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Affichage du contenu le plus aimé le 30/12/2021 dans toutes les zones

  1. 22 points
    Bonsoir, Avec Alain, on a réalisé l animation des 820 images prises le 27 décembre avec le rasa 11 qui nous sert pour le survey MAP. les animations sont ici avec une animation en full résolution (56Mo) https://www.spaceobs.com/fr/Blog-de-Alain-Maury/Images-du-ciel/Leonard bon ciel georges
  2. 12 points
    Bonjour, Pas de nouvelle image récente avec la météo du moment, mais le mauvais temps permet de se mettre à jour dans les traitements restés en souffrance, c'est toujours çà de pris Voici donc une galaxie du catalogue NGC qui avec sa mag 10 et sa taille aurait mérité de figurer au catalogue Messier, c'est un grand classique du ciel automnal dans Andromède : NGC 891, imagée sur 6 nuits et deux lunaisons. C'est du coup la star du champ, mais elle est bien accompagnée et le cadrage vise donc à avoir aussi ses voisines de ciel tant qu'à faire : Voici le crop sur NGC891, avec les 95 meilleures poses (03h10min d'intégration) : et le crop sur les plus faibles galaxies présentes plus à droite (305 poses cette fois, soit 10h10min d'intégration) : Et le champ complet, à cliquer si vous voulez vous balader dans la full : Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, 305 poses de 02min à -15°C ou -20°C (gain 120), Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Sur 6 nuits les 01/02, 03/04, 04/05, 05/06, 06/07 et 27/28 novembre 2021, temps d'intégration de 10h 10min Traitement Siril 1.0.0-rc2, Finition avec Gimp 2.10.28 Bonnes fêtes à tous
  3. 12 points
    Voici une toute dernière image prise avec le télescope Omicron à l'Observatoire C2PU, plateau de Calern. J'ai pris l'image en remote, entre juin et novembre, en profitant de petits "trous" dans mon planning d'observation (on rappelle que ce télescope est utilisé pour de la recherche). Donc voici NGC 6888, la nébuleuse du Croissant, en version "bio", en L RVB. Ca explique le foisonnement d'étoiles... Télescope Omicron de 1 mètre à F/3.3, caméra QHY600, à -5°C. 4 heures de luminance, 30 minutes de R, V, B. Poses de 1 minute, j'ai prétraité le tout avec Siril. Mais surtout, l'image a été magnifiquement traitée par @jeffbax. Merci encore à la belle équipe, Jean-Pierre, David, et Jeff. Bonnes fêtes à tous, du coup ! S
  4. 9 points
    Bonjour voici une série d'images du rayon vert, photographié il y a une semaine depuis le col de la Bigue (alt. 700m), au-dessus de Aups, dans le Var. J'ai utilisé une lunette Swarovski ATS-80 (diamètre 80 focale 800) et un boîtier Canon 7D. Pose 1/8000s à 100 ISO Le soleil était encore très lumineux lorsqu'il a disparu derrière le plateau visible au loin (ce n'était pas exactement l'horizon). L'analyse des photo prises en rafale a permis d'extraire ces trois images où l'on voit bien la frange verte, et même du bleu sur la dernière photo. A lieu nu nous avons bien vu le petit bout de soleil devenir vert durant les deux dernières secondes avant la disparition. C'était vraiment beau :-) Jean-Marc
  5. 8 points
    Bonjour, Je vous propose une belle image du coeur de la nébuleuse d'Orion M42, prise sur deux nuits au foyer du C14 Edge HD de l'observatoire de Bauduen (83), à F/D=11. L'image a été réalisée à l'aide d'une caméra monochrome ZWO 290 MM. La couleur est obtenue par combinaison de trois images réalisées à travers des filtres rouge, vert et bleu. L'image de luminance, en noir et blanc, a été réalisée en poses courtes à travers un filtre h-alpha. Cumul de 15000 poses de 1/4s prises la première nuit, et 10000 poses de 1s la seconde nuit. Voilà, même si on peut faire encore beaucoup mieux, on voit pas mal de détails dans la partie centrale de la nébuleuse :-) Jean-Marc
  6. 8 points
    https://drive.google.com/file/d/120jCOX005UlgX9DIcuPcIEKxRm2yRDRQ/view?fbclid=IwAR2-5VrFXJ9Mt15p5Z-NXpDM-RVWqD91cxTJyzKF6bdKLPeJHvjbePto0Z4
  7. 8 points
    Et que surtout c'est une cible facile pour s'exercer sur la colorimétrie ( mon gros point faible ) . Tous les details sur astrobin dans le lien ci-dessous .( je trouve la full sympa pour se balader dedans ) https://www.astrobin.com/full/iq80xf/B/ Bon réveillon
  8. 8 points
    @Impla007 superbe ! suite à ce que j'avais expérimenté en traitant mes images d'éclipse et mes images de NEOWISE, je me suis permis de faire une animation recallée sur les détails de la queue pour mieux voir les mouvements du plasma, et comme le résultat est vraiment pas mal, je vous la mets en dessous. on voit nettement que certaines parties se déplacent plus vite que d'autres, c'est envoutant....
