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Affichage du contenu le plus aimé le 11/01/2024 dans toutes les zones

  1. 13 points
    Salut à tous, pour compléter l'animation de Valère, une image de Jupiter du 10 janvier avec mon mak de 200mm: La définition est moyenne mais je trouve la NEB (la bande du haut) assez esthétique. La SEB est étonnante aussi. Le 5 janvier: Jean-Yves
  2. 12 points
    Salut les ami(e)s, mince, la GTR était en Guest Star ce soir là mais les conditions étaient pourraves à très pourraves . Comme d'hab, toujours trop optimiste je suis, j'avais tenté la barlow 1,6x... Je vous propose quand même l'animation à la taille de 70%. Cassegrain de 250mm + barlow Antares 1,6x + ASI662MC. 30 sers de 1 minute ( obtu 15ms, 3900 images par film ) de 21H24 à 21H56 local. 1000 images retenues par film dans AS3, traitement Astrosurface. Gif des 30 images à la taille de 70% : Je voulais faire la manip de Fabrice sur la GTR en gros plan, bon bah ce sera pour une autre fois.
  3. 11 points
    bonsoir, un essai du filtre dualBand ,( sur la seule nuit sans nuage depuis le mois d'octobre , et encore ça s'est couvert vers 1h du mat !!!) avec le Sigma FP défiltré et la lunette taka FS + Réducteur !! le ciel était moyen assez clair... le filtre provoque des halos autour des étoiles brillantes mais malgré cela je suis content du résultat.. 96 poses de 120s à 1250iso prétraitement Sirl Traitement PI + Siril Mixage Ha-HaO3O3 bonne soirée Olivier
  4. 11 points
    Bon, je ne sais pas si l'échec de la mission est du à la vengeance du serpent à plume, déclenchée par les prières des amérindiens amplifiées par les miroirs de télescope au sommet des montagnes sacrées mais je peux vous dire que cette sonde est une cible pas facile pour les télescopes amateurs. J'ai fait une série d'image ce soir (11 Janvier 2024 vers 02h30 TU) avec le C11 Hyperstar et la 533MM mais il m'a fallu un peu de temps pour repérer l’intrus. En plus, les éphémérides du JPL (Horizon) sont légèrement décalées par rapport à la position réelle. Voici les résultat, avec 74 pauses de 45 secondes, couvrant 70 minutes dans la vie de cette sonde (il y a des "trous" quand je refais la mise au point). En version stacké pour apercevoir la courbure de la trajectoire : jf
  5. 8 points
    Salut les amis, J'ai pris quelques images de la comète 62P/Tsuchinshan hier soir (10 Janvier vers 5h TU) et j'ai eu la bonne surprise de constater qu'il y avait une joli galaxie spiral (NGC 3968) dans le champ. Voici donc une image de 45 secondes (C11 Hyperstar + ASI533MM) avec auto-stretch dans Siril : J'ai essayé de suivre les tuto pour faire un stack sur les étoiles et un autre sur la comète mais je suis une vrai bille pour ça. Voici mon stack sur la comète : Et le stack sur les étoiles : Avec 147x45 secondes je m'attendais à une plus grosse amélioration par rapport à la brute solitaire. Je précise aussi que c'est pris avec un filtre photométrique (Jonhson V), pas vraiment adapté pour ces images (mais la dominante verte de la comète doit bien aider). J'ai pris ces images entre 2 mesures d'étoiles variables et j'avais la flemme d'aller changer le filtre (c'est l'inconvénient principal du système hyperstar : il faut changer les filtres à la main). Ceci dit, je m'amuse comme un petit fou avec le hyperstar. Par exemple, une image de m81/m82 prise à l'arrache : Bon ciel jf
  6. 7 points
    Voilà un petit dessin que je ressort des cartons de septembre (le 14) . Une observation de l'amas Pegasus 1. Je voulais le compléter dans un ciel plus sombre que celui de mon jardin, mais ce ne sera pas pour cette année... A gauche NGC 7623 au centre en haut 7619, en bas 7626 tout en bas 7631 Dobson 400mm avec ethos 21 (88x) et 13mm (150) Il manque du monde...... Sur les conseils de @serge vieillard j'ai utilisé du papier plus adapté, j'espère avoir un peu plus de nuances ...
