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Affichage du contenu le plus aimé le 10/11/2023 dans toutes les zones

  1. 32 points
    Bonjour à tous, Un rapide CR de la soirée du dimanche 5 novembre du côté du Perche, soirée où il y eu des aurores vues partout jusqu'à très basses latitudes (Turquie...) ! Pas mal de nuages sur la moitié nord, c'était compliqué... Par ordre chronologique (avec le meilleur pour la fin je trouve) : Premières salves dès la tombée de la nuit comme rapporté par Nicolas @trumpetman012, mais rien à voir sur mon site (Perche), c'était complètement bouché avec de grosses averses jusqu'à près de 19H50 (HL). Un peu comme @spoutnicko Nicolas. Ca s'est ensuite vite découvert (malgré des nuages encore présents au nord). Les premières images ont tout de suite montré une immense lueur rouge jusqu'au niveau de l'étoile polaire. Sans doute le SAR, ça ne rentrait pas dans le champ d'un 20mm en azimut ! Plus amusant, une petite "aurore" bien visible à l'oeil nu est apparue une 10aine de minutes, incolore et avec des petites colonnes dedans, et un mouvement très rapide. Les poses de 6s étaient trop longues pour enregistrer ces structures, par contre la photo montre un changement de couleur du rose au blanc. Bref, sans doute l'élusif STEVE, rapporté en Angleterre notamment. A creuser avec les pros, en tout cas c'était chouette. Ensuite ciel de nouveau plus en plus couvert alors que vers 20H30 une belle aurore s'allumait au nord, pour l'essentiel complètement dans les nuages (je n'ai pas mis le timing, pas très important) : Un quart d'heure après, vers 20H45, le ciel était devenu rouge jusque bien au dessus de l'étoile polaire (!) mais avec une intensité moindre que vers 20H : Une dernière belle salve "surprise" à partir de 22H50, qui a duré une trentaine de minutes. Aurore pas aussi lumineuse que celle de 20H30 (et sans doute encore moins que les salves du début de nuit), mais c'était assez photogénique, avec de nombreux piliers dedans. Je n'en mettrais pas ma main à couper, mais il n'est pas impossible qu'il y ait un peu de vert dans le bas de l'aurore, notamment sur l'image du haut. Voilà, deux aurores en à peine plus d'un mois, eh ben ! Maintenant, vivement un vrai gros Kp de 9 avec un ciel limpide Amitiés Emmanuel
  2. 26 points
    En fait, juste avant que les nuages et la pluie n'arrivent...mais c'était quand même sympa !
  3. 21 points
    Salut les ami(e)s, le soir du 7, contre toute attente, le ciel était un peu agité mais clair. Conditions très difficiles avec des passages nuageux, du coup je n'ai pas pu appliquer des intervalles de temps constants, mais bon fallait y aller. L'obturation de 60ms semble un peu juste cette fois ci, mais je ne pouvais pas trop traiter sans me retrouver avec une patate à la place de l'étoile intruse. Stellarium refuse obstinément de me donner l'étoile dans le champ, si quelqu'un ( Denb ? ) peut donner l'info qu'il n'hésite pas ! . Cassegrain de 250mm, ASI462MM sans filtre au foyer, 16 sers de 3000 images ( fonction limit ) de 22H34 à 0H58 local, 2000 images retenues par ser dans AS3 traitement avec Astrosurface : HDR contrast + levels + ondelettes ( très légères ). La durée portée à 2H24min montre un peu mieux le déplacement des satellites. Je vous propose deux versions, l'une avec la registration sur Uranus, l'autre avec la registration sur l'étoile, car après tout, c'est Uranus qui se déplace par rapport aux étoiles. Carte stellarium à 22H44 : Version 1 ( 16 images, taille 100% ) : - Version 2 : J'ai voulu faire ensuite Jupiter avec l'ASI120MC au foyer, juste le temps de faire 2 sers avant que ça ne se bouche totalement. Le second ser est parti à la corbeille. Ser de 1min30s ( 1H16 local ), 8000 images environ, 1000 images retenues dans AS3, traitement Astrosurface :
  4. 16 points
    Bonjour, Après la première lumière de mon nouveau train d’imagerie sur SH2-176 il y a deux mois, où le Ha était à l’honneur (bien que faiblard), le T410 a pointé Jones 1, pour tester l’OIII. Le tout avec le filtre Optolong L-Ultimate (3nm Ha + 3nm OIII). Jones 1 – PK 104-29.1 ou PN G104.2-29.6, est une nébuleuse planétaire que l’on trouve dans la constellation de Pégase. Les dernières mesures la donnent à une distante de 3200AL, avec une taille apparente de 5.5 minutes d’arc. Sa magnitude surfacique est d’environ 15 et la naine blanche centrale, facilement visible, de 16.8. Elle a été découverte par Rebecca Jones en 1941, l’histoire (en anglais) de la découverte et de sa non publication est décrite brièvement ici. La cible est petite pour ma configuration, mais ceci est compensé par un effet d’agrandissement dû au recadrage nécessaire pour effacer les effets de bords de ce filtre, enfin plutôt le manque de lumière dans les coins avec ces bandes très étroites et ce filtre 2 pouces. Je testerai le L-Pro et ça devrait mieux se passer de ce coté là. Je n'ai pu coller que 4h45 car une seule nuit disponible, mais l'objet n'est pas si faible et ça a bien suffit. Conditions : - T410mm, F/D 3.8, Wynne 3 pouces au foyer, tube construction personnelle avec araignée + PO Axis Instruments - ASI 2400MC à -10degC, porte filtre Axis Instruments + filtre Optolong L-Ultimate (duo Ha OIII 3nm) - Guidage sur DO Axis Instruments + ASI174MM - Echantillonnage 0.78"/pix - Ciel urbain SQM zenith 20.2 - Gain 200 - DOF – traitement SIRIL + CS6 "à la bio" sans abuser de la saturation - 57 x 5' = 4h45 la seule nuit claire depuis des lustres le soir du 7 Novembre 2023 Le crop : Le champs complet : Le nouveau train d'imagerie (on devine le Wynne dépasser du PO), les poses de 5 minutes changent vraiiiiment la vie… Avec un suivi moyen de 0.5’’ qui a tout de suite donné satisfaction. Bon cieux à tous, on en a besoin... A bientôt, JMarc
