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  1. Dernière heure
  2. Actualités de Curiosity - 2013

    Merci Daniel ! Effectivement Mars c'est très compliquer ! Je pousse en avant un schéma sortant tout droit de mon imagination (n'étant pas qualifier à la base pour vraiment me prononcé) Il y a eût une Phase de transition vers 4,2 Ga entre le Phyllosien (4,5-4,2 Ga) et le Theiikien (4,2-3,8 Ga), (ou Noachien (4,6-3,5) médian selon la chronologie basée sur la cratérisation). Catastrophe qui semble être dût par la collision de gros astéroïdes dans les régions Boréales de Mars, ayant creusé les vastes pleines base de Vastitas Borealis. Compression et décompression adiabatique du manteau favorisant la monté et l'épandage des laves mafique en quantité astronomique. Va en résulté : l'Élévation du plateau Tharsis, Effondrement de Valles Marineris, point chaud et autres dômes volcanique, etc. Cette phase à mis fin au monde aquatique, transitant vers l'ère des sulfates (produit du volcanisme cité plus haut) vers un monde plus sec et aride de l'Amazonien actuel. Mais le cycle de l'eau perdure (au pôle, sous forme d'énorme réserve de pergélisol et de nappe enfouis) et plusieurs cause semble pouvoir l'expliquer. En plus, l'axe d'inclinaison de la planète qui bascule fortement sur des périodes de plusieurs millions d'années, n'ayant pas de lune assez grosse pour stabilisé son axe de rotation (mouvement de toupies). Favorise des bilan énergétique solaire très variable et transitoire sur des périodes très longue (de dizaine de millions d'années). Mais en plus, il existe des cycles de plus courte durée, qui rentre en résonance avec le cycle cité plus haut. La lithologie et la stratification (différents niveau/différentes hauteur) résulte de tout ses phénomènes (mais là s'arrête mes connaissances, étant null en géologie). Cause des changements climatiques à courte période : Là. tout se complique à nouveau !!!! Selon les paramètres orbitaux au passage de l’aphélie, quand l’axe d’inclinaison (ou de rotation) du pôle Sud de la planète pointe en direction opposée du soleil sur le point de l’orbite le plus éloigné de l’astre du jour (Sol !). Les températures rencontrées dans l’hémisphère sud de la planète sont alors parmi les plus froides. La situation est cependant inversée pour le pôle Nord avec des contrastes de température saisonnier moins élevé. C’est l’axe d’inclinaison (l’obliquité) de la planète et la distance au Soleil qui définit l’ampleur des saisons et de la quantité d’énergie solaire reçus. La situation est cependant inversée lors du passage de la planète au point le plus proche de son orbite (périhélie) situé de l’autre côté du disque solaire (comme par exemple lors de l’arrivé du solstice d’hiver prévus l’année suivante vers le 21 juillet 2022). L’axe d’inclinaison (25,19°) du pôle Sud pointe alors directement vers le Soleil juste après l’arrivé du solstice d’été, et reçoit 40 % plus d'énergie que le pôle Nord à l'aphélie. Les températures estivales sont alors parmi les plus chaudes rencontrées sur la planète. C’est ce contraste des paramètres orbitaux qui distingue les deux pôles de la planète, avec au Nord une couche des glace d’eau plus épaisse et au Sud une couche de glace d’eau plus mince recouvrant une couche de glace de CO2 plus épaisse, car étant dans un environnement plus froide. La différence de pression atmosphère saisonnière de plus de 20% que subit la planète, participe à l’émergence des tempêtes de poussières régional et global pouvant recouvrir toute la surface de Mars. Les hivers sont donc relativement doux et courts dans l’hémisphère nord, mais longs et plus froids dans l’hémisphère sud. C’est la rotation de cet axe d’inclinaison de la planète dessinant un cône dans l’espace de façon cyclique, phénomène dénommé précession des équinoxes ou précession climatique d’une durée de 170 000 ans[1]. Combiné en résonance avec le cycle de la forte variation de l’excentricité de l’orbite (0,09332 contre 0,01671 pour la Terre) variant de 0,002 à 0,103 sur une période de 100 000 ans, et du cycle sur la variation de l’inclinaison de l’obliquité variant entre 14,9° et 35,5° en 124 000 ans. C’est l’interaction et la résonance de ses trois grands cycles astronomique de longue durée, ou cycles de Milankovitch sur Mars, qui participe aux grandes variations du bilan d’énergie et de l’insolation solaire reçu sur la planète, et qui marque les grands bouleversements brusque et cycliques des changements climatiques qui ont marque l’histoire ancienne et récente de la planète Mars. Comme semble le démontrer les différentes zones de débâcles et d’effondrements, les cratères lobés ainsi que d’autres formation géologiques observées sur Mars depuis l’espace. [1] Exploration spatial, Le blog de Pierre Brisson : cycles de Milankovitch pour Mars https://blogs.letemps.ch/pierre-brisson/tag/cycles-de-milankovitch-pour-mars/
  3. belles éclaircies permettant d'utiliser ma lunette de 185 mm en Halpha Etalon PST Prototype coronado optimisé , Barlow 2.5 x et camera player one
  4. Alternative observatoy

