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Affichage du contenu le plus aimé le 14/12/2021 dans toutes les zones

  1. 22 points
    Bonjour à vous Je vous présente deux images de C/2021A1 (Léonard) du 7 décembre à 6H, addition de 10 images de 1 minutes. Traitement avec Asi Studio régistration sur les étoiles Et la deuxième traitement Prism 11 et régistration sur la comète Réalisée depuis mon observatoire en Belgique Mettet, Province de Namur. Avec un Newton 250 F/D 3.8, camera ASI ZWO 294MC pro.
  2. 12 points
    Bonsoir, L'avant dernière galaxie de ma série d'avril, NGC4151, galaxie active 198 poses de 2 minutes avec le newton 300 et l'ASI 2600 couleur Outre sa référence littéraire ("l'oeil de Sauron"), j'aime beaucoup le champ galactique d'arrière plan qui sera surtout visible sur l'image de pleine définition ici: http://rivesmax.fr/images/ngc4151.jpg En version plus légère: Cordialement, Max
  3. 12 points
    L'été 2021 a été pour moi une bataille pour prendre un objet en particulier : les piliers de la création. A chaque fois que j'allais à l'asso c'était pour prendre cette nébuleuse. Malheureusement, je n'ai pas obtenu la photo très détaillé que j'espérais... Voici donc une de mes tentatives. J'ai utilisé le T520 de l'asso copernic et une barlow x2 televue propulsant la focale à 4724mm précisément ! J'y ai accroché le 350Da de l'asso et là premier problème... ça plie. Et oui, avec une longueur de 30cm, l'ensemble met à mal le porte occulaire. Donc il y a du tilt. Aussi, je n'ai que peu de pose, donc le résultat est bruité. A refaire ! T520 et televue 2" x2 EOS 350Da 48*20sec (16min) 800 iso Seeing bon Voici le FWMH global : 2.24" Et maintenant voici l'image :
  4. 10 points
    Salut à tous, Voici maintenant la 2e partie des images de la Lune prise le 26 octobre matin au RC-500 d'Astroqueyras : Pour les premières images, j'étais encore avec l'ASI290 est principalement le filtre IR 685 : Ensuite, je suis passé à l'ASI1600 et au filtre rouge. C'était mes premiers essais avec l'ASI1600. J'avais fenêtré le capteur. L'expérience a montré par la suite que ce n'était pas la meilleure option. Je n'ai pas essayé le filtre vert cette nuit-là. Ce sera la cas pour la nuit du 28 octobre. On commence avec Lacus Mortis pris un peu moins de 2 h après l'image précédente. On voit bien l'évolution des ombres portées sur le terminateur : La suivante est une de mes préférées, avec pas mal de dômes visibles un peu partout, et nombre de rainures. Les plus fines rainures dans Boscovitch (à gauche au-dessus de la rainure Ariadaeus) font 250 m de largeur. Les plus petits cratères détectés font autour de 350 m de diamètre. La comparaison avec les images de Viscardi prises dans les années 80 avec son Cassegrain de 50 cm montre, à diamètre équivalent, combien la technique (capteurs et logiciels) a progressé depuis. Çà serait intéressant de voir ce donnerait maintenant un Cassegrain de 500 optimisé pour le planétaire placé dans un bon site.. La zone de Tycho : Stofler et son voisinage : Pour Clavius, je reviens avec l'orientation sud en haut. Je n'arrive pas à me faire aux images de Clavius avec le nord en haut Au bord du limbe sud, l'effet 3D est assez marqué, surtout si on peut voir l'image sur un grand écran : Voilà ! Il doit me rester encore deux ou trois images lunaires à traiter, puis ce serait fini du traitement des images lunaires des missions Astroqueyras 2021. Vivement le retour là-haut en 2022 ! L'ensemble des images lunaires prises au RC-500 lors des missions lunaires 2021 se trouvent ici : http://astrosurf.com/viladrich/astro/moon/closeup/RC500/Moon-RC500.html
  5. 9 points
    Bonjour à tous, Enfin un peu de Soleil dans le ciel ! C'est le moment pour lacer les chaussures mettre les vêtements de baroudeurs et d'aller crapahuter avec l'APN (ici caméra..) et d'aller voir les animaux ! Un petit safari vous est présenté avec les nébuleuses dans le ciel du moment, coté Nord et Est ! En avant pour la nébuleuse très connue nébuleuse de la tête de singe, puis celle de la tête de poisson (assez difficile à faire ressortir) ! Bonne balade et bon ciel ! A+
  6. 8 points
    Le désert d'Atacama et l'observatoire de l'ESO : un lieu exceptionnel, des machines exceptionnelles :-)
  7. 8 points
    Bonjour tout le monde! Tradition personnelle oblige, chaque année en début d'hiver, c'est l'heure de la Grande nébuleuse d'Orion! Au L-Extreme avec le 6D MkII, et le Newton 1000/200. J'ai utilisé le même setup l'année dernière pour cette même photo et le résultat est complètement différent (la photo était très rouge et on ne distinguait quasiment aucun bleu), alors que je n'ai pas vraiment changé ma routine sur Pixinsight.. Il doit y avoir une variable paranormal qui entre dans l'équation..... A moins que ce soit parce que l'hiver dernier je faisait des subs de douuuuuze minutes sous un ciel très pollué (ce qui fait que l'histogramme était presque collé sur la droite). Et qu'après rectification, cette année je me suis limité à trois minutes par sub (l'histogramme est légèrement sous le 1/3). En tout cas c'est toujours un plaisir de photographier ce bel objet
  8. 7 points
