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Affichage du contenu le plus aimé le 17/12/2022 dans toutes les zones

  1. 22 points
    Salut à tous, Le week-end dernier enfin ma première séance d'observation at home de Mars... juste à l'opposition, ça ne sera clairement pas ma saison la plus fournie en images néanmoins, les conditions que j'espérais correctes ont fini par devenir excellentes. J'ai même pu prendre des étoiles pour la photométrie, autant dire que j'en ai profité En plus j'avais réussi la collimation du siècle juste avant... Voici la dernière série, du 10, la meilleure, avec des sloan et toute la série B/violet/UV. Le compositage couleur est obtenu avec une couche synthétique entre g' et r', ça marche pas mal... Les images du 9, en filtres Johnson-Cousins plus quelques extra. Les compo couleurs en filtres+cam n&b sont nettement devant la 462MC pour une fois, pas tellement en réso, mais en rendu et nuances de couleurs... Les deux séries complètes. Le seeing a commencé à s'améliorer franchement sur la deuxième, avec des images stables même dans l'ultraviolet. Ces images sont l'occasion de revenir sur un des vieux mythes martiens. On a tous en tête l'histoire des canaux, mais un autre mythe de la même époque perdure de nos jours, qui est celui du phénomène de blue clearing, ou "éclaircie dans le bleu". Les astronomes ont rapidement remarqué que les taches sombres de Mars n'étaient en général pas visibles dans le bleu, sauf à certaines occasions, ou tout à coup, ils devenaient détectables. C'est ce qu'on voit sur ces images, puisque par exemple Mae Sirenum et Solis Lacus sont observables même dans l'UV, y compris la tache d'albedo très sombre qui marque l'emplacement du cratère Newton, juste au sud de Mare Sirenum. L'hypothèse qui avait été émise, c'est qu'il y avait dans l'atmosphère de Mars une mystérieuse "couche absorbante" qui empêchait de voir la surface de Mars dans le bleu ; mais qu'à certains moments, ce voile se dissipait pour la laisser voir. Les astronomes de l'époque avait pourtant noté que le phénomène était largement corrélé aux périodes d'opposition... et pour cause, car la raison du phénomène est en fait lié à l'augmentation soudaine de la luminosité du disque à l'opposition, par effet miroir, ce qu'on appelle l'effet d'opposition, ou en anglais opposition surge. Sauf que l'effet n'a pas la même intensité pour tous les détails : il est plus important sur les "déserts" clairs, ce qui autorise le rétablissement d'un niveau de contraste suffisant pour que les taches sombres redeviennent visibles. C'est le même mécanisme qui provoque l'augmentation de la luminosité des anneaux de Saturne à l'opposition par exemple, où il est là parfaitement reconnu pour ce qu'il est. En comparaison, voici une de mes planches de 2020 des mêmes longitudes, prises avec une phase importante. Les taches sombres sont invisibles dans le bleu. Mare Sirenum est cependant plus facilement détectable dans l'UV... où elle devient légèrement brillante, et non pas sombre . Un effet assez curieux d'inversion des albedo dans l'UV que j'ai souvent observé. Bref moralité : n'oubliez pas d'observer Mars dans le bleu et l'UV. C'est plus dur, plus subtil, mais il y a des choses plus intéressantes à voir et à découvrir que dans le rouge (cf aussi les nuages hors terminateur...)
  2. 22 points
    Bien le bonjour, Hier soir, très tard dans la soirée, j'ai décidé d'imager la planète Mars. Cela m'a vraiment changé de Jupiter. Qu'à cela ne tienne ! Visiblement, les conditions n'étaient pas mal du tout puisque les images semblaient être figées à l'écran. Le matériel utilisé est le suivant : Dobson Orion XT10g + Caméras Player One Neptune-CII IMX464 (pour la version couleurs) et Zwo Asi 290MM (pour la version en luminance) + Filtres Baader UV/Ir-CUt/L et Luminance 2 Astronomik + Lentille de Barlow Televue 3x. Films SER de 3 minutes + Traitement AstroSurface et atténuation du rebond sous PhotoShop. Mars du 16 décembre 2022 en RVB : Mars du 16 décembre 2022 en Luminance :
  3. 19 points
    Bonsoir, Un petit trio planétaire du 16 / 12 sans prétention . Il y avait Uranus aussi dans le coin, mais l'ai pas trouvée ( bon, j'ai pas cherché non plus très longtemps vu que j'étais frigorifié ! ). Donc pas de quartet. C8 Celestar Deluxe / RisingCam 224 / Barlow Ultima / IrCut / pas d' ADC. Bonne soirée.
