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Affichage du contenu le plus aimé le 17/06/2018 dans toutes les zones

  1. 9 points
    Bonsoir, Petites conjonctions de hier et de ce soir …
  2. 7 points
    Bonsoir les amis, Ben voilà, ça y est les copains, C'est fait, j'ai pété le nourrain, Et pour la fête des pères, Que me suis-je donc offert ? Hé oui !!!!! Une ASI 224MC Que je me suis empressé de tester la nuit dernière sur Juju et Saturne. Bon, rien de bien sensationnel, il va falloir que l'on fasse connaissance tous les deux. Mais rien qu'en vitesse, c'est fabuleux ! Sur Juju avec ma DBK et mon Dell sous XP je plafonnais à 30img/sec, là je suis à 100img/sec en 640x480. Idem sur Saturne où je plafonnais à 7,5 img/sec, je suis à quasiment 40img/sec Bien que les conditions météo n'étaient pas super géniales, voilà mes deux premiers bébés : Juju d'abord : Et Saturne pas terrible mais déjà mieux que ma précédente tentative Réduites quand même à 70% pour cacher la misère Bonne soirée, AG
  3. 6 points
    Juste pour participer. Je trouvais que l'image était esthétique avec les nuages, aucune ambition technique, juste pour me faire plaisir! Prise à main levée au 150/600 Sigma S 1/6 ème de Seconde à 2 500 ISO.
  4. 4 points
    Salut à tous, Quelques heures avant les images de Mars. La nuit était stable au point que les RVB parviennent à une meilleure résolution que les IR. Mais transparence médiocre, encore des images bien jaunes à l'origine... La zone équatoriale continue à se colorer fortement, la teinte dorée est belle !
  5. 4 points
    Nostalgie ! Quand La planète Saturne était haute dans le ciel …..avec une simple Webcam couleur !!! Robert
  6. 4 points
    M29 la nuit du 03 juin 2018, avec une couche Ha la nuit du 14 juin. C11 Edge HD 10 poses unitaires de 90 secondes en filtre L, R, G et B, 10 poses unitaires de 90 secondes en filtre Ha M29 (NGC 6913) est un amas ouvert de la constellation du Cygne. Il s'agit d'un amas peu dense, comptant environ 50 étoiles. Sa distance estimée est d'environ 3 700 année-lumières. Observé pour la première fois par Charles Messier en 1764 dans une zone de haute densité stellaire, près de Gamma Cygni. Il est délaissé par Herschel qui le décrit sans plus d'intérêt. Les 5 membres les plus chauds de l'amas sont des étoiles de type B0, environ 160,000 fois plus lumineuses que le soleil. Six des étoiles de M29 ont une magnitude de 9.5, la plus lumineuse ayant une magnitude apparente de 8.59. Sans les poussière de la voie lactée, M29 nous apparaîtrait 1000 fois plus brillant. M29 fait partie de l'association OB1 du Cygne (une association O-B est regroupement faiblement lié d'étoiles de type O et B qui s'étend jusqu'à plusieurs centaines d'années-lumières et peut contenir entre une douzaine et plusieurs centaines. Les membres d'une association OB sont jeunes et ont à peu près le même âge. Les associations OB1 se dissipent en quelques dizaines de millions d'années). Son âge est estimé à 10 millions d'années. Les étoiles de type O et B sont si puissantes qu'elles ne vivent que fort peu de temps. Elles ne s'écartent donc que peu de l'endroit où elles se sont formées. Ainsi, elles ont tendance à s'assembler en ce qu'on appelle des associations OB1 qui regroupent ces étoiles au sein d'un immense nuage moléculaire. L'association OB1 d'Orion est un autre exemple de ce genre d'association, qui forme un bras entier de la Voie lactée et contient toute la constellation d'Orion. M29 se rapproche du système solaire à une vitesse de 28 km/s. Il a une densité d’étoiles équivalente à 1000 fois la densité moyenne de la Voie Lactée. Dès les années 50, il a été constaté que la lumière provenant des étoiles de l’amas était polarisée par la traversée de matière interstellaire. Cette matière interstellaire, 1000 fois plus dense aux abords de Messier 28, lui fait perdre perdre jusqu’à 3 magnitudes apparentes. Certaines de ses