Classement

Voici un début d'évaluation du capteur Sony IMX585. Pour bien situer j’ai comparé le IMX183 (pas mal d'entre-vous en ont), la IMX533 (qui est ma référence jusqu’alors) et la donc IMX585. Tout est résumé dans une planche (le capteur était dans un boitier ZWO, mais il y a d'autres options) : Faut faire un peu parler les chiffres : par rapport au IMX533, le IMX585 offre un gain en rendement quantique de près de 50% au niveau de Halpha, ce qui est un très gros plus (les poses peuvent être raccourcie de 50%), la sensibilité dans l’IR est remarquable, le bruit est à 0,82 électrons, ce qui signifie qu’on s’approche du seuil de comptage de photon (en fait on y est quasiment dans le bleu !), on n’a plus les oscillations dans le courbe de rendement quantique (très bon pour les réponses instrumentales en spectro !). Seul défaut notoire, le signal d’obscurité du 585 est 10 fois plus fort que celui du 533 (quasi imperceptible pour ce dernier, même après 900 secondes de pose). Cela gâche légèrement le tableau car en 15 min de pose à -15°C on s’approche du bruit de lecture, mais ca reste encore très bon, rien de dramatique. On peut regretter le 12 bits à la place du 14 bits (mais le faible bruit compense un poil en termes de dynamique effective). Sur la photo, on voit que le 585, à droite, est plus sombre que le 533, à gauche. C’est le signe d’un haut rendement quantique, déjà à l'oeil, car le capteur absorbe plus de photons : Christian B

Salut, Fin décembre 2024, j'ai profité d'un court séjour à Stellarzac chez Diabolo (c'est toujours trop court là bas, même si ça dure une semaine) pour flirter avec une prothèse visuelle moderne à base d'intensificateur d'image, l'OVNI-B (pour binoculaire). Comme mon titre Paul&Mick assumé l'évoque, cet appareil offre réellement une vue bionique du ciel nocturne à bien des égards, pour nettement moins que trois milliards mais tout de même bien plus qu'un SMIC. De mon point de vue, le terme de visuel assisté me semble ici bien plus valide que dans sa conception communément (outrageusement) admise, de par l'hyper-sensibilité du dispositif bien sûr, mais aussi grâce à la préservation d'une instantanéité non-cumulative. J'avais comme base de comparaison une ancienne expérience des années 1990 avec un intensificateur à base de Philips XX1390, donc je n'étais pas trop dérouté par le bruit de fond en flickering et autres scintillements ainsi que pour l'aspect général de l'intensification, mais j'ai été agréablement surpris par le progrès qualitatif de détection. Si l'exemplaire du siècle dernier rendait facilement visible (sans guère d'adaptation nocturne et de vision décalée) les objets faibles accessibles à une ouverture donnée, celui d'OVNI Night Vision en révèle de parfaitement invisibles sans la prothèse (pour moi et pourtant j'aime bien l'extrême), particulièrement dans le domaine H-alpha. A titre d'exemple, même si la tête de cheval ne présente pas un défi insurmontable pour mon Dobson de 445mm avec un filtre, j'ai cumulé pas mal d'échecs sur celle du Cône sous le ciel très bon du Queyras, alors qu'ici dans les causses avec un ciel quasi-comparable et un "simple" Dobson de 300mm équipé de l'OVNI-B et -certes- d'un filtre H-alpha, sa pyramide sombre est relativement évidente! C'est cette combinaison OVNI-B/filtre H-alpha qui s'est révélée la plus réjouissante, en témoignent les Dessins Astronomiques Assistés par Ordinateur (DAAOs) qui suivent. Couplé à un objectif photo de F=27mm ouvert à 1.2 (G=1.2x estimé en comparant champ apparent 40° et champ réel 34°), l'OVNI-B révèle une Voie Lactée hivernale dont la traditionnelle homogénéité, habituellement délicatement troublée par de rares obscurcissement épars ou de d'hypothétiques voiles émissifs, est cette fois parsemée de petites bouffées de nébuleuses HII le plus souvent bien contrastées ou à tout le moins parfaitement détachées, dont les variations de morphologies et d'étendues sont un régal pour l'œil assisté. On peut également chez Diabolo l'associer à un objectif de F=75mm ouvert à 4.0 (G=3x estimé, champ réel=13°) qui permet de plonger un peu plus au cœur des constellations et plus en détail dans les nébuleuses repérées dans les conditions précédentes, et puis bien sûr dans le porte-oculaire de n'importe quel instrument. A 1.2x depuis Stellarzac, on peut faire l'hiver une belle balade opto-électronique au départ de la nébuleuse de Mu Céphée (IC 1396) sur l'horizon Nord-Est, puis NGC 7822 dans Cassiopée, jusqu'aux bien reconnaissables Cœurs et âmes (IC 1805 & IC 1848) avec un petit aparté vers la nébuleuse Pacman (NGC 281), pour aller ensuite un peu à l'écart vers la formidable California dont le panache allongé est évident dans Persée. En revenant dans notre axe galactique, les nébuleuses du Cocher IC 405 et IC 418 luisent à l'intérieur du pentagone et en descendant le long des Gémeaux ce sont la tête de Singe (NGC 2174-5) puis la nébuleuse de Lower Sh2-261 qui pointent vers un collier de perles nébuleuses formé par le complexe autour de la nébuleuse du cône (NGC 2264) bien plus étendu que les précédentes, accompagné d'une Rosette particulièrement tranchée, suivie des discrètes Sh2-280, Sh2-282 et Sh2-284. Encore plus bas, les ailes déployées et vaporeuses de la nébuleuse de la Mouette (IC 2177) sont immanquables. Enfin le clou du spectacle un peu plus à l'Ouest: Orion avec sa bulle croissantée autour de Lambda surmontant l'arche évidente de la boucle de Barnard. M42 reste anecdotique tant ses acolytes, personnages secondaires du ciel profond, tiennent leur revanche en prenant la vedette. A 3x, on distingue même l'artère centrale de la trace de tank (NGC 2024) et on soupçonne l'indentation de la tête de Cheval dans IC 434... Bref, un nouveau ciel s'offre au regard -même si transcendé par le truchement des micro-canaux en silicium et tronqué par un domaine spectral marginal. Le grand écart entre observation visuelle et imagerie s'amoindrit dans ce contexte d'OVNI-B (d'autant plus qu'il est binoculaire) et on se retrouve pratiquement dans le cadre familier de l'iconographie astrophotographique (si on s'en est forgé l'habitude). Bien sûr, par rapport au visuel pur, les nuances et contrastes sont plus grossiers et la définition est un peu dégradée avec l'intensificateur. Mais le gain réglable permet de toujours trouver le bon compromis entre la montée du bruit de fond et du contraste des objets faibles. J'ai trouvé qu'assombrir l'image au point de devoir utiliser un peu la vision décalée m'offrait le meilleur contraste, mais c'est sans doute un biais d'observateur visuel traditionnel. Et puis, il m'est parfois arrivé de devoir accroître le gain vraiment fortement pour mettre en valeur un faible contraste surnageant parmi un poudroiement de scintillements du bruit de fond. Allez, place aux rendus et un grand merci à Frédéric pour m'avoir laissé l'accès à son domaine et les instruments cités. La Mouette, IC 2177 & Sh2-296, OVNI-B & H-alpha, 3x IC 1396, nébuleuse Mu Cep, OVNI-B & H-alpha, 3x IC 2162, Sh2-257 et Sh2-254, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x NGC 2264 & LDN 1607, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x Sh2-242, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x IC 410, les tétards, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x Sh2-261, nébuleuse de Lower, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x IC 2177, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x Astérisme en forme de Grande Ourse à 07h17m et -14°, à 50' Sud-Ouest du casque de Thor, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x NGC 2359, casque de Thor, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x NGC 1931, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x NGC 7635, la Bulle, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x Sh2-301, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x de haut en bas, NGC 2264 collée à Ced 84a, LBN 947 en contact avec Ced 85, NGC 2244 (Rosette), Sh2-280, Sh2-282 & Sh2-284, OVNI-B & H-alpha, 3x Orion avec Sh2-264 (lambda Ori) en haut, Sh2-276 (boucle de Barnard), NGC 2024, IC 434 et M42, OVNI-B & H-alpha, 3x IC 443 (méduse), TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x Sh2-247, TN300, OVNI-B & H-alpha, 48x

