gklm

si vous deviez conseiller un instrument uniquement dédié aux planètes...

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...et sans tomber dans les prix mirobolants, que choisiriez-vous pour moins de 1000 € ?

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Oui :) un MAK avec une grande focale ;)

Sinon il y a le Mewlon sur balcon mais ça dépasse ton budget ;)

Bonne soirée,

AG

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Pareil que Xavier et Alain : il faut un instrument très bon xD, une collimation à priori déjà faite et super bonne, une grande focale, un prix raisonnable ? : le Mak. Les petits frères du 180, le 127 et 150 sont déjà des bêtes redoutables.

  • Like 1

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Les avis convergents vers le Mak confirment un peu ma première approche.

Pour précision, je ne vise que du visuel et la simplicité d'utilisation, donc je ne suis pas chaud pour des instruments qu'il faut sans cesse recollimater : est-ce le cas des Mak ?.

En monture, j'ai une SW AZ Gti mais je ne sais pas si cela peut supporter un Mak 180 ou 150...

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Autre chose, certaines formules optiques sont-elles moins sensibles que d'autres à la pollution lumineuse (car j'en souffre chez moi) ?

  • Confused 1

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Ces instruments sont très compacts mais lourds, je ne connais pas ta monture, elle supportait quoi avant ?

Oui, à priori ces instruments sont simples d'utilisation et très efficaces, le 127 est très à l'aise avec des conditions moyennes par exemple, mais bon c'est normal en même temps. xD

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La focale étant plus grande que la moyenne, ton grossissement sera globalement plus important pour un même oculaire. Le contraste sera plus grand pour une image certe moins lumineuse qu'avec un autre instrument, et du coup tu discerneras mieux certaines subtilités. L'observation d'un amas globulaire moins lumineux que M13, je pense particulièrement à M15 pour les subtilités sur le fond stellaire.

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Je te suggère d'ailleurs d'acquérir au moins un oculaire grand champ avec le Mak.

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Pour les planètes, la pollution lumineuse on s'en fout!!!!

La plupart des plus belles images de cette saison sur saturne et jupiter ont été faites en centre de Paris.

On peut même les pointer en plein jour, c'est même recommandé pour Venus.

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J'ai certes un budget fixé, mais je ne veux pas prendre le problème à l'envers en déterminant l'instrument en fonction de la monture : une monture, cela se revend, et par ailleurs, je suis favorable à l'achat d'occasion. Je crois qu'on voit passer pas mal de Mak dans les PO.

J'imagine que la "pollution lumineuse on s'en fout", c'est parce que les planètes sont plus lumineuses, pas parce que la formule optique du Mak y est moins sensible ?

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Il y a 10 heures, gklm a dit :

Pour précision, je ne vise que du visuel

Alors dans ce cas,

pas un mak rikiki, aussi parfait soit-il !!!!!!!!

En visu pour COMMENCER à être  peinard, 250mm me semble le minimum syndical. Déjà c'est une obligation d'avoir de la lumière, du flux lumineux, et ensuite d'avoir une résolution qui permet d'ausculter finement les surfaces planétaires.

En visu planétaire, je remarque que les plus fines observations le sont généralement avec des 400.... je ne parle pas "d'esthétisme" où là les sirènes de lunettes se mettront à chanter dans d'infinis débats, mais bien d'observation  détaillée.

De cela, exit les Mak tant (trop ????) plébiscités dans le cas du visuel.

 

Alors oui, colim, gestion de la turbulence et tout ça, mais c'est le prix à payer pour la discipline.

et à 1000€, on trouve d'excellents newtons de 250mm

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Il y a 13 heures, Sébastien Lebouc a dit :

Par contre, des C8 mal collimatés....

parce que la collimation bouge semble t'il assez souvent....Mak en priorité.

Mais Serge a raison si tu veux ne faire que du visuel.....

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Tout dépend d'où tu observes. Si c'est d'une grande ville turbulente, les maks font souvent mieux que les newtons. Inversement, si tu sais collimater un newton et que ça bouge pas trop dans ton coin, c'est Serge qui a raison : un bon newton 250, c'est excellent. J'en parle en connaissance de cause, j'ai les deux, j'habite Paris et j'ai souvent pu faire la comparaison. Et j'avoue aussi goûter l'entraînement d'une monture avec le mak, c'est bien confortable pour traquer les petit détails...

