soleil rouge

Mon nouveau tube ! APO 203 Fluorite Lichtenkneker

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il y a 2 minutes, zirkel 2 a dit :

Séverin au risque de te décevoir les Japonais de Scopetech ne sont pas les créateurs du chercheur astucieux (peep hole finder), Zeiss avait la même chose sur la célèbre Lunette Telementor.

Puis 50 mm de diamètre là c'est vraiment trop faible, perso en dessous de 80 mm de diamètre ça ne m'intéresse pas.

 

Bonjour,

 

Hélas, les gens ne jure que par le diamètre de nos jours

La Telementor je connais, mais je ne le savais pas que cela provenait de là, mais ils ont le mérite d'avoir remis cela au gout du jour, et s'est diablement efficace pour le solaire et le lunaire, du coup j'en ai réalisé un pour AIRWOLF., en plus d'un chercheur coudé.

mecano-chercheur.jpg.acc5e9a96df96043b25ac1fcfa0b54ec.jpgchercheur.jpg.3bb9832987f3d217e63f234b829a91ad.jpg

 

Bon ciel achromatique

 

 

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Il y a 2 heures, Cyrille Thieullet a dit :

Après, au delà de la turbu, la collimation, la qualité des surface d'un réfracteur, sa stabilité mécanique, il y a l'effet des gradient de T° qui est une plaie sur les primaires et le secondaires.

C'est pas le tout de mettre en T°, si durant la nuit la T° chute ca va avoir un impact direct sur la surface. Ou la lame de fermeture.

Le centre va évoluer moins vite que les bords.

Ca crée de l'aberration sphérique.

Le barillet il semble que ce soit pas toujours au poil sur une lunette, les spécialistes des réfracteurs en témoignent régulièrement ici :) 

Et les gradients de température, c’est moins problématique sur un objectif de lunette? ( c’est une vraie question ouverte ;) )

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il y a une heure, Cyrille Thieullet a dit :

Oui ;-)

 

Oui, mais on n’a pas de preuve qu’il y ait un mouvement azimutal :D 

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Il y a 1 heure, JB a dit :

Un domaine où je trouve que les lulus sont très agréables, c'est l'observation des étoiles doubles serrées... Je n'ai jamais vu la double-double de la Lyre comme une fois dans mon ancienne lulu 120/1000 par un soir très stable, des disques d'airy collés, magnifique.... 

C'était ma petite contribution à ce post fleuve 😜

 

C’est bien aussi de les séparer largement avec un peu plus de diamètre :) 

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Il y a 2 heures, zirkel 2 a dit :

Privilégiez en ciel profond les objets Messier, Caldwell (et les NGC abordables), ce sont les plus accessibles.

 

Attention, la liste de Caldwell n'est pas une liste des objets les plus accessibles (sauf dans le ciel austral). On y trouve quand même des choses horriblement difficiles à petit diamètre comme le Cocon, la Bulle, IC 342 et même un objet parfaitement invisible, Sh 2-155. C'est une liste plus ou moins aléatoire d'objets non-Messier (sauf dans le ciel austral).

 

Pour les objets les plus accessibles, je préconise la liste du livre "J'observe le ciel profond" de J.-R. Gilis (environ 400 objets, mais ce sont réellement les 400 les plus accessibles).

 

En tout cas ton résumé est très intéressant, on voit notamment que le point faible du petit diamètre, c'est les amas globulaires, les nébuleuses planétaires et les galaxies. Effectivement, les nébuleuses  diffuses peuvent y être bien visibles, pourvu que le ciel soit top, et il y a suffisamment d'amas ouverts brillants pour satisfaire même une lunette de 100 mm. J'ajouterais que, sur les étoiles doubles, la vision des disques d'Airy est nettement plus facile que sur un télescope deux fois plus grand (à budget égal). J'ai un très bon souvenir de quelques étoiles doubles qu'un membre de mon ancien club nous avait montrées à travers sa lunette 80/800 achromatique : les disques étaient pafaits.

Modifié par Bruno-

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Il y a 2 heures, jldauvergne a dit :

Normalement Pluton dans 100 mm tu ne peux pas. Dans un 200 non plus. 

 

Je l'ai vu dans une lunette de 178 ED, et dans mon ancien Mewlon 210 (pas si faible que ça, mais c'était en 1997, à l'époque où elle faisait 0,5 magnitude de moins que maintenant).

