Classement

...et peut-être bien le transit le plus détaillé tout court à ce jour d'ailleurs ! Mi-janvier, je pose la 200 et la Titan dans la voiture, direction le sud pour 4 nuits de transits en profitant d'une Lune (quasi) pleine et très haute dans le ciel. Finalement c'est la 4ème nuit que le résultat a été le meilleur, malgré une agitation assez marquée à l'oculaire, au sud de Bourges entre les nappes de brouillard. Distance à l'ISS très courte, 450 km seulement, mais un temps de transit très court aussi : 0,55s En vidéo : transit_iss_moon_20220118.mp4 transit_iss_moon_20220118.mp4

Salut les Astrosurfeurs! Je suis heureux de partager cette image avec laquelle j'ai eu la chance de remporter le concours de traitement organisé par la société de remote Chilescope :-) Le concours consistait à produire un traitement à partir des masters bruts fournis par Chilescope à savoir 18h40 de poses au Chili avec Newton ASA 500 f/3.8 et camera FLI PL16803 : L : 59x600s R : 18x600s V : 19x600s B : 15x600s Cette région de l'hémisphère Sud est vraiment magnifique, avec beaucoup de beaux objets dans ce champ comme les nébuleuses à réflexion Ced110 et Ced111, les objets Herbig-Haro HH49 et HH50, tous dans la proche et grande région de formation d'étoiles du nuage moléculaire CHA-I. Ce fut un traitement très intéressant à réaliser, en particulier la calibration des couleurs, les détails dans les structures de poussière brune sans trop les pousser, garder un aspect naturel et une cohérence entre les différents objets et le champ entier tout en apportant de belles couleurs et des détails, la mise en valeur des structures sombres tout en gardant leurs détails internes, etc... Le traitement a été fait avec Pixinsight et Photoshop sans Topaze. Nous sommes particulièrement contents, avec les autres camarades ayant participé au concours, que le jury n'ait pas choisit une image trop à l'Américaine comme c'est souvent le cas dans les concours :-) En espérant qu'elle vous plaise, bon ciel à tous! Mathieu https://www.astrobin.com/users/Mathieu80/

bonjour ou bonsoir a toutes et a tous vendredi soir une fenetre de tir s'est presenté pour sortir le materiel je me suis laissé tenter par les pleiades et ces nebilosités aux alentours avant que la lune se leve et que les nuages fassent leur apparition , pas facile de shooter en ce moment avec cette satanée meteo donc la seance fut relativement courte setup 61 EDPH II a7s 60x30 sec a 3200 iso staradventurer SIRIL+ PSP6

Salut à tous, j'ai voulu tenter un objet très faible et surtout très bas ici, la nébuleuse de la tête du dauphin ou Sh2-308 dans le catalogue sharpless. Donc 30x 600 sec , soit 5 heures ,sans guidage monture 10micronGM2000 ASI294 MC filtre duo narrow band Ha et OIII FSQ85ED avec 450 mm de foc acquisition NINA prétraitement SIRIL traitement PIX Bon on voit la tête du dauphin quand même un pti peu mais sa manque vraiment de temps de pose !!!! J'ai mis une deuxième version avec une petite réduction d'étoiles Donc à refaire l'année prochaine sur plusieurs nuits !!! Philippe

Bonjour les loups, L'éternelle Rosette, mais cette fois-ci en 2, 3 versions. Je viens d'acquérir un filtre Astronomik SII 6 nm et je me teste dans le SHO ( pourtant j'avais juré qu'on ne m'y prendrait pas, n'est ce pas ALAING ) Rosette oui, mais surtout Crâne dans cette présentation ... Le matos : Lunette TSAPO 81Q _ focale 352mm _ ASI294MM Pro et tous les accessoires ZWO, OAG(mini290mm), EFW, EAF pilotés par ASIAIR Plus, le tout sur AZEQ6GT. Photos prises la nuit du 20/02 10 x 300s (x2) pour SII et OIII 16 x 300s pour Ha Traitement : Siril et Photoshop J'ai un petit souci de MAP qui m'a demandé d'accentuer les clichés avec PS. Pour une première en HSO, je suis satisfait, il va falloir regarder de plus près vos réalisations pour progresser. Bonne journée Alain

