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Affichage du contenu le plus aimé le 11/03/2024 dans toutes les zones

  1. 22 points
    Bonsoir tout le monde, Tellement désespéré par la météo que j'ai tenté ce soir de chopper la belle comète car j'étais jaloux en voyant vos belles images. J'ai donc essayé, entre les nuages, les averses, les arbres, avec le Quattro 200/800 et l'ASI1600MC. Seulement 20 poses de 40s car tout s'est vite couvert (et là, il fait beau...). 12P-Pons-Brooks_200-800_ASI1600MC-20x40s_20240310 by Frank TYRLIK, sur Flickr Bonne nuit, Frank
  2. 17 points
    On entend parler que des trains en retards et bien pour une fois je vais vous parler du train qui arrive en avance. J'ai acheté un playerone ARES - C pro il y quelques mois (ps cette camera est vraiment top et les accessoires fournis avec don une bague du tilt reglable par l'arrière : ouhaaaaa) Ce weekend, la, très bien mais bug : le ventillo de refroidissements ne fonctionne pas. Les images et le pelletier fonctionnent par ailleurs, mais faute de refroidissement, la chaleur sature les ailettes de dissipations J'ai envoyé un courriel à univers astro, samedi 22 h 10. Sur le site, il est indiqué que la personne est en congé jusqu'a lundi, de toute façon, en weekend les gens ont le droit de dormir un peu, pas de soucis avec ça. Samedi 22h17 on me répond ! On me donne une petite procédure pour essayer de relancer le ventillo (apparemment, c'est un souci qui est déjà advenu sur cette série de caméras) La procédure essayée dans la foulée ne fonctionne pas malheureusement 23h16 j'indique le résultat de mes tests 22h23 nouvelle réponse d'Univers Astro avec de nouvelles indications et suggestion (qui la encore ne fonctionne pas) 00h12 je reçois une étiquette préaffranchie pour retourner le matériel !!!! Ce main nouveau courriel d'Univers astro me préconisant de vérifier un paramètre du driver, ce que je fais et cette fois ça marche (partiellement, le ventillo se déclenche puis se coupe) et nouvelle fois Univers astro m'invite à renvoyer la caméra avec étiquette déjà fournie mais je vais attendre un peu de mon côté, car je viens de refaire des tests et cette fois il semble que tout fonctionne correctement je vais la tester en long en large cet apres midi bref tout ça pour dire que je suis extrêmement satisfait du sérieux d'Univers astro dont l'implication va au-delà du simple professionnalisme et comme je suis qq1 qui en a marre d'entre du ouin ouin a longueurs de journée, je voulais vous faire part d'un gros smiley allez, bises à tout le monde
  3. 16 points
    Rassurez-vous, personne n'est là pour vous demander de débattre. C'est vous qui semblez le vouloir, tout en vous dérobant à chaque fois, du coup on ne sait pas vraiment ce que vous venez faire ici. Perdre du temps ? En faire perdre aux autres ? Je l'ignore. Je vous ai expliqué, arguments à l'appui, que défendre le modèle de votre idole était peine perdue, de toute façon. Dans ce cas, disons pudiquement que vous persistez... dans l'erreur. Ce n'est pas grave, cela peut arriver à tout le monde. Vouloir sortir de l'erreur nécessite en revanche une dose d'effort et de volonté. À vous de prouver que vous en êtes doté. Mon pronostic à ce sujet est assez réservé. Pardonnez-moi, mais... n'est pas ce qui a été fait sur ce forum même ? Un modèle qui indique que rien ne peut avoir de décalage vers le rouge supérieur à 5,75 est de facto réfuté. Si je puis me permettre, votre attitude confine au caprice de diva : on prend le temps de vous expliquer ce qui ne va pas, et vous répondez diverses variations sur le thème "Tout ceci ne me convainc pas". Sachez que tout le monde se fiche complètement que vous soyez convaincu ou pas ! La science n'est pas une police de la pensée. La science sert à proposer une vision objectivable du monde. Si en lieu et place vous préférez imaginer que la Terre est plate, à votre guise. La vraie question que vous devez vous poser est de savoir si vous voulez vraiment comprendre le monde qui vous entoure ou si vous voulez défendre une vision fantasmée de ce que vous aimeriez qu'il soit. En temps normal, je serais tenté de dire que vous seul avez la réponse, mais en vérité je ne suis pas certain que vous ayez entamé une réflexion sur le sujet. Un jour peut-être ? Maintenant, permettez-moi une analyse personnelle : vous dites que vous n'y connaissez rien, ce qui vous permet d'éviter à répondre à une quelconque objection. Vous dites ensuite que le modèle n'a pas été réfuté alors que, précisément, je vous ai donné un argument simple à ce sujet. Vous ne pouvez pas à la fois dire que vous n'y connaissez rien et affirmer ceci ou cela ! À la rigueur, vous pouvez dire que vous ne pouvez pas juger du bien fondé de mes remarques, mais vous ne pouvez pas dire que vous êtes ignorant ET affirmer que les critiques n'ont rien démontré. Mon impression est que vous faites preuve d'une ignorance feinte : vous dites que vous êtes ignorant pour ne pas avoir à répondre alors que vous avez des opinions très arrêtées sur le sujet. Sachez cependant que votre ignorance feinte (vous vous pensez sans doute plus malin que ce que vous affirmez hypocritement) cache une ignorance vraie : nous êtes largement moins savant que ce que vous pensez être. J'en veux pour preuve votre question ci-dessous que vous semblez brandir tel un talisman qui prouverait l'inanité de l'ensemble de la communauté scientifique. Donc je vais vous répondre, sans beaucoup d'espoir que vous ayez la maturité ou l'honnêteté de ne pas répéter une énième fois votre "Tout ceci ne me convainc pas"... Pour vous répondre, je vais partir d'un truc plus simple que les trous noirs, à savoir l'électromagnétisme. En électromagnétisme, on fait l'hypothèse que les particules élémentaires sont ponctuelles. Problème, l'énergie associée au champ électrique d'un simple électron de taille nulle est infinie. Or d'après E = m c², la masse d'un électron doit avoir une contribution électromagnétique, nécessairement infinie ici. Autrement dit, l'hypothèse qu'une particule élémentaire soit ponctuelle est purement est simplement incompatible avec son existence puisque sa vraie masse est finie ! Du coup, vous êtes plus ou moins obligé d'envisager que l'électron possède en réalité une taille petite mais finie, ce qu'on appelle le rayon classique de l'électron, qui vaut un peu plus de 10^(-15) m. En conséquence, l'électron possède une structure et on se demande bien pourquoi il serait dans ce cas impossible de le couper en plusieurs morceaux... Bref, le concept même de particule élémentaire est assez incompatible avec les lois de l'électromagnétisme... C'est un peu gênant, non ? Mais en fait, c'est encore pire que cela. Si vous déplacez une charge électrique, celle-ci va émettre un champ électromagnétique. Et comme la charge est sensibles aux champs électromagnétiques, elle va nécessairement interagir avec son propre champ. Vous pouvez donc calculer ce qu'on appelle la force de réaction au rayonnement, seule façon se rendre cohérent le déplacement d'une particule chargée avec le fait qu'elle génère un champ. Fort bien. Sauf que quand vous calculez cela, vous vous rendez compte qu'il se passe vraiment des choses bizarres à (très) petite échelle. Par exemple, si vous appliquez une force sur l'électron