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La pollution lumineuse est mon grand problème : j'habite tout près d'une centrale nucléaire, à Flamanville (2 tranches conventionnelles + 1 EPR) et sous prétexte de sécurité, on illumine à gogo, surtout vers le ciel ! De plus, j'ai envie d'un instrument à la collimation la plus stable possible.

Décidément, le Mak semble le meilleur compromis...

 

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Quels sont les avantages/inconvénients respectifs entre Mak et Cassegrain dans le cas qui me concerne (visuel planétaire) ?

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Et bien perso, je intéresserais à ce cassegrain classique TS/GSO.

Pour moins de 1000, il y a un 203mm F2436mm.

Mirroirs en quartz, déja une très belle presta sur le 154mm qui donne du contraste malgré 33%CO.

voir si intéressé:

https://www.cloudynights.com/topic/661236-new-ts-cassegrain-154f12/

Pas de lame de fermeture, 2 composants optiques seulement et un bel alignement sur le tube reçu.

Il y a aussi un 250mm sur la série.

Ayant eu ces celestrons et meade, ces tubes CC supportent très largement la comparaison.

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Il y a 16 heures, gklm a dit :

est-ce le cas des Mak ?.

non et c'est justement là son point fort.

car une bonne collimation ne demande pas des compétences extraordinaires mais surtout d'un temps parfait pour le faire

 

Il y a 1 heure, gklm a dit :

avantages/inconvénients respectifs entre Mak

points négatifs :

une mise en température plus importante car le tube est fermé

un poids plus important a cause du menisque

le shifting

 

points positif :

fait pour le planétaire par ces longues focales

le cout faible

sa collimation qui ne bouge pas

son tube court

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Bonjour à toutes et tous,

Je n'arrive pas à trouver un lien qui parle du 250 mm Cassegrain classique TS/GSO.

Merci à vous et à "rvuti9" si vous pouviez mettre un lien pour tous afin d'avoir des données concrètes sur ce tube qui est, je pense, très intéressant pour du visuel planétaire avec un coût maîtrisé à l'achat.

Bien cordialement,

Serge Tinland

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  • Similar Content

    • By christian viladrich
      Salut à tous,
       
      Juste pour le fun, je me suis amusé à mesurer la courbe de transmission de ma vénérable fluo 55 mm f/8 qui date de 1988 (environ ...). Elle a fait pas mal d'éclipses de Soleil celle-là
       
      Pour rappel, comme je ne peux pas mesurer la transmission absolue, mais seulement la transmission relative, j'ai normalisé le pic de transmission à 100%. Voici ce que cela donne :

       
      C'est pas mal du tout pour l'époque.
       
      Le zoom entre 800 et 1000 nm montrent les oscillations de transmission résultant du traitement multi-couches.
       
      Çà me fait penser qu'il faudrait que je mesure la lame du C8. Celestron ne fournit que la transmission entre 450 et 700 nm.
       

       
      Fait juste que je trouve un moyen de ne pas abîmer la lame lors de la mesure ...
       
    • By christian viladrich
      Salut à tous,
      Voici la mesure de la transmission de deux Barlow UV et d'une autre "visible" :
       

       

       

       
       
      Il n'y a pas de différence très significative entre le traitement des Barlow U et non UV.
       
      A noter que le site Internet de Siebert indique la transmission suivante pour ses Barlow UV :

       
      Cela ne peut en aucun cas être la transmission du traitement anti-reflet. Au mieux, c'est la transmission d'un des verres utilisés dans la Barlow.
       
    • By Arnaud17
      Bonjour à toutes et à tous,
       
      Je suis en train de chercher un Newton de 300-350mm ouvert à f/4. J’ai vu que Teleskop Service propose une gamme appelée ONTC avec miroir chinois de GSO « testé ». Le tube est en carbone et le PO est à sélectionner parmi une gamme assez vaste. Quelqu’un a-t-il déjà utilisé / testé un instrument de cette gamme? Quel retour quant à la qualité optique et mécanique ? Je prévois une utilisation assez large de l’instrument : en spectro basse résolution avec un Alpy, en ciel profond avec un Wynne ASA et en planétaire avec un Powermate x4.
       