  4. 19 points
    Mon Intes Micro 815 fabrication maison est enfin opérationnel, les collimations sont faites (galère pour celle du ménisque). Le télescope est installé au pied de mon immeuble, plus facile que le gros 330mm. Trois captures de 3min avant l'arrivée du givre sur la lame de fermeture. Une seule bonne: la dernière. Ouf ! Donc Mars ce soir à 21h40 lc: Intes Micro Maksutov 200/3000 (obstruction 25%), barlow 2X, ASI224mc Jean-Yves
  5. 18 points
    Bonjour, Voici le bilan de ma soirée d'hier par -3°, j'ai imagé jusqu'à l'arrivée des nuages vers 23h00 local. lorsque j'ai refermé l'observatoire tout le matériel avait une superbe couche de givre comme j'ai rarement vu.... Et pour cause, j'ai passé la soirée à l'étage de la maison, à imager et traiter en remote... la liaison Ethernet entre l'observatoire et le bureau c'est top Une petite RGB regardable et quelques IR, mars me faisait la danse de saint Guy à l'écran, j'ai stabilisé au mieux en auto-alignement et autoguidage sous FireCapture, et ajusté la MAP très régulièrement... 2 images unitaires et 2 dérotations WJP : Et si c'est clair je remonte à l'étage ce soir Xavier
  6. 17 points
    Bonjour à tous, Le seeing était encore OK hier soir ... mais quel froid ! Et le brouillard est vite tombé, sonnant prématurément la fin de la récréation ... Voici l'image, qui est donc prise avec une transparence médiocre. J'ai du monter le gain et allonger le temps d'acquisition ... - Celestron 11 - Barlow 2X + ADC Zwo - ASI224MC (1 seul film de 4 min) - AS!3 + Astrosurface Fabrice
  7. 13 points
    Bonjour, traitement rapide et contrarié aujourd'hui pour ces images d'hier soir, mais je l'ai fait quand même Comme la fois précédente, un peu de Jupiter, une pause, et un peu de Mars. Il faisait -9 et je n'ai pas de remote, donc pas cho ! Je vous livre une Jupiter qui bouge pas et une qui bouge Et quelques Mars qui me posent un problème avec ce gros rebond Je retourne me cailler dans pas longtemps Bonne soirée Glob
  8. 10 points
    Bonjour à tous, Quelques images planétaires avec un Meade 200mm / Monture AVX et camera DMK 21AU618 ou Altair 290C. Il faisait très froid , mais bien couvert c'était top. Je suis super content de pouvoir encore obtenir ces images avec un tube de 2004 et une camera N&B elle aussi un peu "vintage", comme quoi.... J'ai toujours du mal avec la camera couleur. Je parle de configuration vintage car comme beaucoup, j'ai acheté une camera dernier cri couleur (ZWO 224) mais je n'ai rien pu obtenir... Sur la camera DMK, j'utilise un filtre Filtre IR PRO 642 BP qui semble apporter un truc en plus . Sur Jupiter c'est la première fois que je distingue une nuance de gris sur Ganymède, les 350 fois d'avant, juste une bille blanche. Je me dis aussi qu'avec un matériel datant un peu, on progresse toujours dans la capture de nos astres. Pour le traitement, toujours vintage, Registax... et pour la couleur, avec Autostakker. Jupiter et Mars du 1er décembre https://decouvrirlalune.fr/2022/12/01/jupiter-du-soir/ et https://decouvrirlalune.fr/2022/12/01/mars-3/ Alexandre
  9. 9 points
    Bonjour, J'ai enfin pu profiter d'un peu de temps libre et d'un ciel clément par une température de -5°C pour imager la fameuse galaxie d'Andromède qui actuellement, en début de soirée, culmine pratiquement au zénith. Image réalisée à la lunette TS 70 mm ED, correcteur-rducteur Photolin 0,79x, un filtre Optolong L-Pro et un APN Fjui X-T1 à 800 ISO, sur monture HEQ5+. 99 poses de 125 secondes traitées avec SIRIL, Starnet++ et Photoshop. Stéphane
  10. 8 points
    Salut les ami(e)s, belle petite trouée dans un froid encore plus intense que la dernière fois. Un peu déçu des conditions très moyennes, normalement j'ai des conditions plutôt correctes en cette période de l'année. J'ai quand même mis la barlow 3x, je trouve qu'elle s'en sort globalement mieux que la 2x depuis le début de cette saison. Le traitement est fort et il y a du bruit, mais bon pour une animation, c'est pas très grave. ça y'est, la planète diminue de taille, l'AP englobant la planète est passé de 272 à 264 ! Cassegrain de 250mm + barlow Explore Scientific 3x + ASI120MC. 14 sers enchainés de 3 minutes entre 23H24 et 0H16 local ( 17000 à 19000 images ), 1000 images retenues dans AS3. Traitement avec Astrosurface. - Version à la taille d'acquisition : - Version à la taille de 70% qui arrange un peu le bruit et adoucit un peu les détails :
  11. 8 points
    Bonjour à tous, Hier soir, il faisait très froid, très très froid. Les conditions étaient top, en plus d'avoir réalisé mes meilleurs images de Jupiter, je vous présente les images de Mars. J'ai débuté la session avec une barlow 2X et ma camera 21AU618 noir et blanc, la vidéo était surprenante de détails... donc j'ai mis la barlow 3x Antares et là encore, l'image était plutôt correcte. Du coup, après avoir réalisé quelques captures en N&B, j'ai mis la camera couleur Altair 290C. Je suis très satisfait du résultat... top même pour ma config (Meade LX 200mm). Je retiens les conseils de @ALAING pour capturer bcp d'images couleurs.. J'ai pas pu continuer la séance, bcp trop froid... mais la prochaine fois, je vais tenter de faire une vidéo avec la rotation. Alexandre
  12. 7 points
    Bonjour, Voici une image SHO de NGC 2070 prise dans le cadre de l'association Sadr au Chili. Lunette 71mm, 345mm de focale, échantillonage de 2.2"/PIX, filtres Baader SHO 7nm SII: 64*5' Ha: 51*5' Oiii: 54*5' Traitement Pixinsight et PS. Cordialement
  13. 7 points
    Salut à tous Petit retour aux affaires après une longue période d'inactivité... La monture avait été déposé en maintenance lourde après 15 ans de bons services au Printemps dernier, chez un prestataire en Allemagne (changement des roulements, nouvelle peinture, amélioration du réglage en azimuth) J'ai pu récupéré la monture seulement fin Octobre, et la remise en route ne fut pas des plus tranquille... (météo, problème de soft, règlage du tilt) Cette image est une de premières avec encore un tilt perfectible, qui s'est amélioré depuis, mais je me suis aperçu que le train optique est sujet à de légers mouvement en fonction de la position du tube pendant les nuits d'acquisitions, donc encore quelques séances de réglages en perspective... Ce champ de Cassiopée et composé de trois amas ouverts, on commende doucement à savoir Ngc 7790( au centre) Ngc 7788 et le parsemé Berkeley 58 (en bas à gauche) Les données techniques CTA 320 f/d 4 (correcteur Wynne Keller) Caméra ZWO ASI2600MC 43 poses de 300 secondes à -10°c (1x1) @+ Christian
  14. 6 points
    Salut, hier soir le ciel était enfin dégagé ce qui m'a permis de finir cette image dont j'avais posté la luminance au début du mois. Ce champ contient la galaxie elliptique NGC1023 en compagnie d'une galaxie satellite NGC1023a, qui figure dans le catalogue de Arp avec le numéro 135, et dans l'angle opposé la galaxie spirale de face IC 239 à faible brillance de surface. Elles font toutes deux partie du groupe dit de NGC1023 relativement proche de nous (20 millions d'a.l.). Bon WE, Dan Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 ASI183mm + filtres LRVB ZWO Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 169*60sec Chrominance 60*60 sec par couche Turbulence variable, forte humidité et brouillard pour la luminance, pollution lumineuse (Tour Eiffel à 20km)
  15. 6 points
    Salut ! Pour clore cette année sur Ca Se Passe Là-Haut, je fais une grande rétrospective des 22 plus belles découvertes de l'année en astrophysique. C'est dimanche 18 décembre à 20h (UT+1) et c'est à retrouver sur le podcast Ca Se Passe Là-Haut (toutes plateformes) et sur la chaine youtube éponyme :
  16. 5 points
    Bonsoir, Je vous fais partager un autre résultat de la nuit (froide) du 15 décembre : NGC598. Toujours la même configuration : ASI533 mc au foyer du T500/3. 1h de pose (20x3min), prétraitement avec Prism et Siril pour le traitement : -étalonnage des couleurs par photométrie -transformation de l'histogramme -saturation des couleurs -pas d'extraction du gradient. Le FC me parraît bien noir, mais je laisse comme cela... Marc.