  7. 6 points
    Bonjour, Désolé, pour ce post on est dans les classiques de base, mais je n'avais eu l'occasion d'imager M57 qu'une seule fois depuis que j'ai le Quattro 200 et la caméra couleurs et c'était à l'arrache (en 2021). En septembre, il y a eu de belles nuits, nombreuses et assez stables (purée c'était le bon temps ) et j'ai donc retenté d'imager la belle nébuleuse de la Lyre, toujours au foyer à F4 mais en poses plus courtes et en tentant le drizzle au traitement, et voici donc le résultat : * Pour commencer, un crop sur l'anneau en sortie du drizzle, donc à 0,63"/pixel du coup : * et le champ complet, réduit à 75% du traitement en sortie de drizzle, c'est plus raisonable : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Haut Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering pour une pose sur deux Sur 3 nuits durant la lunaison du 15 septembre 2023 : 06/07, 13/14 et 14/15 septembre 2023 415 poses de 15s à -10°C, Temps d'intégration de 01 h 43 min 45s Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage natif : 1,25"/pixel, traitement en drizzle ==> 0,84"/pixel sans doute un peu moins détaillé pour M57 mais son inclusion dans le reste de l'image est un vrai challenge vu la différence de dynamique... Bon ciel à toutes/tous
  8. 6 points
    Bonjour à tous, Pour la quatrième image de la Team, nous vous présentons cette fois une nébuleuse en SHO : SH2-86 dans la constellation du Petit Renard. Full : https://astrob.in/g8o2tm/0/ Le défi sur cette cible - peu lumineuse - est d'obtenir un signal satisfaisant pour mettre en valeur les différentes structures et les détails, tout en limitant le "moutonnement" qui arrive vite si l'on tire trop sur les curseurs. Et avec une couche OIII assez faible, la restitution des couleurs n'est pas toujours simple... Avec 2880mm de focale, la zone centrale du "pilier" se révèle riche en détails, et de subtils contrastes se dévoilent dans différentes zones plus ténues. L’amas ouvert NGC 6823 occupe le centre de cette nébuleuse. Les étoiles situées au centre de cet amas, nées il y a à peine 2 millions d’années sous l’effet de l’effondrement de certaines parties de la nébuleuse (des « piliers » aujourd’hui disparus…), sont majoritairement de brillantes étoiles bleues ; c’est à dire des étoiles chaudes et très lumineuses, en particulier dans le rayonnement ultraviolet. Ces étoiles, nées du nuage de gaz, illuminent et ionisent désormais en retour ce dernier ; rendant ainsi la nébuleuse visible, en particulier dans la raie Ha de l’hydrogène. On peut observer au sein de cette nébuleuse des stades plus avancés de l’érosion provoquée par le rayonnement des nouvelles étoiles : la fragmentation des piliers en plusieurs petits globules de gaz et de poussières plus denses et compacts, résultat de l’effondrement gravitationnel de la matière environnante. C’est au sein de ces globules, dits « de bok », opaques au rayonnement visible, que naissent les nouvelles étoiles. A noter que cette nébuleuse, qui s’étend comme l’amas ouvert, sur un diamètre d’environ 50 années-lumière, fait en réalité partie d’une nuage de gaz beaucoup plus étendu (dénommé SH2-86), qui se prolonge jusqu’à la constellation du Cygne… ------------ AstroSib 360 (f : 2880mm ; F/D : 8 - G4-16000 - AP 1100 - Filtres Chroma Ha : 60 x 600s OIII : 38 x 600s SII : 34 x 600s Total : 22h Échantillonnage : 0,63" Observatoire Stelle di Corsica (Corse) Bon ciel à tous ! Mathieu Guinot, Jean-Claude Mario, Matthieu Téqui & Jean-Baptiste Auroux https://team-ouranos.fr/
  9. 6 points
    Merci Alain. Une version un peu moins bourrine de m81/82: jf
  10. 5 points
    L’amas du Cobra royal C’est en mars 2023 que j’ai pointé cet objet du ciel profond qui pourrait faire pâle figure aux côtés de sa grande sœur M44 dans la constellation du Cancer. L’amas d’étoiles ouvert M67 a pourtant des caractéristiques originales, à l’image de son surnom de l’amas du Cobra royal ! Catalogué NGC 2682, sa distance au Soleil est estimée à 2.700 années-lumière, et son âge entre 3 et 5 milliards d’années, ce qui en fait l’un des plus vieux amas ouverts connus, ceux-ci ayant généralement tendance à se disperser avant d’atteindre cet âge. Certains calculs tendent à montrer que M67 pourrait continuer à exister en tant qu’amas pendant encore 5 milliards d’années. Il y a plus de 100 étoiles semblables au Soleil et de nombreuses géantes rouges. On estime qu'il y a plus de 500 étoiles dans cet amas. Les âges et la présence importante d'étoiles semblables au Soleil dans cet amas sont à la base d'une hypothèse faisant de M67 l'amas ouvert dans lequel serait né le Soleil. Cependant, des simulations numériques ont montré que c'est très peu probable. M67 ne contient pas d'étoiles de la séquence principale plus chaude que celle de classe F à l'exception de quelques trainardes bleues car les étoiles plus brillantes ont déjà quitté la séquence principale lors de leur évolution stellaire. L’amas abriterait aussi quelques 200 naines blanches. Son surnom de « Cobra royal » vient probablement de sa ressemblance avec la tête du serpent venimeux du même nom. En bas à gauche de M67, on remarquera le discret amas ouvert NGC 2678 qui comprend beaucoup moins d’étoiles mais dont on repèrera facilement les deux étoiles dominantes à aigrettes. Photos prises le 20 mars 2023 à Allons (47) – Canon 7D défiltré partiel au foyer d’une lunette Skywatcher 100 ED sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto ni autoguidage). 102 poses de 60 s – ISO 3200 – 25 DOF – Siril et Toshop. (cliquez sur l’image pour voir la full)