Par le fait que vous ne comprenez pas de quoi vous parlez ? C'est pourtant un exercice des plus basiques d'application de la relativité... Reprenons. Dans le référentiel de la fusée, la fusée est immobile et en permanence située à l'origine de mon système d'axe (en x = 0, donc). C'est la Terre qui se déplace, suivant une trajectoire rectiligne et uniforme, par exemple selon l'équation xT = - v t. (J'oriente les axes de sorte que la Terre se déplace vers les x négatif. C'est évidemment un choix arbitraire.) On peut rajouter une constante à cette équation, mais si je vous lis, vous voulez que le croisement de la fusée (qui est en x = 0) ait lieu quand t = 0. Donc a priori pas de constante en plus. Cela ne changera rien de toute façon. Vous prenez v= 0,99 c, donc à toute fins utiles, on a γ = 7,0888 (eh oui, il y a au moins un truc juste dans votre texte...) et v γ / c= 7,0179. On n'en aura guère besoin si on est malin, cela dit. Le relai se déplace aussi, suivant une trajectoire parallèle qui, du point de vue de la fusée, est simplement décalée dans le temps par rapport à celle de la Terre. Sa trajectoire est donc xR = - v (t - tD), avec tD = 1 an, choisissez-vous. Si on a ajouté une constante à l'équation pour la trajectoire de la Terre, on ajoute la même constante ici : c'est la différence xR - xT qui doit être toujours la même. (égale à v tD). Ensuite, vous nous dites C'est techniquement juste mais fortuitement exact. La durée propre du trajet de la fusée est égale par définition au temps qu'elle mesure dans son référentiel pour effectuer le trajet. Donc c'est 1 an (= tD). Là où on sent qu'il y a un problème, c'est que vous pouvez calculer ce temps de plusieurs façons, sans forcément vous placer dans le référentiel de la fusée. Donc OK pour "la durée propre de la fusée est de 1 an", pas OK pour "dans le référentiel de la fusée, la durée propre est de 1 an". C'est une précision inutile qui suggère que vous avez loupé ce point essentiel (ce qui est dommage, c'est juste le seul truc qui importe vraiment en relativité restreinte). Vous dites ensuite ... et confirmez les doutes exprimé ci-dessus. La durée propre du trajet de la fusée EST de 1 an, par construction de votre problème. Ce que vous exprimez, c'est la durée d'un autre trajet mesurée par un autre observateur avec son propre temps propre, pas celui de la fusée. Ce qu'il aurait fallu dire (mais si vous ne l'avez pas fait, c'est probablement parce que vous ne comprenez pas), c'est : L'intervalle de temps propre d'un observateur terrestre dans l'événement 1, "la fusée passe devant la Terre" et l'événement 3 "la fusée passe devant le relais de mon point de vue" est de 7,0888 ans. Est-ce cela que vous avez en tête ? Je n'en suis pas certain, donc je précise ce qui aurait dû faire sens pour vous. Continuons C'est assez imprécis. La première durée (plutôt que temps) correspond bien à une durée propre (l'intervalle de temps propre entre deux événements d'une même ligne d'Univers), la seconde durée représente un truc différent. Mais vous avez raison sur un point : les deux intervalle de temps sont suffisamment bien définis pour qu'on puisse les calculer de plusieurs façon différentes. Et on doit trouver le même résultat. Si ça n'est pas le cas... c'est qu'on s'est trompé dans les calculs. Vous affirmez ensuite Le problème c'est que vous n'expliquez pas comment vous sortez ce résultat, donc on a l'impression que cela pourrait être n'importe quoi. Une bonne façon de procéder est la suivante : Evénement 1 : la fusée passe devant la Terre, en (t1, x1) = (0, 0) dans le référentiel de la fusée. Evénement 2 : la fusée passe devant le relais en (t2, x2) = (tD, 0) dans le référentiel de la fusée, cf. ci-dessus. L'intervalle de temps correspondant est donné par la formule, valable quel que soit le référentiel : c2 Δτ2 = c2 (t2 - t1)2 - (x2 - x1)2 Dans le référentiel de la fusée, les x sont nuls et l'écart entre t2 et t1 est tD, donc le temps propre du trajet est bien tD. Attention, cela se réduit ici à la différence des t uniquement parce que la différence des x est nulle. Sans cela, il faut inclure le terme correspondant. Plaçons-nous maintenant dans le référentiel terrestre. Il faut déterminer les nouvelles coordonnées des événements 1 et 2 suivant les formules des transformation de Lorentz, à savoir t' = γ (t + v x / c2), x' = γ (x + v t). (Si on se demande quel signe choisir dans la transformation, on le détermine par le fait que quand on suit la Terre, elle est immobile, soit x'T = constante) Avec ces formules, l'événement 1 a pour coordonnées, dans le référentiel terrestre, (t'1, x'1) = (0, 0) et le 2 : (t'2, x'2) = (γ tD, γ v tD) Avec la formule du c2 Δt2, on retrouve à nouveau c2 Δτ2 = c2 (γ tD)2 (1 - v2 / c2) = c2tD2. Et on est content, on retrouve le même résultat. La partie vaguement plus difficile est au sujet de l'autre intervalle de temps, à savoir le temps propre d'un observateur terrestre entre l'événement 1 "la fusée passe devant la Terre" et un autre événement, l'événement 3 "le moment dans le calendrier terrestre où la fusée atteint le relais". Cet événement a pour localisation la Terre, donc se situe en x'3 = 0, et se produit au moment du calendrier terrestre (indexé par t") où la fusée atteint le relais. C'est donc, par définition, en t'2. On a donc : (t'3, x'3) = (t'2, 0). Calculons donc la distance spatio-temporelle entre les événements 1 et 3. On utilise à nouveau c2 Δτ2 = c2 (t3 - t1)2 - (x3 - x1)2, formule que l'on va utiliser dans le référentiel que l'on veut. Dans le référentiel terrestre, on met des primes partout et tous les termes sont nuls sauf celui avec t'3 et on trouve comme résultat γ tD, soit les 7,0888 années. Maintenant on peut aussi calculer le truc dans le référentiel de la fusée. Pour cela, il faut passer des coordonnées (t', x') aux coordonnées (t, x), c'est-à-dire effectuer la transformation de Lorentz inverse de la précédente (il suffit d'inverser le signe de la vitesse), à savoir t = γ (t' - v x' / c2), x = γ (x' - v t'). Avec ces formules, les coordonnées de l'événement 3 sont (t3, x3) = (γ t'2, - v γ t'2) = (γ2tD, - v γ2tD). Trois remarques : les coordonnées de cet événement dans le référentiel du vaisseau ne sont pas évidentes. Par exemple, les événement 2 et 3 étaient simultanés pour le terrien (t'2 = t'3) mais pas du point de vue de la fusée : la simultanéité n'existe pas. Par ailleurs la valeur exacte des coordonnées n'est pas spécialement intuitive quand on débute en relativité. Néanmoins comme l'événement 3 est sur la ligne d'univers de la Terre, il est situé sur un point de sa trajectoire telle qu'établie dans ce référentiel : on a bien x3 = - v t3. Enfin, l'événement 3 est situé dans le futur de l'événement 1 puisqu'il représente une étape ultérieure de la ligne d'univers de la Terre. Cette relation causale soit être observée par tout le monde. Donc on savait d'avance qu'on aurait t3 > t1. En tout état de cause, la distance spatiotemporelle entre les événements 1 et 3 peut être calculée dans le référentiel de la fusée et, ô miracle, ô joie, du fait qu'on a le facteur γ2 devant les coordonnées de x3 et t3, un de ces deux γ survit et l'intervalle est, à nouveau γ tD. Faux, cette quantité est conservée, encore faut-il comprendre comment les choses se transforment par changement de référentiel et identifier correctement à quelles coordonnées d'espace-temps correspondent les événements que l'on définit. Par le fait que vous n'avez pas bien calculé les choses (ce qui est excusable) et que par votre ego par trop volumineux vous interprétez un résultat incohérent non pas comme une preuve que vous calculez mal mais comme la preuve que le reste du monde ne comprend rien (ce qui est moins excusable).

