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Affichage du contenu le plus aimé le 11/10/2022 dans toutes les zones

  1. 16 points
    Bonjour à tous Voici ma petite contribution sur Jupiter du 06/10 vers 0h22 TL Gregory 300mm F/D 20 ADC + ASI462 Les conditions de seeing étaient très changeantes, passant du assez bon au très mauvais rapidement. 5 vidéos seulement avant que les conditions soient très mauvaises en permanence et m'obligent à stopper les acquisitions. Traitement AS3 (seulement 15% des images retenues) + Astrosurface + Winjupos et PS. Bonne fin de journée.
  2. 14 points
    Ça se passe en ce moment dans l'Aigle (le Petit Renard, en fait, je crois, peu importe...) RA : 19 h 13 min 03 sec, + 19°46'24.6'' Il a été découvert dimanche, à z : 0.011, c'est l'un des plus proches connus. Le truc doit être monstrueux, il est à 18, à la louche, alors que ça se passe à près de 200 millions d'années-lumière DERRIERE la Voie lactée... J'ai pifométré sa mag absolue à au moins -18... Bref, voilà le champ, je l'ai fait hier soir en une heure de pose 11 x 300 sec, au 1 mètre Omicron C2PU, filtre SDSS rp J'ai raconté l'histoire sur TW et FB, c'est pas du tout technique, forcément, mais ça donne l'ambiance, j'ai adoré cette observation... Ca c’est passé dimanche dernier, à 13 h 16 min 59 sec Temps Universel. Enfin, dimanche dernier, mais il y a presque 200 millions d’années... C’est l’astronome Sarah Antier, de l’Observatoire de la Côte d’Azur, qui m’a alerté, et demandé de pointer en urgence absolue notre télescope de 1 mètre Omicron C2PU sur cette cible… Cette cible ? GRB 221009 A, par 16 h 10 min 57 sec de longitude céleste et par 25°00’02’’ Nord, en pleine Voie lactée, dans l’Aigle, dans un champ saturé d’étoiles… Je pointe le télescope, prend une image vite fait : des milliers d’étoiles apparaissent, je ne sais pas laquelle est la bonne, peu importe. Pour faciliter un peu l’observation, c’est la Pleine Lune , et le télescope commence à pencher dangereusement vers l’ouest… Bon, j’arrive à poser près d’une heure sur l’objet (que je ne vois pas, donc), en une heure, avec le télescope de un mètre, et malgré les conditions difficiles, je monte au-delà de 22 les doigts dans le nez, ça devrait aller…Dès que j’ai traité les 5 premières minutes (pendant que le télescope continue à bosser sagement tout seul dans sa coupole), je cherche le champ sur le serveur du CDS (Centre de Données Stellaires), à Strasbourg. Je compare l’image avec celle du télescope Sloan, prise il y a quelques années. Bingo ! Là, parmi une myriade d’astres anonymes, il y a bien une nouvelle étoile… Alors, qu’est ce qui s’est passé ? Eh bien dimanche, le satellite SWIFT, qui surveille l’Univers en haute énergie, a détecté une énorme émission d’énergie, un truc à faire pâlir Dark Vador, un coup de flash vraiment monstreux, dans la gamme 100 Mev/1Gev : c’est des rayons X et gamma… L’émission, fulgurante, a duré quelques minutes, puis s’est « éteinte ». Dès la nuit tombée, les télescopes optiques ont pris la relève, et tenté de trouver une trace de l’explosion titanesque de l’Aigle. Mon image est donc prise environ 36 heures après le « flash » initial. Ca donne pas l’impression d’être très puissant, hein ? Sauf que… L’explosion a eu lieu à un peu moins de… 200 millions d’années-lumière d’ici. Et elle a eu lieu DERRIERE la Voie lactée, autrement dit, l’éclat de l’explosion est énormément atténué par le gaz et la poussière interstellaire. Tellement, d’ailleurs, que, à ma connaissance, il n’existe pas de photo de la galaxie dans laquelle l’explosion a eu lieu. Voilà, on en est là. Les astronomes appellent ces évènements des « Gamma Ray Burst », ou GRB. C’est hyper hyper violent, ça peut signer, par exemple, l’explosion d’une étoile supergéante, ou supernova. Nous allons continuer à suivre GRB 221009 A dans les semaines qui viennent, on en saura plus dans quelques jours/semaines. Là-bas, dans cette galaxie lointaine, Une étoile brille comme un milliard de soleils, peut-être plus, à suivre…(Enfin, en réalité, tout ça s’est passé… il y a 200 millions d’années…) S
  3. 14 points
    Bonjour à tous, Le ciel était dégagé ce matin en région parisienne. Léger voile nuageux d'altitude de densité variable et turbulence moyenne. Faible vent du Nord et T = 10.8°C. Voici l'image de Mars prise dans ces conditions : Il me semble que la tempête de poussière présente une surface réduite mais la partie restante présente un albédo très élevé. A suivre... Jean-Jacques
  4. 13 points
    Bonsoir les planéteux, C'est pleine Lune ! ! ! Alors qu'est ce qu'on fait un soir de pleine Lune avec un ciel dégagé ? Un ciel dégagé mais quand même un peu brumeux et 100% d'humidité ! Mais bon, vous vous doutez bien que je suis retourné rendre visite à la Grosse Toujours au M809 ( 200mm à F10 ) barlow 2x, barrette à filtres avec IrCut, ADC à zéro et ASI 224MC. Toujours aussi poussiéreux et toujours pas vérifié la collimation ( je verrais ça quand on verra des étoiles ) Juju à l'écran vers 22h30 et . . . c'est vraiment pas fameux ! J'ai été tenté de rentrer me coucher De la bouillie avec même par moments le disque de Juju complètement blanc Un peu plus calme vers 23h mais une mise au point très compliquée tellement ça fluctue. Quelques films sans conviction mais j'ai appliqué la méthode Valère en passant l'expo de 5 à 10ms J'ai fait 5 films entre 23h et 23h30, balancés dans AS3 et dodo. Ce matin, j'ai été assez surpris par les résultats obtenus J'ai 3 films à peu près corrects à 23h12, 23h18 et 23h23 TL. Je les reprends donc avec AstroSurface, 3000 images additionnées, sharpen, balance et finitions PSP. Je vous montre seulement la meilleure à 23h18 : Et la version Winjupos avec les 3 images et reprise un peu sous PSP : On a quand même des logiciels extraordinaires qui permettent de tirer vraiment toute la quintessence de nos images Un immense merci à mon ami @Lucien Voilà, c'était ma petite participation les amis Je vous souhaite une excellente soirée/nuit à ceux qui sortent, AG
  5. 11 points
    Bonjour à toutes et à tous, Je vous soumets ma Jupiter de samedi 8 octobre 22. C8 Xlt, Barlow 2 ADC, Neptune C2, Sud Gironde, 13 ser de 75s, AS3, Astrosurface et Winjupos Bien à vous
  6. 10 points
    Deux images complètement différentes pour ce post, toutes deux faites en remote depuis la Corse avec le 360 Astrosib, une moravian G4-16000 sur une AP 1100: SH2 112 en technique HOO RVB, 30 ha, 30 OII de 10 minutes, 20 RVB de 3 minutes, tout en bin 1 : Et SH2 171 (NGC 7822) en SHO-RVB, 72 ha de 10 minutes, quelques RVB pour les étoiles, la couleur issue d'une ancienne image retravaillée.: Jean-Claude MARIO. La technique SHO ne plaira pas à tous, mais c'est quand même le top pour révéler les détails, bien plus souple que la LRVB.
