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Affichage du contenu le plus aimé le 09/10/2021 dans toutes les zones

  1. 23 points
    Salut Ce vendredi, à 13h 14, ISS passait devant le Soleil et était visible tout près de chez moi, donc, avec quelques membres du club, nous nous sommes retrouvés sur les hauteurs de Longeville-les-St-Avold, pour assister à cet événement, Le ciel était bien dégagé, mais le vent soufflait assez fortement et faisait trembler les tubes, ce qui fait perdre un peu en résolution la petite photo d'ambiance, pendant la pause casse-croute : Les paramètres du transit : Francesco a réalisé des gros plans avec la vénérable lunette Secretan de 110mm ( 1650mm de focale ) , malgré son âge respectable, elle donne de superbes images, même avec un apn moderne ! Mode rafale au Canon 750D, 1/4000s Un petit coup de zoom : Une version colorisée De mon coté, je m'activais avec la 80ED et le Canon M50, en vidéo 4K, ( c'est tellement plus facile ! ) J'ai réalisé un film de 20s centré sur l'heure du passage, (13h14 ) Au traitement, surprise, un intrus s'est invité devant le Soleil, Puis, Thomas est passé aux commandes de son vaisseau spatial ! Et pour le fun, les 2 passages ensemble , Ça passe juste ! Daniel
  2. 19 points
    bonjour à toutes et à tous ! beaucoup de turbulence encore hier soir , turbulence de haute fréquence on profite tout de même de ce beau temps ! CFF 300 t/d de 20 asi 462c adc zwo ser de 90s traitement astrosurface ! à 18h06 avec io : à 19h29 bio 1x90s : 19h32 tu 5x90s : toujours cette belle tache blanche près de l'ovale en bas ! bon ciel et merci ! polo
  3. 15 points
    Bonjour à tous, Comme je n'ai pas de capteur assez grand, je cherche de petits objets. Ngc 604, 2', fait partie de ceux-là, mais le fond du ciel est pollué par le reste de la galaxie! Trêve de plaisanterie, la fwhm sur l'empilement a atteint 2.6", j'ai donc réduit l'image de moitié (bin2 au traitement) pour mettre l'image à 0.66"/p. La nébuleuse est à 0.3"/p, mais on voit bien que ça manque de précision. Je vous mets dessous "le morceau" de M33 que j'ai pris avec, et là on voit bien que soit j'ai trop de focale, soit un capteur trop petit Bonne balade quand même, cliquez sur M33 pour agrandir Newton 245/1472 (paracorr2) + asi 183mm, 3h de luminance et 3/4h par couleur, /5mn. Nathanaël
  4. 13 points
    Des conditions plutôt bonnes jeudi et vendredi soir pour Jupiter. Jeudi 7: le seeing à progressé jusqu'à 22H30 lc pour devenir franchement mauvais peu de temps après. Dérotation de 4 images: Sans dérotation: Le 8 (hier soir): le contraste était un peu faible mais le limbe était bien net: bon signe ! Jupiter à 22h25 lc: Dérotation de 4 images: Une inclinaison comme en visuel: Mewlon 250, barlow 2x, ADC, ASI224mc Jean-Yves
  5. 12 points
    Salut à tous, Hier soir Jupiter avait la bonne idée de présenter sa grande tache rouge alors que la planète flirtait avec le méridien. Les conditions étaient bonnes, avec tout de même un jet stream assez fort (~40m/sec d’après meteoblue). A l’écran c’était pas mal mais je me suis rendu compte au final que seulement trois vidéos avaient vraiment une bonne mise au point. J'ai pas mal tâtonné sur la mise au point et comme j'ai eu un soucis avec le mode chauffage de mon pare-buée, j'ai du jouer du sèche cheveux... Bref, le résultat de 3 vidéos (1 minute chacune) passées dans AS!3 (30% retenues, ~50 AP) puis Astrosurface (ondelettes + balance des blancs) avant un tour dans Winjupos pour finir par un dernier passage dans Astrosurface. Redimensionnée à 75%: Matériel habituel: C11 edgeHD + barlow 2x + ADC + ASI224mc Bon week-end à tous ! jf PS: J'avais oublie de préciser l'heure de prise de vue. 2021-10-09 02h55 UTC
  6. 10 points
    Bonjour, Je suis très en retard sur mes traitements ! Voici quelques gazeuses prises le 23 et 30 septembre. Les autres nuits claires étaient pas exploitables avec la turbulence (surtout hier soir). Matériel : C8 EHD, Barlow VIP, ADC ZWO et les vénérables ASI290MM et 224MC. Les prises du 23 : du classique LRGB à la 290. Pour le 30 : méthode Winjupos piste de bleue de JLD, j'ai tenté la couche couleur à la 224 et la luminance à la 290 (avec du LRGB 290 only aussi) ==> on voit quelques différences sur les teintes (sûrement dues aux écarts de filtrage des couleurs) Pour finir, j'ai tenté un petit essai sur de l'infrarouge avec la 224 (au filtre IR642). Une image avec les curseurs rouge et bleu à fond : et une autre en essayant de rééquilibrer les couleurs : Je ne vois pas trop de différence mais il y a un truc que je comprends pas, c'est pourquoi il vaut mieux rééquilibrer les couleurs car en faisant ça, on perd une bonne partie du signal rouge et ça oblige à augmenter l'exposition ou le gain. Pour conclure, un aperçu d'hier soir En vous souhaitant un meilleur ciel que ça... A+
