Classement

Tout avait bien commencé après une journée de pluie de Novembre puisque le ciel s'est dégagé vers minuit. L'éclipse devait débuter vers 1h00 et atteindre son maximum à 4h09. Évidemment les bonnes choses ont toujours une fin (ou faim d'ailleurs à 5h du matin) et les nuages sont réapparus environ vers 3h... On laisse tourner le stock et vers le maximum Ô miracles, quelques trouées ont permis de faire des images. Parfois à travers les nuages même, parfois entre deux nuages. Matériel : 80ED Celestron avec un FUJI X-T10 sur une monture EQ5 Synscan. SOl détrempé, pieds gelés, mains dans les poches avec le déclencheur sans fil et Canada Goose bien fermée, température extérieure au maximum de l'éclipse : 0°C Le début de l'entrée dans l'ombre : Les passages nuageux et la belle dynamique du X-T10: Et enfin le moment du maximum de l'éclipse vers 4h00 heure locale au Québec.

Salut à tous, Les images sont nulles mais on a vu l’éclipse! Nous évoluions à 39.000 pieds ce matin à l’aube quand j’ai pris quelques photos à l’arrache avec mon iPhone depuis le cockpit de notre Boeing 767 aux alentours de Lisbonne, en route vers Ténérife. Je vous joins également un lever de soleil du côté opposé au coucher de la Lune et une vue sur le Teide capturée durant notre descente. Cette vue du volcan est assez inhabituelle car nous avions demandé un routing un peu particulier pour éviter le nuages de cendres qui s’étalait à l’Ouest de l’île, là vers où notre plan de vol nous envoyait initialement. La qualité des photos vaut son pesant de cacahuètes!

Bonjour à toutes et tous, Après près de 3 semaines sans contact avec le forum, je reviens avec quelques photos d'aurores boréales prises à Tromso et dans ces environs. Les captures se sont déroulées entre le 30/10 et le 05/11. La météo n'était pas terrible mais nous avons eu la chance d'avoir quelques éclaircies mais sans jamais un ciel bien dégagé (merci Windy). Il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. Ci-dessous quelques exemplaires faits avec un Sony RX10Mk3 quasiment tous avec une focale de 24 mm. Les temps de pose ont été variables ainsi que les iso. J'ai eu pas mal de difficulté de mise au point d'où un grand nombre de déchets . La difficulté est de choisir un temps de pose court (qq secondes) pour figer les draperies sans trop pousser les iso pour limiter le grain. Je suis parti avec un groupe de 20 personnes le tout organisé par Astro Evasion que je vous recommande. Le séjour a été formidable, nous avons vu pas mal d'aurores, et l'ambiance était plus que sympathique. Voici les images

Bonjour tout le monde . Hier soir 18/11/2021 ouverture météo en sud Bretagne alors on en profite malgré un seeing pas vraiment coopératif. J'ai commencé à imager un peu avant 18h00 il faisait jour setup . J'ai laissé "tourner" les acquisitions pendant 4h00 mais aucune amélioration de ce mauvais seeing ... Au moins ça donnera du grain à moudre à DetectImpact . C11 Focuser + Optic.BX1.5. + ADC + ASI462MC+ IR.642nm F5300 F/D.19 e=0.112"/pix Bernard_Bayle

Coucou Après NGC7479, voili voilou NGC2841 que je viens d'archivrer sur mes ddr de sav Je passe au traitement de ma belle suivante Merci thanks Alain pour ta nice couleur qu'on trouve par ici : https://www.astrobin.com/ep3ov1/?nc=&nce= "Shai-hulud Tooth" SW N254/1200 - QHY174MM - 3092 x 1s + 6877 x 3s - bin1 - 1"/pixel Color layer by "Alain B." - 2020 - C11 - ASI183 MM - 30x30s R/V/B A+ David Pour le plaisir, un ptiot zoom avec 200%

Bonjour a tous Quelques vues de l éclipse de ce matin juste avant l aube,prise au nord de santiago du Chili ,la lune était assez basse . Images faites entre 8H33 TU et 8H35 TU avec canon 600D et refracteur TS 72mm et reducteur a800 iso T 0,4 s vues 8729 ,8732, 8736 a 400 ISO 0,4s 8742 et une a 200iso 0,8s la derniére Bon cieux a vous tous

