mesures au foucault. Mais plus tu mesurera "fin" plus la vision de la surface sera critique au point d'aller fouiller du mamelonage microscopique, ... et plus ce sera difficile de sortir une bonne note !

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Merci patry pour ta confirmation. C’est pourquoi je proposais dans un premier temps à Marc S de refaire ses contrôles avec WinRoddier à défaut de ne pas disposer d’un Bath.

250x250 points à 600x600 points serait déjà bien par rapport à qqs dizaines de points.
Effectivement plus il y a de points plus de défauts peuvent apparaître. Mais avec les filtres des softs la forme générale du miroir doit bien ressortir.

Le bord rabattu est une chose, mais l’astigmatisme principal est-il du aux conditions de mesure non communiquées (miroir vertical-banc horizontal) ou est-ce bien un défaut de surfaçage ?

Un 500mm de diamètre n’est pas une lunette de 100mm de diamètre. Techniquement on ne peut pas faire de miracle, cependant espérer trouver des solutions pour obtenir un strehl voisin voir supérieur à 0,8 devrait être jouable.

 

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Au final notre ami n'est pas plus avancé, il a obtenu une longue discussion théorique sans fin.

 

Ne vaudrait-il pas mieux qu'il teste par lui-même les différents diaphragmes, afin de trouver la meilleure configuration? C'est ce que je ferrais à sa place!

Modifié par bruno thien

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Merci bruono pour le petite rien et le Patry pour un cassage de gueulle.

Le ptv est la meilleure info pour le cas présent.

Veuillez me démontrer que le rms n'est que le paramètre dominant avec L/3 avec les surfaces de zones données sur l'interféro amos.

Encore une fois, le rms et le strehl ne valent que sur un interféro, et ce n'est qu'une info de logiciel.

Le rms sur interféro reste encore un machin.

Bref une formule non pas de matheux simple d'application mais avec bien des des hypothèses d'application aussi en corolaire.

On va arréter cela .

Car il y a avec ces gus quelques choses derrière.

En disant cela ils crieront aux sorcières, comme de coutume ici et là, comme dans les média.

Je ne suis pas sur cette onde négative.

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    • Par lpalbou
      Bonjour à tous,
       
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    • Par Goofy2
      Bonjour   
       
      Une autre façon plus traditionnelle de réaliser la collimation. Cette méthode itérative est utilisée par plusieurs utilisateurs de Smart télescope Unistellar.
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      Si la coma des étoile est homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur: c'est collimaté, pas besoin d'ajuster la collimation Si ce n'est pas le cas, alors la collimation doit être ajustée (un ou deux bords de champ montrent une coma stellaire plus prononcées que le ou les bords de champ opposés et les coma ne pointent pas en direction du centre du capteur)  
      ----
      Ajustement de la collimation:
      Au préalable faites une bonne mise au point de l'optique avec le masque de Bahtinov fourni avec l'instrument.
      Faire un Goto sur une étoiles brillantes située dans la Voie Lactée (pour avoir un maximum d'étoiles sur le capteur et avoir une étoile centrale comme référence bien visible). Puis faire une VA de 2 minutes (ou plus). Analyser la coma stellaire en bord de champ sur la capture de la VA (ne pas hésiter à zoomer). Repérer le bord ou le coin qui présente la plus forte coma stellaire En vision temps réelle et uniquement avec les vis de collimation, déplacer l'étoile de référence située au centre du capteur en direction du bord ou du coin présentant la plus forte coma stellaire. L'amplitude du déplacement est fonction de l'amplitude de la décollimation. Puis avec les mouvements lents de l'application, replacer l'étoiles de référence au centre du capteur. Refaire une VA de 2 minutes (ou plus) et recommencer les étapes 2, 3 et 4 jusqu'à ce que la coma stellaire en bord de champ soit homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur.  
      Il s'agit d'une méthode itérative.
      Bonne collimation...
    • Par Close-to-focus
      Salut à tous,

      voici quelques images faites au newton trusstube désaluminé skywatcher 150/750.
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      Les poses sont de l'ordre de la milliseconde, voire moins (ce matin j'étais à 0.5ms).