  7. 9 points
    à l'instant, très beau rapprochement au sud ouest, dans l'ouest parisien 200 iso 3s de pose au 85 mm et au 400 mm objectifs et boîtiers pentax sur pied fixe
  8. 9 points
    Merci Alain. Je la trouve aussi un peu bruitée, du coup j'ai repris ;le traitement. Version #2: (parfois le bruit est plus visible sur la PNG en ligne que sur mon logiciel de visualisation...) jf
  9. 8 points
    J'espérais faire mieux qu'hier, avec filtre vert, mais non, trop de turbulence. Passage au filtre IR742: le contraste devient faible et la turbulence est toujours là. Retour au rouge comme hier, de bons moments, les filaments apparaissent pendant quelques secondes de temps en temps, c'est suffisant ! 300 bruts additionnées, le gain de la camera étant au minimum: On notera l’aspect différent de la granulation autour de la tache, et en haut à droite. Mewlon 250, ASI174mm, filtre rouge, barlow 2X Jean-Yves
  10. 8 points
    Salut La suite et retour en arrière car j'avais zapper cette session au Taka j'en fais pas mal et me perd un peu dans le fichier et dates cela aurai été dommage de pas vous les montré même si moi je prend du plaisir a capture et a traité j'ai fais une petite pose post pour pas trop monopolisé y en a encore en stock J'ai fais aussi quelques images Cp avec mes ptite lulu car un copain est passé pour profité du coin Le 23 j'avais sortie le Taka et c'etait pas mal Avec Redshift faut que je perfectionne suis pas encore au rendu qui me plait plus 2021-09-23-1917_7-- 11 redshift --L- Taka 250 224mc b2x-6218_wd 2021-09-23-1917_7-- D 11 cs2 --L- Taka 250 224mc b2x-6218 traitement plus doux cs2 2021-09-23-2131_4-- 9 --L- Taka 250 224mc b2x-6216 2021-09-23-2131_4-- 9 sud --L- Taka 250 224mc b2x-6216 Zif Les Saturnes 2021-09-23-1852_6-U-L-Saturne Taka 250-asi 462 mc b2x-6109 2021-09-23-1852_7-U-L_Saturne Taka 250_DeRot-asi 462 b2x-6106 bonne soirée et bon ciel Sauveur
  11. 8 points
    Bonjour, J'ai fait une nouvelle tentative hier soir mais sans trop de succès... J'ai a nouveau vérifié et retouché ma colimation j'ai pas l'impression d'être complètement à côté et pourtant. On voit bien que l'anneau n'est pas complet, mais est ce que cela explique le si mauvais résultat ? J'ai eu des bons résultats sur la lune alors je me dis que la hauteur de Jupiter doit jouer plus qu'il n'y parait, mais tout de même... Vos avis sont les bienvenus Materiel: C8 200/2000 SPDX ASI462 Barlow x2 Filtre IrCut (Pas d'ADC) Astrosurface pour le traitement par PSF Vega: Jupiter au foyer: Jupiter à la barlow x2: Gain=270 Exposure=0,015 GreG
  12. 8 points
    Bonjour, Les dentelles du Cygne étant bien placées et le ciel pas trop opaque ce 08/10, j'ai réalisé une nouvelle séance de photo sous les sunlights des stades. 180 x 25s d'expo (1h15m de cumul) m'ont semblé suffisant au vu du résultat de la veille. Après un méga tripotage dans divers logiciels, voici ce que j'obtiens avec cette jolie nébuleuse. pour mémoire : T192 + correcteur de coma + UHC + EOS 1100D A+ Glob
  13. 7 points
    ... ou l'inverse Comme annoncé dans le dernier numéro de C&E, le volcan Loki de Io pouvait être détecté en émission thermique le 7 octobre dernier par les amateurs équipé en IR "profond". Io était alors dans l'ombre de Jupiter. J'ai tout d'abord pensé à utiliser mon mak 180 mais je me suis rabattu sur le T400 f4.5 du club, qui même s'il n'est pas beaucoup plus performant en planétaire est quand même bien plus lumineux. Donc T400 sans barlow ni ADC mais avec la 462 mc et un filtre IR1000. Au passage merci à l'option "recadrage" de Firecapture bien pratique surtout avec un dobson Sur mon film juste avant la réapparition de Io, j'obtiens un point lumineux en poussant les curseur à donf avec IMPPG (entouré en rouge sur l'image) En superposant avec l'apparition de Io quelques secondes plus tard, le point correspond bien à la position de Io (voir premier gif) En surtraitant dans astrosurface avec du gain et de l'offset on croit voir un truc mais rien n'est sûr. On le revoit en surtraitant cette dernière avec IMPPG Et l'emplacement est bon (voir deuxième gif) Mais problème !!! Sur tous mes autres ser qui précèdent ce film de quelques minutes (ou dizaine de secondes), je n'ai absolument RIEN. Du coup je pense plus à une réflexion de Io qu'à une émission thermique. Io devait se trouver à ce moment dans une sorte de pénombre et reflétait un tout petit peu. Bref je ne crois pas que se soit l'émission thermique tant attendue Conclusion, cet exercice, pour ne pas dire ce défit, semble hors de portée des moyens amateurs pour l'instant. Si vous avez d'autres techniques pour essayer de faire ressortir Loki, je suis preneur. Pour se consoler, un petit film de Io et sa sortie de l'ombre accéléré 5x.