  11. 4 points
    Bonsoir tout le monde, Pour commencer, Excellente année à tous ! Une santé de fer et une météo compatible avec notre passion. J'ai passé une semaine de vacances à Sommaroy, près de Tromso en Norvège pour la nouvel année. C'est un endroit magnifique avec ces lumières de nuit polaire, ces fyords etc . Un des objectifs de ce voyage était la chasse au aurores. Et j'avoue que j'ai eu le c*l bordé de nouilles sur ce coup là. A peine sorti de l'aéroport à 22h, direction Sommaroy (1h de route). Evidement, j'ai un oeil qui regarde la route et un autre le ciel... Et là, je vois mes premières aurores ! Je m'arrête donc vite fait au bord de la route pour prendre quelques images car après tout, rien ne garantissait la suite. La lune était grosse, bien présente et j'étais faiblement couvert car pas eu le temps de me préparer. Je laisse ma femme gérer le proprio de la location pour lui annnoncer que l'on aurait "un peu" de retard. Je sors le Canon 5dmiv, le Sigma Art 24/35, le trépied mais pas les gants car dans la valise (grave erreur). Voici ce que j'ai vu (bon évidement, avec l'APN, ça jette mais en vrai, woaaa, quel spectacle) : Sommarøy Norvège Jour 01 by Frank TYRLIK, sur Flickr Sommarøy Norvège Jour 01 by Frank TYRLIK, sur Flickr Et un pano de trois images : Sommarøy Norvège Jour 01 by Frank TYRLIK, sur Flickr Ne sentant plus mes doigts (ni mes pieds), on décide de reprendre la route. Sommaroy est un endroit superbe avec pas mal de sites sans trop de pollution lumineuse. Le lendemain soir, les prévisions KP ne sont pas excellentes mais finallement, le spectacle est là (et j'ai mes gants ). La lune est évidement toujours là... Sommarøy Norvège Jour 02 by Frank TYRLIK, sur Flickr Sommarøy Norvège Jour 02 by Frank TYRLIK, sur Flickr Puis vient le premier jour de l'an et pour bien commencer l'année, j'ai eu le droit à une superbe aurore. Elle dansait au dessus de nos têtes de façon spectaculaire, magnifique. Sommarøy Norvège Jour 03 by Frank TYRLIK, sur Flickr Sommarøy Norvège Jour 03 by Frank TYRLIK, sur Flickr Sommarøy Norvège Jour 03 by Frank TYRLIK, sur Flickr Sommarøy Norvège Jour 03 by Frank TYRLIK, sur Flickr Sommarøy Norvège Jour 03 by Frank TYRLIK, sur Flickr et un pano de trois images : Sommarøy Norvège Jour 03 by Frank TYRLIK, sur Flickr J'ai passé 6h dans le froid, par -13°c, chopé un méga rhum mais quel pied. Par contre, j'ai vu aussi la limite du Canon. Autant je n'avais pas de souci sur l'objectif (pas d'humidité), autant le Canon se bloquait. J'ai fini par lui mettre une écharque et ça l'a fait. Et enfin une petite dernière avant de quitter ce lieu magique : Dernier jour sous les aurores by Frank TYRLIK, sur Flickr Ce n'est qu'un aperçu des milliers de photos que j'ai pris mais cela vous donne un bon aperçu de ce superbe spectable. Excellente soirée, Frank
  12. 4 points
    Quelle chance pour le moment avec enfin un ciel nocturne bien dégagé. J' en ai profité hier soir pour cibler IC417 au voisinage du couple NGC1893/IC410. Mêmes conditions de prise de vue avec heureusement pas de vent. Traitement classique par Siril de 140 poses de 60 sec avec en plus une déconvolution à la Richardson (=1° essai). Le hallo de l'étoile de mag= 5 est bien présent (24 Phi Aur). Je ne sais pas ce que vous en pensez ? Curieux d'avoir les retours ( .......merci). Bonne journée à tous, Marc.
  13. 3 points
    Salut, voici un souvenir de ma dernière séance d'observation, le 18/12 dernier déjà, par très bonnes conditions si ce n'est une turbulence notable, mais un long créneau et une douceur remarquable pour la saison. Hélas un croissant de lune était encore présent en début de soirée, mais que faire ? ne boudons pas un ciel clair en cette saison. Le 300 était de sortie, avec d'abord ces deux dessins de NP, puis du planétaire avec une assez jolie Jupiter et du ciel profond avec quelques Arp et autres Hickson dans l'Eridan notamment. Mais pour commencer, je profite du Cygne encore un peu haut et du crépuscule pour contempler une nébuleuse planétaire contrastée et brillante, NGC 7027 (mag 8.5, taille 18'" X 11"). Je place d'abord les étoiles les plus lumineuses, puis je complète au fur et à mesure de l'avancée de la nuit. Bien entendu sa détection ne pose aucun souci, elle était déjà visible facile, allongée à la 80ED et montrait déjà ses 2 lobes à la FC-100 X 148. Ici à 170 X le bleu reste pâle et peu prononcé, elle réagit peu en Hbeta et fort en OIII. Le dessin est un ensemble d'éléments perçus à 170 X et 270 X La séparation en 2 parties est évidente, celle au NO plus grande présente un coin plus brillant très marqué, presque ponctuel. Le bord contigu est plus droit et régulier que l'autre. Avec attention dans cette partie on note une vague condensation longitudinale, voire des irrégularités, mais peu sures et non représentées ici. L'autre partie est plus diffuse, moins franche. Elle est moins large, ce qui donne un aspect un peu en biseau à cette NP. Le tout baigne dans un léger halo, qui pourrait présenter des irrégularités un peu en pointes radiales, à confirmer. Il y a une énigme sur ce dessin, que j'ai préféré laisser par honnêteté : la petite étoile touchant presque le coin en haut à droite de la NP ne figure pas sur photo ! Là je suis bien embêté, mais sur photo on distingue assez facilement une condensation quasi ponctuelle du halo externe à peu près à ce niveau, ce qui pourrait