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Affichage du contenu le plus aimé le 16/03/2021 dans toutes les zones

  1. 14 points
    Hello, Traitement d'une image de cet été avec le 500 de l'OFXB. L: 73*90s = 109.5min R: 10*90s = 15min V: 14*90s = 21min B: 13*90s = 19.5min Ha: 10*90s = 15min Total: 180min, soit 3h de pose, le tout avec l'asi 1600. Traitement Pixinsight et Photoshop CC Astronomicalement José
  2. 10 points
    Bonjour les astrolunatiques! Je venais d'ecrire dans mon précédent post que le temps redevenait maussade, apres avoir tenté une sortie de l'engin vers 21h, puis l'avoir rentré a cause des nuages, quand je constate que le ciel est parfaitement clair, pas un souffle de vent vers 1H du mat. Chiche, je ressort tout!!! (bon, ça fait quand meme dans les 70 kg avec le petit "tremplin" d'accés pour faire passer l'escalier du seuil au rocker., tout un truc un peu compliqué a mettre en place.. ). Certes... mais je n'ai pas été deçu! J'ai erré un peu au hasard dans la region de la queue du lion, et je suis tombé sur un belle galaxie que je n'avais pas encore imagé, et dont je ne connaissais pas le nom: IL se trouve que c'est Messier 88. Le seeing etait tout bon, et m'a permis d'essayer mon nouveau correcteur de champ (baader mpcc): le verdict et sans appel, il est pour moi meilleur que le skywatcher pourtant specialement prevu pour mon fextube a FD de 5 (a peu de chose pres). La finesse des images est clairement meilleure, et le piqué des details ressort tout de suite dans la galaxie. Je trouve qu'il y a aussi moins de trame, meme si j'ai un peu rusé avec deux caches de couleur differentes en mode "substract" dans photoshop pour faire disparaitres les moirures bicolores disgracieuse du fond du ciel: tres efficace! Comme à l'habitude, poses de 4 secondes, (500 de gardées environ) avec pretraitement avec un dark (dont la qualité semble à désirer au vu du resultat, il ya un serpentin rouge à gauche, à améliorer). Alignement siril , traitement Astrosurface et photoshop. J'aime bien le resultat: cette galaxie est tres sympa, et donne l'impression d'un tourbillon dans un capuccino... Miam!! Et j'ai reussi a choper les trois (euh, quatre) petites galaxies lointaines... Bref, je n'ai dormi que 3 heures, mais content je suis! Bonne journée!
  3. 8 points
    salut, j'avais fait un post sur l’intérêt des poses courtes même avec une petite focale: et j'avais réalisé une série avec le 300mmF4 toujours avec la même camera: la QhyIII290MM. J'ai pris énormément de retard sur mes projets astro , et j'avance tres doucement. J'ai pu finir cette fusion difficile entre deux photos capturées par deux échantillonnages très différents. Mais bon , je trouve que cela passe même si l’arrière plan est presque inexistant... Capture du mois d'Avril 2020: Newton 300mm F4 pour la cible principale avec 5400x1s gain 450 Lunette 66sd F5.9 pour le pano avec 2hx10s gain 400 et camera planétaire 290MM et un crop:
  4. 7 points
    Bonjour, J'ai tenté ma chance cette nuit après le temps bien pourri de la journée de samedi. Un beau ciel de traine mais un ciel parfaitement limpide, quand les nuages se barraient. J'aime bien cette région avec ces belles étoiles, ces galaxies et ce curieux "carré" d'étoiles en bas. 30 poses de 180s à la Megrez 72 + Flatener III + Ircut + ASI1600MC. Traitement SIRIL et Photoshop, gestion Stellarmate. M99_Megrez72-ircut-ASI1600mc.30x180s-20210314 by Frank TYRLIK, sur Flickr Bon dimanche, Frank
  5. 7 points
    Le raptor a déjà connu - et connaîtra encore - de multiples évolutions. Il représente un choix technologique d’une grande complexité, difficile, ambitieux, qui n’est pas encore arrivé à pleine maturité pour les différents profils de vols exigeants auxquels il est confronté. Cependant, conceptuellement, il ne semble pas se heurter à des problèmes insurmontables, si l’on considère objectivement plutôt son taux de réussite que d’échec, ainsi que sa jeunesse. Globalement il fonctionne, délivre des performances propulsives conformes sinon supérieures aux spécifications attendues lors de sa conception, et s’il présente encore certaines fragilités qui nécessitent de le fiabiliser, le chemin qui reste à parcourir paraît désormais moindre que celui déjà accompli. Bien évidemment dans le spatial, on vise un taux d’échec le plus bas possible, surtout si l’on ambitionne un jour d’expédier des humains sur ce propulseur ; mais aucun constructeur n’a jamais pu faire l’économie d’un temps de développement (synonyme de retour d’expérience) suffisant pour mettre au point un moteur efficace et fiable. On ne doit pas confondre les problèmes spécifiques au raptor avec ceux qui ne lui sont pas imputables mais pouvant provoquer son dysfonctionnement - voire sa destruction - comme un défaut d’alimentation par exemple : sur les derniers vols, on peut effectivement identifier les deux causes apparentes ; sachant que les générations de raptors montées jusqu’à présent n’ont pas toutes bénéficié des dernières améliorations, et que nous ne sommes pas non plus dans le secret du dieu Elon. Toutefois si l’on examine en détail le tableau posté ci-dessus par Bill, on vérifie que la majorité des défaillances ou des destructions de raptors ont été : - soit identifiées lors des tests préalables au vol et suivies d’un remplacement, - soit provoquées en amont par une autre cause qu’une défaillance du moteur lui-même. (ainsi la majorité des destructions de raptors proviennent du crash du Starship correspondant, même quand ils fonctionnaient très bien jusque là) En toute logique la situation devrait donc rapidement s'améliorer dès lors que les problèmes d'alimentation seront résolus dans toutes les phases du vol - ce qui reste loin d’être trivial dans les secondes critiques qui précèdent l’atterrissage (mais pas seulement : rallumer ce type de moteur en apesanteur sans coup férir et à un instant précis, reste un challenge car on ne peut pas recourir aux techniques habituelles, utilisées notamment sur le merlin et les autres moteurs cryogéniques plus classiques à allumages multiples, où l’expérience accumulée par les différents constructeurs - y compris SpaceX - est considérable et les solutions éprouvées (bien que non infaillibles pour quiconque, il est bon de se le rappeler ) Actuellement, je suis beaucoup plus dubitatif sur les futures problématiques structurelles du Starship et de son énorme booster à venir le Super Heavy (dont rien que le nom peut faire douter qu’il puisse un jour décoller !) quand ils vont se trouver en situation de vol réel, et non de sauts de puce comme maintenant... Mais avant cela, naturellement, il faudra quand même fiabiliser le raptor au point qu’une seule défaillance moteur ne compromette ni la sécurité, ni la poursuite du vol : une trentaine de raptors au cul du booster imposera statistiquement qu’un taux de panne de 3% suffise pratiquement à provoquer en moyenne 1 défaillance moteur à chaque vol - avec le risque que plusieurs lâchent simultanément - ce qui n’est acceptable que s’il ne s’agit que d’un "incident mineur" ne conduisant ni à l’échec de la mission, ni à la destruction catastrophique du lanceur, tout cela sans porter atteinte à sa réutilisabilité... Vaste programme ! Et bon courage ! Le chemin jusqu’aux étoiles, certes pavé des meilleures intentions muskiennes, reste encore jalonné de nombreux obstacles... Un million de colons sur Mars, je verrais bien cela en 3024 pour ma part ! (enfin non : je ne le verrai pas )