  14. 7 points
    Bonjour à tous, Petite session légère hier soir avec le Celestron 5 (125mm F/D=10). J'ai basculé de la barlow 5X à la barlow 2.5x cette fois-ci, c'est bien plus raisonnable, mais plus petit aussi. Pour le reste : ADC PA, Filtre L, IMX290MM pour la luminance, IMX224 pour la couleur. Sessions de 90s à 30ms pour Saturne, 20ms pour Jupiter. Gain ajusté ensuite pour caler l'histogramme à 80% max. Autostakkert (1000 images gardées/~25%), puis Astrosurface (ondelettes), puis WJ, puis fusion L+Couleur sous Photoshop selon technique des tutos @jldauvergne. WB et un peu de niveaux ensuite sous Astrosurface. Site : banlieue nord de Marseille (on gagne qqs degrés en hauteur, l'air de rien, à défaut de balcon ). Le gros avantage du C5, c'est que quel que soit (ou presque) le ciel, les images sont finalement assez proches. Mais bon, il ne faut pas non plus espérer de voir de petits détails, ça reste 125mm...! Saturne d'abord (dérotation de 5x90s couleur, 10x90s L) : Une idée des conditions d'acquisition : Puis Jupiter : (dérotation de 5xCouleur, puis 10xL, puis 5xCouleur) - et puis les version unitaires 'bio', sorties de Astrosurface = qui sont donc données à manger à WJ - on voit quand même bien le gain. Même si les petites bio couleurs sont agréables à regarder, et ça donne l'idée de tenter une longue animation une prochaine fois. = 5 x + 10x + 5x Les conditions (se sont améliorées pour Jupiter, et puis elle est aussi bien plus haute) : Par contre, comme dans toutes mes sessions (c'est uniquement vendredi ou samedi soir) Jupiter, je n'ai jamais la GTR. Mais bon, "je l'aurai, je l'aurai !" Prochaine fois, je fais un tour sur Uranus et Neptune, ça donnera de jolies petites billes bleues et vertes probablement ? Très bon ciel ! François
  15. 7 points
    bonjour, n'ayant pas plus profiter du beau ciel de la semaine car je travaillais de nuit, j'ai profité du samedi matin comme je termine un peu plus tôt 2h, pour rajouter un peu de temps a m33. newton 355/1650 sur cem120 rising cam imx 571C gain 0 a -10° imx 178c + etx 70 modifié 93x180s je pense que pour cette année je vais me contenté de cette version. ce soir je devrais pouvoir profité un peu j'espère que vous aussi. bon ciel manu
  16. 7 points
    Bonjour à tous. Deuxième fois que je joue a la photo solaire, c'es sympa, moins que la lune quand même en tous cas en lumière blanche. Objectif Sigma 500mm F4 Sport. Caméra ZWO ASI183MM Pro. Teleconvertisseur x1.4 pour le disque complet, à voir en haute res. Deux doubleurs empilés pour le gros plan, j'ai testé un filtre rouge vs un filtre vert, la différence de piqué est claire et nette.... Une vidéo avec filtre vert, ça remue drôlement.. Maintenant y'a plus qu'à attendre que d'autres spots sortent.
  17. 7 points
  18. 6 points
    Salut les ami , hier pour Saturne le seeing était bon mais le C11 n'était pas encore a température donc c'était difficile d'obtenir quelque chose mais pour Jupiter cela a était autre chose ! un très bon seeing sous un peu de Jet Stream, petite difficulté par contre pour Winjupos, étant donné que Europe était en transit j'ai du seulement mettre 4 images pour que le satellite ne sois pas étiré, j'en ai donc fait 2, 1 avec 4 images et 1 avec 10 images
  19. 5 points
    Hello , Le Doctelescope 382mm F4.5 respire enfin avec une cible au dessus de 50° de hauteur ! J'espère que cela vous plaira, j'ai passé un temps fou sur la partie traitement pour en tirer le maximum avec toujours comme fil conducteur : finesse et douceur. En terme de résolution, un 382mm avec filtre vert = 320mm avec filtre bleu = 450mm avec filtre rouge = 600mm avec filtre IR 685nm ou 742nm. TYCHO & Oriontus & Maginus & Longomontanus avec filtre vert : et pour un lien direct vers la FULL cliquer ICI ou cliquer sur l'image et n'oubliez pas de zoomer. POSIDONIUS & Daniell & Rima G bond avec filtre vert : pour un lien direct vers la FULL cliquer ICI ou cliquer sur l'image et n'oubliez pas de zoomer. Aristotes & Eudoxe & Cassini & Calippus & Burg & Rimae Burg areaavec filtre rouge : et pour un lien direct vers la FULL cliquer ICI ou cliquer sur l'image et n'oubliez pas de zoomer. Et le meilleur pour la fin le pole SUD avec CLAVIUS & MORETUS & Curtius & Blancanus & Klaproths avec filtre vert : prenez une bière, imaginez vous sur Apollo et cliquer ICI pour voir la FULL ou cliquer sur l'image et n'oubliez pas de zoomer. Quelques animations de comparaison de résolution : Si on met ça en relief avec ma dernière Jupiter en IR 642nm qui parait pourtant fine, ça promet pour l'année prochaine niveau finesse sur Jupiter et Saturne qui avoisineront les 40° de hauteur! Bon ciel !
  20. 5 points
    Moi aussi, j'ai tiré le portrait de la belle conjonction Lune/Vénus sur mon balcon. 180/2.8 Nikkor à 4 sur Nikon Z6 sur trépied.
  21. 5 points
    Des captures de la belle tache avec mon Mewlon de 250mm, avec filtre mylar pleine ouverture. Ca gigotait quand mème pas mal, le filtre rouge était plus prudent.
