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Affichage du contenu le plus aimé le 18/12/2018 dans Messages

  1. 13 points
    Bonsoir à tous, Grosse chance avec la météo la nuit de samedi à dimanche ; après une journée de pluie continue le ciel s'est découvert en début nuit dans la campagne Rennaise. Du coup j'en ai profité pour immortaliser la conjonction entre la comète du moment et les pléiades dans un ciel noir après le coucher de la lune. Prise de vue en mode feignasse (55 x 30sec sans dithering) avec un 70/200 F4 canon fixé sur le sony A7s le tout fixé sur une vielle superpolaris. Pré-traitement SIRIL pas à pas avec le tuto de Colmic et finitions sous CS2. Le couple sony A7s + SIRIL décoiffe pas mal par rapport à ce que je faisais il y a peu avec le canon 1000D + IRIS ... difficile de savoir où s’arrêter dans le traitement !! Bon tout n'est pas rose avec le A7s; l'image souffre d'un bande bleue à gauche de la comète à priori c'est connu sur le sony (https://www.cloudynights.com/topic/519941-sony-a7s-split-sensor-and-banding/) et si quelqu'un a une astuce pour la faire disparaitre je suis preneur ! Trêve de blabla voici l'image : Bon ciel à tous Rémi
  2. 12 points
    Bonjour à tous L'équipe CIEL AUSTRAL (Jean-Claude Cannone, Nicolas Outters, Didier Chaplain, Philippe Bernhard, Laurent Bourgon) vous présente 2 objets réalisés au CDK20" depuis l'Observatoire El-Sauce au Chili NGC247 LRHaVB en 46h de pose Full et détails http://www.cielaustral.com/galerie/photo90.htm IC5148 en RGBSHO en 92h de pose sur cette NP très faible (mag 16.5) Full et détails http://www.cielaustral.com/galerie/photo91.htm Merci L'équipe Ciel Austral
  3. 8 points
    hello, 4 heures en Ha, autant en O3 et 2 en RVB avec le petit matériel de vacances début novembre en Bretagne Sud, 150/750 sur AZEQ5 avec Atik One. Unitaires de 300 s. Ca reste une cible délicate avec cette config : Full : https://www.astrobin.com/full/376557/0/?real=&mod=
  4. 8 points
    Bonsoir, La comète du moment à l'occasion d'une brève "trouée" … très mauvaises conditions… m'en fout c'est dans la boîte et de toute façon on a déjà vu mieux question comète ... Canon 600d défiltré, clip-filtre CLS, 1600iso, pancake 40mm diaphragmé à 3.5... un petit git avec des brutes de 1mn... et résultat avec 4 poses de 1mn... dommage, ça aurait pu faire une très belle scène avec plus de poses et sans nuages… on attend la prochaine;) ... J'aurais préféré sur ce fond là
  5. 7 points
    Quelques petites plaques de la Lune avec Perl 80ED et DFK21 + barlow x2 Bonnes conditions !
  6. 6 points
    Salut les amis, Philippe vous soumet cet essai de traitement avec gradients rotationnels sur Wirtanen, on a l'impression d'une image d'une sonde en approche ! : C14 avec A7s au foyer, compositage de 115 poses de 10s ( 13 décembre entre 21h37 et 22h14 UT ). Compositage avec deux gradients de 40° et 60°. Je laisse la main à Philippe si vous voulez en savoir plus sur la technique tout ça.
  7. 5 points
    Bonjour, Par temps maussade, faut avoir des idées. Alors, question aux sélénographes: je me suis demandé si vous aviez pu imager facilement la position du pôle nord de la Lune. Je l'ai eu sans trop de difficultés - si ma mémoire est bonne - sur cette image qui date du 10 octobre 2017. Et vous ? Vous pouvez mettre vos images sur ce fil. Claude
  8. 5 points
    C'est tout juste mais je crois que je l'ai sur celle ci ( Cassegrain 250mm + DMK31, taille 100% ) :
  9. 5 points
    toujours à partir de l'observatoire de Flagey (merci Laurent) je continue de rattraper mon retard. Dans la constellation de la Girafe et très proche du plan galactique de notre galaxie se trouve la galaxie spirale barrée IC 342. Comme nous la voyons donc à travers notre galaxie, IC 342 est partiellement obscurcie et masquée par les poussières et gaz interstellaires de notre galaxie cette galaxie qui devrait être l’une des plus brillantes galaxies dans notre ciel est appelée la « galaxie cachée ». Cette galaxie est assez proche de nous (9 millions d’AL), c’est l’un des principaux membres d’un cluster de galaxies IC 342/Maffei très proche de notre groupe local. IC 342 a une taille apparente de 21min d’arc en diamètre (~les 2/3 de la pleine lune). Comme elle très étendue et obscurcie par la Voie Lactée elle a une très faible luminosité (magnitude 9.1)surfacique ce qui le rend assez difficile à imager. Superluminance à partir des 120 poses LRGB avec une FWHM<2.3 » L : 72 x 300sec R : 13 x 300sec G : 21 x 300 sec B : 21 x 300 sec tous vos commentaires et critiques sont les bienvenus. La full et les détails sur astrobin : IC 342 the Hidden Galaxy with 12.5&quot; CDK
  10. 4 points
    Salut à tous, Voici un nouveau travail de spectro sur Uranus. Cette fois, l'idée était d'obtenir un spectre complet de la planète avec la partie infrarouge. En effet, avec le Star analyzer, la partie bleue de l'ordre 2 se confond avec la partie infrarouge de l'ordre 1, ce qui fait que les données sont mélangées à partir de 750 nm environ. Pour régler ce problème, j'ai systématiquement acquis un deuxième spectre en utilisant le Baader IR685 comme filtre d'ordre. Après traitement complet des deux spectres, je les ai assemblés grâce à Vspec. Le traitement est le même que la dernière fois: offset, dark, flat, plus cette fois élimination du fond de ciel dans IRIS. Division des spectres brutes (visible et IR) d'Uranus par les deux spectres de HD9986, une G2V. Cette méthode permet de bien mettre en évidence la fin très faible du spectre d'Uranus, on où voit clairement à présent la grande bande du méthane à 890 nm et le dernier continuum à 940 nm. Prochain exercice, le rattachement au système Johnson...
