jean dijon

Nouveau Télescope "APO Killer" episode III réalisation de la lame

Messages recommandés

Jean, le calcul se fait sur une lame à faces //... :ph34r:

N'ayant pas eu plus d'info que cela... Mais je crois me souvenir que l'écart avec une lame plane est < à 500 microns

 

Je dois pouvoir te donner les écarts entre face interne et face externe...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 7 heures, Pascal C03 a dit :

Même chose Olivier, si tu as la référence..

 

j'utilise celui ci principalement Patex HB397F-19 gamme Hi-Bond On en trouve parfois en magasin de brico.

résistance à la traction pour un bout de ruban de 25mm (19x25mm = 4,75cm²) 24N en 1min et 40N en 24h -> donc moins fort que de la colle forte, mais suffisamment fort si on a un peu de surface.

 

https://fr.rs-online.com/web/p/rubans-plastiques-double-face/0468370/

 

il y a aussi la gamme VHB (very hi bond) chez 3M qu'on utilise en pro, moins facile à trouver en magasin. Mais beaucoup plus étoffée. Existe aussi en plaques, très pratique pour les grandes surface. (une plaie à découper à la main par contre, faut éviter le ciseau, ça colle. cuter roulant idéalement, prévu pour être prédécoupé à la machine.

 

par exemple un double face mouse :

 

https://fr.rs-online.com/web/p/rubans-mousse/1797602/

 

la datasheet (lien sur la page) montre les différentes versions. On est dans les mêmes ordres de grandeur que la patex

https://docs.rs-online.com/cc36/0900766b8171ea0c.pdf

 

En fait c'est un compromis : si le support du secondaire est large, autant que le miroir ou presque, il faut plutôt un truc un peu souple et épais pour absorber la dilatation différentielle et les contraintes en résultant, quitte à coller moins fort, on a plus de surface. Donc mousses double face pour miroir de salle de bain, colle silicone, etc.

 

Si peu de surface de collage, alors il faut réduire l'épaisseur et augmenter la résistance à la traction donc on va plutôt utiliser des colle, epoxy

ou alors il y a aussi des nouvelles colles acrylique bi composant :

 

la Colle acrylique bi composant 3M DP8010 colle sur pas mal de plastiques, plus qu'une epoxy (c'est cher mais extrêmement efficace et une des très rare à pouvoir coller (un peu) sur le PP.

 

https://fr.rs-online.com/web/p/colles-acryliques/1612384/

 

la datasheet est intéressante car la résistance est donnée pour de nombreux matériaux

 

https://docs.rs-online.com/cc1c/0900766b815fe34f.pdf

 

Chez Sikaflex ils ont aussi des colles pour le PP mais moins efficace.

 

On trouve quelques références de Sikaflex un peu particulières en magasin d’accastillage de bateau. C'est une marque très utilisée dans ce domaine, c'est pour ça que je demandais la ref...avec un peu de bol ils l'ont en stock (à Paris il y a un magasin d’accastillage à Boulogne/Pont de Sèvre par ex, ils ont principalement des Sikaflex)

 

 

 

 

Modifié par olivdeso
  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci, voilà une réponse qui restera une référence pour le collage !

 

Sinon, pour Jean, l'écart entre les 2 faces est de l'ordre de 4 nm mais en fait pas de différentiation entre face interne avec le collage et la face externe... Encore une fois, les faces sont considérées commes planes. voir document complété

 

 

lame sous charge secondaire.docx

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

merci pascal

je me suis mal exprimé la lame est à faces// mais après la charge cela devient un ménisque donc ton calcul est OK

4 nm ce n'est rien donc aucun pb de déformation optique

Pour la colle je vais digérer les infos

Merci

 

jean

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Hello Jean,

Bravo pour ce télescope, magnifique !!

 

Quelques éléments sur le collage verre métal que j'ai pratiqué :

 

Il faut choisir une colle avec un TG le plus proche de la température d'utilisation. LE DP190, c'était 20° je crois me souvenir. Le tg est la température au delà de laquelle la colle "ramollit". Pour le silicone, c'est -65° je crois (le silicone est toujours dans sa zone "molle") et pour les colles haute température, ça doit tourner aux environs de 200°.

 

Pour le collage verre métal ("précis", prismes en SF 6 sur plaque acier) j'ai expérimenté avec succès à titre professionnel la colle 3M DP190 qui est l'équivalent en cartouche 2 composants de la 2216 B/A (citée plus haut).

La difficulté pour le collage epoxy est de maîtriser l'adhésion du film de colle car les résistances à la traction ou cisaillement sont données pour une rupture du film de colle, pas une rupture de l'adhésion si mes souvenirs sont bons.