  17. 5 points
    Salut Encore moi et mes Mars. Les conditions étaient beaucoup en deçà des prévisions. Ils sont souvent dans les choux nos météorologues! Je dirais encore moins bon dans l'ensemble que le 10 décembre dernier. Sauf que je me suis acharné toute la soirée! Et ça payé avec trois films potables qui mon permit de sortir cette Mars avec des détails au delà de mes espérance pour mon plus grand plaisir Le scope en fin de soirée avec un mercure de -13°C avec une lame sans givre jusqu'au bout! Et Mars Bon visionnement Martin
  18. 5 points
    Bonjour, Le rover Perseverance va commencer à installer un dépôt d'échantillons. https://mars.nasa.gov/news/9319/nasas-perseverance-rover-to-begin-building-martian-sample-depot/ Les 10 tubes d'échantillons déposés à la surface de Mars afin qu'ils puissent être étudiés sur Terre à l'avenir contiennent une incroyable diversité de prélèvements géologiques de la planète rouge. Dans les prochains jours, le rover Perseverance devrait commencer à réaliser le premier dépôt d'échantillons. Cela marquera une étape cruciale dans la campagne de retour d'échantillons, qui vise à ramener des échantillons de Mars sur Terre pour une étude approfondie. Mastcam-Z Views Perseverance's Depot : l'endroit où le rover commencera à déposer sa première cache d'échantillons est montrée sur cette image prise par le rover Mars le 14 décembre 2022, au 646e jour martien de la mission. Crédits : NASA/JPL-Caltech/ASU/MSSS. Le processus d'installation du dépôt commence lorsque le rover laisse tomber l'un de ses tubes de prélèvements, en titane, contenant un noyau de roche de la taille d'une craie sur le sol dans une zone du cratère Jezero surnommée "Three Forks". Au cours d'une trentaine de jours, Perseverance déposera un total de 10 tubes contenant des échantillons représentant la diversité des enregistrements de roche dans Jezero Crater. Les cercles verts indiquent les emplacements de plusieurs emplacements de dépôt de tube d'échantillons à Three Forks. Persévérance sur Jezero Crater a étudié des formations telles que Betty's Rock Persévérance a utilisé sa caméra à bras robotique pour prendre une photo détaillée de Betty's Rock Cette carte montre l'itinéraire prévu que le rover empruntera au sommet du delta de Jezero Crater en 2023. L'itinéraire prévu du rover est en noir tandis que le parcours qu'il a déjà couvert est en blanc. Crédits : NASA/JPL-Caltech. Le rover a prélevé une paire d'échantillons sur chacune de ses cibles rocheuses. La moitié de chaque paire sera déposée à Three Forks comme ensemble de sauvegarde, et l'autre moitié restera à l'intérieur de Persévérance, qui sera le principal moyen de transporter les prélèvements collectés vers le lanceur martien, dans le cadre de la future campagne de retour. "Les tubes de ce dépôt, et les doublons conservés à bord de Perseverance, sont un ensemble représentatif de la zone explorée au cours de la mission principale", nous dit Meenakshi Wadhwa, scientifique principal du programme Mars Sample Return de l'Arizona State University. "Nous avons non seulement des roches ignées et sédimentaires qui représentent au moins deux, peut-être quatre, voir plus, altération aqueuse distinctes, mais aussi du régolithe, de l'atmosphère, ainsi qu'un un tube témoin ." Voici une représentation des 21 tubes (contenant de la roche, du régolithe, de l'atmosphère et des matériaux témoins) qui ont été scellés à ce jour par le rover Perseverance. Les échantillons que Persévérance dépose dans un dépôt sont surlignés en vert. L'une des premières exigences pour obtenir un dépôt d'échantillons sur Mars est de trouver une étendue de terrain plane et sans roches dans le cratère Jezero. où il y a de la place pour que chaque tube soit déposé. « Jusqu'à présent, les missions sur Mars ne nécessitaient qu'une seule bonne zone d'atterrissage ; nous en avons besoin de 11 », déclare Richard Cook, responsable du programme Mars Sample Return au Jet Propulsion Laboratory. "Le premier est pour l'atterrisseur de récupération d'échantillons, mais il nous en faut 10 autres à proximité pour que nos hélicoptères de récupération d'échantillons puissent effectuer des décollages et des atterrissages et rouler aussi." Après avoir trouvé un site approprié, la tâche suivante de la campagne consistait à déterminer exactement où et comment déposer les tubes à cet endroit. "Vous ne pouvez pas simplement les déposer en tas car les hélicoptères de récupération sont conçus pour prendre un seul tube à la fois", explique Cook. Les hélicoptères sont destinés à servir de moyen secours. Pour s'assurer qu'un hélicoptère puisse récupérer les tubes sans problème, ni rencontrer de dangers causées par des roches ou des ondulations dunaires, chaque emplacement des tubes aura une «zone d'opération» d'au moins 5,5 mètres de diamètre. À cette fin, les tubes seront déposés à la surface selon une disposition particulière, chaque échantillon étant distant de 5 à 15 mètres l'un de l'autre. Le succès du dépôt dépendra du placement