Classement

Bonjour à tous, Nouvelle sortie du C11 le 20/03. Première impression .... bof, bof, bien moins bon que le 18/03. Je vais tout de même tenter ma chance. J'envisage une mosaïque de 2 images, avec Clavius et des régions plus proches du pôle. Je décentre donc un peu Clavius, dans la perspective de la seconde tuile. Je lance l'acquisition : le début de la vidéo .... bof, bof .... Puis les choses se calment très nettement après 30 sec. Mon ordinateur me faisant des caprices (plantages au milieu de vidéos), je décide de sauver ce premier Ser de 60sec, avant d'en lancer un second, plus long, afin d'avoir plus de signal .... sauf que les choses s'agitent à nouveau ! La seconde vidéo, de 4 min, est bien moins bonne et malgré une sélection drastique des images, ne permet pas de sortir les détails de la première. Donc, au final: pas de mosaïque, Clavius est décentré mais je suis bien content d'avoir pu saisir ce petit trou de turbulence ! Les détails : - C11 sur EQ6 pro - Barlow 2X - Caméra couleur Player One Mars-C - Empilement sous AS!3 - Extraction de la couche verte et ondelettes sous Astrosurface Fabrice

Ce mercredi apres une belle journée dans le nord Finistère je me decide à finalement prendre en photo cette comète. Je prepare deux setups d'un coté une fma180 sur az-gti et de l'autre un a7 iii avec un objectif 100mm sur star adventurer. Je prepare une mosaïque avec la fma 180 ( ma première mosaïque tentée ), qu'elle idée avec cette lune et la comète sous les 20° le résultat est très décevant. Je vous partage donc la version avec l'a7iii (75x10s) et un gros crop ou nous pouvons aussi apercevoir M33.

Je crois avoir trouvé à peu près l'équilibre entre focale et échantillonnage sur le Mak 180 : ZWO 224 (avec ses gros pixels) et lentille de barlow (2") X 2 (sans son support) vissée directement sur la cam, soit X 1.5 (donc une focale résultante de 4000 à peu près), + filtre UV/IR cut (ce qui élimine cette tache rose au milieu que j'avais) Bon, c'est sûr que ça vaut pas le C14 Franck

Avec une lune pleine dans deux nuits, le ciel crasseux et pollué de ma morne plaine n'était pas l'écrin idéal pour une comète trop basse, même à magnitude 5 et des brouettes. J'ai quand même tenté le coup, après plusieurs jours de disette météo ! A 18h30, je case le Seestar, son trépied et un tabouret de camping à l'arrière du vélo et je file dans le froid (il neigeait cet après-midi) au bord de la rivière Koyama, à deux kilomètres de la maison. Le temps de m'installer et vers 19h05, je lance les premières poses... A l'oeil nu, je repérais peu d'étoiles, quelques dizaines tout au plus. Le W de Cassiopée m'est apparu comme un V, c'est vous dire ! Seuls la Lune et Jupiter sortaient du lot et pour être honnête, je n'attendais pas grand-chose de ma séance improvisée. Inutile d'écrire que la comète était invisible. Je suis donc positivement surpris par le résultat final (composition de 12 images de 10x12s chacune, empilées sous Photoshop) : Je ne sais pas pourquoi les traits des étoiles filées "gondolent" dans les angles haut gauche et bas droit... J'améliorerai ce premier jet en cours de semaine prochaine, si j'ai le courage de m'y remettre : je n'ai pas mon ordinateur portable usuel, plusieurs softs me manquent et j'ai du utiliser une version limitée de Photoshop en ligne

Bonjour, Eclaircie sympa hier soir mais la turbu n'était pas super favorable La premère cible était évidemment 12P qui est de plus en plus basse dans les brumes urbaines : Pour la vue d'ensemble c'est un peu mort donc j'ai privilégié une vue à l'ASI 662MC avant une dernière tentative à l'APN 60x5s pour ne pas trop cramer la tête. ça m'a permis de voir des jets qui spiralent autour du noyau vue plus large à l'APN Ensuite, rapide retour sur Jupiter et ses sbires puis quelques plans lunaires, sans insister... Bonne journee Glob

bonsoir Soleil du début d'après midi avec SW80ED Pro et le fuji XT2 sur trépied photo / Astrosolar D5 24 images prétraitement SIRIL / Traitement / coloration PI j'ai à un moment , une baisse notable de luminosité , pour tant pas de nuage , j'ai mis un moment à trouver , j'ai eu de la buée qui s'est formée sur la lentille !!! que dois je faire pour éviter ce phénomène ? faire des trous d aération sur la boite qui sert de support au filtre ? bonne soirée Olivier