 

La meilleure solution qu'on avait trouvé était de doucir la pièce juste avant le collage pour avoir une surface non oxydée (bon c'était du SF6 qui s'oxyde vite) . Et là on a eu des ruptures cohésives de l'assemblage et non pas adhésives. Si tu ne peux pas doucir au centre de la lame, colles au moins le plus tôt possible après la fin du polissage pour éviter pollution et oxydation du verre. Un coup de douci sur ta pièce en alu ne posera pas de pbs...

 

Pour maitriser l'épaisseur du film de colle (trop peu ou trop est nuisible) on mettait des µballons de verre de diamètre 100µ dans la colle (5%/ 10%  du poids du mélange). De cette façon on a une épaisseur de colle constante et maitrisée (et la pièce restait parrallèle à son support). Une épaisseur de colle un peu plus grande améliorait les choses en termes de tenue du collage en thermique. les micro ballons se trouvaient chez prolabo.

 

Attention aussi à la surface de collage (bon là c'est pas le pb je pense). Si tu maitrises bien l'adhésion, les dilatations différentielles entre la colle, le verre et la pièce en alu peuvent te cliver le verre ( Bon mes essais, c'était du SF6 et à -40 / +70°)... La solution avait été de minimiser la surface de collage pour limiter la traction de la colle.

 

Voilà, bon continuation et au plaisir de se revoir !

 

Pierre

  • J'aime 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 19 heures, jean dijon a dit :

Si je suis au zenit les 300g vont induire un menisque qui n'impacte en rien la qualité de l'onde transmise, en angle le CDG de l'assemblage est a environ 8cm de la lame ce qui fait un couple de 0.25Nm je pense que la lame vas faire un S dans la directon du couple mais je ne vois pas pourquoi cela serait pire au point de vu optique (ce n'est pas un miroir). Je vais voir si CPI-Z peut faire un calcul. La rigidité D des plaques est en cube de l'epaisseur avec 15mm d'epaisseur je suis au moins 10 fois plus rigide qu'une lame de SC dont l'epaisseur est plutot 5 ou 6mm

C'est vrai que pour un SC de 300, le secondaire est plus gros et plus lourd mais beaucoup plus près de la lame. A la louche, il doit exercer un couple 5 à 10x plus faible, mais la lame est aussi 10x moins rigide. Donc ça me parait cohérent et les calculs de PascalC03 ont achevé de me convaincre. Je me suis inquiété pour rien.

 

  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 14 heures, pierre_charpentier a dit :

Pour maitriser l'épaisseur du film de colle (trop peu ou trop est nuisible) on mettait des µballons de verre de diamètre 100µ dans la colle (5%/ 10%  du poids du mélange)

Salut Pierre merci pour ton intervention très intéressante. J'ai cherché  les µ ballon sur internet sans succès (sauf en sac de 50kg pour du microbillage) je me disait que je peux contrôler l’épaisseur de la colle en usinant la pièce en métal en créant une cavité de 100µm de profondeur  jusqu’à 1 ou 2 mm du bord de cette façon  je contrôle l’épaisseur de la colle et j’évite que la colle bave sur la lame. Qu'en penses tu?

 

jean

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Et pourquoi pas percer la lame ? Dans tous les cas si ça tombe, la lame elle cassera sans doute, vu le bras de levier et la masselotte au bout. Ou alors mettre une araignée ? ou une sécurisation contre le décollement avec des fils en nylon ? C'est dommage mais la position de la lame est une contrainte intrinsèque de la combinaison optique et en visuel il faut sortir en Newton. 

 

Un autre solution : coller au plus court le secondaire sur la lame puis récupérer l'image plus loin avec deux achromat F/5 ou 6 de 150mm de focale montés bosse contre bosse. Mais alors on aura du chromatisme… Faudrait simuler. Avantage : obstruction très faible !

Modifié par Rydel_Charles

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 3 heures, jean dijon a dit :

µ ballon sur internet sans succès

Tu peux trouver ça en magasin pour la résine et les fibres. C'est utilisé comme charge dans les résines. Près de chez moi, il y a SF composite mais je crois que tu es proche d'une grande ville, donc il doit avoir un vendeur de matériaux composites?

https://www.sf-composites.com/

Tu peux éventuellement leur poser la question par tel pour ton collage aussi.

Christophe

 

  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Hello Jean,

 

La cavité de 100µm, c'était une idée séduisante.

Je l'avais utilisée avant de mettre les micro ballons. 

Sur le SF6, le pb était à froid, la colle en se rétractant tirait tellement que ça clivait juste au droit de la bordure de la poche. On a abandonné et mis les microballons. Je dois pouvoir t'en trouver un peu pour un si petit collage. Je vais regarder. Sinon, oui, on avait acheté un sac de 50kg.... Le microballons étant bien répartis dans le film de colle, il n'y a pas de concentration de contrainte .

