PATRICEM33

Newton astrographe quelle marque ? Ou artisan ?

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Il y a 12 heures, danielo a dit :

C'est vraiment dommage car il n'a aucun équivalent sur le marché (en particulier au niveau de la conception mécanique). Est-ce que tu sais pourquoi ?

Je ne sais pas, il faudrait lui demander ou il peut répondre directement s'il voit ce post. J'imagine que c'est un peu comme "tout le reste"... Coût de réalisation vs coût de vente, temps de réalisation dans un contexte où il est maintenant difficile d'avoir les pièces et de pouvoir garder le prix annoncé au client au moment où le devis est réalisé et où le matériel va être livré... Pour une autre entreprise connue (SV), Thierry Ruiz s'est exprimé sur le même forum voici qq mois. Une petite entreprise est là pour vivre et arriver à faire vivre ses salariés quand il y en a plusieurs, et ce à peu près correctement. Nous, on réfléchit en astrams, eux, même s'ils sont astrams aussi, réfléchissent en artisans.

Modifié par BL Lac
Aurtografe !
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Oui, pour moi dans ma recherche d'un télescope astrographe de 200mm, il y aurait eu un stronglight 200mm f/d 4, je n'aurais pas hésité une seconde :$. .

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il y a 53 minutes, PATRICEM33 a dit :

Oui, pour moi dans ma recherche d'un télescope astrographe de 200mm, il y aurait eu un stronglight 200mm f/d 4, je n'aurais pas hésité une seconde :$. .

 

On parle tarif, et tu refais ta réponse ! xD

 

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Le Stronglight 300 était à l'époque si je me souviens bien au tarif de 6,5k€ et à la vue de la qualité je les aurais mis. 

Mais là n'est pas la question vu qu'il ne fabrique plus... D'où ma recherche actuelle ;)

Modifié par PATRICEM33

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Très intéressant ce post. Je réfléchis aussi à un newton rapide pour du Full Frame (j’ai un 6D astrodon aussi), pour moi l’évidence c’est l’Epsilon 160ED ou dans une moindre mesure le 130, mais a f/3.3 c’est pas un peu chaud à collimater ? Et pour la mise au point je pense qu’il faut prévoir un moteur du type EAF.

 

Sinon il y a les nouveaux SkyWatcher à f/4 qui viennent de sortir en 150 et 200mm a des prix indécents (comparés aux Taka évidement). Il faut juste rajouter le correcteur de coma, mais ça fait des instruments qui sur le papier répondent à tes critères pour environ 1000-1200€. Après niveau qualité je ne sais pas ce que ça vaut, ni si le correcteur SW est adapté au FF, mais je serais curieux de tester !


Apres, si tu passe au CMOS refroidi dans quelques temps, est-il nécessaire d’avoir un instrument avec un si grand cercle d’image corrigé, sachant que les cameras FF sont assez rares et très chères sauf erreur de ma part. Ou bien tu as déjà repéré un modèle précis ?

Modifié par lepithec

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Comme toi au départ ce sera couplé avec mon 6d astrodon.

Pour la suite je mettrais dans doute une asi2600 couleur qui a un format aps-c car pour l'instant les cmos FF, il faut sortir un sacré budget, et pour l'instant je préfère le mettre dans le Newton (optiques et mécanique au top).

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Il y a 10 heures, PATRICEM33 a dit :

Le Stronglight 300 était à l'époque si je me souviens bien au tarif de 6,5k€ et à la vue de la qualité je les aurais mis. 

Et oui, mais si il n'est plus au catalogue, c'est que c'était pas rentable...
Ajoute l'inflation sur les matières premières, ça nous fait un 300mm à peine sous 10k€...

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Il y a 9 heures, lepithec a dit :

ni si le correcteur SW est adapté au FF,

 

Il faut au minimum un correcteur 2,5 pouces pour le FF, en tout cas avec un miroir parabolique.

 

 

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Est-ce que pour le ciel profond la qualité optique pure a une importance...? j'aurais tendance à privilégier la conception générale vu que la résolution sera de toutes manières limitée par le ciel.

 

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il y a 16 minutes, CB7751 a dit :

Est-ce que pour le ciel profond la qualité optique pure a une importance..