étoiles montrent d'ailleurs de légères variations irrégulières de luminosité, confirmant le déplacement de matière sombre devant elles. Ces nuages moléculaires sombres ont d'ailleurs compliqué le calcul de la distance de l'amas, avec selon les sources, des distances estimées entre 4 000 et 7 200 années-lumière (incertitude due à l'imprécision du facteur d'absorption de la lumière de l'amas). Cet effet s'appelle l’extinction interstellaire et donc désigne la quantité de lumière absorbée et diffusée par le gaz et les poussières du milieu interstellaire le long d'une ligne de visée depuis un objet céleste donné. C’est un effet fortement chromatique : dans le spectre visible, l’extinction est plus importante pour le bleu que le rouge et l'on note un rougissement. Le dérougissement est l’opération qui consiste à ôter par le calcul les effets de l'extinction sur une observation. Ce phénomène avait évoqué intuitivement par Tycho Brahe. Pour les étoiles situées près du plan de la Voie Lactée et à quelques milliers de parsecs de la Terre, l'extinction dans la bande visuelle est de l'ordre de 1,8 magnitudes par kiloparsec. Il diffère de l'extinction sensu largo, qui désigne le même phénomène provoqué à la fois par le milieu interstellaire et par l'atmosphère terrestre. Une étude de 2000 par une équipe chinoise s'était intéressé au rougissement de M29, en insistant déjà à l'époque sur la nécessité de se fonder sur une étude spectrale et pas seulement photométrique de ces objects à fort rougissement. En effet, les auteurs constataient des variations extrêmes d'extinction à travers NGC 6913 avec une distribution d'extinction corrélée à la température effective des étoiles pour les étoiles antérieures au stade F8. Il constatait que l'extinction était relativement homogène au centre de l'amas et était très importante dans la partie nord et sud de l'amas (avec la plus grande extinction), Les parties est et ouest étant des régions à faible rougissement. Enfin, ils notaient qu'une grande partie des valeurs de rougissement interstellaire des étoiles de NGC 6913 à partir de la classification spectrale étaient très différentes de celles obtenues par photométrie (en particulier pour les étoiles de type B et F précoces), la plus grande divergence s’élevant à 1,48 mag. Sources : J.-J. Wang and J.-Y. Hu "Spectral classification and reddening in the young open cluster NGC 6913" Astron. Astrophys. 356, 118–126 (2000)
  7. 3 points
    ir cut plus filtre violet au 200mm mirrosphere dit le "météore" baradv x2.
  8. 3 points
    Bonjour à tous, Retour à ce qu'on aime le plus, du LRGB agrémenté d'un peu de Halpha avec un champ très peu photographié à la limite du Scorpion et de l'Autel, tout près de la belle NGC6188 et qui regorge pourtant de beaux objets : Gum54, NGC6250, les nébuleuses sombres Sandqvist 189,190,191,192 et un petit amas assez original Westerlund 1 avec des étoiles très rouges et de nombreuses petites nébuleuses à émission ! bref je vous laisse regarder la version annotée par Sakib Rasool sur notre site ! Pour la technique : Observatoire remote APO - chez Alain Maury - Chili TOA150 + Flattener 67: focale 1100mm, échantillonnage 1.68" par pixel, champ 1°55' x 1°55' Alta U16M ( KAF16803) à -20° et -27° pour le narrowband Filtres Ha en 3 nm, LRGB en Astrodon Par champ : Ha = 15 x 40 min L = 24 x 20 min RGB = 6 x 20 min par couche Monture Mini-OHP et MCMT Guidage par Atik 314L+ en bin2, acquisition 1 sec 25 Darks 25 Bias 9 Flats Chef d'orchestre pour l'acquiz, autoguidage et prétraitement : Prism v9 Traitement : Prism, Iris et CS6 Comme toujours la full mérite le détour je pense Merci pour votre passage ! @+, Thierry APO_Team Thierry Demange, Richard Galli et Thomas Petit
  9. 3 points
    ... au smartphone, en afocal, derrière jumelles Lidl 10 x 50 Petit rappel du montage :
  10. 2 points