 

Ceci dit, mes pbs de clivage étaient certainement liés au fait que c'était du SF6 (N-SF6 même) verre à haut indice (1, 85 si mes souvenirs sont bons) et assez exotique. Sur su BK7 ou du borofloat c'est probablement moins génant (et puis, j'ai qualifié le bazar à -40°, c'est méchant).

 

SInon y'a bien des billes de verre chez SF composites (bonne piste Chris !) mais elles sont  grosses, calibre 425- 850.  Donc film de colle de 850 µm, c'est un peu gros....

 

J'ai trouvé ça :

 

https://www.cookson-clal.com/materiel-bijouterie/Microbille-de-verre-53-à-106-microns-fin-prcode-9990-0036&add=n

 

Je te tiens au courant en MP si je trouve des µbilles.

 

Pierre

 

 

Modifié par pierre_charpentier
  • J'aime 1
  • J'adore 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 1 heure, Rydel_Charles a dit :

Dans tous les cas si ça tombe, la lame elle cassera sans doute, vu le bras de levier et la masselotte au bout

 

Aucun risque de mon point de vue : la lame est épaisse et le bord est de bonne qualité. On peut augmenter considérablement la résistance au choc en polissant un rayon de raccordement entre chaque face et la tranche.

C'est ce que j'ai appris dans la filiale "Verres aero" de St Gobain. La résistance d'un pare brise d'avion au test "tir de poulet" est essentiellement donné par la qualité des rayons de raccordement sur chacun des verres qui constitue le feuilleté.

Donc, en cas de doute Jean, tu polis tranche et rayon. :ph34r:

Et puis je ne vois pas comment un objet situé sous la lame pourrait percuter celle-ci en tombant ? J'ai du rater une étape.

 

Enfin, aujourd'hui, faire confiance à une colle fait parti du quotidien dans l'industrie. Tout est dans la préparation. Doucissage du verre et de l'alu comme dit plus haut et collage à température d'emploi en milieu sec.

 

 

Pour l'épaisseur, pourquoi pas des cales de 0.2 que tu enlèves après ?

 

 

Bon courage Jean !

Modifié par Pascal C03
  • J'aime 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 4 heures, Rydel_Charles a dit :

Et pourquoi pas percer la lame ? Dans tous les cas si ça tombe, la lame elle cassera sans doute, vu le bras de levier et la masselotte au bout. Ou alors mettre une araignée ? ou une sécurisation contre le décollement avec des fils en nylon ? C'est dommage mais la position de la lame est une contrainte intrinsèque de la combinaison optique et en visuel il faut sortir en Newton. 

 

Bonjour Charles

je n'ai pas trop envie de percer la lame terminée, le verre n'a pas eut de recuit et je ne suis pas sur qu'elle ne bouge pas, en plus une fois percée je n'aurais plus aucun moyen de la reprendre par dépression si nécessaire. 

En plus il faut protéger très soigneusement les faces pour éviter la moindre rayure avec le carbo. Le collage me parait plus simple il faut juste faire cela avec l’état de l'art.

La charge est quand même faible, avec les colles actuelles cela devrais tenir même dans le temps tout est dans la préparation comme le dit pascal. 

Je ne veux pas mettre d'araignée (cela serait quand même dommage)  mon obstruction est de 0.16  je ne veux pas rajouter un système de transport optique. Si l'assemblage se décolle en position parking hors observation avec les diaphragmes que je met dans le tube cela ne devrais pas tomber sur le primaire .

Combien de secondaires collés se sont réellement décollés je n'ai pas idée.

 

jean

  • J'aime 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Yo !

Je n'avais pas capté la distance secondaire/lame. dediou, c'est important !

pour le support secondaire et le blocage en rotation - qui ne me semble pas un gadget, notamment sur cet instrument  par le fait qu’une fois tout ça en place derrière la lame, si ça tourne lors des réglages (car rien n’empêche cette rotation), ça va être pénible....

Donc oui un point-trait-plan, ou une butée réglable en rotation, ou etc.

Pour la colle, il ya des avis d'experts ici. Pour le Sikaflex, je n’ai pas la référence, juste celui qu'on trouve dans les magasins pour l'automobile, les bateaux, les camping-car.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 2 heures, serge vieillard a dit :

(car rien n’empêche cette rotation)

 

En effet, mais on peut poser la question inverse, qu'est-ce qui pourrait le faire tourner ?...

 

Il y a 2 heures, serge vieillard a dit :

Je n'avais pas capté la distance secondaire/lame. dediou, c'est important !

 

C'est pas important vu que l'ensemble est léger :-)

 

 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 6 heures, serge vieillard a dit :

Donc oui un point-trait-plan, ou une butée réglable en rotation, ou etc.

Bonjour Serge je vais améliorer les choses, mon idée c'est aussi de régler le secondaire grâce à

la rotation quant l'assiette est bonne.