Bonsoir à tous, Une petite image d'une nébuleuse que je n'avais encore jamais faite.Elle est vraiment discrète sur les brutes au idas lps mais par contre apparait nettement mieux sur les brutes en bande étroite du L-ultimate. Je n'ai pas pu poser super longtemps dessus et la lune était deja bien gênante surtout pour les poses au idas.Faudrait peut être que j'en rajoute une nuit sans lune histoire d'avoir un fond de ciel plus fouillé.Pour cette image j'ai donc mixé les poses avec les deux filtres. Setup: Quattro 200/800,Eq6,Zwo 294mc pro+filtres idas lps p3 et L-Ulitmate.Traitement pixinsight. Abell39 35x180" idas lps et 53x180 L-Ultimate: La version AB: https://astrob.in/57uthz/0/ Bon ciel!

Hier soir, pour une fois les étoiles ne scintillaient presque pas... Signe d'une turbulence faible en apparence ... Allons voir les amis ! Effectivement ! ça claque pour 7.0" de diamètre, Pas de vent, mais 99% d'hygrométrie ! çà sera la meilleure presque peut-être dernière Mars de l'année qui sait ! mais la brume est arrivée sournoisement ! mettant prématurément fin à cette soirée T300 f/d5 Barlow TVX3 + tirage , playerone neptune C2 et son IRcut astronomik (toujours en place sauf pour l'IR) Finalement après un passage dans AS4 et ASTROSURFACE , c'est plutôt bien c'est ma face préféré de Mars avec les Volcans , plateau, canaux... 20h49 UT 150% 21h06 UT les animations 20h49 à 21h20 UT 150%

salut a tous belle mâtiné ce 22 avril voilé mais pas trop de turbu jean-marc

Hello les aminches, pour changer un peu du T1000, et après m'être assuré auprès de @Superfulgur qu'il ne divorcerait pas suite à cette légère infidélité, je vous propose une image du ciel austral en collaboration avec un jeune astrophotographe chinois talentueux, Alpha Zhang. Cela faisait quelques temps qu'il voulait que je traite certaines de ses données, recueillies depuis le Chili où il a posté une Taka FSQ 106 devant une G4-16000. J'aime beaucoup ce qu'il fait et j'ai enfin trouvé le temps de le faire. De plus, ça me permet de répéter mes gammes en dehors des profondeurs galactiques du T1000. Un peu de narrowband mixé avec du LRVB est toujours très enrichissant au niveau des techniques de traitement. La restitution de la couleur des étoiles sur fond nébuleux de Ha, sans halos, n'est jamais simple et ça se pratique. Alors voici l'image composée de 30h de données : 8h de L, 4h par canal RVB et 10h de Ha. Le rendu choisi, et assumé avec lui, est un contraste vaporeux mais tranché entre le Ha et le bleu des étoiles de l'amas. J'espère qu'elle vous plaira. Je vous mets le lien vers AB où vous pourrez visiter l'image en cliquant dessus : Bonne soirée. JF

Bonjour, quelques images du Soleil au Sol'ex , avec quelques protubérances intéressantes... Stacking de 7 images : La même en couleur : En inversé : Les protubérances du jour : Montage avec le soleil : Un gros plan sur l'une des protubérances : Petite animation entre 12h10 et 12h26 : Une autre sur la même période de temps : Et les taches solaires du jour : Setup : Lunette Skywatcher ED 72/420 avec filtre Hoya ND 1,2 sur EQ6. Sol’ex réglé sur la raie H-Alpha. Filtre H-Alpha 6 nm. Caméra ZWO ASI 178 MM.