Je dirais surtout:

Salut, En rentrant du travail hier soir, j'ai décidé de pointer la Lune pleine à 95%, bien haute dans le ciel, malgré de nombreux passages de nuages, et surtout tester la lunette 100ED (Skywatcher 100 /900 ) qu'un ami du club m'a prêté. Merci Jonathan Elle est assez redoutable en planétaire, mais mérite un meilleur ciel pour pleinement s'exprimer ! J'ai pu réaliser deux images avant le retour des nuages, une mosaïque de 4 tuiles en NB, caméra ZWO 178mm, et une de 6 tuiles en couleurs, caméra ZWO 462mc + réducteur Celestron 0.63x La NB : Puis ce matin direction le Soleil, avec toujours beaucoup de gros nuages menaçants et de belles rafales de vent, pas idéal pour l'imagerie solaire ! En lumière blanche, lunette Skywatcher 100ED + réducteur x0.5 + Astrosolar 3.8 + ZWO 178mm + K Line Baader Très beaux détails avec cette lunette En en H alpha, lunette Skywatcher 72ED + ND8 + Sol'Ex + ZWO 178 mm + H alpha 12nm, les nuages étaient de plus en plus gênants ! Voilà, le mauvais temps revient Daniel

Je viens de finir de traiter les images du 19, C8 hedge ASI462MC. Un petit échantillon. Une vue bizaroïde de la région des Apennins mais c'était la seule solution pour tout faire rentrer ! Copernic et compagnie. J'ai tenté Clavius avec la Barlow 3 mais c'est vraiment limite avec la turbu. Il me reste à traiter celle du 22.

salut à tous , y a des jours comme ça ou en regardant le ciel , on se dit c'est foutu , pis une petite intuition il est 11h je vais faire tourner la bête ça risque de se lever ben non grisaille pire encore plus tard . c'est là le coup de bol un super Flare le plus Co. c'est que j'ai foutu à la poubelle 40mn en plein milieu . 2 versions , une courte sur le flare et un lien pour un peu plus de temps . longue https://filedn.eu/l2nPBH98WiObh3PvvEdlhNQ/2024-03-22-10h19mn9.gif Paul

Bonsoir Hier, en sachant la métèo à venir, j'ai installé la lunette sur la monture pour 1h30 d'astro. Observation et 4 avis. Lunette TS 80/480, caméra 290mm et 662mc. Traitement AS3, astrosurface et gimp. Je n'ai jamais été doué pour les couleurs avec la lune. Celle en couleur est une mosaique de 2 images.

salut a tous voici les images de ce matin quelques gros plan possible c'est pas mal HA lunette 150 PST CAK Fs-78 lunt L/B mak 127 filtre vert Zwo-178mm jean-marc

Salut, Avant que la vedette du moment ne disparaisse et vu que la météo est repartie pour 10-15 jours de moche, j'ai saisi ma chance à travers un voile de cirrus le 19 mars. J'avais le C8 de prêt pour les galaxies donc j'ai profité. Traitement pas évident car queue assez faible dans ces conditions et j'ai pas fait de dithering :-( Mais elle est dans la boite (comme le matos !) Sam

Bonjour Ben celle d'hier soir 22 Mars, ambiance douce et venteuse, nuages élevés () et turbulence. Un seul outil adapté, la 120/1000, barlow x2, Fuji...et patati et patata. Image réduite de 500px...et oui ma bonne dame, la pleine taille c'est pas tous les jours ! Ca passe juste, c'est histoire de participer Beau WE étoilé Fred

