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Affichage du contenu le plus aimé le 10/12/2022 dans toutes les zones

  1. 17 points
    Je suis bluffé par ce que peuvent faire un Mewlon de 180 mm de diamètre et une caméra ZWO 224MC. Sans parler des ces outils magnifiques que sont autostakkert et astrosurface. La nuit précédente étant bien claire (contrairement à celle de l'occultation, grrr...) et Mars au plus haut, j'ai décidé de bourriner allègrement en sortant la barlow Televue x 3. Firecapture m'annonce un F/51 et un échantillonnage de 0,08". Carrément... Bien loin donc des 0,67" d'arc de résolution maximale théorique de mon mioumiou de 180 mm. Mais le résultat reste néanmoins montrable, à ma grande surprise. Certes, on est bien loin des résultats obtenus avec des 300 ou des 400 mm de diamètre mais je suis quand même bien content de visualiser les brumes qui surplombent le pôle sud, sa grande plaine Tharsis avec le petit ovale plus clair d'Olympus Mons
  2. 13 points
    Bonsoir les amis astrams, Je me suis amusé à "créer" un gif un peu plus conséquent que dans mon post précédent , à partir d'une nonantaine de poses étalées sur une petite vingtaine de minutes, voilà voilà ... Mars est un peu agitée, probablement à cause du suivi, de la turbulence et des passages nuageux. Mes poses sont plus serrées au environs du premier contact, provoquant un "ralentissement" de la Lune ... En tout cas je peux dire que j'ai eu une sacré chance (pour une fois) avec les nuages ...
  3. 13 points
    Bonjour, Et bien ce sera ma Mars la plus près de l'opposition, une belle transparence hier soir, mais un seeing vraiment mauvais qui ne m'a pas permis de sortir une seul image couleur et il m'a fallu 5 captures en IR en dérotation pour sortir cette petite image... toujours mieux que rien... Xavier
  4. 12 points
    Salut Juste après l'occultation!!! On a droit à un beau dégagement en ce moment J'ai shooté Mars hier en soirée avec le C14, la ASI224MC et avec aussi ma nouvelle ASI662MC. Les conditions étaient correctes avec du 3 sur 5 environs. Comme j'avais fait une bonne collimation la première soirée avec ce nouveau tube. Je ne me suis pas soucier de la vérifier! et J'ai shooté toute la soirée! Saturne et Jupiter c'était pas terrible. Plus tard Mars était beaucoup mieux... Comme ce n'est pas encore dans mes habitudes!!! J'ai décidé de faire ma PSF un peu sur le tard!!! Après mes captures!!!! Pas de commentaire S.V.P. J'ai tout de même sortie ça!!! ASI662MC 1h25 UTC ASI662MC 3H24 UTC ASI224MC 5H07 UTC La température a chuté assez rapidement de 2 degrés à moins 8 degrés!!! Ma collim a surement du bougé durant la soirée avec cette écart de température rapide! Je me reprend ce soir... Bon Ciel Martin
  5. 11 points
    Peu d'opportunités de sortir le matériel ces dernières semaines, avec la perspective d'une opposition martienne aux oubliettes. Un créneau s'est présenté le 6/12, alors malgré le travail du lendemain, on sort vite fait le C8 pour avoir un souvenir de quasi-opposition. Juste la 224 derrière la barlow 2x (la 290 ne donnera rien de mieux ce soir-là), pas d'ADC cette fois-ci (j'aurais peut-être dû finalement), et un voile nuageux d'épaisseur variable qui m'a obligé à recourir à PIPP pour "normaliser" la luminosité des vidéos et permettre à Autostakkert de faire son travail. Dérotation de 5 images couleur, ou plutôt 3 + 2 relativement éloignées pour diminuer le rebond du limbe. Ce train optique ultra-simple (je n'ai pas d'autre PO que celui d'origine Celestron en sortie de tube) induit un échantillonnage plus faible que lorsque je mets l'ADC... c'est petit ! Alors voici une version à 130%. Voilà pour ma contribution martienne. Bon ciel (un jour) dégagé à tous ! Julien
  6. 11 points
    Bonsoir, Comme il ne fait pas très beau en ce moment, je vous propose un petit jeu : En imageant l'astéroïde 65803 (Didymos), celui heurté par la sonde Dart, dans la nuit du 26 au 27 novembre, j'ai capturé au passage la petite comète 107P/Wilson-Harrington puisqu'elle était dans le même champ ! Normalement : une comète c'est un objet diffus, un astéroïde c'est un objet ponctuel et d'aspect stellaire Alors saurez-vous les trouver dans l'animation de la séquence ? 36 poses de 02 minutes le 27/11/2022 de 01h26m51s à 02h48m46s utc Oui, je sais c'est pas cool, il n'y a même pas de flèche et, en plus, bien sûr il y a un piège C'est à ce stade juste un teaser, je dois encore faire les mesures photométriques et bien sûr le montage figeant à la fois les étoiles, la comète et l'astéroïde... Il y aura donc bien sûr une suite plus complète. Bon week-end.
  7. 10 points
    Premiere lumière de mon tout nouveau scope Takahashi Epsilon 130D IC434 imagée lundi 05/12/2022 13x600s en Ha (Astrodon 3nm) et camera Zwo ASI2600MM Prétraitement et traitement Pixinsight Encore un petit pb de tilt à corriger mais je suis satisfait des premiers resultats Bon ciel à tous
  8. 10 points
    Bien le bonsoir, Profitant d'une éclaircie qui m'était donnée, j'ai pu de nouveau imager la planète Jupiter avant l'arrivée du brouillard et des nuages. Malgré les quelques captures que j'ai pu faire avec mes caméras et mes filtres, je n'en ai conservé qu'une seule. Contrairement aux fois précédents, cette fois-ci, j'ai opté pour mon bon vieux filtre rouge. Le matériel utilisé est le suivant : Dobson Orion XT10g + Caméra Zwo Asi 290MM + Filtre Rouge Astronomik + Lentille de Barlow Televue 3x. Film SER de 3 minutes / Traitement : AstroSurface
  9. 8 points
    Bonsoir les Astrams' Nous sommes toujours en notre "Mission to MARS", Mission qui consiste à imager la belle rouge à son opposition, depuis le sud Espagne, un peu plus haute dans un ciel un peu plus dégagé que par chez nous en cette saison. Animation : Première tentative d'animation de cette planète : 3H de sa Rotation depuis Olympus Mons à Utopia Planitia en passant par Newton, les régions de Gale, puis d' Elyseum mons... La petite histoire : Après un "entrainement" de plus de 2 semaines avec notre nouveau setup planétaire dans des conditions moyennes... (...CF Post : ) ...ce présente alors une nuit mitigée, avec un ciel plutôt bouché, aux prévisions nuageuses mauvaises, mais qui , au coup d’œil, laisse apparaitre quelques trouées. Les étoiles basses ne clignotant pas trop, je décide de tenter le coup, un "entrainement", avec une nouvelle caméra, tout juste sortie de la boite et configurée/testée lors de la sortie précédente. Débâchant, je trouve le matériel humide, faute à la pluie récente ...,jusqu'à découvrir dans le tube un peu de buée du mauvais coté de la lame de fermeture, à l’intérieur Je décide de commencer par l'aération du tout et l'allumage des bandes chauffantes... Si Mars est alors encore basse, Jupiter l'est tout autant à cette heure (22H+), je me cale sur la planète rouge, et lance quelques acquisitions tests, histoire de continuer à me familiariser