  22. 5 points
    Bonjour les planéteux, Nan nan, je ne me suis pas remis au planétaire J'ai juste voulu oeuvrer pour la science avec quelques images de Juju et . . . Loki Mais n'ayant plus ( provisoirement ) de filtre IR, et comme tout était prêt, j'ai quand même fait quelques films. Avec le M809 ( 200mm à F10 ) nez de barlow 2x vissé sur l'ADC et caméra ASI 224MC et filtre L. Juste 4 films avec une superbe turbu style fond de piscine et 100% d'humidité. Je vous les montre juste pour participer et parce qu'on reconnait bien Juju quand même La première à 21h32 TL : Puis à 21h44 : Ensuite à 22h13 : Et la meilleure pour la fin à 22h22 : Films de 150sec, 1000 images sous AS3, Wienner+ondelettes Astrosurface, balance R6 et finitions PSP. Je vous souhaite une excellente journée, AG Et bonne chance à ceux qui auront tente la chose
  23. 5 points
    Ah ok J'ai regardé mais non, il est à l'extérieur de la première à la dernière image. J'ai la sortie de Io de l'ombre, mais c'était à 22h15 ;-) Admire la qualité du suivi Fabien
  24. 5 points
    Au moment où j'allais lancer ce post je vois que Stéphane m'a devancé. René nous a quittés ce matin vers 11h dans sa 97ème année et il est le dernier des "monstres sacrés" de notre communauté à avoir fait rêver et aider des générations de passionnés. Ayant passé son enfance près des pistes de l'aéroport du Bourget il racontait avoir vécu avec ses parents alors qu'il n'était âgé que de deux ans l'arrivée de Charles Lindbergh puis, 10 ans plus tard, en 1937, l'ouverture du planétarium de Palais de la Découverte peu avant ses nombreuses rencontres avec Lucien Rudaux durant l'Occupation. L'aviation l'a toujours guidé et lui a fait parcourir l'Afrique où il s'est lié d'amitié avec Charles Boyer et Jean Dragesco, puis, de retour au pays au début des années 60, avec Pierre Bourge qui lui a fait prendre le chemin des éclipses de Soleil sans oublier la Commission des Instruments de la SAF dont il était l'un des piliers de l'époque Jean Texereau, Jean Texereau avec qui il a contribué très largement à la "Revue des Constellations". A la SAF, René est entré en 1942 et a pu rencontrer à plusieurs reprises Madame Gabrielle Flammarion à l'observatoire de Juvisy. Il en était le doyen et en 2002 j'ai eu le privilège de lui remettre, ainsi qu'à Jean Claude Pecker, le Prix Manley Bendall récompensant 60 ans de sociétariat. Même si Mozart était de loin son préféré, il nous arrivait souvent d'échanger des perles rares de ce compositeur et d'autres, le dernier en date pour son dernier anniversaire, le 25 août, ayant été le Mozartiana de Tchaikowsky qu'il ne connaissait pas bien que contenant une orchestration du sublime "Ave Verum", tant de circonstance en ce jour. "Monsieur Météo" lors des grandes heures des Rencontres Astro Ciel, René nous faisait bien rire tant son caractère facétieux nous faisait le comparer à ce grand Monsieur Hulot de Jacques Tati. Adepte du camping-car avant que la vue ne l'abandonne et cherchant en permanence la compagnie des plus jeunes, tous se souviendront des inoubliables moments passés avec lui. Un grand Monsieur était et restera notre cher René. Pour ma part, ce sont 42 années d'une amitié fidèle et indéfectible qui désormais laisseront place au souvenir impérissable, à la transmission et la mise en valeur de l'emprunte qu'il nous a laissé. Philippe Morel.
  25. 4 points
    Bonjour; La nuit dernière le ciel était d'une rare transparence, j'en ai donc profité pour imager la nébuleuse planétaire Hélix NGC 7293 qui culmine à moins de 20 degrés de hauteur dans les Hauts-de-France. Ensuite bien plus haut j'ai visé NGC 281 , la nébuleuse Pacman. Ces deux images ont été réalisées avec les mêmes paramètres Lunette TS 70 Ed, correcteur-réducteur Photoline x0,79, filtre Optolong L-Pro et Apn Fuji X-T1, sur monture HEQ5+ sans autoguidage. 32 poses de 3 mn et DOF traitées avec Siril et Photoshop. Stéphane
  26. 4 points
    Bonjour à tous, Alors étant donné que pour l'instant il me reste plus que ma petite fs60, je me suis amusé à jeter un oeil sur Jupiter et elle était tellement superbe à l'oculaire Pentax de 5mm et donc je me suis dit, allez soyons fou tentons là à la caméra 462MC avec ma vieille Barlow x2 du siècle dernier.
  27. 4 points
    Bonjour à tous (tes) j'ai reçu une proposition pour la vente de mon XT10i d'un certain louis Lagier soit disant de Brive la gaillarde. Attention c'est un arnaqueur signalé sur le web donc faite gaffe! je ne sais pas si c'est le bon endroit pour signaler cela mais les modérateurs le transfèreront. Bonne soirée à tous(tes)
  28. 4 points
    Un petit tour au Chili ...sur le site de l'ELT. J'aime bien ce panorama, avec Orion tellement paumé dans toutes ces étoiles, heureusement qu'il y a M42 pour la reconnaitre (petite mosa de 3 copies d'écran, clic droit ouvrir dans un nouvel onglet et zoom) Bonne soirée !
  29. 4 points
    L’équipe de Curiosity c’est de plus de 400 chercheurs et ingénieurs tenus par des règles strictes de communication. Il est interdit à l'équipe scientifique de Curiosity de partager et de discuter des données scientifiques de la mission avec qui que ce soit jusqu'à ce que les données soient accessibles au public lors de publications et/ou leur exposé lors des réunions scientifiques programmées chaque année telles que "l'American Geophysical Union" ou la Conférence "Lunar and Planetary Sciences” (LPSC). Au point qu’en avril 2014, constatant cette "omerta" sur les résultats, Ciel&Espace avait titré : "CURIOSITY EST-IL PARANOÏAQUE ?" Ça ne s'est pas vraiment amélioré depuis, au contraire. QUELQUES RAPPELS : Pour une analyse standard dans le labo SAM quelques dizaines de milligrammes d’échantillon sont pyrolysés (chauffés) jusqu’à environ 900°C dans les fours de l’instrument. Les molécules contenues dans les gaz qui s’en dégagent sont analysées par un chromatographe en phase gazeuse (GC) développé par les laboratoires français LATMOS, LISA et LGPM, avec le soutien du CNES, couplé à un spectromètre de masse (MS) développé par le centre NASA Goddard Space Flight Center aux Etats-Unis. La chromatographie (GC) permet de séparer les composants individuels d’un mélange de molécules initiales, et la spectrométrie de masse (MS) de les identifier par pesée moléculaire. L'analyse GC-MS peut travailler sur des liquides, des gaz et des solides. Mais à l’état solide ou liquide, atomes et molécules sont fortement associés les un(e)s aux autres. L’état gazeux offre de meilleures possibilités d’isolement des molécules les unes des autres, à condition d’effectuer les mesures dans un vide assez poussé afin d’éviter les regroupements ou les interactions de molécules entre elles. C’est là une des premières contraintes techniques fortes de la spectrométrie de masse : isoler une molécule nécessite