Cette comparaison vous a été offerte par Tefal !

Hello hello, ça va bien la jeunesse? Il y a une éternité que je n'ai pas publié une image ici. En même temps, ça fait une éternité que je n'avais pas pu traiter une image (il y en a plus d'une vingtaine en attente ... dont certaines sont de 2022 ...) Avant la fermeture automnale de l'observatoire, j'ai fait des images pour tester le pilotage du 500 à distance. J'ai fait du semi automatique, mais je vais me pencher sur NINA très bien maitrisé par @Jose Rodrigues Mais là, j'ai fait avec ce que je savais faire. Erreur de débutant : j'ai oublié de baisser le gain de la caméra donc, j'ai fait 63 images de 180s en gain 300 sur ma 2600MC Duo au foyer de l'engin. On fait tous des erreurs ^^ J'ai un souci photoshop pour le moment, donc le traitement ici présent est 100% pixinsight, mais je ne suis pas encore à l'aise avec tous les process. Faut que je me remette dedans et que j'applique ce que j'ai vu au stage AIP de Reims. Détails de prise de vue : T500 f3,3 avec caméra au foyer primaire Porte oculaire 4" Primaluce ( il faut le surveiller car la MAP n'est pas stable) Zwo ASI 2600 MC duo à -12° Gain 300 ... Filtre Idas NBZ UHS 63 poses de 180s Prétraitement et traitement Pixinsight WBPP en mode par défaut Blur, starnet, noiseX, Dark structure enhance, des courbes et niveaux comme j'ai pu (d'où l'image un poil claire peut-être et la dominante peut-être un peu jaune suivant les écrans) J'espère que ça vous plaira quand même A bientôt avec d'autres images Michaël

Bonjour, j'ai pu ajouter 350 images aux 190 que j'avais pour améliorer cette belle galaxie. Bien que basse, elle est très lumineuse 541 brutes prétraitées avec Pixinsight (2h15) Traitement Pixinsight, astrosurface, siril, seti astro suite Fond du ciel compliqué (c'est bas sur l'horizon ) EDIT: J'ai repris l'image, je la mets en tête de message

J'ai testé le Houdini 20 Du moins j'ai fais un comparatif rapide entre: Pentax XW23 Champ 85° + Paracorr Type 2 et Le Houdini 20mm 86°. Quelques précisions préalables: des passages nuageux fréquents qui ont eu finalement écourté mon test mais j'arrive tout de même à quelques commentaires de ma part... L'instrument T300 F/4 monobras "qualité optique artisan" Avec le Pentax XW23 derrière le correcteur de coma, j'ai un grossissement de 60x Avec le Houdini 20, jai un grossissement de (roulement de tambour...) de 60x aussi !!!! Je crois qu'en termes de grossissement et de champ observé, on ne peux pas mieux faire! Etape 1: collimation: grossière sur la Polaire puis plus affinée avec le Nikon NAV 12,5mm (collimation par le haut possible de l'instrument avec contrôle direct à l'oculaire de l'intra et l'extra-focal) et recontrôle avec oculaire courte focale. Ca prend un peu de temps car hors de question que la collimation ne soit pas parfaite... Turbulence acceptable. Etape 2: vu les p... de nuages qui passent va falloir jouer serré... Régulus sur les 2 oculaires... même image... Je décide de faire vite et de me focaliser sur une seul cible Mizar et Alcor dans un premier temps... C'est assez bluffant le champ est rigoureusement identique. Faudrait fumer de la moquette super épaisse pour voir une différence La correction de la coma est identique. Piqué au RDV. Peut-être qu'en extrême bord de champ (genre vers 5% de la distance du bord par rapport au centre...) la forme des étoiles corrigées change un chouilla, mais pas du tout dégradée. Mais c'est chercher des poux sur la tête d'un Ourang-outan. Peut-être il y a la question du tirage qui joue la dedans. Et aussi le réglage de la position du parracor que je n'ai pas déterminée avec précision (le réglage du Tunable Top). Après la perception du Pentax, comment dire et bien c'est du Pentax (c'est comme la perception subjective du Nagler 22 que j'ai pu lire plus haut... c'est du même tonneaux mais je comprends que cela se voit...) c'est à dire une neutralité (que j'ai toujours apprécié) et un confort à l’œil pour son placement un peu supérieur. Le Pentax fait assez "champ plat" derrière le paracorr! Conclusion: le Houdini 20 fait superbement le travail. Bon je voulais tenter le Sombrero au ras de l'horizon ensuite mais les nuages m'ont empêché Je voulais passer plusieurs heures avec ces oculaires mais cela c'est terminé en 30 minutes... On peut aussi dire quand même que le Paracorr 2 reste une référence qui permet d'utiliser un même oculaire de sa gamme aussi bien sur un Newton très ouvert que sur un SC ou autre. etc... Après le Houdini est vraiment plus léger... va falloir que je revois un peu l'équilibre de mon instrument, même si ça passe.