  7. 10 points
    Bien le bonsoir, Après une image Pleine Lune version monochrome, voici maintenant la Pleine Lune version couleurs. Le matériel utilisé est le suivant : Lunette Takahashi FC76 montée sur monture équatoriale Ioptron GEM28 GoTo + Caméra Zwo Asi 485MC + Filtre Baader UV/Ir-Cut/L Film SER de 3000 images / 500 images retenues / Traitement : AstroSurface (Saturation jusqu'à 60% grand maximum)
  8. 9 points
    Bonsoir, J'étais très content d'avoir pu imager(*) l'astéroïde 65803 peu après l'impact de la sonde Dart sur sa Lune Dimorphos, mais j'étais tout de même resté sur ma faim... Deux nuits plus tard, le ciel m'a permis de combler ce manque et je suis heureux de pouvoir vous présenter le résultat d'un vrai compositage, avec un temps d'intégration plus sérieux : Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - guidées avec dithering Le 01 octobre 2022 entre 01h46 et 03h46 utc 147 poses de 30s à -20°C et Gain 120, Temps d'intégration de 01 h 13 min 30s Traitement Siril 1.0.5, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2"/pixel L'astéroïde était un poil plus haut, mais encore vers -30° de déclinaison. Comme on voit mieux les zones d'ejecta, j'ai réduit l'échantillonnage sur une valeur plus conforme au FWHM à cette hauteur au-dessus de l'horizon (16°). On retrouve les 3 zone détectées 2 nuits plus tôt, j'ai l'impression que celle vers 121° a gagné un peu en brillance, à la limite de la détection sur les brutes : L'astéroïde, lui, a faibli légèrement : V=13.6 (c'était 13.3 le 29 septembre). On le voyait très bien se déplacer durant la séquence : L'image ci-dessus est un montage réalisé avec Gimp en travaillant le contrastes sur les zones d'ejecta tout en l'insérant le plus harmonieusement possible dans le compositage stellaire. Sur le compositage cométaire brut, à fort contraste, çà donne çà : Il n'y ici que la couche Verte, en négatif et à l'échantillonnage natif de 1,25"/pixel. Je ne sais pas ce qu'il restera de ces zones d'éjecta durant la lunaison à venir, Didymos est bien remonté en déclinaison (-8°) mais il se déplacera par contre en pleine Voie Lactée (Mon), ce qui ne va pas faciliter les choses Bonne soirée. (*): c'était le 29 septembre au matin :
  9. 9 points
    Bonsoir, Hier soir des conditions assez favorables en RP, sur le plateau de Saclay, avec le transit de la GTR. Pour une fois, j'ai pu en profiter avec une observation pas trop longue pour être d'attaque le lundi matin. Sans doute mes meilleures Jupiter pour le moment. Pour l'acquisition : C8 + ASI224MC + Barlow Meade x2 et des films de 1min sans ADC Pour le traitement : AS (30% des images) + Astrosurface et léger passage dans Gimp pour le bruit résiduel Bon ciel Olivier
  10. 9 points
    Bonjour, Je continue les traitements des images acquises la semaine dernière. Place à la belle aux anneaux. SCT Meade 10" 254/2500, roue à filtres, ADC ZWO Caméras Player One Neptune-C II IMX464 ou Asi290mm. En couleur avec l'IMX464: En LRGB avec l'asi290mm L R G B LRGB En IR-RGB: en L-IR-GB: En IR685nm: Conditions d'acquisitions:
  11. 9 points
    Bonjour à tous, Enfin j'ai réussi a obtenir une bonne nuit, depuis le temps que je scrutais presque toutes les nuits avec pas mal de nuits blanches, ça commence à être usant . Visuellement ça a commencé par un seeing moyen avec presque aucun détails mais le globe était assez stable, je me suis dit, "la mon petit gars ça sent bon, je vais juste patienter toute la nuit " Puis est arrivée un seeing pulsant, bon, flou, bon blou sur 5 sec à répétition (T. Legault a eu ce type de seeing aussi), une épreuve pour la MAP, puis enfin il y a eu des moments de très bons sur plusieurs secondes, ma collimation était bonne mais pas parfaite, pendant les moments de réglages ça bougeait... 2h de collimation, ça fatigue, donc j'ai arrêté a un moment donné. A savoir que j'ai un souci avec mes vis de collimation qui manquent de graisse, donc pour l'instant impossible de faire un réglage en finesse. Pierre de SV à eu la gentillesse de m'expliquer récemment les opérations pour regraisser tout cela, je le ferai au moment du nettoyage du primaire, en fin d'année ! Passons au images, je commence par celle que je trouve la plus jolie mais pas la plus résolue qui est la suivante ! A 2221_8 TU : La plus résolue, traitement plus costaud mais là on est bien d'accord que c'est pour bien voir tous les petits détails (j'ai un vilain rebond qui n'est pas sur toutes les images de la soire, turbu ?) : Là je mets juste l'heure, 2058_8 TU, c'était beaucoup plus instable ! Et lorsque j'ai vu que le seeing commençait à devenir capricieux je suis passé en en IR 642 (2257_1) dérotation de 4 images. Allez, tête vers le bas Voilà, c'est la fin, il y avait Saturne mais tout est parti à la poubelle, trop instable à cette altitude, je pense qu'il y en a encore pour plusieurs années ! Bon ciel à tous William
  12. 8 points
    Bonjour à toutes et à tous, Après toutes ces belles images de Jupiter j'apporte ma petite contribution à ce qui a été une nuit compliquée à cause d'une turbulence fluctuante en permanence (entre 3 à 7/10) rendant la mise au point bien compliquée. La nuit a été aussi très humide et avec un vent très faible, ensuite j'ai fait Mars qui faut que je traite les images, mais les conditions étaient encore moins bonnes. Donc Celestron 11 muni d'une Barlow 2.5x, un ADC ZWO, une caméra ZWO ASI 662 MC avec un filtre UV IR Cut,. Captures de 150 secondes, traitement bio avec AS!3, Astrosurface, Psp, DxO et Photoshop. Bonne journée Christian
  13. 7 points
    Salut! Hier soir à Cognac, le ciel se voilait par l'ouest, mais la turbu était moins présente que la veille (ou çà dansait la gigue!!)... Conditions moyennes quand-même, avec quelques moments corrects...mon newton s'en sort pas trop mal dans ces conditions! Voici une image vers minuit HL Comme d'hab avec mon newton chinois (TS UNC200/1000) , équipé de sa powermate X5 ASI224MC : environ 3000 images sur 8500, traitement AS3+Astrosurface+toshop
  14. 7 points
    Bonsoir les surfers! Petite jupiter de samedi dernier avec un seeing assez moyen, ciel moyennement stable et forte humidité ( et même brume sur la fin...) C'est mon deuxieme essais en dérotation et niveau traitement j'ai encore pas mal à faire. _Sky Vision NC 300 (Focal 7200mm - F/D24) _10Micron HPS 2000 _ZWO ASI462MC Chrominance _IR/UV Cut Baader 1.25" Bin = 1 Exposure = 0.010Sec Gain = 300" Bin = 1 Temperature = 14°C Duration = 80 Sec _ZWO ASI290MM Luminance _Baader Sloan G' 65% _Baader Slaon R' 35% Bin = 1 Exposure = 0.07Sec Gain = 285 Bin = 1 Temperature = 14°C Duration = 80Sec _Barlow Siebert Optic 1.5X _Pierrot Astro ADC Mark III _Seeing 1.78" _Jet Stream 19M/s Autostakkert + Winjupos + Astrosurface + Photoshop Je prends tous les conseils=)
  15. 7 points
    Salut à tous! Voici la grande nébuleuse à émission IC1396, star de l'hémisphère Nord qui contient la célèbre Nébuleuse de la Trompe d'Elephant (IC 1396A). 31h40 de poses en septembre 2022 à Amiens (France, Bortle 7) avec : Lunette Takahashi FS60CB Feathertouch Monture Ioptron CEM70 Camera ZWO ASI 2600mm + filtres SHO 3.5nm Antlia Le long temp de pose a permis de révéler de riches nuances de couleurs dans cette nébuleuse que je n'avais encore jamais eu l'occasion de photographier en grand champ. H : 153x300s S : 101x300s O : 126x300s Traitement Pixinsight & Photoshop Bon ciel à tous les Astrosurfeurs!