Modifié par Bruno-
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il y a 20 minutes, Bruno- a dit :

Pour les objets les plus accessibles, je préconise la liste du livre "J'observe le ciel profond" de J.-R. Gilis (environ 400 objets, mais ce sont réellement les 400 les plus accessibles).

Je préconise aussi le fameux « top200! » d’un certain Salque Bruno . Je pense que beaucoup de ces objets sont accessibles à une lunette de 100mm :) 

http://www.astrosurf.com/bsalque/top.htm#crt

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...plus que 94 et le cap des 1000 sera atteint ! :D

Quelle histoire ! :P

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Il y a 13 heures, jldauvergne a dit :

Oublier les défauts des APO, le gain de luminosité d'un télescope, la possible vision bino, etc

 

En planétaire, la bino est possible sur tous les tubes. Je le faisais encore hier soir en mode feignasse avec ma petite Taka FC 100 et le chat sur les genoux !

 

Il y a 13 heures, zirkel 2 a dit :

Mars : bof! Jamais enthousiasmé même en période favorable d'opposition, des nuances de surface oui mais ça va pas plus loin...du moins pour moi.

 

Eh bien voilà précisément un objet où le diamètre est déterminant. J'ai apprécié Mars tout l'automne et hiver dernier à la 185 car je pouvais grossir 400x sans perte de lumière préjudiciable. Mais au 500, quand ça le fait, c'est encore un autre monde qui s'ouvre. :o

 

Hier soir à la FC 100, les bandes de Jupiter restaient grises. A la 185 elles sont carmin. Au 500, c'est du rouge qui pète !

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il y a 2 minutes, JD a dit :

En planétaire, la bino est possible sur tous les tubes. Je le faisais encore hier soir en mode feignasse avec ma petite Taka FC 100 et le chat sur les genoux !

Oui, oui bien entendu. Mais tu iras plus facilement à 300/400x avec un télescope en bino. Avec une lunette de 100 à 150 mm ça va manquer de lumière. C'est pour ça que je mets en avant la vision bino. Sur un 250 ou un 300, à 300x en bino tu vois autant de choses qu'à 500 x en mono. Mais l'instrument est à un grossissement où l'image a la gnaque en terme de contraste. 

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il y a une heure, jldauvergne a dit :

Sur un 250 ou un 300, à 300x en bino tu vois autant de choses qu'à 500 x en mono. Mais l'instrument est à un grossissement où l'image a la gnaque en terme de contraste. 

 

Exactement. Je suis passé à la bino en 2002. Pour moi, un retour à la vision monoculaire en planétaire est impensable! Le confort d'observation avec la bino réduit la fatigue oculaire et permet de discerner des fins détails que la vision mono montre difficilement. Les nuances de couleurs sont également mieux perceptibles sur les globes planétaires et le cerveau semble très bien s'accomoder de la perte de luminosité due à la séparation du faisceau lumineux. D'ailleurs, les dessinateurs planétaires observent tous en bino je pense. 

 

 

@zirkel 2 : Mars : bof! Jamais enthousiasmé même en période favorable d'opposition, des nuances de surface oui mais ça va pas plus loin...du moins pour moi.

 

Pour observer Mars, il faut du diamètre! En dessous de 100mm, Mars est une planète très décevante et pour commencer à faire des observations intéressantes de la planète rouge, il faut 150mm voire 200mm. Ces diamètres "moyens" permettront, aux oppositions, de distinguer les calottes polaires et les grandes configurations du sol martien (Syrtis Major, Sinus Meridiani, le bassin de Hellas,...). A partir de 250mm et plus, on peut envisager de suivre l'évolution des calottes polaires, apercevoir les nuages orographiques et sur le limbe de la planète, mais aussi détecter d'éventuelles tempêtes de poussières,... Avec 300mm, tout devient possible et les détails perceptibles dans un 250mm seront observables sur une plus longue période! Mars a le gros avantage d'avoir une forte luminosité ce qui permet de pousser le grossissement à des niveaux élevés (500x à 800x avec un 300mm) si le seeing est coopérant. Mars présente cependant une surface très peu contrastée et l'usage de filtres colorés permettra de mettre en évidence l'objet des observations (nuages, calottes polaires, déserts,...).