  9. 6 points
    Comme d'habitude une V2 du lendemain à yeux reposés. Elle a fait l'objet de pas mal de discussions avec @Superfulgur qui la trouve un peu trop saturée sur les étoiles, ainsi que @DVernet qui l'aime bien. On a échangé une petite dizaine de versions. Il y a un travail supplémentaire de luminance sur les zones moyennes en haut de la nébuleuse (en partie reprise d'une version de Serge d'ailleurs). J'ai également restitué les couleurs bleutées des grosses étoiles qui sortaient après calibration mais que les masques multiples du traitement avaient enlevées. Enfin, plus globalement la vibrance et la saturation sont un peu augmentés ainsi que très légèrement le contraste. L'idée est d'assumer totalement la multitude d'étoiles avec leurs couleurs. Ce ne sera pas du goût de tous. Mais l'idée est quand on a un tromblon capable d'attraper les couleurs jusqu'à une telle profondeur, faut pas se gêner. Voilà me concernant. Serge postera peut-être une version différente pour que tous les goûts s'y retrouvent. Bonnes fêtes. JF
  10. 6 points
    Bonjour à toutes et à tous, Avec cette nébuleuse de l'Iris, NGC7023 pour son nom de catalogue, j'aurai fini de rattraper mon mois d'août. Elle présente des "traces" sur la droite de l'image que je n'ai pas réussi à réduire. Je ne sais pas si c'est dû à un essuyage du filtre UHC que j'ai utilisé. Je ne pense pas car je suis très rigoureux sur ces aspects, et ne me souviens pas l'avoir fait, ni la présence d'humidité. Après, j'ai eu mon AVC, et je dois dire que mes souvenirs de cette période restent confus. Je la publie quand-même, et sollicite vos avis. Config : lunette APO 130 f/7 (réduite à f/5.5), caméra ZWO ASI533MC Pro, filtre Baader UHC-S, guidage ZWO ASI224MC. Acquisition : ZWO ASIAIR Pro, 30 x 300s, 22 darks, 60 offsets, 30 flats. Traitement : SIRIL (tif 16 bit en pré-taitement) et Lightroon Classic (Jpeg en traitement final). Bien cordialement, Stef.
  11. 6 points
    et une version stackée sur les détails de la queue de gaz pour en voir tous les détails
  12. 6 points
    Salut, y'a effectivement du potentiel, mais il y a surtout une petite erreur de recentrage des images: certaines étoiles sont complètement dédoublées. Une petite comparaison avec l'image que j'ai faite avec le T400 de l'Observatoire de Nice: On voit les étoiles les plus brillantes qui ont été décalées. Si le décalage a été fait sur beaucoup de poses, tu devrais pouvoir améliorer (un peu) le signal final Matthieu
  13. 6 points
    Par la combinaison de plusieurs techniques effectivement, certaines actives, en en profitant opportunément pour décharger les roues de réaction, d’autres passives, notamment avec le Aft Momentum Flap, qui n’est autre que l’équivalent solaire d’un trim aéronautique (dont le déploiement est d’ailleurs prévu aujourdhui-même : c’est la prochaine étape juste après le DTA qui a lieu à l’heure où j’écris. Déploiement qui précède donc immédiatement celui du pare-soleil afin d’en compenser aussitôt les effets). Tu trouveras toutes les réponses argumentées ici (sachant que la source, c’est la Documentation du JWST itself, cité dans mon lien ) : https://space.stackexchange.com/questions/35399/how-will-jwst-manage-solar-pressure-effects-to-maintain-attitude-and-station-kee L’idée qui sous-tend tout cela en filigrane, est bien sûr d’utiliser au maximum des compensations "naturelles" afin d’économiser autant que faire se peut les ergols embarqués. On peut voir sur ce plan le JWST comme une voile solaire, pilotée en tant que telle tant que ça reste compatible avec ses observations, dont la navigation autour de L2 se fera sur une trajectoire en équilibre fin entre les forces gravitationnelles d’une part et la pression de radiation solaire d’autre part, qui s’exerçeront sur lui. Cette représentation permet aussi de comprendre pourquoi il n’aurait pas été judicieux de simplement le placer exactement en L2, puis tenter de l’y maintenir coûte que coûte : l’orbite de halo à la forme étrange adoptée est en fait une trajectoire d’équilibre située légèrement en avant de L2 qui va en effet autoriser une navigation "à la voile" permettant en retour de compenser en partie naturellement cette pression de radiation inévitable, autrement consommatrice d’énergie pour l’y maintenir...