avec les paramètres de cette nouvelle caméra planétaire couleur Jouant à cache-cache avec les nuages et un seeing assez variable, je sens que la soirée va être longue... d'autant plus que par moment, quelques détails martiens pointent le bout de leurs nez ! Je me bas un peu avec le correcteur de dispersion (ADC) pour obtenir quelque chose de propre... dans le doute, je me positionne sur une étoile non loin de là pour vérifier que je ne suis pas dans les choux... pas évident avec Mars à mon sens ... il me faut trouver le bon réglage d'exposition pour pouvoir utiliser l'assistant ADC de mon logiciel de capture - FireCapture, celui-ci étant perturbé par la dominante couleur rouge de la planète... ce "combat" aura lieu ~toutes les 1/2H, tout au long de cette soirée & nuit Pour tester l'acquisition automatique avec la nouvelle Cam, j’enclenche ce qu'il faut sur FireCapture , avec notamment l'autoguidage, l'auto-centrage, et l'auto-histogramme... puis, lorsque tout cela fonctionne, retour au chaud au logement non loin de là, tout en monitorant le setup à distance. Pour ce monitoring, je profite du WIFI pro local, dispo sur l'ensemble du complexe, et peux, du coup, prendre le contrôle sur l'ordi resté collé au setup planétaire pour surveiller l'acquisition...mais aussi surveiller le setup remote ciel profond installé non loin de là - mais c'est une autre histoire - Me voici donc, tantôt installé au chaud, tantôt dehors à régler l'ADC et à refaire la mise au point... et comme le seeing semble se calmer et les nuages nous laisser passer régulièrement, je poursuis... au passage, l'ordi sur place ayant assez de CPU pour qu'un traitement ne perturbe/ralentisse pas le rythme d'acquisition, je lance quelques empilements pour vérifier si le potentiel est là et si l'ADC est bien réglé - ie, si il n'y a pas de chroma sur les images empilées - ...ce qui me conduira à sortir en grognant pour allez le re-régler de temps à autre ... mais, le potentiel semblant là, la soirée commencée vers 21H30 se poursuit en longue nuit... C'est vers 4H30 que je jette l'éponge, la pluie va arriver - je ne peux laisser tourner tout seul - je suis trop cramé pour poursuivre, et la planète est déjà plus basse... Bilan de cette nuit : Je découvre aux pré-traitements de bonnes surprises, avec deux bonnes périodes, assez stables pour en conserver plusieurs vidéos d’affilées, et une période moyenne, mais qui pourrait m'apporter un peu de détails pour un coté de la planète... Contexte météo : Nuageux, avec trouées assez "longues" car déplacement lent de la couverture Seeing variable, avec des périodes calmes Orientation et Vitesse du Jetstream favorable au lieu Pas de cisaillement entre les couches atmosphériques Prise de vue / Traitements : J'ai conservé 27 vidéos de 180s, tout en imagerie couleur avec l'ASI585MC, avec des expositions de 5ms J'ai pu réaliser 4 dé-rotations, 4 planisphères Combiner les 4 planisphères en 1 Puis une animation correspondante à la rotation de la planète entre ~ 0H30 et 3H30 ce 7/12/2022 Setup : Légère évolution de notre setup planétaire en construction, ( cf le(s) post(s) ) Avec pour cette session, une différence : l'utilisation de la nouvelle caméra planétaire couleur de ZWO, l'ASI 585MC, au lieu de notre 485MC habituelle Grande sœur de l'ASI 662MC, dont elle partage la génération de capteur, le sien est plus grand, avec une résolution de 4K, pour la même taille de pixels de 2.9µm. En contrepartie, même en cropant à l'acquisition, elle est moins véloce que sa petite sœur: ici, la vitesse de capture était de l'ordre de 100 images/s. Le reste du Setup à date: Sur notre AZEQ6 trop petite pour lui, un C14 edge HD alimente en photon le train optique, visible ici : ...composé, en résumé, d'une Powermate 2.5 - dans le rôle de la "barlow" sans en avoir la formule optique - et d'un ADC . Quelques images fixes : Début - milieu et fin de période correspondant à la rotation 0H40 2H00 03H20 Plan à valider : Tentative d'identification de Quelques points d'intérêts : = C'est une première tentative d'identification mano par mes balbutiants soins => je suis preneur de corrections et d'autres identifications ! Au global, vous en pensez quoi ? Suis preneur de tous conseils pour avancer PS: Pour tenter de venger @Bernard_Bayle , sans qui nous ne serions sans doute pas là à faire du planétaire EDIT: Création d'un hub pour nos images Planétaires :
  10. 8 points
    Salut, voici quelques souvenirs difficilement extraits de cet automne très maussade et fort peu coopératif. En ciel profond c'est pour le moment quasi le désert, à peine mieux en planétaire. Voici donc ma modeste contribution de ce que j'ai pu en tirer, bien loin de considérations de haute résolution planétaire ! Le 22/11/2022, à l'issue de la seule soirée de ciel profond menée tambour battant sur de petites galaxies de mag 12 à 14 de la Baleine au T300, entre la crainte du détecteur de présence du voisin et celle de l'arrivée de nuages. Turbulence moyenne à assez forte, mais surtout observation très rapide de par l'arrivée au bout de 2 h de ciel profond d'une nappe de voiles d'altitude, envahissant tout le ciel en quelques minutes. Quasi seule Mars restait découverte à cet instant, j'ai tenté d'en profiter, T300 X 225 : Syrtis major bien sûr avec Sinus Sabaeus à droite et Mare Tyrrhenum et M. Cimmerium à gauche. Le 04/12, éclaircie miraculeuse, je décide de sortir en mode léger avec la lulu FC-100 malgré les premiers froids et un vent de nord coupant et glacial. Après quelques doubles, les rafales se calment et les images se stabilisent un peu. Je note la turbulence assez forte à moyenne et curieusement le bord du disque est très net, figé mais les détails sont flous et difficiles à saisir, hormis la "moustache" évidente de Mare Sirenum (à mon avis). A 211 X je parviens à déceler de vagues formations plus au N mais tout cela reste très diffus et fouillis. Après consultation de carte effectivement si la mer est bien M. sirenum, la zone plus au N est assez pauvre en formations. Contrairement au télescope, la teinte ne présente pas de saumon et reste bien jaune-orangée : Le lendemain soir, l'éclaircie perdure et le vent s'est calmé. Dès le coucher de soleil je sors la FC-100 pour la suite d'un programme de doubles, vue la grosse lune. Auparavant je jette un oeil rapide sur Jupiter et surprise ! L'image est figée, sans aucune notion de trous de turbulence, la bande N est relativement détaillée et surtout je note une configuration d'un intérêt jubilatoire, 2 satellites touchant le disque l'un au N, l'autre à l'O avec l'ombre de ce dernier sur le disque ! Je saute illico sur les crayons ! La turbulence est jugée faible, les grossissements s'étagent de 92 X pour la mise en forme à 148 X. Le principal est déjà bien perçu à 123 X (Delos 6 qui marche fort je trouve). A 211 X l'image est nettement dégradée, plus sombre et moins nette.