Je vous propose ici quelques images de saison réalisées autour de la précédente nouvelle Lune, avec plusieurs nuits dégagées mais un seeing assez variable. Le matériel utilisé est le T200 ramené à 600mm de focale via un correcteur/réducteur Starizona Nexus, avec la nouvelle QHY Minicam 8M, le tout sur une AZ6GT guidée. Comme toujours, les cumuls sont assez faibles, mais la Minicam est hyper sensible et mariée ici à un tube à F3 les photons s'accumulent vite! En avant pour les images: Nous sommes dans la constellation du Petit Lion, et c'est la galaxie spirale NGC 3344 vue de face qui trône au centre de l'image. Très jolie galaxie avec une zone centrale assez lumineuse mais des extensions très faibles. On voit des galaxies lointaines situées à l’arrière plan sur la bordure droite de la galaxie. NGC 3344 (Lmi) - 20x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Constellation de la Vierge, avec ce sympathique duo NGC 4536 / 4527. La première, a droite, est une spirale intermédiaire peu lumineuse (magnitude surfacique de 14.06), la seconde appartient à la même catégorie et est un peu plus contrastée. Elles se situent toutes les deux a environ 45 millions d'a.l. NGC 4536 et 4527 (Vir) - 20x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Voici un morceau de la célèbre chaine de Markarian, un chapelet de galaxies situé dans la constellation de la Vierge. Dans l'ordre de taille apparente, nous avons ici la galaxie elliptique M86, puis Le duo NGC 4438/4435 qu'on apelle aussi "les yeux (ne me demandez pas pourquoi)n viennent ensuite NGC 4388, NGC 4402, NGC 4425, NGC 4413 et enfin NGC 4387, plus une multitude d'autres galaxies plus lointaines. Le seeing n'était pas extraordinaire à cette hauteur cette nuit la hélas. M86 & co (Vir) - 20x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full résolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Un petit groupe de galaxies dans la Chevelure de Berenice, constellation qui fourmille de ce genre d'endroits! NGC 4090 & co (Com) - 20x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Constellation de la Vierge, avec à droite NGC 4517 (aussi cataloguée NGC 4437) et à gauche NGC 4517A. NGC 4517/4437 est une galaxie spirale vue par la tranche, elle se situe a environ 30 millions d'années lumière et fait un peu moins de 100000 a.l. pour une magnitude de surface de 13.39. Sa petite voisine NGC 4517A, aussi connue sous le nom de Reinmuth 80 est une spirale assez faible qui se situe a environ 40 millions d'a.l. NGC 4517/4437 et 4517A (Vir) - 20x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS M101 et NGC 5474, dans la Grande Ourse. M101 et NGC 5474 (Uma) - 30x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Constellation du Dragon, NGC 5987. NGC 5987 est une grande galaxie spirale de 216000 a.l. qui se situe à environ 147 millions d'a.l. Sa magnitude de surface est de 13.54 et seul son noyau est relativement lumineux. Sa principale originalité ce sont ses bandes de poussières à la disposition originale. NGC 5987 (Dra)- 30x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Voici ACO 1656, un amas de galaxies dans la Chevelure de Berenice. L'image ici n'embrasse qu'une partie de l'amas, qui contient plus de 1000 galaxies, principalement des galaxies naines et des elliptiques géantes, mais on trouve aussi des lenticulaires et des spirales. La distance moyenne de cet amas est de 323 millions d'années lumière. C'est un coin du ciel assez vertigineux qu'on ne se lasse pas d'observer, et qui incite a la réflexion... ACO 1656 (Com)- 40x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Le groupe compact Hickson 61. Cette scène pittoresque est située dans la constellation de Coma Berenice. Au centre se trouve le groupe de galaxies Hickson 61, connu sous le nom de « The Box » en raison de sa forme. La spirale en haut à gauche est NGC 4173 et la galaxie en bas à droite NGC 4175. La plus petite galaxie, la plus a droite, est NGC 4174 et la dernière (une elliptique) est NGC 4169. La galaxie spirale NGC 4173 n'est distante que d'environ 50 millions d'années-lumière alors que les trois autres sont à une distance d'environ 180 millions d'années-lumière, ce qui indique que NGC 4169, 4174 et 4175 sont probablement physiquement liées alors que NGC 4173 est sans aucun doute un objet d'avant-plan. Dans le bas de l'image se trouve un essaim de galaxies lointaines connu sous le nom d'amas de galaxies Abell 1495, situé à environ 1,7 milliard d'années-lumière. Cet amas compte plus de 100 galaxies membres et s'étend sur une zone du ciel de la taille d'une pleine lune Hickson 61 (Com)- 40x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Superbe duo de galaxie dans la Chevelure de Berenice, NGC 4725 a droite et NGC 4747 à gauche. NGC 4725 est une grande galaxie spirale de 170000 a.l. située à environ 45 millions d'a.l., avec un cœur lumineux et des extensions diaphanes. Cette galaxie présente un aspect très original : une barre centrale clairement marquée et un bras spiral unique qui débute sous la forme d’un anneau pour finalement se disperser petit à petit comme un halo autour de la galaxie. NGC 4747 a une morphologie assez particulière, avec ses queues de marées gravitationnelles qui lui font comme une moustache, fruit d'une interaction passée avec sa grande voisine. NGC 4725 - 4747 (Com)- 40x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS crop à 100% sur NGC 4725 crop à 100% sur NGC 4747 Constellation de la Chevelure de Berenice, la galaxie de L'Œil noir, M64. M64 (Com) - L - 40 x 60s gain 80/offset 30 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS M64 (Com) - LRVB - 40/15/15/15 x 60s gain 80/offset 30 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS M100 dans la Chevelure de Berenice, pas facile avec son noyau ultra lumineux! NGC 4312 l'accompagne dans ce champ bien garni. M100 est une vaste galaxie spirale de 170000 a.l située à environ 66 millions d'a.l., son noyau est très lumineux et ses bras nettement définis sont peuplés de jeunes étoiles bleues ainsi que de zones Hll. NGC 4312 est deux fois plus proche, à 35 millions d'a.l., et beaucoup plus petite, 52000 a.l. M100(Com) - 40x60s - L - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS crop à 100% M100(Com)- 40/15/15/15x60s - LRVB - gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Pour finir, voici une planche qui regroupe une partie seulement des galaxies acquises récemment avec ce setup, avec l’échelle respectée:

salut a tous voici un essai avec un filtre bleu antlia Zwo290 avec 4800mm de focal c'est pas facile d'avoir quelque chose de correct Jean-marc