sauver la mise ...la turbu aura créé la confusion et fait le reste ! Donc, un bel objet mais à détailler à forts diamètre et grossissement, et les soirs de faible turbulence bien sûr. Une transparence un peu dégradée n'est pas gênante, sauf pour le halo externe, vu l'éclat de la NP. Avec un peu d'éclairement rétinien en plus on pourrait même attraper un peu de couleur supplémentaire. Voici ensuite une NP d'hiver, le même soir, dans le Taureau déjà assez haut : NGC 1514 (mag 10.8 et 2' X 1,5'). Pâle et étendue, son aspect contraste avec la précédente. Mes notes aux lunettes de 80 et 100 mm ne montrent (et encore, avec filtre) qu'un vague halo diffus autour de la centrale, qui est facile. Sans filtre, c'est encore plus ténu, voire rien n'est visible à 80 mm sous ciel moyen. Ici, par contre, elle est plus apparente sans filtre mais c'est surtout à l'OIII qu'elle se révèle. A 56 X OIII elle est contrastée, presque brillante mais fort peu détaillée. J'ai préféré les vues à 96 X OIII et 170 X OIII pour un compromis entre assez de luminosité (éviter un gros pâté trop diffus noyé dans le ciel) et faire ressortir les irrégularités d'éclats. Pas une mince affaire, car la bougresse reste pudique même à 300 mm ! Bien entendu la centrale de mag 9,4 est fort brillante, et une zone sombre se creuse facilement autour d'elle. La NP n'a plus l'aspect graduellement diffus et aux limites mal définies qu'elle arbore à la lunette, non, ses limites sont plus tranchées notamment le côté ONO qui présente un curieux arrondi faisant presque penser à un bras spiral de galaxie. Le bord opposé est moins brillant, moins marqué. On note avec attention aussi 2 zones diamétralement opposées plus marquées, l'une allongée radialement. Enfin, plus difficilement apparait le chenal sombre qui court à peu près de la centrale vers le bord, globalement vers le S. Ce n'est qu'une amorce de la complexité des zones sombres apparaissant sur photo, ces dernières à ce diamètre semble être un peu éclipsées par, au contraire, les 2 grosses zones plus marquées déjà évoquées. Donc, un objet qui se dévoilera logiquement sous un ciel bien pur, et un gros diamètre. Voilà voilà, en espérant des ciels juste clairs bientôt - et pas trop froid !
  14. 3 points
    Je rends ma copie du jour après une belle éclaircie cet après-midi mais aussi, et toujours, cette absence remarquable du seeing...
  15. 3 points
    bonsoir à tous j'ai réussi à capturer 222 poses de 120s sur 3 nuits , entre la lune, les voiles nuageux et la pluie, dans cette magnifique constellation d'Orion. camera asi ZWO 2400 mc pro Askar FMA 180 pro filtre IDAS LPS D3 monture ioptron GEM28 asiair plus siril, pixinsight,photoshop. https://www.astrobin.com/yhf5gu/
  16. 3 points
  17. 3 points
    Une belle image qui nous rappelle l'été Stéphane Mais je ne vois point de comète dans cet immense champ Bonne soirée, AG
  18. 3 points
    De fait, à part l'infini, je vois pas beaucoup… Si il ne l' est pas, infini, ça supposerait qu'il y a un "ailleurs", un "dehors"... Ça a l'élégance de répondre à l'éternelle question un peu triviale : « dans quoi s'étend l'univers ? ». Ça résoud pas mal de problèmes, c'est plus simple et moins prise de tête…. Voilà, ne me remerciez pas, c'est bien naturel.
  19. 3 points
    Balivernes !!... tout ça c'est bon pour la santé ! : Donc, de toute façon vous...
  20. 3 points
    Oui, on va les mettre, par dizaines de tonnes, dans des Starpchitt qui exploseront au décollage et contamineront 1000 km2, ce sera nickel. Quant on pense que des débiles veulent juste les entreposer à 500 m de profondeur, dans des couches géologiques immuables depuis des dizaines de millions d'années, c'est fou.
  21. 3 points
    A se demander pourquoi certains font encore de l'astrophoto, alors que tout est déjà disponible sur le net, en mieux
  22. 2 points
    Pour les nouveaux capteurs nouvelle génération (imx 533 571 2600 2400 etc) Après analyse des courbes (dark curent) en fonction de la température la conclusion est la suivante pour une pose à -10°C de 60s (par exemple) le signal de dark est 42x moins important que le bruit de lecture !!! Toujours @ -10°C avec des poses de 300s, les dark sont encore 8x moins intense que le bruit de lecture. si vous descendez à -20° écart est encore plus significatif "Très bien, mais qui peu le plus peu le moins non ?" Que se passe-t-il si malgré cela, vous rajoutez les dark dans les processus de prétraitement vous rajoutez… du temps de traitement et.... du bruit (un peu) donc le processus actualisé du traitement, c'est (Images - Bias) / (flat -bias) autre point pour les poses ultra-courte ( 2 seconde et moins) la réduction de bruit par le refroidissement devient de plus en plus négligeable (en dessous de 0.5s la différence se joue à la troisième décimale) attention ceci est valable que pour les capteurs ressent. Pour les capteurs qui génèrent de l'amp glow : pas moyen de faire autrement que de faire des darks, qui sont pour le coup indispensables. voila voilou
  23. 2 points
    Bonjour à tous, Une image de 144P/Kushida faite au Seestar pendant 11mn. Cette comète a pour mérite d'être accessible en début de nuit dans le Bélier, donnée à Mag 10,44 par Stellarium. A voir dans des instruments plus performants, avec le Sesstar on est gêné par le mouvement apparent qui empêche d'aller bien loin en temps de poses. J'ai bien essayé d'empiler les brutes de 10s sur le noyau mais, il n'y a pas assez de signal pour que ça fonctionne.
