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Affichage du contenu le plus aimé le 27/01/2024 dans toutes les zones

  1. 21 points
    bonjour à toutes et à tous ! Avec l'odeur du lisier , les coups de klaxons et les détonations du canon à corbeaux , il fallait sortir mais le ciel clair malgré le jet-stream très fort , j'ai pas pu m"empêcher de mettre le nez dehors ! CFF 300 f/d 20 asi 462c 54sers de 100s As4 + astrosurface baych ( wiener , wavelets local contrasye et balance des blancs ! 1 seul film sort du lot , donc pas de dé-rotation conditions : de v16h19tu à 17h48tu : à 17h44tu 100s : avec la perturbation sur la gauche : bon ciel à tous ! paul
  2. 15 points
    Bonjour, Voici une image tirée de la série de 104 SER d'hier soir, avec une vilaine turbulence ( gros Jet ONO), mais qui finalement était moins destructrice que les autres jours. Cette image est certainement ma meilleure de l'opposition ( c'est dire le niveau ) Quasiment la même longitude que l'image du 19, ce qui permets d'observer les changements d'aspect. Encore beaucoup de ser ( 104 ) en traitement avec AS4, je verrais pour la suite demain après le boulot ... Arno T250 Barlow TVx3+ tirage +adc + player one neptune CII (imx 464) f/d = 28 l'animation 2.8 mb , réduite pour cacher la misère 14.8mb avec des passages qui font plaisir
  3. 14 points
    Bonjour à tous, Une pleine lune de hier soir fraîchement sortie de l'horizon vers 19h00. J'ai repris ma technique de la vidéo de mon Lumix. 2000 images tirée d'une vidéo Full HD à 60i/s. 10% de gardées sous astrosurface. Fines ondelettes et un poil de déconvolution, contraste et réduction de 50%. C'est simple, c'est du bio. Je n'ai fait que ça hier soir, il fait encore très froid...on vas attendre pour sortir la grosse artillerie! Bon WE à tous. Thierry,
  4. 13 points
    Bonsoir, ( écrit un peu dans la foulée des prises de vues ) En fin d’après-midi le ciel était parcouru par des voiles nuageux à n'en plus finir. Jupiter haut dans le ciel a échappé momentanément à ces voiles mais ce fut pour une courte durée. L'histogramme s'est mis à faire du yoyo entre 40 et 80%. Le niveau de turbulence était jugé à 3/10, comme souvent. J'en ai profité tout de même afin de capter quelques films. Ensuite les brumes ont tout caché. J'ai fait varier très sensiblement le temps de pose unitaire, histoire de voir. A suivre... La bourde ce fut d'avoir oublié de mettre le Barlow. J'avais cadré sans Barlow pour mettre la planète sur le capteur plus facilement. Et ensuite c'est resté ainsi ! Donc avec un diamètre apparent d'environ 40 secondes d'arc, échantillonnage était de 0.21 arcSec/pixel. Ce qui nous fait des petites juju comme ça : Bon en bricolant avec les outils habituels d'AstroSurface V2, on va se permettre de grossir sur un autre film. Et ça semble un peu plus présentable. On verra plus tard si j'ai un peu mieux. De toute façon les prises de vues ont été interrompues bien avant l'arrivée de la Tache Rouge : les brumes ont gagné. JUPITER au Mewlon 250 au foyer FD=12 ADC caméra ZWO ASI462MC filtre anti-IR le 27 janvier 2024 16H53 TU Taille environ à 220% ! Bonne soupe, Lucien
  5. 13 points
    Bonjour à toutes et tous Afin d'améliorer un peu l'échantillonnage pour les conditions de ciel moyennes, j'ai acquis sur le fofo la P1 Saturn-C de @bretagne pour bénéficier de sa taille de pixel de 3,76 microns et contenir le sur-échantillonnage sur le bleu que donne les pixels de 2,9 microns de mon habituelle ASI662MC. J'ai pu faire entre les nuages une première lumière le 13 janvier, sur un ciel assez turbulent avec une forte humidité. J'ai pu tester un gain fort pour augmenter la vitesse d'acquisition autour de 90-100 fps avec mon fenêtrage (photo ci-dessous). J'envisageais aussi de tester un gain plus faible avec la même ROI pour une acquisition autour de 50 fps, mais les conditions ne me l'ont pas permis. De gauche à droite : Europe, Ganymède, Jupiter, Io (éphéméride Winjupos ci-dessous) G = 400, e = 11 ms (90 fps), ROI = 1216x728 Dérotation de 4 images de 1000 photos empilées. Le résultat était encourageant, surtout en considérant que cette prise fut faite "à la va-vite" (mise au point, réglage ADC, réglages d'acquisition, capture sans vérification de la collimation) à cause des conditions très moyennes. Samedi dernier (20 janvier), les conditions de ciel étaient fabuleuses, sèches, avec la GTR en début de nuit, et sans turbulence notable . Mais je recevais du monde à la maison, que je savais être très modérément intéressé par l'astronomie, surtout quand il fait froid (-2°C chez moi). Alors, j'ai fais tous mes réglages avant leur arrivée, et ai lancé mes acquisitions par série de 12 en automatique sur FireCapture, afin de seulement m'absenter pour relancer un nouvelle séquence. Je crois que j'ai eu eu raison ! De gauche à droite : Europe, Ganymède, Jupiter, Callisto, Io (éphéméride Winjupos ci-dessous) G = 350 (58%), e = 18 ms (55 fps), ROI = 2080x1080 Dérotation de 16 images de 1200 photos empilées. J'ai pu prendre 60 vidéos de 80s, et en ai gardé 48. Les 12 jetées sont dues à une fibre, probablement sur le primaire, pile sur Juju. N'étant pas là, je n'ai pas pu corriger la dérive de suivi pour l'éviter. J'envisage d'essayer ma première animation sur la totalité que j’ai gardée, et de déroter plus d'images, pour voir. Config : Mewlon 210, ADC, caméra P1 Saturn-C, Filtre IR block, monture EQ6R Pro, Barlow 2x Televue, tirage pour f = 4680 mm (f/22,29), E = 0.166 (+12,8% de sur-échantillonnage sur le bleu) Acquisition : FireCapture 2.7.10 Traitement : AS!3, AstroSurface U5-Urania, Winjupos, Photoshop Cordialement, Stef. P.S. : prochaine étape, intégrer dans ma configuration optique une platine X-Y pour compenser les approximations de collimation. Mais je ne sais pas si je pourrai la tester cet hiver, car la grosse devient petite
  6. 12 points
    Bonsoir, Quelque informations concernant AstroSurface. J'ai décidé de reprendre le module ANALYZE-REGISTER. Celui utilisé pour les empilement planétaires ou stellaire sans Rotation de champ. Notamment pour améliorer le résultat, sa vitesse d’exécution, pouvoir faire des batch (traitement pas lots de fichiers). Au vu de la complexité de ce module, il faudra beaucoup de temps afin d'y arriver : le batch c'est le plus simple à faire. En parallèle je rajoute donc des améliorations et des compléments à AstroSurface. D’où une nouvelle version AstroSurface V2 du 27 janvier 2024. http://astrosurface.com/ Les ajouts en modifications sont expliqués tout en bas du lien ci-dessous. Voir aussi dans le logiciel. menu : About et What's new. NB ; si l'on sait faire on peut télécharger la nouvelle version et remplacer uniquement le fichier Astrosurface.exe. Bon ciel à toutes et à tous. Lucien
  7. 12 points
    Bonjour, Du ciel bleu hier soir mais de la turbu à gogo avec ce fichu jet stream qui fait tout trembloter A son lever, j'ai eu une conjonction Lune - projo que j'ai enregistrée au mak 90 et APN et un peu plus tard une vue de notre satellite tout seul enfin, un Jupiter qui a morflé à cause de la turbulence. voila la moins pire prise au TN192 F/D:20 environ Bon aprem' Glb
  8. 11 points
    Bonjour à tous, après une longue période sans image, entre intempéries, vent et froid, le ciel parisien était dégagé. Seul bémol, la Lune était pleine à presque 99%. Qu'à cela ne tienne, équipé du L-Extreme, je suis allé rendre visite à IC434, la nébuleuse à tête de cheval? Voilà une image sans prétention mais qui fait du bien après une absence d'image. Pour la technique : FMA180 + POA ARES-C Pro + L-Extreme 26x300s traitées sous SIRIL et PIX. Bon ciel à tous Olivier
  9. 10 points