 

C'est vrai que passer de lambda/8 à lambda/10 n'aura que peu d'incidence en astrophoto CP mais il faut quand même une optique correcte, et certains aspects comme la faible rugosité de la surface (pour limiter la diffusion autour des étoiles brillantes) et l'absence de bord rabattu sont importants. 

 

Avec les faibles échantillonnages que permettent les caméras actuels (0,5" à 1"/pixel) les défauts se voient rapidement (un secondaire un peu astigmate par exemple).

 

Là où je suis d'accord, c'est que la conception mécanique est au moins aussi importante.

 

Un astrographe newton avec de bonnes optiques ce n'est pas compliqué à trouver, il suffit de prendre un modèle du commerce et de faire repolir ou remplacer les miroirs par un artisan, mais pour  une mécanique qui tient la route c'est plus difficile. 

 

Le problème à mon avis est que les newton ont (à tort) une réputation d'instrument "low cost" et sont moins à la mode que les apo pour l'astrophoto (alors qu'ils sont nettement mieux adaptés pour des focales > 700mm) du coup dans la gamme au-dessus des GSO et Skywatcher standard on ne trouve pas grand chose en dehors des réalisations d'artisan.

Modifié par danielo
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Le 29/10/2022 à 15:43, BL Lac a dit :

c'est un peu comme "tout le reste"... Coût de réalisation vs coût de vente,

 

Moi je pense que tout simplement c'est impossible de faire des optiques Et de la mécanique quand on est tout seul. 

Peut être que le prototype n'a pas donné satisfaction non plus ? Faudrait voir ce que ce tube produit comme images. 

 

@PATRICEM33 tu as fait faire le devis chez arp83 ?

En partant d'un tube carbone tout fait il n'y a "plus que" l'araignée et le barillet  à faire. Ça coûtera pas des milliards à mon avis...

Tiens nous au courant. 

 

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Des petites news suite à la réponse de Mirro-sphère :

Franck fait l'intégration de ses optiques dans un tube (à ce que je comprends, je le lui fournirais).

Pour le diamètre du secondaire, pour lui 57 mm doit passer, soit 28 % d'obstruction.

Distance miroir plan / capteur = 140mm  afin que je puisse mettre mon 6D full frame (55mm de backfocus =  bague M48 T grand champ + distance capteur).

Délai de fabrication des miroirs : 3 mois.

 

Je ne comprends pas les 140mm entre le secondaire et le plan du capteur sachant que je souhaite mettre le correcteur de Wynne TS 3 pouces (longueur 99.8mm) ? Si qqun peut m'éclairer ?

 

Je vais demander à ARP83 ( @zeubeu ) pour la fabrication du tube.

 

Patrice

 

Modifié par PATRICEM33

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Il y a 2 heures, PATRICEM33 a dit :

Distance miroir plan / capteur = 140mm  afin que je puisse mettre mon 6D full frame (55mm de backfocus =  bague M48 T grand champ + distance capteur).

 

Le correcteur de Wynne 3 pouces fait 100mm de long, demande un backfocus de 63mm et recule le foyer de 17mm.  Dans la configuration idéale la lentille d'entrée du correcteur doit affleurer juste à l'intérieur du tube pour maximiser l'éclairement tout en évitant d'obstruer le faisceau. Si ton tube possède disons un diamètre extérieur de 250mm et un tube de 5mm d'épaisseur, la lentille d'entrée va se retrouver à 120mm du secondaire. 

 

En tenant compte des données ci-dessus, la distance entre le miroir secondaire et le plan focal doit être de 120+100+63-17=266mm.

 

Tu peux rajouter éventuellement qq millimètres pour avoir de la marge.

 

(sur le mien c'est très proche j'ai 271mm).

 

Il y a 2 heures, PATRICEM33 a dit :

Pour le diamètre du secondaire, pour lui 57 mm doit passer, soit 28 % d'obstruction.

 

Ça me paraît beaucoup trop peu pour un capteur plein format, surtout avec une telle distance primaire-secondaire. Le mien fait 75mm pour le correcteur 2,5 pouces, pour le 3 pouces ça doit être encore trop juste.

 

Voici la simulation avec le soft vignettage.exe pour un secondaire de 78mm :

 

capt.jpg.af4205824240a4e6a3dd5cbf67f5ed39.jpg

 

Pour une utilisation en astrographe pour le plein format je pense que 78mm c'est le minimum.