 

Il y a 3 heures, zeubeu a dit :

C'est pas important vu que l'ensemble est léger :-)

Bonjour Zeubeu , si c'est important car la coma est complètement corrigée pour une distance  primaire lame donnée, ce n'est hyper critique mais la distance n'est pas quelconque

 

jean

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 50 minutes, jean dijon a dit :

Bonjour Zeubeu , si c'est important car la coma est complètement corrigée pour une distance  primaire lame donnée, ce n'est hyper critique mais la distance n'est pas quelconque

 

Je parlais de la distance lame secondaire et du faible porte à faux :-)

 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le 05/07/2020 à 17:04, zeubeu a dit :

 

En effet, mais on peut poser la question inverse, qu'est-ce qui pourrait le faire tourner ?...

ben plein  de choses : vibrations, et surtout réglages car rien n’empêche la plaque recevant les 3 vis de réglages de riper à sa guise. Chose qui d'ailleurs se voit souvent sur le terrain avec ces dispositifs : quand on veut régler, souvent ça part en vrille....

Pi franchement, c'est pas "mécanique"., une des bases (trop souvent négligée) étant l'isostatisme, et ce projet hors norme le mérite.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 21 minutes, serge vieillard a dit :

ben plein  de choses : vibrations

 

Vibrations de quoi ? C'est un hélico qu'il fabrique ? xD

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

ben si tu transportes, si par hasard, tu as un geste malencontreux, si il ya une invasion de sauterelles ou de barbares, on ne sait de quoi ers fait demain.

En tout cas, sans ce détail, ce n'est pas top, quoi qu'on en dise, mister CochonxD

  • Haha 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le ‎05‎/‎07‎/‎2020 à 12:32, zeubeu a dit :

Je parlais de la distance lame secondaire et du faible porte à faux :-)

Ok je n'avais pas compris

 

il y a 41 minutes, serge vieillard a dit :

Pi franchement, c'est pas "mécanique"., une des bases (trop souvent négligée) étant l'isostatisme

Oui ce n'est pas trop "mécanique" comme tu dis mais pour que cela tourne il faut un couple quand meme. Le bout des vis est usiné correctement mais je vais rajouter une plaque intermediaire. Un autre aspect est que j'aurai peut etre besoin de tourner la lame dans son barillet pour optimiser la qualité optique donc je n'ai pas voulu celler dans le dur la position du secondaire dans un premier temps.

Le telescope n'a pas de coma et il est ouvert à F/D=6, donc en principe peux de soucis de collimation par rapport à un  newton à F/D=4 

 

jean

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
On 02/07/2020 at 2:53 PM, olivdeso said:

la Colle acrylique bi composant 3M DP8010 colle sur pas mal de plastiques, plus qu'une epoxy (c'est cher mais extrêmement efficace et une des très rare à pouvoir coller (un peu) sur le PP.

 

J'utilise cette colle 3M, et en pratique je la trouve moins résistante qu'une epoxy pro.

Par contre elle est très transparente.

 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Par contre acrylique et epoxy interdite pour les miroirs !

En pro on utilise aussi la Tecsil AC 452.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 16 minutes, chonum a dit :

Par contre acrylique et epoxy interdite pour les miroirs !

Bonjour chonum,

je pense que tu fais allusion aux contraintes induites par ce type de collage dans le cas des miroirs.

 

Jean

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le 07/07/2020 à 11:58, chonum a dit :

Tecsil AC 452.

 

à propos de silicone, il y a un truc qui fonctionne très bien en collage : la famille quick gasket de Loctite. (j'utilise du 5910 en auto, produit génial)

c'est du silicone très peu fluide qui permet une remise en route très rapide voir immédiate quand on fait un joint avec en auto. Mais, moins connu, il est aussi utilisé en collage. Fonctionne très bien quand on a une épaisseur assez importante. Donc pourquoi pas pour un secondaire. je vais essayer...

Sinon loctite 595 silicone transparent, colle très bien sur verre et métal. on en trouve souvent en centre auto.

  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant



  • Contenu similaire

    • Par Goofy2
      Bonjour   
       
      Une autre façon plus traditionnelle de réaliser la collimation. Cette méthode itérative est utilisée par plusieurs utilisateurs de Smart télescope Unistellar.
      Cette méthode est dérivée de la méthode que j'utilise pour collimater mes Schmidt-Cassegrain, mais à très fort grossissement et sur la tache d'Airy d'une étoile située sur l'axe de la chaîne optique.
       