  11. 7 points
    Bonsoir, Lors de la lunaison du mois de novembre, j'ai pu retourner sur le champ de l'astéroïde 65803 (Didymos) dont le compagnon a été choisi comme cible de la sonde Dart le 26 septembre dernier et les restes de cette collision sont toujours parfaitement visibles ! C'est dans la nuit du 26 au 27 novembre que j'ai pu l'imager et la comète 107P/Wilson-Harrington se trouvait alors toute proche de Disymos, ce qui a donc permis de capturer deux astres pour le prix d'un Bon en guise de "guest-star", c'est le second mot qui est le plus important, car il se trouve que cette comète est quasiment toujours d'aspect stellaire (une faible queue fut détectée uniquement en 1949, sans aucune chevelure) et en plus elle est faible (mag 18) sauf les années où elle frôle la Terre à 0,1 ua (ce fut le cas en 1979, prochaine fois en 2039...). Rien de transcendant donc, l'objet le plus intéressant reste l'astéroïde Didymos, qui du coup prend une allure de comète : les rôles sont inversés Pour bien repérer les deux protagonieste, l'animation reste le meilleur outil. Je l'ai proposée, sous forme de jeu, sur un post d'hier soir que vous pouvez aller voir ici : Je vous propose ici de voir, cette fois, le résultat du compositage de l'ensemble des poses : 1°) Astéroïde 65803 (Didymos) -------------------------------------------- La traînée résultant de l'impact est vraiment bien visible, sur une longueur de 5.7' (vers PA=282°) : et il semblerait qu'elle ne soit pas uniforme, on devine des parties plus brillantes (fragments ?) : Didymos reste plus brillant qu'avant l'impact, avec une magnitude mesurée V=16.4. Je ne l'ai pas suivi suffisamment longtemps pour tenter de voir une variation d'éclat cette fois... 2°) Comète 107P/Wilson-Harrington ------------------------------------------------------ Elle est passée au périhélie le 24 août dernier. Aspect complètement stellaire : m2= 17.7 107P est le seul objet ponctuel dans l'image Les étoiles sont filées E/W puisque le compositage est calculé sur le déplacement de la comète. La traînée verticale, toute proche, est celle laissée par Dydimos Et pour finir, voici le montage réalisé afin de figer l'astéroïde Didymos et la comète 107P avec le fond stellaire : Pour voir l'image à l'échelle de 100%, clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet ou une Nouvelle Fenêtre Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - guidées avec dithering pour une pose sur deux Le 27 novembre 2022 entre 01h26 et 02h50 utc 36 poses de 2min à -20°C et Gain 120, Temps d'intégration de 01 h 12 min Traitement Siril 1.0.6, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2"/pixel A regarder à pleine échelle bien sûr, même s'il y a peu de belles galaxies dans cet environnement. Bon week-end à tous.
  12. 7 points
    Bonjour à tous, Hier soir ciel dégagé mais avec turbulence, Jupiter mauvais mais la lune et mars étant haute on s'en tire mieux. Première images avec la ZWO 585MC, le grand capteur donne un certain confort et le images sont flatteuse avec moins de bruit. Bon ciel jérôme C14Edge HD, barlow x2, ADC, zwo 585MC autre traitement avec dérotation de 10 images de 120sec image unitaire 120sec
  13. 7 points
    Bonjour à tous Pour apporter comme les collégues ma petite contribution à ce trés beau spectacle , je vous propose deux images issues du traitement de deux films réalisées depuis mon domicile de Roquebrune , pour une fois la chance m'a souri car j'ai pu bénéficier d' une belle trouée dans les nuages qui était placée idéalement sur la lune 😁 par contre le phénomène étant trés bas sur l'horizon ( 18°de hauteur ) la turbulence était trés importante ce qui n'a pas facilité l'acquisition et le traitement setup d'acquisition : C11 à 2000 mm de focale / AZEQ6 caméra ZWO 585 MC ( couleur ) fréquence d'acquisition 47 im/sec Voili Bon WE à tous Dominique
  14. 5 points
    Bonjour, Malgré le froid d'aujourd'hui voici le Soleil entre les nuages avec ses nombreuses taches (surtout AR 3153 en bas à droite qui abrite des éruptions de classe M). JM. La 2 avec les passages nuageux.
  15. 5 points
    Bonjour, Ayant arrêté de prendre Mars, je viens de traiter une autre vidéo prise le 5 décembre dernier. AVI de 2mn, plus courte donc et toujours le même traitement : Registax, Astrosurface et GIMP pour la finition. Qu'en pensez vous? j'ai ajouté aussi une version moins lumineuse. JM.
  16. 4 points
    Par contre j’ai beaucoup perdu ! Autant je ne m’attendais pas à sortir une image comme certains ici, autant là, je m’interroge… Pour faire court, C11 edge sorti 3 heure avant, barlow 2X et ASI 462. Fire capture, AS2 et Registax 6 en mode réglages par défauts. Température -2°C et pas de buée. Version light en quelque sorte. Bon OK sur l’écran ça dansait pas mal mais quand même… Très difficile de faire la mise au point. Sur l’écran Mars n’est qu’une tache blanche, on devine très difficilement les zones sombres et encore je sais quelles existent. Mon résultat est dû à quoi ? Turbulence inacceptable ? Défaut de MAP ? L’opérateur ? Paramètres d’acquisition ? Manque d’images à compositer (quelques centaines max) ? L’ensemble ? Egalement je n’ai plus l’histogramme avec les 3 ‘barres’ horizontales RVB. A la place j’ai un histogramme avec une multitude de barres verticales. Impossible de remettre la version classique. Pourquoi lorsque j'enregistre mes images en sortie de Registax en TIF ces dernières font plusieurs Mo alors que quand je les exporte en format JPEG elles ne pèsent plus que 50 Ko à 100 Ko. Je ne fais aucune compression... Bref ça donne ça... image zoomée. Sur l'écran ça donnait ça : Pour info, en 2003, je sortais ça avec un C8, une barlow Ultima et une webcam… J’ai une marge de progression énorme !!