  24. 2 points
    Bonjour, Suite à ce post de Jérome en septembre dernier : j'avais mis cette petite nébuleuse sur ma liste. Elle est assez peu connue, et certes un peu faible comme le montre cette brute de 5 minutes : Du coup, je comptais lui consacrer une dizaine d'heures d"exposition mais c'était sans compter sur la météo qui ne m'en aura permis au final que la moitié. Ceci dit, je trouve qu'elle sort déjà plutôt bien, d'autant que c'est juste du RVB classique : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Haut Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Sur 5 nuits durant 3 lunaisons : 21/22 Octobre 07/08, 08/09 et 10/11 novembre et 03/04 décembre 2023 65 poses de 5min à -15°C, Temps d'intégration de 05 h 25 min Traitement Siril-1.2.0, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage natif : 1,25"/pixel La vedette est bien sûr Sh2-170, mais on ne peut pas louper les nébuleuses obscures toutes proches, et particulièrement LDN 1263, qui est vraiment sombre : Tout à fait d'accord Très bon ciel à toutes/tous !
  25. 2 points
    premières images solaire de cette année 2024 CAK et ha trop de turbu pour grossir plus bonne année a vous jean-marc
  26. 2 points
    Répertorier toutes les sociétés privées chinoises qui se sont lancées dans le spatial est pratiquement impossible, tant elles sont nombreuses. L'une d'entre-elles, OrienSpace, fondée seulement en 2020 (!), vient d'effectuer avec succès le 1er tir de sa Gravity-1 depuis une plate-forme en mer. La particularité de ce lanceur tient des 4 moteurs qui brûlent un propergol solide. 400 tonnes au lancement pour une trentaine de m de hauteur, la fusée a placé sur orbite 3 satellites météo Sur les premières photos on voit la fusée sur la plate-forme avec une sorte de housse, une protection thermique (j'ignore pourquoi) Encore une réussite spectaculaire pour le spatial chinois avec ce bien curieux lanceur !! lien wiki : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gravity-1
  27. 2 points
    Bonsoir à tous, je vous présente cette mosaïque de 2 images car la région est immense... Télescope de 510mm F/4 de construction perso pour la mécanique. 120 poses de 30 sec à 3200 iso sur A7S astrodon + correcteur Paracorr2 + filtre clip duo narrow band HA-OIII Forte pollution lumineuse de mon site d'observation. Logiciels de traitement Siril , PI, Kolor Autopanogiga pour le montage et CS6. Phil : photoastro.com Une version HDR
  28. 2 points
    Oh que oui, je l'adore ! Sur l'AZ-EQ6, je sors le tout d'un bloc en le portant, malgré les 3 marches qui réhaussent les pièces de la maison par rapport à la terrasse. Comme il n'y a plus de PC, mais l'ASIAir vissé dessus, c'est opérationnel en un rien de temps, le vrai bonheur Avec ce "transport" doux (je prends grand soin de le poser délicatement au sol, aussi bien sur la terrasse qu'au retour dans le bureau (où je le fais ensuite glisser avec les pieds posés dans des gros bouchons en PVC de plomberie ), la collimation est très stable et n'a pas bougé en 3 ans. Bonne soirée et merci pour ton message Jeff
  29. 2 points
    Sans développer car je suis dans les montagnes(haaaaa,st veran!!!!), Pour ton étoile, je l'ai aussi, donc bingo et bravo !!!!!
  30. 2 points
    Bonjour à tous, L’association Thury Observatoire qui a restauré la lunette Manent/Couder de l’observatoire Charles Lestras de Thury sous Clermont (Oise) organise le 1er rassemblement d’objets d’astronomie anciens. Ce rassemblement à pour objet d’exposer tous types d’instruments anciens et tout ce qui peut s’y rapporter (documents, accessoires tels oculaires, chercheurs, montures, ...). Il permettra aux propriétaires et amateurs d’objets anciens d’astronomie de s’y rencontrer et donnera au public l’occasion de découvrir un pan de notre histoire scientifique. Il aura lieu à Thury sous Clermont (Oise), fief de la famille Cassini, célèbres astronomes et cartographes, qui y occupa au 18ème siècle le Château de Fillerval Thury sous Clermont est situé à 20km de Beauvais et de Chantilly, 40km de Compiègne, 80km de Paris et Amiens. La date prévue est le dimanche 6 Octobre 2024. Ci-joint le communiqué. En espérant que cela intéresse beaucoup de monde. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. Merci Communiqué Janvier 2024.pdf
  31. 2 points
    Oui, c'est beau. Les halos ? Pas grave...non mais halos quoi... Je suis loin... JF
  32. 2 points
    Quand on dit que l'univers est infini, le mot « infini » n'est pas celui du langage courant. Ça signifie que dans le modèle mathématique qui décrit l'univers, les distances ne sont pas bornées. (C'est comme pour la fonction qui tend vers l'infini : quelle que soit la valeur choisie, aussi grande soit-elle, on trouvera toujours une valeur encore plus grande que la fonction dépassera définitivement − elle n'est pas bornée, il n'existe pas de maximum.) Dans un univers fini, par contre, les distances sont bornées. Il existe une borne supérieure. Mais ça ne signifie pas qu'il y a un bord. On peut parcourir cet univers en ligne droite sans jamais s'arrêter, mais nécessairement on finira par se rapprocher de notre point de départ (quand on aura dépassé la borne supérieure). Pourtant on a toujours voyagé en ligne droite. Mais un tel univers a un espace courbe (n'essayez pas de vous représenter un espace courbe, si vous croyez y être arrivé je pense que vous n'avez pas compris).
