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Affichage du contenu le plus aimé le 10/08/2023 dans toutes les zones

  1. 18 points
    Bonjour à tous, Une Saturne qui m'a donné du fil à retordre, beaucoup de temps à traiter ça. le seeing était excellent, je posterai surement un extrait de la meilleure video pour vous rendre compte. Seulement la transparence était moins bonne que ce que je pensais lors de l'acquisition. Les details, comme toujours peinent à se montrer. je l'ai d'ailleurs constaté sur Jupiter, qui ne bougeait pas beaucoup juste avant le levé du jour et pourtant les details sont inexistant. je perds meme pas mon temps à traiter ça. voici donc Saturne, toujours au C11 avec barlow et camera mono/couleur. bon comme d'habitude; c'est est trop calme, et j'aime pas trop beaucoup ça. ( citation qui n'est pas de moi) belle journée et belle nuit Quentin
  2. 17 points
    Bonsoir Hier soir j'ai installé le matos dans le champ et j'ai fait casi une nuit blanche....Je voulais me "faire" saturne mais manque de bol (ou pénurie de récipient) la turbule était trop forte et des voiles nuageux étaient bien présents. A la bino, c'était moche du coup. Donc je me suis installé dans un hamac en attendant que la lune monte. Je n'y sentais pas bon du tout avec ce ciel voilé! J'ai pu zieuter Uranus et là c'était pas mal! Une jolie petite bille verte, bleue avec un soupçon de blanc dedans. J'ai voulu la capturer mais avec l'ADC et son réglage, elle se faisait la mâle....J'ai laissé tomber. Vers 4h la lune était déjà bien haute, elle baignait dans un petit voile mais rien de méchant. La turbule faible ne me gênait pas pour voir les fins détails! J'adore cette phase car de nombreux petits cratéres, de Mare Umbrium par exemple,sont trés contrastés . Copernic ....une merveille! C14, asi 290mm et filtre rouge au foyer du C14. 5000 images par avi et j'ai pu en stackker un paquet!!
  3. 15 points
    Bonjour à tous, Voici ma première image pour cette opposition de Jupiter, faite ce matin... et la toute première lumière pour ma Player One Mars-C ! La turbulence était assez variable, avec de bonnes périodes. - Célestron 11 - Player One Mars-C, IR-cut - ADC Zwo - Barlow 2X - 4 ser de 2 minutes (2000 images retenues pour chaque Ser), dérotation Winjupos - Traitement ondelettes sous Astrosurface, et finitions sous Lightroom Amitiés, Fabrice Test d'une version un peu plus contrastée :
  4. 14 points
    Bonjour tout le monde, Cela faisait un certain temps que je devais tester l'Intes M809 sur les planètes. Après un passage chez @jldauvergne pour les réglages (merci encore) et à Colmar pour une révision mécanique + test optique, l'Intes était enfin pret ! Au programme, 3 gazeuses : Echantillonnage : 0.15"/pix J'ai fait l'empilement sur AS3, déconvolution / ondelettes sur Astrosurface. Winjupos ca sera pour la prochaine fois, pas le temps de rentrer dedans mais j'ai tout ce qu'il faut. Je reprendrai ca plus tard. Comme ce sont mes premières gazeuses ou presque, n'hésitez pas à me faire des remarques pour progresser. Merci d'avance et bon ciel Guillaume
  5. 12 points
    bonjour à toutes et à tous ! dur , dur de se lever à 1h00 du matin , bon on a eu le temps de faire de bonnes nuits avant ! un seeing difficile surtout sur jupiter ou il fallait jouer sur la map et au lever du soleil , j'ai arrêté ça bougeait de trop , pas mécontent d'avoir pris l'air malgré tout ! CFF 300 f/d de 20 adc PA asi 462c 3x300s pour saturne ! jupiter 64sers de 100s traitement as3 + astrosurface batch ! merci @Lucien saturne à 00h23tu avec rhéa , dioné et thétys : animation de 01h25tu à 03h40tu : 64sers de 100s jupiter à 3h26tu 3x100s : bon ciel ! polo
  6. 12 points
    Bonjour à tous, J'ai mis à profit la nuit dernière et son superbe ciel dégagé (tellement rare en ce moment dans les Hauts-de-France) pour imager la région du mur de la nébuleuse America NGC 7000. Télescope Skywatcher 150/750 mm PDS optimisé, correcteur MaxField TS Optics x095, un filtre Optolong L-Pro et un APN Fuji X-T1 (non défiltré) à 800 ISO, sur monture HEQ5+ (sans autoguidage). 148 poses de 1 mn traitées avec SIRIL et Photoshop. Stéphane
  7. 11 points
    Salut à tous ! Sortie de l’hibernation du Dobson au mois d'aout... cool Une nuit bien rempli avec un peu du CP pose courte et enchainement sur Saturne et Jupiter l’éclate ! Les conditions vers chez moi était très bonnes vers 3H du matin par contre malheureusement à l'heure du transit de Dioné ça c'est un peu dégradé. Du coup j'ai un peu foiré son rase-motte sur le pole N de Saturne, mais si on na pas les yeux trop éclatés et de surtout de la bonne volonté on distingue quelque chose, c'est déjà ça:) à 1H29 TU (traitement identique planète satellites ) un peu plus tard, 1H35 (la couche bleu malheureusement....) Alors qu'à 1H TU c'était bien plus stable, enfin une turbu bien lente , dommage pour le créno horaire ... Mais peut être que des balcons parisiens auront eu plus de chance;) Bon ciel à vous tous Moi il me reste du boulot, comme des juju (pas terrible à mon avis )à dépiauter et surtout pré traiter mes premières poses sur M57 . Yann version finale
  8. 9 points
    Hello tout le monde Une petite Saturne ici réalisée fin juillet depuis le site de Calern , malheureusement comme indiquée dans le titre le vent a joué les trouble fêtes toute la nuit et a provoqué une agitation assez gênante heureusement entrecoupé de moment plus stables acquisition C11 XLT / AZ EQ6 ADC pierro , caméra ZWO 290 MM ( filtre R 610 ) & 585 MC , barlow antares 1.6X 6000 images retenues , astrosurface et auto stakkert combinaison R RVB sous toshop Voilà sinon on va essayer de refaire une petite virée là haut dés que possible en espérant des conditions un peu meilleures . Bon ciel à tous Dominique
  9. 8 points
    Bonjour a tous 2 images sont sorties du lot,je les ai déroté Mak 1127 monture nexstar camera sv 705C Barlo X3 a 20 balles 2 films de 13000 images,5000 de gardées dans chaque traitemenr registax,astrosurf pour la finition Bon ciel!