  17. 4 points
    Bonjour à tous, Prise de vue sur Oméga du Centaure avec le téléscope Takahashi Epsilon 160ED et son nouvel extender 1.5x, focale résultante 800mm, depuis la Réunion. Nikon D810A, 117poses de 3mn, monture em 200. Bon ciel à tous, Martial
  18. 4 points
    Merci Sebseacteam, Achaim, Petit Ours, Sandra et Gilles, Martin pour vos commentaires ! Coucou Gilles, merci beaucoup, c'est vrai il est incroyable cet amas, magnifique dans nos instruments d'amateurs. Merci Martin, très sympa ! J'ai repris depuis le traitement d'Oméga du centaure avec un autre bias, c'est mieux il me semble. D'autres images en complément, toujours avec l'Epsilon 160ED associé avec le nouvel Extender 1.5x pour 800mm de focale au final et le Nikon D810A. Bonne astro à tous en vous souhaitant une météo plus favorable que dans le Grand Est, ce qui ne devrait pas être compliqué !!! Oméga du centaure Nébuleuse de la Carène, 35x180s M8, la nébuleuse de la Lagune, 14x180s Snake Nebula et Little Ghost Nebula, 15x 180s Antarès et M4, 13x 180s Cat's Paw Nebula, ngc6334, 36x 300s, Atik 460Ex, filtre 5nm Ha Pencil Nebula, 75x300s Ha 5nm + 84x300s O3 3nm, Atik 460Ex Running Chicken Nebula, 23x 300s, Ha 5nm, Atik 460Ex
  19. 4 points
    ÉCHEC DU FORAGE à "Amapari" Par Catherine O'Connell-Cooper, géologue planétaire : "Ce matin (9 décembre), nous avons appris que la foreuse n'avait pu pénétrer que de 7 mm dans la roche dure ici, et que ce n'était pas assez profond pour que la foreuse puisse collecter des échantillons qui pourraient être analysés par CheMin et SAM. Heureusement, les "RP" [Rover Planners - les planificateurs] ont examiné l'espace de travail ce matin et ont trouvé une deuxième zone similaire, et nous allons essayer à nouveau". MASTCAM - 9 DÉCEMBRE 2022 (SOL 3676) : "Chaque campagne de forage suit un ensemble de directives très strictes - chaque cible doit être soigneusement étudiée pour déterminer les propriétés chimiques et physiques de la roche elle-même. Ainsi, même si nous sommes toujours sur le même bloc, à un peu plus de 10 cm de la cible initiale, nous devons recommencer et procéder à une analyse complète". "Par conséquent, nous allons brosser la nouvelle cible "Amapari2" et la soumettre à une étude approfondie de la géochimie à l'aide d'APXS et de ChemCam. La Mastcam représentera la signature multispectrale de la cible brossée et la MAHLI prendra une série complète d'images de la morphologie, en particulier après le test de " précharge ", au cours duquel il s'agit d'exercer une pression sur la cible pour avoir une idée de la façon dont elle réagira pendant le processus de forage. Ces données seront transmises à la Terre au cours du week-end, ce qui nous donnera le temps de les traiter et de déterminer s'il s'agit d'une cible de forage valable". Par ailleurs, les caméras Mastcam et ChemCam seront utilisées au-delà de l'espace de travail immédiat : ChemCam utilisera la LIBS ((Laser-Induced Breakdown Spectrometer)) pour analyser une roche flottante qui semble provenir de la bande de marquage et une parcelle de matériau d'apparence plus résistante juste au-dessus de la roche flottante. La Mastcam prendra une série de mosaïques pour étendre la couverture actuelle de cette zone et une grande mosaïque du côté de la butte "Bela Vista" (toute proche au dessus du rover) pour documenter la stratigraphie de son côté est : MOSA MASTCAM - 2 DÉCEMBRE 2022 (SOL 3669) - Neville Thompson : Butte "Bela Vista" ici au premier plan à gauche de l'image Du côté de la surveillance des conditions environnementales, le 10 décembre (sol 3677) Mastcam prendra des mesures de "tau" solaire (*) sur chaque sol du plan pour mesurer la poussière dans l'atmosphère sol 3677 et une étude du ciel. Navcam prendra un film "suprahorizon" et une paire de films "zénith", qui sont utilisés pour examiner les nuages martiens, leurs propriétés et leurs abondances. Le film zénithal est orienté directement vers le haut pour observer les nuages et leur direction, tandis que le film suprahorizon est orienté dans une direction plus horizontale, vers le bord du cratère. Un troisième type de film Navcam (film "dust devil") sera orienté plus bas que le film suprahorizon, pour rechercher les tourbillons de poussière au fond du cratère ou sur les pentes du Mont Sharp Suivront les activités standards et habituelles des instruments RAD (Radiation Assessment Detector), REMS (Rover Environmental Monitoring Station) la station météo, et DAN (Dynamic of Albedo Neutrons) détecteur actif et passif de neutrons pour mesurer l’hydrogène présent dans la couche superficielle du sol martien (moins de 1 mètre de profondeur) et en déduire l'abondance de l'eau (sous forme libre ou dans des minéraux hydratés). (*) Prendre une mesure de "tau" permet de déterminer la profondeur optique. La profondeur optique décrit la quantité de lumière "atténuée" (dispersée ou absorbée) au-dessus du rover. Une mesure de profondeur optique, ou "tau", est définie comme le logarithme du rapport entre le flux d'énergie transmise à travers une couche de l'atmosphère, et le flux d'énergie reçu. En regardant directement le soleil avec Mastcam, la quantité d'énergie atteignant la surface peut être déterminée. C'est le flux transmis à travers la totalité de l'atmosphère. Combiné avec une estimation de l'énergie incidente du soleil au sommet de l'atmosphère de Mars à partir des observations satellites (le flux reçu), une mesure fiable de la profondeur optique pour l'atmosphère entière peut être directement liée à la quantité de poussière présente. Une seconde mesure, une image Mastcam en direction des remparts Nord du cratère, doit faire un calcul similaire de "tau", mais donc horizontalement au lieu de verticalement.
  20. 4 points
    Bonsoir tout le monde j ' ai commencé à utiliser Winjupos,une fois de plus avec les tutos de JL Dauvergne(merci!!!),je me suis replongé dans d anciennes captures,ça marche super,moins de bruit et plus de détail: toujours meme materiel,celestron nexstar 127 slt,svbony 305 pro sharpcap,registax et winjupos
  21. 4 points
    Bonsoir à tou(te)s, Extrait de deux ser réalisés à l'ASI 462 mc au foyer d'un C 9,25 depuis le haut des falaises du détroit du Pas de Calais. L'immersion et l'émersion c'est ici : https://www.facebook.com/observatoire.charlesfehrenbach/videos/3238568873124528
  22. 3 points
    Bonjour à tous Premier test photo avec le 6DII ce matin sur le soleil . Un peu nuageux , Mise au point pas evidende en visée directe , pour trouver la nettetée ( ça bouge ) Traitement sur Raw Therapee Vos avis m'interessent . Bon WE à vous
  23. 3 points
    bonjour à tous , dans les nuages comme d'hab surtout d'épaisseur inégale , c'est le pire pour les animations , donc indulgence de rigueur Paul
  24. 3 points
    Ce tube a passé quasiment 2 ans dans un garage ventilé par les queues d'alizés, bien humides, à 29°C en moyenne toute l'année, jour comme nuit. J'ai pas le courage de calculer le nombre de Kg de flotte par m3... Question traitement optique, je pense avoir fait l'essentiel du crash-test. Juste surveiller la prolifération des champignons, et ou laisser une petite LED allumée, pour pas que JP dise que mon tube sent la vieille chaussette oubliée au fond d'un sac de sport.... En revanche, je serai plus attentif sur certaines parties métalliques et électroniques. Si elles ne sont pas intégrées dans la mécanique le mieux est certainement de les retirer. La raquette de commande dormait dans la seule pièce climatisée de la maison, avec les oculaires, les livres, les photos.
  25. 3 points
    La 70/700 attend sagement dans son carton sous le sapin.