à un instant t précis, les calculs vous indiquent que celui-ci va commencer à accélérer avant que vous n'ayez appliqué la force. Oh bien sûr, pas très longtemps avant : dans les 10^(-23) seconde avant. Mais avant quand même. Par quel miracle l'électron acquiert-il une prescience du fait qu'on va lui appliquer une force ? Il ne vous aura (peut-être) pas échappé que le temps pathologique ci-dessus n'est rien d'autre que la longueur pathologique divisée par la vitesse de la lumière. Donc, à nouveau, à des échelles de temps et de distance suffisamment petites, l'électromagnétisme... ne marche purement et simplement pas. Pourtant, une ligne à haute tension, ça fonctionne. L'arc-en-ciel, ça existe. MAIS les lois que l'on utilise dans un cas ou dans l'autre pour les décrire sont frappées d'une irréfragable incohérence mathématique. On sait désormais pourquoi : l'électromagnétisme, il faut lui adjoindre les lois de la mécanique quantique. Celles-ci vous disent qu'en dessous de la longueur d'onde de Compton de l'électron, on ne peut plus utiliser les concepts classiques qui mènent aux incohérences précitées. Et bien sur, la longueur d'onde de Compton est supérieure d'un facteur 100 et quelque au rayon classique de l'électron. J'ai bien conscience qu'à ce moment de l'histoire, je vous ai perdu depuis longtemps, aussi je vais conclure avec des mots plus simples : la plupart des théories physiques sont incomplètes. Elles ont en réalité un domaine d'application limité. Parfois cela se voit, comme avec l'électromagnétisme : il est inévitable qu'en-dessous d'une certaine échelle spatiale elles sont incohérentes et qu'il faut donc les amender. Parfois, cela ne se voit pas : il n'y a rien dans les lois de la gravitation de Newton qui laisse entrevoir qu'il faut les remplacer par autre chose. Mais rien qui assure que ça n'arrivera pas. Nous en venons maintenant aux trous noirs. La relativité générale prédit que les effondrements gravitationnels sont inéluctables sous certaines conditions, et donc que l'on va créer des singularités, et donc que quantités de grandeurs physiques vont diverger dans une infime région de l'espace. Cela ne vous rappelle rien ? C'est exactement comme le rayon classique de l'électron en électromagnétisme. Bref, nos théories qui marchent doivent être à un moment ou à un autre être remplacées par d'autres théorie plus précises, au domaine d'application plus vaste. La relativité générale n'échappe pas à cette règle et oui, quand on veut décrire une singularité, il faut faire de la gravité quantique. On sait à quelle échelle de distance ou de densité il faut le faire. Ce n'est pas celle où se forme un horizon (ce qui signifie que les trous noirs existent réellement), mais au niveau de la singularité elle-même. Tout le monde sait ça. Enfin, presque tout le monde... chez les étudiants en physique de niveau master. Si vous ou votre mentor l'ignorez (cela semble être le cas), eh bien, cela met une limite supérieure à vos niveaux d'étude respectifs. On retombe donc dans le problème évoqué dans un de mes précédents messages : il y a quantités d'éléments objectifs qui disent que votre champion N'A PAS le niveau master 2. Il en est même assez loin, je le crains.
  4. 15 points
    Un phénomène flippant que j'essaie à mon tour de mettre en... relief ! Inspiré par une poignée de tentatives récentes d'images astro en pseudo-3D, je me suis attelé à modifier mes précédentes photographies. Si vous avez aimé celles-ci, que direz-vous de cette variation "OMG, elle fonce droit sur nous " !? Pour (tenter d') apprécier l'effet 3D, il faut loucher (Un sac à vomi se trouve sous votre siège)
  5. 15 points
    bonjour à tous, aujourd'hui je varie un peu en postant moi aussi une image de la comète P12/Pons-Brooks. Cette fois ci j'ai un peu improvisé en ne préparant rien à l'avance; mais voyant la journée de jeudi dernier ensoleillé je me suis mis dans la tête d'essayer d'imager la comète en début de soirée. Juste le temps de prendre après le travail un trépied photo, un objectif canon 200mm f2.8 et la caméra ZWO 294MC. Sans oublier mon ancien startracker iOptron et 4 piles AA pour pouvoir faire un suivi raisonnable sur le trépied. Et me voila parti en voiture à la recherche d'un spot orienté ouest et dégagé. Après 15 mn je trouve un petit parking pas illuminé. Je me suis installé rapidement, et puis tenté de repérer et positionner à partir des étoiles visibles en comparant sur une carte du ciel. Et bingo la comète est arrivée dans l'objectif. La cible enfin trouvée j'ai capturé 60 images entre 20h et 20h30 . Voici le résultat après traitement fait avec Siril et en exploitant l'interface très utile avec le logiciel StarNet pour combiner les 2 images issues des alignements sur la comète puis sur les étoiles. La première image présentée est issue de l'empilement de 48 images de 30sec. La 2eme image montre en mode négatif la queue en accentuant l'étirement de l'histogramme ce qui permet d'en apprécier la forme particulière. La 3eme image montre un zoom sur le noyau de P12 . Pour terminer voici une photo d'ambiance montrant le setup utilisé et qui s'avère être très pratique avec cette focale en mode nomade. En examinant les 60 images prises j'ai remarqué que sur plus de la moitié il y avait une trace de satellites, et même 2 images avec des avions. Je me suis amusé à empiler les 48 images en choisissant de prendre l'option pixel maximum pour voir l'ensemble des trajectoires des satellites ou ce qui s'apparente. Voici ce que cela donne. ça en fait un bon paquet. Bonne soirée et surtout j'espère que nous aurons quelques nouvelles journées ensoleillées par chez nous. Dominique
  6. 11 points
    Yo ! jolie petite semaine début mars au alentours de la Nouvelle Lune où avec l'ami Gillounet, nous partageâmes un ciel des plus potables tout au bout de la Sainte Victoire, dans ces forêts faites de petits chênes tordus où l'on piétine le thym et la lavande pour le plaisir des narines. Ça caille, la température est négative et c’est bon signe. Alors qu'on papote autour d'un rhum, voilà que nous vient l’illumination que l'on commet comme une sorte d'oubli : de-diou, et la comèèèèète 12P Pons-Brooooooooks !!!!! On allait l'oublier et l'on file dare-dare à l'oculaire. Facile à pointer à proximité de Alpha And, visible au chercheur, la diablesse est juste au-dessus du toit du Van, merveilleuse situation qui nous évite de bouger les bouzins. Wahoooouuu ! C'est une bien belle, dodue à souhait, coma joliment teintée de vert et queue facilement perceptible. Vite un dessin et l'on note en vrac : un noyau excentré vers l'avant d'environ un tiers de la coma, un bord d'attaque bien franc comme une ombrelle et un arrière plus étiré et évanescent. La queue traverse sans vergogne la totalité du champ du Nagler 22mm et va même au-delà, soit près de 2° de visibilité. Le cœur semble irradier de jets multiples donnant une sorte de texture radiale couvrant un bon tiers de camembère et des jets s'affirment, bien sûr au départ de la queue, mais aussi sur les côtés, le plus marquant étant celui de droite pointant vers une étoile - chose étonnante qu'on ne devine que très peu sur les clichés. Quant à la queue, c’est une trainée rectiligne de cirrus. La voici la première nuit, celle du mardi 5 mars : Mercredi 6 mars, on remet ça le lendemain , alors qu'on a changé de site pour jouir de la meilleur météo possible, ce qui fut un succès total : un SQM qui s'emballa joyeusement bien au-delà des 21.7 et une température s'effondrant à -5°C. Nous sommes sur les flancs du Montdenier dont la crête est joliment enneigée, zone de maquis de buis, de genévriers et de forets de cèdres. Sur notre gauche les rocs à l'entrée des gorges du Verdon et en face, un horizon totalement dégagé au-dessus du plateau de Valensole. Pas une lumière visible si ce n’est un rayon saugrenu rayant le ciel, drôlerie de la commune de Moustiers-Sainte-Marie qui croit bon d'éclairer une étoile métallique suspendue dans une vallée encaissée.... Ce coup-ci, l'on observe la belle dès la perception des premières étoiles et par cheminement au chercheur où elles sont plus nombreuses, on tombe sur cette boulette cotonneuse et verdâtre à un peu moins de 30° de hauteur. Les perceptions de la veille s'affirment au fur et à mesure de l'avancée de la nuit. Cette foi, c’est la queue qui montre une certaine complexité. D'un aspect général assez filamenteux, elle se divise en quelques écheveaux dont certains ont la délicatesse de se tordre avec coquetterie. Jeudi 7 mars, je rejoints les copains dans un gîte à quelques kilomètres de là, zone provençale champêtre à l'entrée d'un petit village quoique moins sauvage que le site précédent. La météo est moins favorable mais toutefois bien acceptable. La vision est toujours aussi spectaculaire et confirme les perceptions des jours précédents bien que l'aspect des jets et de la queue ionique ait évolué. fin du premier épisode provençal consacré à cette belle visiteuse, la suite à venir.....
  7. 11 points
    Bonjour tout le monde Je me suis enfin réveillé de ma douce torpeur Marocaine en montant le matériel ED80 Red6.3 AOS600d pas de suivi ni dithering ( trop stressant ) il y a 20 mn de poses cumulées , DOF , mais toujours aussi nul pour le traitement des comètes pourtant Tuto Iris à la lettre , faudrait que je me remette au peu que je sais de Siril. sinon la vie est belle......mais ca devient lassant ce ciel vide depuis 2 mois pour ceux qui veulent voyager gratos sous le soleil http://www.bbayle.com/maroc2024/ Bernard_Bayle
  8. 10 points
    Bonjour à tous, Je vous présente ici un crop d'une image de M51 faites avec le RC400mm. J'ai pu bénéficier d'une nuit assez sympas avec une FWHM entre 1,8'' et 2'' durant laquel j'ai pu shooter 2h30 en L. Le RGB provient pour le moment d'une vielle image. Je mets que le crop car je le trouve sympas et aussi parce que j'attends de poser plus pour la version final ;-) Cordialement, Sébastien ps: J'ai poussé un peu les curseurs pour voir ce que ça donne mais je tâcherai d'être un peu plus doux pour la final.
  9. 10 points
    Bonjour à tous, Je continue mes petits traitements de ces 2 rares nuits dégagées. Après Abell21 ,saison des galaxies oblige, j'ai mis le cap sur la bien connue Chaine de Markarian que je n'avais pas pu imager depuis un bail.Et après une nuit bien remplie j'en ai profité au petit matin pour aller faire un coucou en vitesse à notre étoile mais les conditions n'étaient pas bonnes et le bonhomme fatigué. Setup: Skywatcher 80ed+correcteur,Eq6,Zwo 294mc pro+filtre idas lps p3.Traitement Pixinsight. La chaine de Markarian 70x240": -Version AB: https://astrob.in/yffg3u/B/ Un coucou au soleil,80ed,224mc,filtre baader Astrosolar: Bon Dimanche et bon ciel!
  10. 10 points
    Bonjour, Enfin 2 nuits dégagées pour faire du CP. C'était la semaine dernière, ça n'a pas duré longtemps malheureusement. Direction les Chiens de Chasse pour une autre galaxie irrégulière: NGC4214 / NGC4228. Elle a 2 dénominations dans le catalogue NGC. NGC 4214 est une petite galaxie irrégulière magellanique rapprochée et située dans la constellation des Chiens de chasse à environ 13 millions d'années-lumière. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 550 ± 18 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 8,11 ± 0,63 Mpc (∼26,5 millions d'al), ce qui n'est certes pas la distance qui nous sépare de celle-ci, car elle est trop rapprochée du Groupe local. Cependant, à ce jour, 19 mesures indépendantes du décalage vers le rouge ont été réalisées et elles donnent une distance de 2,979 ± 1,097 Mpc (∼9,72 millions d'al). NGC 4214 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1785. Cette galaxie a aussi été observée par l'astronome britannique John Herschel le 27 avril 1827 et elle a été inscrite au catalogue NGC sous la désignation NGC 4228. Pour certains, il s'agit d'une galaxie irrégulière barrée et pour d'autres d'une irrégulière intermédiaire. Certaines sources qualifient NGC 4214 de galaxie naine irrégulière, mais avec un diamètre de 31 kal elle dépasse un peu la taille de cette catégorie de galaxies. Une énorme cavité en forme de cœur, peut-être la caractéristique la plus attrayante de la galaxie, occupe le centre de la galaxie. À l'intérieur de cette cavité se trouve un gros amas ouvert de jeunes étoiles massives dont les températures de surface varient de 10 000 à 50 000 °C. Leurs vents stellaires intenses sont à l'origine de cette cavité. L'absence de gaz qui en résulte a stoppé la formation d'étoiles dans cette région. La proximité de NGC 4214 et la grande variété d'étapes évolutives de ses étoiles en fait un laboratoire idéal pour l'étude de la formation et de l'évolution. Comme il y a peu de poussière entre nous et NGC 4214, les mesures obtenues en sont plus précises. NGC 4124 renferme une grande quantité de gaz constituant des pouponnières d'étoiles rougeoyantes. Le plus jeune de ces amas est âgé d'environ deux millions d'années. NGC 4214 est une galaxie à sursauts de formation d'étoiles avec deux grandes régions très actives près du centre de la galaxie, NGC 4214-I et NGC 4214-II. La région NGC 4214-I renferme un superamas stellaire riche en étoiles de type Wolf-Rayet. L'autre région plus jeune, moins de trois millions d'années, renferme plusieurs amas ouverts ainsi que des associations stellaires. Vous l'aurez compris, elle renferme plein de mystères cette galaxie: On ne sait pas trop comment la nommer, ni se mettre d'accord sur sa forme ou encore la distance à laquelle elle se trouve... Les infos: Celestron C8 + réducteur f6.3 Antares @ 1314mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Map auto avec EAF Acquisition NINA 33 x 120s Gain 120 capteur -10°C Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 120s:
  11. 9 points
    Je fais mes débuts avec de l'enthousiasme et un dobson (ES400) sur table équatoriale (astrothingy). C'est pas facile mais je progresse régulièrement. C'est peut-être un peu exagéré d'appeler ça de l'astrophoto, puisque c'est peut être considéré plus comme du visuel assisté. j'ai fait l'acquisition sur Sharpcap par des poses courtes de 750ms sur 1h, à 1900mm de focale (ES400 + correcteur de coma ES) avec la 533MC. j'ai gardé les 45% meilleures. Pas de darks ni de flats. ciel bortle 5. l'acquisition s'est faite avant et après un reset de la table équatoriale expliquant une rotation de champ (qui a été alignée, mais les aigrettes font apparaitre cet aspect) J'ai stacké et traité avec siril. Il y a manifestement une marge de progression sur la MES et sur la MAP (mais trouver un bahtinov suffisamment rigide pour aller sur ma grande cage du secondaire c'est pas évident) et sur le traitement sur lequel je tatonne, influencé par les nombreux tuto. Je voulais savoir si il y avait un tour de passe-passe au traitement pour diminuer la taille de l'étoile centrale et si cela avait du sens d'augmenter la focale par une barlow pour augmenter les détails. Preneur de tout conseil, n'hésitez pas eskimo1.tif