UGC 6614 dans le Lion. J'adore ce champ. 1h seulement, sub de 2min, au T520 f/4.7 de l'association Copernic au Z6 défiltré, 1600 iso avec un seeing modeste de 3" Philippe au traitement, moi j'arrive pas à faire l'étalonnage par photométrie! J'y reviendrai pour sûr le plus vite possible et restant bien plus longtemps dessus. Jérôme

Salut, Ma version 2022! ...pas facile avec le temps ! Je suis vraiment content d'avoir acheté ce correcteur de coma, le 0,95x de chez TS! Cela m'a facilté la tache pour faire un mega (pour moi) panorama. Materiels utilisés: TN 300F4 Orion Optics Qhy290MM pour les parties centrales en IR610 et Halpha Neptune color 2 de chez Playerone pour les plans larges et la couleur centrale Barlow televue 2x EQ6 bio details de l'acquisition () -30000x150ms et ir610+ 20000x250ms en ir610 avec une barlow 2x pour le coeur et la qhy290MM. -250msx28000 (environ) +500msx10000 avec filtre ir ,pour 6 cadre pour la creation du panoramique avec la player one neptune color 2 et le correcteur de coma -500ms et 350ms x25000 en halpha avec la qhy290mm -10000 (150000)x75ms pour les etoiles brillantes. Logiciels utilisés: Pipp,Siril,Astrosurface,Gimp et Photoshop et Autopano. Complexe à assembler ,mais le resultat me plait assez bien! la prochaine étape est d'obtenir la même résolution sur le pont et M43 l'image finale: un crop sur le centre: quelques details interessants: une couche amelioré en halpha: Stephane

Bonjour à tous, Aujourd'ui ,je vous envoie quelques plan de notre satellite la Lune;je m'occupe de celle-çi chaque fois qu'elle est présente , mes télescopes sont en place, en poste fixe , j'ai un deuxieme poste fixe dédié au ciel profond, avec un bureau chauffé entre les deux, le confort quoi! Ces images datent de la semaine passée , ou la turbulence était présente ce n'est pas ce que j'ai connu de mieux; bref, j'ai fait ces images avec mon Célestron 11" hd; à l'aide d'une caméra Asi 178mm;vidéos de 1mn15s;traitement AS3. Régistax,et enfin Ps cs6. je me sert également d'un tube Takahashi CN212, f/12 il a un piqué extra, avec une focale légerement plus courte (2730mm)l'avantage de ce tube est que l'on peut s'en servir en Neewton(830mm) sur la premiere image , détails sur les rima Hyginus,Ariadaeus,et Triesnecker,au nord, le cratère Manilius ;en 2,les cratères Eudoxus etAristotelès,et sur la D, lacus Mortis et son cratère Burg; et pour terminer le beau Cratère Copernicus , avec Montes Carpatus au Nord de celui çi,Eratosthènes à l'est et Reinold au sud. voila pour les descriptions.

Bonsoir, Pas loin d'Orion, la licorne recèle de bien belles nébuleuses et je vous en propose deux sur la même image : NGC 2264 alias la nébuleuse du Cône (en haut de l'image) et la mystérieuse NGC 2261 alias la nébuleuse variable de Hubble, en forme de comète (au bas de l'image) C'est imagé sur 6 nuits durant cette lunaison de début février ( clic droit et ouvrir le lien dans une nouvelle fenêtre/onglet pour voir la full ) : Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, 73 poses de 05mins à -20°C (gain 120), Nord à peu près en Haut Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Les 28/29, 29/30, 30/31 janvier, 01/02, 02/03 et 05/06 février 2022, temps d'intégration de 06h 05min Traitement Siril 1.0.0-rc2, Finition avec Gimp 2.10.28 Réduction de l'image d'un facteur 0,627 pour ramener l'échantillonnage à 2"/pixel Pas mal de nuits dégagées (), mais aussi pas mal de turbulence (): j'avais 84 poses au départ, j'ai dû en jeter 11 au traitement pou conserver un FWHM juste correct (environ 4"). La dynamique des deux nébuleuses est vraiment très différente : la nébuleuse du Cône est assez faible et sombre alors que la nébuleuse de Hubble est bien plus brillante, à tel point qu'il a fallu faire un masque dessus pour ne pas la cramer sur l'image regroupant les deux objets NGC 2261 est vraiment un astre particulier et d'une forme unique je pense (?). C'était une nébuleue un peu mythique que je suis très content d'avoir pu imager, d'autant qu'elle ressemble sacrément à une belle comète Pour plus d'infos, je vous renvoie sur l'excellent post de @encelade18 du mois dernier: Du coup, j'ai cherché sur mon image si on voyait le jet mentionné qui était apparu en 2009, mais je n'en trouve plus de trace moi non plus. Je vous renvoie au document pdf complet cité dans le post d'Olivier, voici juste une image de 2009 avec le jet annoté par une flèche et donc mon image de février : Il n'y a plus rien, même en serrant à mort les seuils, ici une visu de la couche Verte en négatif : Bonne soirée.