 

 

Le plein format est quand même une contrainte forte dans ton projet (taille du secondaire, diamètre du porte-oculaire et du correcteur), il faudrait peut-être que tu te demandes maintenant si lorsque tu passeras à une caméra CMOS tu resteras en plein format. Dans le cas contraire tu pourrais optimiser le tube pour de l'APS-C (quitte à l'utiliser pour l'instant en plein format avec ton reflex  même s'il n'est pas optimisé pour cela).

 

Exemple avec un Paracorr 2 pouces :

 

Le correcteur fait 76mm de long, recule le foyer de 47mm, backfocus de 56mm donc , la distance entre le miroir secondaire et le plan focal devient 120+76+56-47=205 mm seulement.

 

Évidemment un porte-oculaire en 2 pouces suffit.

 

Concernant le miroir secondaire, pour bien illuminer un format APS-C tu peux descendre à 67mm (33,5% d'obstruction).

 

 

Modifié par danielo
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Le 30/10/2022 à 07:58, danielo a dit :

u coup dans la gamme au-dessus des GSO et Skywatcher standard on ne trouve pas grand chose en dehors des réalisations d'artisan.

 

que penses-tu de ceux ci-dessous qui me semblent au dessus des GSO/SW :

  • SHARPSTAR 200mm à F 3.8 en natif - jusqu'à 3.2

image.png.9abcf6dcba3052f55874f699ca9c875f.png https://www.sharpstar-optics.com/index.php/15F28/277.html

 

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Il y a 11 heures, danielo a dit :

En tenant compte des données ci-dessus, la distance entre le miroir secondaire et le plan focal doit être de 120+100+63-17=266mm.

 

Si on calcule le tirage il ne faut pas enlever les 17mm...

On a 120 mm entre le secondaire et l'intérieur du tube : 120

La longueur du wynne : 100 mm

Le BF de 63, et on va rajouter 10 mm de marge quand même... ça fait un tirage de 293 mm.

 

Avec un secondaire de 90 mm (et une obstruction de 0.45) on obtient tout juste 26.4 mm de cpl...

 

Avec un Baader MPCC en 2" , le tirage descend à 251, un secondaire de 80 mm donnerait un cpl de 25.1 mm.

 

C'est un peu juste pour exploiter du 24x36.

 

Fred

 

Sur le SHARPSTAR 200mm à F 3.8 en natif - jusqu'à 3.2 , ils mettent un 90 mm, c'est pas pour rien :-)

"The 20032PNT is designed with a 200mm f/3.2 parabolic primary mirror, a 90mm-minor-axis flatten secondary mirror"

 

Modifié par zeubeu
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Il y a 2 heures, zeubeu a dit :

Si on calcule le tirage il ne faut pas enlever les 17mm...

 

Je pense que si il faut les enlever ! Ou peut-être que nous nous sommes mal compris :  ce que j'ai calculé c'est la distance secondaire - plan focal sans correcteur, donc le tirage natif du télescope.

 

Dans mon exemple, lorsque la MAP est faite, le capteur de la caméra se trouve à 120+100+63= 283mm du secondaire. Comme le plan focal est déplacé de 17mm vers l'extérieur par le correcteur, ça veut dire que sans correcteur le plan focal se situerait 17mm plus près du secondaire, càd  une distance de 283-17=266mm.

 

(C'est pour cette raison que le Paracorr permet d'imager même avec des tubes prévus pour le visuel car il ressort le plan focal de 47mm)

 

Je ne suis pas certain qu'il y ait besoin de laisser beaucoup de marge du moins lorsque la focale du miroir est exactement connue. Romano Zen avait mesuré 815mm pour mon miroir lorsqu''il l'avait terminé, c'est avec cette valeur que j'ai fait mes calculs et c'est tombé pile poil à moins de 2mm près.

 

 

Il y a 2 heures, zeubeu a dit :

Avec un secondaire de 90 mm (et une obstruction de 0.45) on obtient tout juste 26.4 mm de cpl...

 

A mon avis il faut faire un compromis entre éclairement au centre (qui baisse lorsque l'obstruction augmente) et éclairement dans les coins. 

 

Voici la simulation avec un secondaire de 78mm et un secondaire de 88mm, en tentant compte de la perte de lumière due à l'obstruction :

 

illum.jpg.32bc901137d6b7f36699ed2c0f54733b.jpg

 

On voit qu'avec le secondaire de 78mm (à droite) on gagne évidemment au centre, et, comme on part de plus haut, on ne perd quasiment rien dans les coins par rapport au secondaire de 88mm... Donc avec un secondaire de 88mm, l'éclairement est un peu plus uniforme qu'avec un secondaire de 78mm mais globalement il y a plus de lumière avec le 78mm.