    Bonjour, Je vous propose aujourd'hui un long compositage sur ... l'amas DoDz 1 dans le Bélier et quelques tâchouilles de fond de ciel Au départ, j'avais espoir de capturer la comète périodique 39P/Oterma donnée à la mag 21.1 (le 05 janvier dernier), passée au périhélie le 10 juillet 2023 puis au périgée 5 mois plus tard. Pas facile à cette magnitude mais je pensais le challenge atteignable, pour paraphraser @exaxe17, moi aussi : "j'aime bien tenter des trucs! sur un malentendu cela pourrais passer un jour!" 39P était alors observable pendant près de 5h et, en plus, elle se déplaçait très lentement (0.02"/min) ce qui facilitait grandement l'analyse de l'image compositée sur elle ! Malheureusement, elle ne ressort pas malgré le long temps d'exposition, je suis donc déçu et, en même temps, content d'avoir tenté le coup quand même histoire de n'avoir aucun regret ! A défaut de comète, le compositage montre les traînées de deux astéroïdes de mag 18 à 18.5, et donc en vedette l'amas DoDz 1 (groupe d'étoiles à gauche de l'astéroîde Seine) ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Nuit du 11 au 12 janvier 2024, de 17h29 à 22h32 utc 141 poses de 2min à -15°C, Temps d'intégration de 04 h42 min Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2"/pixel 39P/Oterma se trouve dans le cadre dessiné au milieu de l'image. La magnitude limite du compositage est vers V=20,6, çà s'est donc joué de peu, sans doute à cause de la forte humidité de la nuit Si on regarde de près, il y a un vague signal à la position attendue : mesuré à V=21,6 mais c'est tellement dans le bruit de fond qu'il est totalement impossible de valider une telle détection... A moins de 10° de là, brillait fièrement le coupable principal de cet échec : la planète Jupiter comme pour me narguer En effet, si elle est devenue aussi faible c'est parce que le 12 avril 1963, la comète est passée à 0.095 ua de Jupiter à peine, ce qui a eu pour conséquences : d'augmenter la distance périhélique de 3.39 à 5.47 ua, et la période orbitale de 7,9 à 19,4 ans Avant cet évenement, c'était une comète nettement plus accessible ! Quand elle fut découverte en 1943, elle était de magnitude 15, sa période était alors de 8 ans seulement. Elle fut d'ailleurs observée aux deux passages suivants, en 1950 puis 1958. Mais la comète n'a pas été retrouvée lors de son passage suivant, en 1983, et finalement imagée lors de celui d'après, en 2002, mais à la magnitude 22 ! Pour ce passage, elle a été observée dès la fin 2019, mais totalement hors de portée de nos instruments amateurs, à la magnitude 24 Ce début d'année représentait vraiment la meilleure opportunité, pour ce passage, mais c'était un poisson trop gros un astre trop faible pour mon T20cm Je l'avais déjà tentée en septembre 2021, sur 3 nuits consécutives, mais sans résultat probant... On ne gagne pas à tous les cas, il faut savoir l'accepter en attendant de gagner au loto pour monter en diamètre Très bon week-end à toutes et tous
  10. 10 points
    Salut la cie, bon c'était pas terrible, beaucoup de mal pour me décider sur la mise au point déjà... Avec la caméra au foyer du scope, ça s'améliorait, j'ai donc tenté ensuite avec la barlow. Animation 1 : Cassegrain de 250mm + ASI662MC au foyer. 17 sers de 90s de 20H44 à 21H10 local ( expo 8ms, 10000 images par film ). Traitement Astrosurface. Gif à la taille d'acquisition : Animation 2 : barlow Antares 1,6x. 8 sers de 90s de 21H17 à 21H30 local ( expo 15ms, 6000 images par film ). Je vous propose quand même le gif à la taille de 100% par curiosité : Version à une taille plus raisonnable :
  11. 10 points
    bonjour les amis et bonne annee a tous il n est pas trop tard !! enfin un ciel clair depuis quelque jours avec beaucoup de turbulences on peux pas tout avoir mais on fait avec une jupiter avant qu elle soit trop loin et une lune qui commence a devenir interessante doctelescope 460 f 4 asi 533 mc et 290 mm barlow 2.7 ed j estere que ca vous plaira bonnes soirees astro a tous!!
  12. 9 points
    Hommage en images diverses, d'été, de printemps ou d'automne, aux choses du ciel et de la Terre aussi ,quand elles semblent reliées au ciel. Un pêle-mêle de souvenirs et d'instants passés à l'affût de moments ressentis comme uniques. Hommage bien sûr à Elvis, dont citer ensuite le patronyme reste superflu, tellement il est unique.... 🙄👆😲📷🥂
  13. 8 points
    Bonjour, M46 a ce petit truc en plus, je trouve, avec sa Np au coeur de l'amas qui le rend particulier. Après un premier essai il y a pile 2 ans : qui m'avait laissé sur ma faim à cause de la forte turbulence lors des prises de vue, j'avais à coeur d'y retourner pour refaire le champ dans de meilleures conditions J'ai commencé à guetter les opportunités dès le mois de novembre, mais les nuits hivernales à la fois dégagées et stables ne sont pas légion et il a fallu être patient... Après une première nuit lors de la lunaison de décembre où j'ai cru que c'était bon mais durant laquelle la turbulence s'est malheureusement assez vite dégradée , la libération est venue en une seule nuit salvatrice durant la lunaison de janvier 2024 ! Je suis donc heureux de vous présenter la version 2023, avec des poses de 20s au lieu de 02min et en ayant donc filtré les nuits calmes (à regarder en pleine résolution ) : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering pour 1 pose sur 2 Sur 2 nuits durant 2 lunaisons : 18/19 décembre 2023 et 11/12 janvier 2024 608 poses de 20s à -15°C, Temps d'intégration de 03 h 22 min 40s Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage natif : 1,25"/pixel Pour rappel, l'identification des AO/Np du champ : Très bon week-end et bon ciel
  14. 8 points
    Curiosity progresse en direction de l’Ouest et de la crête ! Deux nouvelles étapes qui dirigent Curiosity vers l’Ouest en approche de la crête "Gediz Vallis" : 22 mètres le 24 janvier et 33 mètres le 26 janvier. Finies les fissures polygonales de "boue séchée" des deux étapes précédentes, le rover découvre de nouvelles roches dont la surface est constellée de nodules granuleux que l’équipe nomme des "pois" (voir les images plus bas). En l’occurrence il s’agirait plutôt de "pois cassés" ... mais bon, on va pas chipoter. Ce qui demeure toujours surprenant depuis le début de cette aventure, c’est l’infinie variété de structures que présente le substrat rocheux en surface. Il suffit de rouler sur deux ou trois dizaines de mètres pour découvrir de nouvelles formes, de nouveaux dessins de nodules, des stratifications diverses et variées que toutes sortes d’évènements catastrophiques ont modulé : les changements/bouleversements climatiques successifs, le volcanisme, les bombardements météoritiques, l’érosion éolienne, les "vallées de débâcle", cataclysmiques coulées d'eau et/ou de boues qui ont creusé la surface.. autant de péripéties subies par cette planète depuis 4 milliards d’année. Ceci d’autant que la tectonique, quasi absente sur Mars, n'en a pas effacé les traces (comme elle a pu le faire sur Terre). Au final Mars est un "paradis" pour les géologues, mais un paradis rendu très complexe à interpréter compte tenu de la diversité des altérations connues par ces terrains au fil de millions/milliards d’années. L'aspect le plus marquant de la géologie martienne est probablement la forte dissymétrie morphologique et topographique qui existe entre l'hémisphère sud et l'hémisphère nord. Dans la région australe, on trouve des terres très cratérisées (et donc très vieilles), qui se situent plusieurs kilomètres au-dessus du niveau de référence. Au contraire, l'hémisphère nord est caractérisé par des plaines mornes et jeunes, qui s'étendent quelques kilomètres en dessous du niveau de référence. La planète Mars est donc divisée en deux moitiés bien distinctes. La frontière qui sépare les jeunes plaines du nord des vieux plateaux du sud ne correspond cependant pas à l'équateur. La limite est un grand cercle, incliné de 35° par rapport à l'équateur martien. Dans chaque hémisphère, il existe donc des exceptions à la dichotomie. POSITION AU 26 JANVIER 2024 (SOL 4078) : Par kymani76 : CONTEXTE : Première étape : HAZCAM AVANT – 24 JANVIER 2024 (SOL 4076) : Les "pois" granuleux sur les roches apparaissent sur toutes les images NAVCAM – 24 