    Salut les astrams M27 en toute simplicité : je n'ai plus envie de passer des heures et des heures pour l'acquisition et le traitement ! donc un "one shot" modeste, 10 minutes tout compris (acquisition, traitement) ! Un résultat modeste également mais le rapport qualité/pénibilité est minimum ! Cette astronomie là me plait. Je m'installe, je mets en station au viseur polaire (bien réglé), je choisis mon objet et je lance l'affaire ! Pas de dark, pas de flat, pas d'offset . . . . (ouille ! je crois que je vais prendre !! ) Sérieusement, j'essaie de vous expliquer ma démarche qui n'a rien d'originale car nous somme nombreux à la pratiquer. Merci de m'avoir lu et peut être compris ! matos : mach1, epsilon 180, 5dmk2 . . . et oui il faut ce qu'il faut !! Pat
  11. 2 points
    Toujours dans le registre « Remise en cause de la matière noire », un récent papier de chercheurs français cible plus précisément les galaxies naines : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/5643.htm (lire le pdf)   Plus besoin de matière sombre pour expliquer la dynamique des galaxies naines Des astronomes de l'Observatoire de Paris – PSL et du CNRS au département Galaxies, étoiles, physique et instrumentation - GEPI (Observatoire de Paris - PSL / CNRS) font voler en éclat la preuve de l'existence de matière sombre dans des galaxies naines situées au voisinage de la Voie lactée. Ils démontrent que l'agitation désordonnée des étoiles de ces galaxies est causée par l'attraction gravitationnelle de la Voie lactée, s'affranchissant ainsi de la présence de matière sombre, selon un scénario dynamique original. Ces travaux paraissent dans la revue Astrophysical journal, en date du 14 juin 2018.
  12. 2 points
    Bravo Christophe, C'est passionnant de voir toutes ces belles images qui sortent de la cour des grands. Merci de nous en faire profiter à nous pauvres petits.
  13. 2 points
    L'oeil du chat à été visité hier soir, la partie centrale bien lumineuse dévoile des filaments, je reste sur un grossissement de x300, c'est un bon compromis, il me semble voir des extensions autour de l'oeil, mais je ne sais pas si c'est réel ou un effet d'optique due à la lumière intense de l'oeil. Ça reste un objet petit, contrairement à Ngc 4565, qui s'étale complètement dans tout le champ, il faut déplacer la monture pour suivre les contours de la galaxie, le contraste de la bande de poussière est bluffant ! Un petit tour vers juju, chanceux, la tâche rouge est en train d'émerger pendant qu'un satellite va passer derrière le disque planétaire. Contrairement à avant hier j'ai une belle vision colorée de la gtr, et je vois même les nuages contournants la gtr. J'en profite pour dire que si certains sont intéressés pour venir faire un séjour ici, ils peuvent en plus de mettre l'oeil au T600, amener leur matériel photo et le mettre dans un grand terrain plat situé entre la piscine et l'observatoire, c'est plus dans les lumières du village, mais à mon avis pas gênant car la pollution lumineuse est très vite estompée au delà de 30 degré d'élévation. Le terrain est très grand et l'herbe est tondue, le top pour poser un scope.... Jc
  14. 2 points
    salut , oui la belle se pointe en journée maintenant celle de 19 h 11
  15. 2 points
    En tout cas c'est un truc qui devrait plaire à ChiCyg alias "GTV" s'il nous lisait encore: le papier suggère un Univers (dit "de Milne") dont la métrique est confomément plate. C'est un papier de cosmologie, qui détaille donc les différents tests cosmologiques (supernovae, abondances, pic d'oscillations acoustiques du CMB,...) mais rien n'est dit sur les structures plus petites (superamas, amas, galaxies). J'irais jusqu'à dire que le papier prédit que la matière noire cosmologique (i.e. l' antimatière, dans ce contexte) n'est pas la même que la matière noire des amas de galaxies et des galaxies puisque selon le papier les deux composantes (matière-antimatière) se séparent et cessent d'intéragir aux alentours de z=10000.