  16. 7 points
    Merci Sauver et polo. Voici le Gregory. C'est une optique Mirrosphere 300mm F/D 20 obstruction 25%, la partie mécanique étant de CFF.
  17. 6 points
    Bonjour, Arnaud @Arnaud T60 en parle déjà dans la rubrique pro-Am mais je ne suis pas certaine que beaucoup d'entre nous passent par là. Je ne sais pas si un autre sujet a été ouvert, mes excuses dans ce cas. https://www.presse-citron.net/la-nasa-a-besoin-de-vous-si-vous-habitez-dans-cette-zone-en-france/ "L’objectif est de pointer sa lunette astronomique vers Eurybate. À 4 heures du matin, le 23 octobre prochain, l’astéroïde passera devant une étoile, créant une occultation. Le phénomène sera très rapide, il ne durera pas plus de 10 secondes. Il faudra être donc placé au bon endroit pour suivre le passage éclair de ce corps céleste d’une soixantaine de kilomètres de diamètre." L'AFA espère battre le record du plus grand nombre de personnes à mesurer en même temps une occultation stellaire par un petit corps. Toutes les infos ici : https://www.afastronomie.fr/occultation-eurybate-23-oct-2022
  18. 6 points
    Bonjour! Le 6 octobre au soir, le ciel etait bien stable à la tombée de la nuit, et une premiere prise sur Saturne m'a confirmé que c'etait une bonne nuit. J'ai fait deux captures pour rechercher des spots, et il semble y en avoir quelques-uns, dont un pres de la zone polaire Nord, à droite. j'ai fait deux captures de 3 minutes, setup habituel. Premiere image a 19h43 Deuxieme a 19h47 Le petit gif Mais c'est quand j'ai orienté mon flextube sur Neptune que j'ai eu un petit frisson: il y a eu un moment tres bon, et je n'ai jamais eu un limbe aussi défini en couleur, et surtout Triton aussi ponctuel.. Triton, enfin ce que je prenais pour Triton, en bas a gauche, parceque quand j'ai regardé la simulation winjupos, j'ai compris que ce n'était pas le satellite, mais une étoile de magnitude 12, nommée TYC5254839-1 auprès de laquelle Neptune était en train de passer! J'ai capturé quelques minutes après le passage au plus prés. Triton, il fallait le chercher un peu plus loin à droite, bien moins lumineux. Le seeing etait magique avec ma QHY462C, j'ai capturé une dizaine de minutes avant de passer a la 290m, pour faire de l'IR. Mais le seing s'est dégradé, me laissant tout de meme faire une capture au baader 610+ (30 minutes) mais aussi à l'astronomik proplanet 642 pour la meme durée. Je suis revenu à la 290m pour l'IR, pour Neptune, meme si l'IMX462 est tres sensible, car sur les cibles de petit diamètre, je trouve que la matrice de Bayer est vraiment trop handicapante. Le traitement est le meme, wavelets avec Astrosurface, mais augmentation de luminosité pour le satellite, et l'étoile. J'ai bien essayé la psf, en utilisant directement l'etoile dans le champ, mais je n'ai pas été convaincu par le résultat. Il faut que j'approfondisse le sujet. La planche complète avec comparaison avec la simulation de Stellarium (dont je me suis aperçu que les indications sont tres approximatives, tant pour les coordonnées précises des étoiles que pour leur magnitudes (c'est différent de ce que l'on trouve sur Aladin...) De gauche a droite, version Astronomik 642 Version couleur Version Baader 610+ En voyant les trois images, on se rend compte que la planete se deplace assez vite dans le ciel: en fait c'est son mouvement apparent, car c'est la terre qui est en train de la depasser ce qui nous donne l'impression qu'elle recule sur le fond du ciel. On a l'impression de voir des bandes horizontales sur l'image couleur, et peutetre une zone plus claire en region Nord sur la 642, et par contre rien sur la 610+.. Bien sûr tout ça avec les "yeux de la foi". Voila, sur ce je vous souhaite d'excellents ciels!
  19. 6 points
    bonjour, personne n'a mis de messages du 9 octobre , donc je me permet de mettre une petite animation bien gâchée par une diffusion sur 3-4 voir plus diamètres solaire . Paul animation de 59 images reste des 182 images complètement bouffé par la transparence
  20. 6 points
    Hello je mets ça ici pour que ce soit un peu vu. Le 23 il y a une très belle occultation d'Eurybate à faire. Les données vont être notamment centralisées par l'AFA pour la NASA (vous pouvez vous inscrire sur le site AFA pour participer). Le but c'est d'aider la mission Lucy qui doit aller voir ce Troyen (elle est en route). L'objet en gros c'est un analogue d'Arrokoth mais piégé à un point de Lagrange de Jupiter, donc un corps très primitif. Ce qui est cool c'est que ça se passe chez nous et l'étoile à visée est brillante (pour une occultation en tout cas). C'est à dire sous la magnitude 9. La difficulté c'est de bien dater, mais si vous connectez le PC à la 3g ou à la 4g de votre téléphone et que vous faite une synchronisation sur un serveur NTP juste avant ça donne une assez bonne précision. Il suffit juste de ne pas poser le télescope en zone blanche ou au pire faire ça juste avant de partir. https://www.afastronomie.fr/occultation-eurybate-23-oct-2022 Si vous êtes hors zone bien tentez aussi il y a des petits satellites à chasser autour. Au moins 1 est déjà connu. Au niveau de la vitesse d'acquisition il faut que l'étoile soit bien visible et s'adapter au ciel, à la stabilité et au matériel. Mais arriver à 10 ou 20 images seconde ce sera déjà bien. Si en montant plus haut l'étoile est toujours visibles tant mieux. Si possibles faites des fits, et si possible faites du ROI pour réduire le poids des données (sans prendre de risque non plus). Pour avoir l'heure précise chez vous allez sur : https://www.afastronomie.fr/quand Et faites une prise de vue d'au moins 4 minutes en tout. Je conseille personnellement de démarrer même 5 minutes avant minimum ça permet de réagir si quelque chose se passe de travers à ce moment là. Plus d'infos ici (allez directement en bas si vous avez un télescope et une caméra). https://www.afastronomie.fr/materiel-et-protocoles @+ JLuc
  21. 6 points
    Bonjour Histoire de partager ma friture d'hier soir ...Vers 22h30 - 23h j'ai fait 3 avis de la lune avec la lunette TS de 80mm/480mm avec la caméra zwo asi 178mm et Jupiter avec le C11, une barlow de 1.5 et la caméra 290MC. La turbule était moyenne, pas énorme mais plus importante que le 18/09. En visuel, c'était assez sympa surtout saturne, je pouvais voir avec la bino le séparation de Cassini sur toute la totalité de l'anneau et ce d'une façon bien nette! Ce qui est rare. Niveau image malheureusement....rien de bon pour Saturne!!