      Nous réalisons une VA de 2 à 4 minutes dans la voie lactée (pour avoir un maximum d'étoiles sur le capteur) et on regarde la coma des étoiles sur tout le bord du champ de la capture, surtout dans les quatre coins (c'est l'endroit où la coma est la plus forte, car la plus éloignée du centre du capteur). Il est normal d'avoir de la coma sur les étoiles en bord de champ, car nos Smart Télescope ne possèdent pas de correcteur/aplanisseur de champ.
      Si la coma des étoile est homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur: c'est collimaté, pas besoin d'ajuster la collimation Si ce n'est pas le cas, alors la collimation doit être ajustée (un ou deux bords de champ montrent une coma stellaire plus prononcées que le ou les bords de champ opposés et les coma ne pointent pas en direction du centre du capteur)  
      ----
      Ajustement de la collimation:
      Au préalable faites une bonne mise au point de l'optique avec le masque de Bahtinov fourni avec l'instrument.
      Faire un Goto sur une étoiles brillantes située dans la Voie Lactée (pour avoir un maximum d'étoiles sur le capteur et avoir une étoile centrale comme référence bien visible). Puis faire une VA de 2 minutes (ou plus). Analyser la coma stellaire en bord de champ sur la capture de la VA (ne pas hésiter à zoomer). Repérer le bord ou le coin qui présente la plus forte coma stellaire En vision temps réelle et uniquement avec les vis de collimation, déplacer l'étoile de référence située au centre du capteur en direction du bord ou du coin présentant la plus forte coma stellaire. L'amplitude du déplacement est fonction de l'amplitude de la décollimation. Puis avec les mouvements lents de l'application, replacer l'étoiles de référence au centre du capteur. Refaire une VA de 2 minutes (ou plus) et recommencer les étapes 2, 3 et 4 jusqu'à ce que la coma stellaire en bord de champ soit homogène, de même intensité et pointent toutes en direction du centre du capteur.  
      Il s'agit d'une méthode itérative.
      Bonne collimation...
    • Par Close-to-focus
      Salut à tous,

      voici quelques images faites au newton trusstube désaluminé skywatcher 150/750.
      Camera apollo-m mini (imx429) et mars-m en bin2 (imx290). avec barlow 2.7x, 4x, 5x.. et filtre continuum 8nm, des combinaisons qui me donnent un échantillonnage entre 0.40" et 0.24" suivant le montage.

      Je trouve que j'ai de meilleurs résultats avec un échantillonnage proche de 0.40", mais d'un jour à l'autre le seeing évoluant, pas sûr que mes "tests" soient cohérents avec la réalité.
      Les poses sont de l'ordre de la milliseconde, voire moins (ce matin j'étais à 0.5ms).

      J'image sous un ciel la plupart du temps plus ou moins voilé, ciel gris/bleu pour vous donner une idée (ce matin c'était bien bleu, mais plein de vent ), dans une cour ombragée mais située dans une (toute) petite ville, donc bitume et pavés à proximité.
      Je n'arrive pas à avoir plus de netteté, du coup je me demande si changer de setup pourrait améliorer mes images ou si mon ciel me limitera de toute façon.

      J’envisageais, à qualité optique égale, de passer sur un 200 / 1000, (en truss tube pour limiter le poids et la turbu interne), le max que ma monture devrait accepter de porter correctement.
      Mais vais-je gagner beaucoup en résolution?

      j'envisageais aussi la possibilité de rester sur mon diamètre de 150mm (vu mon ciel, est-ce bien utile d'augmenter le diamètre?) mais avec un miroir d'artisan (zen ottiche en fait en petits diamètres).

      Autre question : quel échantillonnage serait  le plus approprié sous un ciel moyen à bon?
      si je reste sur les valeurs théoriques d’échantillonnage (si j'ai bien calculé elle se situe autour de 0.25") les résultats ne sont pas top.

      merci à vous

      voici les photos en question:
      imx 429

       

       
      imx 290 bin2

       


       
    • Par Papy lulu
      Bonjour,  je débute,  la photo (M51) est le résultat de 261 fichiers empilés par le seestar S50 je présume que ce sont 261 prises de vues de 10" chacune.
      Bonne journée à tous.
      Papy lulu


    • Par BobSaintClar
      En direct du japon, je vous présente un compte-rendu succinct de mon week-end au Festival des étoiles d'Hoshi No Mura
       
      il s'agit d'un rassemblement annuel (premier WE de Juin suivant la nouvelle lune) se tenant dans un observatoire public posé dans les montagnes de la préfecture de Fukushima !
      Ceci dit, ladite préfecture est vaste et nous sommes loins de la côte : lors de ma première édition, avant les années Covid, j'avais emporté mon radiomètre : la radioactivité du site était parfaitement normale...
      Le séisme de 2011 a pourtant eut des conséquences dramatiques pour l'observatoire, j'y reviendrai.
       
      Commençons par présenter les lieux : nous sommes à 650m d'altitude, à 20km de la côte Est du japon, dans une région de moyenne montagne. De mon domicile, il faut compte trois heures de voiture. Sur place résident un observatoire, deux parkings, un restaurant, diverses boutiques et une grotte ouverte aux visiteurs.
      Sur la route menant au site, je reconnais un "magasin" déjà vu les années précédentes : il expose des sculptures religieuses, notamment...
       