tôt ou tard le passage à l’état gazeux sous basse pression. La seconde nécessité est de “contrôler“ la molécule ou l’atome ainsi isolé. En effet, à l’état gazeux et à basse pression, les molécules sont indociles et ont un parcours aléatoire de type Brownien. On ne peut rien leur faire-faire... Les ions sont beaucoup plus maîtrisables puisqu’ils obéissent aux lois de l’électromagnétisme. La spectrométrie de masse traite donc de molécule ou d’atomes ionisés. SAM comporte un système de manipulation des échantillons, un "carrousel" de 74 petites coupelles pour recevoir des échantillons d’un volume de 0,78 cm3, 59 de ces cellules sont fabriquées en quartz et peuvent résister à un chauffage à très haute température, jusqu’à 1100 °C, lorsqu’elles sont placées dans un four afin d’extraire les gaz pour analyse. Après usage, les coupelles peuvent être nettoyées par pyrolyse et être à nouveau disponibles. CEPENDANT, POUR ÉVITER DE DÉGRADER LES MOL֤ÉCULES FRAGILES SENSIBLES À LA CHALEUR ET À L’OXYDATION DES PERCHLORATES IL EXISTE 9 AUTRES COUPELLES, fermées par un opercule transperçable et remplies de solvants chimiques pour les expériences dites de "chimie humide" À BASSE TEMPÉRATURE. Ces solvants sont des produits chimiques spéciaux appelés "agents de dérivatisation" conçus à l’origine pour rendre certaines molécules plus faciles à détecter. Pour pouvoir être séparée par chromatographie en phase gazeuse les molécules organiques doivent être volatilisées. La technique la plus simple pour les rendre volatiles est de les chauffer à plus ou moins haute température. Cependant, pour étudier des molécules fragiles, sensibles à la chaleur, il est également possible de passer par la technique de dérivatisation. Celle-ci permet de rendre volatile des molécules organiques en attachant sur ces dernières des fonctions chimiques particulières. Ainsi dérivatisées, les molécules passent facilement à l’état gazeux, ce qui rend alors possible leur analyse. Sachant aussi que la dérivatisation est plus efficace que la chaleur pour l’étude de molécules organiques volumineuses, ou réactives. À l'intérieur du labo, le système de conditionnement et de manipulation des échantillons comprend un carrousel de 74 coupelles : 6 en quartz contiennent des échantillons d'étalonnage, 9 en métal sont remplies de solvants chimiques pour les expériences de chimie humide à basse température, et 59 en quartz sont prévues pour le chauffage des échantillons (jusqu'à 1100 °C) afin d’en extraire les gaz et les diriger vers le GC-MS : En fait la première analyse "par voie humide à basse température" a été mise en œuvre sur le site de "Glen Etive" où le rover s'était attardé et avait réalisé deux forages le 4 août 2019 (sol 2486) et le 15 septembre 2019 (sol 2527). L’équipe avait alors évoqué des "résultats spectaculaires" et, quelques mois après, avait même envisagé sérieusement d’y revenir pour un troisième forage ! Parmi les 9 coupelles destinées aux expériences de chimie humide, 7 sont équipées de réactif répondant au doux nom de N-méthyl-N-tert-butyldiméthylsilyltrifluoroacétamide (MTBSTFA) , et 2 d'hydroxyde de tétraméthylammonium (TMAH). Ces substances réagissent avec les molécules organiques pour former de nouvelles substances qui sont plus faciles à transformer en gaz et plus résistantes à la chaleur. Cela rend le composé organique plus susceptible de survivre au chauffage et d'entrer dans une phase gazeuse qui passera à travers le GC-MS de SAM pour analyse. La recherche de molécules organiques sur Mars est l'un des objectifs majeurs de SAM. Mais certaines molécules d'un grand intérêt astrobiologique - comme les acides aminés et les acides carboxyliques ne sont pas directement analysables par le GC-MS de SAM car ils ne sont pas facilement volatils ou sont finalement trop dégradés par le chauffage à des centaines de degrés. Jusqu’ici Curiosity n'avait donc pu recueillir que des molécules issues de la décomposition de molécules plus grosses impossibles à identifier. "La dérivatisation permettra peut-être de trouver notre Graal : des acides aminés", espère Caroline Freissinet. "Les acides aminés sont à la transition entre chimie complexe et vie primitive. On s'attend à ce qu'il y en ait sur Mars, mais personne ne les a jamais découverts". Donc, pour analyser ces molécules il faut les aider à se transformer en molécules volatiles. Pour ce faire, il faut déclencher une réaction chimique avant analyse dans l'une des 9 coupelles contenant un réactif liquide. Le capuchon en aluminium de la coupelle est d'abord perforé avec deux aiguilles pour libérer le liquide. On laisse ensuite tomber l'échantillon solide (jusqu'à ~ 150 mg) dans la coupelle contenant le réactif liquide. La réaction de "dérivatisation" se produit lorsque l'échantillon est chauffé en réaction au contact avec le réactif chimique (MTBSTFA ou TMAH).Les molécules présentes dans l'échantillon deviennent plus volatiles, plus résistantes à la chaleur et plus séparables, ce qui les rend beaucoup plus faciles à analyser avec le GC-MS. - Le réactif TMAH peut libérer des acides gras liés dans des macromolécules ou des monomères chimiquement liés associés à des phases minérales et rendre ces substances organiques détectables. Les acides gras, un type d'acide carboxylique qui contient un groupe fonctionnel carboxyle présentent un intérêt particulier compte tenu de leur présence dans les matériaux biotiques et abiotiques. - Le réactif MTBSTFA permet surtout d’éviter de dégrader les molécules organiques sensibles à la chaleur et à l’oxydation des perchlorates (*), en particulier pour l’analyse de molécules organiques volumineuses, ou/et réactives. Le réactif TMAH a été utilisé pour la première fois sur le site "Mary Anning". Le processus de livraison au labo SAM d’échantillons (6 portions) du 28ème forage "Mary Anning 3" (riche en argile) a été annoncé pour le 10 septembre 2020 (sol 2878) au soir, et l’analyse devait suivre.. Une opération qui, pour la première fois incluait donc un ajout du réactif chimique TMAH pour rendre certains composés organiques réfractaires volatiles et donc détectables par les chromatographes. Sachant que la majorité des molécules organiques d'intérêt exobiologique sont réfractaires (acides aminés, acides carboxyliques etc.). Noter que la quantité d’échantillon utilisée pour chaque portion analysée dans une coupelle ne dépasse pas 150 mg (soit env. le volume d’un dé à coudre). La réaction de dérivatisation se produit lorsque l'échantillon est chauffé en réaction au contact avec le réactif chimique TMAH. Les molécules présentes dans l'échantillon deviennent plus volatiles, plus résistantes à la chaleur et plus séparables, ce qui les rend beaucoup plus faciles à analyser avec le GCMS. Une deuxième phase de chauffage ne devrait pas