précis des tubes, un processus qui prendra plus d'un mois. Avant et après que Persévérance laisse tomber chaque tube, les contrôleurs de mission examineront une multitude d'images du rover. Cette évaluation fournira également à l'équipe Mars Sample Return les données précises nécessaires pour localiser les tubes au cas où les échantillons seraient recouverts de poussière ou de sable avant leur collecte. https://mars.nasa.gov/resources/27193/perseverances-mastcam-z-views-rockytop/ Mastcam-Z de Perseverance Vues 'Rockytop' : Le rover Perseverance Mars de la NASA a utilisé sa caméra Mastcam-Z pour capturer ce sommet rocheux surnommé "Rockytop" le 24 juillet 2022, le 507e sol de la mission. La mission principale de Perseverance se terminera le 6 janvier 2023, une année sur Mars (environ 687 jours terrestres) après son atterrissage le 18 février 2021. "Nous travaillerons toujours sur le déploiement du dépôt d'échantillons lorsque notre mission prolongée commencera le 7 janvier, donc rien ne change de ce point de vue", déclare Art Thompson, chef de projet de Persévérance au JPL. « Cependant, une fois le dépôt établi à Three Forks, nous nous dirigerons vers le sommet du delta. L'équipe scientifique veut jeter un coup d'œil là-haut. Appelée Delta Top Campaign, cette nouvelle phase scientifique commencera lorsque Perseverance terminera son ascension du talus escarpé du delta et arrivera sur l'étendue qui forme la surface supérieure du delta de Jezero, probablement en février. Au cours de cette campagne d'environ huit mois, l'équipe scientifique cherchera des rochers et autres matériaux qui ont été transportés d'environnements plus lointains et déposés par l'ancienne rivière qui a formé ce delta. "La campagne Delta Top est une occasion idéale d'avoir un aperçu du processus géologique au-delà des parois du cratère Jezero", explique Katie Stack Morgan du JPL, scientifique adjointe du projet Persévérance. "Il y a des milliards d'années, une rivière tumultueuse a transporté des débris et des rochers sur des kilomètres au-delà des murs de Jezero. Nous allons explorer ces anciens gisements fluviaux et obtenir des échantillons de leurs roches anciennes. Cette carte montre où le rover Perseverance Mars déposera 10 échantillons qu'une future mission pourrait récupérer. Crédits : NASA/JPL-Caltech. De PaulH51 (UMSF) : Au Sol 648 jusqu'au Site 32 (Drive 0), Perseverance est de retour dans la région de Three Forks. Le rover semble être là, à environ 20 mètres au sud-ouest de l'endroit où ils prévoient de déposer le premier des 10 tubes d'échantillons ainsi qu'un plan global du dépôt. Les missions ultérieures de la NASA, en coopération avec l'ESA, enverraient des engins spatiaux sur Mars pour collecter ces échantillons scellés à la surface et les renvoyer sur Terre pour analyses approfondies. https://mars.nasa.gov/system/video_items/6129_MSR_Animation_Trailer_-_720.mp4 La NASA et l'Agence spatiale européenne élaborent des plans pour l'une des campagnes les plus ambitieuses jamais tentées dans l'espace : ramener les premiers échantillons de matériaux de Mars sur Terre pour une étude détaillée. Crédits : NASA/ESA/JPL-Caltech/GSFC/MSFC.
  19. 4 points
    Bonjours tous , vu la météo je retraite d'anciennes captures de cette année mais avec un traitement diffèrent. Elle est très loin d'être parfaite , souci sur le suivi ..... la prochaine fois il y aura de la correction de dérive 😁 Messier 27 la nébuleuse de l'haltère. 55X120 + 30 Dark à iso800 SW150/750 sur Neq3.2 Goto ,Canon 2000D stock ,correcteur Baader MPCC III sans autoguidage ! Traitement : Siril 1,0,5 , Lightroom Classic et Starnet V2
  20. 4 points
    Bonjour, Jupiter prise en décembre et ce sera ma dernière de cette année, avec toujours la même configuration au 114/900. JM.
  21. 4 points
    Dobson Strock 254/1200 Au nord de mon jardin de la maison à Fors dans les Deux-Sèvres 2 dessins : 10200 à 10201. Je suis prêt à observer à 21h23 alors que la nuit est à mi-chemin entre les crépuscules nautique et astronomique. Je tente un amas globulaire difficile du Serpent. Observation 10200 : IC1276. Soupçonné à 75x, il est confirmé à 109x, très faible et très diffus. A 21h55 l'ISS passe dans le nord-est du ciel avant de s'éteindre parmi les étoiles de Cassiopée. Moins sympa, c'est ensuite un avion au bruit aigu énervant qui défile, puis le chien à l'est me fait sursauter par son aboiement grave. Je pointe un amas ouvert du Serpent. Observation 10201 : Ru135. L'amas ouvert Rupretch 135 se montre sous forme d'un petit groupe stellaire sur fond nuageux à 75x, et je note le fond de ciel plus clair par ici dû à la Voie Lactée. Ses étoiles sont faibles à perceptibles à 109x. Ce sera bientôt le lever de Lune à 22h25. Des voiles prémices d'une perturbation conséquente traînent vers l'ouest puis envahissent un quart d'heure plus tard tout le ciel par le nord-ouest pendant que je pointe des galaxies du Dauphin. Je remballe et aperçois la Lune à 23h, à déjà 5° de hauteur et grignotée par les nuages.