  10. 5 points
    Bonsoir à tous! De bonnes conditions étaient annoncées à l'observatoire pour la nuit dernière, j'y suis donc monté pour imager.... nos chères gazeuses préférées J'ai commencé avec Saturne par un seeing franchement moyen, ca turbulait un peu et la transparence était bof, du coup image moyenne mais on s'en contentera Saturne: Puis je suis logiquement passé sur Jupiter, le seeing était pas trop mal compte tenu de l'élévation (27 degrés de mémoire), Voici une 1ere avec Ganymède; Ca s'est ensuite salement dégradé, grosse turbu, impossible de faire quoi que ce soit, alors pour m'occuper j'ai fait quelques captures en IR 685nm ...Et comme souvent de ce que j'ai remarqué, le seeing s'est amélioré dès 4h30 jusqu'à devenir franchement superbe Voila un aperçu du seeing que j'avais, en mono et couleur: ....Et sans vous faire languir d'avantage , voici les 3 plus belles images de la nuit...la dernière est probablement la plus belle Jupiter que j'ai faite... Comme d'habitude voici le planisphère des acquisitions de la nuit, les projections polaire, et l’animation Voila c'est tout pour aujourd'hui! 2 photos d'ambiance de la vue de l'observatoire et du mont blanc en bas, au petit matin quand je suis redescendu rappel du Setup: SC Meade 16" - 662mc/462mm, ADC PA MK3, TV PM 2x AS3! Astrosurface & Winjupos. Bon ciel à tous!
  11. 5 points
    Bonjour à tous Déjà 2 semaines d'attente et enfin une trouée ce matin(c'est déjà couvert.....cette après midi). Des débuts en solaire pas facile mais on progresse!!! ou pas........ le plus difficile c'est le traitement trop ou pas assez .. lunette 130/910 Derf + quark baader Herschel Kline /Gbande vos remarques bien venues.
  12. 5 points
    Super catalogue rémy, comme babar je connais bien les deux grands tu dénommé Perl Jupiter dans la doc de Médas. J'ai eu et possède encore un exemplaire des grandes SYW de cette époque. Le premier modèle qui est maintenant parti chez un ami et a retrouvé sa place dans un observatoire: Une TOSCO AE106 ( SYW AE106): C'est une PERL AE106 ( 106/1600) modèle apparu un peu plus tard, la cellule n'est pas collimatable. Lunette acheté en Italie chez unitron Italia, elle était complète avec les trois caisses en bois ( monture + tube + trépied), les trois caisses pèsent quasiment 50kg. Une fois l'ensemble assemblait la lunette pointe a environ 2.80m de hauteur, ce type de tube est surtout prévu pour une observation a l'ancienne, en vision direct et debout. Perl Jupiter AE108 ( 108/1600): Cette lunette est encore chez moi et je l'utilise assez régulièrement. Elle sert beaucoup au sortie avec le grand public et a toujours du succès, pour moi c'est là qu'est leur place. J'ai acheté ce tube encore une fois en Italie sur l'équivalent du bon coin là bas, je ne sais pas comment elle est arrivée chez eux mais elle a probablement été ramené par un italien lors d'un voyage a Paris ( la carte d'achat est présente ). Ce tube est encore plus gros/grand que l'autre, la cellule est collimatable sur ce modèle un vrai plus, En plus d'être très précise la mécanique du PO est très robuste, j'ai pu retrouver un chercheur d'origine via l'aide d'un ami l'ancien proprio avait mis une petite lunette konus en remplacement elle même de bonne qualité. Ci-dessous le catalague japonais de SYW yamamoto:
  13. 5 points
    Bonjour, J'ai profité de la belle journée d'hier pour sortir l'EQ8 et le SW 254/1200. J'ai installé au foyer, une Barlow x3 et l'ASI 120 mm-s avec filtre vert. J'ai capturé des vidéos de 30s , traitées par AS3. Post traitement avec soft maison. Côté stabilité de l'atmosphère ce n'était pas ça, j'ai jeté la plupart des vidéos. Une première image qui s'en sort bien avec 5% des images de la vidéo. La seconde conservée s'en tire nettement moins bien. Bonne journée.