Comme mes images du 19/03 ne sont pas si moches (voir 12P du 19/03 malgré la grosse lune), j'ai décidé de reprendre mes séries prises la semaine précédente, le mercredi 13/03, avec moins de lune mais un voile nuageux plus prononcé : Technique : EOS 6D au foyer d'une Megrez (480mm F/D 6), 56 poses de 30s à 6400 ISO. Idem image inversée en N/B pour mieux apprécier les détails dans la queue. Petit "zoom" à 50% de la résolution : Par rapport aux images du 19, avec un temps de pose unitaire plus long (30s au lieu de 10s), et une clarté lunaire bien plus faible (16% au lieu de 75%) donc un ciel moins laiteux bien que le voile nuageux me paraissait plus dense, la queue est mieux révélée et plus longue et on distingue un peu la 2ème queue de poussière (partant presque à l'horizontale). Par contre je ne comprends pas pourquoi les traces rectilignes de satellites n'ont pas été "gommées" lors du traitement (addition Iris en sigma-clipping) ??? Comme j'avais vu que la comète avait une certaine proximité avec M31, j'ai installé une config inhabituelle avec un 2ème 6D en // pour faire des poses en champ large simultanément : Et voilà ce que j'ai pu tirer de mes images au 105mm : Technique : EOS 6D avec zoom 24-105mm à 105mm, 83 poses de 15s à 4.0 et 6400 ISO. La maison et les arbres sont tirés de la dernière image et superposés pour masquer le filé flou de ces objets terrestres. Comme c'était la 1ère fois que je m'installais à cet endroit dans le propriété, je me suis un peu planté en posant le trépied (pour être sûr de voir la polaire au-dessus du toit pour le réglage de la monture) et du coup M31 a disparu trop tôt derrière le toit, ce qui m'a fait jeter une partie des poses. Je constate que l'on distingue aussi les petites galaxies satellites de M31 (plus évidentes sur l'encart à environ 1/3 de la résolution).

Bonsoir les copains ! Voila quelques images de lune et oui moi aussi sur la grosse avec le Taka 250 IMX178 MM filtre rouges au foyer 20/03/2024 la mosaïque de 22 tuiles ser de 1500 frames 33/100 gardé Ice de Microsoft pour l'assemblage et Astrosuface légère déconvolution Lucy Edit plus claire Et quelques plans avec le montage pour Juju faites juste avant la lune 662Mc b2x ca ca doit etre a la 178MM au foyer Apres au telephone intelligent comme dit Julie @MCJC on shoot ( clic et c'est tous) p30 pro au foyer one shoot Taka 250 p30 pro 50p100 IMG_20240320_202629 image réduite 50/100 légère déconvolution sur le Jpg En mode video mais franchement sur pas convaincu a refaire et dommage qu'il ny ai pas un mode raw en video ou j'ai pas trouver comment décompressé les fichier 4k p30 pro au foyer sans filtre en mode video 4k Stack et très légère déconvolution Lucy J'ai pas poussé plus a cause de la compression video Passé une belle soirée étoilé ce soir c'est trop voilé chez moi Bon ciel Sauveur