  5. 12 points
    Hello, Voici M33, très largement connue Mais qu'est ce qu'elle est belle !!! Elle fait partie des "grosses" galaxies visibles chez nous, shootée mainte et mainte fois, mais c'est toujours un plaisir que de l'avoir sur l'écran ! Seulement 2h25 de pose, sans filtre et ça manque clairement afin de bien faire ressortir les zones de Ha dans la galaxie ! Elles ne ressortiront pas beaucoup plus sans filtre... Je lui ajouterai des poses quand j'aurais un bon filtre . Un FDC peut-être un poil noir, sur mon écran ca passe. EXIFS Setup : Lunette --> TOA 150 avec réducteur @770mm de focale (F/5.1) -----> échantillonnage 1" Imageur--> ASI6200MC . Gain : 100 - T° : -10°C (sans filtre) Monture --> 10Micron 1000HPS (non guidée) Acquisition : 15x180 20x300 Soit 2h25 de pose au total Lien Astrobin : https://www.astrobin.com/gm01xn/
  6. 11 points
    Salut à tous Une nuit pas mal ce 7 novembre avec un peu de vent et d'humidité. ça turbulait quand même bien alors j'ai préféré me concentrer sur les IR Flextube 350 + Mars M-II + Barlow x2,7 (F15) Dans l'ordre de capture IR 850 IR 807 Y' CH4 IR742. Jupiter était proche du méridien, la turbulence c'était calmée Philippe
  7. 11 points
    Rentrant de Norvège demain, j'ai pu apprécier le phénomène et sa délicatesse. C'est un truc merveilleux. Pas de mots pour le décrire. J'ai fait quelques photos à l'arrache avec un téléphone en mode nuit. Sur un bateau et sans trépied, ce n'est pas très facile...
  8. 9 points
    Bonsoir les Astrams La disette de ciel en Vexin pousse à la clôture de projets CP & à leurs traitements... faute d'opposition jupitérienne, voici donc ma vengeance de ce soir : La petite histoire : N'ayant pas de version ni de datas convenables pour cette "petite" cible, je voulais aller la chercher en haute définition... mais il en fut autrement, faute de seeing suffisant et de temps de jeu au C14 en CP. - Quelques essais en Ha et OIII m'ont convaincu de capter un peu de datas dans ces bandes - Au premiers tests j'ai vu apparaitre sa grande extensions , et au delà, un énorme anneau complémentaire... => j'ai poussé un peu les temps de poses pour le capter Ce sont donc les focus de la version présentée ce soir : les Ha et OIII riches en périphérie de la partie centrale classique, Les grandes extensions adjacentes et... l'immense anneau complémentaire JE SUIS D'AILLEURS CURIEUX de comprendre cette structure, si vous avez des infos ou les pointeurs à partager, je suis preneur ! L’acquisition : 41H de poses, de Février 2022 à Avril 2024 Le traitement : Comme pour M101, ce n'est pas du fort contraste, mais bien les extensions que je veux faire ressortir ici, écrasant l'énorme delta dynamique existant entre le cœur et l'anneau périphérique (si vous avez un vrai nom pour lui, je prends ) En fonction des calibrations d'écrans on peut vite tomber dans le fade j'imagine... pour ceux qui veulent ce caler sur la vision prévue, le "noir" du fond de ciel est ici à entre 12 et 15 /255 Je n'ai pas insisté sur le traitement des étoiles, les grosses sont restées empâtées de leur longues poses... ...par contre j'ai tenté de faire bien ressortir les innombrables petites galaxies de ce riche arrière-plan Le matériel : Une GM1000 porte un C11edgeHD, qui alimente une 6200MM, le tout piloté par un Eagle en Remote en sud Espagne. Edit : Insertion V3 V3 - Version 1620*1080 V3 - Version Full 4300*2800+ V3 - Full - - - Versions précédentes: - - - V2 - Version HD: V2 - la Full (~4300*2800pix) Une version précédente avec moins d'emphase sur l'anneau V1 - (Avec plus Ha et grosses étoiles moches) Zoom low def (960*960) V1 - sa Full Vous en pensez quoi ? Edit : Ajour d'un post dédié à ces extensions en faux anneau ici : (Ajout d'une image plus petite pour la vignette)
  9. 9 points
    Ce matin du 9 novembre 2023, la Lune avait rendez-vous avec la planète Vénus ... et avec les nuages, la voici, prise depuis l'Observatoire Charles Fehrenbach au C14 (diamètre : 355mm) dans les dernières secondes de l'émersion à 11h54. Ce C14 est un collector datant de 1976 donc sans pointage automatisé : il a donc fallu pointer Vénus aux cercles à partir de l’ascension droite et de la déclinaison du Soleil avant d'aller aux coordonnées de Vénus. Cette image est une mosaïque de 4 images car même en plein format 24x36mm impossible de faire tenir la Lune en entier avec les 3,91 m de focale du télescope. L'APN était un Sony Alpha 7R (32mpix). Bon ciel. Philippe Morel.