 

Avec ce raisonnement je pense que  80mm (donc 40% d'obstruction) convient très bien.

 

Et on constate par ailleurs qu'à partir de 83mm, l'éclairement dans les coins plafonne car c'est le vignettage par le correcteur lui-même qui est le facteur limitant.

 

 

Il y a 2 heures, zeubeu a dit :

Sur le SHARPSTAR 200mm à F 3.8 en natif - jusqu'à 3.2 , ils mettent un 90 mm, c'est pas pour rien :-)

"The 20032PNT is designed with a 200mm f/3.2 parabolic primary mirror, a 90mm-minor-axis flatten secondary mirror"

 

C'est un correcteur réducteur, qui va déplacer le plan focal vers le secondaire et donc va réclamer beaucoup plus de tirage natif : dans notre exemple, en utilisant les données de TS, il faudrait une distance secondaire-plan focal native de 315mm donc c'est normal qu'il ait besoin d'un plus gros secondaire ;)

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Merci @danielo

Je vais revoir mon cahier des charges pour ce newton car la finalité est de mettre une CMOS type 2600 donc format APS-C, donc ça reviendrait à faire un peu le même que toi ;).

Merci @zeubeu, il faut que je te contacte prochainement pour savoir ce que tu peux faire comme tube mais chut :)...

Merci @FRANKASTRO64. Pour Axis, il ne fait plus de newton en dessous de 250mm de diamètre.

 

 

 

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Il y a 20 heures, PATRICEM33 a dit :

Je vais revoir mon cahier des charges pour ce newton car la finalité est de mettre une CMOS type 2600 donc format APS-C, donc ça reviendrait à faire un peu le même que toi ;).

 

ça me paraît une sage décision !

 

C'est quand même mieux que tu commences par choisir le correcteur de coma pour bien optimiser le montage. Ce que j'ai testé en 2 pouces :

  • Le Baader MPCC à oublier pour f/d=4 car produit de l'aberration de sphéricité.
  • Le correcteur GPU vendu par TS et Skywatcher : étoiles bien fines au centre et champ  bien corrigé en général. Quelques défauts cependant : assez pointu sur les réglages (backfocus au 1/10e en particulier), assez sensible au lumières parasites, et vignettage quand même non négligeable (un peu moins de 80% d'éclairement dans les coins APS-C).
  • Le Maxfield 0.,95x, étoiles  un peu moins fines que le GPU avec mon miroir à f/4, mais vignettage un peu moins important  (la différence est faible). Je ne l'ai pas testé très longtemps.

 

Sinon en 2,5 pouces mon correcteur actuel le TS Wynne Riccardi qui a remplacé le GPU. Je ne l'ai pas encore utilisé avec de grands capteurs mais la couverture de champ semble meilleure que le GPU sur les formats testés (jusqu'à 4/3) : au tilt résiduel du capteur près la FWHM est quasi-constante sur le champ. Il est également plus tolérant sur le backfocus et plus résistant aux lumières parasites. L'illumination est très bonne sur le format APS-C (j'ai mesuré 92,6% d'illumination dans les angles).  Le champ corrigé couvre en principe  le plein format mais l'illumination tombe à 70% dans les coins.

 

Restent le Paracorr II et l'Explore Scientific que je n'ai pas testé. Contrairement aux précédents ils ont un léger effet barlow. 

 

 

Modifié par danielo

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il y a une heure, danielo a dit :

Le Baader MPCC

 

il est plus conçu pour les lunettes que les Newton d'où ta remarque, même si Baader indique qu'il est optimisé pour les Newton à F4

 

Pour infos, je l'utilise sur certaines de mes lulu.

 

chez Baader pour les Newton, il faut mieux prendre le Correcteur de coma Baader RCC I qui fonctionne très bien avec un rapport d'ouverture partir de F/3.5 à F/6, il est optimisé cependant pour un rapport d'ouverture de F/4. Le backfocus a une valeur 91,5mm.