  22. 4 points
    Fabrice, ma campagne planétaire a débuté en aout dernier. J'ai remplacé mon CT16 f4 par mon C11 qui dormait dans ça boite depuis un peu après la dernière opposition martienne de 2020. Mon C11 m'en a donné beaucoup cette année grâce au bon ciel que l'on a eu la chance d'avoir. Puis, comme vous le savez j'ai acquis ce C14! Alors, ça continue avec un scope un peu plus gros c'est tout Merci Quand le scope est l'a et attend juste d'être utilisé! Et que c'est un nouveau jouet en plus! J'ai pas de difficulté à me motiver même si les conditions ne sont pas nécessairement favorable. Et ça m'a rapporté. Merci mon ami Oh que oui Guy! celle du 24 novembre va resté gravé longtemps!!! Merci encore vous tous Martin
  23. 3 points
    Bonsoir Un peu de Cp le 26/11/2022 avec du vent modéré par rafale de temps en temps Nina seul au commande Map rotation etc... juste la sélection cible et cadrage au debut Les 4 panneaux sortie de Siril dans ICE de Microsoft puis développement Siril et cs, les étoiles sont pas top malgré une petite sélection en mode manuel sur Siril du certainement a un tri pas assez severe ou le vent c'est 20 poses de 300 secondes par panneaux avec mes lampadaires allumé au debut et retournement au méridien et recadrage auto Je l'ai laissé Rouge elle me plait plus ainsi Filtre L extrem et 2600 clone bleu a -10 degrés 150/600 tsgpu rotateur et focuseur DIY Ca manque de poses sur une partie plus bruité clic ou pas Clic Bonne soirée et bon ciel espérons une nuit pour ce week end
  24. 3 points
    Salut, Ciel tout bleu cet après midi, parfait pour observer le Soleil En H alpha pour commencer, avec de beaux détails sur le disque, et une grosse protubérance qui s'éloigne du Soleil en haut à gauche Lunette 80ED + filtre ND8 + Sol'Ex + réducteur de focale x0.5 + filtre H alpha 12 nm + ZWO 178mm L'image Doppler L'animation H alpha Le disque négatif colorisé Une raie tellurique qui fait apparaître les taches solaires Puis en lumière blanche, Lunette 80ED + filtre Astrosolar D=3.8 + DMK41 + Filtre Baader K Line, mosaïque de 2 images Et un pano avec la barlow x1.5 Daniel
  25. 3 points
    Bonjour à tous, J'ai pris pas mal de retard sur mes traitements...du coup on retourne en été pour cette M16 en SHO acquise entre fin juin et mi-août 2022. Il faut dire qu'elle n'est vraiment pas haute depuis chez moi (entre 23° et 29°) et du coup ça se ressens sur la FWHM... J'ai cumulé environs 10H de pose en Ha, SII et OIII pour cette image. Les détails technique sur astrobin: https://www.astrobin.com/zzhrul/ Voici l'image. Cordialement Sébastien
  26. 3 points
    Pour les curieux, une dérotation des 6 dernières images sur environ 20 minutes, temps de référence : 23H54 local : Taille 70% :
  27. 3 points
    Bonjour, j'ai eu la chance de faire un petit coup de planétaire dans de bonnes conditions. A l'oculaire c'état vraiment stable, la collimation était super facile, et malgré la focale globale completement délirante (7m !), ça a bien marché pour moi. Je n'ai pas beaucoup de video, car le temps de prendre les marques, le brouillard a commencé à se former, avant de boucher le ciel totalement. Et comme j'ai un gros rapport f:d c'est très sensible, des que ce n'est pas transparent, c'est la catastrophe. J'avais presque peur de louper cette oppostion, mais au final, j'ai une petit image souvenir au C8/asi 224/televueX2 et correcteur ADC, sans doute pas très utilie, mais je l'ai laissé en place. Aquisition firecapture, derotation winjupos, traitement austackert, finition astroart. J'ai agrandi un peu a 125% tout au debut, ce qui me permet d'avoir une image un peu plus grosse. Pour un C8 ça m'epate a chaque fois ce qu'on peut voir quand les conditions sont de la partie ! J'ai aussi comparé avec des images plus tard, mais moins bonne et on a bien pas mal de détails qui tournent ! Version "soft" Verssion "rude" On voit olympus mons, et en haut je pense qu'il doit y avoir des nuages. Il y aussi a 11h un espece d''effet qui doit etre reel car visible sur d'autres images prises au meme instant avec des telescopes plus gros. Commentaires, conseils et critiques bienvenues. Bonne astro et vive astrosurf Vincent Steinmetz
  28. 3 points
    Non, pas du tout, pour le coup je suis assez bien renseigné, par des copains qui bossent à DSI : ce sont les Ukrainiens, même si ils ne le revendiqueront jamais. Alors autant je suis à chaque fois sidéré par le vide sidéral de la parole de Notre Astronaute, autant ça, on peut pas lui reprocher : les centaines de milliers d'euros de droits d'auteurs de son livre "Le stade de foot de la Meuthe-Beuvron vu depuis l'Espace" iront très probablement à une association taratative.
  29. 3 points
    Bonjour, Avant la trêve de Noël, j'ai repris mes films réalisés la nuit du 10 décembre (par moins 7 degrés ) Suite à pas mal de vos conseils, j'ai modifié la balance des blancs de l'animation que j'avais publiée précédemment. J'ai traité un des meilleurs film ; celui réalisé à 21h17 et tenté une dérotation avec 7 images entre 21h06 et 21h31. Je ne vois pas de différences majeures entre l'image unique et l'image Winjupos mais c'est peut être dû à un manque de pratique de Winjupos. Rappel des prises de vue : C8 + barlow Omni + ADC + Alair 224C , films de 120s Voilà, ça risque bien d'être une des dernières prises de vue de l'année... Bon ciel à tous N'ayant pas fait d'autres images , je reprends les films du 10/12 Nouvelle tentative de traitement avec Winjupos. Cette fois 9 images prises de 20h57 à 21h40. 500 images de gardées par film (sur 13000). Traitement AS3 et Astrosurface Une petite amélioration ? Cette fois je dois être "au bout"! Bon ciel
  30. 3 points
    Bonjour à tous, Disque solaire du jour en lumière blanche + hélioscope densité 2 + filtre continuum (vert) - Lunette 80mm F/7 + barlow 1.8x / Basler 1920-155. En H-alpha avec cette fois ci un traitement différent de façon à faire ressortir cette éjection de matière située vers le haut... Même lunette avec modif PST + BF-15 + barlow 1.8x / Basler 1920-155 Grosse turbulence et mistral gênant... Phil : photoastro.com AR 3163-66 / Lunette 228mm F/15 modifiée PST + BF-15 + barlow 1.8x / Basler 1920-155
  31. 3 points
    On dirait que j'ai raté ce topic, bravo Martin, j'ai l'impression que ta qualité d'image a augmenté de façon exponentielle... Oui mais attention, il ne faut jamais utiliser les couches séparées d'une image prise avec une caméra couleur, les détails ne correspondent pas à ce qu'on peut voir dans les bandes réelles. Il est impossible d'atteindre ce niveau de "résolution" sur les détails de surface dans le bleu par exemple, pour des raisons photométriques (même Hubble n'y parvient pas). Ce qu'on détecte c'est la fuite rouge du filtre bleu de la matrice de Bayer. J'arrive avec des images sur le sujet...