JANVIER 2024 (SOL 4076) : MASTCAM – 24 JANVIER 2024 (SOL 4076) : Partout des nodules informes bizzaroïdes : Je cite Michelle Minitti, géologue planétaire : "Nous sommes arrivés à un espace de travail avec un substrat rocheux délicieusement parsemé de caractéristiques résistantes dont l'aspect granulaire et la couleur grise étaient suffisamment intrigants pour justifier l'attention de l'APXS, de la ChemCam et de la MAHLI. ChemCam ciblera l'une de ces caractéristiques, "Tehipite Dome", tandis que MAHLI et APXS cibleront une autre caractéristique sur le même bloc, "Sierra Columbine", après que DRT l'ait effleurée. Lorsque nous étudions de telles caractéristiques, plus il y a de données, mieux c'est ! ChemCam a également planifié l'imagerie à longue distance de deux des éléments qui dominent notre horizon - la butte "Kukenan" et la crête "Gediz Vallis". La Mastcam s'est jointe à l'imagerie de la crête Gediz Vallis chevauchant la zone ciblée par la ChemCam pour fournir un contexte et une couverture supplémentaire. Les autres mosaïques prévues par Mastcam se sont concentrées plus près du rover, capturant différentes structures et caractéristiques d'intérêt. "Frozen Pass Lake" examine les bandes claires et foncées que nous avons explorées de notre point de vue actuel. "Rough Spur" montre une veine presque verticale qui divise nettement un bloc de roche. D'un côté de la veine, la roche présente de fines couches, mais de l'autre côté de la veine, la roche est dépourvue de structure. Le bloc rocheux "Mule Ears" présente de multiples veines subparallèles qui s'étalent astucieusement en éventail à travers le bloc". MOSAÏQUES MASTCAM - 24 JANVIER 2024 (SOL 4076) - Neville Thompson : Deuxième étape : HAZCAM AVANT – 26 JANVIER 2024 (SOL 4078) : NAVCAM – 26 JANVIER 2024 (SOL 4078) : Curiosity se dirige vers une élévation de terrain qui masque la crête "Gediz Vallis" Gros plan de l'élévation de terrain
  15. 7 points
    Bonsoir, A moins de 3 semaines d'intervalle, nous avons shooté, mon ami et voisin @FranckiM06 et moi-même, le fascinant vagabond intergalactique NGC2419 avec nos setups respectifs : * TSA 120 et ASI2600MC+L-Pro (56 poses de 3 min): * et Quattro 200mm + ASI294MC-Pro et simple IR-cut (82 poses de 60s) : Franck a eu l'idée de fusionner la partie commune des deux images, et voici le résultat obtenu : C'est cool ces mises en commun d'images, je trouve Tout le mérite de ce traitement revient intégralement à Franck, je n'ai fait qu'envoyer l'image pour ma part Très bon week-end à toutes et tous.
  16. 6 points
    Bonsoir tout le monde, Encore une nuit très étrange avec une turbulence de fou qui pourtant laissait voir de beaux détails à l'acquisition. Malgré le génial @Lucien et son V2 (Aucune allusion à un quelconque missile ) pas de miracle la turbu gache tout... enfin pas tout quand même. Comme la dernière fois, j’étais obligé de refaire la MAP toutes les 3 ou 4 vidéos, je ne comprends pas bien pourquoi. J'ai fait un resize à 75% pour que ce soit un peu plus flatteur, bref on va attendre la prochaine bonne nuit Matos: C8 200/2000 + Barlow x2 (Avec du tirage surJupiter pour atteindre enivron F/D 26) ASI462MC + Filtre IrCut GreG. Tout d'abord, une animation d'environ 1h15 avec des conditions variables. 2 dérotations de 2 et 3 photos, je n'ai pas réussi à en mettre plus car les photos étaient trop mauvaises. On bascule sur une mosaïque de Petavius et Langrenus à la Barlow x2. (resize à 60%) Et enfin 1 photo, mal orienté mais je l'aime bien comme ça
  17. 6 points
    ... et badaboum, la protu du jour !!!! Un formidable jet de matière parallèle au limbe solaire. L'ensemble couvre un peu plus de 30° de la périphérie, ce qui est assez remarquable. Bien d'autres éjections sont visibles mais celle-ci, quoiqu'un peu moins lumineuse, les écrase toutes par ses dimensions. Mais punaise, que ça évolue vite !!!!
  18. 5 points
    bonjour à tous, voici donc une image de Abell 85 ou CTB1 (ou nébuleuse Medulla) , un rémanent de supernova se trouvant dans la constellation de Cassiopée faite le 14 et 15 Aout dernier. un objet plutôt faible car malgré le binning x2, les 7h30 de poses en Halpha et le beau ciel depuis l'observatoire Sirene sur le plateau d'Albion; le signal reste plutôt réduit. Atik460ex + filtres HaRVB astronomik + fs60 à f/6.2 sur GP-DX autoguidage en // avec zwo178mm + zwo30F4 Ha 6nm : 45 x 600s en binning 2x2 R : 5 x 180s en binning 2x2 V : 7 x 180s en binning 2x2 B : 6 x 180s en binning 2x2 prétraitement imageviewCA traitements iris, graXpert (fonctionne super bien!), photoshop annotation siril : a+ stéphane
  19. 4 points
    Une nouvelle fonctionnalité vient d'apparaitre sur la dernière version de SharpCap : le live stack planétaire J'ai déjà utilisé cette fonction pour imager et traiter en direct Jupiter (idéal pour les observations publiques ) Mais j'ai pensé que l'on pouvait aussi l'utiliser pour faire une collimation en direct sur une étoile . De la même façon que l'on peut obtenir une figure d'Airy en traitant une courte vidéo avec Autostakkert , j'ai donc fait cet essai en direct avec SharpCap. J'ai fait un essai avec mon Schmidt Cassegrain de 150 mm , barlow X 2 et caméra Uranus c: Un ami astram a , lui aussi ,fait un essai avec son Schmidt Cassegrain 14 pouces , barlow X3 et caméra 585 mc : Il y a donc possibilité de finaliser sa collimation en quasi direct (il faut attendre environ 15 sec de stacking pour visualiser la figure d'Airy) Bonne soirée Laurent
  20. 4 points
    NGC 1514 est une nébuleuse planétaire située dans la constellation du Taureau, à environ 800-1520 années-lumière de la Terre. Elle a été découverte par William Herschel en 1790, qui la décrivit comme "une nébuleuse très singulière, qui ressemble à une étoile de la huitième magnitude, avec une atmosphère légèrement lumineuse, d'un diamètre de 2’. En effet, en lumière visible, la nébuleuse apparaît comme une boule de cristal, avec une étoile au centre, en fait, c'est un système binaire à longue période, d'approximativement neuf ans, qui a été révélé par des observations spectroscopiques récentes. L'étoile la plus chaude est la naine blanche qui a donné naissance à la nébuleuse. Elle a une température de surface de plus de 80 000 K, et émet un rayonnement ultraviolet qui ionise le gaz de la nébuleuse, le faisant briller. L'étoile la plus froide est une étoile normale, qui a une température de surface d'environ 10 000 K, et qui est plus massive, plus lumineuse et plus éloignée que la naine blanche. Elle a été enrichie en éléments lourds par le transfert de matière de la naine blanche lorsqu'elle était sur la branche asymptotique des géantes, avant de perdre son enveloppe. NGC 1514 présente une structure complexe et variée selon la longueur d'onde à laquelle on l'observe. En lumière visible, NGC 1514 est généralement cataloguée comme une nébuleuse ronde ou légèrement elliptique, avec une apparence amorphe et grumeleuse composée de nombreuses petites bulles. En infrarouge, le satellite Wise a mis en évidence la présence de deux anneaux de poussières qui entourent la boule de cristal. Ces anneaux sont invisibles en lumière visible, car ils sont noyés par l'éclat de l’étoile centrale. Ils sont probablement le résultat de l'interaction entre le vent stellaire de la naine blanche et le compagnon , qui crée des ondes de choc et des turbulences dans le milieu interstellaire. Et c'était le but de ma "mission", de détecter ces anneaux ! on ne rigole pas au fond ! j’ai utilisé un filtre IR850 et ma caméra Neptune imx464 ( elle possède une sensibilité élevée dans les infrarouges) pour tenter de voir ces anneaux… tel un gamin qui croit au père noël ! En utilisant des spectres et des images optiques à haute résolution, les astrophysiciens ont pu modéliser la nébuleuse à partir des cartes de position-vitesse de la ligne [O III]. Ils ont identifié plusieurs structures : une coquille externe sphérique, une coquille interne déformée par