      J'image sous un ciel la plupart du temps plus ou moins voilé, ciel gris/bleu pour vous donner une idée (ce matin c'était bien bleu, mais plein de vent ), dans une cour ombragée mais située dans une (toute) petite ville, donc bitume et pavés à proximité.
      Je n'arrive pas à avoir plus de netteté, du coup je me demande si changer de setup pourrait améliorer mes images ou si mon ciel me limitera de toute façon.

      J’envisageais, à qualité optique égale, de passer sur un 200 / 1000, (en truss tube pour limiter le poids et la turbu interne), le max que ma monture devrait accepter de porter correctement.
      Mais vais-je gagner beaucoup en résolution?

      j'envisageais aussi la possibilité de rester sur mon diamètre de 150mm (vu mon ciel, est-ce bien utile d'augmenter le diamètre?) mais avec un miroir d'artisan (zen ottiche en fait en petits diamètres).

      Autre question : quel échantillonnage serait  le plus approprié sous un ciel moyen à bon?
      si je reste sur les valeurs théoriques d’échantillonnage (si j'ai bien calculé elle se situe autour de 0.25") les résultats ne sont pas top.

      merci à vous

      voici les photos en question:
      imx 429

       

       
      imx 290 bin2

       


       
    • Par Papy lulu
      Bonjour,  je débute,  la photo (M51) est le résultat de 261 fichiers empilés par le seestar S50 je présume que ce sont 261 prises de vues de 10" chacune.
      Bonne journée à tous.
      Papy lulu


    • Par BobSaintClar
      En direct du japon, je vous présente un compte-rendu succinct de mon week-end au Festival des étoiles d'Hoshi No Mura
       
      il s'agit d'un rassemblement annuel (premier WE de Juin suivant la nouvelle lune) se tenant dans un observatoire public posé dans les montagnes de la préfecture de Fukushima !
      Ceci dit, ladite préfecture est vaste et nous sommes loins de la côte : lors de ma première édition, avant les années Covid, j'avais emporté mon radiomètre : la radioactivité du site était parfaitement normale...
      Le séisme de 2011 a pourtant eut des conséquences dramatiques pour l'observatoire, j'y reviendrai.
       
      Commençons par présenter les lieux : nous sommes à 650m d'altitude, à 20km de la côte Est du japon, dans une région de moyenne montagne. De mon domicile, il faut compte trois heures de voiture. Sur place résident un observatoire, deux parkings, un restaurant, diverses boutiques et une grotte ouverte aux visiteurs.
      Sur la route menant au site, je reconnais un "magasin" déjà vu les années précédentes : il expose des sculptures religieuses, notamment...
       

      ... mais oui, des bites géantes en pierre (note : j'ai servi de modèle pour l'artiste )
       
      Le Site
       
      Sur place, deux parkings sont réservés aux astronomes amateurs : le premier, "en haut", est généralement préféré au second, "en bas", parce qu'il est moins parasité par les lumières de l'évènement.
      Je me suis installé sur le premier
       

       
      Kurita-san, un ami de club arrivé plus tard, a du se contenter du second :
       

      Nous sommes Vendredi après-midi, l'évènement n'a pas encore officiellement commencé, le parking est encore vide. J'ai pris cette image depuis le toit de l'observatoire. Notez l'impressionnante falaise, qui abrite plusieurs grottes !
       
      L'observatoire en question, le voici :
       

      Le bâtiment, coté gauche, propose des toilettes, un dortoir, quelques pièces réservées au staff et une boutique de souvenirs "astro". Au centre, vous avez un vaste hall dédié à l'exposition de différents matériels & objets. 
      L'espèce de tour carrée cache essentiellement un escalier en spirale permettant d'atteindre le toit ET le pont menant au télescope de 650 abrité sous la coupole.
      Sur le parvis, la plupart des exposants sont déjà installés.
      Vendredi après-midi, le ciel n'est guère rassurant...
       