  12. 8 points
    Bonjour, Hourrah! 2 nuits claires la semaine dernière!... Du coup, petite sortie du matos... J'ai opté pour ic2169 dans la licorne (un peu à l'ouest du sapinb de Noël) en rvb, histoire de tester mes nouveaux filtres Antlia. Coté setup : FSQ85, EM200 T2M, ASI294MM pro, guidage Lodestar. 3x20x180s pour le rvb (1h de chaque) 65x180s de luminance. J'aurai voulu faire un peu de Ha mais ce sera pour une autre fois. Météo oblige!! Acquisition AstroArt7, prétraitement/traitement Siril/PixInsight/Photoshop Nièvre/Bourgogne Un artefact apparu sur toutes les brutes en bas à gauche! Je ne sais pas d'ou ça vient (pas de grosses étoiles en vue!) Et ça ne correspond pas à l'ampglow. Mystère! Je l'ai laissé et fait un crop en 2 Bon ciel à tous
  13. 8 points
    Ce soir (faute de pouvoir aller en beauce à 60km car j'ai avion à prendre tôt demain... ), je me suis contenté de 29s de poses sans suivi (135x 1/3 à 1/6e) sous un ciel pollué et au travers de cirrus...: Mais c'est bien la même comète... sauf un peu plus dur de sortir la queue dans ces conditions (bien que devinée visuellement au telescope et jumelles)
  14. 7 points
    Bonjour tout le monde . Ici, je suis à -5° de longitude Ouest , le soleil n'en finit pas de se coucher environ 25 mn par rapport à la France , et la Comète est très légèrement plus basse ... Hier soir j'étais parti pour beaucoup de pose de 20s ..........mais je n'ai pu réaliser que 60 images 60*20=1200s , seulement 20mn dommage. Cette fois j'ai traité avec Siril ...... enfin je fais ce que je peux . ED80 R.6.3 EOS600d , taille du champ Size 3.06 x 2.04 deg Pixel scale: 12.2 arcsec/pixel A mon avis sur cette image , la longueur des éjections , la queue fait bien 2° au moins . Bernard_Bayle
  15. 6 points
    Salut, Enfin une nuit "claire" jeudi dans le nord est :-) Fallait pas la rater, c'était la seule !! J'en ai profité pour viser une cible classique mais jamais faite pour moi, le célèbre "couple" M108 et M97 dans la grande ourse. Pour la technique : -TSA 120 au foyer ( avec correcteur) sur Em200 - camera ZWO 2600MM avec roue à filtre - Pose LRVB de 80-15-15-15 x 180 sec DOF Traitement Siril, Photoshop et un peu de Denoise. Question : comment annoter les objets et avec quel logiciel ? Il y a des centaines de petites galaxies en arrière plan Philippe
  16. 6 points
    Salut, Quelques images de la comète du moment, prises le 7 mars sous un ciel capricieux ! Addition de 34 poses de 30s, lunette 80ED + Canon 1200d défiltré Alignement sur les étoiles : Alignement sur le noyau : Daniel
  17. 5 points
    bonjour, j'ai revu à la baisse mes prétentions et mis la 150mm en fonction. ciel avec quelques voiles d'altitude , mais rien à voir avec ces derniers jours, vent faible mais tournoyant , transparence moyenne. Paul animation avec un gros trou pfffff!!!! nuages , en plein flare
  18. 5 points
    Bonjour à tous Aujourd'hui, promenade dans la constellation du Petit Lion avec quelques "séduisantes" galaxies. Le champ présenté couvre une surface de 1°16' x 56'. L'image présentée est un empilement de 285 brutes de 60s réalisées avec le newton de 300 f/d4, la caméra ASI2400MC et un filtre Antlia Luminance, soit un total de 4h45'. Le tout sur la GM2000 HPS sans autoguidage. La capture ayant débutée vers 00h00, elle s'est terminée après 5h00, mais force est de constater que la valeur du fond de ciel a rapidement augmenté à partir de 5h00. Toutes les images qui ont suivies ont été de fait supprimées. On sent bien que la durée des nuits diminue. Sur l'ensemble de la séquence, la FWHM des brutes est a une moyenne de 2,8". Dans ce secteur, on y trouve principalement NGC3430 qui est une spirale barrée, située à environ 90 millions années-lumière, NGC3424, également une spirale barrée située à environ 85 millions années-lumière. Il y a également un couple de galaxies en interaction : NGC3395 et NGC3396, connues également sous le nom de Arp 270. NGC3395 est une galaxie spirale dont le diamètre est d'environ 33000 années-lumière. NGC3396 est une galaxie irrégulière qui mesure environ 87000 années-lumière. Place aux images : Le champ complet réduit à la résolution de 3600 x 1616 pixels : La vue annotée, à la même résolution : Détails du couple NGC3430 et NGC3424, à la résolution de 2000 x 1200 : Et le couple NGC3395/3396, à la résolution de 1400 x 1000 pixels : Bonne soirée à vous. Jean-Pierre
  19. 5 points
    Salut Avant hier soir ( 7 mars ), je rentre du boulot à 22h30 mais une nuit dégagée et sans lune ça ne se refuse pas. Donc je jette le scope dehors, en mode "poses très rapides" comme la dernière fois avec un échantillonnage "tranquille" sur une cible facile à trouver, et je vais me coucher avec juste un petit contrôle en milieu de nuit pour la map et en fin de nuit pour tout ranger. De la turbu, et surtout du vent... mais cette cible étant très lumineuse, on en tire quand même quelque chose de très chouette avec un peu d'accentuation ; de plus les poses de 250ms permettent de passer entre les rafales Quelques fuites de lumières au cours de la nuit, donc pas le fond le plus propre du monde. Mais bon sur mon écran ça passe quand même, dites moi si ça vous semble ok. En espérant que ça vous plaise ! T560 F4 + réducteur ASA x0.73, QHY200M 25252 x 250ms, soit environ 1h45 sélectionnées sur 4h au total. FWHM = 1.7" sur l'empilement. image à 200% de la taille d'acquisition. Allez, à dans un mois, à la prochaine nuit claire... Romain
  20. 5 points
    Salut à tous La météo enfin "presque" favorable de cette semaine m'a permis de terminer cette galaxie des Chiens de Chasse. Je pensais au départ mettre plus de poses mais les prévisions à 1 semaine ne me donneront pas la possibilité d'en faire plus malheureusement. La turbulence était plutôt moyenne, mais il faudra s'en contenter pour cette version. Les données techniques : CTA 320 f/d 4 (correcteur Wynne Keller) Caméra ZWO ASI2600MC 95 poses de 300 secondes à -10°c (1x1) Cliquez sur l'image pour la vois en pleine trame @+ Christian
  21. 5 points
    Les cinq objectifs principaux du troisième vol test : - la combustion réussie des deux parties du lanceur, Super Heavy et Starship - l'ouverture et la fermeture des portes de la soute du Starship. Fonction qui sera utilisée pour le déploiement de satellites Starlink avec ce lanceur - une démonstration de transfert de carburant entre deux réservoirs durant la phase de croisière du Super Heavy. Test qui vise à préparer le transfert futur en orbite et d'un véhicule à un autre d'une grande quantité de méthane et d'oxygène liquides. - le premier réallumage d'un moteur Raptor dans l'espace - un profil de vol différent des deux premiers vols d'essais qui prévoyaient une orbite complète. Ce troisième test prévoit une rentrée contrôlée du Starship 65 minutes après le décollage Pour le moins ambitieux.. On va dire que c'est pas gagné !