  14. 5 points
    Bonsoir tout le monde, Difficile en ce moment d'avoir une nuit dégagée vers chez moi, il y a toujours des nuages qui se pointent, c'est rageant pour un mois d'août. Hier soir, j'ai profité d'un peu de répit pour choper la comète C/2023 E1 suite aux différentes images passés ici. Je vous propose donc cette image traitée sous Siril et Photoshop (pas évident de cumuler étoiles fixes et comète); image prise au Quattro 200/800 et ASI 1600MC : 30 poses de 60s. C2023-E1_ATLAS_200-800_ASI1600MC_30x60s_20230809 by Frank TYRLIK, sur Flickr Bonne soirée tout le monde, Frank
  15. 5 points
    Superbe cette série. J'ai la suite du film niveau éclairage Work in progress, ça traite.
  16. 5 points
    Merci à vous!! Oui comme tu dis si bien j'aime bien le côté poudreux du sol lunaire et je trouve cet effet avec régistax... Avec astrosurface c'est plus hard comme traitement mais plus précis. Pour Copernic je me suis fait la réflexion de savoir s'il n'était pas un poil trop "hard"!! Je l'ai fait avec régistax. J'ai le golf également.....C'est une question de goût....J'aime bien le rendu de régistax.
  17. 4 points
    Salut les ami(e)s , voici quelques images du soleil avec filtre Lunt calcium et réfracteur Apo de 90 mm ce 9 aout 2023
  18. 4 points
    Merci à vous Une version de 00H55 avec les satellites
  19. 4 points
    Bonjour, Après une peu de solaire en journée : je remplace le SW 254/1200 par un petit tube 150/420 pour faire quelques nébuleuses avec la Starlight XPress SX9 et sa roue à filtres. J'ai fait des poses de 200s pour moitié en Ha, le reste en R, V et B. D'abord M16 sur 3h, la dernière demi heure part à la poubelle : Et ne HaRVB : puis un petit bout de NGC 7000 sur 4h, là aussi, la dernière demi-heure perdue. Bonne journée.
  20. 4 points
    Bonjour à tous, Après une longue période de disette à cause de mauvaises conditions, j'ai pu ressortir le Rasa 8 pour 3 sessions de prise sur un grand champs de 6 frames. 500 photos de 10s par frames (6 au total) au Rasa 8 en OSC avec camera Altair 294C et filtre Idas nbz. J'ai fait quelques zooms sur des objets remarquables en starless pour le plaisir. J'aime bien ces petits objets comme lovés dans les nébuleuses, et l'impression de gigantisme... Comme à chaque fois, je sollicite vos remarques éclairées sur cette prise. Merci à tous ! Seb
  21. 4 points
    bonjour à tous, présent quelques jours à l'observatoire Sirene, sur le plateau d'Albion; beau temps prévu pendant au moins les 8 prochains jours, je vais pouvoir vous envoyer un soleil quotidien. (par contre, même à 1000m, on aura aussi droit à 30°C tous les jours!). A la fs60 muni de son sm40 double stack, BF10, glasspath x1.7 et zwo178mm vers 14h HL a+ stéphane
  22. 4 points
    Il est fait ! En revanche, les auteurs de l'étude initiale sont allés trop vite en besogne. Comme à chaque fois ces dernières décennies ! Il y a aujourd'hui une dérive dans le monde de la recherche. Qu'il s'agisse des financements ou des postes permanents, le contribuable demande au chercheur d'être plus qu'innovant, voir révolutionnaire, et en même temps, il faut être à la mode, mais aussi être productif et avec des objectifs de retombées économiques et sociales à court terme. Dès lors, pour le jeune chercheur qui a travaillé dur et parfois s'est endetté pour ses études, c'est un pousse au crime ! Car en caricaturant, on lui demande soit d'être nobélisable, soit de finir à vivre de petits boulots sans intermédiaire possible ! Cela vient du fait que les organismes d'évaluation pseudoscientifiques issus du monde du manageria ont noyauté les comités d'évaluation sous pression de ministères et d'autorités de tutelles formées au monde de l'entreprise. Ces gens qui occupent des postes à décisions, guidés par leur peu de culture scientifique et leur vision populaire fausse de la science, voient encore la découverte comme le fait d'un individu isolé. Dès lors, il n'y aurait que le génie ou rien ! Les décisionnaires n'ont pas compris que la recherche est une activité collective de réseau, et que peu importe le niveau, la grande découverte ou l'innovation majeure ne sont pas toujours au rendez-vous à l'échelle individuelle. C'est la masse cumulée d'heures de travail (car la recherche s'inscrit dans le temps long) et de compétences mises en interrelations qui finissent par déboucher sur quelque chose. Et quand on cherche, on ratisse méthodiquement, mais on ratisse large aussi. De fait, on ne trouve pas toujours ! La recherche c'est aussi éliminer des pistes. En fait, toutes les découvertes majeures et innovations de ces dernières années sont des démonstrations de l'échec des techniques de manageria actuelles de l'entreprise.