  11. 4 points
    Bonjour, Une autre image de la soirée du 12 décembre. Après avoir fait qques poses sur 46P, je change de cible pour une autre comète qui se trouve dans la constellation du Triangle : 64P Rappel : Température de 1°C ce soir la mais présence d'un vent glacial ! Ciel voilé par endroit Humidité D810A - 120 mm de focale 6 poses de 2 minutes 1250 ISO Traitement avec Siril Cette comète est plus discrète que 46P et se situe sur l'hypothénuse du triangle rectangle En plus de M33 et de NGC 752 (amas), 3 petites galaxies se devinent sur l'image : - NGC 925 (en haut à droite) - NGC 672 et IC 1727 (elles sont côte à côte. Elle se trouve à la verticale de M33, à l'intersection de la droite formée par alpha et beta Tri, pas très loin du bord supérieur de l'image). Jérôme
  12. 4 points
    Salut Claude, je n'ai que cela en stock, cela date du 14/08/2017 au filtre rouge Baader 610 (r+IR)
  13. 4 points
    159 poses de 60S 1600iso pas de suivi avec darks,flats et offsets monture star adventurer sony A7S(non défiltré) et samyang 135mm F/2.8 essai du logiciel pixinsight dur dur la prise en main...... heureusement qu'il y a le tutoriel de Arnaudom.fr.
  14. 4 points
    Bonjour, Dernière Lune du jour, deux versions colorisés en positif et négatif, j'aime bien le rendu à droite et certaines chaine de montagne proche du terminateur affiche une meilleure lecture, notamment les mers fécondité & sérénité avec sa couche d'oxyde titane bien apparente. Bon ciel lunaire
  15. 4 points
    Entre deux integrations avant hier au radiotelescope, 6x30sec au 135mm F/2.5: (J'ai aussi des poses en raw a traiter...) Le creneau sans lune se referme... et des cirrus arrivent, donc je ne sais pas si je vais en faire d'autres (et tout a l'heure je redescend de la montagne) Nicolas
  16. 3 points
    17/12/2018 19:36:19 à Meylan 15 poses de 5x10s 800iso avec Sony A6000 standard sur Vixen R200SS - Monture Nexstar EVolution en AltAz Pose globale sur 18mn - Traitement (darks,+ flats + ajustement couleur automatique) sur Astroart 6 Elle se déplace très vite....
  17. 3 points
    159 poses de 60S 1600iso pas de suivi avec darks,flats et offsets monture star adventurer sony A7S(non défiltré) et samyang 135mm F/2.8 essai du logiciel pixinsight dur dur la prise en main...... heureusement qu'il y a le tutoriel de Arnaudom.fr.
  18. 3 points
    C'est très chouette quand même ! Je trouve que les nuages donnent un effet pas désagréable du tout. Et puis comme tu dis, on a déjà vu mieux comme comète. Et on attend (avec impatience) beaucoup mieux ! Ça fait plus de 20 ans qu'on a pas vu de très belles comètes ! Ça commence à faire (très) long. Patrick
  19. 3 points
    Je rebondis sur cette info que je viens de découvrir. Ca me semble très bizarre, cette taille, parce qu'avec les mesures que j'ai faites et celles que j'ai glanées sur le net, je trouve une taille maximale de 530 km, tout à fait compatible avec la mesure de Herschel: http://www.aquila.free.fr/actuastro1.htm (le 2è sujet) D'après la carte des résultats en Europe, la taille maximale est-ouest est de 530km. Je trouve un aplatissement plutôt faible ((0.018), ce qui correspond tout à fait à un objet glacé (Pour des objets de même taille, Vesta est rocheux et tout tordu, et Encelade est glacé et tout rond). Faut que j'étudie en détail tout ça pour voir si je me suis pas trompé quelque part. Matt
  20. 3 points
    lol finalement la réponse à la question ça va être "ta ka mettre le prix". Quand vous aurez fini de comparer des torchons et des serviettes on aura finalement une discussion sur des vrais critères adaptés pour le visuel.