      Merci pour votre retour si vous avez effectivement eu un télescope de cette gamme en main.
       
      Arnaud
    • By bricodob300
      Bonsoir
      Je viens de trouver sur le net la modification qu'avait apporté Clyde Bone à  la très  ancienne formule optique  de Mersenne :
      Je trouve cela vraiment intéressant,  particulièrement le fait que la partie du ciel hors axe soit accessible au miroir de renvoi Nasmith et vienne se "superposer " à l'image issue du primaire dans le réfracteur. 
      En plus d'être intéressant je trouve cela marrant : un réflecteur qui fonctionne mieux s'il on lui colle un refracteur au cul, de quoi en réconcilier certains... (ou pas)
      Pour ceux qui maitrisent les logiciels de design optiques,  je serai curieux de connaître la tolerance des delta de fd, bien que  le secondaire peut être la calote de l'outil du primaire si je ne dis pas de bêtises ...
      Et autre question : j'imagine que ce qui détermine le projet et donc la taille des miroirs va être le rapport fd du réfracteur, peut on faire confiance au fabricant s'il affirme que la lunette est à fd 5 c'est bien du 5 et non 5.1 ou 4.9 ? Car 2 champs qui se superposent ça ne doit pas être évident 
      On peut lire un peut plus loin qu'il lui faut pas loin d'une journée pour la collim ! Mais lors de rencontres astro qui dures plusieurs jours, cela en vaut la peine, quelle persévérance ! Pour simplifier un peu, il me semble qu'on pourrait se passer du deuxième miroir plan en acceptant que le réfracteur soit orthogonal au telescope, de plus cela ferai une surface de moins...
      Qu'en pensez vous ?
       
       
      Source : https://televue.com/televueopticstalk/2019/07/11/clyde-bone-and-his-two-unusual-mersenne-telescopes/
       
      (Traduction approximative )
       