    Parce que ça faisait longtemps que le ciel était rempli de nuages, ça a fait plaisir de la revoir un peu avant-hier soir. Emmanuel
  9. 7 points
    Bonjour à tous Vu la météo dans le sud-Ouest (et un peu partout en France...) ce week-end, je suis parti dans l'Hérault pour trouver du beau temps et tenter une dernière fois d'observer et photographier la plus.... belle comète de l'année Bon, ce n'est peut-être pas très raisonnable de faire 3h de route pour voir une comète, finalement peu spectaculaire, mais quand on a la passion ! En visuel au Dobson de 200 mm, elle ressemble à une comète avec une queue bien visible sur 0.5°. Et puis, c'était aussi l'occasion de se faire un petit week-end dans un coin, bien sympa, autour de Saint-Guilhem le désert . Par contre, le ciel est un peu pollué par les lumières de Montpellier. Pour commencer, au milieu des vignes, l'addition de 88 poses de 6 secondes avec Sequator. Canon 6D + objectif Tamron 24 - 70 mm à 2.8 (utilisé à 70 mm à 2.8) à 3200 iso + filtre Optolong L Pro. Le tout sur trépied. Toujours sur trépied et donc sans suivi, addition (avec SiriL) de 102 poses de 3.2 secondes à 6400 iso avec un 70 - 200 mm à 2.8, utilisé à 135 mm à 2.8. Canon 6D + filtre Optolong L Pro Photos sans prétention, mais au moins j'ai pu un peu voir cette comète et par les temps qui court, ce n'est déjà pas mal ! Patrick
  10. 6 points
    Bonsoir à toutes et tous (j'ai travaillé à la radio ) Ben quand je reprends je reprends...toujours été excessif ! Donc une partie de la session d'hier soir, j'ai sorti toute ma batterie d'instruments, le mont Palomar peut se rhabiller...La petite APO 70/420, le TAL 110/800 et enfin la star des stars, le Catamaran 158/1220 ! Je vous présente juste les images faites au 158, cause traitement super long (les images sont des crops) et pétage de gueule en moto cet aprèm...(une sombre histoire de rosée restée vicieusement tapie dans l'ombre d'un virage aveugle) Bref, faisons plus court : 2 lunes entières, la première mode vidéo 4K, la deuxième empilage de 45 images plein format (miam !) et ensuite des gros plans en 4K et barlow x2,5. Pas encore réglé mes problèmes de textures "lissage" moche du rendu vidéo...j'y travaille ! Ouf voilà tout ! Belle soirée à toutes et tous Fred
  11. 6 points
    Bonsoir, Je vous propose ce soir un champ qui a connu un certain succès à l'automne et auquel je suis attelé moi aussi : l'amas ouvert M52, la nébuleuse de la Bulle NGC 7635 et en bonus la Novas Cas 2021 découverte le 18 mars 2021 mais encore étonnament brullante 6 mois plus tard ! Voici donc la version cliquable pour la full : Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, 217 poses de 02min à -15°C (gain 120), Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Sur 6 nuits durant les lunaisons du 29 août au 06 septembre 2021, temps d'intégration de 07h 14min Traitement Siril 0.99.10.1, Finition avec Gimp 2.10.24 J'ai dû bidouiller dans Gimp pour avoir un champ contrasté et une bulle non saturée. Sur la full, çà se voit mais au départ j'avais çà : Alors qu'il y avait du détail dans la Bulle, comme le montre ce crop de Siril en visu Asinh : C'est vraiment un beau coin de ciel, je trouve Pas étonnant qu'il soit mitraillé par les photographes !
  12. 6 points
    Aujourd'hui j'en proposerais bien un ou deux, très proches de ces équidés, qui seraient de bons candidats..
  13. 5 points
    Encore quelques images de cet endroit, peut-être le plus extraordinaire et spectaculaire depuis le début de la mission Agrandir les images MOSAÏQUE NAVCAM - 12 DÉCEMBRE 2021 (SOL 3324) - Kevin Gill : Vers le Nord et les lointains remparts du cratère Gale PANO MASTCAM - 12 DÉCEMBRE 2021 (SOL 3324) : Mur du "Fronton de Greenheugh" (12 m de haut) à l'Ouest du Corridor "Maria Gordon" Version de Damia Bouic Version de LarsTheWanderer MOSA MASTCAM - 12 DÉCEMBRE 2021 (SOL 3324) - Elisabetta Bonora : Falaise à l'Est du Corridor PANO MASTCAM - 7 DÉCEMBRE 2021 (SOL 3319) - Damia Bouic : PANO MASTCAM - 7 DÉCEMBRE 2021 (SOL 3319) - Thomas Appéré : Vue qui permet de découvrir le paysage au delà du Corridor - à droite au loin la crête Gediz Vallis Vers "Gediz Vallis" - CONTEXTE / POSITION au 12 décembre : MAHLI - 8 DÉCEMBRE 2021 (SOL 3320) : Examen des roues
  14. 5 points
    Plus ou moins Les technologies d'un lanceur ou d'un moteur fusée ont peu évoluées depuis les années 60. Fin 60 début 70 la NASA a publié, libre de droits, un certain nombre de documents intitulés "NASA SP - XXXX" qui présente l'état de l'art sur différents sujets. Par exemple, si tu veux apprendre à faire un inducteur de turbopompe spatiale comme la NASA, avec critère de conception, c'est le NASA SP-8052: https://ntrs.nasa.gov/api/citations/19710025474/downloads/19710025474.pdf Il existe grosso modo un document du même type pour chaque composant principal d'un lanceur ce qui dégrossis énormément le terrain pour quelqu'un qui voudrait se lancer dans la conception d'un lanceur de zéro. A partir de la fin des années 70, peut-être parce que la NASA s'est rendue compte justement que les technologies n'allaient plus vraiment évoluer, elle est devenue beaucoup plus discrète sur son état de l'art...