  10. 8 points
    Bonsoir à tous, je continue mes tests et réglages aux petits oignons de la lunette Lichtenknecker VAF 150mm F/7 Apo fluorite. Il me reste encore un léger tilt à corriger mais le Proline 0.79x fait des merveilles sur cette lunette en coulant 3", un grand merci à Petzval pour le prêt Je vous dis pas la bague qu'il a fallu tourner pour adapter tout ça... Sony A7s Astrodon + filtre duo narrow band HA / OIII avec SQM 19.2 et très forte pollution lumineuse, passages nuageux, brume avec très forte humidité...tout dégoulinait Unitaires de 30 sec à 3200 iso pour un total de 1h15min Traitement sous Siril, PI et CS6 Elle en a dans le ventre cette lunette Phil : photoastro.com Les Pléïades en 45 minutes sans le filtre duo narrow band bien sûr
  11. 7 points
    bonjour à tous, après plusieurs mois sans activité , ma femme à enfin réussi à ouvrir le toit de l'abri et m'a supporté (voir porté) pour monter les 3 marches , et après avoir chassé un nombre incroyable d'araignées , de punaises vertes et d'escargots , j'ai fait ces quelques photos sous un ciel ma fois bleu mais avec diffusion de 3 diamètres solaires et turbulence très variable ( ~12h HL ) j'espère pouvoir renouveler cette expérience (même si elle à demandé 30mm au lieu des 5mm habituelles pour lancer la manip). Paul
  12. 7 points
    09.11.2023, 00:57, Matera C8edgeHD, deux ADC, AP 1.8x, ASI224MC AsiStudio, AstroSurface Winjupos : 3 vidéos de 120 sec https://telescopius.com/pictures/view/168815/by-de-marco
  13. 6 points
    Salut! il faut bien un premier post un jour, après 15 mois d’apprentissages divers et variés, voici quelques photos, toutes prises depuis Strasbourg et son bortle 7/8 plutôt 8 😅, et avec un matériel qui a évolué dans l’intervalle, de la SW80ed à la 94edph, et de la 294mcp à la 2600mcp, sur une azgti, puis une heq5. et également une petite animation 3D des certaines d’entre elles grâce au tuto de ShiveringCactus 😊 full sur astrobin: https://www.astrobin.com/users/Leboot/
  14. 6 points
    Bonjour à tous, Direction une pouponnière d'étoiles, dans la constellation de Persée, NGC1333. NGC 1333 est une nébuleuse par réflexion située dans la constellation de Persée. Elle appartient au nuage moléculaire de Persée. NGC 1333 a été découverte par l'astronome allemand Eduard Schönfeld en 1855. Avec une magnitude de 10,9 à 445 nm, cette nébuleuse est visible dans un télescope dont l'ouverture est d'au moins 15 centimètres. Elle apparaît comme une tache flou. Elle est associée à la nébuleuse obscure Barnard 205. Plusieurs autres nébuleuses obscures se trouvent aussi dans cette région. La nébuleuse NGC 1333 est une région très active de formation d'étoiles qui est située dans dans partie ouest du nuage moléculaire de Persée. Elle contient une hierarchie typique d'amas ouverts qui sont encore intrégrés dans le nuage moléculaire dans lequel ils sont nés et qui sont divisés en deux principaux sous-groupes, l'un au nord et l'autre au sud. La majeure partie du rayonnement infrarouge provient de la partie sud de la nébuleuse. Un pourcentage significatif des étoiles observées dans l'infrarouge sont des étoiles de la pré-séquence principale. On trouve à l'intérieur de la nébuleuse une vingtaine de jeunes objets stellaires qui produisent des jets de matière, dont des objets Herbig-Haro. Un total de 95 sources de rayon X sont associées aux étoiles de la nébuleuse. Plusieurs naines brunes ont été observées dans NGC 1333 ainsi que dans l'amas stellaire IC 348 situé à proximité dans le nuage moléculaire. Les infos: Newton 150/750 + réducteur de Coma @ 678mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 113 x 180s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 180s: Map foirée (aigrettes dédoublées), étoiles avec forme étrange... cette série avec guidage au diviseur optique est à corriger avant de faire les prochaines images avec le newton. On fera mieux la prochaine fois
  15. 5 points
    Très sympa ce ballet des satellites Valere, bravo skychart est plus conciliant : Bon ciel
  16. 5 points
    On peut constater quelques petites choses curieuses sur les images d'Euclid : - des aigrettes de diffraction (ou reflets) en arc de cercle partant des étoiles très lumineuses. Ce sera je pense LA signature des images d'Euclid. - des blobs bleutés, un artefact causé par des reflets internes sur les filtres : - des réflexions internes avec des images fantômes du primaire/secondaire : - des bandes verticales (à peine visibles), causées par l'espace entre deux capteurs (le capteur d'Euclid est en fait une matrice de 6x6 capteurs), ce qui peut provoquer des altérations locales de couleurs, dans le jaune ici : - des aigrettes dédoublées (n'affecte pas toutes les images), peut être causé par le soucis de guidage et de pointage du satellite, qui ne retrouve pas parfois sa même orientation entre deux images... Donc voici la signature des images d'Euclid, les arcs de cercles sur les étoiles très lumineuses.