des protubérances, avec des bulles symétriques. Ils ont estimé les vitesses d'expansion et les âges cinématiques de ces structures, qui sont similaires pour la coquille interne et les bulles (environ 4000 ans), mais plus élevés pour la coquille externe (environ 5400 ans). Ils ont également proposé une structure en forme de tonneau pour expliquer les anneaux infrarouges, mais sans données cinématiques pour la confirmer. La structure de NGC 1514 témoigne de l'importance des binaires dans la formation et l'évolution des nébuleuses planétaires. Ces objets célestes sont souvent le résultat de l'interaction entre deux étoiles, qui modifient leur structure, leur rotation, leur masse et leur composition. Les binaires peuvent aussi influencer la morphologie et la chimie de la nébuleuse, en créant des jets, des disques, des lobes ou des anneaux. NGC 1514 pose un défi pour les modèles de formation des nébuleuses planétaires, car elle présente une symétrie sphérique, alors qu'on s'attend à ce qu'une binaire crée une nébuleuse asymétrique. De plus, la masse de la naine blanche est supérieure à celle d'une étoile typique, ce qui suggère qu'elle a subi un processus de fusion nucléaire inhabituel. Enfin, la nature et le rôle du compagnon restent à éclaircir, car il pourrait s'agir d'une coïncidence de position, et non d'un membre du système binaire. J’ai la chance d’avoir plusieurs caméras avec chacune des caractéristiques propres… La Saturn (imx533) est une caméra NB, elle possède un pic de sensibilité vers le vert/bleue, parfait pour faire de l’ OIII. J’ai utilisé l’Halpha sur cette même caméra pour le côté pratique... et faire du halpha avec ma couleur… C'est compliqué. La Uranus (imx585c) m’a servi pour la couleur, elle possède un bruit de lecture extrêmement bas ce qui est parfait pour les courtes poses. Et ensuite la Neptune(imx464) pour l’infrarouge 850, son pic de sensibilité est à 850 ! (+90%). C’est clair qu’il faut optimiser chaque détail…Le bruit de lecture est le bruit qui domine dans le domaine des courtes poses, c’est lui qui fera la différence au-delà du bruit photonique, donc comme le gain est élevé , ma dynamique s'effondre alors, il faut choisir, le capteur est plus susceptible de choper un poil de signal ! Après, c’est évident que pour une détection optimale de ces anneaux (la raison du choix de cette cible) ,il aurait fallu utiliser un filtre plus profond mais mes temps de poses unitaires aurait plus conséquents… Mon matériel ne me permet pas de faire de la longue pose… Je tenterai de nouveau cette cible avec un filtre IR1200 en poussant à 4-5s et je verrai bien. Ha oui, les Darks sont primordiales en poses courtes si vous ne voulez pas que votre PC hurle ou explose (20000 images (9mo)en mode rejet il faut 25h) …en somme 2h max. Matériels habituels : TN 300mm F4 orion (eq6) camera PlayerOne Saturn,Uranus et Neptune. filtres: Saturn imx533M: Oxygen:2sx4h+1sx2h Halpha:2sx4h Uranus imx585C color: 2sx5h Neptune imx484 Infrared ir850: 2sx4h Logiciels: Sharcap Pipp Siril Astrosurface Photoshop Aladin Ouf le speech est fini ! NGC 1514 en R (halpha+IR+R), V (OIII+V), B (OIII+B). C'est con, mais c'est pour être précis. et le planche qui detaille les données avec une comparaison avec Wise: Stephane
  21. 4 points
    Salut quelques Juju 2024-01-12-1755_6-U-L-Jupiter Taka 250 6334 hi hi hi celle la j'ai fais la balance de couleur les autres non 2023-12-19-2132_1-- 20 --L-Jupiter Taka 2506358_-WD- 2023-12-19-2157_4-- 9 --L-Jupiter Taka 2506358_-WD- 2024-01-23-1651_5-- 3 --L-Jupiter Taka 2506208_-WD- 2024-01-25-1611_7-- 9 --Jupiter Taka 250 De jour 2024-01-25-1642_6-- 11 --L-Jupiter Taka 250 2024-01-25-1649_1-U-L-Jupiter Taka 250 Voile voir brume 2024-01-25-1700_8-- 3 --L-Jupiter Taka 250 Bonne soirée et bon ciel a vous Sauveur
  22. 4 points
    Salut vous tous Question de participer! Je vous propose un zoom sur la Rosette en HaLRVB. Ça doit faire plus de 20 ans que je n'ai pas pointer cette objet! Avec trop peu de temps de poses. Car on a du temps gris presque mur à mur depuis le début de l'hiver. J'ai accumulé un peu de luminance et de chrominance le 6 janvier. Et, je viens d'ajouter un peu de Halpha le 21 sous des bourrasques de vent qui mon bousillés le 3/4 de mes brutes Donc, avec un peu moins de trois heurs d'acquisition pour cette trop grande Rosette! Voici ce que J'ai réussi à sortir CT16 f4 sur EQ8 ASI6200mm à moins 30 degrés Correcteur 1.0x Riccardi Design 3" Filtres ZWO LHaRVB= 60-50-30-30-30 minutes en bin 1x1 Autoguidage. ASI290mm mini sur diviseur optique. Avec PHD2. Acquisition ASIImg, prétraitement ASIDeepStack Traitement final PS CS3. Bon visionnement. Martin
  23. 4 points
    Bonjour, Mieux que les chaines Youtube ou Tiktok, voici une cible bien adaptée à la focale de la 80ED: la fameuse chaine de Markarian. La chaîne de Markarian est un ensemble de galaxies appartenant à l'amas de la Vierge. Elle doit son nom à Benjamin Markarian qui a découvert qu'elles étaient animées d'un mouvement commun. La chaîne comprend huit galaxies : M84 (NGC 4374), M86 (NGC 4406), NGC 4477, NGC 4473, NGC 4461, NGC 4458, NGC 4438 et NGC 4435. D'autres galaxies sont visibles dans le champ de vision mais ne font pas partie de cette association. Cette chaine est située au centre de l'amas de la Vierge, dont fait partie le Groupe local, où se trouve la Voie Lactée, notre galaxie. Il est situé dans la constellation de la Vierge et son diamètre angulaire est d’environ 8 degrés carré. Il comporte entre 1 300 et 2 000 galaxies, dont quelques-unes sont visibles avec un instrument amateur. Sa distance précise quant à la Terre de l’amas est mal connue ; une distance moyenne d’environ environ 20 Mpc (∼65,2 millions d'al) soit environ 65 millions d'années lumières est communément admise. L’amas est un agrégat irrégulier d’au moins trois sous-amas visuels centrés sur les galaxies M87, M86 et M49. Le plus important est celui centré sur M87, avec une masse approximative de 1014 M☉, ce qui est environ un ordre de grandeur plus élevé que les deux autres. L’amas est un mélange hétérogène de galaxies spirales et elliptiques. Actuellement, on suppose que les galaxies spirales sont distribuées en un filament allongé, environ dont la longueur est quatre fois plus grande que sa largeur. Les galaxies suivantes se trouvent dans l’amas de la Vierge : M49, M58, M59, M60, M61, M84, M85, M86, M87, M88, M89, M90, M91, M98, M99, et M100. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 38 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:
  24. 4 points
    @serge vieillard je fais référence au 400 du leader suprême, pas ceux de passage des touristes Observer Jupiter c'est pas barré du tout. Les fous sont ceux qui traversent l'existence sans admirer la beauté de la nature :))
  25. 3 points
    Bonsoir à tous, Je vous présente une image qui traînait sur mon disque depuis l'été dernière. J'avais eu l'occasion de pointer le RC400 sur M13 durant un peu plus de 6h avec un très bon seeing (1,5"). Voici l'image, 120x120secondes en L ET 3x26x120s pour le RGB. Je le trouve vraiment pas facile à traiter cet objet, j'espères qu'il vous plaira ;-) le lien astrobin: https://www.astrobin.com/zf8qxe/ Cordialement, Séb
  26. 3 points
    Salut tout le monde, après une légère absence, voici ma première petite participation en 2024 de la première pleine lune, prise au smartphone depuis la Guyane. Ce n’est pas grand chose, je n’ai pas pu sortir le scope depuis plus d’un mois avec le temps de m*rde qu’il y a en ce moment ( « saison des pluies » ) donc quand il y a eu une petite pause hier soir j’ai pu sortir en speed …
  27. 3 points