 

Après tu en as d'autres, comme celui de Vixen : le Vixen Corrector PH que j'ai pu tester sur un Newton Vixen R200SS ouvert à F4 (c'est un système type Wyne, 3 éléments en 3 groupes) : Aucune aberration chromatique et étoiles nettes jusqu'en bordures de champs et du capteur - inconvénient : il te réduit la focale de x0.95

 

Egalement supérieur au GPU SW :

Bref, un coma correcteur c'est comme les chaussures, il faut l'essayer avant d'acheter !

 

 

 

 

 

 

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Il y a 2 heures, FRANKASTRO64 a dit :

 

Il me semblait que les correcteurs GPU de Lacerta, Teleskop Service et Skywatcher étaient identiques du point de vue optique ?

 

Il y a 2 heures, FRANKASTRO64 a dit :

le Vixen Corrector PH que j'ai pu tester sur un Newton Vixen R200SS ouvert à F4

 

J'y avais pensé aussi lorsque j'ai changé de correcteur, mais il a comme inconvénients de nécessiter un porte-oculaire de plus de 2 pouces et de ne pas avoir de connexions standard. Pas complètement évident à adapter sur un tube d'une autre marque donc. Et difficile d'évaluer ses performances avec les spots diagrams que publie Vixen (boîtes de 400µm...). Tu l'as testé avec quel capteur ?

Modifié par danielo

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J'ai le Sharpstar qui est un f3.2 avec correcteur réducteur.

I couvre très largement le APS-C (en fait il couvre le FF)

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il y a 22 minutes, Bretoc a dit :

J'ai le Sharpstar qui est un f3.2 avec correcteur réducteur.

 

Il a l'air intéressant ce tube, tu as des images faites avec ? 

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En voici une avec un peu de tilt 

camera Omegon veTEC571C et filtre dual band Antlia 5nm

 

384CAA8B-6D9F-4D78-A173-31532C601B87.jpeg

  • Merci 1

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En fait je pense que le réglage du backfocus aussi n'est pas bon

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    • Par Goofy2
      Bonjour   
       
      Une autre façon plus traditionnelle de réaliser la collimation. Cette méthode itérative est utilisée par plusieurs utilisateurs de Smart télescope Unistellar.
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      ----
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      Bonne collimation...
    • Par Chrishapha2019
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      Chris
       
    • Par Close-to-focus
      Salut à tous,

      voici quelques images faites au newton trusstube désaluminé skywatcher 150/750.
      Camera apollo-m mini (imx429) et mars-m en bin2 (imx290). avec barlow 2.7x, 4x, 5x.. et filtre continuum 8nm, des combinaisons qui me donnent un échantillonnage entre 0.40" et 0.24" suivant le montage.

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      J’envisageais, à qualité optique égale, de passer sur un 200 / 1000, (en truss tube pour limiter le poids et la turbu interne), le max que ma monture devrait accepter de porter correctement.
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      merci à vous

      voici les photos en question:
      imx 429

       

       
      imx 290 bin2

       


       
    • Par Papy lulu
      Bonjour,  je débute,  la photo (M51) est le résultat de 261 fichiers empilés par le seestar S50 je présume que ce sont 261 prises de vues de 10" chacune.
      Bonne journée à tous.
      Papy lulu


    • Par BobSaintClar
      En direct du japon, je vous présente un compte-rendu succinct de mon week-end au Festival des étoiles d'Hoshi No Mura
       
      il s'agit d'un rassemblement annuel (premier WE de Juin suivant la nouvelle lune) se tenant dans un observatoire public posé dans les montagnes de la préfecture de Fukushima !
      Ceci dit, ladite préfecture est vaste et nous sommes loins de la côte : lors de ma première édition, avant les années Covid, j'avais emporté mon radiomètre : la radioactivité du site était parfaitement normale...
      Le séisme de 2011 a pourtant eut des conséquences dramatiques pour l'observatoire, j'y reviendrai.
       
      Commençons par présenter les lieux : nous sommes à 650m d'altitude, à 20km de la côte Est du japon, dans une région de moyenne montagne. De mon domicile, il faut compte trois heures de voiture. Sur place résident un observatoire, deux parkings, un restaurant, diverses boutiques et une grotte ouverte aux visiteurs.
      Sur la route menant au site, je reconnais un "magasin" déjà vu les années précédentes : il expose des sculptures religieuses, notamment...
       