  6. 7 points
    Merci de m'héberger dans ton forum ! Je vais me pencher doucement mais consciencieusement sur la lecture attentive de ces 16 PDF.. en essayant de les traduire aussi en termes plus accessibles, les géologues utilisant parfois un langage quelque peu "ésotérique" pour les non spécialistes. Concernant cette très importante contribution du LPSC 2019 que tu mentionnes : https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2019/pdf/2263.pdf "IN CURIOSITY’S PATH: THE GEOMORPHOLOGY AND STRATIGRAPHY OF THE GREENHEUGH PEDIMENT AND GEDIZ VALLIS RIDGE IN GALE CRATER." .. Je l'avais citée et largement commentée page 138 de ce fil - mon message du 18 novembre 2019 : http://www.astrosurf.com/topic/113977-actualités-de-curiosity-2013/?page=138 .... et page 140 - mes messages du 26 et 27 décembre 2019 : http://www.astrosurf.com/topic/113977-actualités-de-curiosity-2013/?page=140 Depuis cette date on a pu sans doute tirer des enseignements nouveaux de l'exploration de la crête Vera Rubin et de l'Unité d'Argile (Glen Torridon) par Curiosity, mais les données sur le fronton de Greenheuhg et Gediz Vallis reposent encore largement sur les observations spectros depuis l'orbite... qui restent à confirmer in-situ. Quant à la zone de transition vallée argileuse/sulfates.... nous y sommes ! Sauf que depuis le 10 mars la mission ne communique plus d'infos (à part les images), que ce soit sur les opérations post-forage, ou la panne ? éventuelle (à vérifier) du laser ChemCam. MOSAÎQUE MASTCAM - 13 ET 14 MARS 2021 (SOLS 3057 - 3058) - Robert Charbonneau : Nouvelle image de la base du "Mont Mercou° NAVCAM - 16 MARS 2021 (SOL 3060) :
  7. 6 points
    Bonjour, J'ai fait M45 en janvier, en début de soirée, alors que j'attendais un autre objet. Pris avec le 180 Epsilon et l'Asi6200, 4x10x120' LRVB. J'avais en fait complètement oublié ces images brutes sur mon disque dur. https://www.astroveto.com/archives/2569 Edmund
  8. 6 points
    Hello! Finalement, j'ai réussi a tirer quelquechose de ma soirée du 6 mars. Beaucoup de trame en arriere fond, surtout en bas (quelle saleté cette trame! vous n'auriez pas une solution?) Mais le temps est reparti au maussade, alors je triture mon SSD pour en tirer quelquechose. Setup habituel(flextube 305 avec correcteur de champ, filtre UV/IRcut optolong 2 pouce, Camera IMX294C), avec procedure habituelle (capture toupsky avec 900 images de gardées, 5s de poses chacunes, traitement SIRIL avec pretraitement utilisant un dark, puis Astrosurface et photoshop). Toujours beaucoup de trame notamment en dessous de la galaxie. Quel est le phenomene à l'origine des trames comme celle là? Le jet stream? des defauts optiques? La presence d'une tres discrete condensation sur le secondaire qui irise legerement les couleurs? En effet, on a l'impression d'une succession de bandes colorées alternées (là je l'ai ai estompées au max). Ou une combinaison de tout cela? Apparemment, je ne suis pas le seul a en souffrir, mais j'aimerai comprendre.. En attendant vos eventuels eclaircissement, je vous souhaite une bonne soirée!
  9. 5 points
    Bonjour à tous J'ai profité d'une très belle accalmie hier matin pour ressortir mon fidèle tube bleu. Au départ, vu le temps très agité de la fin de semaine, j'avais préparé la 100ed. Mais bien trop impatient de pouvoir enfin tester ma nouvelle barlow APM en LB, je me suis ravisé au dernier moment. Finalement, même si les conditions n'étaient pas optimales, avec un Soleil évoluant entre 31° et 35° au moment des prises de vue et quelques rafales de vent (voir gif ci-dessous), j'ai pu bénéficier de 3/4 d'heure exploitable . J'avais repéré en début de semaine dernière une jolie petite tache (AR2808) près du limbe est. Malheureusement, au fil des jours, elle a diminué pour devenir un simple pore sans trop d'intérêt en LB. Du coup, je me suis rabattu sur l'autre petite zone active du moment, AR2809, plus sympa à examiner . Pour le seeing, je vous joins un court extrait de ma meilleur capture prise à 10h09 TU. Le tube très sensible au vent avait un peu de mal avec les rafales . Matériel et technique : SW 254/1200, ASI178M, barlow APM 2.7X, filtre Astrosolar (D3.8) et filtre EO à 430 nm. Ser de 40 secondes sous Firecapture, gain à 150, expo. entre 3.33 et 2.96 ms). Stack de 50 images par SER sous AS!3. Traitement sous Astrosurface, Iris et Fitswork. Animation sous Animation Shop 3 Ci-dessous le champ couvert avec ma meilleurs prise de 10h09 TU. J'ai pu réaliser un animation de cette région sur 3/4 d'heure, entre 09h46 TU et 10h26 TU avec 10 images prises environ toutes les 5 mn. Je vous ai mis un crop centré sur la région active où l'on voit notamment à ce qui ressemble à un embryon de filament au sud ouest de la tache de droit. On voit très bien la matière le remonter à l'instar de ce que l'on peut observer dans la pénombre d'une tache solaire. Même si l’intervalle de temps est trop important, on devine également la périphérie la convection à travers l’évolution des plus grosses cellules granulaires. Animation avec cadence rapide (ma préférée car la vitesse lisse les imperfections dues à la turbulence et au traitement) Animation avec cadence plus lente pour ceux qui auraient mal au coeur Toutes les images et animations sont présentées avec leur taille d'acquisition. Pascal
  10. 5 points
    ... pour les "aficionados" de mon T2SB (entendre "Télescope Sorti des Sentiers Battus") : Après premiers essais, je suis nettement devant une difficulté opérationnelle d'observation aux grandes hauteurs. Au zénith, le PO se trouve à plus de 1,85 m du sol... et je ne souhaite pas utiliser de marche-pied ou d'escabeau. Je vais donc le modifier pour en faire, sans plus tarder, un "lowrider", avec un gain probable d'environ 25 cm ce qui ramènera le PO à environ 1,60 m du sol, hauteur nettement plus acceptable . Et cela va donc retarder la date son "inauguration" officielle.... Mais au point où on en est, on n'est plus à ça près...