  22. 5 points
    Bonsoir à tous, J'essaie de rester à jour niveau traitements car j'ai pas mal de retard.(bon en même temps c'est toujours bon signe)Voici la moisson de la nuit du 09 au 10/10 avec des conditions médiocres,un forte turbu et des nuages d'altitudes.Le résultat de cette nuit avec de la lune,de la Juju et de la Mars au crabe. Setup: Skywatcher 200/1000,eq6,Zwo224mc+ir cut,adc Zwo,barlow Televue x2.Traitement As3 et Astrosurface. On commence par la lune en mosaïque: Quelques plans rapprochés à la barlow: On passe ensuite à juju en rgb: Filtre ir 742 pro planet: Filtre ir pass Baader 685nm: Mars rgb: Et une Mars au Crabe au Samyang 135mm,seulement 20mn de pose... trop lumière ,trop de nuages, fin de la nuit... bref c'était pour le fun: Bon ciel ici c'est reparti pour la nuit!
  23. 5 points
    Bonjour à tous, Je vous propose une petite mosa de IC1318 en deux panneaux. J'ai fait les acquisitions mi-août sous la pleine lune pour le Ha (pas facile pour la mosa ), pour le OIII et SII j'ai attendu une semaine. J'avais un vilain reflet sur la partie du bas de l'image que j'ai atténué tant bien que mal...au final ça passe mais c'est encore visible ;-) Les détails d'acquisition: - RC 400mm Officina Stellare @ F6 - GM2000HPS - ASI2600MM - 15h en Ha - 8h en SII - 8h en OIII C'est une image SHO mais en essayant de garder des couleurs naturel, pas mal de Ha et SII dans la couche rouge, le bleu c'est pur OIII. Lien astrobin: https://www.astrobin.com/1brxt6/0/ Et l'image ;-)
  24. 5 points
    Après une pause estivale dans nos traitements, (mais les acquisitions ont continué), nous reprenons nos publications. Et nous vous proposons, une fois n’esp pas coutume une grande classique. M8 – La Lagune Située dans la constellation du Sagittaire, en pleine Voie Lactée et dans la direction du centre galactique, la nébuleuses M8 (la Lagune ou le Lagon) est l’un des plus beaux objets du ciel qu’il est possible d’observer. Elle est située à un peu plus de 4000 années-lumière et s’étend sur plus de 110 années-lumière, pour 50 années-lumière de large. Il s’agit donc d’une nébuleuse de taille considérable, dont la taille apparente dans le ciel est supérieure à 3 fois celui de la Pleine Lune. Pour l’essentiel, c’et une nébuleuse en « émission » : il s’agit de grands nuages composés à 90% d’hydrogène, dont les atomes sont ionisés par le rayonnement des étoiles nouvellement créées en leur sein. Véritables pouponnières d’étoiles, les immenses nuages de gaz se condensent en de multiples endroits pour donner naissance à autant de nouvelles étoiles, dont le rayonnement illumine ensuite la nébuleuse. Pour la Lagune, l’amas nouvellement créé (NGC 6530), âgé d’environ 2 millions d’années, est constitué de plusieurs centaines d’étoiles jeunes et chaudes. La nébuleuse est également fortement ionisée par le rayonnement de la supergéante bleue 9 Sag. De nombreuses nébuleuses obscures (ou par absorption) sont également présentes ; essentiellement visibles par contraste devant les nébuleuses en émission. Ainsi que . Ces zones sont si denses et compactes que la lumière visible ne peut la traverser… en revanche, grâce au rayonnement infrarouge, il est possible de révéler la présence en leur sein de nombreuses étoiles nouvellement créées ainsi que de zones actives de formation d’étoiles. Full & Details astrobin :
  25. 5 points
    Bonjour une petite image à la FSQ85, pour tester le filtre Duoband d'Antlia et le backfocus avec le flattener de FSQ85 et une caméra 2600MC. Je suis plutôt satisfait du résultat, les étoiles sont assez "préservées" dans les coins. C'est la 1ère fois que je fais cette nébuleuse, et il me semble que je n'ai pas toutes les émanations périphériques d'Ha dans mon champ. L'image a été faite sur deux nuits, depuis le centre ville, le filtre fait le job. ASIair, RST135, pas de DOF. Pixinsight, Lightroom. Bon ciel Olivier
  26. 5 points
    Moi mon rêve c'est que les hommes réalisent enfin qu'ils n'auront aucun avenir dans les étoiles tant qu'ils n'en auront aucun sur Terre. Les hommes que Musk fait rêver aujourd'hui n'ont guère plus de cervelle que je n'en avais quand m'ont fait rêver les missions Apollo. Mais ils n'ont plus l'excuse qu'avaient alors les gamins de mon époque : nous ne savions pas encore que nos rêves naïfs de grandeur conduiraient inexorablement à la destruction de notre planète. Nous ne savions pas encore que derrière la compétition soi-disant idéologique des deux blocs antagonistes de la guerre froide se jouait en réalité la domination du monde par la suprématie des vecteurs nucléaires et se mettait en place inéluctablement la dissuasion par - je cite - "l'équilibre de la terreur". Décidément les hommes n'apprennent rien. Plus ils avancent plus ils se montrent stupides, bornés, vaniteux, inconscients, désespérants d'égoïsme et d'incurie. Qui peut encore s'enthousiasmer aujourd'hui des exploits stériles d'un Musk, dont le "génie" ne sert à peu près à rien d'utile aux habitants de cette planète, à part pourrir un peu plus chaque nuit les derniers sanctuaires dont les rêveurs inoffensifs de mon espèce déplorent la disparition en moins d'une seule génération ! Comment se pâmer d'admiration devant un tel bonhomme, qui incarne le pire de ce que l'espèce humaine a produit d'excès et de dérives incontrôlées jusqu'à menacer sa propre survie ! Vous voulez aller vous installer sur Mars ? Mais surtout : allez-y au plus vite !!! Ça fera de la place pour ceux qui restent, et qui rêvent, eux, tout simplement, d'un monde un peu moins délirant, un peu moins massacré, un peu moins menacé par les rêves fous d'une minuscule minorité incapable de prendre soin et de chérir ce que le nature lui a offert en partage. Nous, pendant que vous irez conquérir d'autres mondes, nous tenterons de sauver ce qui peut encore l'être du nôtre. Nous laisserons retomber vos merdes orbitales en poussière, jusqu'à ce que sur leurs cendres repoussent les fruits qui nous nourrissent, refleurissent les fleurs qui nous mettent du baume aux yeux et au coeur. Et si le dieu des explorateurs est vraiment avec vous, vous rencontrerez un jour votre terre promise et vous en ferez ce que vous voudrez - un tas de ruines probablement - mais là ce sera vraiment vos oignons et eux seuls !
  27. 5 points
    (Tiens mon message du 30 septembre était resté bloqué sur ce serveur... ici) Mise à jour avec les dessins de ce début octobre, avec comme pour beaucoup, une belle nuit du 6 au 7 octobre (dessiné/imagé Jupiter, Ganymède, Uranus et Mars)!
  28. 5 points
    Et les nouvelles cameras couleur ont l'air de bien dépoter (par ex imx662) . Sinon vu que les nuages ce sont finalement installés, j'ai repris le traitement de mon image, c'est un peu plus fin.