  26. 3 points
    Bonsoir .... ou plutot bonjour A mon tour de partager mes 1eres images de cette belle occultation Entree de Mars (18h35 heure locale) : 7DmII sur FS102 (800mm) image reduite a 75% Sortie de mars (19h35) : CCD sxvh9 sur FS102 (image N&B) Un gif viendra plus tard Bonne réception Nicolas
  27. 3 points
    Si tu as la PSF, essaie de faire une déconvolution par la PSF avec Astrosurface. C'est très rapide à faire. Il faut juste vérifier que le fond de ciel sur ta PSF soit compris entre 0 et 3. Je ne sais plus si tu as le C14 "classique" ou le EdgeHD ? Si c'est le premier, tu as intérêt à bloquer le primaire, car la collimation n'est pas super stable, notamment quand tu bascules au méridien (sans parler du montage/démontage sur la monture). Toujours si c'est la version classique, tu as intérêt à installer des ventilateurs et un thermomètre. Vu le volume d'air, le tube met très longtemps à se mettre en température. La température ne fait pas bouger la collimation. En revanche, si le télescope n'est pas en température, tu peux avoir l'impression qu'il est décollimaté, alors qu'il s'agit de courant de tube
  28. 2 points
    Bonjour à tous, Je sais que plusieurs personnes sur ce forum, comme moi auparavant, se sont ou s’interrogent actuellement sur cette destination c’est pourquoi je vous présente ici un retour d’expérience sur mon voyage d’astrophotographie sur l’ile de La Palma dans les Canaries. Je tiens à préciser que je fais essentiellement des photos astro avec paysage et exclusivement aux reflex avec des objectifs (du grand angle au 135mm, et j’ai aussi un Redcat 51 pour le ciel profond). Mon voyage s’est donc orienté sur cette pratique de l’astrophotographie. Si vous faites que du ciel profond au télescope ce sera clairement pas le même voyage. Petite remise à niveau pour ceux qui ne connaissent pas, La Palma est donc une île volcanique des Canaries qui est réputée pour avoir un des meilleurs ciel de l’hémisphère Nord, rien que ça ! En haut de cette île au sommet de la caldeira (à 2400m) on retrouve un parc de différents télescopes (dont les plus connus sont le Grantecan et le MAGIC) qui bénéficie d’un ciel Bortle class 2. Les conditions sont particulièrement bonnes car une mer de nuages se forme quasi quotidiennement aux alentours des 1000m d’altitude bloquant les quelques lumières artificielles des villes en contrebas et autres perturbations. Ça faisait plusieurs années que cette destination me tentait et après avoir du y renoncer faute de COVID j’ai sauté le pas au printemps dernier au moment de la nouvelle lune, j’y ai passé 10 jours / 9 nuits à cheval entre fin mai et début juin. Les meilleurs endroits pour observer sont ceux à côtés des télescopes, c’est là ou j’ai passé l’intégralité de mes nuits. Par contre ça se mérite car dans les environs il n’y pas d’hébergement (c’est aussi pour ça que c’est préservé), les logements les plus près sont à 30 minutes de routes. Bien que la route soit bien entretenu ça reste une succession de lacets qui grimpent ou descendent la montagne selon le sens de circulation. Pour ma part pour éviter de repartir à 4h sans sommeil et dans ces conditions je « dormais » dans ma voiture de location jusqu’au levé de soleil. Logement Comme dis plus haut les logements les plus proches sont à minimum 30 min de voitures des télescopes. Pour ma part j’ai logé chez Fabrice dans une des localité les plus proches du sommet, Las Tricias (http://casa-astro-lapalma.com/). Logement très agréable avec tout le nécessaire, Fabrice est très sympa et de bons conseils ! Sur place possibilité d’observer mais peut être un chouia bas car souvent pris dans la mer de nuage. J’ai aussi « aménagé » ma voiture de location pour pourvoir dormir dedans durant mes sorties nocturne. J’ai simplement rabattu les sièges arrières, installé un matelas gonflable en biais avec un duvet 0 degrés. Déroulé type de mes nuits Préparation du matériel au logement. 30/40 min de route afin d’arriver dans la zone des télescopes. Je faisais en sorte d’arriver assez tôt, avant le coucher de soleil, pour admirer le coucher d’une part et aussi pour être sûr d’avoir une place où me garer. J’en ai toujours trouvé ceci dit, il n’y a pas foule mais les places sont peu nombreuses ! Une fois ma place trouvée soit je restais a proximité de la voiture (les endroits ou se garer offrent des vues sur les télescopes ou sur de beaux paysages), soit j’entamais une randonnée avec mon matos pour trouver un spot. Installation de mes deux Canons 6D sur les montures Star Adventurer en mode timelapse ou ciel profond. Selon les endroits on croise d’autres astrophotographes et on prend le temps d’changer, ou alors on les voit juste passer plus ou moins loin avec leur frontal rouge. Je restais éveillé jusqu’à 3h du matin puis je laissais tourner mes appareils photo et j’allais me reposer dans la voiture. Vers 6h quand le soleil se levait j’allais récupérer mes appareils et je redescendais en voiture pour aller finir / commencer ma nuit dans un bon lit douillet ! Dormir en voiture c’est un peu cassant. Météo À La Palma on est plus sur une ambiance farniente entre 20 et 30 degrés toute l’année mais au sommet à 2400 mètres il fait vite froid. Lors de mes nuits il faisait entre 2°c et 6°c degrés donc autant dire qu’il faut pas lésiner sur les vêtements chauds. Pour ma part doudoune, polaire et vêtements technique, et un thermos de 3 litres rempli de thé brulant pour se réchauffer tout au long de nuit. (Niveau boissons j’avais aussi quelques bières dans le sac à dos, ça reste des vacances !) Sur 9 nuits j’ai eu 3 nuits avec des nuages d’altitudes avortant toutes sorties nocturnes. Le vent peut aussi souffler fort ! J’ai eu quelques nuit avec de bonnes rafales, m’obligeant à me planquer derrière un rocher pour éviter que le trépied ne bouge trop. Qualité du ciel Le ciel était vraiment exceptionnel ! J’ai pas d’instruments pour mesurer sa qualité mais pour illustrer ça j’ai eu toutes les nuits de l’airglow ! Sur chaque photos ces voiles verts, un régal ! Bortle class 2 au sommet et Bortle class 3 dans d’autres spots. Quand on est au bord de la caldeira on voit la pollution lumineuse en contre bas mais elle reste minime ou le plus souvent cachée par la mer de nuages. Autrement à l’horizon Sud ou Nord pas la moindre pollution lumineuse. Seules les rares voitures qui passent la nuit viennent perturber l’absence de lumière, et aussi gâcher quelques timelapses par la même occasion… d’où l’intérêt par moment d’aller se perdre dans les sentiers de randos. Les spots Il faut savoir que les télescopes sont sur une route qui ferme la nuit ! Et pour être plus précis il y a une barrière qui est censée fermer au début de la nuit mais quand j’y étais elle fermée bien plus tôt, 19h alors que la nuit s’installait vers 21h. Il existe une route la LP4 qui borde les télescopes et qui fait le long de la caldeira. Sur cette route il y a des renfoncements par ci par la prévus pour s’y garer. Je vous invite à prendre Google Maps et à noter ces endroits si vous avez prévu un voyage à La Palma. Soit les places offrent déjà une vu incroyable soit ils sont en face de chemins de randonnée pour aller s’enfoncer dans le paysage. La portion de la LP4 qui est interessante s’étend du Centro de Visitantes del Roque jusqu’au Monumento al Infinito. Pico Fuente Nueva, c’est un sommet qui donne directement sur les télescopes. Parfait pour pouvoir les photographier avec le ciel derrière. Il faut une 20aine de minutes pour y grimper par des chemins de randonnée. Cependant une fois arrivée la haut et après m’être installé et commencé à photographier le coucher de soleil, je me suis gentiment fait virer par un gardien de sécurité… J’ai du redescendre avec tout le matos sur le dos en pleine nuit dans