J'ai l'impression qu'il y a confusion de ce qu'est le débat scientifique et la diffusion des travaux de recherche... Le premier lieux pour la diffusion et amorcer un débat s'il y a lieu d'être c'est par les publications dans des revues sérieuses, à revue par les pairs. Ces publication sont souvent accompagnées (précédées) par des préprints qui ne sont pas encore validé par les pairs et un processus éditorial, mais qui permettent de commencer à partager des travaux avec la communauté. La revue par les pairs et le processus éditorial permet de valider un papier comme tenant la route pour sa rigueur et validité, et ainsi le papier peut être regardé de plus près par la communauté scientifique. C'est la base; sans papier, pas de crédibilité pour commencer à discuter science. Il y a une forme moins courante qui participe au débat c'est la lettre à l'éditeur ou par exemple des auteurs peuvent arguer des erreurs ou mésinterprétations dans un papier qui vient d'être publié dans le journal. L'éditeur donne toujours un droit de répnse du même format aux auteurs. C'est en général assez intéressant à lire, l'idéal étant de voir les différents auteurs discuter aussi en congrès La présentation en congrès plus ou moins spécialisé sur tel ou tel domaine suit aussi un processus de validation, avec la soumission d'un résumé des travaux qui est validé par les pairs pour être présenté sous forme d'affiche ou de présentation orale. Les participants payent leur entrée au congrès. Il arrive que les organisateurs invitent des chercheurs bien connus (avec des dizaines de papiers relevants du domaine) ou encore des chercheurs qui viennent de publier des travaux un peu brûlants. Le débat scientifique peut être assez dur lors des séances de questions & réponses à l'issus d'un talk, on est dans le "disputatio" qui porte bien son nom (j'ai vu une fois des mecs qui ont failli en venir aux mains !!). Il arrive qu'à l’issue d'un talk ou d'une présentation de poster il n'y a pas de question ni discussion; c'est un signal clair que ça n’intéresse ou ne convainc personne, silence poli... L'invitation en séminaire est en général d'un labo ou institut ou université pour un chercheur bien connu pour faire un talk devant des collègues, étudiants, collaborateurs. Le public est beaucoup moins large qu'en congrès. Généralement c'est le labo qui invite qui paye tout les frais. Tout ceci est le processus académique utilisé depuis des décennies dans le monde entier. Si tu ne le suis pas ces voies de diffusions de tes travaux (par exemple en publiant sur Youtube, un blog, un forum..), les portes resteront naturellement fermées car personne n'a de temps à perdre pour des travaux qui n'ont pas passé un minimum de filtre de sérieux. Ne pas être invité en séminaire ou congrès, ne prouve pas une persécution EDIT, un autre truc à garder en tête. Une affirmation extraordinaire (la matière noire n'existe pas, le big bang n'a pas eu lieu, l'évolution Darwinienne est une illusion, l'ARNm va tous nous tuer...) nécessite des preuves extraordinaires. Il est difficile d'aller contre le consensus scientifique, car il s'appuie sur un faisceau de preuves robustes et largement débattues. Jean-Philippe

Bonjour a tous. hier la nuit a bien commencé,mais ça a vite tourné a la danse du ventre mak 127 au foyer camera sv 705 600 images gardées sur 4000 couches vertes rouge pour celle la j aime beaucoup la zone située sur le limbe ouest a peu pres a l équateur,avec un gros cratere dont je n arrive pas a trouver le nom bon ciel!

bonjour à tous et à toutes ! un petit tri de quelques images sur les 1.2To de prise de vue sur 3 soirées du 18 , 19 et 20 mars CFF 300 f/d de 20 player one 290MM filtre rouge , traitement As4 + astrosurface à regarder en full , of course les volcans au sud de Copernic : Rima hygenus , rima triesnecker , Manilius (avec un petit cratère volcanique..) rima ariadaeus ,julius caesar et IMP sosigones : Purbach , Régiomontanus ,Blanchinus ,La Caille : Deslandre et Walther : Platon du 20 Mars : il en reste plein le tiroir , mais je veux pas abuser ... bon ciel à tous ! paul

Bonjour à tous, Alors hier, j'avais juste sorti la petite FS60CB pour faire la comète mais le temps que je fasse ma MES, j'ai pu l'observer 5mn et après, elle s'est couchée Bon, j'espère que ce soir je pourrais l'avoir. Sinon après juste avant que les nuages arrivent de nouveau, j'ai pu faire une petite heure sur M13 et j'ai été surpris qu'on puisse voir si bien le fameux Y avec seulement 22 x 180s avec le filtre L-pro :

Moi j'ai un sachoir à cheveux, parfaitement adapté pour les argumentations capillotractées !

Et puis pardon... j'y reviens, il faut vivre avec ça et s'en convaincre ! :

Salut tout le monde, profitant des très, très rares nuits potables, j'ai tenté avant hier soir malgré une presque pleine lune ( 96% ) le groupe Hickson 44 dans le Lion situé à peu près à 79 millions d'années lumière de chez nous et assez peu imagé , Hickson 44 comprend 4 belles galaxies que j'ai annotée sur une deuxième photo. Pour l'acquisition : RC300 à 2432 mm de foc 10micronGM2000 sans guidage IMX571 risingcam Prétraitement avec NINA Traitement SIRIL pour le grdient et PIX pour le reste J'espère que vous trouverez comme moi, ce groupe de galaxies sympa à +++ Philippe

Salut...c'est encore moi. 1 seul plan ce soir avec de très gros nuages qui sont partis à peine rentré de session...rage verte!!! J'ai trouvé le souci que je rencontre depuis le début avec le Cassegrain. Au traitement, j'ai toujours des dédoublements de détails que glob appelle "les isophotes." Je les ai avec astrosurface et ses ondelettes. Si je les fait avec R6, ils sont très atténués et AS4 pour le stack qui lui ne change rien. Le plan de ce soir est nickel avec R6. Beaucoup de vent et lune bien basse donc, c'est très bon.