Bonjour Après M109 présentée hier, restons dans la constellation de la Grande Ourse et intéressons nous à un petit couple de galaxies, composé de NGC5216 et NGC5218. Ces 2 galaxies sont bien plus petites visuellement que M109 mais elle présente la particularité d'être en interaction. Une rixe stellaire en fait ! Connues également sont le nom de Arp 104 et de système de Keenan, ces 2 galaxies sont reliées entre elles par un jet de matière. Quelques tumultes de matière s'échappent également de chacune des galaxies. NGC5216 est une galaxie elliptique située à environ 146 millions d'années-lumière et présente une dimension d'environ 186 000 années-lumière, ce qui en fait une "belle bête". NGC5218 est une spirale barrée située à environ 142 millions d'années-lumière et présente un diamètre d'environ 104 000 années-lumière. Coté setup, c'est le newton de 300 en f/d 4, le correcteur TS Wynne 3", l'Integra85 en focuser/rotateur, un filtre Astronomik Luminance L-2 en 50x50 et la caméra ASI2600MC. Prises dans la nuit de samedi à dimanche, l'image est composée de 66 brutes de 240s de temps de pose unitaire, ce qui nous fait une durée d'intégration de 4h24', c'est faible pour ce genre d'objets peu lumineux. Les nuages qui sont arrivés aux alentours de 3h du matin m'ont malheureusement écourtés la séquence. J'espère y revenir prochainement de manière à pouvoir améliorer le rendu global de ce petit couple. L'image du champ complet, à la résolution de 3200 x 2056 pixels : La même vue annotée avec les galaxies des catalogues NGC/IC et PGC : Et un focus sur le couple de galaxie en interaction qui permet d'apprécier le jet de matière et les quelques tumultes au niveau de chacune des galaxies. On voit bien que le temps de pose est bien modeste : Et comme d'habitude, le quasar le plus lointain visible sur l'image. Avec son redshift de 3,751, il se situe à 12,3 milliards d'années-lumière La zone étant assez riche en galaxies lointaines, voici l'image annotée avec les galaxies identifiées dans les différents catalogues que sont SDSS, Gaia, 2MASX et autres. afin d'y voir un peu plus clair, l'image est à la résolution de 5000 x 3213 pixels. A visualiser préférentiellement en pleine échelle. A noter, quelques petits regroupements de galaxies : Bonne journée jean-Pierre

Bonjour à tous, La chaîne de Markarian étant largement hors de portée du trou de serrure du C14 (ou alors en mosaïque, mais ça doit être un travail de titan) je me suis intéressé à ses deux galaxies centrales le plus esthétiques, NGC4438 et 4435, les yeux de Markarian. Bon ciel. Serge www.ubikastro.com Paramètres de prise de vue : 51 images de 300s (4h15mn) le 20 avril 2025, Siril+Pixinsight ZWO ASI 2600 MC Duo + ZWO Asiair C14 XLT / Skywatcher EQ8-Pro

Salut Une belle nuit celle d'hier. 17-18 avril. J'ai shooté au coeur de l'amas de la Vierge centré sur M86 avec toute ses copines autour qui tapisse l'image. CT16 f4 sur EQ8 ASI6200mm à moins 25 degrés. Correcteur 1.0x Riccardi Design 3" Filtre Zwo LRVB=175-30-30-30 minutes. Bin 1x1, sub de 300 sec en luminance et de 180 sec pour le RVB. Autoguidage. ASI290mm mini sur diviseur optique. Avec PHD2. Acquisition ASIImg, Pré traitement ASTAP. Traitement final PS CS3. Location: Saint-Liboire, Québec. Bon visionnement! Martin