  21. 3 points
    Oui, il faut poster en jpeg ou en png Merci
  22. 3 points
    bravo guy ! je me permets de l'afficher ! ;
  23. 2 points
    C11 Edge HD, réducteur de focale Célestron x0.72, ATIK 4000 MM, Paramount ME Logiciels CCD AP MaximDL Pixinsight 6 poses unitaires de 600 secondes en filtre L, 6 en filtre R et 5 en B. G synthé. Résolution de 0.78" NGC 2535 (= GC 5409) est une galaxie spirale de magnitude 12,8 de type SA (r) c pec (je vous renvoie à ce lien pour l’explication) située dans la constellation du Cancer à environ 187 millions d'années-lumière de la Voie lactée. Elle a été découverte par l'astronome germano-britannique Édouard Stephan en 1877. Per Dreyer la décrit comme "extrêmement pâle, très petite, ronde". La base de données Simbad indique que NGC 2535 est une radiogalaxie. Sa distance est estimée à 30,329 ± 19,583 Mpc (∼98,9 millions d'années-lumière) ou 57,2 ± 3,9 Mpc (∼187 millions d'a.l.) en se fondant ou non sur le redshift. Compte tenu de sa taille apparente de 2,5 sur 1,2 arcmin, NGC 2535 couvrirait environ 140 000 années-lumière en prenant comme distance 190 millions d’années-lumière. Elle constitue avec NGC 2536 une paire de morphologie particulière qui a conduit l’inscription des deux galaxies au catalogue d’Halton Arp sous le numéro Arp 82 (Atlas of Peculiar Galaxies). Leur interaction gravitationnelle a été confirmée par mesure de leurs vitesses de récession, avec des mesures presqu'identiques pour les deux galaxies (4095 km / sec ± 10 km/s pour NGC 2535 et 4085 km/s ± 10 km/s pour pour NGC 2536), mesures réalisées en 1990 par Amram, Marcelin, Boulesteix et le Coarer de l’observatoire de Marseille. Pour cela, ils se sont aidés d’un interféromètre de Pérot-Fabry et du système CIGALE (un instrument de contage de photons à deux dimensions) puis ont posé 3200 (!) points de vélocité sur la galaxie (pour une résolution spatiale de 1″5 et une précision de mesure de vitesse de 19 km/s). Ils ont par ailleurs évalué leurs masses aux alentours de 3.10^10 M⊙ pour la galaxie principale et de 10^9 M⊙ pour NGC 2536 (en prenant comme distance 41 Mpc pour la paire). Lignes d'isovélocités et Courbe de rotation du noyau de NGC 2535 Cette interaction avec NGC 2536 est presque certainement la cause de ses bras étendus et notamment du très long bras situé au nord-ouest, qui apparait « cassé ». Il est intéressant de remarquer que cette interaction, qui est à la limite du frôlement, se passe quasiment dans le plan des deux galaxies. Ce type d’interaction entraine sur la galaxie prograde (mouvement dans le sens inverse des aiguilles d'une montre d’un objet lors d’une révolution autour de son corps central lorsqu'il est regardé depuis le pôle nord de rotation du corps central, le contraire de rétrograde) la formation de deux longs bras de marée avec un fort contraste bras / inter-bras, le désalignement entre les axes cinématique et photométrique traduisant la présence d’un disque intrinsèquement ovale et des dispersions généralisées à grande vitesse de l’hydrogène neutre HI (exploitation des observations de Hubble en 2000 centrée sur les couples NGC 2535, IC 2163 et NGC 5394 par un consortium d’astrophysiciens). Dans le cas spécifique de NGC 2535, galaxie « occulaire », les auteurs ont en plus noté l’absence d’émission de HI ou de continuum radio sur le bord de l’ovale (contrairement notamment à IC 2163), ce qui indiquerait une phase d’interaction ‘plus tardive’. Il est aussi observé un transfert de masse de NGC 2535 vers sa petite compagne (s’accompagnant de formations d’étoiles). Une observation de NGC 2535 à travers plusieurs filtres a permis le recueil de ces différentes images : NGC 2535 et NGC 2536 à travers divers longueurs d'onde Le pont et la contre-queue sont facilement visibles dans les images FUV et NUV. La région de la queue est nettement plus visible en UV qu’en IR, ce qui est attendu, les UV traçant des étoiles plus anciennes. Sur ces clichés, on peut identifier 26 régions brillantes de formations d’étoiles (grumeaux) , surtout visible à 8 µm. Leur étude en bande large donne un âge pour la majorité d’entre eux à moins de 100 millions d’années, certains semblant jeunes de quelques millions d’années seulement. Les grumeaux dans les bandes de marrée ont tendance à être plus jeunes. Répartition des 26 grumeaux de la paire NGC 2535 - NGC 2536 Leur masse ont été estimées individuellement par les auteurs pour chacun d’entre eux en incluant les étoiles de 0.1 à 100 M⊙ et donnent des masses entre 10^6 et 10^9 M⊙. Travail de titan, la "pesée" de 26 grumeaux galactiques Les auteurs ont par ailleurs modélisé dans le temps les interactions entre NGC 2535 et NGC 2636, et il semblerait que les galaxies aient déjà subi deux rencontres rapprochées. Dans ce modèle, NGC 2535 a subi