Une bien jolie photo que voilà 👍👏 Ah le "Y" de M13 c'est le juge de paix sur les images du Grand Amas d'Hercule mais il est un peu comme "l'Arlésienne" tout le monde en parle et personne ne le voit Il est pourtant facile à trouver (quand la photo est bonne comme celle de @FranckiM06 ) avec quelques étoiles repères bien indentifiables, suivez le guide:

A suivre... SOHO vient de se prendre une recrudescence de particules de haute énergie... Un CME en pleine face avec une éruption de classe X et des flux de protons énergétiques bien élevés,... j'ai l'impression que les conditions sont réunies pour un Kp bien élevé 40-50h après l'éruption. Nicolas

Le modèle de la NASA prévoit un impact de la CME dans la nuit de dimanche à lundi: D'après le site spaceweather.com, Kp pourrait atteindre 7, ce qui serait suffisant pour avoir des aurores détectables en photo en France.

Et là, c'est mieux ? . J'ai tracé le sens du Y en jaune pour que vous le voyez mieux.

Bonjour, Un petit panoramique de 2 images ( c'est le minimum ) autour de Archimedes, Rimae Hadley et Aristillus Pour la technique : C14 + barlow x1.6 + ASI 178 MM + Filtre Rouge 610 nm 400 images retenues sur 2000 dans AS3 Traitement astrosurface Bon ciel à vous. Phil.J

Un magnifique flare en direct sous un ciel stable et des images solaires avec une incroyable résolution, utilisation d'une Barlow 3x et 5 x avec la lunette de 185 mm Apo et l'étalons Fabry Pérot PST prototype de 2004 et camera Player one . Un voyage a l'intérieur de la fournaise solaire

Bonsoir, Alors que 12P/Pons-Brooks fait actuellement le show pour ceux qui ont la chance de pouvoir viser très bas à l'W, avant son prochain plongeon dans l'hémisphère Sud, la prochaine comète qui devrait faire parler d'elle sera C/2023 A3 (Tsuchinshan-ATLAS) venue elle du nuage de Oort. Je vous renvoie aux posts précédents pour plus de détails : Elle est déjà très accessible et bien observable en seconde partie de nuit mais reste encore une comète d'aspect assez quelconque pour l'instant. Voici une image capturée le 6 mars au matin : La comète montre : une chevelure très compacte et condensée de 1.2' de diamètre et une queue désormais assez bien visible, d'environ 3' de longueur, vers PA=311° Voici le champ complet : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering pour une pose sur deux Nuit du 05 au 06 mars 2024, de 02h46 à 04h36 utc 96 poses de 60s à -15°C, Temps d'intégration de 01h 36 min Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à : 2"/pixel Elle a gagné près de 2 magnitudes, par rapport au mois de décembre 2023 : m1 = 12.4 ( cercle de 1' ), c'était 14.3 le 15 décembre dernier m2 = 13.4 ( cercle de 6" ), c'était 14.7 le 15 décembre dernier C'est conforme aux prévisions : ©Seiichi YOSHIDA : http://aerith.net/comet/catalog/2023A3/2023A3.html qui l'annoncent donc vers la mag 0 cet automne Bon ciel et très bon week-end à toutes et tous.

Bonjour, Malgré un ciel légèrement voilé, j'ai quand même sorti le télescope. Pas de vent, turbulence faible mais variable. La luminosité fluctuante, à cause du voile nuageux, m'a le plus gêné ! Je changeais la valeur du gain quasiment à chaque film. Je n'ai pas tenté de mosaique. Que ce soit en visuel (200x) ou à la prise de vue, les images manquaient de contraste. Ce sont mes premières images lunaires depuis plusieurs mois ! Mak 180 - Barlow - Basler IMX265 (N&B) - Filtre Vert - Genika - AS3 - Astrosurface V1 Une vue de Humboldt et Pétavius avec une bonne libration mais moins pour l'éclairage : (Clic pour voir en grand) Clavius : Deslandres : Platon : Copernic : Jérôme