  17. 5 points
    Avant de te répondre, il faut savoir que les aurores se produisent lors de tempêtes géomagnétiques. L'intensité de ces tempêtes est donné par l'indice Kp, qui va de 0 à 9. Un Kp supérieur à 2 suffit pour produire des aurores près des pôles (si certains peuvent confirmer - je n'ai jamais observé d'aurores sous les hautes latitudes), tandis qu'il faut un Kp généralement de 7 au moins pour voir des aurores à l'oeil nu en France. La plupart des aurores visibles en France sont rouges. Pourquoi? Quand l'activité est faible, l'aurore est verte et elle reste près des pôles. Au contraire, quand l'activité est élevée, l'aurore descend à des latitudes plus basses, et elle monte aussi plus haut en altitude, et la partie haute de l'aurore s'illumine en rouge. Cette partie rouge se voit de très loin, et elle est parfois visible en France. Quand l'activité est très forte, avec un Kp à 8 ou 9, la partie basse de l'aurore en vert peut aussi être visible en France. J'ai eu la chance de voir plusieurs aurores à l'oeil nu dans les années 2000, au cours de grosses tempêtes avec Kp à 8 ou 9. Quand l'aurore est intense, les couleurs se voient sans aucun problème, c'est quelque chose de vraiment spectaculaire, on en prend plein les yeux! Je n'oublierai jamais les aurores des 29 et 30 octobre 2003 que j'ai observé près de Nantes. A l'inverse, avec une aurore très faible, on ne voit rien. Parfois quand il n'y a que du vert et que c'est peu lumineux, on ne voit que du gris. Mais c'est plutôt rare en France. Concernant la zone de visibilité, les aurores peuvent être visibles à l'oeil nu dans le sud de la France si Kp atteint 8 ou 9. Lors de la grosse tempête du 20 novembre 2003, les aurores étaient visibles en Espagne, en Italie ou en Grèce! Voici des témoignages d'observations d'aurores lors de grosses tempêtes: Aurore du 20 novembre 2003: Celle-ci aussi, sur les aurores de fin octobre 2003: D'autres témoignages d'aurores visibles à l'oeil nu en France, sur le site de Jean-Christophe Dalouzy: https://web.archive.org/web/20080216051104/http://astrosurf.com/auroreboreal/galerie.htm https://web.archive.org/web/20080502101149/http://astrosurf.com/auroreboreal/auroredu11.htm Pour ce qui est des aurores de 2023: - Celle du 23 avril était très atypique, avec des taches vertes qui s'allumaient et s'éteignaient assez rapidement. Ce sont surtout ces taches vertes qui étaient visibles à l'oeil nu - Pour celle du 25 septembre, ce sont des bandes rouges verticales qui sont apparues au-dessus de l'horizon nord, pendant quelques minutes - Pour l'aurore du 5 novembre, des bandes rouges/roses verticales étaient bien visibles à l'oeil nu dans le nord-est de la France, avant même qu'il ne fasse complètement nuit! D'autres pics d'activité on eu lieu plus tard, visibles dans le nord de la France. Cette aurore a été vue aussi dans le sud-est de la France (faiblement à l'oeil nu). Sinon, retour à l'actualité avec une nouvelle éruption solaire qui a eu lieu aujourd'hui. Elle a produit une CME (éjection de masse coronale), qui se dirige vers la terre. Elle arriverait le 11 ou le 12 novembre. Ce n'est pas très puissant, mais ça pourrait déclencher des aurores dans les hautes latitudes (en France je n'y crois pas trop, mais on sait jamais...) La CME en question:
  18. 5 points
    Bonsoir à tous, juste avant l'arrivée des nuages...sortie de LA VAF 150mm F/7 Lichtenknecker + réducteur-correcteur Proline 0.79x. Sony A7s Astrodon seul et une autre session + filtre duo narrow band HA / OIII SQM 19.2, très forte pollution lumineuse et brume + forte humidité. Unitaires de 30 sec à 2000 iso pour un total de 60 min en RVB et 40 min en HA/OIII Traitement sous Siril, PI et CS6 Je suis content du résultat mais je vais continuer à peaufiner la collimation du triplet Phil : photoastro.com
  19. 4 points
    Pour me faire pardonner avec mes questions à la c...😀 Voilà quelques clichés pris à 10km de Troyes cette année : 27/02/23 22h27 TL : 23/04/23 22h30 TL: 24/04/23 01h40 TL: 05/11/23 18h25 TL: Application de détection avec indice KP : AuroraNotifier Bon ciel Lolodobs le dévoreur de monde 👽
  20. 4 points
    salut et bravo valère ! sympathiques animations , j'aime la deuxième plus vraisemblable où la planète emmène son cortège de satellites dans sa ronde autour de notre soleil ! tu peux faire une double ou triple commande " rl2 5 0 " pour affiner et renforcer les satellites , toi qui aime iris !! ça marche bien : si tu as un peu de temps et une belle jupiter par ces temps pluvieux ! bonne soirée paul aa.bmp
  21. 4 points
    très sympa ce post. Sur la remarque : généralement, oui, c'est la tournée des objets "star" de la nuit. Mais à l'usage, je trouve ça dommage voire même un peu chiant. et donc, si le quidam exprime son intérêt et le souhaite, ben je lui propose de pousser l'observation. Ça prend plus de temps, ça ouvre des débats intéressants, et je pense qu'il repart avec un autre ressenti. Par exemple l'été sous un beau ciel, ben faut en profiter (Valdrome, NCN), j'aime à faire détecter les piliers sur M16. Ca prend du temps, mais généralement le gros principal est très souvent perçu ce qui provoque quelques picotements agréables. Si ça passe, on propose le plus discret à son côté. Idem sur le sacro-saint M13, vu et revu, et rerererevu. Juste de le poser au bord du champ, et d'apprécier cette vertigineuse perspective avec cette petite et discrète NGC. Tout à coup, le débat s'enflamme. Sur les Dentelles, j'aime à faire voyager le quidam par lui même, en lui laissant prendre les commandes, juste en le guidant par la voix, de partir là, puis pousser par là, puis décaler de l'autre côté, histoire de se familiariser avec les mouvements. Puis une fois un peu à l'aise, de lui faire la grande traversée pour aboutir sur l'autre en vis-à-vis à plusieurs champs d'oculaire de là, etc.... sur les objets qui s'y prêtent avec les bonnes conditions, dont les planètes et la Lune, j'aime à échelonner les grossissements et pousser comme un goret, faisant remarquer le p'tit cratère d'un kilomètre de diamètre au bord d'une fissure discrète, etc. C’est sûr qu'au final, ça fait moins de monde passé à l'oculaire, mais je pense que c’est plus gratifiant pour tout le monde, et que justement, ça change d'approche par rapport à ce qui a été montré durant la visite. Disons que pour le spectateur, ça varie les plaisirs, et pour ma part, j'y prends grand plaisir. Après sur le sujet des instruments qui ont fait rêver..... Ben j'ai plutôt basculé dans un autre genre, celui de me les faire moi-même, où d'aller voir ceux exceptionnels des copains (merci JD, Rolf, Raphael, David, Serge, Seb, et bien d'autres) ou des installations dont gentiment, on nous ouvre les portes (Haaaa, Arago, OHP, Lilles, St Véran, etc...).