  32. 3 points
    6893. T'as oublié la page de Sergi Brunieitx, l'ornithologue basque. Il est célèbre pour avoir décrit une espèce de laridé endémique de la côte ouest des États-Unis. Cette espèce, qu'il a baptisée Roulouvna Abrutensis, s'est révélée sensible a de très faibles doses efficaces de rayonnements ionisants. Son cri passe d'un "Musk-musk" retentissant à un faible "twit-twit" dès un milli-Sievert. Cette belle observation, point d'orgue de sa carrière, l'a conduit a devenir un des chefs de fil de l'anti-nucléarisme de l'escalier sud de son immeuble.
  33. 3 points
    Salafiste toi même ! Comme écrit plus haut, force est de constater que pour l'heure il n'existe aucune "solution miracle" : produire de l'énergie, ça reste souvent couteux pour l'environnement et/ou notre santé.. Le manque criant de mesures de prévention sur la centrale de Fukushima est responsable d'une pollution qui n'a rien de "bégnine" en effet. Il s'agit là avant tout d'un manque de prise en compte des risques naturels inhérents à la position de la centrale (zone sismique et risque de tsunamis). On fait face ici au laxisme, voire à l'ignorance d'autorités, et même "d'experts" qui ne maitrisent pas toujours les arcanes et la complexité des entreprises industrielles humaines. Il me semble que la France est est assez loin d'être la plus faillible dans ce domaine. Environ 8500 centrales à charbon sont en activité dans le monde, soit une capacité totale de plus de 2000 gigawatts. Elles produisent plus d’un tiers de l’électricité consommée dans le monde : 44 % des émissions mondiales de CO2, elles libèrent dans l’air et les cours d’eau du dioxyde de soufre, de l’oxyde d’azote, des particules fines et du mercure qui dégradent l’environnement, pollution qui peut voyager sur des centaines de kilomètres, autant d'éléments qui, comme le confirment des données scientifiques connues et confirmées, sont nocifs pour la santé humaine. En 2019, les combustibles fossiles représentaient encore plus de 80 % de l'approvisionnement énergétique total mondial : pétrole 31 %, gaz naturel (27 %) et charbon (23 %). L'avantage de ces modes de production, c'est que leurs victimes ont la grande qualité de mourir plutôt discrètement de maladies respiratoires ou d'autres pathologies diverses, sans grand tapage . La centrale de Gardanne près de Marseille a arrosé toute la région pendant des décennies et en toute tranquillité, provoquant sans doute des milliers de victimes, loin de l'hystérie des antinucléééééèèèèèères et de leurs 6892 sites internet. Sans parler des industries lourdes chimiques et de la pollution automobile.
  34. 2 points
    Bonsoir à tous Planétaire un peu vache maigre en ce début d'hiver mais j'ai quand même réussi à imager un peu la nuit du 9 au 10/12. Il a fallu composer avec les nuages qui m'on littéralement agressés jusqu'à 0h00 locale. Le but de la soirée était de comparer du RVB avec la 462 couleur. Autant dire qu'avec des nuages sur un cycle d'un toutes les 2 minutes c'est pas l'idéal pour faire de la trichromie. En plus la turbulence était très variable en fonction de l'arrivée des nuages. J'ai essayé quand même mais le résultat n'est pas probant en RVB. Aussi je ne vous présenterai que les résultats avec la 462 et ceux pris en IR avec la 290MM. Rappel du matériel : TN 300 F/D = 27 pas d'ADC barlow FFC, Traitement : AS3, AST7 avec PSF et dec Wierner, WJ et toshop finition Assemblage de 4 images 125% pour un temps moyen à 23h09 TU : 3 images 125% à 23h36 TU : IR642 Drizzle1.5x à 23h53 TU : RG610 Drizzle 1.5x à 00h02 TU : Pas la nuit du siècle mais bon je l'ai quand même eu à l'opposition ! Bonnes nuits à tous. Christian
  35. 2 points
    Bonsoir à tous, Hier soir j'ai remplacé la 2600 MM par l'asi 533 MC pour obtenir la version RGB d'abell426. 2h30 de pose ( 3 min en pose unitaire) avec Prism10. Je constate qu'en effectuant le prétraitement d'abord avec Prism j'obtiens ensuite un meilleur traitement (classique) avec Siril. J'espère que le rendu des couleurs est correct, mon écran d'ordi n'est pas calibré. Il me reste à ajouter la couche LUM en espérant d'encore améliorer. Merci pour vos réactions, Marc.