  15. 4 points
    Bonjour j'ai honte, ha le bon pied photo, c'est moche, mais faut dire qu'elle n'est pas brillante, et encore moins visible A7s, 135 mm , avec recadrage comme toujours quand on fait du moche, faut l'assumer, non ? Pardon, snif ....
  16. 4 points
  17. 4 points
    Aujourd'hui j'en proposerais bien un ou deux, très proches de ces équidés, qui seraient de bons candidats.. Si Audiard était parmi nous, il pourrait dire : quand on mettra les ânes sur orbite, t'aura pas finit de tourner. Sinon, pour cette histoire de carburant fait à partir du CO2 de l’atmosphère, c'est super mais j'ai une question : est-ce que ça sera seulement pour les fusée ou bien est-ce qu'on pourra s'en servir aussi pour propulser les sous-marins sauveurs d'enfants coincés dans des grottes ? jf
  18. 4 points
    Oui.. mais ça s'explique. On sait que la constipation est le propre des personnes anxieuses, à lourdes responsabilités ..
  19. 4 points
    Il doit y aller souvent vu tout ce qu'il touite Bonne journée, AG
  20. 3 points
    Bien décidé à profiter de la comète Léonard, boule de neige idéalement lancée en prélude des festivités de Noël, je suis ressorti cette nuit. La météo était hésitante, comme souvent au Japon. En substance, la prévision pouvait se résumer à "S'il n'y a pas de nuages, le ciel sera dégagé". Je n'en demandais pas plus ! Pour réduire tant que faire se peut la pollution lumineuse de mon horizon Est, je ne m'arrête pas à mon spot habituel mais poursuit ma route vers l'Ouest, jusqu'à rejoindre un haut plateau - 1300m - réputé pour ses pâtures, ses centres équestres, ses campings d'été et ses gîtes champêtres. Ledit plateau est un haut-lieu du tourisme estival pour les habitants de Tokyo : il offre une fraîcheur salvatrice lorsque la chaleur et l'humidité étouffent la capitale. La route torturée qui mène aux prairies d'altitude traverse une grande forêt pentue dans laquelle je distingue, épinglées par le pinceau des phares, plusieurs vieille maisons délabrées, abandonnées, parfois effondrées, envahies de mousse et de plantes grimpantes. L'atmosphère est sinistre au possible, d'autant que des écharpes de givre s'attardent par endroits et déjà, blanchissent la chaussée. Dans le creux d'un virage, tandis que j'atteins le replat sommital et vais sortir de la forêt, je devine une margelle de puits : bah voilà, c'est parfait, on oscille entre Ring et Blair Witch Project ! Par chance, je ne suis plus adolescent et donc, ne saurais constituer un met de choix pour le film d'horreur qui se tourne, forcément, ici et maintenant. De fait, avec ma bedaine naissante et ma barbe en vrac, j'ai plus l'air d'un serial killer que d'une victime ! Dans la pénombre de ce début de nuit, je m'installe à proximité d'une étable désertée. Le thermomètre affiche -2°C. Il taquinera les -10 en cours de nuit. Par moment, les champs se voilent tandis que des lambeaux de brume dérivent lentement dans les creux. Cependant, le ciel est propre. Je suis seul, vraiment seul : d'un horizon à l'autre, aucune lumière, aucune activité n'est perceptible. Seuls deux groupes de daims, une sorte de grosse belette et une souris (!) viendront me visiter, dans cet ordre. Mon projet, vous l'aurez compris, est d'observer essentiellement C2021 A1 Léonard. La lune sera gênante jusqu'à 23h passées mais peu importe, ma cible sera matinale : j'ai prévu d'occuper la soirée à grignoter - un litre de chocolat chaud, du thé, un bento de boeuf au riz - tout en suivant sur Twitch le championnat du monde d'Echecs entre Magnus Carlsen et Yan Nepomniachtchi (avec un nom pareil, je suis surpris qu'il n'ait pas encore découvert de comète). Comme toujours, je passe sur les objets classiques observés cette nuit aux binoculaires APM pour m'attarder sur l'essentiel : j'ai retrouvé avec plaisir les deux petites comètes qui batifolent à proximité des Gémeaux, 67P/Churyumov-Gerasimenko et C/2019 L3 (ATLAS). Alors que ma carte céleste en ligne les donne avec deux magnitudes de différence, elles m'apparaissent à peu près également brillantes. 