      ... mais oui, des bites géantes en pierre (note : j'ai servi de modèle pour l'artiste )
       
      Le Site
       
      Sur place, deux parkings sont réservés aux astronomes amateurs : le premier, "en haut", est généralement préféré au second, "en bas", parce qu'il est moins parasité par les lumières de l'évènement.
      Je me suis installé sur le premier
       

       
      Kurita-san, un ami de club arrivé plus tard, a du se contenter du second :
       

      Nous sommes Vendredi après-midi, l'évènement n'a pas encore officiellement commencé, le parking est encore vide. J'ai pris cette image depuis le toit de l'observatoire. Notez l'impressionnante falaise, qui abrite plusieurs grottes !
       
      L'observatoire en question, le voici :
       

      Le bâtiment, coté gauche, propose des toilettes, un dortoir, quelques pièces réservées au staff et une boutique de souvenirs "astro". Au centre, vous avez un vaste hall dédié à l'exposition de différents matériels & objets. 
      L'espèce de tour carrée cache essentiellement un escalier en spirale permettant d'atteindre le toit ET le pont menant au télescope de 650 abrité sous la coupole.
      Sur le parvis, la plupart des exposants sont déjà installés.
      Vendredi après-midi, le ciel n'est guère rassurant...
       
      Au rez-de-chaussée (que les japonais appellent le premier étage, pour l'anecdote) de l'espèce de ziggourat qui soutient la coupole se trouve une exposition permanente :
       

      Et au-dessus - avant d'arriver au troisième étage (celui du télescope) - se trouve un planetarium. Voilà, vous avez fait le tour !
       
      Les exposants
       
      Le festival aux étoiles d'Hoshi No Mura est un évènement "classique" : les exposants y tiennent une place centrale !
      Les marques les plus connues sont représentées (Takahashi, Vixen, SVbony, etc) et l'on trouve beaucoup de matériels "occasion / exposition / fins de série" intéressants. Dès mon arrivée, je suis tombé sur une offre que je n'ai pas su refuser... un oculaire Morpheus de 9mm bradé à 27000 yens (ça fait 158 euros, au taux de change actuel). Bordel, il m'en faut un deuxième, maintenant 
       
      Je ne les ai pas tous pris en photo, je pense que vous savez à quoi ressemble un stand de marque :
       

      Avec la dépréciation du yen, les bonnes affaires sont légion ! Les binos Vixen BT80, qui ont plutôt bonne presse, sont ici à 235 euros...
       
      Lui, il a tout un stock de jumelles de randonnée, de loupes, de chercheurs 8x30 et de bordel divers (filtres, caches, boites à oculaires, etc.) à 59 centimes d'euro pièce 
       

      (Notez le poster d'un personnage Moe, nous sommes bien au japon...)
       
      Coté matos, je n'ai pas repéré grand-chose de spécial, d'original ou de vraiment nouveau... mais bon, je ne suis pas le mieux placé pour en juger : je ne m'intéresse guère qu'à l'équipement dédié au visuel. J'ai quand même vu deux-trois trucs que vous ne connaissez peut-être pas, ou pas encore ? 
      Voyons cela :
       
      Sur le stand Vixen, je me suis attardé sur ces deux versions à diamètres réduits - 70 et 90mm - de l'astrographe VSD100SS.
      Je ne connaissais pas ces modèles, je suppose qu'ils sont plus abordables que leur ainé : de mémoire, le tube de 100mm est hors de prix (je n'en ai d'ailleurs jamais vu dans les rangs amateurs, même au Japon) !
       

      Malgré la déprise du yen, le VSD90SS est à plus de 4000 euros... mais sérieux, qui va acheter ça ??
       
      Les amateurs
       
      Autant j'avais vu des équipements remarquables au rassemblement d'Aichi (celui consacré aux grosses binos, aux dobsons et aux réalisations personnelles), autant le festival d'Hoshi No Mura est basique : les visiteurs sont avant tout venus avec... des lunettes équipées pour l'astrophoto, ad nauseum !
      Je n'ai vu que deux dobsons : le 660 déjà remarqué dans des rassemblements antérieurs (comme celui d'Aichi) et le 500 décrit dans mon compte-rendu sur la star-partie de Koumi.
       
      il y avait aussi ce Ninja :
       

      Si vous avez une impression de déjà vu, c'est normal : ce tube était présent lors du rassemblement d'Aichi, comme en témoignent ses autocollants Moe (décidément...)
       