  36. 2 points
    Salut, en attendant des soirs plus clairs, le 14/12/2022 petite éclaircie entre les nombreux nuages. Il n'en faut pas plus pour sortir le petit tube FC-100 DF sur monture AZ4, déjà monté à demeure dans le salon. Mars n'est pas bien haute et la turbulence est sensible mais tout de suite à 148 X je vois deux grandes zones grises, très pâles d'abord. Au fur et mesure des minutes elles prennent plus de consistance et de petites irrégularités s'y distinguent. Je prends le crayon pour immortaliser tout cela, bien content de cette petite éclaircie. J'enchaîne ensuite sur le repas, mais, gros doute, ne vaudrait-il pas mieux monter le 300 car les nuages se font de plus en plus rares ? En attendant je laisse la lunette dehors. Après manger de gros voiles diffus menaçants m'incitent finalement à laisser tomber la piste du ciel profond et de revenir sur Mars à la lunette. Oulà c'est mieux ! Elle est plus haute, la mise en température du petit tube de 100 mm est totale, le léger vent s'est calmé et la turbulence est plus faible. Le disque est très tranché sur les bords, et les formations précédemment vues sont un peu plus marquées. Mais je dois avouer que tout à l'heure sans mise en température le principal était déjà bien là. La qualité de l'image à 148 X me pousse à chausser ma plus petite focale donnant 211 X. Le disque assez nettement saumon avant, devient plus jaune orangé . Le suivi est encore largement possible sur AZ4. J'ai l'impression de constater un très léger décalage des formations, témoin de la rotation de la planète ? En tous cas, avec 211 X je détaille mieux l'intérieur des 2 grosses zones grises, des différences de ton apparaissent, mais cela reste très ténu. Par très rares intermittences j'ai l'impression de voir encore des détails dans les détails, mais c'est trop furtif pour être confirmé et dessiné. Et comme lors de la belle opposition de 2020, à mon Gr max j'ai l'impression d'en avoir encore sous les baskets, l'image est propre, encore assez lumineuse, les formations assez contrastées pour le diamètre. Un peu frustrant et de quoi réfléchir à une formule pour pousser plus, Barlow (je n'aime pas entasser les optiques ...) ou oculaire de 2.5 ou 3 mm. Après, il n'y a guère que sur Mars et la Lune que j'ai constaté une bonne tenue au Gr, même sur les doubles pas mal de soirs ça brouille un peu. Env 1 h à l'oculaire, scan et reprise sous Gimp
  37. 2 points
    Bravo GGITS c'est une belle brochette. Dommage pour Uranus. y'a pas la ceinture d'astéroïdes non plus Glob
  38. 2 points
    Merci à vous tous C'est sans autoguidage Voici une version avec une petite correction sur le fond de ciel
  39. 2 points
  40. 2 points
    C'est une magnifique série martienne Christophe! celles avec la cam mono sont effectivement plus riche en nuances des couleurs. On voit bien l'avantage d'une cam mono et tout ce que l'on peut séparer avec les différents filtres utilises. Cette année j'utilisais une caméra couleur pour la première fois afin le limiter les emmerdement au traitement. Comme j'ai appris à manipuler un peu Winjupos. L'an prochain je retourne en mono c'est certain!!! Merci pour tout ces explications plus qu'instructive qui comme on dit chez nous! Permettre de se coucher moins niaiseux 😉 Martin
  41. 2 points
  42. 2 points
    Bricoler son propre tube et photographier avec! Que demander de plus! Belle image Jean-Yves. Bravo
  43. 2 points
    Sur celle du 24 novembre en 2 versions, il n'y a pas le phénomène
  44. 2 points
    bonjour à tous, une image d'un classique faite cette été le 24, 25 et 30 Juillet depuis la Beauce. Toujours du mal à trouver le bon backfocus, les étoiles sont un peu étirées dans les coins. Pour la couleur globale, j'ai fait à ma convenance de daltonien Atik460ex + filtres HaO3RVB astronomik + fs60 à f/6.2 sur ma GP autoguidage en // avec zwo178mm + zwo30F4 Ha 6nm : 33 x 300s en binning 1x1 O3 6nm: 33 x 300s en binning 1x1 RVB : 7 x 180s en binning 2x2 (pour coloriser les étoiles) prétraitement imageviewCA traitements iris, starnet, siril (étalonnage couleurs étoiles), photoshop A la taille d'acquisition légèrement recadrée: Annotation Siril : a+ stéphane
  45. 2 points
    bonjour à toutes et à tous ! malgré le vend du nord et les prévisions de jet'stream élevé + 190KM/h je suis sorti par ce beau ciel bien clair , pour jupiter d'abord ( à venir ) et pour mars elle est déjà haute à 20h00 loc , je suis resté jusqu'à 21h30 , pas eu plus de courage avec ce froid très prenant ! content , pas de rebond au traitement , pas besoin de sortir la gomme ! CFF 300 f/d de 20 asi462c 1 ser de 180s AS3 + astrosurface ! je retrouve cette sensation de peau d'orange comme les images de @Lucien à 20h03tu 1x180s : une version avec sharpen : bon ciel ! ;:) polo
  46. 2 points
    Bravo Martin pour cette superbe image même si certains chipotent pour ces détails, moi je la trouve quand même magnifique.
  47. 2 points
    Le RPI 2 est très bien pour ça, car il a une vraie liaison série dispo pour la carte GPS alors que sur RP3 et 4 c'est émulé. Donc vu les pénuries, si vous avez du RPI2 ça ira très très bien. On arrive à une précision de +/-5ms max (typiquement inférieur à +/-2ms) sur PC sous windows avec fire capture en installant un client NTP digne de ce nom (donc pas dimension 4, mais plutôt netime ou autre) et ethernet câblé (pas wifi) il n'y a plus de 1Go en RPI4, ça commence à 2Go maintenant, mais 1Go est largement suffisant
  48. 2 points
    Donc, pour les remplacer par du nucléaire, il faudrait environ 2000 réacteurs de puissance comparable répartis dans bon nombre de pays où il est au moins aussi compliqué qu'au Japon d'assurer le respect des règles de sécurité et un certains nombres d'endroits où il y a des "responsables" aussi capable que Poutine de s'en servir comme vulnérabilités stratégiques. Ceci en plus des détails de ressources (faudrait accepter que l'uranium nigérien n'est pas français) et de déchets.