67P/C-G présente un départ de queue rectiligne plus facile à percevoir que pour L3 ATLAS, dont la traine s'évase et disparaît très vite dans le fond de ciel. Autre bonne surprise de la nuit : la tête de cheval, au méridien dans un ciel bien transparent, se laisse voir à 30x et filtres H-Beta mais aussi, et c'est une première pour mon instrument, à 50x et filtres UHC ! Je ne vous parle pas de M42, cible de choix s'il en est, mon vocabulaire n'y suffira pas... Mais l'heure avance et vers 4h, je m'intéresse à ce qui se passe à l'Orient. Jusqu'à présent, je ne m'en étais guère préoccupé, accaparé par l'observation des astres passés au Sud. Ce faisant, je découvre que la pollution lumineuse de la plaine, pourtant éloignée d'une quinzaine de kilomètres supplémentaires (par rapport à mon spot usuel), persiste et signe. Voyez vous-même : Vers l'Est (en haut dans l'image), le fond de ciel est délavé par les lumières de l'immense plaine menant des montagnes à Tokyo. Pour m'en affranchir, j'aurais pu partir vers le Nord, plutôt que vers l'Ouest. Mais les prévisions météo ne me l'ont pas permis : au Septentrion, neige et pluie garanties ! Un bonheur n'arrivant jamais seul, les nappes de brouillard givrant prennent de l'embonpoint. Elles passent et repassent dans le paysage, perturbent mes observations, martyrisent mes doigts et recouvrent mon équipement, la chaussée et la voiture d'une pellicule de glace de plus en plus gênante ! Je ne cherche la comète que par intermittence, lorsque la brume glacée me le permet... et vers 5h, enfin, je l'aperçois ! - Léonard ? Bon sang, c'est bien toi ? Mais... mais t'es toute pâle ! Certes, tu as bien grossi, mais ni ta coma circulaire, ni ta courte queue n'offrent de détails ! Je suis désabusé... Noyée dans un ciel souillé, la comète manque cruellement de contraste et m'apparaît moins belle, moins détaillée que la semaine dernière, quand elle paradait suffisamment haut pour se rire des lumières parasites. Je prends une photo, rapide, pour marquer le coup... sans même savoir si la comète sera dans l'image. Elle, visible à l’œil nu ? Cette bonne blague ! Note : cette photographie explicite le titre de mon Post La comète Léonard et un météore sont cachés dans cette image (prise de vue unique, 30s, Fuji A6000 et Samyang 16mm) : sauras-tu les retrouver ? Si j'avais profité de ce nouveau Spot astro la semaine dernière, lorsque j'ai commis mon petit crobard, sans doute aurait-il présenté plus de détails encore. Et le show, aux jumelles, eut été tout autre ! Un ciel extrême m'aurait-il permis, cette nuit, de jouir d'un spectacle digne de mes attentes ? Reverrai-je la vagabonde une dernière fois, avant qu'elle et moi ne quittions la scène ? Bien sûr !! Mon âme froissée se console et se nourrit de ce fragile espoir
  21. 3 points
    Bonsoir, 2e partie des Dentelles au menu ce soir Les infos: Skywatcher 80ED + réducteur 0.8X Asi294mc pro + filtre Optolong L-pro sur HEQ5 Rowan 70x120s Gain 120 -10°C Traitement Sirilic, Siril, Pixinsight, PS.
  22. 3 points
    quelques photos prisent avec la lulu de 150 mm F/D 8 , la turbulence est toujours aussi forte , soleil très bas, mais on essaye malgré tout de faire ressortir quelques détails étalon PST optimisé + barlow 2x et camera DMK 41 puis traitement astrosurface
  23. 3 points
    Bonsoir, La nuit de mercredi à jeudi dernier, j'avais installé le 600D en // sur le Newton en vue de photographier la comète Leonard au petit matin. J'ai shooté cette lunaison la belle nébuleuse d'Orion au Quattro et j'ai eu envie d'en profiter pour tirer le portrait de cette constellation phare du ciel d'hiver en entier au 50mm, juste pour le plaisir : EOS600D (non défiltré) + Objectif Olympus-Zuiko 50mm à F/2.8 , 57 poses de 01min à +01°C (800 ASA), Nord en HAUT Monture AZ-EQ6 - suivi de base sans dithering Le 08 décembre 2021 vers 23h00 UTC, temps d'intégration de 00h 57min Traitement Siril 1.0-rc2, Finition avec Gimp 2.10.24 C'est donc fait par opportunité, le dithering a bien été appliqué mais pour les prises au Quattro 200: 5 pixels pour le télescope, ce qui reste insignifiant pour cet objectif de 50 mm échantillonnant à 17,12"/pixel... Il y aurait dû y avoir plus de poses, mais des passages nuageux ont interrompu la séance. Malgré tout, je suis très content du résultat pour une photo toute simple à faire et sans prise de tête. J'espérais voir la boucle de Barnard, un peu mythique pour moi car je n'avais jamais réussi à la photographier correctement en argentique. Même si elle reste faible, on la voit plutôt bien C'est en tout cas vraiment une belle constellation, je trouve. Bonne soirée.