  22. 4 points
    Une très intéressante conférence de François Hammer, avec les derniers résultats de GAIA sur la masse de la Voie Lactée , l'estimation de son contenu en matière noire et la prise en compte des amas globulaires et des galaxies naines. Pas mal de surprises à la clé: GAIA permet d'étudier la Galaxie "in situ", ce qui soulève bien des questions quand on compare les résultats ainsi obtenus avec ce qu'on peut déduire des courbes de rotation des autres galaxies (la fameuse "courbe distance au centre/vitesse" qui trahit la présence de matière noire ):
  23. 3 points
    6h10 au 6d sur mewlon 250 cr réducteur f/7.3 mais je n'avais pas la bonne bague pour le backfocus idéal.. Je vais corriger ça. Enorme reflet aussi, je me demande pourquoi et d'où ça vient!! jérôme
  24. 3 points
    Bonjour les amis, Ce matin au réveil, un joli croissant de Lune avec un truc super brillant à côté, enfin . . . pas loin Une photo souvenir rapidos à main levée au 350D et voilà : Je vous laisse, exceptionnellement y pleut pas aujourd'hui et j'ai du taf à l'extérieur Bonne journée, AG
  25. 3 points
    Bonjour à tous, une éclaircie miraculeuse de 2h le soir du 6/11 ainsi que des étoiles qui scintillent peu à l'horizon m'a motivé pour sortir le matos et tenter quelques captures de Jupiter peu de temps après l'opposition Et effectivement le seeing n'était pas dégueu, voire bon parfois mais sans être exceptionnel Du coup (comme disent mes enfants) j'ai mitraillé 117 sers de 60" puis fait une sévère sélection que je vous soumet ici Sympa la GTR avec ses "outbreaks" ainsi que l'arrivée d'Io sur le disque et son ombre maintenant à l'ouest Jupiter étant à 49.5" ca aide pour sortir quelques détails. Mak 180, Uranus-C et chaque image issue d'une dérotation entre 5 et 10 sers de 60". 21:13 TU 22:11 TU 22:44 TU Content malgré tout d'avoir pu sortir ces photos malgré Ciria, Domingos et autres joyeusetés Bonne journée ! Laurent EDIT : et voici l'animation, @Daniel B j'ai repris ta méthode avec Winjupos mais 1 image par minute (ca fait quand meme 143 images ! et je me rends compte à l'écran que j'ai poussé un peu trop sur les ondelettes)
  26. 3 points
    J'avais justement pris quelques images d'Uranus au foyer du T407 en attendant le lever d'une comète qui s'est fait doubler par les nuages, ce soir là. Juste la somme de 4 poses de 1/2s, la météo trop venteuse ne permettant pas de faire beaucoup d'image stables - mais on voit les 4 satellites avec cette étoile vraiment proche...
  27. 3 points
    --------------------------------------------------- MAJ rapide : 08 novembre 2023 --------------------------------------------------- Elle est aussi belle que le mois dernier : One shoot de 90s de mercredi au petit matin (Nord en HAUT). Bonnes observations
  28. 3 points
    et bingo c'est en place le 8 novembre.
  29. 3 points
    Bon je me répond à moi même mais ça pourra aider certain. C'est une inversion de l'image Nord/sud.