Enfin presque ! Théâtres d'ombres japonaises dans mon jardin, où la lune s'est dévoilée, par moments, lorsque les nuages le lui ont permis. J'ai pris quelques photos pour marquer le coup, mais l'observation visuelle de l'évènement fut prioritaire : dans les jumelles de 150, à 50x, l'image de la lune éclipsée a révélé toute sa magie. A dix-huit heures locales, au maximum de l'éclipse, notre satellite présentait un très fin liseré de blanc, jouxté d'une écharpe bleu clair virant au gris puis au jaune paille, avec un disque mi-orangé, mi-rouge brique : magnifique ! Malgré une turbulence bien présente, le disque lunaire m'a montré bien plus de détails qu'il y a deux ans, lorsque j'avais admiré le même phénomène aux Nikon 20x120... grossissement oblige. Mais j'avoue que j'ai prêté plus d'attention aux infinies nuances de couleurs qu'à la topologie ! La vision binoculaire ne générant aucune fatigue, je n'ai pas vu le temps passer : après une heure d'observation, le croissant lumineux s'est étendu, jusqu'à gommer les nuances et les teintes précédemment admirées.... je n'ai pas insisté Je vous propose, pour conclure ce bref CROA, trois photos souvenirs : 1/Déjà bien grignotée, la lune surgit des toits voisins 2/Une heure plus tard, l'éclipse est presque totale et quelques étoiles se dévoilent (je n'en voyais qu'une ou deux, à l'oeil nu) 3/ Un gros plan, en utilisant les jumelles en digiscopie (mise au point douteuse, vibrations parasites, pose trop courte - pas de suivi et donc, bruit marqué : je m'attendais à pire !) Dans les jumelles, les couleurs étaient à peu près les mêmes... mais avec une "fluorescence" que les photographies ne reproduisent pas ! Et coté détails, j'en ai vu bien davantage

Tout a commencé comme ça hier midi: - Y'a éclipse de lune demain - Oh ? - Manque de bol, elle sera couchée... - Pas de problème, je connais un coin dans le Jura où on peut observer sous l'horizon - Mais ça caille là haut - M'en fout! - Avec du vent ... - Peuh ! - Et même encore un peu de neige - Et alors ? Et donc, me voilà parti vers 19h pour le bivouac avec tout le bordel, au moins 20kg à monter sur 800m. Bonne bise en arrivant en haut, ça décoiffe et la vue est magnifique, ciel dégagé au dessus des basses couches de brume. Après une nuit confortable, dur de sortir du sac... mais ça en vaut la peine, les Alpes sont en feu, la lune se couche, la ceinture de Vénus descend doucement. Mise en marche du matos: une FS60 + ASI1600MC + firecapture pour les vues détaillées, un 7D + 70-300 pour la flexibilité, et une Gopro 10 pour le timelapse grand champ. On voit bien la petite baisse de luminosité due à la pénombre sur un bord. L'avantage au coucher, c'est qu'on a même pas besoin d'attendre la phase totale pour qu'elle soit rougeâtre ! Extraordinaires effets optiques sur l'horizon avec ce bel anticyclone, la lune se déforme, se coupe, ondule, se reflète. Avec tous ces mirages, je gagne quelques minutes d'observation sur l'heure de coucher "officiel", et continue à la voir jusqu'à 6h48min UT, alors que son centre est 1°52' sous l'horizon géométrique. Bref, encore un grand moment d'astro dans une ambiance magique. Allez, finalement c'était une compensation sympathique faute de pouvoir aller aux RCE Profitez bien et bon week-end Sylvain côté pile, avec l'ombre du Mont Blanc à gauche de la lune côté face, un peu plus tard la même ombre sur le stratus Les petits films: Et les photos d'ambiance (suivez le lien): Et le reste des images (cliquez sur l'image pour ouvrir le lien vers la galerie)

Bonsoir, Nouvel essai sur M33. Toujours placé ici au dessus de nos têtes: Les infos: Skywatcher 80ED + réducteur 0.8X Asi294mc pro + filtre L-pro sur HEQ5 Rowan 57x120s Gain 120 -10°C Traitement Sirilic, Siril, Pixinsight, PS. Une V2 avec le coeur mieux visible:

Bonsoir, Une cible que je croyais ne jamais pouvoir faire (en attendant bien sûr de savoir me débrouiller en CP), qui me fait rêver comme le Dada ou M42. C'est chose faite, la nuit du 06/11 dernier. Pour ceux qui veulent voir un sapin de Noël cosmique, c'est par ici, enfin là haut quoi... Les infos: Skywatcher 80ED + réducteur 0.8X Asi294mc pro + filtre Optolong L-pro sur HEQ5 Rowan 43x180s Gain 120 -10°C Traitement Sirilic, Siril, Pixinsight, PS.

Bonjour, J'ai tenté lors de la soirée en voyant un beau ciel dégagé de tous nuage de sortir faire la bordure lunaire histoire d'atteindre des sommets. A l'oculaire les images était flatteuse est stable.... A peine le pc mis en route que des voiles sont arrivés, après l'attente de ces nombreux passages la turbulence s'est fortement dégradé.... autant dire que l'aventure en imagerie s'est bouclé , j'ai sauvé cette images 600 sur 2000 on y voit bien les dômes au dessous de Tycho. AIRWOLF BRESSER AR90/900 + ZWO 120MM-S - BARLOW X2 TAKAHASHI - SOLAR CONTINUUM Bon ciel lunaire

Bonjour, Lundi dernier j'ai sorti le barda pour faire un peu d'imagerie, c'était surtout l'occasion de tester mon nouveau viseur Polaire type HEQ5 adapté sur l'AP 900, franchement c'est très bien, la MES se fait uniquement sur la Polaire bien avant la nuit complète et c'est très rapide (1 ou 2 mn). Un renvoi coudé, 3 vis calantes pour le centrage du réticule ainsi qu'un petit niveau à bulle apportent plus de confort et zou ça roule... ! Pgc 2720 c'est un Arp manqué, c'est la seconde fois que je lui rends visite, j'aime bien ce couple en interaction. L'objet est relativement faible mais 2 heures de poses à 0.5"/pix avec la ST10XME dévoilent bien sa structure. Le seeing était correct, 1.3 à 1.7" d'arc. Traitement Iris & PS CS2 Amicalement Christian

Super Olivier .... mais dis donc qui c'est qui pilotait pendant ce temps-là ? Lui ?