  23. 3 points
    C'était la nuit dernière, sous un très beau ciel. Pendant qu'on testait avec les collègues le pointage GoTo sur un instrument, mon Canon 6D ouvrait son capteur ébahi vers le Sagittaire. 80x120 sec au foyer d'une lunette SW Evostar 62/360 ; 6D défiltré partiel à 3200 iso + filtre Duo Band. A noter la présence d'un nombre conséquent de Perséides brillantes, avec de belles trainées. De bonne augure pour le maximum ? A+ Gilles
  24. 3 points
    Malgré le clair de Lune (k=60%), le sursaut de 12P m'a poussé à sortir le matos fin juillet et ce fut l'occasion d'imager la petite C/2022 L2 (ATLAS) : Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Haut Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Nuit du 26 au 27 juillet 2023 entre 20h32 et 21h55 utc 62 poses de 90s à -10°C et Gain 120, Temps d'intégration de 01 h 02 Traitement Siril-1.2.0-rc1, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2"/pixel Clairement pas les conditions idéales : nuit assez turbulente et ce clair de Lune qui donne un fdc pas complètement homogène mais elle est malgré tout assez sympa cette comète La coma fait 31" de diamètre et on voit une queue de poussières de 2.7' de longueur vers PA=64° m1 = 15.6 ( rayon d'ouverture : 19" ) m2 = 16.5 ( rayon d'ouverture : 6" ) Elle devrait encore gagner 2 magnitudes d'ici son passage au périhélie en mars 2024. Bon ciel à toutes/tous
  25. 3 points
    Retour la nuit dernière ( 9 Aout 2023 ) sur 12P la coma a pris de l'ampleur mais bien plus diffuse il a fallu que je tire "un peu " les niveaux de visualisation pour la distinguer, malgré des poses plus longues c'est la même échelle pour les 2 images de la comète
  26. 3 points
    Bonjour, La rotation de Mars s'accélère comme expliqué par Laurent Sacco dans un article de Futura : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronomie-rotation-mars-accelere-106972/ Article original : https://www.nature.com/articles/s41586-023-06150-0.epdf?sharing_token=bzW3WFMTFPlbiQSKOZXeC9RgN0jAjWel9jnR3ZoTv0Nu8518zKsaArvLAESaO3RedjZzSDEypmtF_MXsjctromAsjzAzRQatHLvozmIBx71q8y3Lck5HJOrfjhLieO8H2zMXYhMOGcJeJiTrbGgvo4hiV2DCDVboMBx3Rt3P3XA%3D
  27. 3 points
    "...j'ai vu finir le monde ancien..." (Chonum) Je crois qu'on a surtout vu le titre du fil le plus foireux de l'histoire d'Astrosurf !
  28. 3 points
    La matinée était fraîche et humide à Londres, ce qui est généralement propice à de bonnes conditions d'observation. Il y a eu une fenêtre d'opportunité d'une heure juste au moment où le Soleil est passé au-dessus des arbres, puis les nuages ont commencé à apparaître. Les scans H-alpha ont été pris à 106mm d'ouverture, 720mm de focale, de 07:32 à 07:37 UTC. Pour la configuration de l'équipement, voir mon post précédent: Spectrohéliographe H-alpha de bonne résolution du 7 août. Cette image SHG est une pile de 11 scans sur 20. Je dirais que la résolution est un peu plus élevée que dans l'article précédent.
  29. 2 points
    Bonjour, Après une belle cession spectro cette nuit, j'ai pointé Jupiter pour commencer la nouvelle opposition, la collimation n'est pas optimale mais ce sera mieux la prochaine fois Et avec Europe, et la le défaut de collimation ne pardonne pas... Xavier
  30. 2 points
    Hop , NGC 281 , quatre ans que je ne lui avais pas tirer le portrait , traité en Hoo avec une petite réduction d'étoiles et un léger passage sous lightroom pour un peu de cosmétique sur le fond de ciel (j'aurais même pu m'en passer en fait.) Bon ciel. Ngc 281 64X180"+D.O.F ,Gain100 à -10° SW 62ed avec son C/R sur Neq3.2 Goto Asiair Mini ZWO 30F4+Zwo120MCs Zwo 533 MC Pro + L'eXtreme Siril ,Lightroom Classic Edit : La deuxième est juste sortie de Siril en Hoo traitement : saturation des couleurs juste rehausser, retrait de bruit vert et pas de réduction d'étoiles ....c'est tout !!
  31. 2 points
    ngc6992 les dentelles du cygne ,180 mn et 180photos ,prise avec lunette 102mm asi1600mcc sur asiairplus, traitement siril avec offset ,darks et flats reductions etoiles avec starnet
  32. 2 points
    Bonjour à tous, Alors cette nuit, j'ai continué de shooter le Cygne et du coup, il est mort en matinée car j'avais utilisé des cartouches pour les sangliers . Bon, cette nuit toujours avec la petite FS60 & la 2600MC, j'ai pu faire 58 x 300s en HOO et j'ai assemblé le tout avec l'image d'hier mais je suis un peu triste car ça m'a couper une pétale de ma Tulipe . Bon, j'espère que cette image vous plaira malgré la Tulipe a qui manque une pétale :
  33. 2 points
    Bonsoir, OSIRIS-REx (Origins, Spectral Interpretation, Resource Identification, Security-Regolith Explorer), une mission de la NASA vers l'astéroïde géocroiseur Bennu, est sur le chemin du retour avec des échantillons de sa surface. Le 24 septembre 2023 le conteneur de retour d'échantillons atterrira dans l'Utah aidant les scientifiques à percer les secrets du système solaire primitif et contribuant à nos connaissances des astéroïdes géocroiseurs. Le vaisseau spatial principal poursuivra dans l'espace, au-delà de la Terre, après avoir largué la capsule de rentrée atmosphérique contenant les précieux échantillons. Avec cette prolongation de mission, sous une nouvelle appellation OSIRIS-APEX (OSIRIS-Apophis Explorer) la sonde se dirigera vers une deuxième cible, l'astéroïde géocroiseur Apophis. Mais d'abord, l'arrivée à proximité de notre planète doit se dérouler selon une séquence