    Bonjour je suis actuellement équipe d’un observatoire sur le modèle abri de jardin roulant souhaitant quelques choses de plus rapide à mettre en œuvre je me demandais s’il était envisageable de mettre la monture (hors tube) sous une bâche mais quid de la résistance aux intempéries, de la prise d’humidité…. un avis? Une expérience ?
  5. Aujourd’hui
  6. Chroniques du voyage 2024

    Il y a plus de piqué parce qu'on est à un échantillonnage de 2,99 contre 0,886 sur la même monture et sur le même site d'observation. C'est vrai que ça semble excellent, après il faudrait une caméra couleur pour évaluer le chromatisme qui est un élément essentiel de la qualité d'une lunette. Ici avec des H-alpha et des LRVB avec L en bin1 et RVB en bin2, difficile de se faire une idée du chromatisme. Le C8 a moins de piqué mais quand même plus de détails, il grossit 3,37 fois plus et quand les conditions sont bonnes c'est quand même fin. Il est plus dépendant des conditions c'est évident. L'avantage aussi en ce moment, c'est que les cibles très basses sont plus faciles avec la lunette qui a plus de signal et souffre moins de la turbulence. A la hauteur de Centaurus A, le C8 aurait eu du mal.
  7. Premier télescope

    Bah, on s'en fout de la polaire...
  8. Merci pour ces mots sympas @bricodob300
  9. M106

    Merci l'ami moui peut-être, je n'ai pourtant pas eu besoin se pousser, peut-être un effet dû à la HDRISATION pdt le processus Merci Alain Ça peut vouloir dire plusieurs choses ^^ Merci Franck à bientôt
  10. enfin une éclaircie le 3 mai

    Il faut en profiter quand la moindre éclaircie s’invite ! Avec el Niño dans le Pacifique Sud, ça aura été la galère chez nous depuis l’automne dernier. Vivement le retour de la Nina ( pour l’astro j’entends ! La nature elle… cf 2022… ) dont l’impact chez nous devrait réellement se faire sentir l’année prochaine ! Concrètement, retour du Soleil pour tout le monde à partir du milieu de semaine prochaine ! On va compter les jours. En attendant de bien belles images Paul ! Matthieu, l’explorateur du ciel.
  11. Conférence sur la spectroscopie