Bonjour celle de ce matin, du 19 à minuit bonne journée (faut vous magner, elle est encore visible ... )

T'as raison. On tend vers ça Le futur c'était mieux avant

Et pour compléter ce que vient de montrer Alain: Plusieurs poussées seront nécessaires pour arriver à l'orbite autour du point L2. Mais le trajet de transfert se fera toujours du côté opposé au soleil en environ 30 jours : la Terre et la sonde n'auront fait qu'un 12ème de révolution autour du soleil. D'après le document joint (en anglais), l'objectif étant d'utiliser le moins de carburant possible, le trajet ne serait pas direct mais utiliserait l'assistance de la gravité lunaire en passant par le point L1 Terre-Lune : - lancement puis dépôt sur une orbite de stationnement puis quatre boost - pour le changement d'inclinaison de l'orbite de stationnement et se mettre dans l'axe de visée du point L2 - Pour le départ de l'orbite terrestre de stationnement - Au survol de la lune - enfin pour l'insertion en L2. AE-242ProjectReport-JWSTtoL2point.pdf puis ensuite la sonde sera sur l'orbite, ondulatoire autour de L2 vue du soleil, circulaire autour de L2 vue de la Terre

Le cas "Gordo" Cooper apparaît particulier. Après ses deux vols Mercury & Gemini, il espérait bien commander une mission lunaire ce qui aurait du être le cas vu son rang dans l'ordre des vols. Mais c'était sans compter sur le pouvoir de décision concernant la composition des équipages qu'avait Shepard & Slayton, à l'époque où ils n'avaient pas encore retrouvé leur statut médical d'aptitude à repartir pour l'espace. Du fait, Cooper s'est retrouvé, après Apollo X, une nouvelle fois dans un équipage de réserve pour Apollo XIII, en partie à cause que Shepard se retrouvait prioritaire et se réservait le commandement d'une mission lunaire (ce sera Apollo XIV). Cooper a donc refusé son statut de remplaçant puis a démissionné de la NASA vers la mi-1970, estimant ses chances trop réduites d'autant plus qu'il avait Donn Eisele (Apollo VII) dans son équipage, alors en plein divorce, chose particulièrement mal vue à l'époque au sein de la NASA (éléments tirés de sa biographie que j'espère n'avoir pas trop déformée). Assez grande gueule aussi et fanfaron, du genre à faire péter les vitres de la base en passant le mur du son sans autorisation et un peu considéré au début comme un "bouseux" vu qu'il sortait du fin fond de l'Oklahoma. Il restera comme un des meilleurs pilotes (le meilleur d'après lui, modestement !) de la NASA et son retour entièrement manuel et ultra précis à bord de Faith 7 (très croyant aussi) est un véritable & mémorable morceau de bravoure (panne électrique, CO2, près de 70°C dans la cabine !), contrairement à Carpenter qui avait un peu merdé à ce stade, ce qui l'avait fait écarter des futures assignations (la NASA ne pardonne pas !). http://www.spacefacts.de/mission/english/mercury-9.htm https://www.americaspace.com/2015/05/16/how-about-now-remembering-gordon-coopers-faith-7-mission-part-1/ https://www.americaspace.com/2015/05/17/the-right-man-remembering-gordon-coopers-faith-7-mission-part-2/ 16 mai 1963, récupération de Faith 7 (Mercury MA-9) : En 1969, membre du "backup crew" d' Apollo X (+ Edgar Mitchell au centre & Donn Eisele à droite), visiblement, il croyait encore à la "Lune" ! Ah ! Concernant son "expérience" en matière d'UFO (OVNI) alors qu'il était pilote de l'USAF, c'est autre histoire (voir sa bio), comme pour Edgar Mitchell, James McDivitt (Gemini IV) et ... Story Musgrave (incroyables ses déclarations) ...

Merci Paul , sauvage l'animation ...j'ai du virer des images catastrophes ! Merci Christophe Bernard_Bayle

Hello, Pour voir, avec un pote qui a fait l'impression 3D, je me suis lancé dans un Sol'Ex Ca permet de s'amuser de jour aussi Premier essai le 11/11 avec une APO de 80 ramenée à 384 mm de focale, diaphrahmée à 62 mm en entrée avec un filtre ND 1,2. Après environ 45 minutes de tatonnements pour trouver les bons paramètres d'exposition de la 290 mono, j'ai enregistré quelques SER avec une vitesse de défilement de 16X en AD. Celui de 11h11 sort du lot, j'y ai mis un peu d'ondelettes (Astrosurface) et de microcontrastes (Photoshop). Pour un premier essai sur un Soleil aussi bas, je suis vraiment content (continuum puis Halpha) : Je ne connais pas l'origine des marches d'escalier sur le limbe, turbu ou vibrations de la monture ? Un peu de cirrus à droite.

Oui, mais non :

Pour moi un astronaute, un vrai, c'est ça Vous sentez pas comme une différence là avec nos astrotouristes photoshopés ?