  24. 3 points
    Bon ben donc ça suit le planning nominalement cette histoire .... méfiance avec les sources locales : si elles ont un coup de Ti'punch dans le nez elles peuvent aussi voir des éléphants roses cavaler sur le dos du JWST Après la descente de la coiffe sera à mon avis là aussi très risqué .... ils vont prendre le temps qu'il faut je pense
  25. 3 points
    Deux images sans prétention puisque qu'il s'agit de poses uniques pour l'une et pour l'autre Notre satellite ( en début de soirée de 12/12) et 67P ( le 13/12 à 3:40 TU) 1x120" gain 120 , capteur à -20°C avec l'ASI 294 MM pour Chury Clear skies and stay safe Ph
  26. 3 points
    Le lien avec détails ici: https://www.eso.org/public/images/potw2146a/ Pour ceux qui aiment l'image full fait 1.3 Gb :-D Bons cieux :-)
  27. 3 points
    Un beau cadeau de Noël du Guardian : https://www.theguardian.com/science/gallery/2021/dec/07/northern-lights-photographer-of-the-year-in-pictures
  28. 3 points
  29. 3 points
    Le bonhomme d'il y a deux milles ans n'avait pas les connaissances et la technologie d'aujourd'hui, loin de là. Mais le bonhomme d'il y a deux milles ans n'était pas moins intelligent. C'est vrai que Musk aura fait oeuvre utile et pourra moins culpabiliser lorsque il aura évacué hors atmosphère une partie du CO2 et du protoxyde d'azote qu'il y fourgue généreusement << Il tweete de ses toilettes >> Ok, l'argent n'a pas d'odeur; Mais comment peut-on avoir Elon en odeur de sainteté quand il tire son inspiration dans son PQ QG de base ?
  30. 3 points
    je serais curieux de savoir combien tu dépenses en "fumé" chaque année ou spiritueux... plus sérieusement, faire la proportion entre l'investissement dans le matos, quand je lis certain qui chialent pour 250 €, alors qu'ils viennent de lacher 5000 boules dans une caméra et bien plus pour le reste. La v10 a été une évolution majeure, donc il est évident que la v11 semble peu différente. Mais lors de la présentation, des améliorations liées à une simplification de certaines fonctions et un module d'observation automatique encore plus abouti nous ont été montrés. Dans les mises a jour à venir, l'astrométrie sur les grosses étoiles va etre mise en place ... on se plaindra ainsi moins de la chose (perso je fais en bin 3 et çà fonctionne à tous les coups ...) Et pour le tarif, je vous rappelle que les maj sont gratuites, pour la durée de la version ... pas le cas de nombreux logiciels Bref, chacun verra midi à sa porte ....Prism est et restera certainement le logiciel d'observatoire à utiliser ... il n'y a que ceux qui ne l'ont pas réellement testé (et avec 60 jours gratuit il y a de quoi faire) qui font la fine bouche. Xavier NB : en plus il cause en français ... c'est pas cool çà !
  31. 3 points
    Salut, au début j'étais comme toi, j'avais compris qu'il fallait mettre le PO avec tout ce qu'il y a dessus à l'opposé de la barre de contre-poids. Mais après questionnement (en particulier auprès du vendeur de mon 200/800, salut J-Marc ...) et réflexion, la position "basse" semble effectivement la meilleure, pour l'axe AD en particulier. Un souvenir de mes cours de physique m'incite à dire que si le PO est à l'opposé, donc une distance plus grande par rapport à l'axe de rotation, le moment des forces sur l'axe AD va être plus important, donc pas forcément très bon à la longue sur la mécanique. En plus c'est bien plus pratique avec les chercheurs ou l'oculaire, ça évite de sortir l'escabeau ! Bonne soirée, Franck
  32. 3 points
    Starlink.. Neuralink.. la terraformation de Mars à coups de milliers de bombes H sur les pôles, la future et flamboyante espèce multi-planétaire, la satellisation d'une bagnole, la Teslaquila..et puis il a inventé la fusée, le métro, la voiture électrique, le sous-marin..
  33. 3 points
    Le réveil sonne à 4h30 du matin, dehors un vent glacial souffle en rafale dans la nuit noire. Les conditions sont rudes et ne donnent franchement pas envie de mettre un pied dehors, mais j'essaye de ne pas trop me poser de question et j'embarque rapidement mon matériel d'observation et d'astrophotographie dans la voiture pour rejoindre mes amis à Pichauris, dans la chaîne de l’Étoile, près de Marseille. L'objet de cette envie soudaine d'observer en ce froid matin d'hiver : Le passage de la comète C/2021 A1 Léonard. La comète Léonard n'est pas évidente à photographier ce matin, car au moment où elle se lève le ciel est noir mais elle est trop basse sur l'horizon pour révéler des détails. Et si on attend qu'elle gagne de la hauteur pour pouvoir l'observer à travers des couches atmosphériques plus transparentes, l'aube fait son apparition, le fond du ciel devient de plus en plus lumineux et la comète s'efface ... L'image exposée ci-dessous résulte d'un compositage de 6 poses de 15 secondes à 2500 iso prises à un moment crucial représentant un bon compromis entre la hauteur de la comète et la noirceur du ciel. La photo a été réalisée avec mon Sony A7s et un objectif Pentacon 135 mm installés sur la monture Sky Adventurer. Le tout entre les rafales de vent glacées ...