  49. 2 points
    Bonjour. Avant que le temps ne devienne désespérément gris et bas et froid et triste , à l'observatoire CPAFO (prononcez : C'est pas faux) on a enquillé des centaines d'image SHO sur la nébuleuse de la bulle est ses alentours c'est presque 30 heures de poses cumulées image pure SHO (pas de couche L) poses unitaires de 00s 64 SII (Rouge) 64 Hα (Vert) 51 OIII (Bleu) @CCDOBS a programmé les acquisitions et effectué le prétraitement, peso je me suis attaqué au traitement proprement dit tres délicat équilibre de couleur tant la région affiche de valeur extrêmement variable dans les couches tous les pixels : https://www.astrobin.com/18a7bs/0/ Lâchez un petit, j'aime si vous aimez, et n'hésitez pas à balancer un commentaire si vous le souhaitez (ici ou sur astrobin) bises à tout le monde
  50. 2 points
    Bonsoir, https://blogs.nasa.gov/webb/ Le télescope spatial James Webb a pris l'une des premières images à champ large du cosmos moyen-profond , mettant en vedette une région du ciel connue sous le nom de pôle écliptique nord. L'image, qui accompagne un article publié dans l' Astronomical Journal , provient du programme GTO Prime Extragalactic Areas for Reionization and Lensing Science (PEARLS). "Moyen-profond" fait référence aux objets les plus faibles que l'on peut voir sur cette image, qui sont environ de 29 ème magnitude (1 milliard de fois plus faible que ce qui peut être vu à l'œil nu), tandis que "grand champ" fait référence à la zone totale qui sera couverte par le programme, environ un douzième de la zone de la pleine lune. L'image est composée de huit plages de longueurs d'onde en lumière proche infrarouge capturées par la caméra proche infrarouge du Webb (NIRCam), augmentées en trois en lumière ultraviolette et visible du télescope spatial Hubble. Cette belle image couleur dévoile avec des détails sans précédent et à une profondeur remarquable un univers constellé de galaxies jusqu'à ses confins, dont beaucoup étaient auparavant invisibles par Hubble ou autres plus grands télescopes terrestres, ainsi qu'un échantillon d'étoiles dans notre propre Voie lactée. Les observations NIRCam seront combinées avec les spectres obtenus avec l'imageur proche infrarouge du Webb et le spectrographe sans fente (NIRISS),lignes d'émission , qui peuvent être utilisées pour estimer leurs distances avec plus de précision. https://webbtelescope.org/contents/media/images/01GM3WVZFBH5S7Y6E0EXH1EH0Y Légende : Une bande de ciel mesurant 2% de la zone couverte par la pleine lune a été imagée avec la caméra proche infrarouge (NIRCam) dans huit filtres et avec la caméra avancée de Hubble pour les enquêtes (ACS) et la caméra à champ large 3 (WFC3) dans trois filtres qui, ensemble, couvrent la gamme de longueurs d'onde de 0,25 à 5 microns. Cette image représente une partie du champ PEARLS, qui sera environ quatre fois plus grand. Des milliers de galaxies sur une énorme distance en profondeur, et de temps, sont vues avec moult détails , dont beaucoup sont révélés pour la première fois. La lumière des galaxies les plus lointaines a parcouru près de 13,5 milliards d'années pour nous parvenir. Parce que cette image est une combinaison d'expositions multiples, certaines étoiles présentent des pics de diffraction supplémentaires. Cette image de couleur représentative a été créée à l'aide de filtres Hubble F275W (violet), F435W (bleu) et F606W (bleu) ; et filtres Webb F090W (cyan) Nous avons demandé aux membres de l'équipe PEARLS qui a créé cette image de partager leurs réflexions lors de l'analyse de ce domaine : "Pendant plus de deux décennies, j'ai travaillé avec une grande équipe internationale de scientifiques pour préparer notre programme scientifique Webb", a déclaré Rogier Windhorst, professeur Regents à l'Arizona State University (ASU) et chercheur principal de PEARLS. « Les images du Webb sont vraiment phénoménales, vraiment au-delà de mes rêves les plus fous. Ils me permettent de mesurer la densité numérique des galaxies qui brillent dans des limites infrarouges très faibles et la quantité totale de lumière qu'elles produisent. "J'ai été époustouflé par les premières images de PEARLS", a déclaré Rolf Jansen, chercheur scientifique à l'ASU et co-chercheur de PEARLS. "Je ne savais pas, lorsque j'ai sélectionné ce champ près du pôle nord de l'écliptique, qu'il fournirait un tel trésor de galaxies lointaines et que nous obtiendrions des indices directs sur les processus par lesquels les galaxies s'assemblent et se développent. Je peux voir tout types de galaxies et des halos d'étoiles dans leur périphérie, les restes de leurs éléments de construction. "Les images Webb dépassent de loin ce que nous attendions de mes simulations dans les mois précédant les premières observations scientifiques", explique Jake Summers, assistant de recherche à l'ASU. "En les regardant, j'ai été très surpris par leur extrême résolution . Il y a de nombreux objets que je n'aurais jamais pensé que nous pourrions voir, y compris des amas globulaires individuels autour de galaxies elliptiques lointaines, des zones de formation d'étoiles dans des galaxies spirales et des milliers de galaxies faibles en arrière-plan. "La lumière diffuse que j'ai mesurée devant et derrière les étoiles et les galaxies a une signification cosmologique, encodant l'histoire de l'univers", nous dit Rosalia O'Brien, assistante de recherche diplômée à l'ASU. "Je me sens très chanceuse de commencer ma carrière en ce moment. Les données du Webb ne ressemblent à rien de ce que nous avons jamais vu, et je suis vraiment enthousiasmé par les opportunités et les défis qu'elles offrent. » "J'ai passé de nombreuses années à concevoir les outils pour trouver et mesurer avec précision les luminosités de tous les objets dans les nouvelles images Webb PEARLS, et pour séparer les étoiles de premier plan des galaxies lointaines", explique Seth Cohen, chercheur à l'ASU et co-chercheur de PEARLS. "Les performances du télescope, en particulier dans les longueurs d'onde proches de l'infrarouge les plus courtes, ont dépassé toutes mes attentes et ont permis des découvertes imprévues." "La qualité d'image époustouflante du JWST est vraiment au-delà de nos espérances", a reconnu Anton Koekemoer, astronome chercheur au STScI, qui a assemblé les images PEARLS en très grandes mosaïques. "Pour apercevoir des galaxies très rares, à l'aube des temps cosmiques, nous avons besoin d'une imagerie profonde sur une grande surface, ce que fournit ce champ PEARLS." "J'espère que ce champ sera surveillé tout au long de la mission Webb, pour révéler des objets qui se déplacent, dont la luminosité varie ou qui s'embrasent brièvement", déclare Rolf. Anton qui ajoute : "Une telle surveillance permettra la découverte d'objets variables dans le temps comme des supernovae explosives distantes et du gaz d'accrétion brillant autour de trous noirs dans les galaxies actives, qui devraient être détectables à des distances plus grandes que jamais." "Ce champ unique est conçu pour être observable avec Webb 365 jours par an, de sorte que son héritage dans le domaine temporel, la zone couverte et la profondeur atteinte ne peuvent que s'améliorer avec le temps", conclut Rogier.