lien vers là full au cas où: https://www.astrobin.com/chpieq/ Bonjour à tous ! Pour une de mes premières contributions ici je vous partage un des mes derniers travaux avec la célèbre tête de cheval (ic434), une de mes préférées, dans mon top 3 🙂 Je l'ai fait hier soir, sur un coup de tête pour une fois. Il n'y a que 35 photos pour l’acquisition, avec seulement 2min de pause unitaire, sans dof (c'était sur un coup de tête) à iso 800. Suivi avec la star adventurer. Optique utilisée : 70-200mm f4L canon à 200mm et ouverture f5. Apn défiltré canon 600D (aps-c). traitement siril et Lightroom cc Personnellement même si l'image est loin d'être parfaite et sans défaut, j'aime particulièrement le rendu des couleurs de la nébuleuse ainsi que des étoiles, c’est pour moi ma plus belle prise à ce jour, et c’est la première photo correcte de cette cible🙂 si vous avez des recommandations, des tips n’hésitez pas à commenter. bon ciel enjoy

bonjour à toutes et tous Je vous présente un de mes premiers essais d'astrophoto : j'ai pointé Orion avec un pentax k3-II (non défiltré) équipé d'un vénérable objectif Pentax 135 mm F2.5 @F4 sur une vixen photoguider sans autoguidage. Dans SIRIL j'ai empilé 60 poses de 3 minutes, réalisé la photométrie, extrait le gradient et supprimé le bruit vert. J'ai fait l'étirement dans GIMP car pour le moment je m'y sens plus à l'aise que dans SIRIL pour cette étape. Toujours dans GIMP j'ai fait une légère réduction d'étoiles et essayé d'accentuer les nébulosités (IFN ?). Enfin j'ai fait des corrections esthétiques en utilisant les modules de darktable ci-dessous. une première version assez douce qui a ma préférence une seconde plus contrastée avec un fond de ciel plus sombre Le défaut commun (entre autres) est la mise au point imprécise. Je ne parviens pas à un bon résultat sur ce point malgré l'emploi d'un masque de Bahtinov. D'avance merci pour vos critiques et conseils !

Moi ce que je trouve chaque fois plus fascinant, c'est que quelqu'un de la trempe de @dg2 consacre un temps si conséquent à expliquer les choses à des olibrius pareils. Fascinant mais parfois presque gênant Heureusement que c'est utile, et fort appréciable, pour les autres membres du forum, parce sinon ce serait de la confiture donnée à des cochons, dirait ma mère.

Bonjour à tous, Tout proche (visuelement) de la tete de cheval se trouve M78 et légerement dérriere une énome Nébuleuse mentionnée Lbn 933, ma pose de 7heures (sur deux soirées ) m'a permis de faire apparaitre des Nébulosités insoupconnées j'usqu'alors(en bas à D) Matériel: Astrographe Rasa f2/2- Caméra plein format 36millions pixels Asi 094 mc Opérations:Acquisition 84x300sec en deux soirées-Gain 215 avec guidage Prétraitement Dss Traitement Pixinsight et Ps Commentaires bien venus

Salut à tous Une de mes dernières images en attente depuis quelques semaines c'est un champ que j'avais déjà imagé avec le 320 mais avec la Barlow et la ST10. Cette fois ci, on est à la focale native tu Newton , couplé avec la 2600MC. Je ne vous ferai pas l'énumération des galaxies, on en a pas mal, on est aux confins de la constellation de la Chevelure de Bérénice. Les données techniques : CTA 320 f/d 4 (correcteur Wynne Keller) Caméra ZWO ASI2600MC 113 poses de 300 secondes à -10°c (1x1) cliquez sur l'image pour la full @+ Christian

https://www.jwst.fr/ Evolution des températures à bord (côté chaud/côté froid/instruments) :

Running Man ou NGC 1975 mon année de naissance, eh oui déjà.... 4h au T520 f/4.7 de l'association Copernic au Z6 défiltré, 1600 iso avec un seeing médiocre de 3.5" Philippe en a tiré une magnifique version je trouve. Deux versions , l'une un poil plus contrasté que l'autre... Jérôme

Enfin presque. Un léger léger défaut de collimation résiduel mais j'en suis vraiment pas loin. Epsilon 250 f/3.4, Canon 6D Astrodon, 1600 iso, seulement 1h30 de pose (sub de 2min) sans filtre, du brut de chez brut. Philippe s'est exprimé comme un chef une fois de plus en supprimant le gradient qu'il m'est impossible à mon niveau de retirer (hâte de maitriser pix sur ce coup là). Encore merci à toi ma couille. Jérôme

Hello, Je vous invite à une balade au pays des volcans autour de Copernic (à l'ouest). Avec la lumière rasante, l'éclairage est idéal pour distinguer les dômes volcaniques. C'est bien une des premières fois que je les ai si bien définies. Meade 254/2500 + asi290mm + IR680 + barlow Antares 1.5x Mosaïque de 8 images. Opérateur happy happy happy