dépasser 600°C en raison de la stabilité thermique du TMAH et permettra d’envoyer les gaz dans l’une des six colonnes GC pour la séparation énantiomérique et l’identification de masse des molécules organiques par le GC-MS. Si on en croit l’équipe scientifique du rover, il aura donc fallu... huit ans (!) pour rechercher et trouver un échantillon de roche qui soit le meilleur choix pour utiliser une ressource précieuse et non renouvelable de l'instrument SAM : l'hydroxyde de tétraméthylammonium, ou TMAH. SAM ne comporte donc que deux coupelles à échantillons contenant une quantité infime de ce composé spécial qui permet à l'instrument de détecter plus facilement les composés organiques riches en carbone. Plus spécifiquement le TMAH peut libérer des acides gras liés dans des macromolécules ou des monomères chimiquement liés associés à des phases minérales et rendre ces substances organiques détectables par chromatographie en phase gazeuse-spectrométrie de masse (GC-MS). Les acides gras, un type d'acide carboxylique, présentent un intérêt particulier compte tenu de leur présence dans les matériaux biotiques et abiotiques : ils sont des constituants omniprésents et abondants des membranes cellulaires bactériennes et eucaryotes. Les acides gras sont donc essentiels pour les organismes vivants. Ils font partie de la membrane d'une cellule donnée et peuvent également servir de carburant pour la cellule elle-même. En utilisant la spectrométrie de masse (la capacité à séparer les molécules en fonction de leur masse), l'expérience de chimie humide TMAH sera en mesure de détecter des composés organiques qui ne sont normalement pas détectables. L'expérience TMAH sera en mesure d'extraire, de détecter et d'analyser les acides gras en les libérant des membranes cellulaires. Sachant que détecter un acide gras abiotique serait déjà énorme. Cela en dirait beaucoup aux planétaires sur la manière dont les molécules organiques sont originaires et/ou sont livrées et préservées sur la surface martienne. Signe de l’intérêt porté au site "Mary Anning", Curiosity y a stationné près de.. deux mois ! Et les opérations se sont poursuivies avec l’utilisation d’un autre réactif pour une nouvelle expérience de "chimie humide" sur un échantillon de "Mary Anning 3". Je cite Michelle Minitti, géologue planétaire : "En se basant sur les premiers résultats de l'expérience de chimie humide SAM de la semaine dernière, l'équipe SAM a choisi de la compléter avec une deuxième expérience de chimie humide sur l'échantillon de forage "Mary Anning 3" du plan d'aujourd'hui. La première expérience a été réalisée avec le réactif hydroxyde de tétraméthylammonium (TMAH), et la seconde sera réalisée avec le réactif N-méthyl-N-(tert-butyldiméthylsilyl)trifluoroacétamide (MTBSTFA). On les appelle des expériences de chimie humide parce que SAM ajoute un réactif liquide à l'échantillon avant de l'analyser. Chaque réactif réagit différemment avec l'échantillon, de sorte que chaque expérience apporte un éclairage légèrement différent sur les composés carbonés présents dans l'échantillon. Ensemble, nous obtenons une image plus complète de la chimie de l'échantillon de Mary Anning." Ils ont d'ailleurs très vite indiqué avoir trouvé des similitudes entre "Glen Etive" et "Mary Anning".. Lesquelles ??.. Ben.. patience.. ou pas . Sur le plan extrêmement sensible de la biologie, les consignes de discrétion sont très strictes. Par exemple sur le site de Mojave exploré en début 2015, il aura fallu attendre mi-2018 pour prendre connaissance de la découverte de molécules organiques complexes dans les échantillons de forage de « Cumberland » ! Il est vrai que l’analyse avait été compliquée, en partie parce qu’une coupelle de solvant (utilisé pour l'analyse à froid - dite de "chimie humide") - avait fui, ce qui a contribué à des signaux trompeurs. De plus, certaines des lectures pouvaient provenir d'une contamination provenant de la Terre; d'autres auraient pu être produites par combustion lorsque l'échantillon était chauffé, ce qui aurait pu être le cas lors d'une détection antérieure de matières organiques par Curiosity... Bref, il aura fallu décortiquer tout ça depuis des millions de km, et ce n'est pas simple. À ce stade d’une mission déjà bien avancée dans ses objectifs, je me permet de poster à nouveau ces quelques considérations : Dans ce fil j'ai parfois cité Michel Morange, professeur de Biologie à l’Ecole Normale Supérieure et Directeur du Centre Cavaillès d’histoire et de philosophie des sciences à l’ENS. Dans le "Ciel&Espace" de Mars/Avril 2017 consacré (un peu) à la vie dans l'Univers, M. Morange était questionné sur cette problématique avec deux autres scientifiques (Louis d'Hendecourt et Purification Lopez-Garcia). Il est intéressant de noter que ces échanges avaient révélé assez peu de convergences sur les questions liées à "l'émergence" de la vie, sans doute en bonne part en raison d'approches différentes. J'ai relevé cette remarque de Michel Morange qui corrobore ce que j'ai souvent tenté d'exprimer par ici : Je le cite : "L'exploration de Mars en revanche est très intéressante : On n'y découvrira sans doute pas la vie, mais peut-être un système pré-vivant dont les traces sur Terre ont été complètement effacées [par la tectonique]. Une telle découverte nous permettrait de faire d'énormes progrès sur la compréhension des processus menant à la vie." FIN DE CITATION On peut même se demander si cette découverte ne serait pas plus fondamentale que la détection d'une vie passée (ou présente). Sur Mars, le cheminement de la chimie prébiotique vers la vie a pu, ou non en franchir le seuil. Elle a pu aussi le franchir puis s’arrêter compte tenu de conditions devenues trop hostiles. Ou encore la vie (monocellulaire) a pu commencer en surface puis se réfugier dans le sous-sol. Là encore, elle a pu s’adapter puis s’éteindre après avoir péniblement continué quelque temps sous forme ralentie puis dormante. Cette évolution avortée ou stoppée se traduirait par ce que l’absence de rejets métaboliques clairement identifiables laisse entrevoir. Le temps a pu jouer un rôle important. On ne sait pas s’il a été suffisamment long sur Mars, toutes les autres conditions étant remplies, pour que le processus prébiotique commence et aboutisse. Les conditions ayant permis l’émergence de la vie sur Terre (environnement réducteur, températures,…) n’existent plus à notre époque (peut-être à cause de la vie elle-même et de ses rejets, notamment d’oxygène) et sur Mars la période pendant laquelle l’évolution prébiotique et l’évolution planétologique ont permis "l’allumage" de la vie a pu être très/trop court. Sachant que les modalités d’évolution et de grande variabilité des conditions environnementales martiennes ont pu également beaucoup jouer.