  11. 5 points
    hello, Elle m'a donné du fil à retordre celle-là, je la trouve faible et un peu décevante au final Il m'a fallu 2 nuits espacées de 6 semaines (météo pourrie) 6 heures de luminance, 2,5 de couleurs, unitaires 300s. Full : https://www.astrobin.com/full/wwvjn5/0/?real=&mod=
  12. 5 points
    slt tout le monde voici 2 images de la semaine dernière , en remote toujours , avec itelescope m109 avec une toa 150 f1050 et une qhy268 couleur ngc2467 dans l hémisphère sud avec t430 f2900 et une cam fli en harvb bonne soirée serge les exifs en comm des photos comme dhab m109 20210308 T02 lunette toa T150 f1050 cam QHY268 couleur BIN1 16MN FIN 4 x 4mn de poses ngc2467-20210312-ITN-T17- dall kirkham T430- f 2900 cam FLI-ha RVB-BIN1-14MN ha 5 mn r/v/b 3 x3 mn
  13. 5 points
    https://www.businessinsider.fr/us/nasa-perseverance-supercam-results-mars-key-developments-2021-3 La semaine dernière je vous avais parlé des premiers tirs de la SuperCam sur un affleurement rocheux " Máaz" et de la réception des données à Toulouse. Traduction remaniée du lien : Jeudi, la NASA avait diffusé un enregistrement audio de Percy lorsqu'il effectuait un tir laser avec sa SuperCam sur un rocher cible nommé "Máaz". L'enregistrement des frappes laser a permis aux scientifiques de découvrir des informations utiles, notamment sur la dureté de la cible examinée. «Si nous tirons sur une surface dure, nous n'entendrons pas le même son que si celle-ci était tendre déclare Naomi Murdoch, de l'Institut National Supérieur Français de l'Aéronautique et de l'Espace, à Toulouse, selon BBC News. Les scientifiques ont pu révéler que "Máaz" était de nature basaltique, contenant une quantité substantielle de magnésium et de fer. Ce ne sont là que des résultats préliminaires et il reste à découvrir si la « roche elle-même est ignée, à savoir volcanique, ou si c'est une roche sédimentaire composée de grains ignées qui auraient été dissout dans l'eau puis entraîné en aval dans le lac Jezero pour ensuite être cimentés ensemble dans un processus métamorphique », explique le chercheur en chef de la SuperCam, Roger Wiens.
  14. 4 points
    Bonjour à tous, Une modeste image pas à la hauteur d'un 400 mais sachant que je discernes des étoiles de magnitude 5 tout au plus et que ma monture artisanale me permet des poses maxi de 10 à 15 secondes, je me contentes malgré tout de pouvoir obtenir ce genre de résultat sous mes cieux disgracieux. Je ne parle pas non plus des étoiles de rugbymans sur la gauche de l'image ....☺ Il s'agit d'un crop de l'addition de quatre images du 28.02, 01.03 et 06.03 faites à l'atik 314L au foyer du 400 avec 42 minutes de poses au total. Bien sûr il en faudrait beaucoup plus mais comme beaucoup ici bas, la météo est quelque peu capricieuse. Une version noir et blanc et une colorisée (merci à mon ami Bruno). Amicalement Pascal
  15. 4 points
    Les 2 mon général. Pour moi il est évident que le Raptor n'est pas fiable vu qu'il merde systématiquement au tir statique ou au vol (au moins un des 3 en tout cas). Mais pour l'instant, on dira qu'ils ont juste besoin d'un moteur qui soit "suffisamment" fiable pour pouvoir faire quelques vols et montrer que le concept Starship peut fonctionner. Pour ce qui est des SN, ils ont dû avoir plus de réussite qu'attendu (il étaient déjà contents qu'SN8 atteigne son apogée ...) et ont donc sauté quelques vols pour passer directement de SN11 à SN15. Ca n'empêche qu'ils apportent plusieurs modifications à chaque nouveau SN (mineurs de SN8 à 11, majeurs pour SN15 même si les détails sont flous). SN8 avait une pression de réservoir de nez trop faible pour l'atterrissage donc pas assez de poussée donc crash. En conséquence, SN9 a été amélioré en pressurisant le réservoir en question avec de l'helium, sauf qu'un des 2 raptors nécessaires à la phase finale a fait des siennes et ne s'est pas rallumé correctement donc crash. En conséquence, SN10 a été "amélioré" en changeant le profil d'atterrissage, c'est à dire en rallumant cette fois les 3 raptors pour la phase finale, avec extinction successive de 2 d'entre eux si tout se passe bien, ce qui assure une redondance. Mais il a manqué un peu de poussée sur la fin (Musk avait suggéré la possible ingestion du fameux helium utilisé pour pressuriser le réservoir du nez) et SN10 a tapé un peu trop fort. En conséquence, des modifications vont être faites/ont été faites pour SN11, qui pourraient inclure un autre moyen de pressurisation pour ne pas avoir à recourir à l'helium. En parallèle de tout ça, ils font des test pour éventuellement réduire l'épaisseur de l'enveloppe (passer de 4mm à 3mm) avec un test de SN7.2 dont on a plus trop de nouvelles si ce n'est qu'il a été déplacé ce weekend. Et pour finir des éléments qui pourraient/vont changer: les pattes d'atterrissage qui sont pourries (dixit Musk), la forme du nez (d'après certaines photos prises sur site), ... Bref, ils sont fidèles à leur philosophie du "on test, si ça casse tanpis, on change et on retest, ...". L' avenir dira si c'était trop ambitieux. Le raptor reste pour moi le point faible ... pour l'instant !