Bonsoir à tous quelques images de notre étoile le seeing était bon aujourd'hui Bon ciel Patrick

Hello! Quelques plans réalisés au Cassegrain 6" en ce jour de printemps avec une lune bien haute. J'avais réunis 34 tuiles pour une mosa, il manque des bouts...c'est pas esthétique donc du coup poubelle. 3 plans avec IR/CUT et traitement astrosurface. J'ai tenté en R+IR aussi...poubelle. Question technique de prise de vue: Pour le lunaire, peut on capturer en binning 2x2? Qu'en est il de la résolution? Bonne soirée à tous.

Je l'avais déjà tenté le 13/03 mais le ciel était plus nuageux que prévu et je n'ai rien pu en tirer de bon. Le lendemain le ciel était bien meilleur mais j'ai raté l'occasion à cause d'un pb technique (un fusible cramé sur le câble d'alimentation de la monture et pas de rechange ! :o( ). Malgré la grosse lune de 75%, j'ai retenté le truc mardi mais avec un fond de ciel bien laiteux, je trouvais mes résultats très médiocres. Après avoir constaté que les images prises le même soir ou le lendemain publiées ici étaient assez analogues, je vous les mets quand même : Technique : EOS 6D mark2 au foyer d'une Megrez (480mm, F/D 6) 140 poses de... 10s ! (tant le fond de ciel laiteux montait vite) Soit un cumul d'environ 30mn à 6400 ISO. Comme me l'ont rappellé d'autres publications (merci Baroche !), le queue (très décevante) se révèle un peu mieux en négatifs (et en N/B) : Mais les parties plus faibles n'arrivent pas à se distinguer du fond de ciel laiteux sinon elle traverserait tout le champ. Un petit "zoom" à 50% de la résolution pour voir un peu plus de détails : Comme le 13/03 j'avais vu que la comète n'était pas trop éloignée de M31, j'avais tenté une image en champ large en montant en // une config un peu inhabituelle : En plus du 6D au foyer de la lunette, un 2ème 6D équipé d'un objectif pour la prise de vue en champ large. Le 13/03 c'était à 105mm mais le 19 j'avais réduit à 70mm pour faire entrer une autre galaxie dans le champ : Technique : EOS 6D avec zoom 24-105mm à 70mm, 139 poses de 8s ! à F/D 4 et 6400 ISO. On voit à quel point le ciel était laiteux ! Et encore, j'ai recadré pour éliminer la partie la plus voilée. Au tout début de la prise de vue, l'ISS a traversé le ciel et mon champ : Composition en superposant le filé ISS tiré d'un assemblage "à l'arrache" de 10 JPEG. Nota : le pointillé vient du délai de 1s entre les poses pour un bon transfert des photos sur la carte SD en évitant de saturer la mémoire-tampon de l'APN. Nota : l'ISS est passé si près de la comète dans le ciel qu'on la voit sur 2 images prises avec la Megrez. La météo est annoncée bonne ce soir et malgré la Lune à 95%, je vais peut-être retenter une prise de vues car la proximité avec M33 est assez serrée pour que les deux objets puissent rentrer dans le champ de la Megrez !

Celui de seul sur Mars

Oui, ça s'annonce pas mal pour la nuit de lundi à mardi, on devrait avoir droit à un impact assez intense, une grosse tempête est possible. On va voir ce que ça va donner sur les modèles de prévisions quand ils seront mis à jour.

Tres gros plan avec la lulu de 185 mm apo , etalon PST prototype de 2004 et barlow 5x , camera player one

Bonjour, Profitant d'une éclaircie (bien rare dans le Nord depuis des mois), j'ai dessiné la zone d'éjectas autour du cratère Copernic avec mon nouveau dobson 200 (bien complémentaire à ma lunette). Le dessin est fait avec un grossissement de 150x permettant de garder un champ agréable à l'oculaire du dobson. Bon ciel

@ALAING , Je viens de faire une V2, je pense que là c'est mieux on voit moins la dominante mauve