  16. 2 points
    Pas seulement ce qui sera sous tension : des courants induits vont se former et se propager dans tout ce qui conduit l'électricité, présentant une longueur suffisante pour que les différences de potentiels créées deviennent destructrices... Avec un ordre de grandeur de 20V/km pour un évènement "moyen" et des pics localisés dont on ignore totalement la valeur qu'ils peuvent prendre (voir les descriptions des effets des courants induits pour l'évènement de Carington, à une époque où les réseaux longues distances n'étaient que télégraphiques...) on imagine aisément qu'avec nos réseaux actuels maillés/interconnectés aux dimensions continentales, ça ne va pas se passer pareil : on va se retrouver en caleçons ! Avec des infrastructures durablement inutilisables si elles sont gravement endommagées à grande échelle, comme en temps de guerre. Un truc me frappe dans tout ça : la sidérante fragilité de notre civilisation technologique à ce genre d'évènement naturel somme toute banal. Bien sûr dans d'autres domaines, nos progrès nous préservent d'autres dangers ou les minimisent ; mais pourquoi faut-il que nous soyons toujours aussi inconscients de ce qui nous pend au nez de façon évidente et certaine, pour que nous négligions autant de nous en occuper avant qu'il soit trop tard ? Sans vouloir jouer les oiseaux de mauvais augure, le risque statistique d'une vilaine tempête solaire, pour notre civilisation actuelle, me paraît bien plus considérable et à prendre plus au sérieux que celui d'un impact météoritique majeur, à court terme (même si pour ce dernier les conséquences pourraient évidemment se révéler cataclysmiques !) Les gros impacts réellement menaçants pour des centaines de milliers ou des millions d'humains - à moins d'un manque de bol insensé pour qu'il touche demain matin de plein fouet une mégapole - c'est au pire tous les quelques millions d'années, à la louche... Avec un peu de chance et d'optimisme (beaucoup quand même, j'admets, mais pour d'autres raisons ) on disposera donc des millions d'années nécessaires pour trouver dans le futur une parade technologique plausible à cette menace, certes terrifiante, mais vraisemblablement lointaine. (il ne suffira pas d'envoyer Bruce Willis toutefois : il sera trop décati !) Je suggère donc qu'on s'occupe des risques plus immédiats, et sur lesquels on peut en outre agir rapidement si on cesse de se comporter comme des gosses immatures en continuant de faire l'autruche ou en omettant de hiérarchiser nos priorités ! Parce qu'un méchant sursaut du Soleil - quand la Terre a l'infortune de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment - se produit plus probablement au mieux tous les quelques siècles, et finalement pourrait provoquer en cascade autant de conséquences catastrophiques et de victimes indirectes qu'un gros impact, compte-tenu de notre vulnérabilité sans précédent à ce type d'évènement pourtant moins "photogénique". Premier constat : on orbite sur l'Écliptique... C'est pas bon du tout pour nous, ça ! Alors commençons par un truc simple : mettons la Terre en orbite polaire autour du Soleil : on sera déjà plus tranquilles Voilà un objectif raisonnable pour monsieur Muscle : suggérerons-lui ce genre d'utilisation pour son suppositoire géant, dont il ne saura que faire dès qu'il aura fini de terraformer Mars à coup de bombes atomiques, en prévision de quand nous aurons achevé de vénusaformer la Terre ! Allez, sérieux : Si les destructions ou les défaillances des communications et de l'approvisionnement en matières premières & énergie - comme il faut s'y attendre - impactent fortement les capacités de production industrielles, ce ne sont plus "quelques heures ou quelques jours" qu'il faudra pour rétablir une situation "normale" : cela pourra prendre des mois, voire des années si ça barde vraiment ! On peut passer véritablement à une économie de guerre planétaire. On oublie trop facilement que l'extraction, la transformation et le transport des énergies fossiles telles que pétrole, gaz et charbon, tout comme ceux des matières premières, nécessitent aussi impérativement, entre autres, de l'énergie électrique et des communications longues distances à des moments quelconques de leur traitement - et plutôt dix fois qu'une ! On oublie notre dépendance vitale et immédiate à l'eau potable par exemple - un détail - surtout pour les populations urbaines, qui sont maintenant majoritaires ! On oublie surtout le temps, l'énergie et les moyens colossaux nécessaires pour bâtir ou rebâtir des infrastructures absentes ou détruites à l'échelle d'un pays, voire de la planète entière... La moindre raffinerie a besoin d'électricité pour