    Bonsoir tout le monde, Il ne fait pas beau, alors on s'occupe. Après une discussion avec @danielo autour de son futur Newton 250, je lui ai envoyé les fichiers prétraités de ma première cible faite depuis le Portugal : M101. Ce sont des données de très grande qualité, que je n'avais pas forcement bien exploitées à l'époque. Avec l'expérience de Dan sur les galaxies, et les évolutions des outils de traitement, il a réalisé une excellente image qui mérite d'être postée ici : Il faut aller voir la full, elle est très fine et le fond de ciel est très riche. Voici les détails techniques pour la réalisation de cette image : Telescope Newton 250 f/4 Axis instruments / Correcteur Televue Paracorr 2 / Filtres Antlia 36mm / Caméra ZWO 2600MM Pro/ Monture iOptron CEM70 - Juin 2022 Luminance 10h (poses de 3 min, gain 0, -10°C) / RGB : 3h par couche (poses de 3 min, gain 0, -10°C) Total : 19h Logiciels : Nina / APP / Siril / Pixinsight Voilà, j'espère que cette image vous plaira. bravo Dan Bon ciel Guillaume
  28. 3 points
    Bonjour. Malgré la Lune j'ai voulu faire un essai hier. Les opportunités sont en effet rares. Ca fait de l'entrainement... Finalement le résultat me paraît satisfaisant, avec des nébuleuses obscures il n'en serait sans doute pas ainsi. 100 x 2 min avis Asi 2600 MC Lunette 155 F8 avec réducteur 0.8 soit 992 mm focale. Prétraitement PI WBPP Traitement PI J'ai fait la totale en en essayant d'être modéré à chaque fois DBE (c'est le plus difficile à appliquer sans nuire à la nébuleuse avec l'énorme gradiant du à la lune) Image Solver SPCC BXT NXT Montée histogramme "à la main" Masque Luminance inversé pour appliquer ACDNR sur fond de ciel SXT Masque Starless luminance modifié avec RangeMask Traitement de la nébuleuse masquée avec Local Histogram Equalisation Dark Structure Enhance Unsharp Mask Color Saturation sur la nébuleuse. Merci de vos critiques. Marc.
  29. 3 points
    Bonsoir a tous une belle nuit du 26 janvier qui a commencé avec de la mauvaise turbu,puis ça s est calmé du jupi bio: une derot de 5 images et la petite anim winjupos: et une M42 que je ne pensais pas avoir comme ça depuis le centre de Paris: mak 127 barlowX2 et filtre ir cut pour Jupi,au foyer et filtre UHC pour M42 bon ciel!
  30. 3 points
    Tu les aimes vraiment petites alors. Disons plutôt vision à l'oculaire en somme. Il faut dire qu'il y a pas mal de choses à ne pas oublier quand on n'a pas un poste fixe. Et la Barlow c'est tout petit ! Merci Bernard ! Un peu dur quand même ? Surement. Cette autre vidéo c'est un peu plus doux. Merci. C'est du classique par chez moi que ce degré moyen de turbulence. On se fai t plaisir mais sans jamais pouvoir aller vraiment à fond d'un bon T250. Merci à toi. Probablement avec la Barlow je n'aurais pas eu mieux. C'est souvent le cas lorsque la limite est la turbulence. Lucien
  31. 3 points
    Bonjour à tous, En 2022, j'avais travaillé sur M33. N'étant pas satisfait du résultat, j'ai repris les données en ayant un peu + de bouteille on va dire (et pas qu'une ). La couche rouge a été renforcée avec du Ha. Ca donne ca : (allez vraiment voir la full, la résolution est plutôt bonne) Merci @danielo pour tes commentaires constructifs sur cette image. J'ai bien apprécié. Voici les détails techniques pour la réalisation de cette image : Telescope Newton 250 f/4 Axis instruments / Correcteur Televue Paracorr 2 / Filtres Antlia 36mm / Caméra ZWO 2600MM Pro/ Monture iOptron CEM70 - Aout 2022 Luminance 11h36 (poses de 3 min, gain 0, -10°C) / RGB : environ 3h par couche (poses de 3 min, gain 0, -10°C) / Ha : 4h10 (poses de 5 min, gain 100, -10°C) Total : 25h10 Logiciels : Nina / APP / Siril / Pixinsight / PS Lien AB : Bonne soirée à tous et bon ciel. Guillaume
  32. 3 points
    Punaise celle-ci est vraiment remarquable !!!
  33. 3 points
    Mais arrêtez de parler du matériel. Ce qu'il faut éviter, c'est qu'il fasse ses deuxièmes pas (les premiers ont été faits avec le 115/900) en observant des McDo. Eh bien à travers un 400 mm même basique, le ciel profond ne sera pas un McDo ! L'objectif, c'est les amas, les nébuleuses, les galaxies, les quasars peut-être. Les bras de M51, il ne les verra pas dans un 200 mm, il les verra au 400 mm (sous un ciel pas trop moche quand même). C'est M51 sans bras qui est un McDo, même vu à travers une lunette apochromatique (houlà, je vais me faire tuer... )
  34. 2 points
    Bonsoir à tous, @COM423 avait fait une très belle image de cet objet qui il est vrai est rarement imagé,cela m'a du coup donné envie d'aller lui rendre visite également. (Merci pour l'idée Stéphane ) C'est dommage d'ailleurs le champ est vraiment sympa avec de belles galaxies autour,il semble avoir un bel amas lointain que l'on voit en haut à droite du champ et une belle galaxie tourmenté en bas à droite (pgc 60645),peu d'infos à son sujet à moins que vous en ayez je suis pas du tout spécialiste.Elle mériterai une image rien qu'a elle mais va falloir une sacré focale inaccessible pour moi. Les conditions étaient nulles avec un vent de malade et des rafales à 70km/h (heureusement le mur du jardin protège bien du vent),des passages nuageux et bien sur la lune. Setup: Skywatcher 200/1000,Eq6,Zwo 294mc pro,filtre Idas lps p3.Guidage 224mc.Traitement Pixinsight. Version AB: https://astrob.in/3oi86y/0/ M40 80x240": La version annotée: Un Crop sur l'intrigante Pgc 40645: Et un bonus du début de soirée sous les nuages(sur quasi toutes les brutes) mais je l'ai traitée pour le fun Ngc654 40x240" (à refaire car il y a une belle nébulosité à côté invisible ici): Bon ciel!
  35. 2 points
    Bonsoir à tous, Février 2019 fut un excellent cru pour mon Newton de 410mm F/5.6 de construction perso pour l'optique et la méca. Comme quoi avec toutes les optiques que j'ai taillées je reviens sur des ouvertures un peu plus longues soit entre 5 et 6 et finalement la vision à l'oculaire de moyenne focale, ainsi que les images aux caméras sont différentes et fort appréciables ! Barillets simplifiés, plus d'astigmatisme lié aux miroirs minces, obstruction centrales faibles env. 20% , bref que du bonheur, je redécouvre le ciel et les planètes avec mon 305 mm F/6 entre autres à fort grossissement ! Ici un bel hommage offert par ce télescope qui m'a apporté tant de joie dès l'âge de 20 ans et qui j'espère, avec son nouveau propriétaire, donnera encore de beaux résultats . Barlow x 3 + caméra Basler 1920-155 + filtre rouge / nouveau traitement sous AS4 et Astrosurface (encore un immense merci aux développeurs ) Phil : photoastro.com Survol du limbe façon Apollo le même soir , j'adore cette perspective, l'angle du vue des cratères, les montagnes au raz du limbe ... Ainsi que Tycho et son pourtour cotonneux pris deux mois avant cette belle nuit
  36. 2 points
    Je suis sorti tout à l'heure avec le 300 mm (pour un truc idiot : dessiner NGC 2244 pour avoir un fond d'étoiles conséquent après avoir dessiné la Rosette il y a deux semaines, mais avec peu d'étoiles faute de temps). Sortie imprévue : je ne sors jamais quand c'est la Pleine Lune, mais c'est la possibilité de compléter le dessin qui m'a décidé au dernier moment. Pas de mise en température : c'est pour faire un dessin à faible grossissement. C'était marrant : sous un ciel de Pleine Lune et avec les lampdaires allumés, NGC 2264 et NGC 2244 ressortaient bien et m'ont rappelé mes observations au 115/900... J'en ai profité aussi pour m'attarder sur l'étoile multiple au cœur de l'amas (GAN3 + SLE 293, étoile au moins septuple, voire plus en l'absence de Lune). En fin de séance j'ai pointé la nébuleuse d'Orion à ×171 (cette fois je pense que le télescope était en température). Elle n'était pas visible en entier mais le cœur était néanmoins très intéressant, verdâtre, avec plein de détails. Le Trapèze était dé-hexuplé facilement : E et F vues immédiatement bien que faibles (F un petit peu plus faible que E). J'ai l'impression que le ciel était correct ce soir en terme de stabilité (les étoiles ne dansaient pas... après, je n'ai pas grossi à fond). Mais je pense que ce qui est décisif, c'est le diamètre : les écartements sont bien plus grands que le pouvoir séparateur, et de plus, même sous un ciel éclairé par la Lune, ces étoiles sont suffisamment brillantes pour apparaître.