      Le T500 (à F/D beaucoup trop, ouch, échelle de pompier obligatoire) du festival de Koumi, encore une pièce rapportée :
       

       
      Vous vous souvenez du proprio ? Non ? 
      Indice : Un homme inverti en vaut deux (sur les blagues de boomer, je ne crains personne )
      Bref, le voici  :
       

      Lorsque j'ai pris cette photo, l'évènement n'avait pas commencé, tout le monde s'installait tranquillement. Donc, notre gaillard n'est pas prêt... mais quelques heures plus tard, en soirée, il l'était ! 
      Au menu : mocassins noirs brillants à talons, longue robe grise plissée, haut bustier noir échancré et chapeau canotier à ruban rose orné d'un flot en forme de coeur...
      Ça y est, vous le remettez ??
       
      Le télescope suivant, je ne pouvais pas le manquer :
       

      Nous sommes toujours en territoire connu : c'est le 200 - diaphragmé à 198mm - F8 de Okubo-san. Le seul télescope amateur de moins de 200mm d'ouverture nécessitant l'usage d'un escabeau... 
       
      Coté binoculaires, ce n'est guère folichon :
       

      Des Miyauchi 20x100 (oculaires fixes) : j'ai eu la chance de posséder ce modèle l'année du passage de la comète Hyakutake, en 1996.
      Elle repasse dans 70.000 ans mais cette fois, j'ai des 150ED : j'ai hâte !
       
      Par le plus grand des hasards (non pas du tout, j'ai évidemment fait exprès), je me suis installé juste à coté du seul gars bien équipé en jumelles : il avait 7 ou 8 modèles, à minima, dont des Zeiss 7x50 antiques (très bonnes, une vraie surprise), des Zeiss stabilisées 20x60 (une autre bonne surprise, je les aurais pensé plus lourdes) et des Nikon 20x120 anciennes en provenance directe... d'un bâtiment de guerre (il m'a donné un nom que je n'ai pas su mémoriser) :
       

      (Oui, pardon, c'est de l'infrarouge couleur)
       
      Le CROA
       
      Et coté astronomie, me direz-vous ?
       
      La nuit du vendredi au Samedi était plutôt mal partie (cf images) mais dès 22h, les nuages sont sont espacés, puis évaporés ! J'ai profité de mes jumelles jusqu'à minuit environs, puis je suis passé en mode "monteur d'étoiles" lorsque diverses personnes - essentiellement des résidents du coin, venus en famille - sont venu dans notre secteur :
      Le ciel était très bon, peu pollué, la transparence excellente, les principales vedettes de l'été - du sagittaire au Cygne, pour faire court - en pleine ascension... succès garanti !
       
      Jusqu'à une heure et demie du matin, j'ai ainsi partagé notre passion avec les gens du cru, jusqu'à ce qu'un gars presque obèse (une rareté, au Japon), s'emmêlant les pinceaux dans le noir, s'assoit un rien brutalement sur ma chaise : CRAAACK ! Plus de chaise ! 
       
      Imaginez la scène, compte tenu de la culture du pays : le pauvre type ne savait plus où se mettre, il s'est répandu en excuses plus dramatiques les unes que les autres, je ne savais pas quoi dire ou faire pour l'arrêter !! Il ma fallut des trésors de patience pour lui faire comprendre, in fine, qu'une seule pièce de bois de 10x10cm avait lâché, que la refaire serait un jeu d'enfant (et en effet, j'ai réparé ma chaise ce Dimanche matin)... purée, il voulait absolument me dédommager en argent... oh wait, j'aurais peut-être du me laisser faire ? 
       
      Anecdotes
       
      J'ai quelque peu écorné ce chapitre, avec l'astronome transformiste (une combo rare, avouez) et le sculpteur de giga-bites (non, rien à voir avec l'informatique)... 
      Il vous reste quand même quelques curiosités à découvrir :
       
      1/ Les japonais sont honnêtes et très confiants ! On ne le dira jamais assez, le pays est sûr et au quotidien, l'on perd assez vite ses repères et ses habitudes ! L'observatoire d'Hoshi No Mura est ouvert aux quatre vents, il n'y a pas de caméras dans le bâtiment, vous pouvez vous y promener et ramasser ce qui vous plaît sans aucun problème...
      Par exemple, en montant au deuxième étage via la tour carrée, vous pouvez choisir le modèle de loupe binoculaire qui vous convient :
       

      Le détail qui tue : l'observatoire a acheté l'exemplaire du milieu (juste à droite de la caisse orange), sans doute pour le mettre à disposition du public (notamment des écoliers) il y a encore l'étiquette avec le prix affiché (20.000 yens)...
      Non seulement rien n'est sous clé ni même surveillé mais en sus, la valeur du matériel est commodément indiquée 
       
      Un peu plus haut, dans ce qui s'apparente à un débarras sans porte, vous avez tout un tas d'instruments en vrac, avec des caisses d'oculaires et de jumelles à même le sol :
       

      J'ai pris la photo sans arrière-pensée ni gêne aucune : j'étais absolument seul, dans la tour et sur le toit ! Je rappelle que le site, pour l'évènement, reçoit plusieurs centaines de personnes, de tous âges, qui vont vaquer dans tous les sens : et bien, comme d'habitude, rien ne sera volé. Les organisateurs ne sont pas des idiots : s'il en allait autrement, soyez sûrs que tout serait surveillé, ou hors d'accès. Mais ici, à quoi bon ?? 
       