  16. 4 points
    Petite mise à jour, j'ai pu prendre une petite heure en plus hier soir et j'ai tout retraité dans la foulée, j'ai ajouté une composante HDR sur l'ensemble de la photo et j'ai de nouveau essayé de maîtriser le fond de ciel (énormément de turbu sur la session d'hier soir, FWMH moyen de 7.5 ), le résultat me convient mieux ça colle bien avec l'idée de nébuleuse Lien vers la full par ici Image crop ci-dessous
  17. 3 points
    Bonjour à tous, Voici mes 2 premiers dessins. Je débute. En attente du ciel pour un troisième Papier noir, crayon blanc.
  18. 3 points
    Bonjour, NGC 2346 est une nébuleuse planétaire bipolaire située dans la constellation de la Licorne. Pratiquement sur l'équateur céleste, elle ne culmine pas bien haut, ce qui dégrade un peu les conditions de stabilité. La taille que je mesure sur mon image est d'environ 1' x 2.5', sa distance est donnée pour environ 2100 Al. Image de la nébuleuse directement pleine résolution augmentée de 35%, cela augmente la taille des étoiles mais la neb est petite, il faut la zoomer; j'ai fortement diminué l'étoile centrale; les luminances ne proviennent que de la couche Ha, je voulais faire une L synthétique avec les RVB, mais au final les RVB étaient bien moins bonnes que les ha, je ne les ai pas intégré, ce qui fait que j'ai un peu moins d'étoiles que si j'avais fait des luminances sans filtre. : Les données d'acquisition : Jean-Claude Mario.
  19. 3 points
    Bonjour à tous, La saison des galaxies approchant, j'ai modifié le setup pour avoir 2972mm de focale (mesurée) soit f/d 12 sur mon newton 10" avec powermate télévue + paracorr2. Je reste convaincu que la finesse des images croît avec le f/d... cette première image cette année dans ces conditions ne va pas contre mon intuition, mais ce n'est pas une preuve non plus Je mesure une fwhm (sur les plus faibles étoiles) de 1.7" sur l'empilement. L'ampglow n'est pas complètement parti, la faute sans doute au bin3 au traitement (échantillonnage natif de 0.166"/p!). Le cœur très brillant et néanmoins détaillé de cette galaxie ne rend pas le traitement facile; Il en résulte plus de bruit que je l'aurais souhaité, surtout avec 3h20 de pose en luminance. Succomberais-je un jour à topaze ia? Il y a 1h par couleur. Asi183 mono refroidie à- 15°C, 5mn de temps de pose unitaire. Un petit time lapse du télescope à l’œuvre sur cette image Nathanaël la même en mp4 (4Mo) édit du 15/03: version topaze denoise ai (denoise 1 sharpen 0) sur la luminance et accentuation au centre un peu plus marquée que ce qu'il était possible sans : clic gauche pour la full (à peine plus grande mais deux ou trois tachouilles en plus )
  20. 3 points
    Bonjour, La météo avait prévu que vent se calmerait en début de nuit. Effectivement, j'ai pu commencer à imager vers 0h30 ! Dernière date affichée sur la raquette, 6 janvier ! Deux longs mois sans rien faire, l'Aude n'est vraiment plus la région bénite pour l'astro Bref, pour inover j'ai eu envie de faire une nouvelle NP avec la 224mc et la petite 80ED : M 97 que j'avais déjà fait en 2017 à l'APN. Là, c'est la grosse surprise, impossible d'apercevoir la belle à moins de 25 sec de pose. Ma MES étant bonne, je choisi des ser de 30 secondes, sans autoguidage. Mauvaise idée, je me suis retrouvé avec un bruit jamais vu et sur la brute d'empilement, on avait l'impression d'avoir passé l'image au papier de verre (gros grain, spécial décapage). Deuxième surprise, c'est la première fois que j'utilise Siril avec des ser. Faisant toutes mes images à l'APN, j'utilise les scripts et là, c'est nickel. Mais là, je me suis aperçu que faire un dark est une aventure qui a duré beaucoup trop de temps. " régler le sigma haut et bas et refaire « débute l’empilement » jusqu’à se rapprocher des 0,50 %." Ca s'est une vraie galère, n'y a t'il pas moyen d'automatiser ça ? Ensuite, comment trier les photos. Quand c'est un petit nombre (ici 400, ça passe encore à la main), mais plusieurs milliers ??? Bref, malgré la piètre qualité des brutes, j'ai pu tirer ça pour 3h20 de pose, donc par poses unitaires de 30 secondes. A comparer avec ce que j'avais fait à l'APN en 2017 en seulement 2h17. C'est un crop de l'image complète, faite avec un GSO, 200/1000, spécialiste du tilt et difficile à ciollimater. De plus, il y a quatre ans, j'étais complètemetn débutant en post -traitement astro. C'est Alex ( @Vlaams59) qui m'avait signalé la présence du quasar à plus de 8 milliards d'al ainsi que Hickson 50 Sur l'image à la 224, seule PGC 37279 a survecu ! Voilà, dans l'ensemble assez déçu par cette image faite avec la caméra...
  21. 3 points
    Pas du tout! Et si elle n'a pas encore de surnom, je vote pour qu'on l'appelle la "galaxie capuccino"!
  22. 3 points
    Si se détournement te dérange, je retire.
  23. 3 points
    ...au moins la météo actuelle joue le rôle de lissage des différences entre les privilégiés à jardin et les autres
  24. 3 points
    Images 3D du cratère Jezero par Mars Express (Lunettes spéciales requises) : https://www.esa.int/ESA_Multimedia/Missions/Mars_Express/(result_type)/images Une vue en perspective du chenal d'écoulement qui a présidé à la vidange du cratère proposée par Serpens (UMSF) :
  25. 3 points
    C'est pas très réaliste, elle ne pète pas !