Bonsoir, Il y a des astres croisés au fil de lecture (Revue des Constellations, Burhnam Celestial Handbook, Nébuleuses et Galaxies) qui fascinent par leur aspect à l'oculaire ou bien les phénomènes physiques étranges qui les accompagnent. A mes débuts en astronomie, j'avais ainsi appris l'existence d'une "nébuleuse variable" (NGC 2261) et d'une étoile variable entourée d'une nébulosité qui m'avaient intrigué et, bien des années plus tard, j'ai eu l'occasion de les imager toutes les deux récemment Je vous propose donc aujourd'hui une image de R Aqr : Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, 155 poses de 60s à -20°C (gain 120), Nord à peu près en Haut Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Les 29/30 novembre, 03/04, 05/06 et 06/07 décembre 2021, temps d'intégration de 02h 35min Traitement Siril 1.0.0-rc2, Finition avec Gimp 2.10.28 Réduction de l'image d'un facteur 0,627 pour ramener l'échantillonnage à 2"/pixel C'est donc imagé sur 4 nuits lors de la lunaison de décembre, à chaque fois malheureusement sous un seeing bien moyen, ce qui ne donne pas une image avec la finesse que j'aurais souhaité et m'a aussi contraint à ne conserver que 155 poses sur les 237 prises. J'avais espoir d'imager le champ dans de meilleures conditions lors des lunaisons suivantes, mais celà n'a finalement pas pu se faire. L'image obtenue n'est donc pas exceptionnelle mais je suis content de l'avoir prise car la physique de ce système est vraiment passionante : il s'agit en fait d'un système binaire composé de 2 étoiles proches (séparation de 55 milliArcsecondes) et en interaction (on parle détoiles symbiotique, R Aqr étant l'une des plus connues mais on en connait environ 150) : une petite naine blanche, très dense et chaude (20 000 K) et une géante rouge bien plus froide (3000 K) en fin de vie Les 2 astres présentent chacun des caractéristiques intéressantes : * Certaines géantes rouges ont des pulsations déclenchant de grandes variations d’éclat, on les appelle alors des Mira. C’est le cas avec R Aqr qui montre des fluctuations d’un facteur de plus de 250 (soit 6 magnitudes). Elle a déjà été observée aussi brillante que la magnitude 5 et aussi faible que la magnitude 12. * La naine blanche est moins massive mais beaucoup plus compacte et c’est donc elle qui possède le champ gravitationnel le plus fort : en conséquence, elle arrache les couches externes de la Mira. A ce jeu, elle accumule par moments suffisamment de matière pour enclencher la fusion nucléaire de l’hydrogène, ce qui la transforme en nova et elle expulse alors dans l’espace sa couche extérieure. D’où l’apparition de la nébulosité qui entoure le système binaire, c’est donc une nébuleuse planétaire, cataloguée sous la désignation Cederblad 211. Crop sur la nébuleuse de l'image précédente L'explosion la plus marquée remonte à 1073 : on détermine cette date en analysant l'expansion de l'enveloppe externe et on en trouve mention dans les Annales d'observations en Asie. Une autre explosion s'est produit en 1770 et a produit l'anneau le plus interne. Voici une vue d'artiste du système binaire (source AAVSO) : Bon week-end.

Faire de la recherche est une drogue. Quand on est sur un problème, on se lève avec, on vit avec, on se couche avec ! C'est parfois obsessionnel et envahissant. Cela demande d'avoir un entourage familial très tolérant et qui vous aime pour ce que vous êtes ! Car on ne laisse pas sa recherche au labo ! Mais faire de la recherche, c'est aussi passer une grande partie de son temps à se former en permanence à ce que les autres découvrent ou développent comme nouveaux outils (théoriques ou expérimentaux). Et cela, cela demande un grand investissement intellectuel. Le chercheur se doit d'être un éternel étudiant. Cela peut être grisant et passionnant, revigorant comme cela peut être épuisant. Enfin, faire de la recherche, c'est se faire violence pour se remettre en question en permanence. Et j'insiste sur le fait que c'est une vraie violence psychologique que l'on s'impose. Avancer en recherche demande une énorme dose d'opiniâtreté et de détermination, et en même temps, il faut savoir faire preuve de résilience et d'humilité. Pour certains pros, avec les années, les responsabilités administratives et d'enseignement, la vie de famille, la difficulté à trouver du temps pour continuer à se mettre à jour, et à prendre le temps de se remettre en question, la frustration d'être dépassé alors que l'on aurait envie de continuer,... tout ça n'est pas facile à vivre. Surtout quand on a fait tant de sacrifices. Certains se perdent en route, voir s'égarent totalement en s'accrochant coûte que coûte au passé ou à des idées faciles ! J'ai eu un remarquable mentor. Il disait qu'il fallait savoir faire confiance aux jeunes et savoir passer la main. Et quand on ne comprend plus le détail, il faut s'avoir s'émerveiller des nouvelles découvertes et être heureux que celles et ceux qui nous succèdent soient allés plus loin que nous.

C'est vrai, j'ai vécu ça en live toute ma vie professionnelle depuis, disons, 1980 et quelques. A l'époque, c'était déjà la relativité et la cosmologie, nous recevions régulièrement, à C & E puis à S & Vie, des lettres manuscrites de vieux monsieurs, qui, un jour, cessaient, faute de combattants. Mais c'est vrai aussi chez les pros, j'ai eu la chance de rencontrer Fred Hoyle et Halton Arp, ils ont, jusqu'à leur dernier souffle, soutenus leurs idées, alors que depuis longtemps les données observationnelles leur montraient qu'ils s'étaient trompés. C'est fascinant...