  14. 5 points
    Rebelotte avec M1 qui rentre tout juste.. Malheureusement le suivi, trop bon, a causé une trame affreuse. Mais ça donne envie de recommencer. Asi 462 T520 f/4.7 gain à 460, Siril et traitement final pour Monsieur TOSI. Seulement 9000 images de 500ms avec l'arrivée des nuages bien plus tôt que prévu Jérôme
  15. 5 points
    En fait les objets aux points de Lagrange décrivent des orbites dites de Lissajous autour de ces points. Pour ce qui concerne le JWST, il s'agit d'une grande Lissajous de type HALO qui je crois fait 1.3 à 1.5 millions de km de diamètre autour de L2. Herschel avait la même orbite. Il existe aussi une Lissajous plus resserrée qui fait 800 000 km de diamètre sur laquelle était PLANCK (orbite dite petite Lissajous). Merci Bernard. Oui il est mobile autour d'un axe apparemment. Selon qu'il est plus ou moins exposé au Soleil, la pression de radiation solaire qui s'exerce sur lui varie et donc le couple qu'elle génère. C'est déjà utilisé sur les satellites en orbite autour de la Terre.
  16. 5 points
    La taille "typique" d'un univers inflationnaire dépend énormément du modèle d'inflation considéré. Le favori de Linde est celui de l'inflation chaotique éternelle, dans lequel le taux de croissance durant la phase inflationnaire est (potentiellement) assez démentiel. Mais cela nécessite une dynamique assez spécifique de l'niflaton (= le champ dont la dynamique produit l'inflation). Le gros avantage de ce modèle est la simplicité de la dynamique, ce qui lui a longtemps conféré un statut assez privilégié, en plus d'être assez facilement testable : avec ce modèle, la quantité d'ondes gravitationnelles produites est à un niveau assez élevé, à savoir celui de la sensibilité de l'expérience BICEP2. En pensant (à tort) avoir détecté un signal d'ondes gravitationnelles, les gens de BICEP2 en ont logiquement conclu qu'ils venaient de donner un gros coup de pouce à ce modèle d'inflation-là, et c'est la raison pour laquelle ils ont mis en scène le moment où ils venaient l'annoncer à Linde. Il était prétentieux de le mettre en ligne avant confirmation de leur résultat, mais sur le principe il n'était pas idiot d'envisager de garder une trace du moment. On sait ce qu'il est advenu par la suite : le signal de BICEP2 n'en était pas un, et les contraintes sur l'amplitude du signal d'ondes gravitationnelles sont désormais suffisamment fortes... pour exclure le modèle d'inflation chaotique éternelle à un très haut degré de confiance. Cela ne veut pas dire que l'inflation n'a pas duré longtemps, mais cela invalide le scénario le plus canonique, et à plusieurs égards, un des plus élégants. Moralité : la "beauté" n'est pas un bon critère pour juger de la pertinence des scénarios possibles.
  17. 5 points
    https://www.spaceweather.com/archive.php?view=1&day=29&month=12&year=2021 It is way more than 15 degrees long.
  18. 4 points
    Salut, M15 est un amas globulaire dans la constellation de Pegasse. Grace aux variables qu'il contient(112)les scientifiques ont pu le localiser : 33600Al et voir aussi qu'il fonce sur nous à la vitesse de 107km/s! Dans moins d'1 milliard d'année il nous percute! ...si les effets de marées causées par notre galaxie le laisse tranquille. M15 est le plus dense des ag de notre galaxie. Son noyau a subi une contraction par le passé, appelé effondrement du noyau causé peut être par un trou noir . Son cœur mesure 1al , et dans 10al il y a 50% de sa masse totale! le reste est dans les 175 al M15 est le premier amas globulaire dans lequel une nébuleuse planétaire a pu être identifiée : Pease 1 appelé aussi Kuster 648. Cette NP mesure 3'' donc parfaitement localisable mais sa proximité du centre la rend difficile a photographier en pose longue. J'ai utilisé une barlow 2,5x pour améliorer la détection tout en gardant des poses de 350ms. j'ai ensuite calqué mes différents calques d’échantillonnage pour avoir un peu de champ. Stephane
  19. 4 points
    Bonsoir tout le monde . Après 1mois1/2 de gris ou pluie , ce soir miracle, le ciel est découvert . Bon c'est dans la tourmente que je teste ma nouvelle Barlow Harry.Siebert 1.5X J'espère quelle aura des jours meilleurs en 2022 . En fait j'ai pu avec cette Jupiter mesurer cette Barlow Siebert avec mon montage optique , elle me donne exactement ce que je voulais : F/D19, F.réelle= 5430mm échantillonnage= 0.11 Avec un JetStream à 135km/h , on ne pouvait pas espérer grand chose sinon de tirer un dernier portrait 2021 de Jupiter. C'est pas du premier choix, mais j'ai déjà fait pire ........ et vu les conditions satisfait au moins de cette barlow C11 Focuser +Barlow Siebert 1.5X + ADC + ASI462MC+ Filtre UV/IR.Cut F54300 F/D.19 e=0.11"/pix Avec IO qui se promène , malheureusement le vent est arrivé et obligation de plier les gaules......... Bernard_Bayle
  20. 4 points
    N'empêche : maintenir une attitude en décrivant des trajectoires en huit autour de L2, tout en compensant la pression de radiation solaire (variable) et en observant une chiure de mouche à l'aube de l'univers me semble, comment dire, encore bien plus audacieux que de jongler en dansant des claquettes tout en jouant du violon... C'est stupéfiant.