  26. 2 points
    salut, j'avais fait un post sur l’intérêt des poses courtes même avec une petite focale: et j'avais réalisé une série avec le 300mmF4 toujours avec la même camera: la QhyIII290MM. J'ai pris énormément de retard sur mes projets astro , du coup j'avance tres doucement. J'ai pu finir cette fusion difficile entre deux photos capturées par deux échantillonnages très différents. Mais bon , je trouve que cela passe même si l’arrière plan est presque inexistant... Capture du mois d'Avril 2020: Newton 300mm F4 pour la cible principale avec 5400x1s gain 450 Lunette 66sd F5.9 pour le pano avec 2hx10s gain 400 et camera planétaire 290MM
  27. 2 points
    Bonjour à tous, Après 3 mois et demi de saison chaude, humide et nuageuse avec au passage une dépression et un cyclone tropical intense... le ciel de Nouméa a bien voulu se dégager 3 soirs de suite cette semaine pour me permettre de faire la première image de 2021 ! J'ai choisi comme cible le magnifique amas ouvert NGC3532 avec l'idée de le réhausser avec du Ha. Sur la version RGB avec mon ciel pas très noir (Bortle 4-6) l'émission Ha est à peine perceptible. J'ai mis le paquet pour la HaRGB, en espérant ne pas avoir poussé le curseur un peu trop loin sur le Ha. Bon faut aimer les champs d'étoiles... moi j'aime bien :-) RGB : 12:12:12x600s et 38x600s pour le Ha. Camera SBIG8300 Lunette CFF105 + Correcteur CFF dédié Monture Mesu200 Mk1 YE
  28. 2 points
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_decouverte-d-une-meteorite-aussi-ancienne-que-le-systeme-solaire?id=10720202 https://www.dhnet.be/dernieres-depeches/afp/decouverte-d-une-meteorite-aussi-ancienne-que-le-systeme-solaire-60504c3d7b50a60517b586be
  29. 2 points
    Allez on s'y remet, session courte mais quel plaisir de ressortir le bazar (il était sorti une seule fois entre 2 nuages depuis la grande conjonction de décembre ...) Donc au C8, en périurbain, transparence moyenne. J'ai profité du doublet du Lion (toujours pas vu NGC3628), M51 très blafarde mais encore basse, très belle M42 (au 22T4 quel plaisir!!!!!!) Merci à Fred, Serges et les autre pour leur livre d'astrodessin magnifique et instructif!!! m82 (et non m81)
  30. 2 points
    Bonsoir. La météo va pas me laisser les finir de si tôt donc un tir groupé sur ces 7 luminances en attente de couleur sur deux nuits. Prises au C9.25 Hyperstar V4, ZWO ASI183MM Pro, filtre STC Multispectra. Plus ou moins fortement recadrées...
  31. 2 points
    Hello Suite à un projet un peu trop ambitieux où j'ai rencontré plusieurs pépins techniques notamment liés à des fuites de lumière, et faute de météo clémente ces derniers jours, je partage une modeste nébuleuse de l'âme avec seulement 2 petites heures de pose en Ha, ma première composition SHO devra malheureusement attendre Toujours un ciel extrêmement compliqué vu que je n'ai malheureusement accès qu'à un très étroit balcon en plein Marseille, gradient de fond de ciel absolument horrible à traiter, ça m'entraîne très violemment à optimiser le traitement, ça me fera tout drôle la prochaine fois que j'aurai accès à un bon ciel de montagne lors d'une nouvelle lune Quelques infos sur le matériel : - Taka FS60 + réducteur/correcteur x0,72 : focale de 255mm pour un f/d de 4,2 - ASI183 MM refroidie + ASI120mc pour le guidage - Astrodon Ha 5nm en 31,75mm, EFW ZWO - Skywatcher NEQ5 Pro et le traitement, je me fais progressivement la main avec Pix : - PixInsight avec une routine légère Calibration + empilement scriptés au Weighted Batch Preprocessing avec 30 flats, 30 darks, 30 offsets pour 118 lights de 60 sec à 230 de gain Drizzle integration Crop de la zone d'intérêt Extraction manuelle du gradient de fond grâce au Dynamic Background Extraction Atrous Wavelet pour essayer de gérer un peu le bruit global de l'image Etirement de l'histogramme et passage en linéaire Génération d'un masque d'étoiles Légère réduction de la taille des étoiles avec Morphological Transformation Retouche de la courbe C'est cuit - Topaz Denoise léger Comme d'habitude, je prends volontiers toute remarque/conseil Bon ciel à tous Nico Lien vers la presque full ici Image crop à 25% (impossible de mettre la full quelque part )
  32. 2 points
    j'ai fait l'acquisition dernièrement d'une caméra ASI 174 mm non ventilé et constaté comme beaucoup qu'elle avait tendance à chauffer énormément. là ou l'ASI 385Mc se stabilise à une Température de 32°C la ASI 174mm monte très facilement à 43,2°C pour une Température ambiante de 21°C imaginez ce que cela peut donner lorsque vous vous retrouvez en été sous une température ambiante de 30°C pour faire du lunaire ou lors d'une observation solaire. certains ont même remarqué un fonctionnement aléatoire à ces températures. bref rien de réjouissant ! j'ai donc envisagé de la refroidir mais le moyen devait rester simple et pas cher. exit le module Peltier : trop compliqué et trop cher ! tout ce que je ne veux pas. il ne me restait que le refroidissement par caloduc , passif ou ventilé. j'ai commencé par acheter un Akasa dédié aux chipset de carte mère : petit et très léger (172gr) lien Akasa AK-210-BK il suffit d'enlever la protection plastique du pad thermique et de coller l'ensemble sur la coque arrière de la caméra . vu la légèreté de ce Ventirad, le pad adhère parfaitement à la coque . nul besoin de visserie ou de fixation pour tenir l'ensemble comme vous pouvez le constater avec le ventilateur en fonctionnement on peut espérer descendre de 6°C . dépenser 6€ pour gagner 6°C c'est tout à fait honorable mais cela demande de prévoir une alimentation 12V et y souder un Connecteur d'alimentation 5.5/2.1mm mâle je me suis demandé si l'on pouvait descendre plus bas en T° en utilisant le même moyen mais avec un ventirad plus performant. j'ai donc acheté un Akasa AK-CC7122BP01 dédié aux processeurs Intel pour 18€ . lien du ventirad : Akasa AK-CC7122BP01 le ventirad est entièrement fabriqué en aluminium et il est équipé d'un ventilateur 12V.il reste léger 152,8 g pour malheureusement une surface de contact moindre au premier modèle au préalable je l'ai testé avec une pâte thermique antec autocollante pour m'assurer de son bon fonctionnement . le résultat ne s'est pas fait attendre :cela fonctionne mais l'efficacité n'est pas probante . j'ai donc opté en reconvertissant le ventirad fournit avec mon processeur Ryzen 1700 . pourquoi avoir choisit ce ventirad ? pour plusieurs raisons : - sa surface de contact est plus grande - elle en en cuivre (meilleur dissipation ) - le pate thermal artic utilisé est de meilleur qualité (prix 7€) . - il possède aussi un ventilateur de bon diamètre alimenté sous 12V premier constat : avec de la pâte thermique argent noctua le radiateur ne tient à la coque de l'Asi 174mm coté refroidissement c'est bien différent: - sans ventilo on obtient 37,2°C au lieu des 43,2°C - avec le ventilo on obtient 35,3°C . soit presque 8°C de gagné au total vu que sur nos latitude la température dépasse que rarement les 30°C et que le poids du ventirad est trop important , je décide d'enlever le ventilateur et ainsi gagner 150gr . l 'ensemble est maintenant collé à la coque de Asi 174mm par la pâte antec et nul besoin d'une alimentation 12V . le résultat est donc concluant : obtenir le même refroidissement que l'Akasa AK-210-BK mais sans ventilo , sans système de fixation et sans besoin d'alimentation 12V après vous pouvez laisser le ventilateur pour descendre à 35,3°C ou opter pour un radiateur plus performant et plus lourd mais vous devrez solidariser l'ensemble sur cette caméra (un plexiglas sur le devant avec 4 boulon qui solidarise le tout ) bon ciel Christophe