  30. 3 points
  31. 3 points
    Estraordinaires ces photos JD La deuze c'est pas toi qui l'a prise Bonne journée, AG
  32. 3 points
    Yo ! ben j'ai regardé le premier film de la soirée sur les étoiles et...... ben bof, comme généralement trop souvent. Sur un fond d'images tant spectaculaires qu'énigmatiques (images réelles mêlées d'images de synthèse, séquences repassées à plusieurs reprises, en variant le cadrage, la symétrie, l'orientation) dont on ne légende quasiment rien, on ne sait trop ce que ça représente ou de quoi ça parle, et pas forcément en phase avec le discours Agrémentée d'une musique de fond de circonstance, à grand coup de nappes de synthé grandiloquentes, un commentaire soporifique à souhait, dont on a peine à suivre les explications - en général, yena pas.... entrecoupé d’interviews flash tronquées, tout ça formant une sorte de soupe dont j'imagine que, sauf à être initié sur le sujet, ben on aura pas compris grand chose, et si on l'est, ben ça apportera pas grand chose. Bigre, qu'il semble difficile de faire un bon documentaire scientifique...... Je crois que je préfère infiniment plus le monde de Jamy
  33. 3 points
    une nouvelle photo d'une autre video du 6 novembre 2023
  34. 3 points
  35. 2 points
    Ce 07 Novembre, ça fait pile poil 19 ans que je suis sur Astrosurf .... la bonne nouvelle, c'est que je reste ici, on y est bien ....
  36. 2 points
    Bonjour, Voici le quartet de la grue , un groupe de quatre galaxies en interaction , visibles dans la constellation de la grue et situées à 60 millions d'années lumiere environ. Elles appartiennent à un groupe d'une quinzaine de galaxies . Je vous presente un crop sur le quartet et la version full frame. En regardant la full , vous pourrez voir des dizaines de galaxies lointaines en arriere plan , une vraie chasse aux tresors 😁. Lien vers la full : https://astrob.in/full/u0k479/B/?real= Acquisition en remote depuis la namibie. ASA H8 f2.9 hyperbolique 200 mm, focale 590 mm Support ASA DDM60Pro Moravien C3-61000 Poses de 5 minutes. 2h00 de luminance et 20 minutes par couches couleurs.
  37. 2 points
    Peut-être la plus importante image jamais faite par l'humanité, celle d'un lever de terre sur un autre astre !... Prise par Frank Borman. Plus tard dans la mission, Bill Anders en pris une autre, plus connue, devenue l'icone de la première fois où l'humain est sorti de l'attraction terrestre : Décembre 1968, date mythique s'il en est...
  38. 2 points
    Long message... La finesse des détails dans les images solaires réalisées avec Sol'Ex est déterminée par : - la turbulence atmosphérique - la qualité optique de la lunette - la précision des réglages (par exemple; la focalisation du disque solaire sur la fente au foyer de la lunette) - la taille des pixels (échantillonnage du disque et du spectre) - la distance focale de la lunette. Je voudrais ici insister sur ce dernier point, la focale, qui pourrait même être mis en premier tellement il a un impact sur les détails révélés par Sol'Ex. Toute chose égale par ailleurs, la finesse de ces détails est directement proportionnelle à la focale de la lunette. Doubler la focale, c'est voir des détails deux fois plus petite, ce qui n'est pas rien. Je suis très partagé quand je vois les efforts des uns et des autres pour faire en sorte qu'à tout prix l'image du Soleil entre en entier sur son capteur. On se force alors à utiliser une lunette ayant au plus une focale de 450 mm (en gros), on ajoute parfois un réducteur de focale avec une lunette existante trop longe , on imagine même concevoir des spectrohéliographes plus gros, plus lourd, plus cher, pour au contraire adapter celui-ci à une lunette de longue focale. Ce que je retire de ceci est que le matériel existant est parfois sous-utilisé. Je ne nie pas qu'obtenir une image entière du disque en un seul balayage (scan) à un côté agréable, spectaculaire et expéditif. Mais j'y vois aussi une sorte de capitulation devant un problème technique qui ne devrait pas en être un. Il y a en effet une solution pour exploiter une lunette (voir un télescope adapté) de "grande" taille. Dans cette situation, pourquoi ne pas chercher à réaliser une image en deux parties du disque (par exemple), détaillées, que l'on assemble ensuite si on désire reconstruire le disque complet. Le résultat est alors une mosaïque de deux balayages. Ceci concerne les lunettes dont la focale est comprise ente 500 mm et 850 mm (pour deux balayages), donc des instruments assez répandu, qui pourrait êtres mieux exploités en association avec Sol'Ex). Pourquoi alors ? Il y a de mauvais et de bon arguments. Celui revenant à dire qu'il est plus rapide de faire un balayage plutôt que deux n'est pas très honnête. On s'aperçoit en effet que bon nombre d'utilisateurs n'hésitent pas à réaliser de nombreux balayages du disque en entier dans l'espoir de rehausser les détails et les contrastes (pourtant déjà élevés sur un scan individuel). D'autres, à juste raison, font une sélection pour isoler les moments d'accalmies de turbulence. Bref, on y passe souvent plus de temps que réaliser un balayage unitaire. Alors, pourquoi ne pas faire un petit pas de plus avec deux balayages ? Ce n'est pas bien plus coûteux. Un argument en revanche tout à fait recevable, est celui de la lourdeur des opérations lors du traitement. C'est le frein majeur aujourd'hui, je crois, et c'est sur ce point que je vouldrais insister. En imagerie du ciel profond, on voit souvent les observateurs passer un temps long à valoriser les données acquises avec un équipement chèrement obtenu. Les outils logiciels sont ici assez