  29. 4 points
    Hello hello Voili voilou mes ptiotes Juju de cette année Je ne shoote plus trop en planétaire car je n'ai plus l'envie Je passe malheureusement plus de temps à mettre tout à la poubelle avec mon seeing trop souvent beurk Maintenant, je regarde les beautés des autres et j'en profite autant A+ David Edit 20221121 Depuis que je shoote Jupiter, c'est à ce jour la plus belle que le "Shai-Hulud Tooth" m'a sorti Dommage que ce soir là, encore une fois, je n'ai pas sorti le 406 Le GTR est trop trop mimi Edit 20221211
  30. 4 points
    Alors que j'attendais ma énième séance de kiné 🤪😳 pour sortir un jour ma main gauche de cette dys...phie quelque chose qui a raidi mes doigts depuis un saut de l'ange à escabeau mi-juin qui m'a fracturé au passage un poignet ( ce qui n'a cependant pas permis de répondre à la question de la Terre plate car je n'ai rien vu venir, mon horizon se résumant alors à un rebord de fenêtre à peindre d'urgence....n'est-ce pas ? ) 👇❓🤕, et passant devant l'église du patelin , je profitais de l'occasion ( jamais à l'heure le kiné , le bougre ! ) pour utiliser le téléphone portable histoire de saisir au vol quelque image originale. C'est compulsif le" clic-clac kodak " chez moi 😛📸.... Un reflet dans une vitre a confirmé ce que je soupçonnais depuis toujours, les églises et autres bâtisses à assemblées en voie de raréfaction cachent en leur sein ( protecteur) des viatiques pour gagner le Ciel , et pas uniquement des mots, des bons mots, des paraboles au pouvoir de réflexion impeccable qui vous ouvrent les voies du Seigneur dans toutes leurs splendeurs, des encens qui enivrent, des chants joyeux ou émouvants.... Que nenni, ces clochers un brin hypocrites cachent des fusées ou des engins dans ce goût là . Bref , sous les coiffes tuilées , prête au décollage, quand sonnera l'heure, je pense qu'une jolie fusée fille des ogives gothiques emmènera ceux qui auront cru sans réserve vers un voyage dans les étoiles. ( du coup, j'ai p'têtre intérêt à retourner à la messe , moi le déserteur mécréant 🙄🤔😳) Pas certain qu'Artémis ne se fasse pas griller, vu comme ça chauffe sur Terre en ce moment !............... Bon, mon temps libre me rend libre de farfouiner dans mes archives, et de partager avec les camarades un peu de ce qu'est-ce qu'un astronome amateur peut avoir en tête, histoire de leur faire constater que la pluralité des mondes est aussi de mise dans la boite crânienne des amoureux des choses du ciel ! 😔😉 Le paroissien, le Chablis, et le Ciel.... Mon mysticisme à moi, il s'est forgé en ne m'étonnant plus de rien dans un premier temps, puis en m'étonnant d'un rien avec le temps. Ce n'est pas le mysticisme « haut de gamme » qui s'affine sous les ciels limpides d'un désert stérile de l'hémisphère sud, porté par le regard sans concessions d'un photographe en service commandé. Celui-là, c'est du mysticisme « durable », « raisonné », en circuit court avec la raison. N'importe quel mystique vous le dira, rien ne vaut pourtant le désert pour s'encanailler avec l'invisible! Le mien, il est ancré dans les traditions de la terre bourguignonne. Il est donc provincial et plein de bon sens. Observer le curé et ses sbires consommer sans vergogne le corps du Christ et boire son sang chaque dimanche en fin de messe, laisse l'enfant paroissien plus que songeur. Du coup, il lève d'instinct le nez en l'air en attendant que ça se passe, histoire d'avaler cette drôle de pilule, de tenter de comprendre ce tour de passe-passe. Il fixe son attention sur la coque du bateau-cathédrale qui flotte sur les nuages, son regard vagabond croisant alors des tableaux de verre veinés de plomb et une rosace qui déposent à ses pieds des éclats de lumière colorés. On jurerait que la nef est prête à décoller. D'ailleurs, tous les saints personnages et les martyrs divers, flottent déjà en apesanteur dans la hauteur des travées du vaisseau à tuyères de gargouilles. Ce sacré panoramique nous rend un peu chair du Canon des émerveillements à venir, il fixe à tout jamais la règle de nos sensibilités pour l'outre-monde, là où l'Eternité est de mise. Comment ne pas aimer alors sans compter le ciel et les étoiles, de toutes sortes? Après un gros orage d'été, il faut voir le soleil captif s'agiter en mille scintillements dans une flaque d'eau. Et quand la nuit regagne son terrain, que la nappe piquetée de lucioles se déploie pour le festin des rêveries, mon ciel bourguignon chuchotant ses splendeurs s'offre au regard du gourmand. Un satellite à la trajectoire rectiligne avance placidement. Vénus qui joue à l'OVNI, nous a encore pris pour des candides mais un peu bernés cependant. Enfin, le phare d'un avion qui passe de nova à nébuleuse, disparaît comme par magie. Ces attractions ne font qu'aiguiser l'appétit pour l'arrière scène. Les nuits calmes, transparentes, et foisonnantes d'étoiles, nous rendent perceptibles le mouvement de l'univers, comme un balancement léger, un vertige délicieux. Ce sentiment, ce petit rien dont je m'étonne encore, c'est mon mysticisme au ciel imparfait, posé sur des vallons dont nombre des pointes de fusées sont les girouettes des églises. Quand viendra le temps où un émissaire du cosmos, fier dans son costume inévitablement argenté se posera sur ma terre, je l'inviterai d'abord à faire silence à mes côtés et à contempler la voûte céleste. Je lui poserai ensuite cette simple question qui n'attend évidemment pas de réponse: "-qui y'a-t-il de plus beau?" Et si son métabolisme le permet, il terminera bras en croix ou tentacules déployés sous les étoiles, converti à mon mysticisme paysan par un Chablis bien frais. Je me demande même si je n'aurai pas sauvé la terre d'une invasion annoncée..