      ... mais oui, des bites géantes en pierre (note : j'ai servi de modèle pour l'artiste )
       
      Le Site
       
      Sur place, deux parkings sont réservés aux astronomes amateurs : le premier, "en haut", est généralement préféré au second, "en bas", parce qu'il est moins parasité par les lumières de l'évènement.
      Je me suis installé sur le premier
       

       
      Kurita-san, un ami de club arrivé plus tard, a du se contenter du second :
       

      Nous sommes Vendredi après-midi, l'évènement n'a pas encore officiellement commencé, le parking est encore vide. J'ai pris cette image depuis le toit de l'observatoire. Notez l'impressionnante falaise, qui abrite plusieurs grottes !
       
      L'observatoire en question, le voici :
       

      Le bâtiment, coté gauche, propose des toilettes, un dortoir, quelques pièces réservées au staff et une boutique de souvenirs "astro". Au centre, vous avez un vaste hall dédié à l'exposition de différents matériels & objets. 
      L'espèce de tour carrée cache essentiellement un escalier en spirale permettant d'atteindre le toit ET le pont menant au télescope de 650 abrité sous la coupole.
      Sur le parvis, la plupart des exposants sont déjà installés.
      Vendredi après-midi, le ciel n'est guère rassurant...
       
      Au rez-de-chaussée (que les japonais appellent le premier étage, pour l'anecdote) de l'espèce de ziggourat qui soutient la coupole se trouve une exposition permanente :
       

      Et au-dessus - avant d'arriver au troisième étage (celui du télescope) - se trouve un planetarium. Voilà, vous avez fait le tour !
       
      Les exposants
       
      Le festival aux étoiles d'Hoshi No Mura est un évènement "classique" : les exposants y tiennent une place centrale !
      Les marques les plus connues sont représentées (Takahashi, Vixen, SVbony, etc) et l'on trouve beaucoup de matériels "occasion / exposition / fins de série" intéressants. Dès mon arrivée, je suis tombé sur une offre que je n'ai pas su refuser... un oculaire Morpheus de 9mm bradé à 27000 yens (ça fait 158 euros, au taux de change actuel). Bordel, il m'en faut un deuxième, maintenant 
       
      Je ne les ai pas tous pris en photo, je pense que vous savez à quoi ressemble un stand de marque :
       

      Avec la dépréciation du yen, les bonnes affaires sont légion ! Les binos Vixen BT80, qui ont plutôt bonne presse, sont ici à 235 euros...
       
      Lui, il a tout un stock de jumelles de randonnée, de loupes, de chercheurs 8x30 et de bordel divers (filtres, caches, boites à oculaires, etc.) à 59 centimes d'euro pièce 
       

      (Notez le poster d'un personnage Moe, nous sommes bien au japon...)
       
      Coté matos, je n'ai pas repéré grand-chose de spécial, d'original ou de vraiment nouveau... mais bon, je ne suis pas le mieux placé pour en juger : je ne m'intéresse guère qu'à l'équipement dédié au visuel. J'ai quand même vu deux-trois trucs que vous ne connaissez peut-être pas, ou pas encore ? 
      Voyons cela :
       
      Sur le stand Vixen, je me suis attardé sur ces deux versions à diamètres réduits - 70 et 90mm - de l'astrographe VSD100SS.
      Je ne connaissais pas ces modèles, je suppose qu'ils sont plus abordables que leur ainé : de mémoire, le tube de 100mm est hors de prix (je n'en ai d'ailleurs jamais vu dans les rangs amateurs, même au Japon) !
       

      Malgré la déprise du yen, le VSD90SS est à plus de 4000 euros... mais sérieux, qui va acheter ça ??
       
      Les amateurs
       
      Autant j'avais vu des équipements remarquables au rassemblement d'Aichi (celui consacré aux grosses binos, aux dobsons et aux réalisations personnelles), autant le festival d'Hoshi No Mura est basique : les visiteurs sont avant tout venus avec... des lunettes équipées pour l'astrophoto, ad nauseum !
      Je n'ai vu que deux dobsons : le 660 déjà remarqué dans des rassemblements antérieurs (comme celui d'Aichi) et le 500 décrit dans mon compte-rendu sur la star-partie de Koumi.
       
      il y avait aussi ce Ninja :
       

      Si vous avez une impression de déjà vu, c'est normal : ce tube était présent lors du rassemblement d'Aichi, comme en témoignent ses autocollants Moe (décidément...)
       