bien adaptés. En tout cas, en l'espèce, les astrophotographes n'hésitent pas à assembler des images de grands ensembles de la voute céleste, avec succès. En ce qui nous concerne, le Soleil, c'est un grand ensemble aussi, de 0,5 degré de diamètre, alors pourquoi ne pas faire pareil !? L'acquisition séquentielle avec Sol'Ex peut générer quelques problèmes géométriques résiduels dans les images extraites des scans. Le logiciel d'assemblage doit donc faire un gros travail de correction avec ce qu'on lui donne (pour lui, il est question de mesurer des distorsions, les corriger, puis effectuer l'assemblage proprement dit, éventuellement en ajustant l'intensité locale des images). Chacun à sa recette, entre un logiciel payant comme PhotoShop, un logiciel que ne se fait plus comme ICE de Microsoft, et autres... Rien de bien carré, de bien documenté, de sur, de standard pour notre besoin. C'est la même histoire d'une manière générale avec les logiciels de compositage. Si Autostakert est certes un superbe outil, très puissant, il fait un peu une usine à gaz, avec un coté aléatoire parfois. Surtout, il manque des fonctions pour nous , telles que la mémorisation des corrections faites sur une séquence Halpha (par exemple, pour corriger ensuite une séquence du continuum extraite des mêmes scanq. Il y a un outil manquant pour Sol'Ex (et pas que Sol'Ex je trouve). J'ai quelques éléments, mais c'est un peu de travail, et partager les expériences et la situation du moment est un bon point de départ. Voici ce que je vous propose : Vous pouvez télécharger deux séries de 5 images au format FITS faites en séquence ce 8 novembre depuis Antibes. Il y a une série pour l'hémisphère nord, une autre pour l'hémisphère sud, à ces adresses (archives zip de 35 Mo chacune, le traitement des scans est réalisé avec INTI) : Nord : http://www.astrosurf.com/buil/solex/demo/halpha_n.zip Sud : http://www.astrosurf.com/buil/solex/demo/halpha_s.zip Bien sûr c'est fait avec Sol'Ex, équipé ici d'une caméra ASI178MM, exploitée en binning 2x2. La lunette est une Askar 107PHQ de focale 749 mm (donc le Soleil n'entre pas en entier). J'ai utilisé un hélioscope LACERTA (donc pas de filtre devant la lunette). Un filtre Halpa de 7 nm est monté sur le coulant l'interface 31,75 mm de So'Ex vers la lunette. La monture est une AM5 ZWO avec une vitesse forcée de 8x la vitesse sidéral. Le temps de pose est de 7,40 ms pour une cadence de 135 images/seconde. Le gain de la caméra est réglé à 46. Une rallonge USB3 de 10 mètres de marque LINDY amplifiée relie Sol’Ex à l’ordinateur. L'ordinateur est un ASUS Zeenbook. Le Soleil était bas sur l'horizon, mais pour mon site, la turbulence était relativement modérée (assez rare chez moi, où c’est souvent très mauvais). Mais ce n’est pas non plus un grand calme, vous le verrez sur les images (j'ai mis 2 x 5 images pour au besoin réduire l’effet de cette turbulence avec vos outils préférés). Je ne propose pas un concours du genre : qui aboutira à la "meilleure" image à partir de ces données (encore, que les défis ça a du bon parfois...) !? Je vous propose ces images tests pour partir sur une base stable de données afin d'évaluer les solutions actuelles et entrevoir ce qu'il est possible de faire pour l'avenir. Si vous participez, en plus de montrer le résultat, le point très important est de décrire votre manière de faire, afin quelle puisse être partagée et reproduits. Vos galères, vos impressions aussi. C'est je pense, très intéressent pour les nouveaux et comme la philosophie du projet SolEx est d'échanger, on est tout à fait dans le sujet (et comme il ne fait pas très beau temps en ce moment, voici des données disponibles dans domaine public). Il y a des cadors ici, qui maîtrisent, mais imaginez ce que c'était à vos débuts... Je crois que l'enjeu de ce travail est important pour aller plus loin avec Sol'Ex, qui n'a pas tout dit, vous êtres habitués je pense :-). Pour ceux qui débutent avec Sol'Ex, le simple examen de ces images peut être inspirant, car elles montrent une facette peu connue de cet instrument, qui sans rivaliser avec les filtres, loin s'en faut, révèle pas mal de détails (sans trop d'effort en fait, une seule image acquise suffit parfois, comme ici). Pour amorcer, voici un assemblage réalisé avec le plus ancien logiciel possible : IRIS et l'outil mosaïque qu'il contient (sûrement la fonction la plus interactive de ce logiciel !). Seuls les anciens connaissent - je ne vais pas en dire plus. J'ai n'ai même pas fait de moyenne (genre Autostakkert), à chaque fois un seul balayage (par rapport au jeu fourni, j'ai utilisé ici les images 10_54_28_recon et 10_59_48_recon seulement). Un petit rehaussement élémentaire ensuite sous Astrosurface : Il y a des défauts (raccordement, intensité aux jointures, turbulence, lourdeur d'usage, etc). Il ne doit pas être difficile de faire mieux ;-) Pour compléter, voici une image de la photosphère extraite des mêmes scans, et toujours un assemblage avec le vieux IRIS (on " commence" à voir des détails dans la pénombre de la grosse tache) : Mais je crois que l'on peut déjà débuter par Halpha, le reste vient ensuite). Au second plan, le setup utilisé pour cette manip, au premier plan, Sol'Ex utilisé en mode Sunscan sur pied photo (attention, à l'effet de perspective, les instruments n'ont pas la même taille ;-) : Si vous avez eu la patience d'arriver jusque là, à vous de jouer pour faire avancer notre projet si cela vous dit et si vous avez une petite expérience dans le thème évoqué. Christian B
  39. 2 points
    Merci du passage sieur jupitérien Merci ohhhh grand animateur ......