  31. 4 points
    Bonjour, voici mon image de Jupiter la nuit du 6 au 7/10, de très bonnes conditions m'ont permis d'obtenir ce résultat composé de 5 images dérotées sous WJ. toujours une turbulence haute fréquence qui m'oblige à être très sélectif pour les images retenues par AS3 ( ici 8%) et toujours la même config: Newton 400 à f/d 26 - ASI 462 - ADC PA traitements: AS3 -WJ et Pix bon ciel à tous Bruno
  32. 4 points
    "...Nouvelles images de l'impact de DART sur l'astéroïde #Dimorphos , qui a provoqué une déviation de sa trajectoire autour de #Didymos de plus de 30 minutes..." Communiqué de la NASA (traduction automatique) https://www.nasa.gov/press-release/nasa-confirms-dart-mission-impact-changed-asteroid-s-motion-in-space La NASA confirme que l’impact de la mission DART a modifié le mouvement de l’astéroïde dans l’espace L’analyse des données obtenues au cours des deux dernières semaines par l’équipe d’investigation DART (Double Asteroid Redirection Test) de la NASA montre que l’impact cinétique du vaisseau spatial avec son astéroïde cible, Dimorphos, a modifié avec succès l’orbite de l’astéroïde. C’est la première fois que l’humanité modifie délibérément le mouvement d’un objet céleste et la première démonstration à grande échelle de la technologie de déviation des astéroïdes. « Nous avons tous la responsabilité de protéger notre planète d’origine. Après tout, c’est le seul que nous ayons », a déclaré l’administrateur de la NASA, Bill Nelson. « Cette mission montre que la NASA essaie d’être prête pour tout ce que l’univers nous lance. La NASA a prouvé que nous sommes sérieux en tant que défenseur de la planète. C’est un moment décisif pour la défense planétaire et pour toute l’humanité, démontrant l’engagement de l’équipe exceptionnelle de la NASA et des partenaires du monde entier. » Avant l’impact de DART, il a fallu 11 heures et 55 minutes à Dimorphos pour orbiter autour de son plus grand astéroïde parent, Didymos. Depuis la collision intentionnelle de DART avec Dimorphos le 26 septembre, les astronomes utilisent des télescopes sur Terre pour mesurer à quel point ce temps a changé. Maintenant, l’équipe d’enquête a confirmé que l’impact de l’engin spatial a modifié l’orbite de Dimorphos autour de Didymos de 32 minutes, raccourcissant l’orbite de 11 heures et 55 minutes à 11 heures et 23 minutes. Cette mesure a une marge d’incertitude d’environ plus ou moins 2 minutes. Avant sa rencontre, la NASA avait défini un changement de période d’orbite minimum réussi de Dimorphos comme un changement de 73 secondes ou plus. Ces premières données montrent que DART a dépassé ce point de référence minimum de plus de 25 fois. « Ce résultat est une étape importante vers la compréhension du plein effet de l’impact de DART sur son astéroïde cible », a déclaré Lori Glaze, directrice de la division des sciences planétaires de la NASA au siège de la NASA à Washington. « Au fur et à mesure que de nouvelles données arriveront chaque jour, les astronomes seront en mesure de mieux évaluer si, et comment, une mission comme DART pourrait être utilisée à l’avenir pour aider à protéger la Terre d’une collision avec un astéroïde si jamais nous en découvrons un qui se dirige vers nous. » L’équipe d’enquête continue d’acquérir des données avec des observatoires au sol dans le monde entier – ainsi qu’avec des installations radar au radar planétaire Goldstone du Jet Propulsion Laboratory de la NASA en Californie et à l’observatoire Green Bank de la National Science Foundation en Virginie-Occidentale. Ils mettent à jour la mesure de la période avec des observations fréquentes pour améliorer sa précision. L’accent est maintenant mis sur la mesure de l’efficacité du transfert de momentum à partir de la collision d’environ 14 000 milles (22 530 kilomètres) par heure de DART avec sa cible. Cela inclut une analyse plus approfondie des « éjectas » - les nombreuses tonnes de roche astéroïde déplacée et lancée dans l’espace par l’impact. Le recul de cette explosion de débris a considérablement amélioré la poussée de DART contre Dimorphos – un peu comme un jet d’air sortant d’un ballon envoie le ballon dans la direction opposée. Pour comprendre avec succès l’effet du recul des éjectas, il est nécessaire de disposer de plus d’informations sur les propriétés physiques de l’astéroïde, telles que les caractéristiques de sa surface et sa force ou sa faiblesse. Ces questions font toujours l’objet d’une enquête. « DART nous a fourni des données fascinantes sur les propriétés des astéroïdes et l’efficacité d’un impacteur cinétique en tant que technologie de défense planétaire », a déclaré Nancy Chabot, responsable de la coordination DART du Johns Hopkins Applied Physics Laboratory (APL) à Laurel, Maryland. « L’équipe DART continue de travailler sur ce riche ensemble de données pour bien comprendre ce premier test de défense planétaire de la déviation des astéroïdes. » Pour cette analyse, les astronomes continueront d’étudier l’imagerie de Dimorphos à partir de l’approche terminale de DART et du CubeSat italien léger pour l’imagerie des astéroïdes (LICIACube), fourni par l’Agence spatiale italienne, pour approximer la masse et la forme de l’astéroïde. Dans environ quatre ans, le projet Hera de l’Agence spatiale européenne devrait également mener des études détaillées de Dimorphos et de Didymos, avec un accent particulier sur le cratère laissé par la collision de DART et une mesure précise de la masse de Dimorphos.
  33. 4 points
    Voilà la dernière planche de Mars, avec une série aux longitudes 30-70° bien perturbées par la tempète... Nicolas
  34. 4 points
    Merci Paul moi j'ai patienté 1 heure de plus, le bol Merci Patrick c'est vrai qu'elle est pas facile la grosse cette année Merci Christophe c'est sympa Merci René ah mais tu as oublié . . . de lapin Merci Michel pas facile effectivement, merci à nos logiciels Merci Philippe nan . . c'est juste que j'ai un plus gros diamètre Merci Thierry et elle ne se laisse pas faire facilement sauf . . . avec certains Du coup on attend les tiennes Merci Bruno disons que winjupos affine un peu les détails existants Merci Olive oui mais . . . j'attends que les étoiles se rallument Merci mon Philou ravi de te voir passer par ici Bises Merci Valère alors merci à Paul et aux quelques autres mais ça marche bien Merci Daniel c'est effectivement pas facile de sortir quelque chose de montrable avec les conditions actuelles Merci Sauveur j'ai fait tout mon possible Merci cher Lucien et bon courage pour le boulot Promis, juré Merci Thierry c'est très sympa Merci Christian surtout qu'elle ne se laisse pas faire facilement sauf par certains qui ont la cote C'est un peu le côté pénible du planétaire Heureusement que nos logiciels nous sauvent souvent la mise Encore un grand merci à vous tous, Je vous souhaite une excellente journée, AG Et un grand merci également à tous les visiteurs de passage
  35. 4 points