une légère augmentation du taux de formation d'étoiles lors de la première rencontre rapprochée et une augmentation plus forte lors de la seconde interaction, ce qui est conforme aux observations. NGC 2536 conserve elle un faible taux de formation d'étoiles jusqu'au moment de la seconde rencontre rapprochée, moment au cours duquel il semblerait qu’elle ait converti son disque LSB très régulier en une forme irrégulière compacte, que l’on observe à présent, à la suite des effets des marées. Ce modèle prédit que lors de la prochaine fusion dans un proche avenir, le taux de formation d’étoiles augmentera nettement. La cinétique de formation d'étoiles pour ce système, dérivée des observations et des modèles, suggère qu'il s'agit d'un système très inhabituel. La formation initiale de ces deux galaxies semble avoir été peu spectaculaire, tout comme les phénomènes transitoires de formation d'étoiles ultérieurs. Cette formation initiale calme a été suivie d'une longue période, à peine inférieure à l'âge de l'univers, où très peu d'étoiles supplémentaires ont été produites. En ce sens, la formation des deux galaxies s'est « bloquée » jusqu’à ce que des disques normaux de type tardif puissent se former. L’interaction actuelle et la fusion éventuelle ultérieure pourraient conduite à la formation d’une galaxie à disque de type Hubble précoce à intermédiaire (Le terme de galaxies de type « précoce » prête à confusion. Il décrit les galaxies elliptiques et lenticulaires ; elles sont appelées ainsi car on pensait qu'elles se formaient avant les autres or elles se forment par fusion de galaxies spirales ou elliptiques). Enfin, les galaxies de cette paire ayant une masse intermédiaire, leur évolution est en accord avec le concept de Downsizing (réduction de taille), pour lequel les grandes galaxies sont supposées s'être formées à un stade précoce dans des environnements denses, et dans lequel la majeure partie de la formation actuelle d'étoiles se produit dans des galaxies beaucoup plus petites. En résumé, on peut faire notre cette constatation du Spitzer Spatial Telescope ; Cette paire de galaxies en interaction connaît peut-être l'équivalent galactique d'une crise de la quarantaine. Pour une raison quelconque, le couple, appelé Arp 82, n’a pas formé ses étoiles très tôt, ce qui est typique de la plupart des galaxies. Au lieu de cela, les deux galaxies ont eu un second souffle plus tard dans la vie - il y a environ 2 milliards d'années - et ont commencé à former de nouvelles étoiles comme si elles étaient redevenues jeunes. A très bientôt. JB Sources : Amram P., Marcelin M., Boulesteix J., Le Coarer E. (1990) The Detailed Velocity Field of the Ionized Gas in the Interacting Pair of Galaxies NGC 2535-36. In: Wielen R. (eds) Dynamics and Interactions of Galaxies. Springer, Berlin, Heidelberg B. G. Elmegreen, M. Kaufman , C. Struck, D. M. Elmegreen, E. Brinks, M. Thomasson, M. Klari´c, Z. Levay, J. English, L. M. Frattare, H. E. Bond, C.A. Christian, F. Hamilton, K. Noll. HST Observations of the Interacting Galaxies NGC 2207 and IC 21631. The Astronomical Journal, Volume 120, Number 2. Large-scale star formation triggering in the low-mass arp 82 system: a nearby example of galaxy downsizing based on uv/optical/mid-ir imaging. M. Hancock, B. J. Smith, C. Struck, M. L. Giroux, P. N. Appleton, V. Charmandaris and W. T. Reach. The Astronomical Journal, 133:676–693, 2007 February
  24. 2 points
    Bonsoir Un petit dessin du quartier de lune de lundi soir histoire de garder une trace de cette observation . Wirtanen étant plus que decevante vu la luminosité du ciel je me rabat sur la lune. Le pb avec la lune c'est qu'on se fait vite déborder par les détails. J'ai peut être mis la barre un peu haute. Abandon par KO après 45 mn de dessin et surtout l arrivée de la brume. J'ai finaliser au chaud en essayant de faire ressortir le ressenti de l observation . Dessin fait au HB sur cansson et lunette de 100 ... Bonne soirée Laurent
  25. 2 points
    Ben disons que quand un industriel annonce un prix à un revendeur et qu'il rédige un devis, il doit se tenir à ce prix. Si par hasard, des surcouts apparaissent au moment de la fabrication, ben c'est à l'industriel de les encaisser et d'en tirer les leçons, comme le font Airbus, Alstom, etc. Si par contre, il demande une rallonge au client, au prétexte du surcout, il n'est pas très honnête commercialement. Et si, du coup, le revendeur français paie (parce qu'il n'a pas le choix sinon il n'est pas livré) mais ne refacture pas à son client, parce que lui fait preuve d'éthique commerciale, alors le revendeur n'a plus trop envie de continuer à bosser avec cet industriel... Alors, que Areva et EDF aient ce genre de plan foireux pour un EPR, passe encore, mais pas pour un télescope.