      2/ Dans le grand hall / salle d'exposition du bâtiment principal, j'ai remarqué cet objet, quelque peu incongru dans un observatoire  :
       

      Vous l'aurez deviné en observant l'image en détail : c'est une sorte de glaive court dont la lame a été forgée à partir d'une météorite ferreuse. Cette arme n'est pas historique, elle a été faite sur commande de l'observatoire il y a quelques décennies, mais elle est néanmoins représentative d'un phénomène réel, dans l'histoire dujapon : les minerais de fer du pays étant de qualité médiocre, les artisans locaux ont du développer des techniques très élaborées pour forger leurs célèbres lames (on pense surtout au katana, évidemment). Du coup, lorsqu'ils avaient la chance de tomber sur un beau morceau de météorite ferreuse, bien plus riche en métal que n'importe laquelle de leurs pauvres caillasses, ils ne se privaient pas d'en faire une arme (sans même parler du coté "on ne va pas gâcher ce précieux cadeau des dieux")...
       
      3/ Pour transporter son matos astro et son nécessaire de camping, rien ne vaut une Keycar coupée sport :
       

      Voici la voiture de mon "autre" voisin (pour le distinguer du possesseur de jumelles, venu en minibus Totyota). Dans cet équipage minimaliste à deux places, ledit voisin a transporté une petite lunette (une 80mm à FD court), son trépied photo et une tente une place intégrée à son lit pliant !
      Mieux vaut être célibataire, sans enfants... et sans dobson !
       
      4/ L'été japonais est caniculaire. nous sommes toujours au printemps, officiellement, mais nous avons souffert de la chaleur en journée. Pourtant, une créature était bien plus à plaindre :
       

      Il ne fait pas bon être un gros chien à poils longs, au pays du soleil levant : sauf à habiter haut en altitude et latitude, la chaleur humide des mois d'été est très pénible. De plus, la loi du pays impose de ne jamais laisser divaguer votre toutou, en ville comme à la campagne, même s'il n'y a personne en vue : les chiens sont donc toujours attachés et ne sont jamais libres de leurs mouvements.
      C'est moyen, pour ces lointains cousins du loup  
       
      5/ Le séisme de 2011 dans la région de Fukushima, de sinistre mémoire, a eut des conséquences désastreuses sur l'observatoire d'Hoshi No Mura :
       

      Au plus fort de la secousse, le t650 et sa monture, installés dans la coupole, ont traversé trois étages avant de s'écraser au rez-de-chaussée, infligeant les dégâts qu'on imagine ! La carcasse de l'ancien télescope est toujours exposée dans le bâtiment, au pied de l'escalier menant au pont.
       
      Cette petite sculpture est un monument commémoratif de l'accident :
       

       
      6/ La photographie dans l'infrarouge proche, c'est beau, mais c'est aussi utile !
      Par exemple, pour discriminer le couvert végétal :
       

      on distingue beaucoup mieux les feuillus des conifères, entre autres...
       
      Clôturons ce rapport comme il convient : par une photographie astronomique !
      Voici donc la planète terre, observée depuis l'observatoire d'Hoshi No Mura, préfecture de Fukushima, Japon :
       
       
       
      Owari desu !


    • Par lpalbou
      Hello à tous,
       
      Petite vue du soleil prise le 07 juin - j'ai une vidéo de 3h qui process depuis deux jours pour faire le timelapse, mais j'essaierai de la poster quand ce sera fini.
       
      Equipement:
      - Askar FMA 180
      - Quark Chromosphere (tellement d'aventures et de mésaventures, mais ce sera pour un autre post si j'ai le courage)
      - Player One Apollo M
      - Filter ERF 2" en premier élément du Askar
      - Réducteur après le Quark
      - Tilt Rowan
      - Daystar Flatcap
      - AZ GTI aligné avec un compas + tracking firecapture
       
      Traitements:
      - AS4! + ImPPG + Photoshop

       
      J'ai encore un petit problème de Tilt, la partie gauche / bas gauche étant plus flou, mais le setup se stabilise.
      Mon autre difficulté, c'est diminuer la luminosité du limb pour que ce soit plus naturel, notamment pour mieux voir la continuité des filaments sur / hors soleil
       
       
      Même équipement mais avec un Nikon 300mm F4 avec une bague 77 - 48mm pour mettre le ERF devant. Ca permet également de diminuer l'ouverture et augmenter le f-ratio pour le contraste:

       
       
  • Évènements à venir