fonctionner, le transport ferroviaire aussi, la distribution des énergies fossiles aussi ; la production industrielle sous toutes ses formes, encore et toujours... Tout - absolument toutes nos activités humaines ainsi que la satisfaction de tous nos besoins primaires - sont désormais devenus archi-dépendants de la circulation planétaire de l'énergie, des matières premières et de l'information ! Une fois épuisés nos stocks de combustibles immédiatement mobilisables même sans transports, distributions ni communications - en quelques jours tout au plus - si réellement la production ne peut pas reprendre aussitôt, c'est la paralysie totale : tout notre système économique peut s'effondrer brutalement et durablement avec la mise à mal de nos infrastructures vitales et la déstabilisation de toute l'organisation de notre société. Les conséquences matérielles, physiques, sociétales, d'une grosse colère du Soleil deviennent effectivement incalculables à l'ère industrielle, et plus encore à l'heure où nos vies bien réelles sont soumises à des dépendances si critiques au numérique et au virtuel. Même à très court terme, l'accès à la nourriture deviendra gravement problématique pour une proportion effarante de la population des pays industrialisés, si nos systèmes de distribution, de stockage et de conservation défaillent. Instantanément ou presque, aussi, plus d'accès aux soins de santé, etc, etc. À part quelques rares petites économies rurales marginalisées, encore auto-suffisantes localement car fondées sur une agriculture vivrière et de l'élevage extensif de pure subsistance, l'écrasante majorité des humains va se retrouver KO du jour au lendemain, totalement prise au dépourvu. Comme souligné à juste titre dans le papier présenté par Bruno (bien que celui-ci reste beaucoup trop superficiel à mon sens) : la quasi totalité de nos activités humaines - en tout cas la totalité de celles qui sont vitales - dépendent à présent directement ou indirectement de transactions - au sens large - planétaires. Brutalement privés de transports par exemple, que devenons-nous dans les faits ? (un truc basique pour illustrer l'insolubilité du problème à brève échéance dans un tel cas de figure : comment continuer de fabriquer et distribuer les carburants sans électricité, faire le plein des véhicules à moteurs thermiques qui sillonnent pour nos besoins toute la planète sur terre, mer, air ?) Sans plus de production ni de distribution des produits de première nécessité, privés de communications, sans possibilité de contrôles ni de gestion des ressources vitales faute d'informations et faute de pouvoir les acheminer, sans plus de gestion administrative ni financière avec la perte de tous les services dématérialisés, sans plus de coordination technique possible ni de pouvoir exécutif opérationnel pour les mêmes raisons, donc sans plus aucune capacité d'intervention massive avec une stratégie et des moyens adaptés à la gravité, à l'ampleur et à l'urgence de la situation... Ça se gâte sérieusement pour nous, non ? et vite !!! Car simultanément nos yeux, nos oreilles et nos cerveaux électroniques sont HS : toutes nos aides à l'analyse et à la décision, oublions-les... Bon courage, si ça nous arrive en l'état actuel de notre impréparation ! Comme face à la plupart des catastrophes naturelles de grande ampleur, dès lors que "de mémoire d'homme on n'a jamais vu ça" (de mémoire de poisson rouge non plus, d'ailleurs, forcément ! ) on fera comme d'hab' : Comme si ça n'existait pas - ou si peu - jusqu'au jour où ça arrivera vraiment, fatalement ! On retournera alors du jour au lendemain et pour une durée indéterminée "à l'âge de pierre" effectivement, mais en pire : car plus personne ne saura tailler des silex ni allumer du feu sans son sot briquet de la Boring company Ce jour-là, à mon avis, pire que l'anarchie : ce sera le chaos ! Heureux celui qui aura encore alors - pour lui et sa famille, ses voisins, ses amis, sa petite communauté locale - un potager, quelques poules pour se nourrir... et une citerne ou une cave bien remplie pour tenir le choc sans perdre le moral en attendant des jours meilleurs Monsieur Muscle, lui, sera comme toujours un privilégié : il aura toute une planète vierge et radioactive fraîchement terraformée par et pour lui seul ! Quel veinard !!! Seul sur Mars à recycler ses propres excréments dans ses patates "bios", juste légèrement phosphorescentes
  17. 2 points
    Bonjour et merci Sauveur, Gérard, Cédric, Alain, René, Michel, Xavier, JC, astrocris et Kaptain ... astrocris, c'est fait avec un Canon 600d équipé d'un vieil objectif super Carenar de 55mm diaphragmé à 5.6... 2,5 secondes de pose à 800iso ...