  26. 2 points
    Résumé traduit du lien : http://www.planetary.org/blogs/emily-lakdawalla/2018/what-to-expect-new-horizons-mu69-ultima-thule.html À quoi s'attendre lorsque NH survolera son objectif et quand disposerons-nous des images d'Ultima Thule. L’approche la plus proche se fera (finalement ) à une distance de 3 500 kilomètres vers 5h33 UTC le 1er janvier 2019. Nous n'avons aucune idée de ce à quoi ressemblera 2014 MU69. Ce que nous en savons jusqu'à présent est assez limité. Il mesure probablement environ de 20 à 35 kilomètres, soit environ 10 fois le diamètre de la comète 67P / Churyumov-Gerasimenko. Il semble avoir une forme très irrégulière. Ce peut être un binaire (deux objets en orbite proche) ou un bilobe (comme 67P). Sa surface est rougeâtre. Il peut s’agir d’un fragment d’un objet plus gros, auquel cas il s’est peut-être réchauffé un peu après sa formation, ou bien il a pu augmenter sa taille actuelle, auquel cas il peut montrer des couches stratifiées et des agglomérations telles que 67P. Comme ce fut le cas pour Pluton, New Horizons ne communiquera pas avec la Terre lors de son approche la plus étroite, car la sonde se focalisera sur la collecte de toutes les données scientifiques possibles lors de son survol à très grande vitesse. Chaque fois que nous retournerons vers la Terre pour transmettre, il faudra plus de 6 heures à ses données pour parcourir la distance qui nous en sépare. Alors, quand allons-nous savoir à quoi ressemble MU69 ? Mise en garde importante : Les temps indiqués ci-dessous correspondent au moment où les images seront en liaison descendante . Ce n'est pas la même chose pour leurs publications. Les techniciens de la mission les traiteront, l’équipe rédigera les légendes les accompagnant, puis la NASA devra vérifier, ensuite seulement les images seront publiées à une heure de la journée permettant de maximiser la couverture médiatique, ce qui signifie qu’elles pourraient être disponibles au public à peu près un jour après la liaison descendante. Nous en sommes actuellement à la phase d'approche , qui a débuté le 16 août et se poursuit jusqu'au 24 décembre (7 jours avant l'approche la plus proche). Au cours de cette approche, New Horizons a pris des images de navigation optique et a recherché des dangers potentiels tels que poussières, anneaux ou lunes. (Jusqu'à présent, rien n'a été repéré). La phase principale durera 10 jours, du 24 décembre au 2 janvier. Presque toute les collectes scientifiques auront lieu en seulement deux jours autour de l'approche au plus prêt, avec une imagerie et une spectroscopie intensives pour cartographier MU69, étudier sa composition, déterminer sa vitesse et son axe de rotation, puis rechercher de la poussière, des anneaux et des satellites. La phase de départ dure une semaine supplémentaire, du 3 au 8 janvier. Après cela, New Horizons passera 20 mois à transmettre toutes les données collectées jusqu’en septembre 2020. Planning des transmissions de données vers la Terre (liaisons descendantes): 1 jour avant T0. (Liaison descendante de 3H 15) La meilleure qualité d’image LORRI sera de 8 km par pixel, soit 3 ou 4 pixels pour UT. L'image MVIC ne sera pas résolue. L'angle de phase sera assez faible, environ 12 degrés. L'image LORRI peut permettre de discerner la forme de MU69, surtout si elle est vraiment bilobée ou binaire. De -18H à -14H. (liaison descendante de 3H 45) La meilleure qualité d’image LORRI sera de 5 km par pixel, soit de 5 à 7 pixels de largeur. MVIC résoudra à peine MU69. Les données LEISA ne seront pas résolues. Petits liens descendants pour Alice, SWAP, PEPSSI et SDC. 00H. NH au plus proche d'Ultima Thule : Aucun contact avec New Horizons à ce moment. + 4H après passage au plus prêt. (liaison descendante de 17 mn) Aucune donnée scientifique ne sera transmise. Seules des données d’entretien interne indiqueront l'état de l’engin spatial. +8H Image LORRI à 300 mètres par pixel - espérons une image globale du KBO d’environ 100 pixels, suffisamment de détails pour voir la forme du MU69 et ses nuances de caractéristiques de surface. Plus données d'Alice, SWAP et SDC. +14H. (liaison descendante de 6H 44) Image LORRI à 140 mètres par pixel, MVIC à 900 mètres par pixel, occultation stellaire d’Alice. L'image LORRI peut contenir ou non MU69, selon la position réelle du corps. Si c'est le cas, elle ferait environ 200 pixels de large. + 1 jour. (liaison descendante de 15H 26) Une autre image LORRI à 140 mètres par pixel. Si la liaison descendante de l'image du jour précédent ne contenait pas MU69, nous espérons que celle-ci le fera. Également LEISA 1,8 km / pixel avec 28 longueurs d'onde; science radio; PEPSSI. Si on résume, vous pouvez vous saouler pour le réveillon. Vous aurez le temps de récupérer pour voir les premières images... à peu prêt nettement... 24 H après le flyby. De meilleures images encore un ou deux jours après.