  22. 4 points
    Bonsoir, En feuilletant les trois volumes du vieux Burnham's Celestial Handbook (édition de 1978 ), j'étais tombé sur NGC 3521 dans la constellation du Lion et cette image m'avait convaincu de l'ajouter à ma ToDo liste au petit Quattro 200 : Elle n'était pas en n°1 sur ma liste mais la petite comète C/2023 H5 (Lemmon) m'a donné en janvier l'opportunité de commencer les acquisitions : et j'ai donc continué au mois de février je suis donc content de pouvoir vous présenter le résultat obtenu, sans aucune comète cette fois (il a même fallu que je nettoie la trace laissée par C/2023 H1...) mais avec davantage de signal : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering pour une pose sur deux Sur 2 nuits les 15/16 janvier (03h04 à 04h41 utc) et 17/18 février 2024 (00h20 à 03h15 utc) 232 poses de 60s à -15°C, Temps d'intégration de 03 h 52 min Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage natif de 1,25"/pixel C'est sûr qu'un diamètre plus important ou un seeing meilleur permettrait de mieux la détailler mais je me délecte des détails capturés au 20 cm par rapport à l'image prise il y a quelques décennies en argentique avec un télescope pro 20x plus gros ! Je la trouve bien belle cette galaxie et j'espère qu'elle vous plaira aussi Très bonnes observations à toutes celles et tous ceux qui ont la chance d'avoir un ciel clair
  23. 4 points
    Bonjour, voici le spectre de NGC 2392, la nébuleuse du Clown (ou encore nébuleuse de l’Esquimau) elle située dans la constellation des Gémeaux à 3750 années-lumière de la Terre. L'observation a eu lieu dans des conditions météo peu favorable. Les spectres (600s ...un peu juste) ont été pris sur un télescope de 180mm ouvert à F12 avec une fente de 23 µ. Quelques paramètres physiques mesurés a partir du spectre traité par Specinti sur l'intensité des raies (décrément de Balmer), et le Redshift voisin de celui annoncé par Simbad. Un bon exercice en attendant des cieux plus cléments !
  24. 4 points
    Merci Sauveur , oui le coin est vraiment sympa Merci Alain , les paysages sont vraiment super parfois surprenants Merci Greg et Jérome Merci boss351 Merci Stéphane, je ne suis pas très bon pour le traitement Comètes Merci Valère Merci Jan , oui quan je suis sur un site plusieurs jours , tout le matos est dehors sous bache y/compris cables, alim, raquette etc.....ici aucun problèmes je pars à la journée quelquefois en laissant tout sans aucune arrière pensée Merci Jean-Pierre Merci Pedro , ici beau temps assuré alors on s'amuse bien Merci Xav Merci Pascal, je profite un maximun, des paysages, des habitants et de l,Astro Merci Paul , j'essaie d'envoyer des ondes meteo positives Bernard_Bayle
  25. 4 points
    Bonjour à tous; une image vraiment entre les nuages; faut bien viser! Alain.
  26. 4 points
    C'est au 18ème siècle qu'une part de l'humanité a commencé à sortir de l'enfance et à douter de la protection de Dieu .. Jusque là, une nature généreuse avait été donné à l'homme, il en était le centre, point final ! L'astronomie lui a permis de reconnaître peu à peu sa propre précarité, sa solitude, sa fragilité et sa totale subordination au monde. Or les catastrophes historiques et destructrices induites par les impacts météoritiques, le volcanisme et les séismes, l'astronomie démontre que d'infimes changements, telle une variation de quelques degrés de l'obliquité de l'écliptique de la Terre, sont suffisants pour établir une nouvelle et radicale distribution des climats. De même, une très légère diminution de la distance entre la Terre et le soleil ferait changer la longueur d'une année et varier drastiquement les températures du globe, en témoignent les cycles glaciaires. De plus, comme la plupart des étoiles, la luminosité du soleil augmente très lentement au cours de son existence. On s’attend ainsi sous l’effet du rayonnement solaire à un réchauffement progressif du climat terrestre dont les températures devraient fortement augmenter dans les futures centaines de millions d'années (sans lien aucun avec le réchauffement climatique actuel). Certains modèles prédisent même que d’ici seulement 150 millions d’années, la Terre commencera à perdre toute son eau dans l’espace et se transformera en une nouvelle Vénus !. Mais bonne nouvelle ! : Une équipe du Laboratoire de météorologie dynamique (LMD/IPSL, CNRS / UPMC / ENS / École Polytechnique) a établi un modèle climatique plus précis permettant de mieux simuler ce phénomène. Il prédit que la disparition de l’eau liquide sur Terre sous l’effet d’une augmentation très forte du flux solaire commencera "seulement" dans plus de 800 millions d’années - Ouf ! Selon ce modèle sophistiqué le basculement devrait se produire lorsque le flux solaire moyen atteindra environ 375 W/m2 pour une température de surface de près de 70°C (le flux actuel étant de 341 W/m2). Les océans se mettront alors à bouillir et l’effet de serre augmentera jusqu’à s’emballer. Sauf que bien sûr, l'humanité aura disparu bien avant que la Terre atteigne de telles températures. Dans 200.. 300 million d'années ??... Demain à l'échelle géologique. Ne songes-tu jamais que ce clair firmament, Comme la mer a ses désastres ? Que, vaisseaux envahis par l'ombre, à tout moment Naufragent et meurent des astres ?