  33. 2 points
    Toutafé ! Je vais me lâcher un peu en citant abondamment quelques auteurs assez légitimes, pardon pour le pavé . Le fait que la science produise des théories inachevées doit rendre l’être humain plus humble et donc plus lucide quant à ces théories. C'est bien ce que Popper exprime ainsi : "Ce qui fait l’homme de science, ce n’est pas la possession de connaissances, d’irréfutables vérités, mais la quête obstinée et audacieusement critique de la vérité". Il ajoute même : "La découverte scientifique est impossible si l’on ne possède pas une foi en des idées spéculatives". C'est bien dans ce cadre qu'Einstein déclare : "Il s'agit d'affirmer la liberté créatrice de l'homme de science par rapport aux faits, aux phénomènes dont il a à rendre compte : aucun chemin logique n'existe entre les "faits" et l'idée théorique à partir de laquelle ils prendront sens; seules l'intuition, l'imagination mathématique sont susceptibles de créer, par un miracle que nous ne pouvons toujours comprendre, une construction conceptuelle qui traduise la vérité objective du monde et nous permette de comprendre ce que nous observons". Pour autant, afin d'assurer la démarche scientifique, ces spéculations, ces constructions conceptuelles se doivent de passer ensuite sous les fourches caudines de l'approche objective et critique. Et c'est bien ce qui permet d'éviter d'emprunter trop longtemps de fausses pistes (qu'il n'est toutefois pas inutile d'explorer), et de se garder des illusions et/ou des impostures manifestes. Dans ce cadre, la Cosmologie "Science de l’Univers" est tributaire d’un nombre énorme d’observations de toute nature sur presque tous les objets astrophysiques et, avec ces observations, du substrat théorique sous-jacent. Par le fait même, elle est essentiellement multidisciplinaire et réclame beaucoup de moyens humains. L'autre raison à son lent développement relatif c'est entre autres sa dépendance étroite des procédés technologiques de grands instruments (grands accélérateurs de particules, grands ordinateurs, grands télescopes, moyens spatiaux, etc.) à une époque donnée. Popper écrit : "La découverte scientifique est impossible si l’on ne possède pas une foi en des idées spéculatives". Dans ce cadre, non seulement la métaphysique est sensée et utile mais elle est également nécessaire à la science. Pour Popper, il ne s’agit jamais de démarquer la science afin de "dépasser" ou exclure la métaphysique. Il faut certes un critère de démarcation et il y a une différence entre science et non-science, mais la métaphysique n’est pas du non-sens menant à "l'inchoatif de l'ineffable" cher au Grand Maître A. B. . Dans "La connaissance objective", Popper écrit : "Ce que nous sommes capables de déterminer, c’est, au mieux, la fausseté de nos théories". Il qualifie sa méthode de "méthode critique" car il s’agit d’une "méthode d’essai et d’élimination des erreurs qui consiste à proposer des théories et à les soumettre aux tests les plus rigoureux que nous puissions concevoir". Tout peut trouver un sens et une place chez Popper car une assertion qui ne peut être soumise à des tests en raison de sa forme logique peut, dans les meilleurs cas -je cite "jouer dans la science le rôle d’un stimulus : elle peut suggérer un problème". Ainsi, pour Popper, n’y a-t-il rien d’absolu dans la base empirique de la science objective : "Toutes nos théories restent des suppositions, des conjectures, des hypothèses". Ce qui est au centre, pour Popper, c’est le progrès de la science et non son fondement, "La vérité joue le rôle d’une idée régulatrice. Nous testons pour la vérité, en éliminant la fausseté". Il écrit plus loin :"L’idée de vérité est donc absolutiste mais il est impossible de prétendre à une certitude absolue : nous sommes des chercheurs de vérité mais nous n’en sommes pas les détenteurs". Renée Bouveresse, philosophe et grande spécialiste de la pensée de Popper, poursuit ainsi dans "Karl Popper ou le rationalisme critique" : "Popper prend ainsi acte, avec d’autres, de la faillibilité des sciences empiriques qu’avait longtemps masqué le succès indiscuté de la théorie newtonienne parée des prestiges de la certitude, mais que la révolution einsteinienne a mis en évidence…". Dans tous les cas, Popper a apporté à la philosophie des sciences une originalité dans laquelle l’erreur a sa légitimité et son rôle à jouer. Le scientifique a le droit de se tromper, car en se trompant il s’intègre encore dans le processus de la découverte scientifique. Au-delà Popper donne une vision réaliste de l’être humain : il y a toujours une perfectibilité possible de nos théories, comme il y a donc toujours une perfectibilité possible de l’être humain. Plus l’humanité avance dans les siècles et plus nos connaissances se perfectionnent et se rapprochent de la vérité. L’épistémologie poppérienne dépasse la science proprement dite puisqu’elle nous invite à une réflexion sur l’être humain. Lorsque nos connaissances s'enrichissent, elles ont un prix. Le prix à payer est qu'elles conduisent généralement à nous poser une foison de nouvelles questions. À la fin d'un épisode d'"Entre Terre et Ciel" avec un dénommé Prunier (ou Burnier, ch’ai pu..) cette quête de la Vérité était mise en perspective et traduite magnifiquement par J.P Luminet. Je vais donc le citer ici pour environ la soixante quinzièmes fois .. mais tant pis, je n’ai jamais rien entendu de plus intelligent et de plus pertinent sur le sujet : "L'océan de la connaissance aura toujours un horizon, et l'horizon s'élargit à mesure que nos connaissances s'agrandissent. On ouvre constamment de nouvelles portes, et l'océan de l'inconnu reste toujours aussi vaste".