  18. 2 points
    Pour ma part j'ai déjà capté un point important qui autorise un préjugé favorable : l'un des deux auteurs se prénomme "Aurélien" ...
  19. 2 points
    Bravo pour le clin d'oeil dans le rétro !!! Nostalgie .... Vive la Toucam
  20. 2 points
    Les lecteurs du prochain numéro d'Astrosurf magazine auront l'occasion de lire que c'est mon scénario le plus improbable, la tempête globale du début de printemps austral sur Mars, qui pourrait être en cours de réalisation... mais avec un mix du scénario le plus probable. Une tempête trans-équatoriale a démarré vers Mare Acidalium le 31 mai. C'était déjà un poil tôt dans la saison (équinoxe d'automne boréal passé le 22 mai), mais là l'extension de l'activité dans l'hémisphère sud commence à atteindre des proportions assez sévères, très inhabituelles pour la saison à l'exception de la grande tempête de 2001 qui avait commencé au même moment à peu près. On cours le risque de ne pas voir la surface à l'opposition, mais en tous cas, ça sera fascinant à suivre ! On ne dirait pas, mais là, c'est l'hémisphère de Sinus Meridiani... on ne voit plus que Sabeus à droite Solis Lacus non visible: Encore Sinus Meridiani, avec de la poussière qui remplit Valles Marineris à droite:
  21. 2 points
    Voilà : Bonne journée à vous, AG
  22. 2 points
  23. 1 point
    bonjour à tous, Saturne prise avec la lunette Vixen 114EDSS, barlow powermate 5x caméra asi224mc monture eq6 f/d=26.3 focale 3000 je la trouve assez bien, peut-être les couleurs trop voyantes ? bon ciel bernard
  24. 1 point
    bonjour à tous ! Levé à 3h30 , je suis sorti ! on voyait pas grand chose dans le ciel à part un beau point rouge , magique ; attirant ! on ne voyait pas Saturne et juste quelques étoiles à la verticale vraiment faiblardes ! je me suis pressé et j'ai eu juste le temps de faire une couleur et 2 ir !! l'histogramme faisait le yoyo pendant les captures !! CGG 300 f/d de 20 adc asi 224c et asi 178mm à 1h54 tu : à 1h59ti:u je suis pas rentré bredouille , mais ce fut juste !! polo
  25. 1 point
    15 dessins : 8143 à 8157 Dobson 508/1920. La Lune en croissant dans le Taureau éclaire un peu la terrasse. Des chouettes s'excitent dans la nuit tombante. La séance commence à 22 heures sur une galaxie du Petit Lion. Observation 8143 : NGC2859. 201x. Très condensée, elle montre un centre assez faible à considérablement faible, le reste est faible à très faible. Elle est aussi diffuse. Puis je plonge à côté dans l'amas de galaxies Abell 779 vers alpha du Lynx mais limitrophe du Petit Lion. Observation 8144 : NGC2839. 201x. Elle est petite, diffuse, faible, avec son centre assez discret. Observation 8145 : NGC2831 à 2834. 201x, 276x. 4 galaxies s'attroupent, avec NGC2832 en chef de bande, considérablement faible, très diffuse, avec un halo très faible s'étendant en vision indirecte. NGC2831 est faible et attachée au cocon de la précédente, NGC2830 très faible et allongée, et enfin NGC2834 est petite et faible à très faible. Ce petit groupe est sympa. A 23h la Lune s'est couchée derrière les arbres mais pas encore l'horizon réel, le ciel restant plus clair encore un bon quart d'heure. Observation 8146 : NGC2825 à 29. 201x. La première est faible à très faible, allongée en vision décalée. NGC2826 est faible, effilée en regardant de côté. NGC2829 n'est vue qu'en vision indirecte VI2-3, diffuse. Observation 8147 : NGC2827 et 28. 