  33. 2 points
    Bonjour à tous, ça faisait un moment que je n'avais rien posté ici, pour cause de ... non observation, ce qui est une raison valable je pense Entre le mauvais temps et le couvre-feu qui empêche de quitter les zones urbanisées il faut dire que les occasions d'observer ont été rares ces derniers mois. Mais vendredi dernier j'ai craqué : grand beau temps et Lune en dernier quartier, j'ai chargé le 400 dans la voiture et je suis parti sur le terrain du club situé à la campagne. Arrivée sur place avant 18h bien sûr, pique-nique en plein air avec Thomas (un copain du club) qui est venu aussi, puis au lever de Lune vers 3h dodo dans la voiture jusqu'à l'heure autorisée pour repartir à la maison. Je me suis fait plaisir sur une poignée de classiques puis j'ai pointé quelques objets de ma to do list. HCG 40 dans l'Hydre Femelle. T406 à 292x et 440x. Au-delà c'était trop sombre. C'est un classique du catalogue Hickson ce qui ne veut pas dire que c'est l'un des plus faciles. Les composantes (a), (b) et (d) sortent bien, la (c) n'est vue que par intermittence et comme une extension de la (b). La (e) très difficile avec 400mm, 'vue' lors d'un seul flash ce qui en fait une observation hautement incertaine. A tenter avec un plus gros scope et un meilleur ciel. HCG 55 dans le Dragon. T406 à 292x. Tenté à 440x mais alors trop sombre. Situé non loin de M81-82 c'est encore un Hickson mythique, nettement plus balaise que le précédent car toutes les composantes sont très ténues. Groupe vu sous forme d'un segment sinueux et non comme des composantes individuelles. La composante (a) est une zone à l'évidence plus lumineuse que le reste, la (b) à peine plus lumineuse que le reste. Les autres se fondent dans le segment d'ensemble. C'est grâce à leur agrégation que ces galaxies, sinon trop faibles individuellement pour mon T400, peuvent être "vues". Jones Emberson 1, le casque audio (headphones), dans le Lynx. T406 à 88X. L'OIII fait mieux ressortir les détails que l'UHC. NP difficile, nettement plus que Jones 1, en raison de sa faible magnitude (14 d'après Wiki). La forme d'arc irrégulier est de suite perçue mais l'analyse précise a été ardue. Un "écouteur", celui de gauche, est plus facile que l'autre. L'aspect sur le dessin fait penser à M97, le Hibou. Sinon j'ai un fond de tiroir assez volumineux du Restefond d'août dernier, je n'avais publié que les dessins faits au T1m de David. Et puis quelques NP de juillet faites au club (CAV). Abell 39 dans Hercule. T406 à 88x et 175x, UHC et OIII mais UHC permettant de grossir plus l'image. Visible sans filtre mais très faible, par contre étoile centrale vue sans filtre. CAV 23 juillet 2020. Abell 43 dans Ophiuchus T406 à 175x et UHC. Visible sans filtre mais très faiblement. CAV 23 juillet 2020. Abell 46 dans la Lyre T406 à 175x et UHC. CAV 23 juillet 2020. Abell 61 dans le Cygne. T406 à 88x et OIII, devinée sans OIII. Restefond 2020. Vaste coquille avec une portion plus épaisse. Abell 65 dans le Sagittaire T406 à 88x et OIII. Forme allongée atypique, en gellule. CAV 23 juillet 2020. Abell 66 dans le Sagittaire T406 à 88x et UHC. Restefond 2020. Vaste coquille. Abell 72 dans le Dauphin. T406 à 88x et OIII. Restefond 2020. Coquille difficile, deux arcs opposés ressortent à peine. Abell 75 dans Céphée T406 à 220x et UHC, devinée sans filtre. Restefond 2020. Petite coquille plus épaisse sur un large secteur. Jones 1 dans Pégase T406 à 88X et OIII. Restefond août 2020. Assez grande NP facile à repérer, ses contours sont bien définis à l'OIII ; deux portions de la coquille sont sinueuses et lumineuses, elles se font face et donnent une forme évasée à la NP. Minkowski 2-9 dans Ophiuchus T406 à 440X, CAV le 19 juin 2020. Proto NP pas si petite que ça mais faiblement lumineuse, j'ai tenté de grossir davantage mais l'image s'assombrit de trop. Centrale bien visible, de part et d'autre de celle-ci sont placés symétriquement deux nodules lumineux qui sortent assez bien avec le filtre UHC (celui du haut du dessin, au sud, est plus massif et lumineux). Ils sont clairement déconnectés de la centrale. La sensation de deux jets symétriques est mieux perçue en restant à 220X. OIII essayé mais trop sombre. Minkowski 1-79 dans le Cygne T406 à 440X, avec et sans UHC. Restefond août 2020. Une des rares "Minkowski" pas trop petite ni trop ténue. Son étude demande tout de même de l'attention pendant un temps certain, mais elle est gratifiante. Minkowski 4-17 dans le Cygne 406 à 440X, UHC. Restefond août 2020. NP à la fois petite et de faible luminance, il n'a donc pas été possible de grossir de trop. Une forme en anneau ovalisé est tout de même perceptible, avec des rehauts opposés. Pas la NP du siècle. NGC 6309 dans Ophiuchus T406 à 880X au CAV, 19 juin 2020. Facilement repérable, forme bien délimitée, NP suffisamment lumineuse pour être fortement grossie. Les contours sont sinueux et comportent quelques nodules clairs. NGC 6537, l'Araignée Rouge dans le Sagittaire T406 et T600 à 880x, Restefond août 2020, seeing bon. La partie annulaire (10'') sort à fort grossissement grâce à sa forte luminance, les extensions sont à peine perceptibles et vues en partie seulement. Hickson 16 dans la Baleine T406 à 220x, Restefond août 2020. Joli quatuor. Hickson 88 dans le Verseau T406 à 220X, CAV 23 juillet 2020. Les trois composantes de droite sortent bien, la 4ème à gauche est récalcitrante et il faut chercher au bon endroit pour la percevoir par instants. Sa forme en fuseau est sensible. Hickson 93 dans Pégase T406 à 220x et T600 à 250x. Les spires de la composante du bas à droite ont été vues au T600. Restefond août 2020. Portez-vous bien ! Fred.