  34. 2 points
    Merci Alain, oui çà réchauffe ! Je suis sur le pont ce soir et à peine +5°C avec 90% d'humidité brrrrrr Et non, la chance a ses limites... J'ai bien sûr vérifié après coup si une belle chevelue se baladait dans le champ au moment de ces prises (choisies en fonction de la hauteur de M57 et du seeing), mais rien Bonne soirée à toi aussi
  35. 2 points
    Mais envoyer les fusées si loin ne serait-ce pas les perdre à jamais !
  36. 2 points
    Bonjour, Les nuits s'enchainent. C'est le meilleur moment mais aussi le plus fatigant. Au moins les travaux sur la façade du gîte sont finis, on peut rouvrir les fenêtres pour faire rentrer la chaleur la journée, et Abdullah a bien réussi à faire sortir la poussière de l'intérieur du gîte. Je vais changer mes affaires de chambre pour ne plus occuper que la même chambre que l'an dernier. Le lit est plus confortable. La nuit dernière aura été la nuit de tous les extrêmes en matière de turbulence. Rarement on parcourt toutes la palettes jusqu'aux extrêmes lors d'une même nuit. Mais c'est la montagne ! Début de nuit parfait. Tout le monde au dodo après la dernière prière de la journée, pas de fous, pas de feu... La turbulence est très faible et l'autoguidage s'en ressent (poses de 2,5 secondes) : Enfin des courbes dignes d'une AZ-EQ6, même si le problème de chutes en AD reviendra plus tard. (voir autre sujet) Je peux donc finir la photo de NGC 1232, qui est riche de couleurs (il a fallu modérer la saturation) : https://astro52.com/photo/images/NGC1232.jpg C'est une vraie satisfaction car l'objet n'est pas très haut même ici, et si c'est la turbulence qui perturbe l'autoguidage depuis l'arrivée de l'AZ-EQ6, on peut dire qu'elle est particulièrement active ces derniers temps. Puis j'enchaine sur NGC 2183, toujours en L parce que ça demande vraiment du boulot comme type de photo. Mais cette fois la turbulence est très forte et perturbe grandement le travail. Et les problèmes en AD reviennent : Et je me trompe de temps de poses sur les premières images... Il a fallu bosser un peu pour regrouper les 60 images enregistrées (hors celles supprimées en live) réparties sur 4 séries. La qualité est moins bonne cette nuit, pas facile d'associer tout ça, je jette 5 poses de plus pour homogénéiser la qualité, et arriver à 55 poses de 5 minutes soit 4h35 de L. Après un traitement assez sport avec je le confesse pas mal d'IA, j'arrive à une luminance terminée assez satisfaisante au regard des conditions : https://astro52.com/photo/stock/NGC2183prov2.jpg Ensuite, restait à finir les couleurs de NGC 4559. Au moins elle irait en montant, ce qui devrait faciliter la bataille avec la turbulence qui continuerait par l'est. Je fais le rouge en premier et le bleu en dernier, ce qui fait qu'avec l'amélioration des conditions, pour une fois c'est le rouge qui est pourri alors que le bleu est bien. Ceci permet déjà de monter une nouvelle NGC 4559 version Maroc 2023-2024 : https://astro52.com/photo/images/NGC4559_Maroc.jpg Sans être parfaite, on voit quand même que les détails font plus corps que sur la photo faite à Tomina au Portugal en 2022, alors que la turbulence là-bas aussi faisait rage, mais à Tomina c'est classique : https://astro52.com/photo/images/NGC4559-28-janvier-2022.jpg Ce qui est intéressant aussi, c'est que l'image pourrait être améliorée en refaisant la couche rouge parce que les étoiles avant maquillage bavaient quand même fortement rouge, et en ajoutant une couche H-alpha pour avoir quand même un peu de rouge dans cette galaxie où cette couleur est peu représentée. Pour finir, je pointe NGC 4725 pour contrôler l'orientation. Effectivement il faudrait une rotation de caméra de 90° pour qu'elle tombe horizontale dans le capteur, de plus dans cette position il n'y a absolument aucune étoile guide dans le DO quand la galaxie est centrée et qu'on la pointe par l'est, même en montant les temps de poses. Voilà à quoi ressemble le programme après réécriture : Il n'est pas si sûr toutefois qu'il fasse beau le 13 janvier.