  21. 4 points
    Ah OK ...bon le télescope est déjà assez compliqué comme ça sans rajouter un autre élément mobile Mais sur certains satellites de Telecom, ces flap sont motorisés et sont intégrés dans la boucle de contrôle d'attitude Alors me viens une autre question d'ordre plus générale. Quand on voit la difficulté que nous avons sur terre à maintenir une précision de suivi s'approchant de la seconde d'Arc, comment là-haut alors JWST va en permanence faire ses grosses orbites de Lissajous, maintenir une précision que j'imagine meilleure que cette Sec.Arc-1 ? Y a t-il des tuyères qui en permanence crachent un gaz ? est-ce électrique au travers des centrales à inertie ... ou que sais-je d'autre ? Guy Une sacré bonne question ... très complexe à traiter pour les observatoires comme le JWST, mais valable aussi pour pas mal d'autres missions (les futurs Euclid ou Ariel par exemple). Comme dit par Alain, le pointage fin se fait via les roues à inertie. Mais c'est un choix qui a été fait parmi d'autres possibilités notamment les tuyères à gaz froid ou les tuyères "électriques" type miniRIT thrusters (https://www.esa.int/Enabling_Support/Space_Engineering_Technology/Fine_control_from_miniature_thruster) Le gros gros inconvénient des roues ce sont les micro-vibrations qu'elles injectent dans l'instrument et qui perturbent la ligne de visée. Il faut parfaitement maitriser cet aspect avec notamment des amortisseurs au niveau des roues voire dans l'instrument pour filtrer ces parasites. Et les roues se saturent progressivement ce qui nécessite des opérations de désaturaton mentionnées ci-dessus. On n'a pas ce genre de problème avec les tuyères ... mais celles-ci ont d'autres inconvénients (utilisation d'énergie non renouvelable, prix, pollution, ...). C'est vraiment une affaire de compromis. Outre l'actuation, l'autre aspect critique du contrôle d'attitude de ces observatoires, c'est la détermination de l'attitude justement. Sur le JWST (mais ce sera le cas aussi sur Euclid et Ariel) on utilise les startrackers pour le pointage "grossier" puis le télescope lui-même comme super startracker et avec un Fine Guidance Sensor (FGS) monté sur le plan focal de l'instrument. C'est très similaire à nos techniques d'autoguidage finalement ! Par ailleurs (mais je n'ai pas retrouvé confirmation de l'information) généralement on utilise aussi un gyro haute performance (souvent un Fiber Optic Gyroscope ou FOG) pour interpoler entre 2 mesures du FGS et améliorer les performances de pointage. L'ensemble actuateurs-senseurs est rebouclé par la chaine de contrôle d'attitude avec une bande passante adaptée aux parasites à contrer et aux performances attendues... mais c'est très complexe à mettre au point surtout sur un gros objet comme le JWST car il y a je pense beaucoup de modes propres qui ne demandent qu'à venir conchier la ligne de visée et qu'il ne faut surtout pas exciter, mais en même temps arriver à compenser les couples perturbateurs .