    Un déluge d’eau ne sert que marginalement à protéger les équipements du pas de tir de la chaleur, mais essentiellement à amortir - autant que faire se peut - les vibrations les plus destructrices pour le lanceur (qu’on ne peut surdimensionner à loisir comme on le fait des équipements du pas de tir afin qu’ils résistent à de multiples lancements). Les échanges thermiques accompagnant le changement de phase de l’eau durant l’opération n’ont au mieux strictement aucun effet sur la fonction première recherchée : préserver le lanceur. Au pire, si la vaporisation de l’eau est trop rapide durant l’opération, cette fonction devient totalement inopérante, avec les conséquences catastrophiques qui s’ensuivent. On cherche donc à expulser et faire chuter sous le lanceur - avant même l’allumage des moteurs et les ondes de chocs associées (et un parfait timing est ici essentiel) une quantité massive d’eau liquide dont la principale qualité va être de se désintégrer en myriades de goutelettes sous l’effet des vibrations sonores en absorbant au passage une partie de l’énergie libérée sous cette forme et en cassant les résonnances dévastatrices induites par la proximité du sol et des surfaces structurelles réflectrices voisines. Pour ce faire, on s’aide de déviateurs de flux situés sous le lanceur, qui vont permettre de canaliser les gaz éjectés à haute vitesse, et ainsi permettre d’amener par effet venturi l’eau du déluge exactement là où on en a vitalement besoin : à la verticale des tuyères sous la base du lanceur. Ce n’est qu’une fois celui-ci élevé de quelques dizaines-centaines de mètres, lorsqu’il s’est suffisamment éloigné des obstacles environnants et qu’il sort de cette zone critique extrêmement destructrice pour ses structures, ses équipements, sa charge utile, qu’on peut enfin stopper le déluge. Calibré donc pour durer quelques dizaines de secondes au moins, en ordre de grandeur. Encore faut-il que cette eau aille intégralement au bon endroit pour jouer son rôle, et c’est là que la conception des OLP laisse pantois, n’offrant d’autre alternative que de décupler le débit et la puissance d’éjection du déluge d’eau pour espérer une quelconque efficacité. J’ai dû mal m’expliquer plus haut, ou bien certains intervenants ici ont du mal à concevoir le pourquoi et le comment de ce dispositif qu’on voit pourtant fonctionner à chaque lancement (y compris des Falcon 9). Encore une fois, si le Dieu Musk reste d’une habileté sans pareil pour stimuler la foi de ses fidèles, ses capacités d’innovation se heurtent aux limites qu’impose la physique à tout objet physique (à ce titre on peut d’ailleurs douter qu’il les maîtrise). Pour surmonter un obstacle semblant infranchissable, un humain conscient de ses limites tente habituellement sagement et humblement de le contourner. Lui s’imagine toujours que la nature va se soumettre à sa volonté juste parce qu’il le veut... Mais il en va de ce déluge d’eau comme des protections thermiques de ses vaisseaux : les phénomènes physiques qui posent problème n’ont cure de ses caprices d’enfant gâté à qui on ne refuse rien, de ses refus de considérer les limites, de ses frustrations colériques dont son personnel fait constamment les frais - en particulier au sujet de ses choix techniques douteux. Pour la première fois de sa vie il se retrouve face à des lois totalement indifférentes aux prétentions humaines ; des lois auxquelles il faut d’abord se soumettre pour espérer pouvoir un jour, peut-être, dealer avec elles... La psychologie du bonhomme n’est pas prête à l’accepter, et ça n’aide en rien ses équipes et lui-même à trouver les meilleures solutions (si elles existent). En l’occurrence là elles existent, et on ne l’a pas attendu pour les mettre au point. Alors innover à tout prix, contre toute raison, même quand ce n’est pas nécessaire... Ça décrédibilise l’homme, vu de n’importe quel point de vue pragmatique, mais ça en dit long aussi sur le personnage. Sur les ordres de grandeur mis en jeu, effectivement le déluge d’eau du futur pas de tir de SpaceX en Floride semble comparable à ce qui se fait déjà. Mais c’est oublier un peu vite qu’il ne sera toujours pas équipé de déflecteurs de flux sous les propulseurs. En leur absence, je ne vois pas comment le flux d’eau injecté par le déluge sous la table de lancement va pouvoir s’y maintenir contre la violence du flux de gaz éjecté à haute vitesse par les propulseurs (au lieu d’y être naturellement aspiré dans la configuration classique) afin d’obtenir l’effet d’amortissement recherché. Dans la configuration adoptée par Musk on se retrouve avec une éjection de gaz heurtant frontalement une surface plane en opposition directe au cul du lanceur : on ne peut pas trouver meilleur moyen d’éjecter radialement la totalité des débits de gaz et d’eau avant qu’ils aient la moindre chance de se mêler dans la zone où on a précisément besoin de leur émulsion pour amortir les effets vibratoires dévastateurs. Or comme déjà dit cette surface frontale réflectrice dirigée directement contre lui constitue pour le lanceur un réflecteur mortel. Mais cette configuration reflète parfaitement l’état d’esprit de son promoteur : "je suis le plus fort donc j’attaque frontalement le problème au lieu de dévier habilement la puissance hallucinante que je vais libérer au lancement !" Le boss de SpaceX n’a pas dû étudier beaucoup les arts martiaux experts en celui de détourner et canaliser la force brute de son adversaire pour s’en rendre maître... On verra qui sera le plus fort à ce bras de fer stupide. Mon pronostic : çavapétédotanplufor !!! http://fr.scienceaq.com/Astronomy/1001063984.html
  36. 4 points
    Allez, je remets cent balles dans le piano, sans méchanceté aucune hein, mais histoire d’objectiver un peu ce merdier surréaliste. Et ça en dit long au passage sur les motivations essentielles du spatial habité :
  37. 4 points
    Voici un petit essai de Winjupos avec 5 images. Cela apporte du mieux pour le bruit. Olivier
  38. 4 points
    Bonjour a tous, cette nuit du 29 au 30 septembre a commencé avec beaucoup de nuages pour en fin de compte devenir très claire, j'ai donc sortie le Cassegrain, le ciel était d'une incroyable stabilité ! la meilleur que j'ai pu avoir comme habituellement : Cassegrain Kepler 254 sur monture CGX, Caméra ASI 462 MC et 290 MM, ADC MK3, TV x2 ici Saturne ! dont la division de Cassini était superbe à l'écran : on passe sur Jupiter ! et là le seeing était ouf ! ici un g' et une couleur on passe au finales et la rotation voila pour mon Cassegrain 254 !
  39. 3 points
    Pas très facile d'avoir du détail.. TOA 150 D 850
  40. 3 points
    Hello tout le monde, Enfin une grosse session comme je la voulait depuis un moment...tout arrive! Superbe ciel samedi toute la journée et donc j'ai était tenté par notre étoile et ses tâches mythiques. Le 130/900 est de sortie pour imager le soleil après midi vers 13h00. Acquisition de 20 s car pas de motorisation, c'est galère pour courir après les tâches. 20% de retenu dans astrosurface avec de beaux détails. Et une à la barlow x1. Bon, c'est pas fini. La lune se lève avec Jupiter avec une belle rencontre...faut immortaliser le spectacle. Au Lumix sur trépied en mode manuel et en RAW. Traitement sur Lightroom. Maintenant direction pour aller voir la grosse éclairée par la lune avec une bonne transparence et un léger vent. Acquisition de 1 mn sous Sharpcap à la 224 avec le Cassegrain 6". Traitement astrosurface uniquement pour cette série là. J'ai fait ressortir les satellites sous Lightroom et cadrage 16/9. Les couches couleurs traitées avec AS3, ondelettes avec Astrosurface. Couche bleue: Couche rouge: Couche verte: Assemblage des couches sous WinJupos...c'est un essai! Une série à la barlow X1. Traitement AS3 et R6. Bah, pour finir, quelques plans lunaire où j'ai jeter pas mal à la corbeille. 3 plans avec un traitement un peu mou et réduction dans astrosurface pour éviter de faire une dépression dessus! Maintenant, je vous libère de ce gros post où j'ai passé un bon samedi. J'espère que cela vous plaira. Une bonne soirée à tous. Amitiés, Thierry. S17.tif
  41. 3 points