des petits chemins type pierrier qui vous vont tomber facilement. Je me suis tordus 2/3 fois la cheville et j’ai réussi à éviter plusieurs chutes. Il est important de noter que pas mal de chemins longes le vide ! Au bord de la caldeira ça tombe à pic de plusieurs centaine de mètres il est donc relativement important de bien s’éclairer ou d’avoir repéré les chemin en journée en amont. Mirador de los Andenes, très bon spots car il y a un belvédère ou se poser. C’est de loin l’endroit ou il y a le plus de monde. Très connu c’est là ou les touristes novices sont amenés mais il y a aussi pas mal d’astrophotographes et c’est toujours sympa car il y a beaucoup d’échanges. J’ai discuté longuement avec un Polonais, un Serbe et un Espagnol cette nuit là. Cependant pour y être resté toute la nuit vers 3h du matin j’étais tout seul. Il y a aussi pas mal mal de vent car ça donne des deux cotés de la caldeira. Monumento al Infinito, pour moi c’est le dernier spot avant de perdre en qualité de ciel. En effet c’est le seul endroit ou j’ai vu « pas mal » (on devient vite exigeant sur place) de pollution lumineuse. Mais l ‘endroit reste intéressant car on a un vue sur l’océan et Tenerife ou la Voie lactée se lève au dessus. J’ai certainement oublié pas mal d’infos, n’hésitez à me demander si vous avez des questions 🙂 Pour conclure je dirais que j’ai vraiment adoré mon voyage ! L’île est très dépaysante, le ciel est incroyable et les paysages sont à couper le souffle. Et quel plaisir de faire de l’astrophoto là bas sur plusieurs nuits. J’ai très envie d’y retourner mais pour varier un peu ce sera certainement Tenerife pour l’année prochaine (même si le ciel à l’air moins bon). Je dirais aussi que c’est une destination parfaite pour les personnes solo qui peuvent avoir quelques hésitations à passer la nuit dehors en pleine nature. Là bas pas d’animaux terrestre dépassant la taille d’une souris ou d’insectes venimeux et possibilité d’avoir des paysages nocturne de qualité depuis la voiture. Voici un film regroupant les timelapses que j'ai fait durant ce séjour : Vous pouvez aussi retrouver plus de photos de ce voyage ou simplement mes autres photos astros sur mon compte Instagram, en attendant d'avoir un vrai site : https://www.instagram.com/tinmar_g/ Bon ciel à tous !
  29. 2 points
    Salut vous tous Hier matin, j'ai contacté mon revendeur de télescope pour me donné une petite idée du délai de livraison pour une commende d'un C14!!! Plus de 8 mois et l'a encore rien de sur!!! Il me propose alors, un C14 XLT model gris compatible fast star! Je lui ai dit grouille pas j'arrive!!! Une dizaine d'heures plus tard j'ai fait cette première capture de Mars au C14 La voici Les conditions n'étaient pas top! Alors vivement la suite... SERx4x180sec FireCpture, Winjopos et PS CS Edit: Version final Martin
  30. 2 points
    bonjour, comme le temps n'est pas de la partie , je fais comme beaucoup je traite d'anciennes prises de vues dont celle ci M17. cette photo résulte de l'assemblage de 25 brutes L de M17 avec comme pose 60s .j'ai simplement fait une réduction de bruit et augmenter les détails à partir des layers car je n'aime pas passer des heures sur une photo et je prefere rester au plus proche de ce que donne les prises. Vu le BF que j'ai entre mon ASA10N et la 2600 mm pro je ne peux insérer une bague anti tilt classique (pas d'espace pour mettre la clé). Le tilt à l'air pas trop mal mais peut être que l'un de vous à une solution pour en insérer un ? je suis en M54 en sortie du wynne 3 pouces jusqu’à la caméra 2600mm pro. mais c'est plutôt sur le traitement du bruit que j'ai quelques difficultés . des je réalise d'autres réductions de bruits je perds des détails sur M17. quel process sous pixing utiliseriez vous ? merci d'avance et bon ciel christophe
  31. 2 points
    Un "amateur" allemand vient de publier cette image sur la Bin NGC 1055 ( Wolfgang Promper ) - AstroBin je suis absolument stupéfait par cette image à la résolution démentielle ! bien sur c'est fait avec des gros moyens et une évidente maîtrise de chaine d'acquisition et du traitement. Mais c'est à la limite de l'incroyable au sens strict Votre avis ?
  32. 2 points
    @ndesprez Malheureux ! qu'as tu fais là ? Offrir une Lunette pour faire de l'astro, quelle idée saugrenue 😁😉 Plus sérieusement j'ai découvert le forum des passionnés de Séléne, je me suis donc inscrit. Mes salutations amicales Norma.
  33. 2 points
    Belle acquisition ( joyeux Noël ) et belle première lumière Bonne soirée, AG
  34. 2 points
    Perso, le tube reste sur la monture dehors à l'année sous une bâche et cela n'a pas d'impact sur la longévité. Avant je le mettais au congélateur 1h pas plus et il était quasi à température. C'est largement moins sensible qu'une auto électrique par temps froid. CC154, CC203, C9.
  35. 2 points
    Bonjour à tous pas d'occultation de mars pour moi, nuages bas en vallée alpine, une méchante sciatique et des températures un peu fraiches ont eu raison de ma motivation! Par contre, lundi dernier, les prévisions météo étaient enfin à peu près favorables, avec un jetstream annoncé à 15m/s, pas de vent... Tout cela à condition de se mouvoir au dessus de la mer de nuages qui recouvrait la vallée du Grésivaudan de Grenoble jusqu à quasiment Albertville, donc au dessus de 900m. Et là, une grosse lune magnifiant la mer de nuages, un ciel bien bleu, mais une température déjà négative dès le coucher de soleil...enfin, ce n'est pas encore le froid d'hiver mais on y va, tranquillement... Et côté seing ? Ben finalement pas ouf, jupi toute pourrite , puis une amélioration passagère de 21h30 à 22h30, avant le retour d'une petite brise glaciale et une dégradation des images. Tout plié vers 23h, les diverses batteries et le secondaire ayant déclaré forfait avant moi (bien couvert et avec un ptit vin chaud, on tient plus longtemps que le matériel ) Au final, un film de mars et un film lunaire! Pour la lune, suis quand même très satisfait car je n'avais encore jamais pu imager cette zone dans de bonnes conditions Et pour mars, ben pour l'instant je m'en contenterai... T500/2000 sur table équato Lune: Aristarque + Hérodote et vallée de Schroter barlow APM 2,7x; ASI 178; filtre rouge 610 600 images sur 3700 AS3, Registax, Gimp, astrosurface Mars: 21h45; Powermate 4x, ASI385c, 5000 images conservées sur 23000 traitement AS3, registax, astrosurface, Gimp
  36. 2 points
    Bonjour à tous Une image prise dimanche dernier dans des conditions (très ) difficiles. Il était 1h du matin et il faisait -14°C, avec des rafales de vent à 55 km/h. La turbulence n'était pas terrible, pour le Pic, mais malgré les conditions, j'ai tenté de fignoler la collimation. Mais, y a de la prise au vent sur un tube de 2.5 m de long L'image est prise avec un Dobson Obsession de 500 mm à f/5, une Barlow x2.5 et un ASI 224. Addition de 1800 images sur 3500. C'est loin d'être à la hauteur d'un 500 mm et du Pic du Midi, mais vu les conditions à venir, je crois que ça sera ma seule image de cette opposition... Patrick
  37. 2 points
    Salut Simon, Nos tubes n'ont pas trop l'occasion de sortir la nuit en ce moment Pour ma part, le tube est stocké dans un garage attenant à la maison (côté nord). Ce garage n'est pas isolé, et il y a une petite circulation d'air par le toit du garage. Du coup, je me retrouve avec une température qui suit sensiblement la température extérieure (avec un délai). Et en été une température le jour plus basse que la température extérieure, le garage étant au nord de la maison, il est protégé du Soleil. L'humidité suit aussi l'évolution de l'humidité extérieure. Çà doit faire une dizaine d'années que je fonctionne comme cela. Je n'ai pas vu de problème particulier. Je ne sais pas si cela peut d'aider ou pas.