  27. 2 points
    Je crois qu'au final je n'aurais eu qu'une seule vraie occasion de voir cette comète au mois de Décembre. Heureusement c'était samedi soir alors qu'elle était suffisamment près des pléiades 43 poses de 30 secondes au 135mm en piggyback sur mon MEADE LX50 sans autoguidage, post-traitement avec SIRIL.
  28. 2 points
  29. 2 points
    Bonjour et merci Polo et Sauveur ...
  30. 2 points
    Bravo beau piqué pour cette image . Merci aussi à Polo et Alain.
  31. 2 points
    Merci Jean-Christophe , Je n'ai que Prism Light et j'ai tenté qu' une DDP par trouvé déconvolution ? Quand penses tu ?
  32. 2 points
    Bonjour à tous, Comme je vous l’avais dit le 10 décembre dernier dans ce post, pour voir la différence avec mon site de campagne, j’ai observé la comète vendredi dernier, le 14 vers 19h tu depuis un site urbain : Angers dans le Maine et Loire, une vile de 200000 habitants avec l’agglo, une ville très éclairée dans le secteur essayé . J’ai essayé dans 3 sites différents diversement pollué en lumière. - Depuis un site très éclairé (lampadaires partout, on lit facilement le journal) (on voit à peine la Polaire et j’ai repéré Aldébaran grâce à Capella !!!… c’est dire la pollution très forte). La magnitude limite à l’œil nu est d’environ 2,5. A l’œil nu, il n’y a bien sûr rien à voir. Mais pire avec mes jumelles J 43x10, je ne l’ai même pas trouvé bien que sachant où elle était !!! - Depuis le bord d’un parc urbain : à l’œil nu, toujours rien pour la comète, mais on voit cette fois les brillantes étoiles des constellations. Aux jumelles, enfin la comète est visible mais très modestement, sans trop de difficulté pour un chevronné mais certainement pas évidente du tout pour un néophyte. - Depuis le site précédent mais en s’éloignant un peu plus de la ville, à environ 200 mètres. Toujours rien à l’œil nu (il y avait un gros croissant de Lune, mais tout de même, vu son aspect général aux jumelles, sa visibilité aurait été bien difficile dans tous les cas). Aux jumelles J 43x10, Wirtanen est visible sans difficulté mais bien moins intensément que l’observation faite depuis un site de campagne. La mesure de son diamètre, bien en retrait, 12’ d’arc environ contre 30’ d’arc le 12 décembre en campagne montre bien la différence. La magnitude est déterminée, mag m1 = 5,5 environ, elle aussi minimisée par rapport à l’observation du 12 décembre où je l’avais mesuré à 4,8. On constate bien que cette comète, relativement peu contrastée (aux jumelles et à l’œil nu) est à voir depuis un site de campagne uniquement pour l’apprécier un minimum. Maintenant que la Lune est gênante (grosse et proche), bcp risquent d’être déçus de ne voir « que » ça dans des optiques et rien à l’œil nu. Malgré la Lune ou la pollution lumineuse urbaine, on peut certainement faire quelque chose en imagerie mais en visu, mieux vaut attendre l’absence de la Lune et aller en campagne !
  33. 2 points
    Non : son plus grand chef d'oeuvre, ce sera quand il aura enfin les pieds sur Terre !