précise. Lorsque la sonde sera à environ 100 000 kilomètres de la Terre, le conteneur de retour d'échantillons se séparera du vaisseau spatial. Ce n'est qu'un simple ressort qui éjecte la capsule et la fait tourner sur elle même", explique Mike Moreau (cousin d'Alain)*, responsable du système de dynamique de vol au Goddard Space Flight Center de la NASA, en charge de l'équipe chargée de la navigation d'OSIRIS-REx. «Aucune action motorisé pour contrôler la trajectoire. C'est comme un très long tir à trois points (Référence de Basketteur). * Plaisanterie éculée (comique de répétition) Le container d'échantillon lui-même n'a pas de moteurs ou de propulseurs. Le travail pour obtenir un atterrissage de précision intervient dans la période précédant cette séparation. "Le ciblage se déroule dans les deux semaines qui précèdent le passage du vaisseau près de notre planète", explique Moreau. À 14 jours du retour de l'échantillon, OSIRIS-REx déclenchera ses propulseurs et effectuera une manœuvre de correction de trajectoire, ciblant une zone de retour spécifique visant l'Utah Test and Training Range, à environ 130 kilomètres au sud-ouest de Salt Lake City. Le site d'atterrissage semble grand : une ellipse d'environ 20 kilomètres sur 80 kilomètres. Mais programmer la navigation d'un vaisseau spatial pour atteindre une cible aussi précise est pour le moins difficile, et cela se fait par étapes. Au fur et à mesure que le vaisseau spatial se rapproche de la Terre, l'équipe de dynamique de vol affine ses calculs et la marge d'erreur se réduit. Dans deux semaines, il ne devrait y avoir que de petits changements nécessaires pour atteindre cette fenêtre étroite pour la rentrée atmosphérique. L'équipe a encore de multiples occasions d'ajuster cette trajectoire, si nécessaire. Mais à quatre heures avant le largage de la capsule, les techniciens auront fait tout ce qu'ils peuvent faire. "C'est toujours un peu ahurissant que vous libériez un projectile sur un point à 100 000 kilomètres de la Terre... et qu'elle traverse une fenêtre qui fait probablement quelques kilomètres de large dans l'atmosphère pour atteindre sa cible", explique Moreau. Cette mosaïque du site principal de collecte d'échantillons pour la mission OSIRIS-REx a été créée avec 345 images prises par le vaisseau spatial, le 3 mars 2020. OSIRIS-REx était à 250 mètres au-dessus de la surface. Le site de collecte spécifique est la zone relativement exempte de roches au milieu. Le rocher en haut à droite mesure 13 mètres de large sur son axe le plus long. Image : NASA/Goddard/Université d'Arizona EDL : entrée, descente et atterrissage Lorsqu'elle se sépare du vaisseau spatial, la capsule d'échantillon tourne pour se stabiliser. Elle possède naturellement un bouclier thermique et une coiffe de tête qui est optimisé sur le plan aérodynamique pour une entrée à grande vitesse dans l'atmosphère", explique Lauretta. Ce bouclier thermique permettra l'une des rentrées les plus rapides de l'histoire, à un peu moins de 12,4 kilomètres par seconde. Cela doit se produire à 8 h 42 précise. En moins d'une minute, la capsule de retour d'échantillon brûlera son matériau de protection thermique lorsqu'elle entrera dans sa période de chauffage maximale. Simultanément, elle subit une décélération violente grâce à la traînée aérodynamique. Deux minutes et 10 secondes après l'entrée dans l'atmosphère, un premier parachute drague (freinage préliminaire se déploiera. Cela aidera à stabiliser la capsule pendant qu'elle se dirige rapidement vers le sol. À environ 1 000 mètres de la surface, le parachute principal se déploie. Et environ 13 minutes après le début du processus de rentrée, la capsule percute le sol du désert de l'Utah, à une vitesse d'environ 4,6 mètres par seconde. Une fois le touch down confirmé, l'équipe au sol intervient. Avant de passer à la phase suivante du voyage du conteneur d'échantillons, discutons des tenants et aboutissants de la mission. À la base, OSIRIS-REx est une mission vers un astéroïde proche de la Terre initialement appelé 1999 RQ36. En 2013, Michael Puzio, 9 ans, a remporté un concours pour nommer l'astéroïde. Le concours était co-organisé par la Planetary Society avec l'Université de l'Arizona et le MIT Lincoln Laboratory. Il l'a appelé Bennu d'après une divinité de la mythologie égyptienne antique. Michael Puzio et Bill Nye lors du lancement du vaisseau spatial OSIRIS-REx. Image: Larry Puzio Bennu tourne autour du Soleil en 1,2 ans et est au plus proche de l'orbite terrestre tous les six ans, à environ 300 000 kilomètres. Un peu plus de deux ans après son lancement, OSIRIS-REx est entré en orbite autour de Bennu, le 31 décembre 2018 et a commencé le long processus de cartographie détaillée de l'astéroïde. Après que les sites d'échantillonnage aient été identifiés, le vaisseau spatial a effectué son premier échantillonnage sur l'astéroïde pour recueillir un prélèvement, le 20 octobre 2020. Les scientifiques ne s'attendaient pas à ce qu'ils ont trouvé à la surface de Bennu. "Ce qui nous a surpris, c'est à quel point la surface était molle", explique Lauretta. "Lorsque le vaisseau spatial est entré en contact, il s'est enfoncé à environ 60 cm de profondeur. Le bras robotique venait de pénétrer un sol sans aucune résistance. Et cela nous a stupéfié. Et nous avons réalisé que le matériau était de très faible densité et se cassait incroyablement