https://www.esa.int/Science_Exploration/Space_Science/Hubble_celebrates_35th_year_in_orbit extraits en trad. automatique : Hubble fête ses 35 ans en orbite Pour célébrer les 35 ans du télescope spatial Hubble de la NASA et de l’ESA en orbite terrestre, un assortiment d’images récemment prises par Hubble a été publié aujourd’hui. Cela s’étend de la planète Mars aux images de naissance et de mort stellaires, et à une magnifique galaxie voisine. Après plus de trois décennies d’observation de notre Univers, Hubble reste un mot familier en tant que télescope le plus reconnu de l’histoire scientifique. (...) Hubble est aujourd’hui au sommet de son retour scientifique grâce au dévouement, à la persévérance et aux compétences des ingénieurs, des scientifiques et des opérateurs de mission. Les équipages de la navette astronaute ont poursuivi et rendez-vous avec Hubble lors de cinq missions d’entretien de 1993 à 2009. Les astronautes, y compris les astronautes de l’ESA lors de deux des missions d’entretien, ont mis à niveau les caméras, les ordinateurs et d’autres systèmes de soutien de Hubble. En prolongeant la durée de vie opérationnelle de Hubble, le télescope a effectué près de 1,7 million d’observations, examinant environ 55 000 cibles astronomiques. Les découvertes de Hubble ont donné lieu à plus de 22 000 articles et à plus de 1,3 million de citations en février 2025. Toutes les données collectées par Hubble sont archivées et s’élèvent actuellement à plus de 400 téraoctets. La demande de temps d’observation reste très élevée avec des surabonnements de 6:1, ce qui en fait l’un des observatoires les plus demandés aujourd’hui. (...) Images du 35e anniversaire Un assortiment d’images fascinantes a été publié aujourd’hui qui ont été récemment prises par Hubble : Mars : Il s’agit d’une combinaison d’images de Mars prises par le télescope spatial Hubble du 28 au 30 décembre 2024. Au milieu des observations, Mars se trouvait à environ 98 millions de km de la Terre. De minces nuages de glace d’eau qui sont apparents dans la lumière ultraviolette donnent à la « planète rouge » un aspect glacial. La calotte polaire nord glacée connaissait le début du printemps martien. Nébuleuse planétaire NGC 2899 : Cet objet a un écoulement de gaz diagonal, bipolaire et cylindrique. Celle-ci est propulsée par le rayonnement et les vents stellaires d’une naine blanche au centre avec une température de près de 22 000 degrés Celsius. En fait, il peut y avoir deux étoiles compagnes qui interagissent et sculptent la nébuleuse, qui est pincée au milieu par un anneau ou un tore fragmenté – ressemblant à un beignet à moitié mangé. Il possède une forêt de « piliers » gazeux qui pointent vers la source du rayonnement et des vents stellaires. Les couleurs proviennent de l’hydrogène et de l’oxygène brillants. La nébuleuse se trouve à environ 4500 années-lumière dans la constellation australe de Vela. Nébuleuse de la Rosette : Il s’agit d’une photo du télescope spatial Hubble d’une petite partie de la nébuleuse de la Rosette, une immense région de formation d’étoiles s’étendant sur 100 années-lumière de diamètre et située à 5200 années-lumière. Hubble zoome sur une petite partie de la nébuleuse qui ne fait que quatre années-lumière de diamètre (la distance approximative entre notre Soleil et le système stellaire voisin Alpha du Centaure). Des nuages sombres d’hydrogène gazeux entrelacés de poussière se profilent sur l’image. Les nuages sont érodés et façonnés par le rayonnement bouillonnant de l’amas de grandes étoiles au centre de la nébuleuse (NGC 2440). Une étoile encastrée vue à la pointe d’un nuage sombre dans la partie supérieure droite de l’image lance des jets de plasma qui s’écrasent sur le nuage froid qui l’entoure. L’onde de choc qui en résulte provoque une lueur rouge. Les couleurs proviennent de la présence d’hydrogène, d’oxygène et d’azote. Galaxie spirale barrée NGC 5335 : Cet objet est classé comme une galaxie spirale avec des serpentins inégaux de formation d’étoiles à travers son disque. Il y a un manque frappant de bras spiraux bien définis que l’on trouve couramment dans les galaxies, y compris notre Voie lactée. Une structure de barres remarquable traverse le centre de la galaxie. La barre canalise le gaz vers l’intérieur vers le centre galactique, alimentant la formation d’étoiles. De telles barres sont dynamiques dans les galaxies et peuvent aller et venir sur des intervalles de deux milliards d’années. Ils apparaissent dans environ 30 % des galaxies observées, y compris notre Voie lactée.

Salut Xavier, Pour la période nous avons une grosse incertitude qui va évoluer rapidement dans le bon sens. C'est juste lié au fait que nous avions a peine couvert une période. Dès que nous aurons des points sur des périodes distinctes nous allons énormément réduire cette incertitude. Voici ce que ça donne avec 2 points en plus, nous sommes passé à 19.6137 +- 0.2284 jours, beaucoup mieux ! Pour ce qui est de l'analyse plus fine des variations et déformations des raies je suis en train de coder des algo d'inversion permettant de faire de l'imagerie doppler. Je ne suis vraiment pas certain que nos données soit d'une qualité suffisante m'enfin je tente... Nous verrons bien si nous avons des choses intéressantes qui sortent.

Bonjour Encore pire que la précédente, c'est possible ?, oui

Tu parles de ceux qui voyaient des canaux sur Mars ? :-)

Une image réalisée une nuit de Pleine Lune. 1h de pose (240x15s) Traitement PixInsight, Seti astro suite pour les aigrettes NGC 4618 est une petite galaxie spirale barrée de type magellanique relativement rapprochée et située dans la constellation des Chiens de chasse.

Le Houdini 12 sera disponible mi-juillet. Cela dépend du rapport focal et de la qualité de l'oculaire. Plus l'oculaire est bien corrigé sur les bords, plus tu sentiras le besoin de corriger la coma.

Bonjour, Pour cette dernière nuit de la lunaison (05 au 06 avril 2025), La Lune était en forte gibbeuse et se couchait à plus de 02h TU, s'il n'y avait pas eu la toute nouvelle comète C/2025 F2 (SWAN) à observer juste avant l'aurore, je ne suis pas certain que je serais sorti dans ces conditions Quitte à observer, autant faire une nuit complète et j'ai donc improvisé un programme d'observation de 1ère partie de nuit. En voyant la comète 496P/Hill tout juste passée au périhélie près de nébuleuses en émission dans le Cocher, je me suis dit que çà pourrait être sympa et qu'en numérique malgé la forte gibbeuse à 30° du champ imagé, çà devrait passer en poses de 60s Une vision un peu trop optimiste dans les faits, je me suis retrouvé avec un très fort gradient bien difficile à gérer : Je ne sais pas comment des magiciens du traitement ( @danielo ) parviennent à gérer de forts gradients liés à la pollution lumineuse ou la Lune et même parfois les deux, c'est vraiment un exercice difficile je trouve... Et je suis preneur de tout conseil en la matière J'ai fait comme j'ai pu, avec plusieurs retraits successifs dans Siril sur l'empilement (j'ai tenté aussi avec graXpert, mais je ne faisais pas mieux), puis un autre sur la starless, complété par une correction manuelle dans Gimp avant de faire le PixelMaths final. J'ai pu limiter la casse, mais le champ reste tout de même loin d'être aussi propre que lors d'une session sans la Lune ! On devine la traînée laissée par la comète sur le bas et à droite de l'image, entre deux étoiles brillantes du champ : Lors de son déplacement durant la séance d'observation, la comète est passée devant une étoile du champ (UCAC4-629-026371) de mag V=11.8, encore un problème à gérer au traitement qui ne s'anonce décidément pas aussi simple... Voici donc le résultat final : En crop sur l'essentiel : Et avec le champ complet : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Haut Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering pour 1 pose sur 2 Nuit du 05 au 06 Avril 2025 entre 19h07 et 21h05 utc 108 poses de 60s à -15°C, Temps d'intégration de 01 h 48 min pour les étoiles et nébuleuses, 81 poses de 60s à -15°C, Temps d'intégration de 01 h 21 min pour la comète, Traitement Siril-1.2.6, Finition avec Gimp 2.10.28 et GraXpert 3.0.0 Échantillonnage natif de 1,25"/pixel 496P/Hill a été découverte le 08 janvier 2010. Sa période orbitale est de 15 ans et elle effectue donc cette année son premier retour au périhélie (c'était le 10 mars 2025, à 1,6 ua du Soleil). Elle a été retrouvée fin septembre 2024 à la magnitude 20, et culmine vers la magnitude 15 à 16. La densité stellaire du champ n'a pas aidé à étudier sa morphologie : La chevelure est mesurée avec un diamètre de 20" et on semble deviner une courte queue (?) de 24" de longueur vers PA=204° (à 5h sur l'image ci-dessus), ce qui est bizarre car elle était était donnée vers PA=100° en mars... Voici les mesures photométriques : magnitude totale, m1 = 16.1 (rayon d'ouverture de 13") magnitude nucléaire : m2 =16.8 (rayon d'ouverture de 6") Merci de m'avoir lu jusqu'ici Bon ciel et très bonne soirée à toutes et tous