  34. 1 point
    Bonjour à tous Avant quelques données plus techniques sur l'analyse du bruit du A7III (à la limite sans grand intérêt), j'ai voulu faire un test assez précis en me demandant si la résolution de 24Mp du A7III tenait la route face au A7s, sur mon Samyang 135mm ouvert à 2.0 (monture Sony) Les 2 boitiers sont défiltrés "Astrodon" Les 2 boitiers ont été utilisés la même nuit à quelques minutes d'intervalle Les 2 boitiers sont en configuration d'invariance iso : 3200 iso sur le A7s (invariance dès 2000iso), 800 iso sur le A7III (invariance dès 640 iso) Les 2 boitiers sont calés sur des poses de 30s (car je ne fais pas d'autoguidage) Images prétraitées avec BIAS, DARK, FLAT Le A7III est en RAW 14 bits non compressés et en mode silencieux Le A7s est en RAW 12bits compressés avec perte et en mode silencieux Alors que dire ? Prenons le Cygne et 4 zones égales (500x500 au A7III et 350x350 au A7s) Zoom 200% Et si je rééchantillonne le A7III à 12Mp (comme A7s) et un 30x30s sur le A7III car les pixels du A7s ont 2x plus de surface (mais mon but n'est pas de poser 2x plus longtemps avec le A7III) Prenons ORION Un HDR pour la saturation : meilleure dynamique pour le A7III puisque nous sommes à 800 iso contre 3200 pour le A7s Et d'autres ROI Star heater? NON TOUTES les étoiles (faibles) sont présentes sur les 2 boitiers mais sont plus fines sur le A7III car le Samyang a un excellent piqué CHERCHEZ celles qui manquent 😂 Maintenant, en attendant des mesures plus précises (RAWDigger est magique pour analyser les performances des APN), je peux affirmer que : le mode silencieux de l'A7s fait perdre 1 bit de dynamique. A 3200 iso, ce n'est pas un soucis Le mode silencieux, le mode normal, le mode BULB du A7III ne fait pas perdre de dynamique. Le "Star Eater" est présent sur le A7s uniquement en BULB (d'où l'utilisation de poses 30s (mode exposition). En bulb il est HORRIBLE Le Star Eater est présent sur le A7III dès 4s de pose mais sur un algorithme bien plus "light". Il ne s'aggrave pas en mode BULB. Les étoiles sont toutes présentes lors de l'empilement. Le A7III a vraiment un beau potentiel. Une meilleure ergonomie que le A7s et un mode liveView BOOST qui est plus sensible que le mode video 400000 iso 1/4s du A7s que j'utilise pour chercher et cadrer mes objets. L'alimentation USB (double port USB) permet de connecter directement un powerbank et une télécommande (timer) mais on peut aussi utiliser une fausse batterie de conversion 8V Bref : est-ce que je suis content de ce boitier ? Après une nuit d'hésitation (800iso, c'est sombre), les images parlent après traitement. Donc OUI ! Est-ce que le A7s est dépassé ? Bien sur que NON ! Philippe
  35. 1 point
    Apres la tempete hier soir le ciel s'est degage au pico veleta, mais avec de la glace/neige partout et du vent par -9 C, ce qui ne donne pas envie de trainer dehors J'ai fait quelques photos avant de geler sur place - pendant celles-ci il pleuvait des geminides en grande quantite (3h du matin, radiant quasi au zenith, SQM=20.9): quasiment une toutes les 30secondes, si ce n'est plus. 7 min de comptage un peu pessimiste donnaient ZHR > 80, mais avec un peu de patience il y avait de quoi avoir une geminide bien cadree avec la comete, tellement cela donnait. Resultats mitiges, ci-dessous, sinon avec un extrait d'une video de 1.5 min ou j'en ai eu 3! 20 sec au 24mm a F/D=4: 20x5s au 70mm: extrait video de geminides: GEMINIDS141218-00033_f0832.avi Nicolas
  36. 1 point
    OK, en effet, pardon.. car au niveau du vocabulaire la mini soucoupe volante WTS a été malencontreusement baptisée "bouclier" de protection thermique et éolien". Dans mon propos je faisais référence à la protection thermique du RWEB (Remote Warm Enclosure Box). Et pour être précis, c'est l'ensemble sismomètre dans son enceinte de confinement et protection thermique RWEB qui seront déposés au sol en premier lieu.. Bon, tant que j'y suis, avec les images c'est plus clair Ceci est le sismomètre dans son enceinte de confinement, une sphère sous vide : Ceci tenu au dessus du sismomètre est - je cite : "la protection thermique sophistiquée", appelée RWEB (Remote Warm Enclosure Box). Pesant 0,75 kilogramme et mesurant environ 42 centimètres de diamètre, ce couvercle hexagonal met à profit les propriétés isolantes exceptionnelles d'un allié insoupçonné : l'atmosphère martienne elle-même ! Le CO2 qui constitue l'air martien possède en effet la propriété de stagner dans tout interstice pour peu que l'épaisseur entre la paroi chaude et la paroi froide soit plus faible que 2 centimètres, et ce quelque soit les différences de température entre l'intérieur et l'extérieur. Une succession de couches de Mylar®, un autre matériel connu pour sa faible conductivité thermique et utilisé pour fabriquer des couvertures de survie, entoure donc la sphère. Chaque couche est espacée de la suivante par un espace mesurant moins de 2 centimètres d'épaisseur, pour piéger efficacement le dioxyde de carbone. L'intérieur de chaque couche est argenté, tandis que l'extérieur est au contraire doré, ce qui accentue encore l'isolation thermique. ÉCORCHÉ DE L'ENSEMBLE sismomètre dans son enceinte de confinement + protection thermique RWEB : En dernier lieu la cloche aux grands pieds et sa jupe serviront de bouclier thermique et éolien et recouvriront l'ensemble sismomètre/sphère/RWEB : Source : https://www.seis-insight.eu/fr/
  37. 1 point
    Bon courage et bonnes fêtes de fin d'année à toi également Bien amicalement, AG
  38. 1 point
    Très belle image, avec un traitement bien piquant comme j'aime ! Un régal
  39. 1 point
    Pareil, j'aime bien ces nuages qui rendent beaucoup de naturel à notre passion
  40. 1 point
    Merci à tous pour vos commentaires! Je me rappelle avoir loupé les 2 précédentes conjonctions entre M45 et des comètes : C/2004Q2 Maccholz vers le 10 janvier 2005 photo Adam Kisielewicz C/2014Q2 lovejoy mi-janvier 2015 superbe photo de Cyprien Pouzenc A chaque fois j'avais pas mal observé les dites comètes mais eu un temps exécrable au moment le plus intéressant , là c'est une petite revanche pour moi . Parcontre j'avais vu la conjonction C/2001Q4 NEAT avec M44 en mai 2004, photo ci-dessous 15/05/04 à 22h15T.U. F=200 mm, F/4, t=12 min sur Kodak ULTRA 400 ( moins impressionnant car à la base c'est une photo argentique !) , Comme quoi il faut savoir être patient en astronomie et prêt à tout moment pour faire les bons choix en quelques minutes le jour J !