      Au rez-de-chaussée (que les japonais appellent le premier étage, pour l'anecdote) de l'espèce de ziggourat qui soutient la coupole se trouve une exposition permanente :
       

      Et au-dessus - avant d'arriver au troisième étage (celui du télescope) - se trouve un planetarium. Voilà, vous avez fait le tour !
       
      Les exposants
       
      Le festival aux étoiles d'Hoshi No Mura est un évènement "classique" : les exposants y tiennent une place centrale !
      Les marques les plus connues sont représentées (Takahashi, Vixen, SVbony, etc) et l'on trouve beaucoup de matériels "occasion / exposition / fins de série" intéressants. Dès mon arrivée, je suis tombé sur une offre que je n'ai pas su refuser... un oculaire Morpheus de 9mm bradé à 27000 yens (ça fait 158 euros, au taux de change actuel). Bordel, il m'en faut un deuxième, maintenant 
       
      Je ne les ai pas tous pris en photo, je pense que vous savez à quoi ressemble un stand de marque :
       

      Avec la dépréciation du yen, les bonnes affaires sont légion ! Les binos Vixen BT80, qui ont plutôt bonne presse, sont ici à 235 euros...
       
      Lui, il a tout un stock de jumelles de randonnée, de loupes, de chercheurs 8x30 et de bordel divers (filtres, caches, boites à oculaires, etc.) à 59 centimes d'euro pièce 
       

      (Notez le poster d'un personnage Moe, nous sommes bien au japon...)
       
      Coté matos, je n'ai pas repéré grand-chose de spécial, d'original ou de vraiment nouveau... mais bon, je ne suis pas le mieux placé pour en juger : je ne m'intéresse guère qu'à l'équipement dédié au visuel. J'ai quand même vu deux-trois trucs que vous ne connaissez peut-être pas, ou pas encore ? 
      Voyons cela :
       
      Sur le stand Vixen, je me suis attardé sur ces deux versions à diamètres réduits - 70 et 90mm - de l'astrographe VSD100SS.
      Je ne connaissais pas ces modèles, je suppose qu'ils sont plus abordables que leur ainé : de mémoire, le tube de 100mm est hors de prix (je n'en ai d'ailleurs jamais vu dans les rangs amateurs, même au Japon) !
       

      Malgré la déprise du yen, le VSD90SS est à plus de 4000 euros... mais sérieux, qui va acheter ça ??
       
      Les amateurs
       
      Autant j'avais vu des équipements remarquables au rassemblement d'Aichi (celui consacré aux grosses binos, aux dobsons et aux réalisations personnelles), autant le festival d'Hoshi No Mura est basique : les visiteurs sont avant tout venus avec... des lunettes équipées pour l'astrophoto, ad nauseum !
      Je n'ai vu que deux dobsons : le 660 déjà remarqué dans des rassemblements antérieurs (comme celui d'Aichi) et le 500 décrit dans mon compte-rendu sur la star-partie de Koumi.
       
      il y avait aussi ce Ninja :
       

      Si vous avez une impression de déjà vu, c'est normal : ce tube était présent lors du rassemblement d'Aichi, comme en témoignent ses autocollants Moe (décidément...)
       
      Le T500 (à F/D beaucoup trop, ouch, échelle de pompier obligatoire) du festival de Koumi, encore une pièce rapportée :
       

       
      Vous vous souvenez du proprio ? Non ? 
      Indice : Un homme inverti en vaut deux (sur les blagues de boomer, je ne crains personne )
      Bref, le voici  :
       

      Lorsque j'ai pris cette photo, l'évènement n'avait pas commencé, tout le monde s'installait tranquillement. Donc, notre gaillard n'est pas prêt... mais quelques heures plus tard, en soirée, il l'était ! 
      Au menu : mocassins noirs brillants à talons, longue robe grise plissée, haut bustier noir échancré et chapeau canotier à ruban rose orné d'un flot en forme de coeur...
      Ça y est, vous le remettez ??
       