  34. 3 points
    Oh misère, ça je l'avais oublié par contre...
  35. 2 points
    NGC 7662, connue aussi sous le nom de la boule de neige bleue se trouve dans la constellation d'Andromede. C'est une petite nébuleuse planétaire bien lumineuse , sa magnitude surfacique est de 8.6 , c'est une candidate parfaite pour les poses courtes avec un échantillonnage d'homme. Elle se trouverait à 5600 AL de la terre pour une dimension réelle de 0.8 AL. J'ai voulu sortir la première bulle qui apparait sur certaine capture (CPU de JFBax) mais le temps en a décidé autrement! Donc cela sera que des poses de 350ms à 2s pour un début de bulle... En recoupant plusieurs sessions j'ai pu profiter d'un RSB parfait pour pousser (trop peut être?) la déconvolution. Mon matériel habituel d'amusement: TN300F4, barlow 2.5x, données de 2016(asi224)-2019(290mm)-2020(290mm)-2021(playerone). En gros j'ai 40000x350ms pour le coeur, 6000x1s pour la couleur. Siril (la version RC2 de 1) m'a permis de pousser plus loin mon tri en recoupant la FWHM et la rondeur, la rapidité du tri avec la liste est bien plus rapide qu'avant. Pour la stabilité le fait d'utiliser le mode 3 points améliore sa précision! En resumé , je suis tres content des possibilités de ce logiciel! Merci aux concepteur de SIRIL! un lien sur la full (moins comprimé): https://www.astrobin.com/full/uf1042/0/ Stephane
  36. 2 points
    Bonsoir Hier j'ai eu mon créneau (voir poste et un super créneau! Les conditions étaient bonnes jusqu'à l'arrivée de la brume à 21h. Je lui ai tiré le portrait avec la barlow ce qui est rare!! J'ai poussé le nombre d'images dans mes avis à 5000 au lieu de 3000 au foyer. Je voulais voir Rima Bode que j'ai pu observer à la bino....C'est rikiki!! Traitement avec AS3 et régistax et photofiltre. Sur Aristillus j'aime bien cette petite coulée sur son flanc en forme de V ou de langue de vipère. Pas de lune ce soir.....la brume est venue épaisse et bien vite!! Arzachel c'est au foyer bien sûr!
  37. 2 points
    en fouillant dans mes diapos pour les scanner, je suis tombé sur ce cliché pris il y a presque pile poil 25 ans . diapositive Fujichrome 400 iso poussée à 800 (développement perso) une seule pose de 20 min au téléobjectif Pentax de 300 mm ouvert à F/4 effectuée sur SPDX sans guidage à une vingtaine de km de Chartres on y voit la nébuleuse ngc 2024, on devine la tête de Cheval et tout en haut à gauche, la nébuleuse à réflexion M78 bonne journée les amis
  38. 2 points
    Je vous propose Jupiter, Mars et Jupiter que j'avais pris avec mon tout petit Newton 114/900 motorisé, en 2005 et 2006 avec une toute simple webcam toucam pro2, un oculaire de 5mm , du tirage et le tout piloté par un ordinateur portable de l'époque!!!!!!. C'est pour moi de la nostalgie car je n'en fais plus, beaucoup trop âgé et d'ailleurs je n'ai jamais fait mieux. On faisait partie du gang des 114 avec d'autres collègues à l'époque. Alors si parmi vous il y a des possesseurs, peut être des jeunes, de ce type de télescope on peut obtenir de très belles images en planétaire. Désolé pour ce retour en arrière que certains trouveront peut être inadapté Ce n'est qu'un témoignage d'un vieux d'Astrosurf.
  39. 2 points
    Je persiste et signe: ces oculaires ont existé en 24,5 et en 31,75 simultanément, y compris avant 1980. Le document que tu mentionnes n'est pas le plus ancien, loin de là. Donc je répète : l'oculaire dont on parle plus haut ne me semble pas bricolé. J'en ai eu et j'en possède encore quelques-uns, je n'ai pas l'impression qu'ils aient été transformés après achat. Soit dit en passant, Tani ne fabriquait pas uniquement du 24,5.