Bonjour, Je confirme le ciel d'en haut est toujours plus beau, si seulement l'avion pouvait resté en place .. Bon ciel terrestre

P... la paire qu'il faut pour aller s'enfermer dans une boite à chaussures... Respect pour ces pionniers.

... et pour illustrer schématiquement ce que vient de préciser marco polo :

https://www.nasa.gov/feature/jpl/nasa-s-perseverance-captures-challenging-flight-by-mars-helicopter Spectaculaire : Percy a filmé le 13ème vol de Ginny le 4 septembre. Ce vol a duré 160 secondes à 8 m d'altitude. Le rover se trouvait à 300m de distance. La Mastcam a zoomé et voila :

Dans notre série : A la conquête de l'Est, j'ai bien l'honneur et le plaisir de vous parler aujourd'hui du Festival aux étoiles de Koumi ! Je m'y suis rendu ce week-end avec , au final, un bilan mitigé : si l'évènement fut sympathique sur le plan humain, je n'ai pour ainsi dire rien observé. La lune et la météo se sont vicieusement associées et bien réparties la tâche pour ruiner la nuit entière... Mais prenons le train à sa gare de départ : Samedi Vers 10h30, ma petite famille (mon épouse, notre fils et moi-même) avons entassé bagages et matos dans la Suzuki Alto (un truc qui ressemble un peu à une voiture, en plus petit) et avons roulé en direction de la petite ville de Koumi, dans la province de Nagano. S'y tenait Samedi et Dimanche un festival d'astronomie d'autant plus intéressant que 1/ Je l'avais déjà "fait" il y a trois ou quatre ans et 2/ C'est le seul rassemblement astronomique IRL à s'être tenu ces deux dernières années au Japon ! Inutile de dire qu'il était très attendu... Fun fact n°1 : en cours de route, à peu près à mi-chemin, je remarque un panache de fumées serpentant sur les hauts d'une vaste montagne curieusement dépourvue de végétations... je demande alors benoîtement à ma femme si ledit relief ne serait pas un PUTAIN DE VOLCAN ACTIF (je ne le dis pas comme ça, mais c'est l'idée) ?? Passablement incrédule, elle consulte son Iphone... et me répond qu'en effet, il s'agit du volcan Asama - avouez qu'il n'a pas une gueule de porte-bonheur - et qu'il est du genre turbulent ! Discrètement, j'accélère un peu, histoire de ne pas m'attarder dans la région... 140 kilomètres plus loin et 140 décamètres plus haut, le temps de déposer nos bagages classiques au Ryokan qui nous accueille, nous arpentons le site - réparti autour d'un grand hôtel - qui accueille déjà une foule nonchalante d'exposants et de visiteurs mêlés. Samedi, en début d'après-midi J'installe rapidement mon matériel mais ce faisant, je commets une première erreur : je me pose sur le site dédié aux campeurs, alors peu nombreux (température négatives obligent). Ce n'est pas un soucis en soi, sauf que j'ai zappé la grande majorité des astrams dispersés sur les trois parkings dédiés à leur installation. Ce sont autant de gens et de matériels dont vous ne verrez pas d'images parce que, tout simplement, nous nous sommes ratés ! Maintenant, sur un plan strictement astronomique, mon choix aurait été le bon... si le ciel avait suivi : en effet, le site des campeurs s'est avéré bien protégé des lumières parasites, à la différence des parkings susdits pourris de lampadaires qui sont restés allumés toute la nuit. Tandis que ma femme et mon fils testent l'équivalent japonais des baraques à frites (mais avec des tentacules*), je commence à regarder ce que les commerçants proposent : Kitakura-san, membre éminent de mon club astro, est venu faire du business et pour attirer le chaland, il expose quelques-unes de ses créations... ... comme ce télescope de 190mm à FD=20 ou 25 (je sé plu lol), "spécial planètes", dont il a taillé l'optique et conçu l'oculaire présentement associé, puisqu'il est le papa de la gamme Lavendura. Kitakura-san pose devant sa bête : Notez l'obstruction centrale dérisoire de l'ensemble : on doit être largement en-dessous de 10% Le même monsieur est revendeur des lunettes taïwanaises Long Pern : il les a montées en binoscope 2x100mm, parce que... pourquoi pas ? Pour ne pas en rester là, il nous propose ces autres binos, toujours à base de Long Pern, mais à 85mm de diamètres. Pour les p'tites b... budgets : Furetant à droite à gauche, je remarque qu'une poignée de visiteurs observent une scène distante avec une belle lunette sans renvoi coudé (donc à l'envers). Intrigué, je regarde à mon tour... ... et d'un coup de zoom, je dévoile la cible : c'est notre bon copain, le volcan Asama, qui nous dévoile son petit panache Ma petite famille a rapidement jeté son dévolu sur l'instrument ultime (une lunette de 40mm, bien sûr) : Avec Nyan Hello Kitty et ses copines en déco, comment résister ? Un concurrent de l'astrographe Redcat, peut-être fabriqué par la même compagnie (j'ai complètement décroché de l'astrophoto...) ? Tous ce merdier de câbles, qu'est-ce que ça me manque (pas) ! Voici une drôle de bête dont le principe et le fonctionnement m'ont immédiatement séduit, je vous explique le comment du pourquoi : Ce binoculaire mono-objectif possède deux oculaires de qualité - j'ai évidemment regardé dedans - et surtout, un zoom central qui agit en amont de ces derniers. L'intérêt ? Le champs apparent ne change pas, puisque les oculaires sont à focale fixe. C'est la focale de l'objectif qui s'adapte ; en fait, c'est un objectif zoom, comme on en trouve chez tous les fabricants d'optiques photographiques. Pourquoi est ce que "ça me parle" ? Parce que j'ai eu en tête, un temps, de me construire des jumelles sur ce même principe : à base de deux objectifs-zooms - peut importe la marque - associés à des oculaires fixes "grand champs" de qualité. L'idée était exactement celle exploitée par Svarowsky : disposer d'un instrument capable de changer son grandissement sans pour autant modifier son champs apparent. A l'usage, c'est très agréable et de fait, cet engin délivre de belles images sur toute sa plage de fonctionnement. En usage diurne, l'inévitable perte de lumière est insensible ; je ne l'ai pas testé de nuit. En parlant de jumelles, l'exposant de chez Fujinon ne pouvait pas ne pas produire la plus célèbre des BigBinouzes : les 25x150 à renvois coudés (à 45°) Elles auront fait fantasmer un paquet d'astrams amateurs de vision binoculaire ! Que reste-t-il de leur légende, aujourd'hui ? Que valent-elles, sur le ciel, comparées aux productions récentes venues de Chine (même estampillées sous d'autres cieux) ? J'ai pointé la forêt distante, de jour : l'image est propre, suffisamment corrigée du centre au bord pour qu'on n'y trouve rien à redire. Les soucis se devinent avant même d'essayer : d'une part, je ne me satisfait plus d'un champs apparent de 55°. Pour l'immersion, vous repasserez. D'autre part, pour exploiter pleinement un instrument doté d'une pupille de sortie de 6mm, vous avez intérêt à être le jeune propriétaire d'une île déserte ! Autant dire que ce n'est pas pour moi Quitte à choisir des binos à coulaires fixes, je préfère ce modèle : des Miyauchi 20x100 à objectifs Fluorite. Mon épouse ne s'y est pas trompée Le soir venu, nous sommes retournés dans notre auberge pour profiter de ses onsen, ou bains chauds : la Lune se couchant vers 1h du matin, je ne voyais pas l'intérêt de pointer mes jumelles dans un ciel au fond laiteux. A minuit pétante, je m'extraie sans bruit de notre chambre et retourne sur le site pour profiter - c'était le plan - de la matinée : j'avais prévu d'observer, entre autres, les trois comètes qui me narguent depuis quelques temps : Chemtruc-Gerasimenko, Atlas et Léonard (flemme de chercher leurs matricules complets). Belle idée, ruinée nette par la présence imprévue de nuages d'altitude : à peine sortai-je de la voiture que je découvre un ciel livide, blafard, loin des standards habituels de l'endroit. Les astrams du coin camping discutent, boivent thés sur cafés, se réchauffent l'âme et les doigts (il gèle, -4°C) en attendant l'éclaircie... qui ne viendra pas. J'ai quand même fait une photo souvenir. Ne vous laissez pas berner par toutes ces étoiles, l'APN est bien plus optimiste que l'oeil : Je suis dans l'angle rouge de l'image (pose unique de 30s, Sony A6000 à 800ISO et Laowa 4mm à F2,8) Fun fact n°2 : Dans mes pérégrinations nocturnes, je manque les dernières marches d'un escalier menant d'un parking surélevé à un autre et je me vautre comme une bouse, envoyant valdinguer la sacoche et ma lampe frontale dans la chute. Je n'avais pas pris une telle gamelle depuis longtemps et curieusement, je m'en suis relevé indemne. Nul(le) ne me vit choir, même l'honneur est sauf ! Au lever du soleil, la météo nous joue un dernier tour de cochon : les nuages se dissipent et très vite, le ciel dégueule de bleu marine ! Il nous nargue, cet enfoiré Voici le seul instrument d'astram amateur que j'aurai photographié : Quand j'aurai des bouffées de nostalgie en repensant à mes années passées d'astrophotographe, je me perdrai dans l'usine à gaz dévoilée par cette image : ça me calmera illico Dimanche Perdus au milieu des exposants professionnels, une poignée d'amateurs offre à la foule avide un peu de matériel à vendre, d'occasion. J'ai repéré deux instruments vraiment intéressants : Le monsieur qui pète propose une paire de Miyauchi Binon 7x50 à 66,5° de champs apparent. Vous les voyez, posées sur la toile cirée ? Je les ai essayées (de jour) : elles sont flatteuses et confortables (le relief d’œil est important, inutile de se visser les oculaires dans le crâne), l'image est claire, contrastée et bien définie jusqu'aux deux tiers du champs ; au-delà, la courbure impose de jouer de la mise au point. C'est net au centre OU c'est net au bord, il faut choisir ! Affichées à un prix de 400 euros, j'aurais pu vouloir les acquérir... mais l'exemplaire vendu souffre d'un défaut d'alignement marqué, dans le sens vertical (évidemment) : j'ai mal au crâne rien que d'y penser. Vous avez également noté la présence d'un télescope Ninja "320" de diamètre éponyme ? C'est mon second choix du jour : à 1000 euros et des brouettes (140.000 yens), l'affaire est là, sous mon nez. Le miroir est propre, l'ensemble a vécu mais se comporte comme il se doit, tout est fonctionnel : si je n'étais déjà équipé, j'aurais peut-être craqué... Fun fact n°3 : lors de notre dernier passage dans le carré dédié aux exposants, je remarque un attroupement. Un homme, la trentaine, semble être le centre d'attention d'une petite foule de sympathisants qui l'interpellent, essayent d'attirer son attention ou se prennent en selfie avec lui. je ne l'ai jamais vu, ni de près ni de loin. Mon épouse est ailleurs, elle ne peut pas m'affranchir, donc... je m'éloigne, à contre-courant des gens qui m'entourent. Le gaillard le remarque, j'imagine (lui tournant le dos, je ne l'ai pas vu venir) : il me rattrape, commence à me parler en japonais : lorsque je lui souris sans répondre, affichant l'air niais du type qui n'a pas saisi un traître mot du discours énoncé (je suis bon à ça), il passe à l'anglais et m'explique qu'il possède une chaine Youtube, très populaire dans le monde de l'astronomie ; "I am Bosque Rico", répète-t-il deux fois, comme si j'allais vivre une épiphanie à l'évocation de son nom. Je souris de plus belle, hochant la tête en signe d'approbation (au Japon), n'ayant pas la moindre idée de ce que je suis sensé répondre. Qu'à cela ne tienne : il me tend sa carte, que je prends sans précaution (à une main, la méchante faute d'étiquette, j'aggrave mon cas). Sans doute décontenancé par mon silence insistant (bordel mais QU'EST-CE QUE TU VEUX QUE JE TE DISE ?), il me salue d'une courbette et retourne à ses occupations relationnelles, me laissant enfin vaquer aux miennes. Un zeste intrigué, je suis allé voir sa chaine : c'est ici. Je n'ai rien visionné, vous me direz, ok ? Il est temps de conclure J'ai apprécié l'évènement ! Bien sûr, la météo nous a trahis, mais j'étais en manque de sorties et de rassemblements : depuis deux ans, la Covid19 nous pourrit la vie et réduit nos expériences sociales à leur portion congrue... j'en ai un peu ma claque. Voir une foule de gens réunis par une même passion -la mienne, en plus - m'a fait du bien. Je n'ai rien observé, je n'ai rien acheté, je n'ai guère discuté mais peu importe : j'y étais ! Et puis, n'oublions pas l'essentiel : J'ai (virtuellement) serré la louche de Rico Bosque ! Lui et moi, on est quasiment cul et chemise maintenant ! Et ça, franchement... ... qui peut s'en vanter ici ?? (*) de calmars frits