facilement. Nous sommes sur le point de recevoir un échantillon assez unique. Les scientifiques ont déjà travaillé avec des échantillons d'autres mondes, comme les précieux échantillons lunaires que les astronautes d'Apollo ont ramenés de la Lune. Ils recherchent et étudient également régulièrement les météorites. L'Antarctique en particulier est une mine d'or pour ces "trésors" de l'espace. "J'ai pu être membre de l'équipe de terrain collectant des météorites en Antarctique en 2019", explique Nicole Lunning, conservatrice adjointe d'OSIRIS-REx au sein de la division Astromaterials Research and Exploration Science Division de la NASA (elle est en charge de la préservation des échantillons d'astéroïdes). « Le simple fait de voir une météorite au sol a été une expérience incroyable. Mais toute météorite qui tombe sur Terre est différente de ce que nous obtiendrons d'OSIRIS-REx parce que les météorites sont ce qui a survécu après le brûlage d'une rentrée dans l'atmosphère terrestre. Le matériel échantillonné de Bennu ne survivrait tout simplement jamais à ce processus. "Nous ramenons de la matière qui, nous l'espérons, ne ressemble à rien de ce qui est disponible à la surface de la Terre dans notre collection de météorites", explique Lauretta. Contamination, déballage et analyses Lorsque le conteneur d'échantillons atterrira enfin, l'équipe au sol sera très proche pour passer à l'action. Lauretta et les membres de son équipe attendront dans des hangars de l'Utah Test and Training Range, à moins d'une heure d'hélicoptère du site d'atterrissage. "Il y aura quatre hélicoptères mis en oeuvre là-bas", explique Lauretta. « En cas de mauvais temps, nous aurons des véhicules à chenilles au sol, donc nous partirons en voiture, ce qui prendra beaucoup plus de temps. Peu importe qu'il pleuve ou qu'il fasse beau, quoi qu'il arrive dans l'Utah, nous serons là. Le premier hélicoptère contiendra un agent de sécurité, qui s'assurera que le site d'atterrissage est sûr et que la capsule est préservée de tout risque extérieur. Ensuite, le reste de l'équipe arrivera sur place. Tout sera photographié et documenté, et des échantillons seront prélevés du sol, de l'air et de tout ce qui pourrait entourer la capsule. Cette dernière sera ramenée au hangar, où l'équipe de conservation aura installé une salle blanche portable. À ce stade, "la coque arrière et le bouclier thermique seront retirés ainsi que d'autres équipements avioniques", explique Lunning. L'objectif est d'amener la cartouche d'échantillon dans une purge d'azote le plus rapidement possible. "L'azote est un gaz inerte, et c'est pourquoi il est requis à des fins de conservation", explique Lunning. C'est ce que la NASA utilise également pour conserver des échantillons lunaire. "Cette purge d'azote empêche également la pénétration de l'atmosphère terrestre et de l'humidité." Le container d'azote et son contenu seront ensuite embarqué dans un avion, toujours sous flux d'azote, vers le Johnson Space Center à Houston. À ce stade, il entrera dans une salle blanche pour un nettoyage supplémentaire avant de le diriger finalement vers le laboratoire de conservation. "La cartouche ne s'ouvre pas tant qu'elle n'entre pas dans le laboratoire de conservation OSIRIS-REx", explique Lunning. "Nous allons en fait ouvrir la cartouche à l'intérieur d'une boîte à gants d'azote." Étant donné que le container d'échantillons est assez grand, l'équipe OSIRIS-REx a travaillé avec Lockheed Martin pour concevoir une boîte à gants spéciale spécifiquement pour cette mission de retour d'échantillons. "Nous aurons essentiellement une procédure de déballage très élaborée", déclare Lunning, qui aura lieu environ neuf ou 10 jours après l'atterrissage. Et puis? Cette image montre une vue de l'hémisphère sud de l'astéroïde Bennu et de l'espace, on y voit le nombre et la distribution des rochers à travers la surface de Bennu. L'image a été obtenue le 7 mars 2019 par la caméra OSIRIS-REx PolyCam à une distance d'environ 5 kilomètres. Le gros rocher de couleur claire juste en dessous du centre de l'image mesure environ 7,4 mètres. Image : NASA / Goddard / Université d'Arizona Matière d'un autre monde Les scientifiques ne sont pas vraiment sûrs de la quantité de matière qu'il y a dans la capsule d'échantillon, mais ils pensent qu'il y en a pas mal. Lauretta a estimé qu'il y aurait environ 250 grammes avec lesquels travailler, ce qui est bien au-dessus de l'objectif initial de la mission qui envisageait 59,5 grammes. "Avoir plus d'échantillons que nous ne savons quoi en faire est le meilleur scénario", déclare Lunning. Une fois la cartouche complètement ouverte, ils commenceront à l'examiner de plus près. "Nous allons tout mettre sur les plateaux et faire un tas de documentation photographique et d'imagerie spectrale", nous dit Lauretta. "Nous allons commencer à identifier la diversité que nous voyons dans l'échantillon et commencer à faire nos choix pour la science." Certaines parties du prélèvement resteront au Johnson Space Center pour y être étudiées. Des échantillons plus petits seront transportés dans des laboratoires du monde entier pour étude grâce au programme de scientifiques participants. Et de nombreux échantillons iront dans le coffre-fort du Johnson Space Center, côte à côte avec les échantillons lunaires. Un jour, les futurs scientifiques auront la chance de desceller et de travailler avec