  30. 4 points
    On entre de plus en plus dans le monde prédit par Enki Bilal dans les années 1990/2000, c'est fascinant. Je dirais 9.5 sur l'échelle de la fascination.
  31. 4 points
    https://www.dropbox.com/s/ggea4ah0w7cbs9f/Sun_154534_lapl5_ap4134_conv_aligned_pipp.gif?dl=0
  32. 3 points
    Bonjour, LBN576 en HOO-RVB. C'est une nébuleuse diffuses, même très diffuse dans la constellation de Cassiopée. Elle me fait penser aux ballon des frères Montgolfier. Elle n'a pas été facile à faire ressortir, avec beaucoup d'étoiles et très peu de signal. Elle nécessiterai plus d'acquisition... J'espère qu'elle vous plaira. Ha (Astrodon 5nm) : 18x1200" binx1 OIII (Astrodon 5nm) : 9x1200" binx1 RVB (Baader) : 3x10x180" Takahashi FSQ85/ccd QSI583wsg/EM200/guidage Lodestar. Acquisitions : Nièvre Bon ciel à toutes & tous
  33. 3 points
    salut a vous toutes et tous voici quelques image de AR2882 beaucoup de nuages bas ce matin avec le vent du nord jean marc
  34. 3 points
    Bonjour à tous, un peu de calme dans l'atmosphère ce matin ça fait plaisir Lunette 204 mm F/8.8 + Hélioscope densité 2 + continuum + barlow 3x / ASI 290 MM Lunette 228 mm H-alpha F/11.25 modifiée PST + BF-15 + barlow 1.8x / Basler 1920-155 Phil Une version permettant d'aller chercher qq détails vers le centre...pas facile A la L228mm Ha en off-band Versions brute et colorisée en H-alpha mais avec un plus mauvais seeing...
  35. 3 points
    Bonsoir à tous, Pas de randonnées à ce jour avec la chasse bien présente, je reste prudent et profite pour observer le Soleil. J'ai observé de 12h45 à 13h30 TU. J'ai testé avec mon Nexstar 8 (200/2000) d'imager cette tache (filtre vert) avec la Barlow X2 . Malheureusement, au final, de la bonne soupe.. Le H alpha avec sa longueur d'onde s'en sort un peu mieux, enfin façon de parler entre nuages, vent et turbulence. Il ne faut pas espérer des miracles dans ce cas Matériel : Zeiss AS 100/1000 , SM 90 BF 15, Réglage du TuneMax, Barlow X3 Télevue, Filtre Ir Cut Baader, Basler 1920-155 Monochrome. Films de 30 secondes , retenu 900 images sur 4600 environ. Impossible de faire un flat avec ces passages nuageux. Recadrage sur la tache AR 2882 , au moins, je l'ai enfin vu Quand la brume se lèvera vers 11h00 TU par chez moi, j'essayerai la Lumière blanche à nouveau. Bonne soirée.
  36. 3 points
    Bonjour, Le 25 Septembre, ne réussissant pas à dompter Jupiter, je me suis rabattu sur la Lune. Set-up : C14 + FFC Baader x3 (focale résultante : 11 500 mm) + ASI 174 MM + Baader Orange 400 images retenues sur 3000 / 5000 Traitement : AS3 / Astrosurface / Photoshop C'est peut-être sur-echantillonné vu les conditions ... bonnes mais pas exceptionnelles Tout d'abord Posidonius : Romer : Theophile et Cyrille : Fracastorius : Et enfin Cauchy : Une petite vidéo pour apprécier les conditions de seeing : 2021-09-25-0138_6-R-Moon_pipp.avi Meilleur ciel à tous ! Phil.J PS : Merci à @wilexpel pour ses images de référence
  37. 3 points
    La chimie organique est assez clairement délimitée (c'est la chimie des composés du carbone, pas forcément liés au vivant, bien loin de là), celui de la chimie minérale à des contours plus flous puisqu'il concerne tout le reste: les espèces moléculaires non carbonées comme l'eau, le dioxygène... J'ai la faiblesse de croire que ceux qui me lisent ici depuis assez longtemps ont bien compris cet aspect du problème vu le nombre d'interventions où ce point a été systématiquement précisé. Par exemple page 150 de ce fil (message de rappel du 3 septembre 2020) - je me cite : Une fois éliminées les molécules organiques les plus simples, c’est-à-dire celle à bases azotées et une kirielle d’acides aminés dont la synthèse peut être abiotique, il reste les molécules organiques complexes dont la présence pourrait laisser entendre plus fortement la possibilité d'une vie passée. Ces molécules, composées de 10 atomes de carbone, pourraient ressembler à des blocs de construction connus de la vie tels que les 22 acides aminés qui composent les protéines que le vivant utilise, et les molécules dont la synthèse nécessite un équipement enzymatique. Par exemple, la présence d'acides carboxyliques, acides aminés ou acides nucléiques seraient des indices d'une forme de vie, et le chromatographe en phase gazeuse de SAM permet l’identification des isotopes de carbone ainsi que la chiralité de ces derniers s'ils ne sont pas trop dégradés (entre autres par le perchlorate). En effet le monde vivant est chiral, les bio-monomères ne présentent qu'une seule des deux conformations chirales. Les acides aminés, les sucres et les lipides sont principalement homochiraux dans tous les systèmes vivants et leur structure polymérique forme des arrangements secondaires asymétriques (*). D'où l'intérêt de l'analyse par voie humide à basse température. Ceci pourrait apporter un indice fort en faveur de leur origine biotique. (*) J’ai longuement développé le sujet de l’homochiralité à plusieurs reprises dans ce fil, en dernier lieu page 151 (message du 11 septembre 2020) . Voir ici : http://www.astrosurf.com/topic/113977-actualités-de-curiosity-2013/?page=151