  27. 4 points
    Merci à tous ! alors la suite, juste avec une Abell, la numéro 8 dont il fut question ici-même sur ce forum il y a peu de temps. En effet c'est un oubli dans ce catalogue car la belle est relativement aisée à détecter. Une fois le champ stellaire identifié, une pâle lueur dont le bord se superpose à un doublet d'étoiles se dévoile avec un UHC, le OIII n'apportant rien de plus si ce n'est que de masquer les faibles étoiles du champ. Par contre c’est une autre histoire que de la détailler davantage. D'abord d’affirmer sa forme parfaitement circulaire et de la positionner finement sur le doublet, puis d'apprécier sa dimension exacte au regard de sa position entre les étoiles. Au T400, un rehaut soulignant une portion circulaire s'affirme juste à côté et au-dessus du doublet. C'est sur le T600 du Gillounet que tout cela se confirme et se précise et permet la détection d'un autre faible rehaut circulaire à l'opposé. Je tenterais sans grand succès les Abell 15, 24 et 30. Les pâleurs perçues furent trop fantomatiques et hypothétiques, de l'ordre du pet d'ange dont il aurait été bien hasardeux d'en tirer le portrait... Passons aux galaxies... Diable ! il reste quelques galaxies Messier que je n'ai croquées, ces renégates étant de l'ordre des lenticulaires, sujet que généralement je laisse de côté faute de détails à montrer - et donc d’intérêt à dessiner. Et pourtant.... Pour M85 , gros bazar lumineux de magnitude 9.2 (Com), elle forme un joli couple avec la spirale barrée NGC4394 (mag : 11.7) ce qui est plaisant. Pi en prêtant attention, l'on peut remarquer que la grosse dondon n’est pas si uniforme que cela, ce n’est pas homogène. Je note comme deux portions de coques semblant délimiter la zone bien visible à celle plus ténue s'étendant au loin, comme un sorte de frontière marquée et rehaussée localement. Je remarque à peu près la même chose à proximité du bulbe dans une périphérie passant par l'étoile proche du centre. C’est assez stupéfiant car les images de l’objet montrent plutôt quelque-chose de bien lisse. De retour à la maison j'en découvre certaines qui mettent cette caractéristique en évidence.... On me dit à l'oreillette qu'elle est à une cinquantaine d'AL de nous et qu'elle forme une paire avec sa voisine NGC4394. De plus - et je jubile de cette information - elle présente des coquilles dont on suppute qu'elles sont le fruit d'une fusion avec une autre galaxie il y a trèèèèèèèèèèèèèèèèèès longtemps. On continue avec Messier 49 (Vir, mag 8.4) dont j'apprends qu'elle figure au catalogue de Monsieur Arp sous le matricule ARP134 car il la qualifie de "E like" avec fragments - ce qui ne me dit pas grand chose... Par contre à l'oculaire, la vision est très plaisante car la belle est accompagnée de plusieurs acolytes plus ou moins visibles. Ainsi au T400 je note dans l'ordre en haut NGC 4470 (mag 12.1), puis en bas NGC4464 (mag 12.5) avec un petit cœur stellaire, plus ténue juste au-dessus à droite UGC7636 (mag 14) et limite de perception juste à droite PGC41264 (mag 15). Il parait que c’est une grosse mémère à un peu plus de 60 millions d'AL, avec plus de 200 milliards d'étoiles et pas moins de 6000 amas globulaires, mazette ! Un jour qu'il fera nuit, il me restera à dessiner l’insipide M59 et j'en aurais fini de cette liste prestigieuse Et vu que, mine de rien, on ouvre le catalogue ARP, on va continuer un peu sur le sujet. Hop-op-op ! Qu'en voilà une bien belle avec ARP18, alias NGC4088 (UMa mag10.5 ) distante de 45 millions d'AL. C’est une spirale intermédiaire et se présente comme un bidule biscornu autour d'une sorte de barre tourmentée avec une forme générale légèrement incurvée en "S". Elle est bordée de deux bras tout autant tourmentés se prolongeant en partie haute par un joli grumeau d'une zone HII pointant vers une étoile. Le champ est magnifié par la présence d'un petit compagnon NGC4085 (mag 12.4), joli fuseau d'une spirale vue de 3/4 face. Et Skysafari m'indique PGC38369 (mag 15), juste détecté par quelques glimpses timides à gauche de la ARP. Enhardi par cette belle observation, je continue ce catalogue toujours dans la Grande Ourse pour visiter ARP104 . C'est une paire de galaxies constituée à droite de NGC5216 (mag 12.6) et à gauche de la spirale barrée NGC5218 (mag 12.3), toutes deux reliées gravitationnellement par un "extraordinaire filament de matière" en partie basse, invisible ici. Ces sœurettes étant à 142 millions d'AL, elles ne m'en montreront pas davantage. J'abandonne ce catalogue si particulier et vais me concentrer sur ces galaxies ayant "belle gueule", ce sera la suite du feuilleton...
  28. 4 points
    Allez, un peu de clarté dans cette période assez humide avec ces deux images du Soleil que je vous propose. Elles ont té réalisées les 29 février et 7 mars avec la Lunt 50 équipée de l'ASI462MC. J'ai mal réglé le filtre sur la seconde, d'où cette zone surexposée à gauche de l'image.
  29. 4 points
    @Bob Saint-Clar j'adore ça la 3D, mais je ne sais pas loucher. Du coup je me suis permis de la transformer en anaglyphe et ça marche nickel sans sac à vomi ! J'en profite pour te donner une lune bien ronde qu'on avait acquise il y a une douzaine d'années...
  30. 4 points
    Très belles images au télé 200 qui montre une très longue queue Je me suis fait exactement la même remarque en traitant mes images du 07/03. j'ai 37 images sur 87 (29 minutes d'expo au total) avec des traces de satellites. Faites le compte : pas loin d'un passage par minute Glob
  31. 4 points
    Moi ce qui me fascine c'est la légereté avec laquelle vous mettez à la poubelle des tas d'observations. Il n'y a pas que Ligo/Virgo qui trouve des trous noirs stellaires de plus de 2,5 masses solaires. Par exemple, comment expliquer ça avec le modèle des plugstars janusiennes : https://arxiv.org/html/2402.10371v1 et https://www.cambridge.org/core/services/aop-cambridge-core/content/view/S1743921307004590 ? L'argument d'autorité ne me semble pas du côté que vous indiquez La charge de la preuve est du côté de celui qui propose un modèle alternatif : Le minimum est de prouver qu'il fait au moins aussi bien que le modèle dominant pour rendre compte des observations. Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça ne semble pas être le cas.