Bonjour, à l'instant , ou presque bon dimanche

Bonjour à toutes et à tous, Une bougie .... il y a un an exactement, je m'inscrivais sur Astrosurf (la veille j'avais reçu mon premier Seestar S50 inauguré le jour même par une image solaire et j'avais du patienter quelques jours avant la première sortie nocturne). Ensuite, je me suis abonné à l'excellente revue du même nom. je n'ai commencé à fréquenter assidûment le forum que durant l'été et c'est grâce à vos retours et conseils que j'ai peu à peu adopté quelques principes incontournables : - améliorer les conditions d'acquisition - poser plus longtemps - traiter les images etc... Alors j'adresse un immense merci à toutes et à tous qui êtes une grande source d'inspiration par vos belles images - j'ai autant de plaisir à les voir et les commenter qu'à réaliser les miennes - et vos retours. De mon côté , il ne se passe pas une semaine sans que je grapille un ou plusieurs conseils qui sont autant d'occasion pour avancer. Comme je ne peux citer tout le monde et qu'une petite sélection serait bien injuste et entrainerai des oublis, je vais adresser ces remerciements collectivement ... mais comme il faut quelqu'un pour porter les lauriers, ce sera donc Alain @ALAING , fidèle parmi les fidèles, bienveillant mais au regard aiguisé, le bon Saint-Eloi qui veille à ce que les petits Dagoberts du forum ne mettent pas leurs astres à l'envers ... Au début de ce mois d'avril en mode équatorial avec les Seestar S50 , j'ai pointé M 51, classique parmi les classique imagé lors de ma première sortie CP il y a donc presque un an ( je poste cette 1ère image à la suite de la nouvelle) Un des Seestar a tourné normalement et accumulé 4h05mn de poses, quant à l'autre .... le taux de rejets était anormalement élevé et il n'a recueilli que la moitié d'images, qui ont fini à la corbeille, totalement rejetées lors de l'empilement sous Siril (j'ai depuis réglé le problème et réétalonnant la boussole de l'instrument) ... une bonne illustration des aléas de notre activité, même avec des outils qui font presque tout le travail! Comme il s'agit d'une publication un peu rétrospective, j'ai décidé d'additionner ces images à celles capturées sur cette galaxie lors de sessions antérieures : une compilation un peu hybride (durées de poses, conditions et périodes bien différentes) M 51 (Galaxie sprirale - Chiens de Chasse ) Pradelles (Haute-Loire) 7 Avril 2025 + sessions précédentes Ciel dégagé - Lune très présente > 75% poses unitaires de 30 sec ( 10 sec pour les premières sorties) La cible est à 62° au dessus de l'horizon en début de capture (dernière sortie) Seestar S50 en mode équatorial Table équatoriale Skywatcher avec trépied Star adventurer Total d'acquisition de 7h45mn50sec après rejets (empilement Siril) Traitement Siril , Astrosurface, Seti Cosmic Clarity & Gimp A cette image, je fais suivre ma première tentative il y a bientôt un an Et sans rien changer aux bonnes habitudes ... à vos martinets! Eric "appiantiqua"

un petit tour dans les pieds de la grande ourse pour capturé M109 et ces voisines ,avec 50 brutes de 3mn ,avec lunette 102mm,asiaireplus, asi2600,traitement siril et astrosurface

Franck! J'avais pas allumé du coup sur le double sens! Y faut le garder pour vous le Jeff de France! les Jeff ça cours les pas les rues! C'est comme les ploucs d'Amérique 🤣🤣🤣 P.S. Jeff, Si le Ha est trop lumineux il faut l'atténuer! si les hauts lumières sont déjà cramée sur les brutes! Bin! touche plus à rien 😉 Bonne fin de soirée les cousins 😉

Sans détail sur le matos et les conditions de prise de vue cela restera un mystère.

Exactement. D'ailleurs je fais comme Serge, j'enlève la mienne pour traiter... Sinon je suis mal assis. J'ai un peu triché 😂

Mais non Martin, je ne pensais pas du tout à toi et ni ta constatation c'était plus pour plaisanter avec mon ami Jeff car je l'apprécie beaucoup. Après ça, ne t'inquiète pas, je sais que ce n'ai jamais facile à traiter avec les couches Ha

Bonjour Christian et merci pour ce comparatif. Concernant le dark, l’estimation chez PlayerOne (Uranus-M) est un peu plus optimiste , autour de 0.0007 e/s/pixel @ -15 degrés. J’ai cette camera depuis deux heures, je vais faire ce soir le test avec SharpCap pour vérifier si c’est confirmé. Simon

Un immense merci les copains, ces mots si gentils me touchent Très bon ciel à vous

Non, faut pas du tout Martin. Laisse, c'est très beau et bien suffisant comme ça. Moi, je préfère qu'il excelle dans ces traitements avec notre Team des Barjots car maintenant, il est aussi dans notre groupe. Donc, il peut faire moins bien les autres et super pour nous . Bon, chui déjà loin Non, il a mal vu Martin, c'est très bien comme ça Jeff. Reste avec les meilleurs, en toi force est

Quae Sunt Caesaris, Caesari <<--- (ok, je pinaille, mais c'est un datif singulier !)