  22. 4 points
    Oui, c’est le job des roues de réaction : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Roue_de_réaction
  23. 4 points
    Bonjour et merci à Alain et René sinon, j'ai eu ça bonne journée GG: jongleur es nuages
  24. 4 points
    Bonjour et merci à polo celle toute fraîche et pas fameuse - vive les pointes G
  25. 4 points
    Je poursuis avec l'activité solaire du moment dans le visible. Voici le récit. Assis confortablement devant le soleil du matin qui vient de passer la crête, je me décontracte et fais une petite séance de travail pas trop appuyée des muscles orbitaux. C'est une méthode qui en quelques mois m'a fait gagner 2 dixièmes à chaque oeil en correction myopique. C'est peu mais suffisant pour que j'arrête le port de lunettes en journée. Les lunettes sont de toute manière une pauvre béquille qui entretiennent la myopie et souvent l’aggravent. Pour l'exercice qui suit, j'ai tout de même conservé mes lunettes qui ont donc la même correction myopique depuis des années. Avec mon stock de vielles lunettes éclipse (polymère) et autre de fabrication personnelle (Astro-Solar), je décide de sonder la surface du soleil pour voir si j'arrive à détecter une grosse tache ou un groupe de taches. A première vue, il y a bien quelque chose un peu à droite du centre du disque. Je fais un rapide croquis au pastel pour situer cette perception. Après une observation plus prolongée (env. 30mn) entrecoupée de pauses, j'ose un second croquis qui tente de moyenner les informations des cônes qu'ils me restent. J'y vois un tiret plus appuyé et une tache floue qui fuse toujours vers le haut avec peut-être une seconde plage plus grise (voir le dessin à G1x). La suite de l'exercice est toujours palpitante car il s'agit de vérifier ce que l'on a cru voir à l'aide d'un instrument optique, ici des jumelles. Il s'agit donc d'un groupe de taches assez complexe mais pas si gros (voir les photos qui suivent pour la mise en perspective) assez racé car les taches se suivent de manière quasi symétrique avec un aspect de pont arqué entre les 2 premières. On voit que ce groupe (AR2916) a bien évolué depuis l'image qu'en a fait Bob. Mon interprétation de ce que l'oeil a perçu : - le groupe est peu marqué, on a déjà eu des ombres plus contrastées et plus grosses mais l'oeil s'en sort par la longueur du détail qui permet une une détection confirmée et pourquoi pas un début de résolution - l'orientation du groupe effilé est fidèle, l'oeil est en général assez précis au jeu de l'angle de position. - il y a eu apparemment amalgame entre les 2 premières taches et l'oeil n'en voit qu'une sous la forme d'un tiret gras - la tache de queue est plus faible et doit contribuer à prolonger la diffusion de la plage vers le haut - le soleil canarien se hissait dans le ciel et n'en n'était qu'au début de sa trajectoire diurne et l'oeil a perçu un groupe incliné, ce qui donne une idée de la position de l'équateur solaire. Aspect du groupe AR2916 imagé par Jackhole qui correspond bien à la forme inspectée aux J15x50. Notez le pont arqué et les pores qui "gravitent" en dessous Aspect nettement plus détaillé de ce groupe aux mêmes dates imagé de Malaisie par Michaël Teoh. Les spécialistes du soleil suivront certainement l'évolution de ce groupe avec intérêt... Fabrice M.
  26. 4 points
    Effectivement c'est loin d'être négligeable comme perturbation vu les dimensions. La pression solaire génère 2 perturbations en couple ce qui dépointe les instruments : c'est compensé par les roues à inertie qui accélèrent ou freinent pour contrer ces couples perturbateurs par conservation du moment cinétique. Sur le long terme, ces couples perturbateurs ne sont pas périodiques et le JWST va avoir tendance à accumuler du moment et donc va voir ses roues accélérer progressivement. Au bout d'un certain temps, il faut désaturer es roues en les freinant et contrer ce freinage avec les tuyères : on consomme donc des ergols dans ces désaturations. Pour espacer le plus possible ces opérations, ils ont mis un flap de compensation à un bout du Sun Shield (momentum flap) permettant de contrer au max les couples solaires et espacer le plus possible les désaturations, en force : là ça va parasiter la trajectoire en L2. Celle-ci est certes instable mais bon ce n'est pas non plus ultra sensible. Le JWST ne va pas subitement se barrer dans l'espace intersidéral ... Il va falloir recaler périodiquement la trajectoire toujours avec les tuyères, plus souvent que les autres missions L2 vu la taille de l'engin. J'ai cru voir tous les 21 jours contre 4 fois par an pour les missions plus "compactes" ... à vérifier ...Mais les Delta-V restent assez faibles et il semble qu'il y ait assez d'ergols pour 10 ans Et généralement on profite de ces corrections de trajectoire pour désaturer les roues par la même occasion La principale difficulté de ces missions c'est de trouver une topologie de tuyères permettant de faire tout cela (désaturation et correction de trajectoire) sans polluer les optiques ie en poussant uniquement dans le demi-espace "inférieur" et en pouvant réaliser des couples ou des Delta-V purs ... pas toujours simple avec toutes les autres contraintes d'aménagement (antennes, interface lanceur, panneau solaire, ...) JP