  32. 3 points
    Salut à tous, Comme certains d'entre nous j'ai pu profiter d'un éclaircie le 7 mars. Le Soleil est encore trop bas pour faire de la haute résolution, mais la qualité d'image était suffisante pour comparer l'apparence du Soleil selon la longueur d'onde du filtre utilisé et sa bande passante.quelques comparaisons de filtres. On commence par le continuum à 540 nm : L'avantage de cette longueur d'onde, c'est qu'elle est moins sensible à la turbu que les longueurs d'onde plus courtes. On voit les plages faculaires au bord du disque solaire, mais pas au centre. Avec le G-band 430-2 nm (Altair), le contraste augmente nettement, en particulier sur le splages faculaires. On devine quelques petites plages faculaires dans les zones polaires. Avec le 393-3 nm (Altair) il y a un cran de plus en contraste (et en résolution). Les plages faculaires sont visibles même au centre du disque. La contrepartie, c'est que c'est nettement plus sensible à la turbu : On passe ensuite au Ca K avec l'Alluxa 0.37 nm. On n'est plus sur la photosphère, mais sur la basse chromosphère. Sans surprise, les plages faculaires sont toujours aux mêmes endroits : Avec le Barr de 0.24 nm (faudra que je le vende un jour celui-là ...) , l'image est peut-être un peu plus contrastée : Mais c'est quand on passe au double stack Alluxa Ca K 0.14 nm + Alluxa 0.37 nm que le contraste grimpe nettement. J'ai bricolé un peu le limbe pour mettre en évidence les protu ...
  33. 3 points
    Bonjour, Ne pouvant l'imager dans le ciel du soir, la comète 12P/Pons-Brooks devient vraiment une cible difficile de chez moi, mais en même temps comme elle est de plus en plus intéressante, je m'accroche ! Après avoir publié une image du 18 février annoncée comme la dernière, voici donc une nouvelle prise, du 02 mars à l'aurore, à moins de 8° de hauteur au-dessus de l'horizon et au très fort clair de Lune : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - suivi de base dans guidage ni dithering (faute d'étoile-guide dans ces conditions...) Nuit du 01 au 02 mars 2024, de 04h41 à 05h07 utc 51 poses de 30s à -15°C, Temps d'intégration de 25 min 30s Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2"/pixel On devine la queue, sans la résolution dans ces conditions pour mettre en valeur les beaux filaments que les chanceux du soir ont pu imager. Il y a aussi des choses très intéressantes au coeur de la coma, comme le montre ce gradient rotationnel : (dr=0 pixels et dtéta=20deg) (dr=0 pixels et dtéta=30deg) J'ai essayé de déduire la période de rotation de l'écartement des deux halos concentriques de poussière visibles du côté solaire mais je trouve 18 à19h, ce qui est en contradiction avec la détermination des pros qui vient juste de tomber (merci Nicolas pour l'info ) et donne 57h (https://www.astronomerstelegram.org/?read=16508). Pour ceux qui ont la chance de pouvoir la pointer, profitez-en un max
  34. 3 points
    Bonsoir, Le 21 février, je vous avais présenté une image de 12P/Pons-Brooks comme étant sans doute la dernière, mais j'ai finalement réussi à arracher deux nouvelles images depuis (ce qu'on appelle faire du Alain sur Jupiter ), mais celle-ci sera cette fois la der, sauf si je me lance en observation nomade, car malgré tous mes efforts il n'y a cette fois plus aucun moyen de la pointer de chez moi désormais... Voici donc une image de mercredi 06 mars, juste avant l'aurore, vers 6° de hauteur au-dessus de l'horizon bleuissant, avec un FWHM absolument horrible de 13", il n'y a pas de miracle ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - Suivi de base sans guidage ni dithering Nuit du 05 au 06 mars 2024, de 04h41 à 05h02 utc 39 poses de 30s à -15°C, Temps d'intégration de 19 min 30s Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2,5"/pixel Le gradient rotationnel en médaille dans le coin supérieur droit est moins intéressant que 4j plus tôt : les enveloppes concentriques ont disparu, elles devaient donc être liées au petit sursaut d'éclat signalé par les observateurs le 29 février au soir (-0.7 à -0.9 mag sur la magnitude nucléaire m2 ). La chevelure s'étend sur 10' de diamètre et la queue sur au moins 37' avec un axe central vers PA=13°. Ces mensurations sont sans aucun doute sous-estimées, en raison des conditions d'observation... Voici le résultat des mesures photométriques, elle a encore gagné près d'une demi-magnitude en 4j à peine : magnitude totale, m1 = 5.5 (rayon d'ouverture de 6') ==> c'était 5,9 le 02 mars magnitude nucléaire : m2 = 10.2 (rayon d'ouverture de 6") ==> c'était 10,5 le 02 mars Bonne soirée et bon ciel à toutes et tous
  35. 3 points
    Ce week-end prolongé - au Japon - m'a permis de partir trois jours et deux nuits en expédition dans les montagnes de Nikko en compagnie de 4 membres du club astronomique de Toda. Nous avons bataillé avec la météo, alternant ciels couverts et dégagés, mais surtout avec le froid ! Moins dix degrés au petit matin de la première nuit, moins huit au terme de la seconde : ce n'est pas abominable, mais c'est peu ! Qui n'a jamais vissé des filtres 31.75 au cul de ses oculaires givrés avec des mouffles ne sait rien de la condition humaine. Le Seestar a moyennement apprécié l'expérience, m'envoyant régulièrement des messages inquiétants en pleine session (du genre "température trop basse, charge interrompue"), voire se figeant tout net (ce qu'un redémarrage m'a permis de solutionner) : le bouzin n'aime pas le gel ! J'ai tenu le coup, bien équipé, mais ce ne fut pas toujours fun Une photo souvenir ? Lors de ces deux nuits, j'ai pu observer un bon paquet d'objets avec mes grosses jumelles, mais pas la comète Pons-Brooks, malheureusement cachée par les cimes environnantes. En revanche, j'ai pu l'imager en me déplacant : au contraire de mes binouzes, le Seestar se transporte très facilement. J'ai donc quelques images à traiter et je vous en propose une première : Voici donc la Méduse (qui a dit "le raté de la méduse" ??), enregistrée en 80 minutes par le Seestar, aidé de son propriétaire et de son capteur (tous deux également refroidis) : A suivre
  36. 3 points
    Tu me fais rêver là Bernard moi qui ne la voit plus... Un petit essai à l'arrache pour doper un peu le contraste et corriger la dominante verte, à partir de ton image .jpg, si tu n'aimes pas, je retire
  37. 3 points
    surtout si maman est dans la boucle
  38. 3 points
    JPP, dites-moi si je me trompe ; c'est le footballeur ? Vous me pardonnerez bien ce hors sujet complet !