Juste avant que les nuages ne reviennent, une Lune sur lit d'étoiles, ce que je cherchais à faire. J'aurais aimé faire la même plus large champ avec les Pleïades mais les nuages n'ont jamais été coopératifs. Pas de montage, juste un ajustement de l'histogramme pour faire monter les étoiles.

Nostalgia? ;-) Ce genre de remarque n'est pas très rationnel: VNA je vais me permettre de t'expliquer ce que j'ai en tête quand je dis ça si tu veux bien. Cette photo, à la fois ressassée et extraordinaire, te montre un type qui non seulement est allé physiquement sur un autre corps céleste, la Lune en l'occurrence, mais qui y a bossé très dur, y a réellement vécu ( "bivouac sur la Lune" pour reprendre le titre d'un célèbre bouquin polémique) et s'en est littéralement imprégné. On sent qu'il a mouillé le maillot et a éprouvé ,charnellement je dirais, un autre monde . On est au delà de la simple contemplation par un hublot, fut ce un de l'ISS, même si c'est en soi déjà merveilleux. Et c'est ça qui me touche profondément, le côté immersif, tactile, sensuel qu'on du éprouver les explorateurs d'Apollo malgré leurs lourds scaphandres. Une simple anecdote, le type en question dans la photo, il a fait ce qu'on a tous fait un jour dans un endroit que l'on a voulu marquer, parce lieu d'une expérience émotionnelle forte. Il s'est baissé et a tracé le nom de sa fille dans la poussière lunaire. Tant que des êtres humains auront ce genre de réaction, mieux que planter un drapeau ou pondre un discours empesé face à une plaque commémorative, je me dis que tout n'est pas perdu. C'est cette attitude qui est évoquée dans le film First Man quand Armstrong dépose le bijou portant le nom de sa fille décédée au fond d'un cratère anonyme. Et ça c'est sur un autre monde bon sang! Et c'est tout ça que je ressens devant la fameuse photo du type extenué, bien dégueu de poussière et de sueur après sa mission durement accomplie. Il y est allé, la bas, avec toute sa vie d'être humain. Et c'est un "là-bas", et pas un "nulle part" comme peut l'être "l'espace" en orbite terrestre. Et c'était pas "avant", un ancien temps, dans des machines anciennes, c'est juste intemporel. Voilà ce que je voulais dire...