 

Mars est une planète fascinante avec un "gros" instrument au vu de la diversité des choses observables dont on pourra suivre l'évolution sur une longue période au fil des nuits. Personnellement, je la trouve bien plus intéressante que les géantes gazeuses, peut-être pour ses similitudes avec notre Terre, tant pour ses phénomènes atmosphériques que pour la diversité de son sol : sable, rocs, volcans, calottes polaires,...

Modifié par Olivier Meeckers
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Il y a 1 heure, JD a dit :

En planétaire, la bino est possible sur tous les tubes. Je le faisais encore hier soir en mode feignasse avec ma petite Taka FC 100

Je ne vois pas de raison de ne pas utiliser une bino sur des petits télescopes. Trop petit ça pose évidemment  problème pour le poids. 

Cette nuit vers 3 heures la Lune dans l'Intes avec des oculaires 24 mm à 112 fois et 13 mm à 207 fois furent parfaites. Netteté et piqué au top.

Avec un Nagler 5 mm à 540 fois ça passait, mais j'apprécie plus avec une lumière éclatante.

Intes Bino.jpg

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il y a une heure, Olivier Meeckers a dit :

Pour observer Mars, il faut du diamètre! En dessous de 100mm, Mars est une planète très décevante et pour commencer à faire des observations intéressantes de la planète rouge, il faut 150mm voire 200mm

pourtant y en a qui analysent les variations de l'atmosphère martienne avec 80mm :) 

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il y a 42 minutes, Adamckiewicz a dit :

pourtant y en a qui analysent les variations de l'atmosphère martienne avec 80mm

..et je remet 100 balles dans le mourin

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Ne connaissant pas "mourin" j'ai vite tapé pour voir le nom d'un médecin. 

J'ai bien fait, car ce terme est un terme utilisé par mon ancien professeur Maître Capello. Nostalgie, nostalgie ... .
"Le nourrain était le terme employé par Jacques Capelovici pour désigner le cochon tirelire dans lequel il mettait de l'argent."

 

Modifié par rolf

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il y a 3 minutes, Great gig in the sky a dit :

Un peu de sérieux svp ... xD

C'est du Capelo . :D

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Il y a 1 heure, rolf a dit :

Je ne vois pas de raison de ne pas utiliser une bino sur des petits télescopes. Trop petit ça pose évidemment  problème pour le poids. 

Cette nuit vers 3 heures la Lune dans l'Intes avec des oculaires 24 mm à 112 fois et 13 mm à 207 fois furent parfaites. Netteté et piqué au top.

En planétaire il y a une raison forte c'est que ce que l'on vise est petit, et mérite de grossir 200 à 300 minimum pour bien apprécier. 
Si tu fais ça en bino avec une lunette de 100 mm tu te retrouves avec des pupilles de sorties minuscules, donc une vision très peu confortable et une image relativement sombre. Au contraire, quand on observe à 300 x avec un 250 ou un 300, on est dans une situation confortable à tout point de vue. On a en plus des oculaires avec plus de dégagement oculaire. 
Donc que l'on puisse faire du planétaire en bino avec des petits diamètres, je n'en doute pas une seconde. Je dis simplement que la tête bino se marie mieux à un instrument de grand diamètre. 


Bien entendu si on utilise la bino pour du ciel profond ou pour apprécier la lune à champ large, c'est tournée générale de bino pour tous les diamètre sans réserve (sauf les borgnes). 

Il faut quand même garder en tête que la plus grosse limite c'est le ciel. Et on a en planétaire une limite un peu récurrente (en France) d'une plage de grossissement applicable dans la fourchette 400-600x (si ça ne passe pas à 400x, je ne sais pas vous mais moi je vais me coucher). 
Cette plage de grossissement applicable, (et de résolution atteignable en imagerie), définit aussi une taille d'instrument idéal qui  pour moi se trouve dans la fourchette 250  à 350 mm, voire 400 mm pour les audacieux. Pour le moment je n'ai vu personne en France sortir avec un 400 une image que l'on aurait pas pu faire avec un 350 (ça peut changer, il suffirait que @JP-Prost et @JP Oger s'énervent un peu, ce qui menace d'arriver :) ) . 
Ca nous donne aussi une taille minimal d'instrument souhaitable pour le planétaire à 200 mm, un bon 200 mm peut atteindre les 500 x (et à fortiori une bonne lunette de ce diamètre).