    Le 11 février 1978, une comète de magnitude 19 à 20 fut découverte par Keith Tritton, photographiquement avec un Schmidt de 122 cm. On calcula qu'elle passait au périhélie en octobre 1978, mais elle ne fut suivie que pendant une courte période de 32 jours et on supposa qu'elle avait été découverte suite à un sursaut d'éclat. Elle devait revenir au périhélie en 1984 mais elle ne fut pas retrouvée, pas plus d'ailleurs qu'à ses deux passages suivants en 1990 et 1997, à tel point qu'elle fut considérée comme perdue et donc baptisée D/Tritton. Mais l'histoire ne s'arrêta pas là ! Le 06 octobre 2003, l'américain C. W. Juels et le brésilien P. Holvorcem découvrent un objet rapide et d'aspect cométaire de magnitude 14 sur des images CCD prises avec un télescope de 12 cm. Un calcul d'orbite par l'allemand Maik Meyer analysé par son homolgue S. Hoenig révélait moins de 2j plus tard une forte ressemblance avec l'orbite de la comète Tritton disparue depuis près de 25 ans. Cette identification fut confirmée par la suite, c'était bien la comète Tritton mais elle passa au périhélie 6 mois plus tard que ce qui était attendu à l'époque. Depuis 2003, elle a été observée à chacun de ses passages (2010, 2016 et 2022). pour ce retour au périhélie, elle est passée au plus près du Soleil le 09 septembre 2022. L'infatiguable observateur autrichien Michaël Jäger découvrit le 18 septembre dernier, un fragment proche du noyau principal et 0,7 magnitudes plus faible que celui-ci. (I) Observation du 27 septembre 2022 =============================== La comète n'étant visible qu'en fin de nuit, j'ai attendu pour ma part que la Lune décroisse avant de tenter son observation. Le premier essai fut le 27 septembre au matin, dans des conditions malheureusement assez compliquées : une invasion nuageuse a stoppé la séquence d'images à plusieurs reprises, et le ciel m'a aussi bien nargué aussi 1/2h avant l'aurore en se dégageant complètement, au moment où la comète était masquée par un groupe d'étoiles Finalement, je n'ai pu sauver que 25 poses de 60s sur une période de 02h30 d'observation, mais elles se sont avérées précieuses, car le fragment est a priori bien là : Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Le 27 septembre entre 03h04 et 03h40 utc 25 poses de 60s à -15°C et Gain 120, Temps d'intégration de 00 h 25 min Traitement Siril 1.0.5, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage natif à 1,25"/pixel Voici les résultat des différents compositages, ainsi qu'un zoom à fort contraste : La pose est trop courte pour révéler la queue, et on ne voit sans doute également qu'une partie de la chevelure (diamètre 15"). Le fragment est distant de 19" du noyau principal, vers PA=295°. Il est mesuré de m2 = 18.7. Le noyau principal de 157P est mesuré de m2=18.0 et m1=17.5. (II) Observation du 04 octobre 2022 =============================== Oui, cette observation contrariée du 27 septembre est finalement bien précieuse, car quand j'ai pu refaire 157P dans de bonnes conditions, le 04 octobre au matin, le fragment avait déjà totalement disparu... C'est manifeste sur ce zoom fortement contrasté du canal vert où on ne voit plus que la queue ! J'ai une séquence bien plus longue cette fois, qui révèle bien mieux la chevelure ainsi que la queue : ( Clic doit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Le 04 octobre entre 02h38 et 04h32 utc 65 poses de 90s à -15°C et Gain 120, Temps d'intégration de 01 h 37 min 30s Traitement Siril 1.0.5, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2"/pixel La comète est au centre de l'image. J'ai pu mesurer cette fois une chevelure de 27" de diamètre et une queue de 2.5' dirigée vers PA=293°. L'analyse photométrique (UCAC4) donne : une magnitude nucléaire, m2 = 18.2 (rayon de 6") une magnitude globale, m1 = 17.2 (rayon de 12") La galaxie en haut de l'image (et au milieu) est UGC 4669. Cette fragmentation ne s'est pas accompagnée d'un sursaut d'éclat. En revanche, le 01 mai 2017, 157P a eu un sursaut de 4,5 magnitudes en montant à m1=16.5 alors qu'on l'attendait vers m2=21. Cette banale comète illustre donc bien, je trouve, les surprises qui accompagent le suivi de ces astres En tout cas, j'ai pris un grand plaisir à l'observer et j'espère que ses péripéties vous intèresseront aussi
  42. 3 points
    bonjour à toutes et à tous ! il fait beau , pas le temps de se reposer et même de répondre , mais ça va se faire ! hier un seeing très difficile avec une température en chute libre , un ciel très propre ce matin ,le gel avait frappé !! un seul film de bon sur saturne de 180s !! CFF 300 f/d de 20 asi 462c 1 ser de 180s à 19h09tu avec Téthys, Encelade , Mimas , Rhéa et Dionné : 57 sers de 90s pour jupiter et ganymède : Ganymède s'en sort mieux que le reste grâce à ses différences d'albédo ! à 20h50tu 1 ser de 90s : bon ciel ! paul
  43. 3 points
    Salut à tous ! Voici le résultat de ma première mosaïque (composée de 2 images... fallait bien se lancer) J'ai choisi le PNM, ça fait une très belle cible avec plein de trucs dedans et puis c'est pas si simple à traiter avec les gradients et le Ha à intégrer sans dénaturer les nébuleuses principalement en emission OIII comme ngc346. J'ai pas pris le temps de faire du OIII d'ailleurs mais j'aurais du, ptet pour la prochaine version bleu: 100×180″(5h) , vert : 100×180″(5h) , rouge : 60×300″(5h) ,Ha : 80×300″(6h 40′) Integration totale: 21h 40′ image réduite à 75% de sa résolution native pour un échantillonnage final à 1,6" Setup habituel - lunette CFF105, QHY268M sur Mesu200 MK1 Y'a plein de trucs à voir dans la full ici !
  44. 3 points
    Bonjour, Je n'ai pas pu poster hier et vous aurez donc deux jours d'un coup pour le prix d'un. D'abord le 08/10, avec une turbulence et une humidité fortes. C'est l'occultation de Ganymède qui m'a fait rester dehors. Les images n'étant pas terribles, j'ai hésité à faire des captures à intervalle régulier et c'est donc un peu n'impe au niveau chronologie Voici une dérotée avec le satellite "rapporté" pour 20h53 TU Le 09/10 : un peu moins moins d'humidité que la veille. La turbulence était pénible vers 21h locales mais s'est améliorée par la suite. Cette fois c'est le passage de la GTR qui m'a motivé, sinon c'était série TV au chaud. voilà le début de session : détails très empâtés Puis, la hauteur augmentant (moins de turbulence et de dispersion atmosphérique) on commence a voir quelques détails A gauche, c'est un traitement "post dérotation" sous photoshop et à droite sous astrosurface . Idem ci-dessous. A vous de voir. et pour terminer, une animation de 45mn environ à la taille d'acquisition bon aprem' Glob
  45. 3 points
    Je voulais mettre un pouce haut sur ton texte, mais je ne partage pas ton avis concernant le fait que : Compte-tenu du nombre d'humains sur Terre, si nous étions encore "câblés" comme au début du XXième siècle, ou pire comme en l'an mille, ou encore plus pire : comme au début de l'apparition de notre espèce dans sa version primitive, je pense alors que nous serions en enfer. On sait en éthologie que les espèces animales sociales et territoriales ont une tendance à la violence et à l'expansion. On oublie que derrière la mignonnerie du manchot, d'un dauphin, ou d'un singe, se cachent des comportements qui passeraient pour des barbaries extrêmes chez les humains de notre époque. D'après certains éthologues, notre espèce est l'une des plus violentes. Mais les historiens et les sociologues nous disent aussi que notre espèce est de moins en moins violente, et de moins en moins tolérante à la violence, qu'elle soit contre des individus de notre espèce, contre des autres animaux, ou contre notre environnement. De fait, en proportion de la population, nous vivons une des périodes parmi les moins meurtrières de notre histoire. Sans minimiser l'actualité récente, c'est pourtant le cas. L'humanité est sortie de l'enfance il y a déjà un moment mais est encore dans la fin de son adolescence. Comme un humain qui grandit, long est le chemin vers l'apaisement et vers une forme de sagesse. Un jour, j'espère, l'humanité sera adulte et apaisée. Mais comme un adulte ayant connu des traumatismes dans sa jeunesse, l'humanité gardera des blessures.
  46. 3 points
    Bonjour. Attention sur ce tube la lame est épaisse, et provoque un léger décalage des foyers sur chaque canal, bien supérieur à celui du C14... Mais c'est bien fini et c'est solide. Et l'optique du mien était bonne en star test, sans astigmatisme.
  47. 3 points
    Bonjour Alain, Il ne faut plus faire de la publicité pour AstroSurface. Car après j'ai plein de demandes. Fait-il le café et la déconvolution Truc?. Bravo pour tes images bien pilotées. Bonne journée cher ami. Suis au boulot... Lucien
  48. 3 points
    Une autre version. Les goûts et les couleurs Difficile quand on a les yeux dedans. Si vous avez un avis... Bon ciel, Olivier
  49. 3 points
    Cooooollllllll Je crois avoir trouvé la cam nickel pour shooter avec le 251 en HA avec le Quark Avec la 174, c'est hyper hyper dur car il faut un very very good seeing alors qu'avec la 533, cela passe plus tranquillement et je suis au même échantillonnage qu'avec le 200 pour comparer Voili voilou mes premiers traitements
  50. 3 points
    Bonsoir Je sais que vous attendez tous celle de ce soir la voici bonne soirée