Bonsoir la revoici, la pleine bonne soirée

le contraire plutôt ! polo

Bonjour à tous, J'ai eu la chance de récupérer un CN212 qui m'a donné pas mal de fil à retordre pour le remettre d'équerre ainsi que la collimation en mode newton, en version cassegrain c'est la grande classe !! C'est encore plus compliqué quand on y ajoute un correcteur réducteur ASA 0,73 et des pixels de 2,9 microns avec une ZWO 462MC Bref mon voisin d'astro(Merci Vincent alias Vinzographe) me disait que que je suis entrain de faire un marathon avec des palmes, mais quelle intensité lorsque les premières images d'équerre que voici sortent presque parfaites Il y a encore des imperfections, mais ce que je veux vous montrer c'est aussi le potentiel énorme de l'imx462MC avec son faible bruit, la magnitude 17 est atteinte en 30sec. Pour ces essais je n'ai pas d'autoguidage, et mon traitement est assez sommaire, pardonnez moi les imperfections, ce sont mes premières images en CP Je suis parti sur des poses courtes de 10 sec, 300X10S pour NGC7331 Puis (et j'ai bien fait) des poses de 30x30 secondes, le signal est fort et le bruit est très peu présent Alors Voilà Ngc7331 , puis M33 et Abell262 en pose de 30sec. Une coquille lors de l'acquisition pour NGC7814 en fichier ser. Une petite surprise au rdv avec une SN, mais déjà répertorié depuis le mois de Juillet Voilà pour le partage Cordialement Boris

J'aime beaucoup les 10micron... J'ai une GM2000HPS II avec un RC de 400mm dessus et tout le matos (55kg) et je fais des poses de 10min sans guidage à 3200mm de focal. De loin la meilleure monture que j'ai eu:) Après pour les QSI je peux pas dire mais je pense que la mécanique est à la hauteur. Une image ci-dessous de 300s sans guidage...

Ou alors celui-ci, le premier et le dernier... Après l’EVA. Moins de poussière !

Bonsoir à tous, Je ne sais pas ce que vous en pensez ? De ngc4889 ? N'ayant rien à me mettre sous la dent pour l'instant en terme d'observation, avec ce temps humide. Je me suis mis à la composition LRGB d'une cible d'un mois passé. La couche luminance a déjà été postée. Elle a été prise avec l'asi2600 mono au foyer du T500 à f/3 (0.5"/px) La couche couleur est obtenue dans la même nuit avec l'asi533mc au foyer du T250 à f/4.5 (0.7"/px) en parallèle sur table équatoriale au T500. Chaque couche est prétraitée et traitée avec Siril. Le challenge et la motivation, viennent du travail avec Prism-10 et ses scripts pour faire la composition de ces deux couches. C'est expérimental et je dois certainement améliorer la technique. J'aime pas le fond de ciel au final... Je choisis de ramener les 2 couches à 0.5"/px. Je vais faire l'essai demain pour faire le contraire avec 0.7"/px sur chaque couche. Maintenant, "après coup", il y a cette information sur le net de ce trou noir hyper-massif découvert en 2016 pour ngc4889... Voici le lien pour la lecture : https://flatimes.com/scientists-spotted-huge-black-hole-21-billion-times-bigger-than-sun/ C'est bon de partager ce que l'on fait, Marc.

Rien que pour toi Bernard , le Mont Blanc et le quartier de Lune, des nuages noctiluques et un coucher de soleil en descente vers Palma…

Belles images Bernard et une animation sympa Toi aussi tu fais dans le zigouigoui baladeur sur les anims sauvages ? Bonne soirée, AG

Très belle ambiance, bravo Bob

Extra Loup pour une Lulu!

Magnifique ! Elle m'a fait rêver aussi à l'époque argentique: je l'avais découpée dans un magazine pour la coller en couverture d'une de mes K7 préférées

Ben oui, elle est très bien ta digiscopie !

tu as un super balcon à 39000 pieds ! bravo olivier ! très belles photos ! paul

Très belles images bravo !!

Très belles ces ombres japonaises Bonne soirée, AG

Ah ah j'étais sûr que tu passerais par ici surtout quand Olivier évoque l'EM-400 !

vu la durée du voyage, il faudra emmener pour chaque marsionaute 4 doses de rappel pour le covid

Super Daniel Dans Astrophoto, quelqu'un cherche un costume d'astronaute, tu devrais faire une offre Bonne soirée, AG

Pour l'heure (et ça risque de durer), c'est bien le temps des astronautes d'opérette...

Bon j'ai pris du temps pour finir mais on touche ai but Récup de ctp de bouleau de qualité pour de beaux tourillons Les bords ont été usines à la défonceuse avec un gabarit pour un fini parfait. Réalisation du rocker en alu inspiration skyvision. Montage a blanc ce soir avant perçage des fixations. Ça a de la gueule Bon je sais le barillet est dans le mauvais sens mais c'est pour la photo Il ne reste plus que la base. Aux spécialistes quel besoin de rigidité pour cette dernière ? J'ai vu de tout, du plateau plein au triangle minimaliste. Des avis ? A bientôt pour la première lumière cette fois.