  37. 2 points
    pas facile au telephone! il faut se dire que la prochaine sera mieux!
  38. 2 points
    Merci pour ton passage Alex et bravo encore pour ton image postée vendredi Merci beaucoup Guy, très bon week-end
  39. 2 points
  40. 2 points
    Vraiment belle surtout la dernière
  41. 2 points
    bonjour bernard et merci ! tu cliques sur convert/export/batch puis sur rotation white balance mono rgb 8/16bits tout en bas et tu as : bon séjour ! paul
  42. 2 points
    J'ai quand même une réserve sur le projet d'Émile. Il ne nous a pas dit (je crois) quelle était la qualité du ciel depuis son jardin. J'ai débuté sous un ciel avec 4,5 de magnitude limite (oui, je faisais des estimations). Je ne voyais qu'exceptionnellement la Voie Lactée. C'est pas terrible. N'empêche que ça m'a suffit à découvrir le ciel profond dans une lunette de 60 mm et, surtout, dans une 115/900 : M42 toute verte, le Double Amas si riche... ce sont mes 2è et 3è grandes émotions astronomiques après la Lune dans la petite lunette. Alors je me dis qu'un 400 mm sous un ciel même « moyen » a de quoi combler sont propriétaire. Mais si c'est un ciel urbain, avec une magnitude limite de 2 ou 3, ce n'est plus pareil. J'ai une petite expérience de l'observation en ville avec un 250 mm (le télescope de la fac où j'ai fait mes études) : là il faut sélectionner les objets. Pas les nébuleuses (sauf le cœur de M42 qui est un objet à part), pas les galaxies, mais les amas ouverts et même les amas globulaires (on résolvait les plus gros). Avec un 400 mm en ville, les petites nébuleuses planétaires seront intéressantes, mais ce sont des objets difficiles à pointer. Donc si c'est un ciel urbain, il faudra emmener le télescope le plus souvent possible en rase campagne. Et là, pour moi, ça coince : Émile a dû mesurer le coffre de la voiture, il n'a pas l'air bien gros, ce n'est pas un break. Pour aller en rase campagne, il aura besoin d'une deuxième personne pour déposer le télescope dans le coffre (probablement pas facile) et pour le conduire jusque là-bas. Les gens ne sont pas toujours disponibles, surtout si c'est pour rentrer à minuit voire plus (on ne part pas en rase campagne pour observer vingt minutes), surtout avec le prix du carburant. Si j'ai bien compris les explications d'Émile, il compte plutôt sur les vacances (il a parlé de séjours dans les Alpes il me semble). Mais en vacances, on a besoin d'autres affaires, est-ce qu'il y aura de la place pour un machin qui prend tout le coffre ? Et puis attention aux phases de la Lune. Pour moi, les vacances astro, c'est une cerise sur le gâteau, mais on n'observerait pas assez s'il n'y avait qu'elles. Bref : − Si Émile a son jardin sous un ciel correct (oui, la Belgique, je sais... mais ce n'est pas pareil à côté de Bruxelles qu'à côté de Virton, donc je dis « si »), son projet est viable. Il observera le plus souvent depuis son jardin et progressera rapidement. Et de temps en temps, quand quelqu'un sera disponible pour l'aider, ou pour les vacances, il pourra (peut-être) emmener le télescope sous un ciel top. − Mais si le jardin est en ville, les observations risquent d'être décevantes pour une bonne partie des objets. Il faudra le plus souvent partir en rase campagne, et ce sera très compliqué à mon avis.
  43. 2 points
    je ne sais plus trop les caractéristiques mais oui, il avait un télescope transportable sur véhicule. Les difficultés que nous avons rencontrées au Maghreb avec nos instruments l'ont été en Algérie à Djanet, où une simple paire de jumelles peut être considérée comme appareil stratégique. Pas facile à négocier, mais c’est passé - grâce au carnet ATA que nous avons fait établir au préalable. Mais c'était il y a déjà quelques temps. Depuis qu'on a rétabli de " l'ordre" dans cette partie du monde, ça devient difficile d'y vardouiller pour observer et on préfère désormais les Canaries - même si le charme est tout autre. Je reviens sur mon point de vue sur les UL/UC (à noter que tous les UC ne sont pas forcément UL, ex : Obsession) ces merveilleux engins permettent d'extraordinaires voyages lointains et des observations hors normes. C’est le but principal. Mais même sans cette approche, c’est aussi une solution quant aux réponses formulées, comme ici même, sur "gaffe, un 400 c’est lourd, c'est difficile à transporter, trimballer ranger, il est infiniment plus sage de viser le 250-300 -déjà belle bête, fo un chariot, te faire aider, etc...". alors oui, c’est léger - c’est fait pour - mais de-diou, que c'est foutrement pratique !!!! Avoir un biniou qui nous accompagnera partout sans compromis avec le reste des bagages, de la famille, avoir un truc généreux sans peur pour ses lombaires, je trouve que c’est un certain luxe que les solutions classiques ne permettent pas. Après oui, faut "dompter", apprivoiser la bête (ce qui n'a rien de monstrueux), mais ça en vaut diablement le coup. Ha oui, j'insiste sur ce qui vient d'être formulé : il y a un sacré gap en ciel profond entre 200 et 250. Pour moi dans cette catégorie de commencer à détailler ces objets (pas juste les pointer), le 250 est un seuil fantastique - tout en étant trés raisonnable.
  44. 2 points
    La sagesse d’encourager à ne pas l’être trop! Mais de toute façon quelle sagesse y a-t-il à se cailler les meules en plein hiver pour tenter d’apercevoir de faibles lueurs floues, ou passer ses soirées et ses nuits sur un balcon à imager encore et toujours Saturne ou Jupiter?? C’est complètement barré comme idée dès le départ!