  38. 2 points
    ben quoi qu'est ce qu'elle a cette image ? j'ai fait la même avec mon "telescope professionnel" de chez Aldi à 29,95 € Pour comprendre l'échantillonnage, je trouve ce tuto intéressant: http://www.astrosurf.com/phtranquille/echantillonnage_1786.htm
  39. 2 points
  40. 2 points
    on a les mêmes photos dans l'atlas lunaire de Loewy et Puiseux qui doit dater de 1901
  41. 2 points
    Merci!! 2 de plus qui sortent du four
  42. 2 points
    Bonjour je ne sais pas d'ou ils" shootent ", mais apparement ils ont un bon seeing https://www.facebook.com/ChappelAstro Hardware Celestron EdgeHD 14, iOptron CEM70, ZWO ASI462MC, ZWO UV/IR Cut, Astro-Physics BARADV, Moonlite CHL with High Resolution Stepper Motor v3, ZWO ADC, EFW 8 x 1.25″/31mm, Spike-a Large Flat Fielder Software FireCapture: data acquisition PIPP: stabilization, cropping AutoStakkert!: stacking, calibration PixInsight: sharpening Photoshop: color balance, compositing qqs exemples jp EDIT : voir plutôt les images de la deuxième série plus bas
  43. 2 points
    5 milliards pour faire des photos pareilles que n'importe quel baltringue peut faire avec un télescope à mille balles ? Eh ben.........................................
  44. 2 points
    Merci Sebseacteam, dfremond Merci Valere; oui j'ai un peu forcé la dose Voici donc une version "spéciale douceur" pour Valère comme ça c'est mieux ?
  45. 2 points
    merci pour ces infos; Je pense que ma photo n'est pas visible aussi je la rediffuse.
  46. 2 points
    J'ai plusieurs listes d'objets, et je pioche dedans selon mes envies et la qualité du ciel. Avec le Strock 254, j'ai : - la liste des objets de nos latitudes jamais vus avec ce télescope et de magnitude inférieure à 14 (appelée à diminuer au fil du temps) - la liste glissante des objets pas vus depuis 5 ans (qui se renouvelle donc avec le temps qui passe) - depuis que je suis dans cette maison, la liste des astérismes de Simon Lericque pour occuper les nuits à grosse Lune - les listes d'étoiles doubles pas encore dessinées, là aussi pour occuper les nuits à grosse Lune Au Dobson 508 c'est encore plus compliqué : - comme pour le Strock, liste des objets de nos latitudes jamais vus avec ce télescope et de magnitude inférieure à 14 - objets restant à voir du catalogue Arp - pdf des catalogues des nébuleuses planétaires Abell, galaxies Hickson, et les groupes Shakbazian les plus brillants, j'ai fait une razzia sur www.faintfuzzies.com! Et en plus pour les 2 télescopes les cartes des comètes actuelles de magnitude <13 sur 2 mois
  47. 2 points
    Bonsoir, La comète 61P/Shajn-Schaldach a été découverte en 1949, sa période de révolution actuelle est de 7 ans (plusieurs approches de Jupiter l'ont modifiée depuis 1949) et elle est passée au périhélie le 23/10/2022. Ce n'est pas un astre très brillant (sa magnitude absolue(1) est mo=12...) mais elle était assez photogénique cet automne et intéressante à suivre. Le 16 novembre, elle passait non loin de la galaxie NGC 450 et ce fut donc l'occasion de pimenter cette observation cométaire Manque de bol, les cirrus ont bien vite interrompu la séance et seules 17 poses de 3 minutes purent être conservées, ce qui est un peu juste pour cet exercice Il a fallu attendre 3 nuits pour retrouver du beau temps. Mais il se trouve que 61P se déplaçait alors très lentement : à peine 0.025"/min le 16 et 0.036"/min le 19 novembre. Du coup, il a été possible de compositer les images des 2 observations malgré les 3 nuits les séparant, ce qui n'est pas courant ! Pour illustrer, voici d'abord une petite animation avec les compositages des deux nuits pris séparément : (l'échelle de ce crop est de 3"/min, le Nord est vers le Bas) Partant de là : le compositage stellaire des deux nuits donnent le meilleur pour le ciel profond, mais on se retrouve avec 2 images de la comète (ce n'est pas une fragmentation !) : et le compositage cométaire des deux nuits donne le meilleur de la comète, mais ce sont les étoiles et les galaxies qui sont alors dédoublées : Cruel dilemne, car la comète et NGC 450 méritent mieux : J'ai donc réalisé un montage avec le meilleur des deux approches, que je vous invite à parcourir sur le full : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle fenêtre pour la voir à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Les 16 novembre (19h30 - 20h35 utc) et 19 novembre (21h26 - 22h35 utc) 36 poses de 03 min à -15°C ou -20°C et Gain 120, Temps d'intégration de 01 h 48 min Traitement Siril 1.0.6, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2"/pixel Grâce au mouvement apparent très faible de la comète, j'ai donc pu finalement rattraper le coup Elle montre une chevelure de 1.3' de diamètre et une queue de 3.4' de longueur dirigée vers PA=286° (à gauche sur ces images avec le Nord en Bas) que le cumul des deux nuits n'est pas de trop pour faire ressortir d'autant que la chevelure est aussi bien evasée vers le bas. Côté photométrie (UCAC4), les mesures donnent : une magnitude nucléaire : m2=17.3 ( ouverture de 6" ) une magnitude totale : m1=15.4 ( ouverture de 2.1' ) Je suis assez content du résultat obtenu et j'espère que le montage vous plaira à vous aussi Bonne nuit. (1): c'est l'éclat qu'elle aurait en étant distante de 1 ua du Soleil et de 1 ua de la Terre
  48. 2 points
    "...Un moment historique dans l'histoire du JWST ! Galaxies confirmées par spectroscopie dans les premiers 100 Myrs de l'Univers à z > 10 !!! Un grand bravo brant robertson sandro tacchella et l'équipe JADES !..." Un communiqué de la NASA (traduction automatique) : https://blogs.nasa.gov/webb/2022/12/09/nasas-webb-reaches-new-milestone-in-quest-for-distant-galaxies/ Webb franchit une nouvelle étape dans sa quête de galaxies lointaines Note de l’éditeur: Cet article met en évidence les données de Webb science en cours, qui n’a pas encore fait l’objet d’un processus d’examen par les pairs. Une équipe internationale d’astronomes a utilisé les données du télescope spatial James Webb de la NASA pour rapporter la découverte des premières galaxies confirmées à ce jour. La lumière de ces galaxies a mis plus de 13,4 milliards d’années pour nous atteindre, car ces galaxies remontent à moins de 400 millions d’années après le Big Bang, lorsque l’univers n’avait que 2% de son âge actuel. Des données antérieures de Webb avaient fourni des candidats pour de telles galaxies naissantes. Maintenant, ces cibles ont été confirmées par l’obtention d’observations spectroscopiques, révélant des motifs caractéristiques et distinctifs dans les empreintes digitales de la lumière provenant de ces galaxies incroyablement faibles. « Il était crucial de prouver que ces galaxies habitent effectivement l’univers primordial. Il est très possible que des galaxies plus proches se fassent passer pour des galaxies très lointaines », a déclaré l’astronome et co-auteure Emma Curtis-Lake de l’Université de Hertfordshire au