Bonsoir, Halton Arp en 1966 (c'est déja bien loin...) a repris les plaques photos de Palomar, il a fait des choix probablement. Ah oui, 2.5 c'est un peu trop "agité" à cet échantillonnage, heureusement c'est un niveau rarement atteint depuis le Grand Nooord, quand il ne pleut pas ! Ah...Iris, je n'ai jamais fait d'infidélité... Pour le bruit : je suis à 35 ADU sur une brute unitaire de 250 secondes, essentiellement du bruit photonique en région Lilloise, et il reste 4 ADU de bruit résiduel sur l'image composite. Bref "ça baigne" avec la ST10XME. J'utilisais un viseur Losmandy sur l'AP, mais il fallait attendre la nuit bien avancée pour trouver la seconde étoile, voire la 3eme. Ici c'est du gâteau, au crépuscule la Polaire est bien visible, rapide, simple, efficace. Un viseur HEQ5 coute 45 euros, avec le renvoi coudé ça fait 150 euros. Bien sur le RAPAS c'est "autre chose", c'est AP, avec le prix en conséquence. Mais finalement le résultat MES au viseur HEQ5 ne doit pas être très différent. Oui, testé et approuvé ! r Christian

Vers la fin des opérations autour du forage "Zechstein" Le plan d’activité des 10 au 11 novembre n’avait malheureusement pas été transmis au rover en raison d’un problème de communication au niveau DSN (Deep Space Network), et l’équipe a donc récupéré ces activités perdues dans le plan du week-end des 13 et 14 novembre.. Le labo de minéralogie CheMin avait été livré en échantillon le 9 novembre. Le labo SAM (chimie moléculaire, élémentaire et isotopique) a été alimenté le 14 et dès le lundi 15 l'équipe scientifique attendait avec impatience les résultats de l’analyse. En fonction des résultats il s'agit de passer au prochain plan à la caractérisation du reste d'échantillon non utilisé (déversé au sol) avec les instruments de contact et la ChemCam. MASTCAM – 14 NOVEMBRE 2021 (SOL 3297) : Trappe ouverte pour l’une des deux entrées du Labo SAM HAZCAM AVANT – 17 NOVEMBRE 2021 (SOL 3300) : Le trou de forage est visible au centre de l'image NAVCAM - 17 NOVEMBRE 2021 (SOL 3300) : Le corridor "Maria Gordon" Vers l'Est - Le "Mont Rafael Navarro" occulte le Mont Sharp Au Sud-Est - on ne s'en lasse pas.. PANO MASTCAM – 9 NOVEMBRE 2021 (SOL 3292) – Kevin Gill : Vue du mur stratifié côté Est du rover – contreforts du "Mont Rafael Navarro" situé à l'arrière Le 17 novembre Lucy Thompson, géologue planétaire, a écrit : "Les équipes des instruments SAM et CheMin ont décidé qu'elles n'avaient pas besoin d'analyses supplémentaires de l'échantillon de forage "Zechstein". C'est au tour des instruments MAHLI et APXS, montés sur le bras, de goûter aux restes d’échantillons. L'échantillon de Zechstein contenu dans le réservoir du foret sera déversé sur le sol, imagé par MAHLI et ensuite analysé par APXS pour en déterminer la composition. La composition du matériau déversé peut être comparée à la chimie de la surface du substratum rocheux brossé (avant le forage) et des résidus entourant le trou de forage (à acquérir) pour rechercher des variations avec la profondeur. Les données de composition peuvent également faciliter l'interprétation des données CheMin et SAM." "L'équilibre des besoins en énergie de toutes les observations souhaitées, ainsi que des activités futures, fait toujours partie du processus de planification. La journée d'aujourd'hui n'a pas fait exception à la règle et l'équipe a dû soigneusement établir des priorités quant aux autres observations scientifiques à inclure dans ce plan, afin de s'assurer que nous disposions de suffisamment d'énergie pour nous éloigner de l'emplacement de Zechstein dans le plan suivant. Curiosity est stationné dans une zone où l'on s'attend à une transition entre des roches argileuses et sulfatées, et près du contact non-conformable avec les grès du groupe de Siccar Point qui recouvrent le Fronton, il n'y a donc pas de pénurie d'observations sur notre liste de souhaits ! L'équipe scientifique a choisi de poursuivre l'imagerie Mastcam de Siccar Point, du corridor Maria Gordon et de la base du fronton, qui sera également imagée avec la ChemCam RMI à longue distance. À proximité du trou de forage de Zechstein, ChemCam interrogera la chimie de la cible rocheuse voisine, "Burrell", avec son laser, et effectuera une spectroscopie passive sur les résidus de forage de Zechstein." CHEMCAM RMI - 10 et 11 NOVEMBRE 2021 (SOL 3293 ET 3294) : Vues rapprochées du mur du Fronton avec la caméra longue distance RMI (Remote Micro-Imager) de l'instrument ChemCam MASTCAM – 15 NOVEMBRE 2021 (SOL 3298) : Vues de roches et affleurements rocheux autour du rover RECTIFICATIF au message précédent - Le "Mont Mercou" est situé à l'extrême gauche de l'image - Sean Doran a rectifié l'image de Phil Stooke qui s'est planté sur ce coup (fait rarrissime)..