Modifié par jldauvergne
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il y a 5 minutes, jldauvergne a dit :

Au contraire, quand on observe à 300 x avec un 250 ou un 300 on est dans une situation confortable à tout point de vue. On a en plus des oculaires avec plus de dégagement oculaire. 

C'est sûr. 300 et bino c'est à bête à tout faire. 

 

il y a 6 minutes, jldauvergne a dit :

(si ça ne passe pas à 400x, je ne sais pas vous mais moi je vais me coucher). 

On n'a pas les mêmes exigences. Si j'ai une fois le diamètre, c'est déjà bien.

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il y a 15 minutes, jldauvergne a dit :

si ça ne passe pas à 400x, je ne sais pas vous mais moi je vais me coucher). 

Deux remarques :D 

- quand on a monté son matériel et qu’il faut un peu de temps pour le ranger et rentrer, on insiste un peu :D

- t’as une balcon stratosphérique toi :D 

mon seuil c’est 300x. En deçà je fais autre chose, sauf éphéméride qui en vaille la peine :) 

 

 

et une troisième q’gratuite pour la route : le forum est à nouveau en ébullition comme à chaque saison planétaire mais même si ça turbule on peut faire pas mal de choses en ciel profond :)  ( mais pas de ton balcon :( )

Modifié par Adamckiewicz
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il y a 39 minutes, Great gig in the sky a dit :

Le nourrain ! >:(

Un peu de sérieux svp ... 

Pan sur le bec!

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il y a 47 minutes, jldauvergne a dit :

Il faut quand même garder en tête que la plus grosse limite c'est le ciel. Et on a en planétaire une limite un peu récurrente (en France) d'une plage de grossissement applicable dans la fourchette 400-600x (si ça ne passe pas à 400x, je ne sais pas vous mais moi je vais me coucher). 


Pareil, mêmes « exigences » que JLD. Mon grossissement minimum en bino au vu de mes oculaires est de 220x. C’est assez faible en planétaire et donc très rare que je l’utilise, à part pour l’observation lunaire ou pour visualiser Jupiter ou Saturne avec les satellites. Les corps célestes sont alors parfaitement ciselés sur fond de ciel noir, c’est magnifique. Magnifique mais pas suffisant pour aller chercher les fins détails. Pour ça, j’utilise une paire d’orthoscopiques de 25mm (310x = 1D). Les images sont lumineuses, ciselées et les fins détails sont résolus. En deçà de 310x, je remballe. Toutefois, si le seeing est bon, je pousse à 500x. C’est le grossissement qui m’offre le meilleur rapport « confort / luminosité / résolution / qualité d’images ». Au-delà, les images seront plus grosses mais moins confortables pour les yeux. 

Modifié par Olivier Meeckers
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Hier soir, la Lune en bino sur la 100 FC : grossissement 42x  !!! Un contraste de ouf. :)

Puis j'ai mis le Glasspath et suis monté à 140x sur les deux planètes. Et c'est là qu'on s'aperçoit que c'est vite fait d'atteindre 1,5 D avec une 100mm :$

 

Le ciel ne tolérait pas plus hier soir chez moi comme si souvent ! 9_9-_-

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il y a 47 minutes, jldauvergne a dit :

Pour le moment je n'ai vu personne en France sortir avec un 400 une image que l'on aurait pas pu faire avec un 350 (ça peut changer, il suffirait que @JP-Prost et @JP Oger s'énervent un peu, ce qui menace d'arriver :) ) . 

Bon ça va peut être paraitre prétentieux mais cette saison je sens que ça va donner avec mon 15" au moins une fois sur Jupiter, Saturne je pense que c'est mort  à cause des horaires, mais pour Juju le télescope est en position, colimater jusqu'au troisième disque Airy,  comme il faut, je suis roder sur le reglage ADC et les parametres de capture, la MAP,....Je test tout les matin avec d'aller bosser malgré cet anti cyclone mal placé. Bref je suis paré moi aussi   ;)

Sinon sérieusement je trouve que la saturne de ce post ne fait pas honte au 400 mm de diamètre, non ?