      Bases du télescope Mersenne de Clyde
      La lumière est collectée par un grand miroir primaire parabolique (1) situé au bas de l'instrument qui produit un cône de lumière vers le haut, comme dans un réflecteur newtonien.
      Un miroir secondaire paraboloïde convexe de rapport focal égal au primaire (2) est carré dans le tube vers le haut. Les foyers de ces deux miroirs coïncident (confocal). Cela amène les cônes de lumière à « annuler » leur sortie du secondaire et à devenir un cylindre (rayons parallèles) de lumière.
      Ces rayons parallèles se dirigent vers le miroir primaire mais sont interceptés par un miroir plat diagonal devant le primaire (3). Cela reflète la lumière à angle droit sur l’axe d’altitude de la monture.
      Un dernier miroir plat à l'extérieur du tube (4) réfléchit à nouveau la lumière à angle droit parallèle au sol. Cette fonctionnalité permet de visualiser depuis une position assise, quelle que soit la hauteur de visée de la lunette. Ceci est souvent appelé une conception Mersenne-Nasmyth.
      Enfin, la lumière traverse un réfracteur à champ plat à 4 éléments f/5 (5) qui « voit » les rayons parallèles comme une lumière venant de l'infini ─ comme si on regardait directement le ciel ─ et un L'oculaire est utilisé pour agrandir l'image du réfracteur (6).
      Étant donné que les rayons lumineux entrant dans le réfracteur sont parallèles, le rapport focal final est le même que celui du réfracteur - f/5 dans ce cas.
      Alors, qu'est-ce que ça fait
      de regarder à travers l'un
      de ces télescopes ?
      "En fait, c'est assez
      normal jusqu'à ce que vous
      commenciez à faire un panoramique.
      Ensuite, c'est magique.
      – David Nagler
      Une autre caractéristique est qu'à faible puissance, le réfracteur « voit » la lumière hors axe (lignes brunes dans le diagramme) passant autour du secondaire, rebondissant à travers les méplats et dans l'objectif du réfracteur sans rencontrer le miroir primaire ou secondaire. Cette lumière « périphérique » est essentiellement ce que le réfracteur « verrait » s’il était dirigé uniquement vers le ciel. Le résultat est une cible fortement agrandie au centre d’un champ de faible puissance ! Le système agit comme son propre chercheur ! David Nagler décrit la superposition des champs de faible et de forte puissance comme se mélangeant presque imperceptiblement — jusqu'à ce que vous déplaciez la lunette pendant l'observation. L’effet est alors « époustouflant ». En effectuant un panoramique, vous voyez des objets se déplacer lentement au bord du champ, puis passer soudainement à une « explosion d'ouverture » rapide dans le champ central de haute puissance.
      Bases du télescope Mersenne de Clyde
      La lumière est collectée par un grand miroir primaire parabolique (1) situé au bas de l'instrument qui produit un cône de lumière vers le haut, comme dans un réflecteur newtonien.
      Un miroir secondaire paraboloïde convexe de rapport focal égal au primaire (2) est carré dans le tube vers le haut. Les foyers de ces deux miroirs coïncident (confocal). Cela amène les cônes de lumière à « annuler » leur sortie du secondaire et à devenir un cylindre (rayons parallèles) de lumière.
      Ces rayons parallèles se dirigent vers le miroir primaire mais sont interceptés par un miroir plat diagonal devant le primaire (3). Cela reflète la lumière à angle droit sur l’axe d’altitude de la monture.
      Un dernier miroir plat à l'extérieur du tube (4) réfléchit à nouveau la lumière à angle droit parallèle au sol. Cette fonctionnalité permet de visualiser depuis une position assise, quelle que soit la hauteur de visée de la lunette. Ceci est souvent appelé une conception Mersenne-Nasmyth.
      Enfin, la lumière traverse un réfracteur à champ plat à 4 éléments f/5 (5) qui « voit » les rayons parallèles comme une lumière venant de l'infini ─ comme si on regardait directement le ciel ─ et un L'oculaire est utilisé pour agrandir l'image du réfracteur (6).
      Étant donné que les rayons lumineux entrant dans le réfracteur sont parallèles, le rapport focal final est le même que celui du réfracteur - f/5 dans ce cas.
      Alors, qu'est-ce que ça fait
      de regarder à travers l'un
      de ces télescopes ?
      "En fait, c'est assez
      normal jusqu'à ce que vous
      commenciez à faire un panoramique.
      Ensuite, c'est magique.
      – David Nagler
      Une autre caractéristique est qu'à faible puissance, le réfracteur « voit » la lumière hors axe (lignes brunes dans le diagramme) passant autour du secondaire, rebondissant à travers les méplats et dans l'objectif du réfracteur sans rencontrer le miroir primaire ou secondaire. Cette lumière « périphérique » est essentiellement ce que le réfracteur « verrait » s’il était dirigé uniquement vers le ciel. Le résultat est une cible fortement agrandie au centre d’un champ de faible puissance ! Le système agit comme son propre chercheur ! David Nagler décrit la superposition des champs de faible et de forte puissance comme se mélangeant presque imperceptiblement — jusqu'à ce que vous déplaciez la lunette pendant l'observation. L’effet est alors « époustouflant ». En effectuant un panoramique, vous voyez des objets se déplacer lentement au bord du champ, puis passer soudainement à une « explosion d'ouverture » rapide dans le champ central de haute puissance.
      @lyl

    • By Astreau
      Bonsoir,
      Heureux possesseur d'une ASi2600 MC, je suis frappé de la malédiction de la fuite d'huile sur le capteur de la camera. Ca fera la 2eme fois en un an....
      ZWO me demande de renvoyer la camera en chine pour réparation nettoyage.
      Là, je tique....
      Avez vous des conseils à me donner pour m'assurer que l'envoi se passe bien (précautions déclaratives, assurance, transporteur à choisir, etc....) ?
      Deuxième solution : je me sors les doigts du f.... et je nettoie le capteur moi-même. Avez vous des conseils à me donner ?
       
      Merci par avance du retour.
      Ben attendant je vais rester sur le planétaire.....
      En cadeau un petit gif de la rotation de jupiter le 10/09/2023

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