  37. 2 points
    Bonjour à tous; Quelques nouvelles depuis nos derniers échanges; Grace aux informations données en particulier par Elpancho, nous avons reçu de la part de Mr Shigeya Terasawa , par mail, le mode d'emploi du Planétarium ainsi que des renseignements concernant les ampoules à utiliser (ils en disposent toujours) et conclue "en français" que le cout du transport sera bien plus élevé que le prix des lampes! Merci à tous les intervenants; Alain.
  38. 2 points
    Merci Mizar11 pour ton retour en fait j'ai trouvé mon erreur , j'ai fait un crop sur la couche verte , et ensuite en faisant le compositage RVB , je suis resté sur cette couche , j'ai omis de remettre sur l'onglet RVB plus de peur que de mal merci encore
  39. 2 points
    Salut Astrosurfeurs! 9 ans pour une belle récompense, car finir 1er à un grand concours donné par l' IAU Office of Astronomy for Education’s (OAE) est un vrai honneur et plaisir! Merci! le lien: https://www.iau.org/news/announcements/detail/ann23043/ Du coup cela intéresse l'Apod... Cool aussi ! même s'il y a eu confusion avec mon homonyme... C'est rare quand meme d'avoir un homonyme astrophotographe ! et bon en plus!
  40. 2 points
    Une bien belle doudoune pour cette fusée, anti-pluie peut-être ? Ou une doudoune "gilet de sauvetage" ?! Par contre cette photo me laisse perplexe :
  41. 2 points
    Bonjour tous le monde, Votre loup lunaire est très occupé en ce moment , car j'ai rencontré une louve une nuit de pleine lune (sisi !) ... Depuis lors mademoiselle goûte au joie de l'astronomie au travers ma grande lunette, découverte de Jupiter et Saturne, de Sélène et du Soleil sous les oculaires Takahashi. Je n'ai plus trop le temps de rester sur le forum vous comprendrez bien pourquoi.
  42. 2 points
    Salut ! Très sympa tes dessins. Pour la petite étoile qui jouxte le coin de la nébuleuse tu as peut-être eu un astéroïde qui passait par là le soir où tu l'as dessiné ? En tout cas je ne l'ai pas sur mon dessin à la L125 mm à 263x AU T381 à 712x non plus. par contre on a en commun le petite condensation brillante dans un coin du coussin
  43. 2 points
    Merci à tous, content qu'elle vous plaise. On avait constitué un petit stock de démarrage
  44. 2 points
    Superbe prise JF, la comète est magnifique J'en connais un à qui cette image va plaire Par contre, le couple 81/82 est sympa mais un poil surex Bonne journée, AG
  45. 2 points
    Belle image. Merci pour la photo du cobra qui m'a permis de le repérer ! Pour moi, ses yeux sont les deux zones sans étoiles... Jérôme
  46. 2 points
    Toujours aussi stupide en 2024, manifestement.
  47. 2 points
    Hello, Em complément de mon post dans la section observation visuelle, je poste ici mes photos prises à La Silla. Les photos ont toutes été prises avec un Canon EOS 6D défiltré (soit par JTW, soit astrodon). 1. Filé d'étoiles sur BlackGem 71 x 15s, à f/2.5, 6400 iso. Sigma 14mm 2. Une photo d'ambiance, plus du ressort de la photo diurne que de l'astrophoto "classique": 20s, à f/5.6 à 1600iso. Pose unique. Sigma 50mm 3. Filé sur La Silla. Le trait le plus brillant est Vénus. Malheureusement, la Panaméricaine est éclairée aussi. 49 x 90s, f/2.8, 800iso. Sigma 50mm 4. À nouveau une image moins classique, mais que permet de montrer ce qu'est le dessin astronmique 10s, f/2.8, 6400iso. Sigma 50mm 5. Lever de voie lactée sur le 3p6 et le NTT. Celle-ci est une image composite (prise au même endroit, au même moment) "Je cadre, prends une longue pose pour le premier plan, et j’attends le moment où la position de la VL me convient pour allumer le moteur. ". L'avant-plan est un empilement de deux poses de 30s à f/2.2, 3200 iso. Pour la voie lactée, il y a 185 poses de 20s empilées. Objectif Samyang 85mm 6. SEST, astronome et 3.6 7. Airglow sur le T350 Panorama de 21 images avec le 14mm. Chaque image est une pose de 20s à 3200iso. 8. Rho Ophiuchus. 185 * 20s avec le 85mm à f/2.2. J'aurais gagné à fermer à 2.8. Traitement Pixinsight 1.8.9 [à suivre] Astronomicalement José
  48. 2 points
    Bah, l'essentiel est que les cendres arrivent sur la Lune...
  49. 2 points
    Super , bravo !!!Je l'avais vu dès ce matin , je regarde tous les matins l'image du jour , apod de la Nasa !!!
  50. 1 point
    AIRWOLF BRESSER AR90/900 + SONY ALPHA 3000