 

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    • Par lpalbou
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      ----
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      Au préalable faites une bonne mise au point de l'optique avec le masque de Bahtinov fourni avec l'instrument.
      Faire un Goto sur une étoiles brillantes située dans la Voie Lactée (pour avoir un maximum d'étoiles sur le capteur et avoir une étoile centrale comme référence bien visible). Puis faire une VA de 2 minutes (ou plus). Analyser la coma stellaire en bord de champ sur la capture de la VA (ne pas hésiter à zoomer). Repérer le bord ou le coin qui présente la plus forte coma stellaire En vision temps réelle et uniquement avec les vis de collimation, déplacer l'étoile de référence située au centre du capteur en direction du bord ou du coin présentant la plus forte coma stellaire. L'amplitude du déplacement est fonction de l'amplitude de la décollimation. Puis avec les mouvements lents de l'application, replacer l'étoiles de référence au centre du capteur. Refaire une VA de 2 minutes (ou plus) et recommencer les étapes 2, 3 et 4 jusqu'à ce que la coma stellaire en bord de champ soit homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur.  
      Il s'agit d'une méthode itérative.
      Bonne collimation...
    • Par Close-to-focus
      Salut à tous,

      voici quelques images faites au newton trusstube désaluminé skywatcher 150/750.
      Camera apollo-m mini (imx429) et mars-m en bin2 (imx290). avec barlow 2.7x, 4x, 5x.. et filtre continuum 8nm, des combinaisons qui me donnent un échantillonnage entre 0.40" et 0.24" suivant le montage.

      Je trouve que j'ai de meilleurs résultats avec un échantillonnage proche de 0.40", mais d'un jour à l'autre le seeing évoluant, pas sûr que mes "tests" soient cohérents avec la réalité.
      Les poses sont de l'ordre de la milliseconde, voire moins (ce matin j'étais à 0.5ms).

      J'image sous un ciel la plupart du temps plus ou moins voilé, ciel gris/bleu pour vous donner une idée (ce matin c'était bien bleu, mais plein de vent ), dans une cour ombragée mais située dans une (toute) petite ville, donc bitume et pavés à proximité.
      Je n'arrive pas à avoir plus de netteté, du coup je me demande si changer de setup pourrait améliorer mes images ou si mon ciel me limitera de toute façon.

      J’envisageais, à qualité optique égale, de passer sur un 200 / 1000, (en truss tube pour limiter le poids et la turbu interne), le max que ma monture devrait accepter de porter correctement.
      Mais vais-je gagner beaucoup en résolution?

      j'envisageais aussi la possibilité de rester sur mon diamètre de 150mm (vu mon ciel, est-ce bien utile d'augmenter le diamètre?) mais avec un miroir d'artisan (zen ottiche en fait en petits diamètres).

      Autre question : quel échantillonnage serait  le plus approprié sous un ciel moyen à bon?
      si je reste sur les valeurs théoriques d’échantillonnage (si j'ai bien calculé elle se situe autour de 0.25") les résultats ne sont pas top.

      merci à vous

      voici les photos en question:
      imx 429

       

       
      imx 290 bin2

       


       
    • Par Papy lulu
      Bonjour,  je débute,  la photo (M51) est le résultat de 261 fichiers empilés par le seestar S50 je présume que ce sont 261 prises de vues de 10" chacune.
      Bonne journée à tous.
      Papy lulu


    • Par BobSaintClar
      En direct du japon, je vous présente un compte-rendu succinct de mon week-end au Festival des étoiles d'Hoshi No Mura
       
      il s'agit d'un rassemblement annuel (premier WE de Juin suivant la nouvelle lune) se tenant dans un observatoire public posé dans les montagnes de la préfecture de Fukushima !
      Ceci dit, ladite préfecture est vaste et nous sommes loins de la côte : lors de ma première édition, avant les années Covid, j'avais emporté mon radiomètre : la radioactivité du site était parfaitement normale...
      Le séisme de 2011 a pourtant eut des conséquences dramatiques pour l'observatoire, j'y reviendrai.
       
      Commençons par présenter les lieux : nous sommes à 650m d'altitude, à 20km de la côte Est du japon, dans une région de moyenne montagne. De mon domicile, il faut compte trois heures de voiture. Sur place résident un observatoire, deux parkings, un restaurant, diverses boutiques et une grotte ouverte aux visiteurs.
      Sur la route menant au site, je reconnais un "magasin" déjà vu les années précédentes : il expose des sculptures religieuses, notamment...
       