      Le T500 (à F/D beaucoup trop, ouch, échelle de pompier obligatoire) du festival de Koumi, encore une pièce rapportée :
       

       
      Vous vous souvenez du proprio ? Non ? 
      Indice : Un homme inverti en vaut deux (sur les blagues de boomer, je ne crains personne )
      Bref, le voici  :
       

      Lorsque j'ai pris cette photo, l'évènement n'avait pas commencé, tout le monde s'installait tranquillement. Donc, notre gaillard n'est pas prêt... mais quelques heures plus tard, en soirée, il l'était ! 
      Au menu : mocassins noirs brillants à talons, longue robe grise plissée, haut bustier noir échancré et chapeau canotier à ruban rose orné d'un flot en forme de coeur...
      Ça y est, vous le remettez ??
       
      Le télescope suivant, je ne pouvais pas le manquer :
       

      Nous sommes toujours en territoire connu : c'est le 200 - diaphragmé à 198mm - F8 de Okubo-san. Le seul télescope amateur de moins de 200mm d'ouverture nécessitant l'usage d'un escabeau... 
       
      Coté binoculaires, ce n'est guère folichon :
       

      Des Miyauchi 20x100 (oculaires fixes) : j'ai eu la chance de posséder ce modèle l'année du passage de la comète Hyakutake, en 1996.
      Elle repasse dans 70.000 ans mais cette fois, j'ai des 150ED : j'ai hâte !
       
      Par le plus grand des hasards (non pas du tout, j'ai évidemment fait exprès), je me suis installé juste à coté du seul gars bien équipé en jumelles : il avait 7 ou 8 modèles, à minima, dont des Zeiss 7x50 antiques (très bonnes, une vraie surprise), des Zeiss stabilisées 20x60 (une autre bonne surprise, je les aurais pensé plus lourdes) et des Nikon 20x120 anciennes en provenance directe... d'un bâtiment de guerre (il m'a donné un nom que je n'ai pas su mémoriser) :
       

      (Oui, pardon, c'est de l'infrarouge couleur)
       
      Le CROA
       
      Et coté astronomie, me direz-vous ?
       
      La nuit du vendredi au Samedi était plutôt mal partie (cf images) mais dès 22h, les nuages sont sont espacés, puis évaporés ! J'ai profité de mes jumelles jusqu'à minuit environs, puis je suis passé en mode "monteur d'étoiles" lorsque diverses personnes - essentiellement des résidents du coin, venus en famille - sont venu dans notre secteur :
      Le ciel était très bon, peu pollué, la transparence excellente, les principales vedettes de l'été - du sagittaire au Cygne, pour faire court - en pleine ascension... succès garanti !
       
      Jusqu'à une heure et demie du matin, j'ai ainsi partagé notre passion avec les gens du cru, jusqu'à ce qu'un gars presque obèse (une rareté, au Japon), s'emmêlant les pinceaux dans le noir, s'assoit un rien brutalement sur ma chaise : CRAAACK ! Plus de chaise ! 
       
      Imaginez la scène, compte tenu de la culture du pays : le pauvre type ne savait plus où se mettre, il s'est répandu en excuses plus dramatiques les unes que les autres, je ne savais pas quoi dire ou faire pour l'arrêter !! Il ma fallut des trésors de patience pour lui faire comprendre, in fine, qu'une seule pièce de bois de 10x10cm avait lâché, que la refaire serait un jeu d'enfant (et en effet, j'ai réparé ma chaise ce Dimanche matin)... purée, il voulait absolument me dédommager en argent... oh wait, j'aurais peut-être du me laisser faire ? 
       
      Anecdotes
       
      J'ai quelque peu écorné ce chapitre, avec l'astronome transformiste (une combo rare, avouez) et le sculpteur de giga-bites (non, rien à voir avec l'informatique)... 
      Il vous reste quand même quelques curiosités à découvrir :
       
      1/ Les japonais sont honnêtes et très confiants ! On ne le dira jamais assez, le pays est sûr et au quotidien, l'on perd assez vite ses repères et ses habitudes ! L'observatoire d'Hoshi No Mura est ouvert aux quatre vents, il n'y a pas de caméras dans le bâtiment, vous pouvez vous y promener et ramasser ce qui vous plaît sans aucun problème...
      Par exemple, en montant au deuxième étage via la tour carrée, vous pouvez choisir le modèle de loupe binoculaire qui vous convient :
       