Bonjour, Petit soleil de cet après-midi réalisé au Seestar S50 ( soit du 50/250 ). Je sais dit comme ca, ca fait pas sérieux ^^ Empilement et post-traitement réalisé par mes soins. J'ai utilisé une méthode un peu fastidieuse car j'ai passé la vidéo dans Siril pour profiter de son Drizzle mais sans garder le résultat d'empilement ( je garde l'étape d'alignement uniquement), puis autostakkert, puis astrosurface puis affinity Photo mais c'est juste pour le vernis. Bien à vous,

Merci à tous Je suis content de voir que mon image porte un certain intérêt à ce fameux Y et là, on peut dire qu'il est bien visible pour notre plus grand bonheur

Le traitement d'une troisième vidéo avec AS!3 et R6, sur l'écran HR.

Merci à toi C'est Yoshida-San qui trace ces courbes (Cf l'url de son site), mais le soft qu'il utilise est disponible au téléchargement pour Windows : http://aerith.net/project/comet.html Bon week-end.

Excellent Sauveur, tu t'es lâché grave Belle résolution sur ta mosa, on perçoit comme un voile qui est finalement très esthétique Et puis le téléphone intelligent (), ben c'est assez épatant, surtout la version poussée par Claude !

salut a toutes et tous un ptit shoot sur la comète juste pour l'avoir fait tout le temps des voiles de nuages j'ai eu de la peine pour la trouvé image prise avec la FS-60 Zwo-178 color jean-marc