201x. Pour boucher le trou de numérotation des galaxies du dessin précédent, voici donc NGC2827 faible à très faible, ovale en vision indirecte, et NGC2828 minuscule, faible et difficile à différencier d'une étoile. Observation 8148 : NGC2833. 201x. Je la note considérablement faible à faible, condensée, évidente. Victime d'un insecte, je ressens une passagère démangeaison dans le dos à minuit. Observation 8149 : NGC2823. 201x. Faible à très faible, diffuse, elle se révèle plus évidente en vision indirecte. C'est la dernière du groupe Abell 779. Je pars plus à l'ouest sur la grosse galaxie du Lynx. Observation 8150 : NGC2683. 201x, 402x, 85x, 138x. Je la vois très faible et floue au chercheur 9x50. Au 508, elle est brillante, turquoise. Le centre reste discret. On sent que ça bouillonne de nodosités mais dures à détacher. J'en espérais plus. Je retourne sur l'amas de galaxies Abell 1367 du Lion entamé 2 nuits avant. Observation 8151 : NGC3857-62. 201x. NGC3862 considérablement faible montre un halo en vision indirecte, et partage l'espace avec NGC3857 faible avec un halo de même brillance que celui de sa voisine, avec IC2955 comme une étoile floue faible à très faible, et avec PGC36575 très faible. Observation 8152 : NGC3859 en duo. 201x. NGC3859 faible et allongée est escortée par PGC36586 très faible et presque stellaire. A 1h50, j'ai mal aux pieds et un coup de barre m'assaille. Il est temps de s'assoir un peu dans la chaise de jardin. Observation 8153 : NGC3864-8. 201x, 276x. Un trio de galaxies apparaît dans l'oculaire, NGC3864 très faible à VI1 diffuse, NGC3867 faible allongée, et NGC3868 faible à très faible étoile floue. Passons aux galaxies de la Vierge. Observation 8154 : NGC5426-27. 85x, 201x, 276x, 402x. Voici Arp 271, un autre joyau des fiches de Michel Nicole. Le couple est séparé dès 85x. Les spires de NGC5427 se révèlent plus dures qu'attendu, mieux vues à 138x et 201x. NGC5426 est faible à très faible et NGC5427 est considérablement faible. Mais des voiles survenus du sud-est gênent beaucoup. Je dors d'ailleurs une demi-heure pour attendre leur départ. Puis je rends visite aux galaxies des Chiens de Chasse jusque dans l'aube. Observation 8155 : NGC5394-5. 201x, 276x. Je redécouvre un autre duo galactique très marquant, Arp 84, encore tiré des fiches de Michel Nicole. L'ensemble est surnommé le Héron, et effectivement la forme de l'ensemble évoque cet échassier. Le cou est VI2, fin, mais ne rejoint pas l'autre galaxie. Le corps NGC5395 considérablement faible a un coeur marqué, la tête NGC5394 est considérablement faible à faible. Observation 8156 : NGC5303. 201x, 276x, 85x. La galaxie assez faible est vue dès 85x, accompagnée à plus de 200x par la très faible NGC5303B. Observation 8157 : NGC5305. 201x, 85x. J'attrape cette galaxie très faible dans l'aube, avec son centre assez facile. Elle est vue aussi à 85x. J'ai tenté Mars et Saturne mais trop turbulentes pour en tirer ne serait-ce que du valable. Je teste à cette occasion le filtre rouge 23A sur Mars. Il diminue les effets de la turbulence, l'image est plus lisible mais reste trop brouillée dans cette atmosphère agitée.
  26. 1 point
    Etonnante cette galaxie entourée d'un anneau. C'est l'anneau qui est plus lumineux en bas à gauche ou une autre galaxie derrière ? Ou c'est une nébuleuse planétaire ? La MI 1 Elle est située à proximité de M83. L'image est en inversion miroir pour les puristes.