  34. 2 points
    salut, ne pouvant pas passer deux heures sur le telescope, j'ai voulu tester mes apn, donc voici les résultats : CANON SX 10 is ( capteur 1/ 2.3 pouce ) 10 mpix test au zoom maxi 560 f 5.7 iso 800 ( c'est limite, 1600 c'est la cata ), poses de 15 sec ( le maxi ), pas de dof. alignement et empilement avec dss, traitement leger car issu de jpeg 8 bits avec gimp. Total de 40 poses soit 10 min. Et en jpeg car il ne fait pas le format raw. J'ai fortement diminué à 20% car au dessus c'est horrible. Deuxième essai, meme appareil, par contre : 400 mm , f 5.0 , iso 400 , 68 x 15 sec ( 18 min ), avec darks. Et pareil, forte diminution du format de départ. Et ce matin, je me suis aperçu d'un décalage de mise en station de 56'.....d'où, je pense les étoiles allongées, car après réglage de celle-ci ce matin, je devrais etre prêt pour ma tete de cheval avec un delta de moins d'une minute sur le drift align de phd. Cette version est moins bruitée que la premiere ( avec laquelle je me suis battu pour le bruit ) mais pour avoir un semblant de bras, il a fallu cramer le coeur. J'en suis à mes essais et je pense rester sur la premiere à 560 mm, bien travailler le bruit, aller jusqu'a 30 min de poses, et faire une série à 5 sec pour le coeur. Et comme mon apn n'a pas de telecommande, je lance avec le retardateur en série de 10 poses, plus le temps qu'il enregistre les photos, ça me fait rester à coté pour le relancer toute les 5 min, et ce pendant le double du temps d'expo voulu.....en gros pour la prochaine, 120 x 15 sec = 1800 sec x 2 = 3600 sec.............1 h.... et il faut que les piles tiennent tant qu'à faire !! Et pour l EOS 450d, j'ai viré le resultat car non seulement la mise en station n'était pas bonne, donc pour mes poses de 30 sec ça n'allait vraiment pas. Je n'ai pas eu le temps de rectifier car j'étais pressé. La prochaine fois, je pense que le mieux est de brancher sur le pc et de regarder la pose à l'ecran. J'ai fais vite. De plus, avec mon 18-55 sur 55 , la nebuleuse est vraiment petite. Il va falloir que je vois si un adaptateur existe pour aller du 450d au 130/900 cremaillere de base...... a plus.
  35. 2 points
    C'est peut être un peu tard, mais si tu essayais la soupe pour grandir un peu AG
  36. 2 points
    Merci com423 ! Comment je fais c'est simple en tirant sur la poignée à cerf-volant attaché au fil électrique pour tracter mon chariot maison !.
  37. 2 points
    Ah Fred comme tu nous gâtes toujours avec une profusion de cibles qui sortent de l'ordinaire, c'est trop beau! Et l'analyse est grandement facilitée par tes schémas techniques. Tu sais que j'aime comparer tes dessins avec ceux de Uwe Glahn ( T690 F/4,2) dans le Interstellarum Deep Sky Guide, voici ce que j'ai relevé > - HCG 40 Hya: chapeau pour ta 27515 m16,7 à 440x! Uwe a les 5 gal à 419x - HCG 55 Dra: A, B,C, D et E sont séparées chez lui à 586x - Abell 46 Lyr: identique chez toi à 175x que chez Uwe à 293x - M2-9 Oph: vos dessins sont identiques, toi à 440x et lui à 837x ! - M1-79 Cyg: la tienne à 440x. Identique chez Uwe à 586x, mais il a 4 étoiles de plus. - M4-17 Cyg: la tienne à 440x. Celle d'Uwe à 596x est légèrement plus contrastée. - NGC 6309 Oph: la tienne est à 880x. Celle d'Uwe à 837x est un peu plus contrastée et il a l'étoile centrale. Pour mémoire, le site perso de Uwe Glahn > http://www.deepsky-visuell.de/ Fred, pour résumer, tu as vraiment de bons yeux! Merci pour le partage! Patrice P.S. Vivement que ce bordel de covid se termine, j'aimerais tant retourner avec toi chez Hottie en AfdS!
  38. 2 points
    je ne sais pas si il y a un moyen mathématique pour avoir le bon temps de pose. Ma technique pour savoir si je suis pas trop rapide c'est de faire un premier stack de 10mn, si à l'empilement la cible se presente bien alors je suis sur le bon chemin. regarde un exemple avec M1:
  39. 2 points
    Yeaaah quel post ! Bravo Fred Le choix des cibles est top. Ça donne envie d'aller les débusquer. Je suis en manque... Je n'ai pas encore oser braver le couvre feu pour m'éloigner du halo de pollution Nantais mais ça me démange.