Le sens mathématique et le sens physique sont très clairs : il existe une vitesse limite aux interactions, et il est donc impossible d'être omniscient. Partant de cela, la relativité du temps en découle de façon inéluctable via quelques calculs mathématiques simples (pour un étudiant normal ; pas forcément pour vous, hélas). Cela avait commencé à être soupçonné par Poincaré, de fut, indépendamment, démontré rigoureusement par Einstein, puis vérifié expérimentalement par Bruno Rossi dans les année 1940 (qui a effectué l'équivalent de l'expérience des jumeaux de Langevin avec des particules élémentaires, les muons). Eussiez-vous vécu il y a 120 ans, vous auriez été un ignorant heureux de la subtilité du monde. Aujourd'hui vous êtes un aigri qui n'accepte pas le monde tel qu'il est. D'ordinaire, c'est plutôt en cosmologie que l'on voit cela. Pour rester en France, des gens comme Christian Magnan ou Jean-Marc Bonnet-Bidaud rejettent à peu près toute la cosmologie et rêvent d'un retour à un âge d'or fantasmé où on ne savait rien, ils ont la nostalgie du temps de l'ignorance. Je ne sais plus quel auteur avait résumé la fin des théorie devenues obsolètes en disant qu'elles ne disparaissaient pas parce que les gens comprenaient qu'ils avaient fait fausse route, mais parce que leurs derniers tenants finissaient par mourir, incapables de changer d'avis ou de rallier qui que ce soit à leurs errements. Ce fut le cas de Christina Magnan et on peut craindre qu'il en sera de même de JMBB. Charge à vous de ne pas faire partie de ce club peu glorieux, cependant je ne suis pas très optimiste à votre sujet.

Salut à tous, Je viens de terminer de publier sur mon blog une série de trois articles consacrés à l'utilisation du capteur IMX462 couleur, pour le planétaire infrarouge, nourris par mon expérience sur Jupiter l'année dernière. Je vais appeler ça ma trilogie sur l'IMX462 Le but, définir précisément quels sont les avantages du capteur pour cet usage, les limites (il y en a), et échaffauder quelques conseils pratiques d'utilisation ! L’IMX462 pour l’imagerie planétaire infrarouge: mon expérience (I) Où je remarque sans surprise que le capteur est une vraie bête pour l'imagerie méthane des planètes gazeuses, mais tout aussi excellent pour des filtres IR profonds sur la partie monochrome du capteur (850, 1 micron...) L’IMX462 pour le planétaire infrarouge (II) : moins efficace avant 750 nm Le deuxième article explore l'utilisation de filtres IR sur la partie non monochrome... et constate qu'il y a une perte de résolution, dans ce cas précis, à cause de la matrice de Bayer qui force la bande passante effective à se décaler vers l'infrarouge. Conclusion: si on dispose d'une bonne caméra monochrome, il faut mieux continuer à utiliser des filtres comme les Baader 685 ou Astronomik 642 avec cette dernière... L’IMX462 pour l’imagerie planétaire infrarouge (III) : régler sa caméra Et dans le dernier article, je pose quelques conseils pratiques d'utilisation: est-ce que l'ADC est toujours nécessaire, comment régler la balance des couleurs. Bonne lecture il y aura un compte-rendu également dans Astrosurf magazine, où j'essayerai de mettre quelques infos et tests supplémentaires.

Bonjourà tous, je vous présente une image assez classique et bien connue ic410 et 405 , elles ont été réalisées avec le matériel suivant ;caméra Asi 094mc plein format,montée sur un Rasa 11' f2/2 620mm. Les poses unitaires sont de 300sec avec guidage ;la monture est une ancienne Njp 160 takahashi équipée FS2 Prétraitement Dss,traitement Pixinsight, -ps,vos commentaires sont les bienvenus ,Merçi

Hello, La veille de la big mosaïque avec le Meade 254mm, j'ai révisé mes gammes avec le C8. Pas réussi à bien le régler, le miroir secondaire tournant sur lui même, système Fastar plus trop bien serré sur la lame de fermeture. Elle n'est pas parfaite, donne un léger aspect dédoublé. Pas réussi à faire mieux. 46 tuiles pour celle ci. Version 50% pour les pressés du clic la full: https://zoomhub.net/PVnX8 Bon dimanche ici encore tempête....

Pour mieux apprécier l'amplitude de cette méga-protu, j'ai "dopé" la périphérie de la photosphère... Énorme, titanesque... Et très joli ! Jean-Jacques

Moi je suis prêt à en convenir si ça peut te faire passer à autre chose du moins sur ce forum

salut a tous comme dit des filaments un peu partout sur le soleil voici quelques images gros plan mak de 100mm modif PST et les disques maxscope de 40mm Zwo 178mm jean marc

Bonjour celle de 00 h 03 , et celle de 07 h 40 bonne journée .

19/02/2002 : Richard

Salut les amis; oui je sais, encore une reprise d'une image faite au T1000 f/3.3 de C2PU . Mais quand on aime.... Celle-ci a été faite par @DVernet en 2019 avec l'ancienne STX. Il avait eu pas mal de soucis de FDC et de gradients et avait dû adapter son traitement. Il m'a demandé de reprendre l'affaire depuis le début en m'envoyant les brutes et DOF suite au résultat obtenu récemment sur Abell 1185. Je me suis donc exécuté (la dernière image de fouet qu'il m'a envoyée m'a beaucoup aidé) Il y a 7 heures de luminance conservées sur 8h30, triées comme suit avec SIRIL : 2 heures à 1,7" de Fwhm pour les hautes et moyennes lumières 5h à 2,1" de Fwhm pour les basses lumières 7h sur le FDC et lumières très faibles. On y rajoute 100 mn par couche RVB. Traitement Siril et CS6. 9 heures. Malgré le seeing moyen, le bon RSB a permis une bonne déconvolution sur les hautes lumières. Le choix de traitement ici (validé par nous deux) est un étirement très fort de l'histogramme en non linéaire. Tout le monde n'appréciera pas. Ainsi que des contrastes soutenus. J'ai utilisé de très nombreux masques et masques de fusion pour adoucir un traitement globalement assez agressif, ça se sent encore par endroits, mais on le juge acceptable. On avait envie de sortir les tripes de ces données, et là c'est fait. Merci à David et au C2PU pour le partage. Petit crop des flemmards du clic : Et le lien Astrobin for the FULL (ya de la pétouile partout) : JF