    Au final, elle était filmée. Je vais essayer de récupérer le film.
  12. Bon, j'espère qu'il n'y aura pas de polémique comme il y a 20ans, c'est uniquement à vocation de rétro-engineering. Elle est en cours de réglage et rebafflage (il manque un baffle), c'est la version avec le PO en sortie M43/1"1/4 avec oculaire RKE 12mm à x96, j'ai volontairement choisi une zone riche dans les nuances bien gérées par l'objectif. Oculaire Tak LE 24 puis NVL 5mm, photo à main levée, la dernière est sans la composante bleue (canal B) décomposition RVB Après analyse et réglage, c'est un doublet de Baker, donc de champ limité avant apparition de couleur latérale. Une fois corrigée, l'espace entre les lentilles est de 2.5mm, les verres sont du FK5 et du F3 de CGDM (H-QK3L + H-F2) La particularité c'est que r2=r3, il n'y a quasiment pas d'anneau de newton, et les verres "collent" Les courbures sont plus relaxées dans l'entreverre qu'un doublet en BK7-F2 classique, le chromatisme est un poil meilleur (peu significatif). Alors quoi d'intéressant ? => le sphérochromatisme est mieux géré° sur la plage importante pour l’œil (de la raie e 535nm vert forêt à 620nm rouge clair, ça inclue la GTR de Jupiter et les sables de Mars). le calage est adapté à ça. Ça ressemble à ce que cherchait Zeiss avec l'objectif E en mode Steinheil (flint devant) Mais on est à un f/D bien plus court. ° le compromis proposé par les doublets de Baker : resserrer le sphérochromatisme et mieux gérer les reflets dans l'entreverre (pour le contraste) Ce n'est pas une lunette magique mais un instrument technique. Elle a clairement besoin que l'on utilise des filtres pour l'exploiter correctement : reportez-vous au-dessus sur la décomposition RVB de l'image à fort grossissement. Sinon pour le spectateur de base, cet instrument n'a aucun intérêt. La lunette présentée est l'ancienne de Gilbert Masse, même modèle que celle de Jean Dragesco.
  13. Chroniques du voyage 2024

    Tes images à la lunette sont d'une superbe finesse, j'aimerai bien une comparaison d'un même objet avec ton c8 j'ai l'impression qu'à la lunette il serait plus piqué !
  14. Dentelles du Cygnes SHO en 52h15 de pose

    Merci Jeffbax ! Le module de calibration de couleur narrowband pour les étoiles sur Pixinsight permet d'obtenir une palette un peu plus naturelle. Non c'est sur ! Au début j'étais toujours le plus jeune de mon club. Merci Laurent ! Moi aussi et justement je trouve que c'est pas évident d'avoir beaucoup de nuances sur les dentelles, les gaz ne se mélangent pas beaucoup. Pour le temps de pose, bien sur on peut toujours, sur cette image on a profité de pas mal de nuits d'été même avec la lune pour le HA. Et toujours en nomade, un de ces quatre il y aura un setup en fixe et un en détente pour le nomade. Merci Vlaams pour ton retour ! Content que le traitement te plaise. Merci beaucoup Com ! Effectivement les palettes sont très spéciales sur cette objet, ici c'est accentué par le choix volontaire du vert pour marquer c'est zones isolées.
  15. Vu mon grand âge j'espère que le tourisme spatial de masse est pour bientôt. C'est vrai quoi, il est grand temps de désengorger Venise, le Machu Picchu et la rue Saint Denis !
  16. M3, et ses les RR-Lyrae.

    Bravo Stéphane, belle manip @+ Christian
  17. J"ai essayé de joindre Marcel (astrodog), je vous dirai quoi.
  18. Bonjour, Je cherche à supprimer mes hub silex qui me servent à piloter mon setup en remote. Ceci car j'ai une monture ioptron CEM70G et la caméra iguider ne fonctionne pas avec les silex. Je suis obligé d'installer une lunette guide avec une ancienne caméra pl1m. Le mode client/serveur en ascom me plait bien. Ca m'éviterait d'avoir un mini pc trop puissant au pied de la monture pour supporter tous les logiciels. Et puis j'ai 2 grands écrans pour suivre tout ca, je trouve que c'est mieux que de manœuvrer les bureaux virtuels sur le mini pc. Je suis donc en train d'essayer le pilotage un Serveur ASCOM Alpaca installé sur un mini pc que je connecte depuis l'intérieur avec un client (client Alpacascope). Pas de souci pour la connexion ASCOM client/serveur mais ensuite au niveau de stellarium sur le pc bureau, je n'ai pas trouvé de pilote ascom alpaca pour ioptron. Je trouve juste le pilote ascom Ioptron CEM qui se connecte sur un port usb local. Est ce que quelqu'un a réussi à trouver un pilote ASCOM Ioptron CEM (Alpaca)?
  19. Superbe spectacle solaire pour ma fête ;) !!!

    Magnifique ces images !
  20. Superbe spectacle solaire pour ma fête ;) !!!

    Alors c'est beau. Bonne fête en retard 💐 JF
  21. Superbe spectacle solaire pour ma fête ;) !!!