      Le détail qui tue : l'observatoire a acheté l'exemplaire du milieu (juste à droite de la caisse orange), sans doute pour le mettre à disposition du public (notamment des écoliers) il y a encore l'étiquette avec le prix affiché (20.000 yens)...
      Non seulement rien n'est sous clé ni même surveillé mais en sus, la valeur du matériel est commodément indiquée 
       
      Un peu plus haut, dans ce qui s'apparente à un débarras sans porte, vous avez tout un tas d'instruments en vrac, avec des caisses d'oculaires et de jumelles à même le sol :
       

      J'ai pris la photo sans arrière-pensée ni gêne aucune : j'étais absolument seul, dans la tour et sur le toit ! Je rappelle que le site, pour l'évènement, reçoit plusieurs centaines de personnes, de tous âges, qui vont vaquer dans tous les sens : et bien, comme d'habitude, rien ne sera volé. Les organisateurs ne sont pas des idiots : s'il en allait autrement, soyez sûrs que tout serait surveillé, ou hors d'accès. Mais ici, à quoi bon ?? 
       
      2/ Dans le grand hall / salle d'exposition du bâtiment principal, j'ai remarqué cet objet, quelque peu incongru dans un observatoire  :
       

      Vous l'aurez deviné en observant l'image en détail : c'est une sorte de glaive court dont la lame a été forgée à partir d'une météorite ferreuse. Cette arme n'est pas historique, elle a été faite sur commande de l'observatoire il y a quelques décennies, mais elle est néanmoins représentative d'un phénomène réel, dans l'histoire dujapon : les minerais de fer du pays étant de qualité médiocre, les artisans locaux ont du développer des techniques très élaborées pour forger leurs célèbres lames (on pense surtout au katana, évidemment). Du coup, lorsqu'ils avaient la chance de tomber sur un beau morceau de météorite ferreuse, bien plus riche en métal que n'importe laquelle de leurs pauvres caillasses, ils ne se privaient pas d'en faire une arme (sans même parler du coté "on ne va pas gâcher ce précieux cadeau des dieux")...
       
      3/ Pour transporter son matos astro et son nécessaire de camping, rien ne vaut une Keycar coupée sport :
       

      Voici la voiture de mon "autre" voisin (pour le distinguer du possesseur de jumelles, venu en minibus Totyota). Dans cet équipage minimaliste à deux places, ledit voisin a transporté une petite lunette (une 80mm à FD court), son trépied photo et une tente une place intégrée à son lit pliant !
      Mieux vaut être célibataire, sans enfants... et sans dobson !
       
      4/ L'été japonais est caniculaire. nous sommes toujours au printemps, officiellement, mais nous avons souffert de la chaleur en journée. Pourtant, une créature était bien plus à plaindre :
       

      Il ne fait pas bon être un gros chien à poils longs, au pays du soleil levant : sauf à habiter haut en altitude et latitude, la chaleur humide des mois d'été est très pénible. De plus, la loi du pays impose de ne jamais laisser divaguer votre toutou, en ville comme à la campagne, même s'il n'y a personne en vue : les chiens sont donc toujours attachés et ne sont jamais libres de leurs mouvements.
      C'est moyen, pour ces lointains cousins du loup  
       
      5/ Le séisme de 2011 dans la région de Fukushima, de sinistre mémoire, a eut des conséquences désastreuses sur l'observatoire d'Hoshi No Mura :
       

      Au plus fort de la secousse, le t650 et sa monture, installés dans la coupole, ont traversé trois étages avant de s'écraser au rez-de-chaussée, infligeant les dégâts qu'on imagine ! La carcasse de l'ancien télescope est toujours exposée dans le bâtiment, au pied de l'escalier menant au pont.
       
      Cette petite sculpture est un monument commémoratif de l'accident :
       

       
      6/ La photographie dans l'infrarouge proche, c'est beau, mais c'est aussi utile !
      Par exemple, pour discriminer le couvert végétal :
       

      on distingue beaucoup mieux les feuillus des conifères, entre autres...
       
      Clôturons ce rapport comme il convient : par une photographie astronomique !
      Voici donc la planète terre, observée depuis l'observatoire d'Hoshi No Mura, préfecture de Fukushima, Japon :
       
       
       
      Owari desu !


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