  40. 2 points
    J'espère que tu as raison... Toujours est-il que l'ESA a publié aujourd'hui un communiqué pour dire que le JWST avait été placé au sommet du lanceur Samedi dernier.... Par contre il n'est fait mention nulle part de la date de lancement : https://www.esa.int/Science_Exploration/Space_Science/Webb/Webb_placed_on_top_of_Ariane_5 étrange... Bon, en attendant on a quelques photos :
  41. 2 points
    euh non pas exactement ! et ce d'autant plus qu'au Japon le coulant le plus répandu est le 0.965" (24.5mm) et même en oculaires neufs pour le marché japonais actuel les Meade MA lettrés bleu sont sortis en 1980 avec les deux coulants, le coulant en 0.965 étant destiné principalement au marché nippon intérieur regardes ci-dessous :
  42. 2 points
    Une information que nous étions nombreux à attendre je pense. Et qui mérite peut-être plus qu'un simple tweet qui ne paraît pas complètement conforme à ce qui suit (Mais peut-être es ce dû à mes corrections de la traduction automatique ?) : https://www.esa.int/Science_Exploration/Human_and_Robotic_Exploration/Exploration/ExoMars/Double_drop_test_success_for_ExoMars_parachutes Traduction automatique corrigée : Succès des tests pour les parachutes d'ExoMars Le plus grand parachute destiné à voler sur Mars a terminé avec succès son premier test de chute à haute altitude, une étape critique pour s'assurer que la mission ExoMars est sur la bonne voie pour un lancement en 2022. Les parachutes du premier et du deuxième étage ont maintenant volé avec succès cette année. Deux tests de chute à haute altitude ont eu lieu dans l'Oregon les 21 novembre et 3 décembre dans le cadre des essais de parachute en cours, pour assurer l'atterrissage du rover ExoMars Rosalind Franklin et de l'atterrisseur Kazachok sur la surface martienne, en juin 2023. Le parachute subsonique de 35 m de large, le plus grand jamais lancé pour une mission martienne, était au centre de la dernière campagne d'essais. Ce parachute est fabriqué par la société européenne Arescosmo, avec un soutien fourni par Airborne Systems, basé aux États-Unis. « Les deux parachutes se sont déployés et ont volé à merveille », explique Thierry Blancquaert, chef d'équipe du programme Exomars de l'ESA. « Nous avons maximisé les leçons tirées de tous les tests précédents et avec ce double succès, suite à l'impressionnant déploiement de parachute du premier étage plus tôt cette année, nous sommes vraiment sur la bonne voie pour le lancement. Nous avons démontré que nous avons deux parachutes opérationnels pour notre mission sur Mars. L'équipe continuera à tester les parachutes pour s'assurer de leur irréprochable sélection finale, avec le plus d'opportunités de test possibles en haute altitude au cours de 2022, tant pour le parachute du premier que celui du deuxième étage. Nous devions faire voler le parachute du premier étage d'Airborne Systems et le parachute du deuxième étage d'Arescosmo, avant la dernière campagne d'essais en mars 2022. Réussite des tests pour les deux parachutes : https://www.esa.int/ESA_Multimedia/Videos/2021/12/Double_drop_test_success Le lancement de la mission ESA-Roscosmos ExoMars est prévu pour avoir lieu en septembre 2022. Après une croisière interplanétaire de près de neuf mois, un module de descente contenant le rover et la plate-forme sera relâché dans l'atmosphère martienne à une vitesse de 21 000 km/h. Son ralentissement nécessite un bouclier thermique, deux parachutes principaux, chacun avec son propre parachute pilote pour l'extraction, et un système de rétropropulsion déclenché 30 secondes avant le "touch down". Le parachute principal du premier étage, de 15 m de large, s'ouvre alors que le module de descente se déplace toujours à des vitesses supersoniques, et le parachute principal du deuxième étage d'une largeur de 35 m, est déployé à des vitesses subsoniques. Ajuster et tester les parachutes d'ExoMars a été une priorité suite à une série de tests infructueux en 2019 et 2020. Le premier succès en haute altitude a eu lieu en juin 2021 avec le déploiement sans anicroches du premier parachute principal avec l'assistance de Airborne Systems. Dans cette série de tests, le parachute du deuxième étage (de 35 m de large) fourni par Arescosmo, avait subi un dommage mineur, probablement en raison d'un détachement imprévu de la goulotte pilote, lors de son déploiement. Cependant il avait quand même décéléré le véhicule d'essai comme prévu. Dans les mois qui ont suivi, la fixation de la goulotte pilote a été changé et les renforts en Kevlar ont été remplacé par du nylon sur deux anneaux de la voilure pour mieux correspondre à la résistance et l'élasticité du parachute, ceci afin de réduire le risque de déchirure. Séquence de déploiement du parachute ExoMars 2022 Les ajustements du système de parachute sont d'abord testés sur le banc d'essai d'extraction dynamique de la NASA/JPL, pour vérifier comment se produit la libération du parachute de son sac de rangement, comme cela se produirait dans l'atmosphère martienne. Ces tests peuvent être répétés rapidement et réduire les risques d'anomalies. Les tests de chute à haute altitude nécessitent une logistique complexe et des conditions météorologiques strictes, ce qui les rend difficiles à programmer. Ils sont souvent annulés au dernier moment si une situation changeante ne les autorise pas. La vitesse et la direction du vent à différentes altitudes doivent être prises en compte pour une ascension régulière du ballon ainsi que la récupération au sol du matériel, étant donné que la zone de largage n'est accessible que par hélicoptère et ne doit pas se trouver dans des zones peuplées. Il ne doit pas non plus y avoir de précipitations, de nuages ou de brouillard, et l'humidité doit être telle que la condensation ne se dépose pas sur l'immense enveloppe du ballon de 335 000 m 3 car cela entraînerait un important ruissellement