  39. 3 points
    Celle-là je l'ai observée au petit matin du Dimanche 9 (mars 2024), dans le froid mordant, avec les jumelles 150ED : elle m'est apparue pas si petite que ça, avec une coma à peine déformée par une amorce de queue difficile à percevoir, courte et remarquée en vision décalée. J'ai fait un croquis rapide sur mon calepin avant d'aller dormir, croquis dont voici la version regardable : On ne se moque pas des petits carreaux, ils me servent de repères pour placer mes étoiles
  40. 2 points
    Profitons-en c’est rare, il fait enfin beau et plusieurs comètes sont accessibles en visuel, dont certaines même avec de modestes optiques. Faisons en le point à travers mes notes d’observations (mesures perso) : - Dans le ciel du soir : En début de nuit, à voir en tout début de nuit la comète 12P/Pons-Brooks . Vue le 5 mars à 19h45 TU avec des jumelles J43x10, magnitude m1 = 6,0, dc 7, diamètre apparent de 5’ d’arc environ. Avec un T 250x80, queue d’au moins 0,5°. Etant donné qu’elle est fort basse chez moi sur l’horizon Nord-Ouest (en direction de la grosse ville du coin, Angers, beurk !), il n’est pas difficile de mieux la voir avec une queue encore plus longue depuis un site bien placé. Par contre la voir à l'oeil nu relève du domaine de l'exploit quasi impossible, elle continue à se rapprocher angulairement du Soleil donc en étant de pire en pire en hauteur sur l'horizon et du coup voir une comète de mag 5 ou même 4 (peut-être) à quelques degrés seulement sur l'horizon parait délicat même pour un super oeil de lynx placé en montagne... On a déjà du mal à voir une comète de ce calibre haute dans le ciel dans des conditions (normales) ....quand il fait beau... mais bon c'est bien de la voir aux jumelles, je l'avais mesuré à mag 15 l'été dernier... Comète 13P/Olbers le 5 mars à 20h15 TU, magnitude m1 = 13,0, dc 4 et dia 0,5’ d’arc dans un T 560x165. Mieux visible avec un filtre C2. Depuis un bon site, un T 250 devrait suffire. Comète 144 P/Kushida le 5 mars à 20h30 TU, magnitude m1 = 11,0, dc 2, dia 1’ 1/4 d’arc dans un T250x80. Vue un peu mieux avec C2. Elle est à son mieux en ce moment. Comète C/2022 E2 ATLAS le 5 mars à 21h15 TU, magnitude m1 = 13,5, dc 5/6, dia 0,5’ d’arc dans un T560x240. C’est la plus difficile de la soirée, elle était difficile dans un T 250x140. Elle sera un petit peu mieux l’hiver prochain. - En milieu de nuit : Comète 62 P/TSUCHINSHAN le 5 mars à 22h45 TU, mag m1 = 11,8, dc 3, dia environ 1’ d’arc dans un T250x115. Cette comète a bien faiblit depuis le début de l’année où elle était de mag m1 = 8,2 et qu’elle était visible aux jumelles J 43x10. Comme elle est dans la Vierge, on peut la voir bien placée en milieu de nuit. - En fin de nuit : Comète C/2023 A3 TSUCHINSHAN-ATLAS le 7 mars à 3h30 TU, mag m1 = 12,2, dc 8, dia 0,5’ d’arc avec un T 250x140. Cette comète (qui devrait atteindre la magnitude 0 l’automne prochain, oui mag zéro !) est actuellement toute petite, dense et très bien contrastée, d’où le dc fort ! A suivre attentivement par la suite et déjà dans un T 200 par exemple. L’autre vedette de la nuit , la comète C/2021 S3 PanSTARRS le 7 mars à 3h50 TU, mag m1 = 9,8, dia 1,5’ d’arc avec une L 90x45. Vue aussi dans un T 250x80 et x115, la comète (moins bien visible avec un C2) montrait par contre une queue assez faible et rectiligne d’au moins 10’ d’arc de long. Sinon, pas vue même au T 560 la comète 207 P/NEAT, m1 sans doute de mag 15 et pire. J’aurai pu aussi chercher la comète 407 P/2023 W1 NEAT mais vue qu’elle est aussi mal placée pour moi vers le Nord-Ouest, aussi basse que 12 P/, c’était perdre son temps que d’essayer car elle est plus faible que mag 12 dans les données et voir une telle comète très basse dans le couchant est bien délicat. Profitez de cette météo de giboulées avec des éclaircies bien placées la nuit, c’est mieux que ces nuits d’hiver passées soient couvertes soient très peu limpides...
  41. 2 points
    Bonjour Si je reviens vers vous , c'est bien pour vous parler de mes énormes experiences, en réussites d'images superbes, et en ratés encore meilleurs.... Car ce soir, subrepticement , comme toujours avec cet astre délicat..., un joli croissant de lune sera facile pour vous yeux affutés son coucher vers 20 h 15 , et azimut 275 , devrait vous permettre de réaliser un petit croissant bien joli Je vous aide, azimut 275, c'est vers l'ouest ...
  42. 2 points
    Dans Astrosurface, tu prends Gradient removal RB functions. Tu vires tous les carrés rouges sur la queue de la comète : Tu cliques Calculate puis Ok et tu sauvegardes ton image Bonne soirée, AG
  43. 2 points
    Je l'avais faite avec mon C8 en 2022, dans le secteur de Convento de Tomina au Portugal. Bortle classe 2, turbulence apparemment correcte cette nuit-là mais souvent bien pourrie. Si ma mémoire ne fait pas défaut, j'avais dû mettre mon temps de pose à la moitié de mes 7 minutes habituelles sur les galaxies. Le traitement est vraiment difficile car il faut concilier plusieurs zones à des niveaux très disparates en signal. Il y a des détails à aller chercher proche de la saturation, et d'autres à littéralement une poignée d'ADU, plus des grandes zones intermédiaires entre les deux extrêmes. Faut empiler beaucoup de poses pour pouvoir traiter les extérieurs, mais aussi avoir à la base une caméra avec suffisamment de dynamique. C'est déjà pas évident avec le numérique de 2024, alors en 1978 en argentique c'était mission impossible.
  44. 2 points
    Je ne sais pas ce qu'il y aurait de plus à dire que ce qui ne se dit déjà sur les forums. A une époque, C&E avait fait un article sur la cote de l'occasion. Sur le modèle de Chasseur d'Images je pense. Ca avait fait beaucoup râler les gens. Ma pratique du marché de l'occasion, c'est que je n'ai presque rien d'acheté neuf, tout fonctionne bien, et ça permet d'avoir un équipement bien plus haut de gamme que ne le permettent mes moyens (d'autant que je me suis équipé un peu au dessus de mes moyens, même d'occasion ). C'est sûr qu'il y a quelques précautions à prendre. La G11 là à ce prix là, j'airais la voir en vrai pour vérifier qu'il n'y a pas un loup. Mais à ce tarif l'enjeu en vaut la chandelle, même si il faut rajouter 200€ de déplacement sur place.
  45. 2 points
    Ca fonctionnee parfaitement, merci ! Il faut juste mettre le verre rouge à droite pour Pons-Brooks (sinon c'est la plus monstrueuse comète de l'univers connu) et... à gauche pour la Lune (sinon, c'est un cendrier)
  46. 2 points
    Salut Bob Bob!! Comment faire lorsqu'on louche que d'un œil ? Si non, c'est trop cool ta 3D. A+ Pedro
  47. 2 points
    attention aux coups de vent eu moment de loucher, vous risquez de rester coincé (comme disait ma grand-mére).
  48. 2 points
    Le truc que j'arrive pas à faire et puis . . . j'ai pas de sac Bonne journée, AG
  49. 2 points
    Hé ben ! Vu le niveau d'un simple amateur chez JPP, trop déçu de pas pouvoir causer au chef...
  50. 2 points
    très beau soleil en Calcium lunette 90 mm apo et filtre Lunt BF 12 barlow 2x et 2.5 x camera player one