      ... mais oui, des bites géantes en pierre (note : j'ai servi de modèle pour l'artiste )
       
      Le Site
       
      Sur place, deux parkings sont réservés aux astronomes amateurs : le premier, "en haut", est généralement préféré au second, "en bas", parce qu'il est moins parasité par les lumières de l'évènement.
      Je me suis installé sur le premier
       

       
      Kurita-san, un ami de club arrivé plus tard, a du se contenter du second :
       

      Nous sommes Vendredi après-midi, l'évènement n'a pas encore officiellement commencé, le parking est encore vide. J'ai pris cette image depuis le toit de l'observatoire. Notez l'impressionnante falaise, qui abrite plusieurs grottes !
       
      L'observatoire en question, le voici :
       

      Le bâtiment, coté gauche, propose des toilettes, un dortoir, quelques pièces réservées au staff et une boutique de souvenirs "astro". Au centre, vous avez un vaste hall dédié à l'exposition de différents matériels & objets. 
      L'espèce de tour carrée cache essentiellement un escalier en spirale permettant d'atteindre le toit ET le pont menant au télescope de 650 abrité sous la coupole.
      Sur le parvis, la plupart des exposants sont déjà installés.
      Vendredi après-midi, le ciel n'est guère rassurant...
       
      Au rez-de-chaussée (que les japonais appellent le premier étage, pour l'anecdote) de l'espèce de ziggourat qui soutient la coupole se trouve une exposition permanente :
       

      Et au-dessus - avant d'arriver au troisième étage (celui du télescope) - se trouve un planetarium. Voilà, vous avez fait le tour !
       
      Les exposants
       
      Le festival aux étoiles d'Hoshi No Mura est un évènement "classique" : les exposants y tiennent une place centrale !
      Les marques les plus connues sont représentées (Takahashi, Vixen, SVbony, etc) et l'on trouve beaucoup de matériels "occasion / exposition / fins de série" intéressants. Dès mon arrivée, je suis tombé sur une offre que je n'ai pas su refuser... un oculaire Morpheus de 9mm bradé à 27000 yens (ça fait 158 euros, au taux de change actuel). Bordel, il m'en faut un deuxième, maintenant 
       
      Je ne les ai pas tous pris en photo, je pense que vous savez à quoi ressemble un stand de marque :
       

      Avec la dépréciation du yen, les bonnes affaires sont légion ! Les binos Vixen BT80, qui ont plutôt bonne presse, sont ici à 235 euros...
       
      Lui, il a tout un stock de jumelles de randonnée, de loupes, de chercheurs 8x30 et de bordel divers (filtres, caches, boites à oculaires, etc.) à 59 centimes d'euro pièce 
       

      (Notez le poster d'un personnage Moe, nous sommes bien au japon...)
       
      Coté matos, je n'ai pas repéré grand-chose de spécial, d'original ou de vraiment nouveau... mais bon, je ne suis pas le mieux placé pour en juger : je ne m'intéresse guère qu'à l'équipement dédié au visuel. J'ai quand même vu deux-trois trucs que vous ne connaissez peut-être pas, ou pas encore ? 
      Voyons cela :
       
      Sur le stand Vixen, je me suis attardé sur ces deux versions à diamètres réduits - 70 et 90mm - de l'astrographe VSD100SS.
      Je ne connaissais pas ces modèles, je suppose qu'ils sont plus abordables que leur ainé : de mémoire, le tube de 100mm est hors de prix (je n'en ai d'ailleurs jamais vu dans les rangs amateurs, même au Japon) !
       

      Malgré la déprise du yen, le VSD90SS est à plus de 4000 euros... mais sérieux, qui va acheter ça ??
       
      Les amateurs
       
      Autant j'avais vu des équipements remarquables au rassemblement d'Aichi (celui consacré aux grosses binos, aux dobsons et aux réalisations personnelles), autant le festival d'Hoshi No Mura est basique : les visiteurs sont avant tout venus avec... des lunettes équipées pour l'astrophoto, ad nauseum !
      Je n'ai vu que deux dobsons : le 660 déjà remarqué dans des rassemblements antérieurs (comme celui d'Aichi) et le 500 décrit dans mon compte-rendu sur la star-partie de Koumi.
       
      il y avait aussi ce Ninja :
       

      Si vous avez une impression de déjà vu, c'est normal : ce tube était présent lors du rassemblement d'Aichi, comme en témoignent ses autocollants Moe (décidément...)
       