  41. 1 point
    Bien belle image de ce rapprochement et la chance de l'avoir eu proche des Pléiades Par contre, je les trouve un peu fades nos frangines Je les verrais bien un peu plus bleues comme ça : Mais si tu n'aimes pas, je la retire, no problem Bonne journée, AG
  42. 1 point
    je l'ai téléchargée , et je l'ai sauvée en .png avec R6 ! bonne journée ! polo
  43. 1 point
    Concernant les paramètres orbitaux de 2018 VG18 "Farout", je pense qu'il est urgent d'attendre étant donné leur incertitude (1-sigma) surréaliste affectée après seulement 32 jours d'observation (11 mesures du 10/11/2018 au 12/12), surtout pour un objet au déplacement angulaire terriblement lent à une telle distance. ---> https://ssd.jpl.nasa.gov/sbdb.cgi?sstr=2018 VG18 Habituellement, l'équipe de Scott Sheppard (Carnegie), Chad Trujillo (Northern Arizona University) et David Tholen (Université d'Hawaï) attendent plusieurs années d'obs. afin d'affiner l'orbite avant publication (voir par exemple 2015 TG387 annoncé seulement en 2018). Par contre, la distance record d'environ 120 UA (125-130 selon le MPEC) liée au déplacement angulaire, ne devrait pas trop varier, ce qui a peut-être précipité l'annonce de la découverte ? L'éclat intrinsèque : H 3.25-3.6 semble aussi assez bien connu, de même que sa "couleur" faiblement rouge (rosâtre "pinkish hue") typique d'un objet à la surface glacé ce qui logiquement devrait donner un albédo relativement élevé et donc une taille assez réduite vs sa mag. absolue H élevée prometteuse ? Découvert donc le 10 nov. 2018 au Subaru (8.2 m, Mauna Kea) puis réobservé à partir du 2 décembre au Magellan-Baade (6.5 m - Carnegie, Las Campanas). Déplacement durant 1 h sur les images du 10 novembre 2018 (mag. V = 24.6) Crédit : Scott S. Sheppard & David Tholen https://sites.google.com/carnegiescience.edu/sheppard/farout https://www.minorplanetcenter.net/mpec/K18/K18Y14.html http://www.minorplanetcenter.net/db_search/show_object?object_id=2018+VG18&commit=Show https://twitter.com/astrokiwi/status/1074682059505983488 https://twitter.com/astrokiwi/status/1074686919630577664 PS : Heu ! symaski62 ---> OMG ! Ça signifie quoi ?
  44. 1 point
    Bon c'est pas l'image du siècle, mais vu le shooting improvisé c'est sympa de partager .
  45. 1 point
    Bonsoir , Voici une image de la Lune ce soir avec configuration minimum... Huawei Mate 8 derriere un C11 avec oculaire de 12 mm et à main levée . Juste pour rire
  46. 1 point
    Bravo c'est excellent! c'est un tres bon article! bravo pour la photo aussi!
  47. 1 point
    https://carnegiescience.edu/news/discovered-most-distant-solar-system-object-ever-observed
  48. 1 point
    Bon, de tutos en tutos je commence a mieux comprendre Pixinsight et j'en suis là avec pas mal de boulot de synthèse et de prise de note pour être capable de le refaire. Vos avis ?
  49. 1 point
    Je suis toujours scotché de lire ce qu'écrit Maire sur les apo, venant d'un tel connaisseur de Dobson j'avoue ne pas comprendre .... Soit le monsieur n'en a jamais utilisé, soit on a vraiment des points de vue diamétralement opposés ... Dire qu'une apo est avant tout un astrographe et se résume à un bel objet, tout de même ....Que de réduction, que de situations éludées où excelle l'apo !
  50. 1 point
    Enfin! C'était bien le réglage du chercheur point rouge qui n'était pas bon. Merci en tout cas!