d'eau sur le module d'essai et son électronique. Une fois ces exigences remplies et le feu vert donné pour gonfler et lancer le ballon stratosphérique rempli d'hélium, le module d'essai s'élève à une altitude de 29 km. Après la libération du ballon, le déploiement de la goulotte pilote est lancé, qui à son tour tire le parachute principal hors de son sac. « Tous ceux qui travaillent sur cette campagne, sur site comme à l'extérieur, ont dû attendre longtemps les bonnes conditions météorologiques pour cette fenêtre de lancement , mais nous sommes finalement ravis du résultat », déclare Thierry. "Après avoir récupéré les parachutes, nous n'avons observé qu'une poignée de très petites et insignifiantes déchirures de 1 à 2 cm et des brûlures de friction sur les deux extracteurs de parachute. Nous pouvons certainement les utiliser tels quels sans aucun souci, mais des ajustements sont encore envisageables et nous scruterons attentivement les résultats des prochains tests au début de l'année prochaine. Module porteur et module de descente ExoMars Les parachutes ne sont qu'un élément de cette mission complexe, qui, après le lancement, verra le module de descente transporter le rover et la plate-forme de surface sur Mars. Des progrès significatifs ont été réalisés dans de nombreux domaines au cours des derniers mois, alors que la phase de test fonctionnel touche à sa fin et que l'attention se porte sur la campagne de lancement à Baïkonour. "Grâce aux efforts incroyables de tous nos partenaires, nous finalisons les détails de cette mission très complexe pour nous assurer de son succès", ajoute Thierry. « En parallèle, les préparatifs de la campagne de lancement se déroulent intensément et nous sommes impatients d'expédier les modules du vaisseau spatial et l'équipement de soutien au sol à Baïkonour fin mars/début avril. Une année passionnante est à venir. Toutes les activités de qualification du système parachute sont gérées et conduites par une équipe conjointe impliquant l' ESA (soutenu par la Direction de la Technologie, de l'Ingénierie et de la Qualité), Thales Alenia Space Italie (maître d'œuvre d'ExoMars, à Turin), Thales Alenia Space France (responsable système parachute, à Cannes), Vorticity au Royaume-Uni (conception et analyse des tests de parachute, à Oxford) et Arescosmo en Italie (fabrication de parachutes et sacs de rangements, à Aprilia). La NASA/JPL-Caltech a fourni des conseils en ingénierie, un accès à l'installation de test d'extraction dynamique et une assistance sur site pendant ces tests. Les tests d'extraction sont pris en charge par un contrat d'assistance technique avec Airborne Systems, qui a également fourni les parachutes Mars 2020 de la NASA, et par Free Flight Enterprises pour la fourniture d'installations de pliage et d'emballage de parachutes. Airborne Systems fournit également des services de conception et de fabrication de parachutes depuis 2021. Near Space Corporation fournit les services de lancement de ballons dans l'Oregon. L'installation d'Esrange de la Swedish Space Corporation fournit les services de lancement de ballons à Kiruna. La mission ExoMars sera lancée sur une fusée Proton-M avec un étage supérieur Breeze-M depuis Baïkonour, au Kazakhstan, dans la fenêtre de lancement du 20 septembre au 1er octobre 2022. Une fois posé en toute sécurité dans la région Oxia Planum sur Mars, le 10 juin 2023, le rover quittera la plate-forme de surface, à la recherche de sites géologiquement intéressants pour forer en surface, afin de déterminer si la vie a existé sur notre voisine. Le programme ExoMars, une entreprise conjointe entre l'ESA et Roscosmos, comprend également le Trace Gas Orbiter, qui orbite autour de Mars depuis 2016. Outre sa propre mission scientifique, Trace Gas Orbiter fournira des services de relais de données essentiels pour la mission de surface. il livre déjà un support de relais de données pour les missions martiennes de la NASA, dont l'arrivée du rover Mars 2020 Persévérance en février 2021.
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  44. 2 points
    Bel objet Mais 60h de pose tout de même . Ici avec la météo ça va nous prendre 6 mois au minimum Bon ciel Patrick
  45. 2 points
    et le titre : "Beaucoup de bruit pour rien ?" ... J'ai beau regarder attentivement la photographie, je n'entends rien ! En tous cas merci pour cette belle narration. C'est toujours un plaisir de lire tes aventures nocturnes au pays du Soleil levant Glob
  46. 2 points
    Bonjour patrick Pareil pour moi, la 1 est superbe et justifie bien les 3h de route (c'est l'avis d'un autre passionné!!) Le plan plus serré est très joli aussi. Nicolas
  47. 2 points
    Ben oui Claude, on ne se refait pas...mais comment veux tu que j'enlève des lignes verdâtres...c'est ma signature, mon élément, je suis un être vaseux quoi ! Et puis une moto à trois roues, ben c'est un tricycle...j'suis un peu trop vieux (ou pas encore assez) pour l'exercice. Il y a aussi l'option deux pattes deux roues, ça s'appelle le déambulateur mais je ne le maitrise toujours pas...ici, sur la côte Vermeille (la bien nommée) j'ai affaire à des spécialistes...mais j'suis pas encore au niveau Merci Sauveur Disons que pour un vieux newton, un vieil astram et un APN tout jeunot, on forme un trio qui se marre bien ! Si ! C'est cette drôle de chose qui apparaît quand il fait nuit, qui nous empêche de dormir et qui fait hurler les loups et pousser des poils et des dents aux humains J'ai lu ça dans des livres et je crois bien que c'est vrai ! Merci et d'accord ! J'ai fait mon stock ce soir encore pour demain !
  48. 2 points
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/cab91040359/la-nuit-des-etoiles (ne ratez pas la minute40 )
  49. 2 points
  50. 2 points
    Et tant qu'on y est, notre tout premier Restefond, dans la foulée, en 1991 donc Avec le premier Dobson de 600 à contempler ces cieux