      Le T500 (à F/D beaucoup trop, ouch, échelle de pompier obligatoire) du festival de Koumi, encore une pièce rapportée :
       

       
      Vous vous souvenez du proprio ? Non ? 
      Indice : Un homme inverti en vaut deux (sur les blagues de boomer, je ne crains personne )
      Bref, le voici  :
       

      Lorsque j'ai pris cette photo, l'évènement n'avait pas commencé, tout le monde s'installait tranquillement. Donc, notre gaillard n'est pas prêt... mais quelques heures plus tard, en soirée, il l'était ! 
      Au menu : mocassins noirs brillants à talons, longue robe grise plissée, haut bustier noir échancré et chapeau canotier à ruban rose orné d'un flot en forme de coeur...
      Ça y est, vous le remettez ??
       
      Le télescope suivant, je ne pouvais pas le manquer :
       

      Nous sommes toujours en territoire connu : c'est le 200 - diaphragmé à 198mm - F8 de Okubo-san. Le seul télescope amateur de moins de 200mm d'ouverture nécessitant l'usage d'un escabeau... 
       
      Coté binoculaires, ce n'est guère folichon :
       

      Des Miyauchi 20x100 (oculaires fixes) : j'ai eu la chance de posséder ce modèle l'année du passage de la comète Hyakutake, en 1996.
      Elle repasse dans 70.000 ans mais cette fois, j'ai des 150ED : j'ai hâte !
       
      Par le plus grand des hasards (non pas du tout, j'ai évidemment fait exprès), je me suis installé juste à coté du seul gars bien équipé en jumelles : il avait 7 ou 8 modèles, à minima, dont des Zeiss 7x50 antiques (très bonnes, une vraie surprise), des Zeiss stabilisées 20x60 (une autre bonne surprise, je les aurais pensé plus lourdes) et des Nikon 20x120 anciennes en provenance directe... d'un bâtiment de guerre (il m'a donné un nom que je n'ai pas su mémoriser) :
       

      (Oui, pardon, c'est de l'infrarouge couleur)
       
      Le CROA
       
      Et coté astronomie, me direz-vous ?
       
      La nuit du vendredi au Samedi était plutôt mal partie (cf images) mais dès 22h, les nuages sont sont espacés, puis évaporés ! J'ai profité de mes jumelles jusqu'à minuit environs, puis je suis passé en mode "monteur d'étoiles" lorsque diverses personnes - essentiellement des résidents du coin, venus en famille - sont venu dans notre secteur :
      Le ciel était très bon, peu pollué, la transparence excellente, les principales vedettes de l'été - du sagittaire au Cygne, pour faire court - en pleine ascension... succès garanti !
       
      Jusqu'à une heure et demie du matin, j'ai ainsi partagé notre passion avec les gens du cru, jusqu'à ce qu'un gars presque obèse (une rareté, au Japon), s'emmêlant les pinceaux dans le noir, s'assoit un rien brutalement sur ma chaise : CRAAACK ! Plus de chaise ! 
       
      Imaginez la scène, compte tenu de la culture du pays : le pauvre type ne savait plus où se mettre, il s'est répandu en excuses plus dramatiques les unes que les autres, je ne savais pas quoi dire ou faire pour l'arrêter !! Il ma fallut des trésors de patience pour lui faire comprendre, in fine, qu'une seule pièce de bois de 10x10cm avait lâché, que la refaire serait un jeu d'enfant (et en effet, j'ai réparé ma chaise ce Dimanche matin)... purée, il voulait absolument me dédommager en argent... oh wait, j'aurais peut-être du me laisser faire ? 
       
      Anecdotes
       
      J'ai quelque peu écorné ce chapitre, avec l'astronome transformiste (une combo rare, avouez) et le sculpteur de giga-bites (non, rien à voir avec l'informatique)... 
      Il vous reste quand même quelques curiosités à découvrir :
       
      1/ Les japonais sont honnêtes et très confiants ! On ne le dira jamais assez, le pays est sûr et au quotidien, l'on perd assez vite ses repères et ses habitudes ! L'observatoire d'Hoshi No Mura est ouvert aux quatre vents, il n'y a pas de caméras dans le bâtiment, vous pouvez vous y promener et ramasser ce qui vous plaît sans aucun problème...
      Par exemple, en montant au deuxième étage via la tour carrée, vous pouvez choisir le modèle de loupe binoculaire qui vous convient :
       