    Superbe le feu d’artifice !
  22. M3, et ses les RR-Lyrae.

    pour la version couleur, c'est environ 2h30, il me semble que la courbe n'est pas symétrique: si tu tombe sur la partie qui monte rapidement! apres il y a beaucoup (260) de RR L donc c'est jouable! merci!
  23. Je plussoie pour le KG3, perso j'ai acheté en 2" chez Beloptik Oliver Smie (super sympa, et passioné évidemment). Le filtre est à demeure en amont, quoique je monte en bout de chaîne optique (RC 1.25, bino, etc)... Et ça m'a peut-être sauvé la rétine une fois lors d'une mauvaise manip... à 129€ il ne faut pas hésiter à mon avis. https://beloptik.de/en/uv-ircut-on-kg3-filter
  24. Actualités de Curiosity - 2013

    Selon le modèle reconnu il y a peu, on estimait que "l’âge de l’eau" sur Mars se situait avant -4,2 milliards d’années et que dès -4,1 milliards d’années Mars était aussi sèche qu’aujourd’hui ! Dès cette époque il n’aurait plus existé d’océan nulle part car il n’y avait plus de dynamo, plus de magnétosphère, plus d’atmosphère épaisse. Dans ce cadre les écoulements massifs qui ont provoqué les deltas et les vallées fluviales jusqu’à -3,6 milliards d’années maxi seraient restés transitoires (quelques milliers d’années seulement) et témoigneraient surtout de phénomènes climatiques ponctuels. On sait aujourd’hui que c’est beaucoup plus compliqué que ça, et surtout beaucoup moins linéaire. En effet, le hiatus c’est que pour le/les lac du cratère Gale le remplissage s’est produit (principalement par les rivières) sur une période d’environ 500 à 700 millions d’années et très probablement jusqu’à -3,3 milliards d’années voire au delà, même s’il semble acquit qu’il y ait eu des intervalles où ces écoulements ont pu se tarir transitoirement. Les "roches ondulées", "les rides" trouvées par Curiosity sur la "Bande de marquage" au pied de la vallée "Gediz" témoignent de la présence d’un lac datant de 3,2 à 3,5 milliards d’année (on est ici 650 m plus haut que le site d’atterrissage, donc les roches sont plus jeunes) Déjà lors de la 49ème"Lunar and Planetary Science Conference" (LPSC) à Houston, au Texas qui s’est tenue du 19 au 23 mars 2018 et qui permettait de faire le point de la recherche planétaire menée partout dans le monde, deux scientifiques, Sharon Wilson et Alex Morgan, ont donné les conclusions de leur étude visant à comprendre le début de l’histoire géologique et climatique de Mars à travers les caractéristiques fluviales observées depuis l’orbite par MRO. Une étude qui confirme et conforte les éléments fournis par Curiosity in-situ. Extrait : ".. des vues largement répandues de l’histoire géologique et climatique de Mars dans la communauté indiquent que la majeure partie de l’activité fluviale sur la surface martienne était concentrée dans le Noachien (plus de 3,7 milliards d’années), avec une activité fluviale très limitée dans les époques hespérosienne et amazonienne. Dans ces dernières périodes, les chances pour la stabilité de l’eau liquide à la surface sont devenues rares et éloignées pendant que Mars a fait une transition vers le désert hyperaride et hypothermique que nous observons aujourd’hui". Cependant, cette session avait démontré l’inventaire croissant des formes fluviales de terrains qui se sont formées pendant et après le Noachien, indiquant ainsi des épisodes ultérieurs d’activité aqueuse. Ces caractéristiques ont été récemment identifiées dans les données d’images à plus haute résolution renvoyées par Mars Reconnaissance Orbiter, et une vague de cartographie a suivi..." "Nous considérons généralement Mars comme une planète où la plupart des processus géologiques ont cessé après le Noachien. Cependant, ce nouveau travail montre que dans de nombreux endroits de la planète, une telle affirmation dissimule une histoire géologique plus compliquée. Mars a peut-être été plus active sur le plan hydrologique que nous le pensions, et de tels processus ont pu fonctionner beaucoup plus tard que ne l’indique notre compréhension actuelle de l’évolution du climat martien". Le terrain autour du rover est encore aujourd'hui parsemé de caractéristiques rocheuses "diagénétiques", c'est-à-dire des roches qui ont été