ces morceaux d'un autre monde parfaitement conservés . Le vaisseau spatial OSIRIS-REx a pris cette image de son bras de collecte d'échantillons, TAGSAM (mécanisme d'acquisition d'échantillons tactiles), planant au-dessus de l'astéroïde Bennu lors d'une répétition de toucher des roues le 14 avril 2020. Le vaisseau spatial n'était qu'à 70 mètres (230 pieds) au-dessus de la surface à ce moment-là. Image : NASA/Goddard/Université d'Arizona Concrètement, Bennu est un objet proche de la Terre, et il pourrait un jour nous menacer. C'est pourquoi l'étudier est crucial. « Nous devons comprendre de quoi il est constitué au cas où une génération future devrait proposer une mission d'empêchement de l'impact », explique Lauretta. "Comprendre ce corps, son orbite, ses propriétés physiques, ses propriétés thermiques et ses propriétés chimiques va être essentiel pour, éventuellement, nous protéger. Mais il y a des implications toutes aussi importantes que la défense planétaire. Des échantillons de Bennu pourraient nous aider à comprendre les débuts de notre système solaire et de l'apparition de la vie en son sein. "Nous n'avons aucune idée de la façon dont la matière passe d'un état inanimé au vivant", déclare Lauretta. Les scientifiques ont cherché la source de cette étincelle pendant des années. OSIRIS-REx et nos échantillons de Bennu pourraient aider à faire la lumière sur cette mytérieuse transmutation. "Toute vie sur Terre vient de la vie", dit Lauretta, faisant référence au tout premier exemple de vie jaillissant de matières organiques inanimées il y a des milliards d'années. « Nous pensons que ces astéroïdes enregistrent la chimie et la physique des processus juste avant que cet événement ne se produise. C'est un peu comme l'inventaire de départ. Avec les échantillons de Bennu, nous pouvons en apprendre davantage sur les composés que ces astéroïdes ont amenés à la surface de la Terre et peut-être comprendre cette transition singulière qui déclenche la vie. Lauretta conclut : "Nous essayons de comprendre l'origine de la vie, qui est le plus grand mystère scientifique à résoudre, à mon avis." Ce post est un résumé traduit très remanié de l'article : https://www.planetary.org/articles/asteroid-samples-from-another-world
  34. 2 points
    Sauf que les scientifiques sont tout sauf des rêveurs. Un rêveur rêve, fantasme,.... mais on est dans la fiction. Le scientifique est dans la quête d'une forme de vérité et de pragmatisme dans la découverte. En revanche, les exploiteurs, sont dans le fantasme d'un monde, celui créé par l'Homme, un monde qui serait découplé du monde réel, et sans limites. Le retour à la réalité pour certains sera aussi traumatisant, voir fatal, que le krach de 1929 !
  35. 2 points
    Sur un de mes ordi, ça tire effectivement sur le mauve, sur l'autre, plutôt rosé. Voilà une nouvelle version :
  36. 2 points
    Un peu de ciel clair vers 14h lors du passage au méridien, mais encore pas mal de turbulence. La belle est toute mince à trois jours de la fin de son régime, 1,1% d’illuminé à un peu plus de 8,5° du soleil. L'échelle reprend du service Pas facile, comme dit par Philippe ...
  37. 2 points
    Le processus est en cours depuis l'aube de l'humanité, lorsque l'homme (au sens large, ne cherchez pas chez-moi une complaisance au langage inclusif), lorsque l'homme dis-je a commencé à réfléchir sur sa condition et son environnement, la philosophie est née, mêlant dans sa quête les prémices d'une science issue de la magie, empreinte d'ésotérisme et donc très vite de religiosité pour faire court. Dès ce moment les dés étaient pipés, certains parmi les plus filous, car c'est un travers qui existe de toute éternité, d'aucuns donc y on vu un moyen efficace d'asservissement de leurs contemporains, et donc la nécessité de contrôler ce flux de connaissances nouvelles, faussant le jeu dès le départ et retardant bien souvent comme l'histoire nous le révèle des avancées qui eussent peut être permis de s’exonérer de quelques calamités. Mais pour pouvoir se maintenir en haut dune échelle humaine instable par nature, une stabilité d'illusion devait s'imposer, le dogme était né dans son principe, et ainsi la science telle qu'on la conçois aujourd'hui a-telle dû naviguer entre les nombreux écueils de la bêtise entretenue, pour parvenir parfois à s'imposer petit à petit malgré tout lorsque l'évidence n'était plus discutable que sur un plan théologique étendu à une éthique diffuse et de pure forme. Et oui, la terre tourne bien autour du soleil... ça ne se discute plus que chez quelques abrutis indécrottables. La suite de l'histoire on la connaît, entre temps le spirituel très corrompu avait ouvert la porte au temporel et le nerf de la guerre s'est enrichi, c'est le cas de le dire, de la puissance financière conservant malgré tout une petite partie de religiosité, c'est pratique et ça peut toujours servir pour instrumentaliser le fanatisme. A peine sortie des griffes de l'inquisition et de la religion en général, qui pour une petite part a dû faire amende honorable, la science est devenue la proie de la finance qui dévore tout, c'est à dire principalement le savoir et les moyens de sa diffusion, petit à petits les médias sont ainsi devenus des puissances aux mains des puissants, et de même que dans une certaine mesure la religion favorisait l'essor scientifique, bien encadré toutefois lorsqu'il ne lui nuisait