  27. 4 points
    Le spécialiste des transits de tout ce qui passe devant la Lune ou le Soleil
  28. 4 points
  29. 4 points
    Ben moi et... beaucoup d'autres, pardi ! Il est évident que cela intéresse beaucoup de monde ! Historiquement, il y a déjà eu de nombreux modèles de caméras CCD proposées avec de petits capteurs pour le CP. Et pas besoin de rappeler que beaucoup d'Astroimageurs CP ont débuté avec ce genre de caméra... Et c'est toujours le cas aujourd'hui. Qui cela va intéresser ? - débutant(e)s en CP longue pose, - ceux/celles ne pouvant se payer une ASI6200, ni même une ASI 294 MM Pro, - ceux/celles ne pouvant se payer un tube optique optimisé pour les grands capteurs, - ceux/celles souhaitant un capteur fortement polyvalent pour des utilisations variées et optimales afin d'exploiter toutes les nuits dégagées. Par exemple faire du lunaire en phase gibbeuse et garder les nuits sans Lune ou presque pour le seul CP. Ce capteur, l'IMX 533 estl'un des meilleurs du moment tout en gardant un budget caméra "raisonnable". Ne pas oublier qu'il se contente aussi d'un budget filtres au plus juste en 1.25" alors que pour les capteurs plus grands il faut au moins du 2" voir plus. Ensuite il a un format carré, qui est le plus logique et intelligent en astro puisque les défauts optiques et le CPL sont de révolution. Et puis penser au déploiement de ces cochonneries de satellites 5G des flottes Starlink et consors qui va bien pourrir les images en grand format à l'avenir. Avec l'IMX533, l'impact en sera diminué. Seule réelle contraire, ce sont des petits pixels qui le destinent surtout à des instruments relativement "rapides". Mais bon c'est très loin d'être le seul dans ce cas, y compris du côté des grands capteurs. Autant je ne vois aucun intérêt à une monture équato sans contrepoids, donc en total déséquilibre, autant cet excellentissime capteur carré monochrome de 16 mm intégré dans une caméra refroidie est une évidence absolue... Albéric
  30. 3 points
    Bonsoir les noctambules, La Lune tardant à partir, les fêtes arrivant, et la météo à venir peu engageante dans le sud-ouest, j'en ai profité pour faire mon bilan 2021 Un bilan en demi teinte, mi ciel profond, mi planétaire, la météo de ce dernier trimestre ne m'ayant pas trop motivé C'est donc un petit bilan, pas très copieux en quantité, que je vous présente là Mais j'ai fait au mieux et je vous laisse deviner les objets du ciel profond Pour les planètes, c'est plus facile Je vous souhaite à tous mes meilleurs voeux pour ces fêtes de fin d'année. Que le vieux barbu vous gâte si vous avez été bien sages Excellente soirée à vous, AG
  31. 3 points
    Ah oui, c'est top... :)) j'ai aussi traité les images d'hier soir. On voit bien l'évolution de la comète en 2 nuits. Les images sont ici. https://www.spaceobs.com/fr/Blog-de-Alain-Maury/Images-du-ciel/Leonard J'essaye de traiter au jour le jour mais, j'ai une nuit de retard... Merci @Sauveur d'avoir forwardé, je ne suis pas très assidu sur le forum. Bon ciel Georges
  32. 3 points
    Salut à tous, une fois n'est pas coutume, je poste des images de la Lune, faites avec le T400 et la lunette Clavé 130/1908 de la coupole Schaumasse. Comme le miroir du Cassegrain n'a pas de barillet, il se déforme et la collimation bouge facilement, donc je n'obtiens pas toujours des images planétaires stables, sauf cas exceptionnels. Le 23 décembre, la turbu était en plus assez faible, alors j'ai fait ces mosaïques avec une Asi174mm, au foyer primaire (2m, avec un téléextendeur Vixen et une barlow 2x). Je crois que ça doit faire une focale de 8.5m... Les images du T400 sont faites avec des SER de ~6000 images (~20 % gardées), traitées sous Autostackert3 et Iris pour un léger Vancittert et un masque flou, combinées sous PaintShop Pro. Cliquez pour profiter des images en grand Zoom sur la Mer des Nectars, avec Théophile au milieu (mosaïque de 8 images, filtre IR): Sur l'image plein format, il y a un chouia de bruit sur certaines portions, mais ça passe je trouve... Le nord de la Mer de la sérénité, avec la Vallée des Alpes à gauche et Posidonius en bas à droite, avec son petit sillon tortueux qu'on devine un peu (mosaïque de 3 images, filtre IR): (Pour celle-là, j'ai triché un peu, le coin en bas à gauche est repris de l'image faite à la Clavé, car il en manquait un bout). Avec la Lunette Clavé 130/1908 + filtre rouge (mosaïque de 7 images): Un jour où la turbu est bonne et que mon disque dur est vide, j'aimerais faire une mosaïque complète avec le 400, mais c'est pas gagné... Matthieu
  33. 3 points
    Bonsoir à cause de vous, merci à Alain, polo et René je me sens obligé de partager cette image merci à tous
  34. 3 points
    Le temps de fouiner un peu les archives, voici ma modeste contribution : 1/ C8 à F/5 29 décembre 1989 : TP2415 hyper, 1h de pose, guidage manuel au C5 et une belle flexion différentielle... Pourtant à l'époque, cette photo m'avait enthousiasmé malgré ce souci et aussi le reflet pile sur la tête de Cheval ! 2/ Téléobjectif Olympus 200 mm à F/4 prise en simulatané (2415 hyper aussi) : Très peu traitée, c'est du bio, avec les tâches du fixateur... Bonnes fêtes !