C'est vrai, et je crois que c'est encore mieux que ça : sans le savoir, il a mis en évidence un biais statistique dans la population de quasars, du fait du lentillage... Il faudrait retrouver le papier qui espique ça, mais (sauf si ma mémoire débloque ou que j'ai rien compris) à l'époque (années 90/2000) ce papier m'avait bluffé. Mais ce qui me fascine avec Arp, c'est qu'il continuait à m'engueuler par courrier, quand j'osais espiquer dans mes papiers que l'imagerie moderne montre bien qu'il s'était trompé. Et ça, littéralement, jusqu'à son décès. Cette cécité est extraordinaire... Dans le cas de Communiparationnel, j'ai pas les clés, chupa une fusée comme Dg2, George Black ou toi... Mais on sent bien que les "problèmes" qu'il soulève datent au fond de la fin XIX eme/début XX eme, le fait que pas une seconde il s'interroge sur ses propres capacités à comprendre des trucs observés depuis les années 20 avec plusieurs zéros après la virgule, c'est assez vertigineux, quand même. Ou pathologique, plus simplement.

@Superfulgur, Il me semble qu'Halton Arp a tiré des interprétations fausses (l'origine non cosmologique de certains redshifts) d'observations réelles (la proximité apparente de certains quasars avec des objets plus proches), alors que l'hurluberlu ici présent vient tout juste de nier tranquillement la relativité galiléenne, restreinte, et générale, sans s'encombrer du moindre indice observationnel. J'ai l'impression que c'est pas tout à fait pareil quand même Ps: @dg2 : il manque un facteur 1/c2 dans le terme de vitesse (v² -> v²/c²) du calcul de l'intervalle dans le référentiel terrestre.

D'autres photos de l'engin : En configuration Bar / Apéro / Café de nuit avec store déployé. Moustiquaires ajoutées sur les ouvrants : Ajout d'un panneau solaire 150W sur le toit, moustiquaire à l'arrière également : Ajout d'un tiroir coulissant pour sortir plus facilement l'EM400, et qui sert également de table d'appoint pour le pique-nique ou pour poser le PC ou la tablette la nuit Ya également la douche à l'arrière sous le hayon, et un toilette chimique dans le van. Et ajout de rideaux occultant à l'arrière du poste de conduite pour ronfler rapidos en bas pendant que les poses se font toutes seules Et enfin la petite cuisine avec évier, gazinière 2 feux et frigo 42L. Un grand lit en haut et la banquette AR qui se transforme en grand lit 120x200... Et le Chien qui dort tranquille sous sa couette pendant qu'on fait de l'astro Allez bon apétit, nous on est enocre à l'apéro

La version de Philippe avec des nuances de couleurs bien meilleures je trouve. Jérôme

Curiosity est toujours en montée dans un terrain tourmenté et couvert de petites roches aux angles vifs, mais il est désormais très proche du plateau supérieur du "Fronton de Greenheugh". Le 18 février il a parcouru environ 30 mètres. POSITION AU 18 FÉVRIER 2022 (SOL 3390) – kymani76 : CONTEXTE : HAZCAM AVANT - 18 FÉVRIER 2022 (SOL 3390) : Un terrain difficile HAZCAM ARRIÈRE - 18 FÉVRIER 2022 (SOL 3390) : NAVCAM - 18 FÉVRIER 2022 (SOL 3390) : La "Crête Gediz Vallis" (crête centrale du Fronton et objectif du rover) commence à émerger à l'Ouest : Vers l'arrière à l'Est Vers l'Est Sud-Est Les remparts Nord au loin à près de 40 km Vers le Nord-Ouest et les remparts Nord encore visibles malgré l'atmosphère poussiéreuse. Avoir pris de l'altitude permet d'apercevoir à nouveau le "cratère lobé" nommé "Slang Pos" : Sur Mars, lorsqu'un impacteur arrive sur un sol gelé en profondeur, le cratère résultant est entouré "d’éjectas lobés" de type "coulées boueuses". Ces cratères sont souvent désignés sous l’appellation imagée de "cratères splotch". Le cratère lobé "SLANG POS" de 5 km de diamètre (imagé par Curiosity au début de son périple) : Le cratère "Slang Pos" vu par MRO. Les éjectas lobés (coulées boueuses) sont parfaitement visibles :

À noter qu’empiler des blocs au sommet d’une butte pour former un cairn aidant à se repérer dans le désert est un comportement typiquement humain qui remonte à la préhistoire... De toute évidence nous ne sommes pas les premiers sur Mars !

MOSAÏQUES MASTCAM - 14 FÉVRIER 2022 (SOL 3386) - Robert Charbonneau : Désignées du sol 3387 mais ces images sont bien issues du sol 3386 La butte "Blackcraig" Sur la gauche du rover, les contreforts de la butte "Maringma" Un "mille feuilles" assez extraordinaire MOSAÏQUES MASTCAM - 14 FÉVRIER 2022 (SOL 3386) - Stuart Atkinson : Au premier plan les éboulis au pied de la butte "Blackcraig". À l'arrière l'extrémité du mur du "Corridor Maria Gordon" Curiosity avait imagé ce mur Ouest du corridor au plus près le17 décembre 2021 (sol 3329) : PANO MASTCAM - 15 FÉVRIER 2022 (SOL 3387) - Robert Charbonneau : Vue arrière, Est Sud-Est et le Mont Sharp PANO NAVCAM - 15 FÉVRIER 2022 (SOL 3387) - Jan van Driel : Vue plus large Est Sud-Est (intégrant la mosaÏque MastCam précédente) Des nuages de glace de CO2 à 80 km d'altitude (8 images NavCam) :