Royaume-Uni. « Voir le spectre révélé comme nous l’espérions, confirmant que ces galaxies sont à la limite réelle de notre vue, certaines plus éloignées que Hubble ne pouvait voir! C’est une réalisation extrêmement excitante pour la mission. » Les observations sont le résultat d’une collaboration de scientifiques qui ont dirigé le développement de deux des instruments à bord de Webb, la caméra proche infrarouge (NIRCam) et le spectrographe proche infrarouge (NIRSpec). L’étude des galaxies les plus faibles et les plus anciennes a été la principale motivation derrière les concepts de ces instruments. En 2015, les équipes de l’instrument se sont réunies pour proposer le JWST Advanced Deep Extragalactic Survey (JADES), un programme ambitieux qui s’est vu allouer un peu plus d’un mois du temps du télescope réparti sur deux ans, et qui est conçu pour fournir une vue de l’univers primitif sans précédent à la fois en profondeur et en détail. JADES est une collaboration internationale de plus de quatre-vingts astronomes de dix pays. « Ces résultats sont l’aboutissement de la raison pour laquelle les équipes NIRCam et NIRSpec se sont unies pour exécuter ce programme d’observation », a déclaré la co-auteure Marcia Rieke, chercheuse principale du NIRCam de l’Université de l’Arizona à Tucson. La première série d’observations JADES s’est concentrée sur la zone située dans et autour du champ ultra profond du télescope spatial Hubble. Depuis plus de 20 ans, cette petite parcelle de ciel a été la cible de presque tous les grands télescopes, construisant un ensemble de données exceptionnellement sensibles couvrant tout le spectre électromagnétique. Maintenant, Webb ajoute sa vue unique, fournissant les images les plus faibles et les plus nettes jamais obtenues. Le programme JADES a commencé avec NIRCam, utilisant plus de 10 jours de mission pour observer le champ dans neuf couleurs infrarouges différentes, et produisant des images exquises du ciel. La région est 15 fois plus grande que les images infrarouges les plus profondes produites par le télescope spatial Hubble, mais elle est encore plus profonde et plus nette à ces longueurs d’onde. L’image n’a que la taille d’un humain lorsqu’il est vu à un kilomètre de distance. Cependant, il regorge de près de 100 000 galaxies, chacune capturée à un moment donné de son histoire, des milliards d’années dans le passé. « Pour la première fois, nous avons découvert des galaxies seulement 350 millions d’années après le Big Bang, et nous pouvons être absolument sûrs de leurs distances fantastiques », a déclaré le co-auteur Brant Robertson de l’Université de Californie à Santa Cruz, membre de l’équipe scientifique NIRCam. « Trouver ces premières galaxies dans des images d’une beauté aussi étonnante est une expérience spéciale. » À partir de ces images, les galaxies de l’univers primordial peuvent être distinguées par un aspect révélateur de leurs couleurs multi-longueurs d’onde. La lumière est étirée en longueur d’onde à mesure que l’univers se dilate, et la lumière de ces galaxies les plus jeunes a été étirée d’un facteur allant jusqu’à 14. Les astronomes recherchent des galaxies faibles visibles dans l’infrarouge mais dont la lumière se coupe brusquement à une longueur d’onde critique. L’emplacement de la coupure dans le spectre de chaque galaxie est décalé par l’expansion de l’univers. L’équipe de JADES a parcouru les images Webb à la recherche de ces candidats distinctifs. Ils ont ensuite utilisé l’instrument NIRSpec, pour une seule période d’observation couvrant trois jours totalisant 28 heures de collecte de données. L’équipe a recueilli la lumière de 250 galaxies faibles, permettant aux astronomes d’étudier les motifs imprimés sur le spectre par les atomes de chaque galaxie. Cela a permis de mesurer avec précision le décalage vers le rouge de chaque galaxie et de révéler les propriétés du gaz et des étoiles dans ces galaxies. « Ce sont de loin les spectres infrarouges les plus faibles jamais pris », a déclaré l’astronome et co-auteur Stefano Carniani de la Scuola Normale Superiore en Italie. « Ils révèlent ce que nous espérions voir: une mesure précise de la longueur d’onde de coupure de la lumière due à la diffusion de l’hydrogène intergalactique. » Quatre des galaxies étudiées sont particulièrement spéciales, car elles se sont révélées être à une époque précoce sans précédent. Les résultats ont fourni une confirmation spectroscopique que ces quatre galaxies se trouvent à des décalages vers le rouge supérieurs à 10, dont deux à décalage vers le rouge 13. Cela correspond à une époque où l’univers avait environ 330 millions d’années, établissant une nouvelle frontière dans la recherche de galaxies lointaines. Ces galaxies sont extrêmement faibles en raison de leur grande distance de nous. Les astronomes peuvent maintenant explorer leurs propriétés, grâce à la sensibilité exquise de Webb. L’astronome et co-auteur Sandro Tacchella de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni a expliqué: « Il est difficile de comprendre les galaxies sans comprendre les périodes initiales de leur développement. Tout comme pour les humains, une grande partie de ce qui se passe plus tard dépend de l’impact de ces premières générations d’étoiles. Tant de questions sur les galaxies attendaient l’opportunité de transformation de Webb, et nous sommes ravis de pouvoir jouer un rôle dans la révélation de cette histoire. » JADES se poursuivra en 2023 avec une étude détaillée d’un autre domaine, celui-ci centré sur l’emblématique champ profond de Hubble, puis retournera au champ ultra profond pour un autre cycle d’imagerie profonde et de spectroscopie. Beaucoup d’autres candidats dans le domaine attendent une enquête spectroscopique, avec des centaines d’heures de temps supplémentaire déjà approuvées. (zoomer ce somptueux champs de galaxies !!) Cette image prise par le télescope spatial James Webb met en évidence la région étudiée par le JWST Advanced Deep Extragalactic Survey (JADES). Cette zone se trouve dans et autour du champ ultra profond du télescope spatial Hubble. Les scientifiques ont utilisé l’instrument NIRCam de Webb pour observer le champ dans neuf gammes de longueurs d’onde infrarouges différentes. À partir de ces images, l’équipe a recherché des galaxies faibles visibles dans l’infrarouge mais dont les spectres se coupent brusquement à une longueur d’onde critique. Ils ont effectué des observations supplémentaires (non montrées ici) avec l’instrument NIRSpec de Webb pour mesurer le décalage vers le rouge de chaque galaxie et révéler les propriétés du gaz et des étoiles dans ces galaxies. Dans cette image, le bleu représente la lumière à 1,15 micron (115W), le vert à 2,0 microns (200W) et le rouge à 4,44 microns (444W).
  49. 2 points
    Bon Thomas Pesquet aurait fait mieux, mais c'est quand même pas mal :
  50. 1 point
    Bonsoir et bravo c'est très beau