  40. 2 points
    et bien , ça permet d'affiner les satellites comme tu peux le voir ! souvent , comme sur saturne , j'ouvre le fichier tiff , les satellites ne sont pas visibles lorsque le curseur est à 32767 je sauvegarde save a puis je baisse pour faire apparaître les satellites , je fais un carré autour du satellite et je tape rl2 5 0 puis je remonte le curseur vers 32767 doucement et il faut ensuite multiplier par une valeur 2 ou 3 jusqu' à avoir tes satellites visibles à 32767 mais pas trop ensuite tu additionnes avec ton image sauvegardée a et le tour est joué ! paul ! j'ai oublié de dire qu'avant de faire le cde rl2 0 5 je supprime saturne avec un carré et fill2 0 !
  41. 2 points
  42. 2 points
    Super Valère tu as un satellite en version TGV Donc on attend ta version RichardsonLucy sous Iris Bonne soirée, AG
  43. 2 points
    Merci beaucoup Stéphane, tu es super rapide ! La prochaine fois, faudra que je choppe Miranda, Desdemona, et bien sûr Belinda .................dans mes rêves...
  44. 2 points
    C'est superbe! A quel moment les photos ont-elles été prises? C'était dimanche soir 5/11 ? Concernant la CME dont je parle plus haut, elle devrait atteindre la terre samedi soir vers 19h, comme l'indique cette simulation de la NOAA: https://www.swpc.noaa.gov/products/wsa-enlil-solar-wind-prediction A voir ce que ça va donner...
  45. 2 points
    Il faut compter un milliard d'années pour une rotation complète de la galaxie... Ca explique pourquoi tu ne vois pas Andromède bouger.
  46. 2 points
    Il n’est pas disponible en orange « granuleux »?
  47. 2 points
    suite et fin de la séquence du 8/11/2023 Ci-dessous une étoile 'froide' et une planète (crop avec ISIS) toujours avec une seule réponse instrumentale (10 Lac) Pierre
  48. 2 points
    Tu peux y mettre un bel instrument solaire, qui par définition n’ira jamais taper dans la fourche.
  49. 2 points
    Bien vu pour le 5, j ai confondu avec la date de l aurore boréale. Merci à tous.
  50. 2 points
    Quelles sont ses caractéristiques de base ? Donne nous le champ Il y a plusieurs formules de Köenig (Albert Köenig, Zeiss) J'en connais deux en wide : Meade RG WA et UO König et un planétaire. Pour résumer, ils ont des angles possible plus large mais seulement le centre champ fonctionne correctement ou alors à plus long f/D. On les considère comme des oculaires de recherche, ils ont équipé des jumelles à faible grossissement avant qu'Heinrich Erflé calcule une formule à 5 verres pour un vrai confort et précision. (sur 55-60°) Ce sont des formules fondamentales en optique mais on ne les utilise quasiment plus sans une barlow/smyth intégrée et parfois un/des aplatisseurs de courbure de champ. (BST Starguider) Ce qui suit : ce sont des précisions techniques et historiques. Exemples : il y a eu quelques bonnes fabrications, adaptées aux instruments auxquels ils étaient destinés. A ne pas utiliser avec n'importe quoi, sinon ce sont des oculaires à mouettes. (en bord de champ ça déconne plein tube) Le Meade RG est conçu pour f/10 et donne 55-60° de champ, couleur bien corrigée mais se dégrade vite quand le f/D devient plus petit. Le UO König II a un bon 60° de champ ( donné pour 65°), il est un peu meilleur au bord grâce à des verres plus lourd (lanthane) La partie œil des Radians Televue est basée sur cette formule, ils sont accompagnés d'une partie négative (barlow/smyth) destinée à descendre vers les petits f/D Ce sont des oculaires vintage typique, destiné à fonctionner à f/11 f/15 genre la série Vixen xxM (80M, 102M etc) La première est une formule fermée (anastigmat) qu'on retrouve dans les Nikon SW 72° La seconde est une formule ouverte (limitée par la taille des lentilles) La paire de surface air-verre par rapport à un plössl permet de mieux corriger le bord et donc d'augmenter un peu les angles. Cela reste un oculaire corrigé au centre. Ci-dessous le très prisé UO König II 16mm, un caillou d'exception sur une lunette vintage f/10+. Placement d'oeil facile, pas de flare ni de reflets internes, se fait complètement oublier : "une fenêtre d'observation". Introuvable de nos jours. Le premier type date de 1915, il a 3 lentilles. En avant-plan un König 8mm, horrible sur un dobson f/6 (astigmatisme en bord de champ), il lui fallait un bon f/12 pour fonctionner. Pentax en a fait une version : le B-8 pour la série des achromats Pentax J. Qualité : très bon au centre mais dé-correction des couleurs avec l'augmentation de l'angle, impossible en grand champ. Utilisé en remplacement des orthoscopiques très cher à fabriquer dans les comptes fils, les micromètres (centrer et surveiller quelque chose au milieu du champ) Thomas Back a repris cette formule pour laquelle il a utilisé un verre au lanthane° et, comme pour le Radian a adjoint une barlow/smyth (air-spaced) pour lui permettre de fonctionner à f/D court. => le TMB planetary : une déclinaison plus simple que le Radian pour ses réfracteurs apo à f/6-f/7 Conception en focale 100mm et à droite, un 8mm à f/15. Le champ est complètement plat mais l'angle utile est peu élevé. A f/6 à peine +/- 10° utile matériaux typique de l'époque : BAK1/air/BK7/SF2 TMB planetary : LAF21/air/SK5/SF10, verres à indices bien plus lourd Thomas Back compense la couleur latérale avec la barlow : ce sont des oculaires qui, si mal collimatés perdent leur intérêt. De ce point de vue, les Burgess étaient bien assemblés et réglés. Les copies sont très molles en piqué et ont nombres d'autres manques.