  38. 3 points
    Pendant ce temps, à Boca Chica... Le mécanisme de capture du booster en mouvement (lent) pour la 1ère fois :
  39. 3 points
    Hier soir, suite de mes observations avec la longue-vue Zeiss : galaxie d'Andromède M31 + M32, amas ouvert M34 dans Persée, A.O. NGC752, et quelques jolies étoiles doubles "faciles", même avec seulement 70x de grossissement : gamma du Dauphin + le couple plus serré et moins lumineux qui est dans le champ juste à côté, aussi gamma du Bélier, gamma d'Andromède = Almach, le double amas de Persée encore et encore. Amas globulaires M2 du Verseau et M15 dans Pégase, faciles ! Pour la très serrée double dzeta Aquarius, qui est pile sur l'équateur céleste, et qui présente deux composantes de même éclat, jaunes, avec un écartement de l'ordre de 1'', objectivement, je ne pouvait pas les séparer, ce qui est normal (PS théorique = 120/95 = 1''3). Par contre, à la lunette de 130 mm avec 150x ou 200x je les sépare, un bijou ! Une de mes préférées est 95 Herculis dont les composantes sont or et argent, je dis bien or et argent, mais là, elles étaient déjà trop basses, noyées dans le halo de pollution lumineuse urbaine de Mulhouse.
  40. 3 points
    Bravo Daniel 👋👋👋et grand coup de chapeau à toute l'équipe pour cette belle réussite ! 👍 Je me permets de souligner ici l'excellence de la synergie entre nos trois clubs POLARIS, LONGEVUE et SIRIUS, comme c'est encore le cas ce week-end au JOUR DE LA NUIT de Puttelange-aux-Lacs. Il faut savoir aussi que nous sommes particulièrement fiers de Daniel à un autre titre : il est le seul astrophotographe français à avoir été récompensé au concours d'astrophotographie 2021 de l'International Astronomy Union et de l'Office of Astronomy for Education ( 700 images de 57 pays) avec une brillante troisième place dans la catégorie Eclipses de lune comme vous pouvez le voir dans le lien ci-joint du site de Longevue 👋👋👋 > http://www.longevue.org/ Patrice S.
  41. 3 points
    merci claude ! oui, ça s'appelle être en avance sur son temps ! paul
  42. 3 points
    Pourquoi se priverait-il vu que tout le monde s'en fout et que personne ne fait rien L'avenir appartient aux milliardaires ! Les autres ont juste à fermer leur gu. . . ! AG
  43. 3 points
    Bonjour, N604 est une bonne cible et sa taille apparente mérite que l'on y passe un peu de temps pour dévoiler sa structure, C'est vrai que c'est une petite nébuleuse en taille apparente, mais gigantesque en réalité, des centaines de fois plus importante que notre M42 dans Orion. Il existe de bons articles scientifiques consacrés à cet objet. Elle est peuplée de nombreux amas ouverts. Je l'avais imagée il y a quelques années avec le C11 et j'avais rajouté M42 pour comparer les tailles, elle est toute rikiki cette M42... : M33 est une galaxie proche intéressante à détailler, on y trouve de nombreux AG qui présentent une certaine taille apparente, leur FWHM permet de les différencier des autres étoiles, un peu comme le G1 de M31. Amicalement Christian
  44. 3 points
    Bonjour à Tous, Animation de 15:45 à 17:15 DERF, Achro 120/1000, powermate 4x, étalon pst, asi174. Robin
  45. 3 points
    IDF, et plus précisément rive gauche... Du verdon.
  46. 2 points
    Y a du détail sur tes Jupiter ! Peut-être un peu trop rosée sur mon écran, mais il n'est pas forcément bon. Bravo Greg
  47. 2 points
    Ta figure d'Airy n'est pas si mauvaise que ça , les défauts sur le 1er anneau proviennent sans aucun doute de veines d'air , figure classique sur un S-C . Quand tu collimates , serre bien les 3 vis , contrairement aux idées reçues , ( conseils de Frédéric Jabet et Thierry Legault entre autre ) cela n'engendre aucun tréfoil . Ça te permet de tenir ta collimation , et de par exemple collimater en ce moment sur Altair haute dans le ciel , et dans la direction de Jupiter .(pas de renversement du Tube par rapport à Vega ) Pour réaliser une Psf faire des ser de 90/120s , et ne prendre que 5 à 10% dans AS3! ne pas saturer à la prise de vue et surtout ne pas faire de traitement derrière si ce n'est un crop de 80/100 pixels . Pour tes images , je ne sais pas si tu as testé Wavelets-Déconvolution d'une part et Déconvolution-wiener d'autre part ? as tu une différence très notable ? On voit sur les images que la Turbu n'était pas très sympa ce soir là , et ce n'est pas du à la Collimation . ** une Psf pour Déconvolution-wiener doit ressembler à ça Bernard_Bayle
  48. 2 points
    Merci les amis En fait, mon matos est parti en vacance et m'a laissé en plan chez moi tout seul comme une vieille chaussette
  49. 2 points
  50. 2 points