  35. 3 points
    Bonjour, Ayant perdu la plupart des pages de mon site précédent (pour cause de changement d'hébergeur), je me suis attelé à re-écrire mes pages web relatives à ce que l'on peut tenter, avec des moyens amateur pour utiliser les méthodes et techniques de l'interférométrie en observation astro. Le boulot n'est pas fini, mais il y a déjà matière à lire et peut être à s'engager sur le plan amateur. J'ai essayé de me familiariser tant bien que mal avec Worldpress, c'est pas toujours réussi, mais ca ressemble moins à un cahier de manip que mon site précédent..... Le point d'entrée : https://www.btregon-astro.org/ Le sommaire est accessible en haut à droite en cliquant dans les pages du site sur l'icone : N'hésitez pas a cliquer sur les titres de chapitre, j'y ai mis plein de choses intéressantes comme la découverte des tavelures par Newton, ou les publis originales de Young, Fizeau, Michelson ..... Ensuite, il y a plein d'infos sur l'optique atmosphérique, l'interférométrie des tavelures, ou la synthèse d'ouverture (encore en cours, mais ça avance). Bref pour qui à envie d'essayer, ben il y a des choses sympa encore à faire et à creuser. Ne sachant pas trop ou poster je met ça dans astropratique.... Tout commentaire sera le bienvenu. Bernard
  36. 3 points
    Vu que le sujet de départ etait quand même une animation, la en voici une sur 1H de rotation avec seulement 3 images. alors oui les bords souffrent bien sur un peu mais. Je pense vraiment qu'avec 1 image toute les 10 minutes, ca doit donner quelque chose de bon. J'aurai aimé faire une animation de 2h de rotation, j'ai une quatrième image mais il y a 1h d'écart avec la troisième image source et la c'est vraiment trop long.
  37. 3 points
    Ah ça, la vitesse lunaire, les fabricants de matériel ont du mal à comprendre que cela peut servir. J'ai déclenché récemment une tempête sur la liste Astrophysics en suggérant que la vitesse lunaire (en alpha) soit calculée en fonction des éphémérides, donc variable d'un jour à l'autre, en non approximée à 0.5 arsec une fois pour toute La prochaine fois que je ferai du lunaire, j'essaierai l'auto-guidage de Firecapture pour voir ce que cela donne.
  38. 3 points
    Bonne question ! Hubble a six roues giroscopiques pour pointer ses cibles ( enfin, avait au début de sa vie, maintenant c’Est deux ou trois...), je n’ai pas entendu parler de ça pour Webb. Orientation par ses petits moteurs monoergols ? Ok, réponse ci-dessus... Et les petits moteurs servent de temps en temps à dénaturer les roues inertielles. Comme cela a constitué un sujet de préoccupation sur Hubble, j’imagine que la technologie a fait beaucoup de progrès en trente ans !
  39. 3 points
    Alors me viens une autre question d'ordre plus générale. Quand on voit la difficulté que nous avons sur terre à maintenir une précision de suivi s'approchant de la seconde d'Arc, comment là-haut alors JWST va en permanence faire ses grosses orbites de Lissajous, maintenir une précision que j'imagine meilleure que cette Sec.Arc-1 ? Y a t-il des tuyères qui en permanence crachent un gaz ? est-ce électrique au travers des centrales à inertie ... ou que sais-je d'autre ? Guy
  40. 3 points
    Bon, je rigole tant que la menace ne concerne que de la ferraille, mais force est de constater que cinq décennies après avoir commencé à plancher très sérieusement sur le sujet, le problème en apparence trivial d’une protection thermique réutilisable (donc non-ablative) n’est toujours pas résolu, malgré l’armada d’ingénieurs talentueux et débordant d’enthousiasme qui bossent chez SpaceX... avec des moyens informatiques et une palette de nouveaux matériaux qui feraient pâlir de jalousie leurs ancêtres de l’aérospatiale !
  41. 3 points
    Bonsoir Grâce à @COM423 et @Bungert j'ai poussé le traitement à fond sur la brute... et effectivement la queue révèle des surprises ; Merci à tous de vos contrubutions. Bonne soirée. Nicolas
  42. 3 points
    Un peu comme le verre Libyque dans le desert libyen.
  43. 3 points
    Traduction automatique : Tu as chaud et tu as froid…Webb est divisé en un « côté chaud » et un « côté froid » par son pare-soleil. Le pare-soleil sera toujours face au Soleil pour bloquer la chaleur et la lumière, car les miroirs de Webb doivent rester extrêmement froids pour observer de faibles signaux de chaleur dans l'univers ! Quelle est la différence de température entre les deux côtés ? Du côté chaud, certaines parties de Webb atteindront des températures aussi élevées que 85 degrés Celsius ou 185 degrés Fahrenheit ! Pendant ce temps, du côté froid, Webb sera d'environ -233 degrés Celsius ou -388 degrés Fahrenheit. MAINTENANT EN DIRECT : Vous pouvez suivre les températures des côtés chaud et froid de Webb sur notre site Web à https://webb.nasa.gov/whereiswebb ! Notez que les températures continueront de changer au fur et à mesure que Webb se déploie, puis se refroidit aux températures de fonctionnement au cours des prochains mois.