pas, d'autant qu'elle avait largement le temps de s'y adapter, la finance par le jeu du paradigme économique qu'elle a su imposer comme un dogme a également permis d'accroître le développement scientifique, d'autant que celui-ci s'est accompagné de son pendant utilitaire avec les applications rentabilisées au fur et à mesure des découvertes, sans parler de leur militarisation. Nous assistons à présent à un tournant de cette histoire où l'on se mord la queue, car cela va si vite que cette fuite en avant nous conduit inéluctablement à notre perte, d'un côté la vision scientifique, large et largement ouverte sur l'inconnu, et la vision mercantile qui peine à suivre, engluée dans une rentabilité illusoire puisque néfaste mais nécessaire à son hégémonie... Ce sont deux conceptions totalement opposées qui se heurtent, et tout comme avec la religion dogmatique, la seule issue envisageable c'est le bûcher... Naturellement, devenus « civilisés » la sentence est bien moins spectaculaire mais plus sournoise, la vie et la mort se décrètent aujourd'hui avec les subventions octroyées ou pas, par le fait du prince... prince de la finance bien sûr à qui il faudra rendre des comptes, et l'objectif scientifique a ainsi toutes les chances de se perdre en chemin pour peu qu'il n'offre pas ou peu de débouché palpable. Reste le bûcher des vanités naturellement, version contemporaine où certains se perdent dans un jeu de dupes en achetant leurs subventions à crédit... c'est à dire avec le crédit escompté d'une publication tapageuse hors du cadre strict du modèle scientifique établi en garde fou... Savonarole doit rire sous cape, ce qu'il déplorait a perduré et s'est même très bien développé... Et si on y réfléchit, le crédit est dans la logique du paradigme économique flamboyant, c'est au mieux un pari sur l'avenir et au pire un acquis sur la naïveté... et la publication tapageuse reste également dans la logique de la médiatisation dont usent et abusent les pouvoirs établis. Rien de tout ça ne peut donc nous surprendre... Ainsi va le monde, il y a les rêveurs... et les exploiteurs... entre les deux une foultitude prise en tenaille mais très dispersée, assourdie, aveuglée et le plus souvent muette bien que braillarde de temps à autres mais pour des résultats bien éphémères... Vous avez dit désabusé ? Tiens donc ? Ça se voit tant que ça ?
  38. 2 points
    Excellent, tu t'es lancé la bonne nuit. Sur ta Saturne il reste de la réfraction. Je l'ai corrigé ainsi que la WB. La Jupiter est parfaite et bien joué pour Uranus, il faudrait que j'essaye.
  39. 2 points
    Bonjour, Après une peu de solaire en journée : je remplace le SW 254/1200 par un petit tube 150/420 pour faire quelques nébuleuses avec la Starlight XPress SX9 et sa roue à filtres. J'ai fait des poses de 200s pour moitié en Ha, le reste en R, V et B. D'abord M16 sur 3h, la dernière demi heure part à la poubelle : Et ne HaRVB : puis un petit bout de NGC 7000 sur 4h, là aussi, la dernière demi-heure perdue. Bonne journée.
  40. 2 points
    bonjour, exceptionnel pour moi 3 éruptions ultra rapides dans une tache , quel spectacle !!! même si la turbu était forte Paul première à 12h09
  41. 2 points
    Dans le cercle rouge, le site prévu pour se poser :
  42. 2 points
    Ça continue de descendre ! Le spectre bleu date de cette nuit à l'OHP dans des conditions médiocres (pas mal de nuages)
  43. 2 points
    Bonjour, cela se passe dans Céphée, la cible est EM*GGR 113, une Be de m=14 qui ne possède pas encore de spectre dans BeSS. Finalement, ce sont deux autres Be qui s'invitent dans la fente du spectrographe, de magnitude similaire et qui appartiennent probablement à l'amas ouvert NGC 7419. Réduction des données via SpecINTI. J'en profite pour souhaiter un excellent séjour aux participants du stage spectro à l'OHP. Vivement la retraite !!!! A bientôt Emmanuel
  44. 1 point
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    Une bien belle première !! bravo Xavier
  47. 1 point
    Oui c'est assez fréquent (et énervant) avec ce genre de logiciels. N'hésite pas à leur rapporter. Mais tous les sources sont dispos, donc facile de vérifier s'il y a un malware... Je vais ajouter des paramétrages pour les valeurs par défaut de CLAHE, mais en attendant (ça peut prendre un peu de temps), tu peux tester différents paramétrages assez facilement. A la fin du traitement, par exemple, tu peux mettre un script en bas à droite. Dans ce script, mets: [outputs] clahe_0_5=clahe(img(0);0.5) clahe_0_8=clahe(img(0);0.8) clahe_1_0=clahe(img(0);1.0) Ca te permettra de comparer la sortie avec différents niveaux de clipping (ici je compare avec 0.5, 0.8 (valeur par défaut) et 1.0. Tu peux même aller plus loin en changeant la taille des tuiles utilisées pour calculer: [outputs] # Variation taille tuile clahe_0_8_64_64_t=clahe(img(0);64;64;.8) clahe_0_8_128_64_t=clahe(img(0);128;64;.8) clahe_0_8_256_64_t=clahe(img(0);256;64;.8) # Variation nombre de paniers clahe_0_8_64_64_p=clahe(img(0);64;64;.8) clahe_0_8_128_64_p=clahe(img(0);64;128;.8) clahe_0_8_256_64_p=clahe(img(0);64;256;.8) A toi de jouer !
  48. 1 point
    C'est Vraiment superbe Guy! Bravo Martin
  49. 1 point
    T'as bien profité quand même avec ces deux belles images Bonne journée, AG
  50. 1 point
    Très belle série Guy, avec une préférence pour la région de Platon ! J'espère pouvoir faire du lunaire début septembre !