chimiquement modifiées par une interaction probable avec l'eau dans un passé lointain (une eau probablement plutôt acide). Curiosity évalue actuellement la persistance de l'habitabilité en explorant deux caractéristiques du Mont Sharp qui sont supposées être la preuve de transitions environnementales majeures. La première est l'unité de sulfate de magnésium hydraté de 400 mètres d'épaisseur qui pourrait être associée à un changement à l'échelle planétaire de conditions plus humides à des conditions plus sèches. Également dans cette unité se trouve un ensemble de reliefs qui peuvent représenter l'étape la plus récente de l'activité hydrique à Gale : un canal fluvial possible, sculpté par le vent, et un canal de la rivière du même nom "Gediz Vallis", et une grande crête probablement déposée par des coulées de débris. Vers 2025, si tout va bien, Curiosity atteindra son objectif sans doute ultime, un champ de fractures cimentées de taille décamétrique (structures en caisson) qui pourraient présenter la meilleure opportunité d'évaluer l'enregistrement d'un environnement autrefois habitable préservé dans le sous-sol. L'approche de ces roches et débris est le seul moyen pour Curiosity d'étudier des matériaux plus jeunes provenant de plus haut sur la montagne, là où le rover n'ira jamais. L'un des objectifs de la mission est d'évaluer si, et comment, l'eau et l'habitabilité ont persisté après la formation du Mont Sharp. Désormais Curiosity s'approche de l’extrémité de la crête "Gediz Vallis" et de la vallée d'environ 9 km de long, de 500 à 800 m de large et de 100 à 250 m de profondeur. Tout au long de "Gediz Vallis" on trouve une série de formes de relief : un chenal, "une crête inversée" ressemblant à un chenal qui est le premier relief de ce type rencontré sur le sol de Mars. En géomorphologie le "relief inversé" désigne un paysage dont les parties en élévation correspondent à des parties autrefois en creux. Différents processus peuvent rendre le fond d'une dépression plus résistant à l'érosion éolienne que les pentes et escarpements qui l'environnent. Par exemple, les sédiments situés au fond d'une dépression, comme celle de canaux d’écoulement, peuvent être cimentés par des minéraux dissous dans l'eau. Les minéraux à l'origine de la cimentation peuvent provenir d’eaux souterraines. Le point bas d'une vallée peut concentrer un flux d'eaux minéralisées plus important et ainsi avoir un phénomène de cimentation plus important. Une fois cimentés, les sédiments résistent mieux à l'érosion éolienne que le paysage environnant. Ils se trouvent ensuite dégagés pour créer une crête, une colline ou un plateau. Autre exemple, des sédiments à gros grains tels que des graviers ou des débris rocheux qui s'accumulent au fond d'une dépression (vallée, rivière, bassin d'un lac). L'érosion éolienne supprime ensuite les sédiments à grains fins dans les zones environnant la dépression mais laisse émerger les sédiments de tailles plus importantes qui finissent par former une colline, un plateau ou une crête. Ce qui semble correspondre à une bonne part de la crête "Gediz Vallis". Image de "chenaux inversés" sur Mars (formés ici dans cette vallée fluviale par l’eau d’écoulement de rivières et affluents) qui après érosion éolienne dessinent aujourd’hui de nombreuses crêtes sinueuses : La longue traversée de Curiosity l'a amené au plus haut de la vallée et beaucoup plus près de ce probable chenal inversé, ce qui pourra permettre d'approfondir l'interprétation des coulées de débris et des clastes transportés depuis les hauteurs du Mont Sharp, donc entre autres d'accéder à des lithologies situées plus haut, là où le rover n'ira jamais.
  25. Filtre solaire pour un dobson de gros diamètre

    Salut à tous, Un très bon filtre pour couper les IR et l'UV, et ainsi se protéger les yeux : https://www.teleskop-express.de/en/filters-254/photo-r-g-b-and-ir-cut-filters-267/optolong-1-25-if-ir-uv-blocking-filter-on-kg3-glass-15419
  26. TYCHO 0405242030.png

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  27. Superbe spectacle solaire pour ma fête ;) !!!

    Bonsoir et bravo très jolie
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