  44. 3 points
    Désolé @Thierry Legault , mais @ALAING parlait de "faire" un transit. J'avais pas compris qu'il voulait dire "photographier".
  45. 3 points
    Et TL va pouvoir faire un transit devant la Lune ? Ok ok . . . je sors [ ]
  46. 2 points
    Bonsoir à toutes et à tous Je commence à rattraper mon retard du mois d'août dernier Voici une vue de notre grande voisine, en l'occurrence M31, la grande galaxie d'Andromède. On y voit aussi les deux petites galaxies satellites M32 et M110. Oui, j'admets, c'est un tantinet étriqué, mais c'est le champ que m'autorise le couple 76EDPH et caméra ASI533MC. Config : lunette APO 76EDPH, caméra ZWO ASI533MC Pro, filtre Baader UHC-S, guidage ZWO ASI224MC. Acquisition : ZWO ASIAIR Pro, 10 x 180s + 18 x 300s, 20 darks, 60 offsets, 40 flats. Traitement : SIRIL (tif 16 bit en pré-taitement) et Lightroon Classic (Jpeg en traitement final). C'est à cause d'elle ( ou grace à elle ?) que je me suis intéressé à l'astrophoto il y a 30 ans, quand j'étais élève ingénieur. Il faut reconnaître que la technologie a bien évolué depuis... Bien cordialement, Stef.
  47. 2 points
    ben bon courage, ça me rappelle une nuit de la st sylvestre il y a une trentaine d'années où j'ai planté mes invités pendant une heure car j'avais à photographier le passage d'un astéroïde rapide
  48. 2 points
    Salut à tous, Retour du bébé à la maison aujourd'hui en parfait état de marche (pas testée of course au vu des conditions atmosphériques mais le fps n'est plus à 0... et j'ai un histo des couleurs ) Juste un bug de droit d'importation au retour (39 euros à payer) avec ups, sinon je la recevais le 24/12... Un mois pile après envoi. Je voulais juste témoigner du sérieux et professionnalisme des équipes de ZWO (support client, support technique...). Vous pouvez leur envoyer le matos les yeux fermés, ils sont vraiment top ! Après, je me suis posé la question du bien(mal)-fondé que l'importateur ZWO en Europe ou en France (OU ?) ne soit pas "habilité" à effectuer les réparations du matériel sur place si on ne l'a pas acheté directement chez eux (chez les distributeurs zwo je veux dire). Pour ma part, il devait s'agir d'un petit composant à remplacer sur la carte au vu du tarif de la réparation : 50$ (+ 20$ de frais de transport), avec le taux de change actuel, 68 euros (+ les 39 euros de droits d'importation), à peine plus de 100 euros en tout ! A l'époque de la volonté de réduction des empreintes carbone, ma petite cam aura nécessité un aller-retour Paris-Shanghai en 747 cargo (Via Cologne et Séoul au retour)... Je ne suis pas un Ayatollah de l'écologie, maiiiis, il y aurait peut-être des petites choses à corriger, non ? C'est vrai que les événements actuels nous font ne plus nous étonner de l'absurdité de certaines choses.... Bon, c'était ma minute de Monsieur Cyclopède... Bonne soirée à tous (et bon ciel ) Franck
  49. 2 points
    ça continu a bien se passer, nouveau communiqué (voir la petite animation en bas pour piger la manoeuvre) https://blogs.nasa.gov/webb/2021/12/29/webbs-deployable-tower-assembly-extends-in-space/ Cet après-midi, l’équipe Webb a prolongé avec succès le Deployable Tower Assembly (DTA) de l’observatoire, créant une distance critique entre les deux moitiés du vaisseau spatial. Le DTA s’étendait sur environ 1,22 mètre (48 pouces), mettant de la place entre la partie supérieure de l’observatoire, qui abrite les miroirs et les instruments scientifiques, et le bus du vaisseau spatial, qui contient l’électronique et les systèmes de propulsion. Cela crée suffisamment de distance pour permettre aux miroirs et aux instruments sensibles de refroidir aux températures nécessaires pour détecter la lumière infrarouge. Cet espace permettra également aux membranes du pare-soleil de se déplier complètement. Le déploiement a pris plus de six heures et demie, car les ingénieurs ont activé les dispositifs de libération et configuré les chauffages, les logiciels et l’électronique, avant de commander à la DTA elle-même de s’étendre. Le mouvement du DTA, qui ressemble à un grand tuyau noir, est entraîné par un moteur. L’équipe a commencé le déploiement vers 9 h 45 HNE.m et l’a terminé vers 16 h 24 .m HNE.
  50. 2 points
    Bonjour, Pour comparaison, voici une photo de nuages noctulescents faite en région parisienne (10 km de Paris Intramuros) le 18 juin 2021 à 23h42. Bon ciel et bonne année 2022.