      Le télescope suivant, je ne pouvais pas le manquer :
       

      Nous sommes toujours en territoire connu : c'est le 200 - diaphragmé à 198mm - F8 de Okubo-san. Le seul télescope amateur de moins de 200mm d'ouverture nécessitant l'usage d'un escabeau... 
       
      Coté binoculaires, ce n'est guère folichon :
       

      Des Miyauchi 20x100 (oculaires fixes) : j'ai eu la chance de posséder ce modèle l'année du passage de la comète Hyakutake, en 1996.
      Elle repasse dans 70.000 ans mais cette fois, j'ai des 150ED : j'ai hâte !
       
      Par le plus grand des hasards (non pas du tout, j'ai évidemment fait exprès), je me suis installé juste à coté du seul gars bien équipé en jumelles : il avait 7 ou 8 modèles, à minima, dont des Zeiss 7x50 antiques (très bonnes, une vraie surprise), des Zeiss stabilisées 20x60 (une autre bonne surprise, je les aurais pensé plus lourdes) et des Nikon 20x120 anciennes en provenance directe... d'un bâtiment de guerre (il m'a donné un nom que je n'ai pas su mémoriser) :
       

      (Oui, pardon, c'est de l'infrarouge couleur)
       
      Le CROA
       
      Et coté astronomie, me direz-vous ?
       
      La nuit du vendredi au Samedi était plutôt mal partie (cf images) mais dès 22h, les nuages sont sont espacés, puis évaporés ! J'ai profité de mes jumelles jusqu'à minuit environs, puis je suis passé en mode "monteur d'étoiles" lorsque diverses personnes - essentiellement des résidents du coin, venus en famille - sont venu dans notre secteur :
      Le ciel était très bon, peu pollué, la transparence excellente, les principales vedettes de l'été - du sagittaire au Cygne, pour faire court - en pleine ascension... succès garanti !
       
      Jusqu'à une heure et demie du matin, j'ai ainsi partagé notre passion avec les gens du cru, jusqu'à ce qu'un gars presque obèse (une rareté, au Japon), s'emmêlant les pinceaux dans le noir, s'assoit un rien brutalement sur ma chaise : CRAAACK ! Plus de chaise ! 
       
      Imaginez la scène, compte tenu de la culture du pays : le pauvre type ne savait plus où se mettre, il s'est répandu en excuses plus dramatiques les unes que les autres, je ne savais pas quoi dire ou faire pour l'arrêter !! Il ma fallut des trésors de patience pour lui faire comprendre, in fine, qu'une seule pièce de bois de 10x10cm avait lâché, que la refaire serait un jeu d'enfant (et en effet, j'ai réparé ma chaise ce Dimanche matin)... purée, il voulait absolument me dédommager en argent... oh wait, j'aurais peut-être du me laisser faire ? 
       
      Anecdotes
       
      J'ai quelque peu écorné ce chapitre, avec l'astronome transformiste (une combo rare, avouez) et le sculpteur de giga-bites (non, rien à voir avec l'informatique)... 
      Il vous reste quand même quelques curiosités à découvrir :
       
      1/ Les japonais sont honnêtes et très confiants ! On ne le dira jamais assez, le pays est sûr et au quotidien, l'on perd assez vite ses repères et ses habitudes ! L'observatoire d'Hoshi No Mura est ouvert aux quatre vents, il n'y a pas de caméras dans le bâtiment, vous pouvez vous y promener et ramasser ce qui vous plaît sans aucun problème...
      Par exemple, en montant au deuxième étage via la tour carrée, vous pouvez choisir le modèle de loupe binoculaire qui vous convient :
       

      Le détail qui tue : l'observatoire a acheté l'exemplaire du milieu (juste à droite de la caisse orange), sans doute pour le mettre à disposition du public (notamment des écoliers) il y a encore l'étiquette avec le prix affiché (20.000 yens)...
      Non seulement rien n'est sous clé ni même surveillé mais en sus, la valeur du matériel est commodément indiquée 
       