  45. 2 points
    meu non de non !!!!!! Fô pas dire des trucs comme ça, aucun problème, ce fut tout simplement divin, et nous y allâmes à deux reprises - du temps de feu Kadafi. On a compris que c'est pas ton trip, mais je t'assure que trip il y a - tout comme je ne ressentirais aucun trip d'imager sur un balcon parisien, alors que certains à ce qu'il parait, excellent. Bref, t'aime pas, faut pas en décourager d'autres pour autant. et je note encore une fois l'immense sagesse des propos de Bruno
  46. 2 points
    Sans doute avez-vous déjà vu passer, ici et ailleurs, des images de la Lune aux couleurs très amplifiées ? Le résultat est plus ou moins heureux, esthétiquement, et plus ou moins sérieux, scientifiquement parlant : les couleurs saturées du sol lunaire, lorsque le traitement d'image est bien fait, renseignent les chercheurs sur la nature minéralogique du sol, elle-même liée à l'histoire géologique de notre satellite. J'ai déjà tenté, dans le passé, ce genre d'image. Et je ne suis pas le seul ! Me concernant, le résultat n'a jamais été bon, essentiellement parce que je partais de données basiques - un simple cliché - que je ne savais pas correctement traiter. Cette fois, j'ai utilisé plusieurs photographies séparées : les unes pour le travail sur la couleur, les autres (résultat d'une séquence de 86 images stackées) pour la résolution. Les trois images qui m'ont servi de fond coloré ont été enregistrées cette nuit - la Lune est pleine, ronde comme une queue de pelle - avec un Sony A6000 : je les ai brackettées à la prise de vue et, après un premier traitement sous Camera Raw, compositées dans Photoshop. L'image en "haute" résolution (le stack de 86 photographies individuelles) a été enregistrée avec un Pentax K1 en 2017 derrière une lunette Televue NP127. Partir des couleurs de la pleine Lune m'a permis d'annuler les effets de bords : j'avais remarqué, en travaillant seulement sur l'image de la lune gibbeuse du Pentax K1, une dérive colorimétrique vers le terminateur. Cette dérive - verte - est sans doute due à la sensibilité différentielle des pixels du capteur. Avec une Lune dont tout le disque est éclairé de façon à peu près homogène, ce problème disparaît. En combinant les trois résultats obtenus, j'obtiens une pleine Lune très saturée, mais équilibrée et peu bruitée, ce quii était le but recherché : (Image au tiers de sa taille d'acquisition) Il y a toujours un effet de bord le long du limbe, mais il est suffisamment fin pour ne pas impacter le résultat. L'image finale est l'association des couleurs de la pleine Lune (ci-dessus) avec une image enregistrée derrière la Televue NP127 quelques années auparavant : Voilà ! Je laisse les exo-géologues s'exprimer, si tant est que cette composition soit scientifiquement légitime ! J'aime bien ses couleurs, c'est déjà ça
  47. 2 points
    Ah j'ai regarde sur le tel c'est plutot jaune les dernière et sur le pc effectivement sur mon pc le jaune est atténuer et ne me choque pas Merci mon ami Polo bon ciel Merci beaucoup Lucien dommage comme tu as vue Elie etait a la maison mais il a fini tard le soir et cela c'était voilé Merci Martin Merci rene bonne nuit Merci Guy bon ciel Merci hate de voir tes images! bon ciel Merci Valere Merci Dan Merci beaucoup a tous
  48. 2 points
    Voici l'explication que donnait la JAXA sur la méthode choisie pour faire atterrir SLIM sur la surface lunaire et sa position finale (on peut voir en lisant les dernières lignes que ça n'a pas marché comme ils l'espéraient) Traduction automatique : https://www.isas.jaxa.jp/feature/forefront/191226.html Pour un atterrissage précis, SLIM atterrira dans une nouvelle procédure d’atterrissage appelée « atterrissage en deux étapes » lorsqu’il s’approchera juste au-dessus du point d’atterrissage. Cette méthode est illustrée à la figure 1. Lorsque le SLIM arrive juste au-dessus du point d’atterrissage, il descend verticalement jusqu’à environ 3 m au-dessus du point d’atterrissage tout en évitant les obstacles au sol reconnus par l’image (Fig. 1(1)). Ensuite, l’altitude est abaissée tandis que la posture est inclinée vers l’avant (Fig. 1 (2)). Ensuite, en poursuivant la descente tout en inclinant l’assiette vers l’avant, le train d’atterrissage principal, qui est la partie la plus basse de l’assiette de descente, touche d’abord la surface lunaire (Fig. 1(3)) Au point (3), si l’assiette est inclinée vers l’avant avant le toucher des roues, le moteur principal, le moteur de changement de trajectoire, s’inclinera et la vitesse vers l’avant augmentera inévitablement, mais même après que le train d’atterrissage principal soit sur la lune, l’assiette tournera vers l’avant avec cette quantité de mouvement (Fig. 1 (4)) Enfin, lorsque la jambe auxiliaire avant à la position la plus élevée touche le sol, l’assiette est stabilisée et le toucher des roues à l’atterrissage par l’atterrissage en deux étapes est terminé (figure 1 (5)). On parle d’atterrissage à deux étages, car il y a un premier étage dans lequel le train d’atterrissage principal touche le sol et un deuxième étage dans lequel le train d’atterrissage auxiliaire sur le côté de la sonde touche le sol. Cette procédure d’atterrissage en deux étapes présente quatre avantages majeurs, notamment pour les sondes tels que SLIM qui visent à atterrir avec de faibles ressources. Le premier avantage est que la structure des jambes est très simple et légère car il n’y a pas besoin d’une structure de jambe qui dépasse considérablement du fuselage. Atterrir sur un objet gravitationnel est comme un lancement inversé, et le vaisseau spatial qui effectue l’atterrissage équivaut simplement à deux lancements. Par conséquent, la réduction de la masse est une question très importante, encore plus que pour les satellites et les engins spatiaux autres que les atterrisseurs, et c’est un grand avantage. Le deuxième avantage est que les jambes qui entrent en contact avec la surface lunaire et reçoivent une charge importante peuvent être limitées. Si vous avez plusieurs jambes également saillantes, elles doivent toutes être de force égale car vous ne pouvez pas dire quelle jambe frappera en premier, mais lors d’un atterrissage en deux étapes, la première jambe avec laquelle entrer en contact est déterminée, de sorte que vous pouvez les identifier du reste des jambes et définir les conditions de charge. Cela entraîne également une réduction du poids de la sonde. Le troisième avantage est que l’assiette d’atterrissage finale de l’atterrissage à deux étages est dans un état de retournement, ce qui minimise la structure de l’atterrissage lunaire du côté lunaire pendant la descente verticale. Il est nécessaire de placer un grand nombre d’équipements tels que des moteurs à changement d’orbite (OME), des propulseurs auxiliaires (RCS), des caméras de navigation, des radars d’atterrissage et des altimètres laser à la surface de la surface lunaire pendant l’atterrissage, mais les interférences spatiales entre ceux-ci et le train d’atterrissage peuvent être minimisées. Il s’agit d’un avantage significatif lorsqu’il s’agit d’un système d’engin spatial. Le dernier avantage, en particulier pour SLIM, est que l’atterrissage en deux étapes peut réduire considérablement le risque de basculement sur la pente en alignant la direction d’entrée sur le côté de la pente de la montagne. Cette fonctionnalité est très efficace pour SLIM visant les friches en pente. Bref il est bien tombé sur la tête :
  49. 2 points
    Des couleurs psychédéliques ? En voici, avec cette nouvelle image mise en ligne Traduction automatique : https://esawebb.org/images/potm2401a/ Cette image prise par le télescope spatial James Web montre une région H II dans le Grand Nuage de Magellan (LMC), une galaxie satellite de notre Voie lactée. Cette nébuleuse, connue sous le nom de N79, est une région d’hydrogène atomique interstellaire ionisé, capturée ici par l’instrument MIRI (Mid-InfraRed Instrument) du télescope Webb. N79 est un complexe massif de formation d’étoiles s’étendant sur environ 1630 années-lumière dans la région sud-ouest généralement inexplorée du LMC. N79 est généralement considéré comme une version plus jeune de 30 Doradus (également connue sous le nom de nébuleuse de la Tarentule), une autre des cibles récentes de Webb. Les recherches suggèrent que N79 a une efficacité de formation d’étoiles supérieure à celle de 30 Doradus d’un facteur deux au cours des 500 000 dernières années. Cette image particulière est centrée sur l’un des trois complexes de nuages moléculaires géants, surnommé N79 Sud (S1 en abrégé). Le motif distinct de « sursaut d’étoile » entourant cet objet brillant est une série de pointes de diffraction. Tous les télescopes qui utilisent un miroir pour recueillir la lumière, comme le fait Webb, ont cette forme d’artefact qui découle de la conception du télescope. Dans le cas de Webb, les six plus grands pics de sursaut d’étoiles apparaissent en raison de la symétrie hexagonale des 18 segments du miroir primaire de Webb. De tels motifs ne sont perceptibles qu’autour d’objets très brillants et compacts, où toute la lumière provient du même endroit. La plupart des galaxies, même si elles semblent très petites à nos yeux, sont plus sombres et plus étalées qu’une seule étoile, et ne montrent donc pas ce modèle. Aux longueurs d’onde plus longues de la lumière capturée par MIRI, la vue de N79 par Webb met en valeur le gaz et la poussière incandescents de la région. En effet, la lumière infrarouge moyenne est capable de révéler ce qui se passe plus profondément à l’intérieur des nuages (alors que des longueurs d’onde plus courtes de la lumière seraient absorbées ou dispersées par les grains de poussière dans la nébuleuse). Des protoétoiles encore enfouies apparaissent également dans ce champ. Les régions de formation d’étoiles comme celle-ci intéressent les astronomes car leur composition chimique est similaire à celle des gigantesques régions de formation d’étoiles observées lorsque l’Univers n’avait que quelques milliards d’années et que la formation d’étoiles était à son apogée. Les régions de formation d’étoiles de notre galaxie, la Voie lactée, ne produisent pas d’étoiles à la même vitesse que N79 et ont une composition chimique différente. Le télescope Webb offre maintenant aux astronomes la possibilité de comparer et de contraster les observations de la formation d’étoiles dans N79 avec les observations profondes du télescope sur les galaxies lointaines de l’Univers primordial. Ces observations de N79 font partie d’un programme du télescope Webb qui étudie l’évolution des disques circumstellaires et des enveloppes d’étoiles en formation sur une large gamme de masses et à différents stades d’évolution. La sensibilité du télescope Webb permettra aux scientifiques de détecter pour la première fois les disques de poussière formant des planètes autour d’étoiles de masse similaire à celle de notre Soleil à la distance du LMC. Cette image comprend une lumière de 7,7 microns en bleu, 10 microns en cyan, 15 microns en jaune et 21 microns en rouge (filtres de 770 W, 1000 W, 1500 W et 2100 W, respectivement).