Article de Camille Gévaudan pour Libération https://www.msn.com/fr-fr/actualite/technologie-et-sciences/observée-par-le-télescope-james-webb-toi-270-d-une-planète-entre-deux-eaux/ar-BB1jAQ6g?ocid=msedgdhp&pc=HCTS&cvid=c30d589616a74156b20f5431415f9138&ei=33 Observée par le télescope James-Webb, TOI-270 d, une planète entre deux eaux L’univers regorge de milliards de planètes : c’est désormais une certitude grâce aux progrès récents des télescopes, qui ne cessent de détecter de nouveaux astres en orbite autour des étoiles. La question n’est plus de savoir si d’autres planètes existent en dehors de notre système solaire. Elles sont omniprésentes. Les astronomes du XXIe siècle s’appliquent désormais à caractériser ces exoplanètes, c’est-à-dire définir leurs caractéristiques, et on n’est pas au bout de nos surprises. Ces mondes sont souvent très différents du nôtre…. y compris quand ils nous ressemblent de prime abord. Deux astrophysiciens de l’université de Cambridge, au Royaume-Uni, ont ainsi trouvé une exoplanète riche en eau et en hydrogène, exactement comme dans l’atmosphère de la Terre. Mais il fait chaud sur cette planète située à 73 années-lumière d’ici. Très chaud. A tel point qu’on ne sait pas bien dans quel état se trouve toute son eau : sous forme de vapeur dans une atmosphère super dense ? Ou au sol sous la forme liquide d’un océan, mais à la limite de l’ébullition ? Le débat est ouvert. Des températures infernales Les données sur lesquelles s’appuient les chercheurs viennent du télescope spatial James-Webb (JWST), lancé fin 2021 par la Nasa. On lui avait confié il y a quelques mois l’observation du système planétaire TOI-270, parce qu’il est intéressant, avec ses trois planètes qui orbitent très près de l’étoile au centre. La planète la plus proche est une «super-Terre», rocheuse et juste un peu plus grande que notre planète-mère, qui fait le tour de son étoile en trois jours. Les deux autres sont des «sous-Neptune» qui tournent autour de l’étoile en six et onze jours seulement, et la plus éloignée des deux, TOI-270 d, a montré la présence de molécules d’eau quand le télescope Hubble l’a observée il y a quelques années. Les télescopes spatiaux captent la lumière émise par les astres, dont on peut ensuite analyser finement les différentes longueurs d’onde pour comprendre comment elle a été filtrée par l’atmosphère des exoplanètes par exemple, selon les molécules chimiques qui la composent. Et d’après ce qu’on sait de la chimie de TOI-270 d, c’est «une candidate planète-hycéan», expliquent les deux chercheurs britanniques en introduction de leur étude, publiée cette semaine dans la revue scientifique Astronomy & Astrophysics. Une planète-hycéan est un mot-valise inventé justement par l’astronome qui a dirigé l’étude, Nikku Madhusudhan, pour définir une planète avec un océan d’eau liquide sous une atmosphère riche en hydrogène. Des conditions qui paraissent idylliques pour d’éventuelles formes de vie… enfin, sur le papier. Car il ne faut pas oublier que TOI-270 ne se situe qu’à 10,5 millions de kilomètres de son étoile, soit 14 fois moins que la distance la Terre-Soleil, et que les températures y sont donc infernales. Si l’eau de TOI-270 d était regroupée en océan, celui-ci «pourrait monter à 100 degrés Celsius ou davantage», estime Nikku Madhusudhan dans le Guardian. Ce qui est techniquement possible, car l’atmosphère de cette planète est ultra-dense et «sous une haute pression atmosphérique, un océan aussi chaud pourrait rester liquide.» La pression de l’atmosphère, des centaines de fois supérieure à celle de la Terre, pourrait écraser le liquide au sol et l’empêcher de s’évaporer. Seule la surface serait recouverte d’une couche de vapeur. Plus précisément, il faut imaginer un océan en deux parties très différentes l’une de l’autre, car la planète a deux faces. L’une est en permanence tournée vers son étoile, et très chaude. L’autre tourne le dos à l’étoile et reste bien plus tempérée. «L’océan serait extrêmement chaud du côté jour. Le côté nuit pourrait potentiellement être habitable», c’est-à-dire propice au développement de la vie, juge Madhusudhan. «Comme un fluide épais et chaud» Ou alors, il n’y a pas d’océan. Une autre étude internationale menée par Björn Benneke, astrophysicien canadien de l’université de Montréal, qui vient juste d’être proposée à publication et n’a pas encore été validée, s’appuie sur les mêmes observations du télescope James-Webb pour privilégier une hypothèse différente. «La modélisation climatique [de TOI-270 d] indique qu’un océan d’eau liquide est très improbable, et que si l’eau existe à l’intérieur de la planète, elle doit être dans une phase supercritique», avance cette étude. Un fluide supercritique n’est ni liquide ni gazeux. Il existe dans des conditions de pression tellement intense que la frontière entre gaz et liquide disparaît, et il possède des caractéristiques de ces deux états à la fois. «C’est comme un fluide épais et chaud», essaye d’expliquer Björn Benneke au Guardian. Pour ses collègues et lui – 31 chercheurs ont cosigné cette autre étude –, la température en surface de la planète avoisine les 4 000° C et il y a très peu de chances que l’eau puisse rester liquide. Donc elle ne serait pas sur la planète mais autour d’elle : «Nous avons trouvé que la vapeur d’eau est très abondante dans l’atmosphère de TOI-270 d, dont elle est peut-être le principal composant par sa masse.» Eau et hydrogène seraient mêlés, à l’état supercritique, enveloppant le cœur rocheux de la planète. TOI-270 d est donc une mauvaise candidate si on cherche des exoplanètes où la vie pourrait exister, même si elle semble abriter du disulfure de carbone qui est un marqueur de processus biologiques sur Terre. De toute façon, on est encore à des années-lumière de pouvoir trouver ou prouver l’existence de la moindre bactérie extraterrestre à l’aide d’un télescope. «Nous devons faire très attention à la manière dont on communique nos découvertes sur ce type d’astres. C’est facile pour le public de conclure trop vite qu’on a trouvé de la vie ailleurs», rappelle Madhusudhan. Tout ce qu’on peut dire, c’est qu’on avance à pas de géant dans l’étude à distance des exoplanètes, au point de savoir mesurer leur degré d’«habitabilité». Et c’est déjà un progrès. Représentation schématique des distances qui séparent la Terre du Soleil et l'étoile TOI-270 de sa planète TOI-270 d. La taille des astres n'est pas à l'échelle. Les distances le sont à peu près. Trois scénarios possibles pour les planètes de type sous-Neptune, présentés dans l'étude dirigée par le Canadien Björn Benneke. A gauche, une planète-hycéan avec un océan d'eau liquide (bleu foncé) surmonté par une atmosphère riche en hydrogène. A droite, le scénario privilégié pour TOI-270 d : l'eau et l'hydrogène sont mélangés pour former une atmosphère à l'état supercritique, ni liquide ni gazeux.