ET OUI... C'est fini.... C'est fini... C'est fini, fini le boulot, le premier jour du reste de ma vie est enfin arrivé !!! Je vais pouvoir profiter d'une retraite méritée... Et pour ça, j'ai investi toutes mes économies... Mercedes Marco Polo 4Matic (4x4) pour pouvoir sillonner les routes à la recherche des meilleurs spots astro et venir faire chier les copains Et pour compléter la FSQ106... Je crois bien que cette fois je suis paré pour la retraite... Fauché mais paré PS : je compte bien profiter de mon temps libre pour animer quelques stages astro, prise en main de matos, formation SiriL et traitement d'images, et cela auprès des clubs ou des groupes qui le souhaiteraient. Avec mon van je pourrai me déplacer moyennant remboursement des frais bien sûr. Avis aux amateurs Parlez-en autour de vous, si du monde est intéressé, ce sera toujours avec grand plaisir.

Bonjour,, Cela fait six ans que je n'avais rien posté sur Astrosurf! j'ai pas mal de choses de coté!l L'image que je vous envoie date de huit jours, avec le nouveau correcteur de champ dont j'ai peaufiné le reglage , mon CN 212 Takahashi reprend du service,ce Neewton de qualité vendu dans les années 90 est Polyvalent ,ciel profond àf/3,9 et planétaire à f/12,le chercheur est solidaire du tube de 210mm(indéreglable). Objet du jour : la Rosette ,très brillante seulement 1h30 de poses avec un filtre duo band sur l'Asi 294mc Tube cn212 monté sur monture eQ8 guidage phd 18poses de 300sec/dss/Pixinsight/ps

bonjour à tous. fallait oser monter le matériel , le ciel pas vraiment de la partie et un vent qui arrivait du bon coté mais assez fort , presque 400 films à la poubelle les parasites sont toujours là , je crois que c'est fini pour les animations solaires , les 2 caméras sont Hs , reste à essayer la 290 avec son champ riquiqui . Paul pour sortir ces 3 images j'ai du trier une par une parmi ~1200images par film pour en prendre entre 20 et 70 sinon elle étaient parasitées animation : reste des meilleurs images 70 images sur les 380 .ser

merci fljb67 pour ta réponse. J'ai une tolérance de réglage qui est très faible sur mon objectif. Je peux faire suffisamment varier ma bague de mise au point pour passer d'une MAP acceptable à mauvaise sans pour autant voir de changement sur ma figure de Bahtinov ... Pour mes derniers essais j'en suis arrivé à vérifier la MAP sur l'écran du pc plutôt que de me satisfaire de l'écran du reflex mais même ainsi je n'arrive pas à avoir des étoiles bien ponctuelles. Peut-être que j'en demande trop à ce matériel ... Sinon pour verrouiller ma MAP j'utilise du ruban adhésif d'électricien, astuce que j'ai croisée dans plusieurs tutoriels.

Marque déposé! Vraiment cool ce transit. Mais c'est sacrement rapide, n'as tu pas une vidéo en ralenti?

A mon avis aucun risque de déformation , peut être un reflet ? sur l'éclat et encore pas sur tu peux faire une photo du Tube avec la Lame montée . Si risque de reflet , tu peux masqué l'éclat ça ne changera rien à la qualité de ton C9 ni aux images réalisées . ** <<<j ai découvert que pour démonter la lame en sûreté il faut séparer au préalable le support complet du tube...>>> ? quel support complet ? , il suffit d'enlever le flasque de maintien secondaire/Lame Au passage avais tu bien fait des repères Lame barillet ? Bernard_Bayle

Quel bonheur ce post , merci @pascame de l'avoir initié et aux copains qui l'ont enrichi ! Bernard_Bayle

Bah déjà sans l'ISS ça serait déjà une belle image... Mais là, ouch! Puis en terme de préparation et de contraintes techniques, on est loin de nos lunes simples compositées avec nos petites lulus. C'est beau, précis, nickel. Une petite colorimétrie qui me plaît bien aussi. Du Thierry quoi! Bravo Boss.

Oui c'est orange, mais je n'arrive pas a basculer vers une autre couleurs sans trouver ca très moche et/ou ne pas perdre en signal. Pour ta version > Ce rose c'est pas vraiment ma tasse de thé, mais ne la retire pas. c'est une version plus proche des couleurs 'réel' de cette nébuleuse. j'ai aussi une version un peu 'rose', mais encore une fois loin des couleurs de la rosette: moi aussi, mais ce sera pour une autre fois peu être Ta version @ALAING est parfaite, j'ai reprise les couleurs et le contraste pour ma version en tentant d'adoucir le font du ciel. Mais c'est a peine mieux... je crois qu'il est grand temps que j'arrête, ça va finir par me rendre folle. Le bute maintenant c'est de tenter de nouvelles nébuleuses et galaxies et cie et de laisser tranquille mes versions précédentes Merci fljb67 merci Oui, la première version est très sympathique. Surement l'écho de la rosette dans un des multivers. Un monde ou tous les objets du ciel profond seraient des pièces de charcuterie.

Bonsoir et merci à Jacques et René, bonne soirée celle de ce matin 00 h 03, puis encore ce matin, vers 06 h 30

Bonjour à tous , je viens de recevoir mon exemplaire de l'Atlas-Guide photographique de la Lune du regretté Georges Viscardy et je dois dire que je suis subjugué par la très grande qualité de l'ouvrage. Grâce à lui je vais pouvoir parfaire mes connaissances sélénographiques et je suis très heureux de pouvoir enfin l'utiliser, et il est à la place d'honneur dans ma bibliothèque aux côté de mes Flammarion. Amitiés Jonathan