Merci les copains pour vos messages. Bien vu @Martin Bernier, oui les goûts et les couleurs. Tu as raison on aurait pu rougir un peu l'affaire, mais on s'est arrêtés à cette version. JF

oui la blancheur des Pentax c'est un truc qui vous transporte comme s'il n'y avait pas de verre. Je ne sais l'expliquer. Si le H-20 fait honneur aux Nag 22 et Pentax 23, c'est avec certitude qu'il fait le boulot ! Par exemple j'ai abandonné le ES 25 100° qui est très "jaune", bien plus que l'ES 30 - 82° Rien remarqué de préjudiciable en terme de teinte sur le H-20...

C'est une bonne apreciation pour le Houdini, sachant qu'il est actuellement proposé à presque moitié prix du Pentax et sans compter le correcteur.. !

bonjour tout le monde je vous presente cet amas bien connu que j'ai shooté apres M51 pour finir ma soirée histoire de voir ce que ça donnerait avec le quattro 150 et la 585 50X 60 SEC + FILTRE IR EQ6 R PRO acquisition sous NINA SIRIL toujours ce petit probleme de MAP legere cosmetique avec faststone pas une grosse prise de tete les prochaines nuits n'ont pas l'air propices a la prise de vue malheureusement olive

Et vivent les lunettes de 210 mm du coup.

Oh oui. c'est ce qui permet de mettre en évidence les étoiles les moins lumineuses en périphérie mais que mon traitement a estompé à cause du fond de ciel trop noir

j'utilise la 2600 sur un 250f4 avec un filtre Lextreme en 2" ...aucun soucis! Le seul "truc" c'est de placer le porte filtre le plus proche du capteur après la trigo etc.... j'évite de me lancer dans des calculs ou autre.... la dernière fois fois qu'on m'a demandé A+B² ,j 'ai trouvé L'ile de pâques.... (j'ai du me planter quelque part )

Ce sont des jupes striées, et malgré que je n'en possède pas, je pense que c'est une meilleure solution aux autres jupes.

ah ok...

Je cherchais à expliquer qu'un laser de collimation déréglé ou mal positionné pouvait donner l'impression d'une bonne collimation alors que le système entier est flingué. et je suis tombé sur un simulateur optique en ligne incroyablement simple et facile : https://phydemo.app/ray-optics/fr/ vous positionnez votre type et source de lumière, lentille, miroir et hop Petite simu ci-dessous d'un laser bien collimaté mais shifté par rapport à l'axe d'un miroir (dans la simul je n'ai pas réussi à dire que le miroir n'était réfléchissant que d'un seul côté, ce qui explique que des rayons partent vers le bas, ils ne font donc pas en tenir compte) Autre simu avec un laser décollimaté qui arrive à donner une bonne position et je me suis abstenu d'incliner les miroirs dans cette simu de façon perverse qui peut aussi conduire à donner une "bonne collimation" alors que tout est vrillé sur l'exemple ci-dessous (non annimé ; parce... c'est chiant à faire) un exemple où tout est tilté, mais peut donner l'illusion que la collimation est bonne accessoirement, c'est grâce à ce logiciel en ligne que j'ai enfin compris pourquoi il fallait mettre de l'offset sur le secondaire toujours sur ce logiciel il y a des galeries d'exemples interactifs, amusants, passionnants, puissants. : https://phydemo.app/ray-optics/gallery/

Bonjour, aujourd'hui une série de 240x15s (1h) sur ces 2 galaxies. A gauche de l'image, tout riquiki, Arp 117 est une paire de galaxies en interaction constituée d'une lenticulaire (NGC 5544) et d'une spirale (NGC 5545), NGC 5529, une grande galaxie spirale vue par la tranche Traitement Pixinsight, Seti astro suite pour les aigrettes, Photoshop finition

Aussi, et à ceux qui les ont démentis. Le vilain cochon est sorti du bois....

merci a vous celle ci était pas mal jean-marc

rhaa je m'éclate

Dans la chevelure de Bérénice, il y a un paquet de pellicules galaxies dont ce rapprochement un peu singulier de quatre NGC 4169 4173 4174 et 4175, encore connu sous le nom catalogue de Hickson 61 ou encore "ze box" avec l'accent ricain. Crop réduit sur la boite : La perspective est intéressante, car la galaxie en fuseau bleue est beaucoup plus proche à 50 millions d'années lumière tandis que les trois autres sont à 180 millions d'AL. Les trois au fond sont probablement en interaction gravitationnelle tandis que la plus proche est juste planplan à l'avant plan. Pour continuer la perspective, il y a dans l'image un amas de galaxies beaucoup plus distantes. L'amas Abell 1495. Il est à 1.8 milliards d'années lumière. On voit des objets encore plus lointains dans l'image, des quasars, il y en a une vingtaine dans le catalogue Milliquas annoté dans Aladin : Le plus distant est à z 2.55, sa lumière a mis 11 milliards d'années à arriver jusqu'au Pic ! Pour la prise de vue, T50 perché sur le Pic du Midi, mission avril 2024. Une soixantaine de poses de 2 minutes avec filtres clear, B et R (V synthétique), sur deux nuits. Bon ciel de Pâques à tous, Jean-Philippe

Il me semble que désormais, tout le monde fait du serrage annulaire (bon sauf Taka qui vit encore au XXè siècle) et que la gorge de sécurité apporte plus de galère qu'autre chose avec le serrage annulaire.