  40. 2 points
    tres bien !! l'année dernière dans mes debuts, non seulement elle est à l'extremité de mon champ, mais en lançant les poses classiques de recherche ( 3-4 sec en bin2 ) je ne voyais rien..... Du coup, les derniers soirs où j'aurais pu l'imager, j'ai allongé les poses, et elle est apparue, mais juste avant les nuages et mauvaise meteo. je ne l'ai pas faite. En refléchissant, elle est vraiment à l'extreme de mon champ et ce serait pour des sessions de 20 min.....du coup, je ne la ferait pas. en attendant, j'ai vu celle là !!
  41. 2 points
    Bonjour René, Je vois que tu apprécies les petites billes. Merci. Bon pour se remonter le moral, on va faire une comparaison avec une des toutes premières Mars que j'ai captée avec webcam et M180. Je débutais en imagerie astronomique. Par chance j'ai gardé toutes mes archives et j'archive aussi mes sujets ici. Lucien
  42. 2 points
    et faisons avec ce que l'on à, meme si le resultat est inferieur aux possibilités du materiel, ou si le temps pour imager est manquant...... gardez le sourire !!
  43. 2 points
    Pas convaincu par le Topaze denoise mais plus par la focale d'homme en imageant sur cette belle du Lion. Avec la taille des pixels de la 183MM c'est vraiment bien rond A+ Raph Un petit exemple d'une brute de 2019 T200/1150 3min Atik 460EX
  44. 2 points
    Bonsoir, Anne, René, Christophe. C'est tentant d'user des Déconvolutions, Ondelettes et compagnie. Et pas forcément facile d'être raisonnable. On peut faire plus petit pour ça. Comme celle-ci peut-être... De toute façon on en tirera pas plus avec 5.9 secondes d'arc et le Mewlon. Lucien
  45. 2 points
    Merci Pour la résolution / diamètre, moi ça me choque pas... mon téléobjectif photo 500mm F4 me donnait sensiblement les mêmes détails en CP, les étoiles étaient même plus fine quand je faisais la MAP... FWHM qui descendait jusqu'à 2, contre 2.5 au mieux avec l'hyperstar. Seulement F4 c'est pas F2.2. Ce n'est pas la même version du traitement, ni une image finie, mais voilà grossièrement le champs.
  46. 1 point
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  49. 1 point
    Ils ont passé le test PCR? Alain.L
  50. 1 point
    Pour les géologues, plusieurs contributions présentées ce jour à l'occasion de la 52e Lunar and Planetary Science Conference (LPSC 2021) lors d'une session (virtuelle) dédiée à l'exploration de Glen Torridon par MSL Curiosity : - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/2765.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/1519.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/2127.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/1271.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/1502.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/2649.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/1586.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/2405.pdf A propos des études stratigraphiques de la transition argiles-sulfates dans le cratère Gale, Justin Cowart (Stony Brooke univ.) rapporte ces indications exposées par William Rapin (CNRS/IRAP, Toulouse) à partir des observations faites par l'instrument ChemCam/RMI (Daniel, merci de corriger si c'est mal traduit) : - la texture observée de la formation Murray, au pied du contact avec l'unité de sulfates, est habituellement associée sur Terre à l'excavation et la réhydratation lors de périodes d'évaporation - au-dessus se situe une zone sédimentaire à couches tabulaires mélangée à une stratification transversale indiquant la migration de dunes en remontant vers le Mont Sharp - par dessus se trouve un "lit de marquage" (marker bed) que l'on retrouve sur tout le Mont Sharp : une unité d'épaisseur irrégulière essentiellement constituée de blocs rocheux, interprétée comme une surface érodée après l'arrêt de la migration des dunes, indiquant peut-être un changement climatique - l'unité de sulfates occupe l'étage supérieur à cette zone et il est possible que des dépôts en strates horizontales d'origine subaquatique s'y rencontrent à nouveau - la zone des sulfates a donc pu enregistrer la période d'un environnement aride suivie d'une transition vers un nouvel environnement où les dépôts sont contrôlés par des mouvements de la nappe phréatique (similaire à celui rencontré à Meridiani Planum interprété comme une migration de dunes sur une surface d'érosion marquée par la nappe phréatique) Une vue oblique de la région du canyon de Gediz Vallis montrant la stratigraphie au pied du Mont Sharp (le pédiment Greenheugh est la zone en vert, une vaste unité de grès éoliens). Extrait de : https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2019/pdf/2263.pdf (Bryk et al., LPSC 2019) D'après une lecture de John Grotzinger (qui conclut sa présentation par "Dans un environnement comme le cratère Gale, un biote profond est parfaitement envisageable parce qu'en profondeur les roches ont été lourdement fracturées et altérées lorsqu'un lac occupait ce lieu. Des minéraux ayant subit une telle altération (argiles, hématite, etc.) en sont une évidence.") : Suite des présentations "Exploration du pédiment Greenheugh, unité de sulfates et au-delà" au LPSC 2021 : - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/2300.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/2411.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/1569.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/2337.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/2216.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/1479.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/1192.pdf - https://www.hou.usra.edu/meetings/lpsc2021/pdf/1484.pdf Dans l'une des dernières discussions, Ray Arvidson (Dépt. des Sciences de la Terre et planétaires à l'univ. Washington de St Louis) a donné quelques résultats préliminaires des observations effectuées sur le Mont Mercou. Il a précisé entre autre que le spectre CRISM (Compact Reconnaissance Imaging Spectrometer for Mars, spectromètre infrarouge monté à bord de l'orbiteur MRO) de cet endroit est très différent de ceux déjà obtenus par ailleurs et que la campagne de forage in situ promet des résultats très intéressants. Il a également ajouté que Curiosity pourrait s'approcher suffisamment près de la paroi du Mont Mercou pour que l'instrument DAN (Dynamic Albedo of Neutrons, détecteur actif et passif de neutrons dont l'objectif est de détecter la présence d'eau en mesurant l'hydrogène présent jusqu'à 1 mètre sous la surface), situé sur le côté du rover, puisse effectuer des mesures sur l'intérieur de la falaise. Vue prise il y a 15 Sols :