  50. 2 points
    Traitement d'images et de vidéos : Planétaires et Ciel-Profond. Windows 64 bits. Logiciel actuellement en évolution : Site du logiciel : http://astrosurface.com/ ASTROSURFACE U4 Ajout d'une Déconvolution Van-Cittert et de son batch. Cette méthode est très efficace pour des accentuations notamment avec un assez bon rapport signal-bruit. Voir dans la série de boutons rouges, à gauche de la zone de texte : pour la méthode et pour son Batch (petit bouton B). IMPORTANT ! cette déconvolution Van Cittert convient pour les images lunaires et solaires plus qu'aux images planétaires. Dans la méthode il y a les classiques boutons SaveP et LoadP afin de sauver et retrouver des jeux de paramètres. Qui vont servir notamment pour un éventuel Batch. ASTROSURFACE version U5 - Dans les fonctions concernées il est maintenant possible de sauver des vidéos au format SER RGB 16 bits. Ce sont principalement des méthodes Export à partir de multiples fichiers ou de vidéos préalablement déjà chargés. - La méthode d'Export suivante : Export ----> to SER/AVI : COMPACT, accepte en entrée une vidéo ou un ensemble cohérent de fichiers (c'est classique). Puis groupe par paquets en faisant leur moyenne ou leurs somme. On peut donc choisir de grouper-empiler par exemple des paquets de 5 fichiers en un seul calculé, avec leur moyenne ou somme. Ce qui veut dire que la vidéo résultante comportera un seul fichier tous les 5 initiaux moyennés ou sommés. Un facteur mathématique peut être appliqué (division ou multiplication) à chaque empilement. Surtout pour la Somme, afin de ne pas la saturer. Un recadrage (ROI) est disponible en option pour l'ensemble des images. NB : éviter d'utiliser l'AVI en sortie et préférer le format SER. - la méthode à tout faire ou presque WAVELETS : Certains réglages ont leurs valeurs étendues, Gain, Saturation etc... Il est maintenant possible pour les images RGB d'ajuster le Gamma de chaque couche en plus de l'Offset et du Gain. Ceci se trouve dans l'Onglet RGB de la méthode qui n'est actif qu’après chargement d'une image couleur. On rappelle que de façon globale, il y a aussi un réglage Offset, Gains et Gamma pour toutes les images. Des réglages fins ou plus grossiers sont disponibles ainsi que leur remise à 0 ou à 1 ! Cette méthode est utilisable en mode Batch avec ces ajouts. Le module Wavelets et tous ses réglages annexes devient bien performant et pas seulement pour les accentuations. Un rappel du principe des accentuations : - Déconvolution Wiener (interne) : surtout en grande finesse et modéré, - Wavelets HF en complément : régler fin et ajuster la force - Wavelets LF ; pour les plus gros détails : taille grande et faible force : c'est optionnel. Ne pas oublier de régler le Noise Reducer du haut ! On peut se passer de la Déconvolution Wiener interne si les images à la base ne sont pas très bonnes. Et le réglage WAVELETS HF seul avec réduction de bruit peuvent suffire. Si l'on trouve que ce module est complexe et il l'est, on peut se rabattre sur le module SHARPEN. Dans Wavelets et aussi dans Analyze-Register le nom du fichier paramètres actuel utilisé ( si utilisé ) apparait près des boutons. UN RAPPEL : pour traiter par exemple un satellite de Jupiter de façon différentiée de la planète. Il existe plusieurs façon. En voici une assez pratique. (avec la méthode Wavelets) Il faut déjà bien comprendre que pour de grandes images, Wavelets traite une zone à tracer (ROI) afin d’accélérer le calcul. Puis on applique par bouton DoAll à toute l'image. On peut faire un autre tracé à tout moment bien sûr.... Si l'on dispose d'un ordinateur plus lent ou plus rapide que la moyenne, on peut l'indiquer à AstroSurface afin d'avancer ou repousser le mode Roi-DiAll pour toutes les méthodes concernées. Dans la méthode Wavelets on peut forcer le mode Roi-DoAll lorsqu'il n'est pas requis. Ceci permet de traiter un satellite à part par exemple, en utilisant le "Save a Copy" qui est accessible par clic-droit. Donc on traite toute l'image et on la Sauve. Puis on l'ouvre et on traite uniquement un ROI du satellite puis Save a Copy. Une autre solution serait d’utiliser les fonctions Copy-Paste d'AstroSurface. ASTROSURFACE version VOLCANO V1 : version actuelle ------------------------------------------------------------------------------------------ - Correction d'un bug qui occasionnait un crash lors du traitement par Tuiles dans ANALYZE-REGISTER sur de très grandes images - Dans ANALYZE-REGISTER on peut maintenant exporter en 16 bits RGB SER ; par bouton Export à utiliser après Analyze. - Déconvolution VAN CITTERT : ajout de la possibilité de faire deux passes avec des réglages différents ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- AstroSurface V2 du 27 Janvier 2024 ------------------------------------------------------------------------------------------------------ Les principaux changements de cette nouvelle version : - un nouveau BATCH avec les méthodes suivantes : Alignement des canaux RGB, Local Contrast (existait déjà), Resize, Auto-Levels Pour l'alignement des canaux RGB ; peut le faire en utilisant une image entière ou bien sur un ROI que vous tracerez (LARGE) sur une zone de la première image affichée, Comme pour les autres batch on peut cumuler une ou plusieurs de ces méthodes. - Dans la méthode ROTATION, on peut cumuler un angle prédéfini et un angle quelconque. Par exemple 90 degrés et un quelconque ARBITRARY... Le Batch correspondant en tient compte. Méthode : Test : List or Sequence of Files Compatibility Voir cette méthode qui se trouve dans le menu FILES et aussi dans le menu des Batch. Cette méthode permet de vérifier la compatibilité d'un ensemble de fichiers. Dans AstroSurface on distingue : LIST OF FILES et SEQUENCE OF FILES. Ceci a déjà expliqué. Dans une Séquence les noms de fichiers sont comme ; un nom commun + index numérique : Moon_15.png, Moon_16.png par exemple. L'ordre est ainsi parfaitement défini : les fichiers ont des caractéristiques identiques ; taille, canaux, extension, profondeur. On peut en faire une vidéo... List of Files : à priori rien de tout ça, on ne sait pas ? Dans quel ordre sont-ils ? Tailles... Cette méthode permet de vérifier si une List of Files est comme une séquence. ON POURRA PAR EXEMPLE LA RENOMMER EN SÉQUENCE ! Cette méthode permet aussi de vérifier si une Séquence de fichiers en est bien une ! Contrôle de compatibilité de tous les fichiers. Batch : Rename Files ----> Sequence encore dans le menu Batch. Cette méthode est pour renommer une Liste de fichiers ou une Séquence. La sortie sera une séquence Attention il faut que tous les fichiers soient compatibles : voir ci-dessus. Il n'y a pas de test de compatibilité de fait dans la méthode. Dernier point : Dans le méthode ANALYZE-REGISTER pour alignement et addition des images. Atténuation d'un effet de trame qui apparaissait sur certaines images finales : suivant cadence, caméra... Ce qui simplifie le réglages des Accentuation ultérieures. Pas de révolution mais bon à prendre ! Bon ciel, Lucien