  27. 1 point
    attendez que je poste ma prochaine amicalement un petit essai avant d'aller au lit de l'image d'Alain, si ça gène, je retire saturne Alain.bmp
  28. 1 point
    D'un autre côté, faire des photos de terrain avec un fixe...
  29. 1 point
    Et avec l'anneau un peu plus blanc et lumineux ...
  30. 1 point
    Très belles images, bravo Christophe ...
  31. 1 point
    Très belle quand-même, bravo
  32. 1 point
  33. 1 point
  34. 1 point
    Très belle image de ce charmant amas, et merci pour toutes ces infos! Daniel
  35. 1 point
    Bravo pour cette jolie Vénus JC
  36. 1 point
    Bravo pour ce joli amas avec les infos qui vont avec JC
  37. 1 point
    Jolis rapprochement dans le couchant
  38. 1 point
    Super piqué, c'est beau. C'est quoi comme setup? Bravo
  39. 1 point
    Bravo pour ces beaux rapprochements avec les petites aigrettes sur Vénus c'est très joli JC
  40. 1 point
    Superbes prises Pierre-Alain. La seconde est ma préférée. Xavier
  41. 1 point
    Superbes images! Une préférence pour la deux.
  42. 1 point
  43. 1 point
    Très beaux rapprochements, bravo Pierre-Alain Et bon dimanche, AG
  44. 1 point
    Salut Christian, très joli coup cette image de Jupiter !
  45. 1 point
    Superbe la 3D Mais tu pourrais aussi mettre le texte en 3D stp Xavier
  46. 1 point
    C'est un peu plus complexe que ça quand même. La nature du phénomène et les mécanismes de chauffage du plasma coronal n'ont rien à voir avec la combustion d'une flamme de bougie ni celle du sot briquet de monsieur Muscle . Ce n'est pas une réaction chimique qui en est la cause. L'induction magnétique et le transfert d'énergie par ondes d'Alfvén y jouent un rôle prépondérant et commencent à être bien élucidés depuis une dizaine d'années au bas mot, voire beaucoup plus pour une partie du problème Un papier ici : http://iopscience.iop.org/article/10.1088/0004-637X/776/2/78/meta présente les résultats les plus solides et convaincants sur cette question, même s'il en existe de plus récents que je n'ai pas pris le temps de rechercher (2016 ?) car ils semblent confirmer ces mécanismes avec un degré de confiance satisfaisant ; les simulations les plus récentes sont en bon accord avec les mesures. Donc ce ne serait plus tout à fait aussi mystérieux même s'il nous reste, comme toujours, encore beaucoup à apprendre et découvrir.
  47. 1 point
    C’est marrant comme la boule 3D parait petite . excellentes images !
  48. 1 point
  49. 1 point
    Même si la tempête de poussière affecte la région du cratère Gale bien plus modérément que celle du cratère Endeavour (pour Opportunity), on peut y constater la progression de l'opacité atmosphérique : en 8 images du 2 avril 2018 (sol 2010) où tout était clean, au 12 juin 2018 (sol 2079) - Justin Cowart : MAHLI 14 JUIN 2018 (SOL 2081) : Le trou de forage éclairé par LED Alignements des tirs laser PANORAMA MASTCAM 11,6 mb - 5 JUIN 2018 (SOL 2072) Jan van DRIEL :
  50. 1 point
    L'indice d'opacité (Tau) dans la zone d'Opportunity est de 10,8, et de 2 à 3 dans le cratère Gale pour Curiosity (mais orienté à la hausse). Noter qu'à part un éventuel dépôt de poussière sur le rover, en particulier sur les optiques des caméras, Curiosity n'a rien à redouter de cette tempête. Ces deux vues du rover Curiosity de la NASA, acquises spécifiquement pour mesurer la quantité de poussière à l'intérieur du cratère Gale, montrent que la poussière a augmenté pendant trois jours suite à la tempête de poussière martienne. L'image de gauche montre une vue de la bordure est-nord-est du cratère Gale le 7 juin 2018 (Sol 2074); l'image de droite montre une vue de la même entité le 10 juin 2018 (Sol 2077).