      Un peu plus haut, dans ce qui s'apparente à un débarras sans porte, vous avez tout un tas d'instruments en vrac, avec des caisses d'oculaires et de jumelles à même le sol :
       

      J'ai pris la photo sans arrière-pensée ni gêne aucune : j'étais absolument seul, dans la tour et sur le toit ! Je rappelle que le site, pour l'évènement, reçoit plusieurs centaines de personnes, de tous âges, qui vont vaquer dans tous les sens : et bien, comme d'habitude, rien ne sera volé. Les organisateurs ne sont pas des idiots : s'il en allait autrement, soyez sûrs que tout serait surveillé, ou hors d'accès. Mais ici, à quoi bon ?? 
       
      2/ Dans le grand hall / salle d'exposition du bâtiment principal, j'ai remarqué cet objet, quelque peu incongru dans un observatoire  :
       

      Vous l'aurez deviné en observant l'image en détail : c'est une sorte de glaive court dont la lame a été forgée à partir d'une météorite ferreuse. Cette arme n'est pas historique, elle a été faite sur commande de l'observatoire il y a quelques décennies, mais elle est néanmoins représentative d'un phénomène réel, dans l'histoire dujapon : les minerais de fer du pays étant de qualité médiocre, les artisans locaux ont du développer des techniques très élaborées pour forger leurs célèbres lames (on pense surtout au katana, évidemment). Du coup, lorsqu'ils avaient la chance de tomber sur un beau morceau de météorite ferreuse, bien plus riche en métal que n'importe laquelle de leurs pauvres caillasses, ils ne se privaient pas d'en faire une arme (sans même parler du coté "on ne va pas gâcher ce précieux cadeau des dieux")...
       
      3/ Pour transporter son matos astro et son nécessaire de camping, rien ne vaut une Keycar coupée sport :
       

      Voici la voiture de mon "autre" voisin (pour le distinguer du possesseur de jumelles, venu en minibus Totyota). Dans cet équipage minimaliste à deux places, ledit voisin a transporté une petite lunette (une 80mm à FD court), son trépied photo et une tente une place intégrée à son lit pliant !
      Mieux vaut être célibataire, sans enfants... et sans dobson !
       
      4/ L'été japonais est caniculaire. nous sommes toujours au printemps, officiellement, mais nous avons souffert de la chaleur en journée. Pourtant, une créature était bien plus à plaindre :
       

      Il ne fait pas bon être un gros chien à poils longs, au pays du soleil levant : sauf à habiter haut en altitude et latitude, la chaleur humide des mois d'été est très pénible. De plus, la loi du pays impose de ne jamais laisser divaguer votre toutou, en ville comme à la campagne, même s'il n'y a personne en vue : les chiens sont donc toujours attachés et ne sont jamais libres de leurs mouvements.
      C'est moyen, pour ces lointains cousins du loup  
       
      5/ Le séisme de 2011 dans la région de Fukushima, de sinistre mémoire, a eut des conséquences désastreuses sur l'observatoire d'Hoshi No Mura :
       

      Au plus fort de la secousse, le t650 et sa monture, installés dans la coupole, ont traversé trois étages avant de s'écraser au rez-de-chaussée, infligeant les dégâts qu'on imagine ! La carcasse de l'ancien télescope est toujours exposée dans le bâtiment, au pied de l'escalier menant au pont.
       
      Cette petite sculpture est un monument commémoratif de l'accident :
       

       
      6/ La photographie dans l'infrarouge proche, c'est beau, mais c'est aussi utile !
      Par exemple, pour discriminer le couvert végétal :
       

      on distingue beaucoup mieux les feuillus des conifères, entre autres...
       
      Clôturons ce rapport comme il convient : par une photographie astronomique !
      Voici donc la planète terre, observée depuis l'observatoire d'Hoshi No Mura, préfecture de Fukushima, Japon :
       
       
       
      Owari desu !


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