      Le détail qui tue : l'observatoire a acheté l'exemplaire du milieu (juste à droite de la caisse orange), sans doute pour le mettre à disposition du public (notamment des écoliers) il y a encore l'étiquette avec le prix affiché (20.000 yens)...
      Non seulement rien n'est sous clé ni même surveillé mais en sus, la valeur du matériel est commodément indiquée 
       
      Un peu plus haut, dans ce qui s'apparente à un débarras sans porte, vous avez tout un tas d'instruments en vrac, avec des caisses d'oculaires et de jumelles à même le sol :
       

      J'ai pris la photo sans arrière-pensée ni gêne aucune : j'étais absolument seul, dans la tour et sur le toit ! Je rappelle que le site, pour l'évènement, reçoit plusieurs centaines de personnes, de tous âges, qui vont vaquer dans tous les sens : et bien, comme d'habitude, rien ne sera volé. Les organisateurs ne sont pas des idiots : s'il en allait autrement, soyez sûrs que tout serait surveillé, ou hors d'accès. Mais ici, à quoi bon ?? 
       
      2/ Dans le grand hall / salle d'exposition du bâtiment principal, j'ai remarqué cet objet, quelque peu incongru dans un observatoire  :
       

      Vous l'aurez deviné en observant l'image en détail : c'est une sorte de glaive court dont la lame a été forgée à partir d'une météorite ferreuse. Cette arme n'est pas historique, elle a été faite sur commande de l'observatoire il y a quelques décennies, mais elle est néanmoins représentative d'un phénomène réel, dans l'histoire dujapon : les minerais de fer du pays étant de qualité médiocre, les artisans locaux ont du développer des techniques très élaborées pour forger leurs célèbres lames (on pense surtout au katana, évidemment). Du coup, lorsqu'ils avaient la chance de tomber sur un beau morceau de météorite ferreuse, bien plus riche en métal que n'importe laquelle de leurs pauvres caillasses, ils ne se privaient pas d'en faire une arme (sans même parler du coté "on ne va pas gâcher ce précieux cadeau des dieux")...
       
      3/ Pour transporter son matos astro et son nécessaire de camping, rien ne vaut une Keycar coupée sport :
       

      Voici la voiture de mon "autre" voisin (pour le distinguer du possesseur de jumelles, venu en minibus Totyota). Dans cet équipage minimaliste à deux places, ledit voisin a transporté une petite lunette (une 80mm à FD court), son trépied photo et une tente une place intégrée à son lit pliant !
      Mieux vaut être célibataire, sans enfants... et sans dobson !
       
      4/ L'été japonais est caniculaire. nous sommes toujours au printemps, officiellement, mais nous avons souffert de la chaleur en journée. Pourtant, une créature était bien plus à plaindre :
       

      Il ne fait pas bon être un gros chien à poils longs, au pays du soleil levant : sauf à habiter haut en altitude et latitude, la chaleur humide des mois d'été est très pénible. De plus, la loi du pays impose de ne jamais laisser divaguer votre toutou, en ville comme à la campagne, même s'il n'y a personne en vue : les chiens sont donc toujours attachés et ne sont jamais libres de leurs mouvements.
      C'est moyen, pour ces lointains cousins du loup  
       
      5/ Le séisme de 2011 dans la région de Fukushima, de sinistre mémoire, a eut des conséquences désastreuses sur l'observatoire d'Hoshi No Mura :
       

      Au plus fort de la secousse, le t650 et sa monture, installés dans la coupole, ont traversé trois étages avant de s'écraser au rez-de-chaussée, infligeant les dégâts qu'on imagine ! La carcasse de l'ancien télescope est toujours exposée dans le bâtiment, au pied de l'escalier menant au pont.
       
      Cette petite sculpture est un monument commémoratif de l'accident :
       

       
      6/ La photographie dans l'infrarouge proche, c'est beau, mais c'est aussi utile !
      Par exemple, pour discriminer le couvert végétal :
       

      on distingue beaucoup mieux les feuillus des conifères, entre autres...
       
      Clôturons ce rapport comme il convient : par une photographie astronomique !
      Voici donc la planète terre, observée depuis l'observatoire d'Hoshi No Mura, préfecture de Fukushima, Japon :
       
       
       
      Owari desu !


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