Classement

Bonjour à tous, Dans la nuit du 3 au 4 mars, un très bon seeing malheureusement accompagné, comme bien souvent dans ce cas là, d'un ciel de plus en plus brumeux. Bien que le télescope ait tourné toute la nuit je me retrouve avec 2h de luminance et 1/2h par couleur, le RSB du reste étant trop faible pour être empilé. La bonne nouvelle, c'est que la fwhm sur l'empilement est de 1.7" et de nombreux détails de la galaxie deviennent accessibles. Au traitement, j'ai "dimenbinné" cette image à 0.5"/p, pour gagner un peu de RSB. Newton 245/1472 (paracorr2) et asi 183mm. Nathanaël Le clic gauche donne accès à la full avec le nord en haut

bonjour à tous, voici une image pas exempte de défauts que j'ai prise sur 3 nuits en mars. Il s'agit de la galaxie ngc3344. Je cherchais une galaxie originale et pas trop vue se les forums et j'ai trouvé celle ci par hasard en me baladant sur stellarium. De plus, j'ai téléchargé la version d'essai de pixinsight récemment et je prends en main le logiciel doucement. Pour cette image j'ai un niveau de bruit assez élevé (plus que ce dont j'ai l'habitude pour mes traitements classiques), j'ai utilisé une déconvolution de richardson lucy qui accentue pas mal le bruit mais permet de faire ressortir beaucoup de tachouilles dans le fond de ciel qui est vraiment parsemé de petites galaxies et amas de galaxies lointains. Je maitrise pas encore PI au niveau des process de réduction de bruit (si des pros de PI passe par là suis preneur de conseils). la caméra est une asi1600MM avec filtres lrgb et Ha. y'a en gros 1h30 par couches pour le RGB,2h40 pour le Ha et 4H de luminance, le tout avec des poses de 3 minutes (5minutes pour le Ha). Tout cela a été pris depuis mon balcon proche du mercantour du côté de Beuil(06). j'ai un problème de reflets sur certaines brutes que je pense lié à des lumieres parasites dans le tube venant de réfections sur la gouttière au dessus de ma tête, du coup suivant l'angle vers lequel pointe le téléscope je suis obligé de balancer pas mal de brutes, faudra que j'essaye de trouver une solution à ça. voici le lien vers la full pour ceux qui aiment voir les tachouilles : https://astrob.in/qp5qop/E/ je mets ici une version légerement réduite. En bonus je vous mets ma 1ère photo de supernova, je cherchais un truc à shooter rigolo en attendant que ma cible soit en bonne position et je me suis amusé à chercher une supernova récente, il s'agit de SN 2022ewj découverte le 19 mars dans la galaxie NGC3367. j'ajoute une photo du catalogue SDSS (sans la supernova) pour que vous puissiez voir ou se trouve la supernova sur ma photo.(j'ai beaucoup croppé ma photo car la galaxie est vraiment rikiki). Bon ciel à tous!

La nébuleuse dite des "Spaghetti" - quelle poésie - est ce qu'on nomme un rémanent de Supernova. Il y a 200 000 ans, à environs 2 000 années lumières de la Terre, s'est déroulé un évènement catastrophique: la mort d'une grosse étoile! A court de matière première, n'ayant plus rien à fusionner en son cœur, les réactions de fusion thermonucléaires qui s'y déroulent ont vacillé. Or c'est l'énergie gigantesque dégagée par ces réactions qui empêche une étoile de s'effondrer sur elle-même sous l'effet de sa propre gravité. Plus rien ne retenant la quantité phénoménale de matière composant l'étoile, elle est simplement... tombée! Tout d'un coup, en se précipitant vers le centre. Le cœur de l'étoile a été compressé comme nul part ailleurs dans l'univers, au point que les atomes se sont cassés, déstructurés et réorganisé, fusionnant les protons et les électrons en un seul genre de particule: des neutrons. Or il s'agit là d'une structure de la matière bien plus solide que tout ce qui existe ! La matière des couches externes de l'étoile continuant à tomber vers le centre à une vitesse folle, elle a soudain rencontré un mur totalement infranchissable, brusquement apparue devant elle. Ne pouvant le transpercer, elle a rebondit dessus et est reparti dans l'autre sens avec une force et une vitesse dépassant l'entendement, entrainant avec elle tout le reste de matière de l'étoile - une quantité pharaonique de plasma s'est ainsi vu dispersé dans l'espace en s'échauffant comme jamais et se mettant à briller de mille feux. Tout ceci s'est déroulé en quelques secondes à peine ! Nos ancêtres d'alors (du moins de 2 000 ans plus tard le temps que la lumière de l'évènement leur parvienne) on été témoins d'une immense explosion, l'un des phénomènes les plus puissants que l'univers connaisse: une Supernova. Celle-ci étant assez proche de nous, en terme cosmologiques, elle a dû offrir un spectacle incroyable : une nouvelle étoile plus lumineuse encore que la pleine lune, mais qui n'a duré que quelques semaines dans le ciel avant de s'éteindre, la matière s'éloignant et se refroidissant dans le vide de l'espace. La bulle de filaments que l'on voit sur l'image est le résidu de cette explosion, qui continue de s'éloigner et se disperser dans l'espace tout autour. De la matière qui rejoint les gaz et poussières interstellaires, les enrichissant de tous les éléments créés au cœur de l'étoile pendant sa vie flamboyante, et qui se retrouveront un jour peut-être dans une nouvelle étoile, une nouvelle planète, voir même de la vie. Ce sont des résidus d'étoiles de ce genre qui nous constituent, nous-même: comme le disait Hubert Reeves, nous ne sommes que poussières d'étoiles. C'est le cycle de l'univers! Quand au cœur de l'étoile morte, il est devenu un bien étrange objet qu'on nomme une étoile à neutron, elle aussi éjectée par l'explosion - elle n'est donc déjà plus au centre de la bulle, mais on l'a quand même retrouvé! Car non contente d'avoir été expulsée, elle s'est mise à tourner comme une toupie à très, très grande vitesse et à "illuminer" l'univers d'un jet d'ondes radios invisibles, comme un phare dans la nuit. C'est ce qui nous a mis sur sa piste. Elle n'a pas vraiment à se plaindre: son destin aurait pu être encore plus tragique! Eut-elle été un peu plus massive, elle aurait continué à se contracter malgré la solidité de la matière neutronique, jusqu'à former un trou noir dans lequel elle aurait été engloutie à tout jamais. C'est un cible bien difficile. J'atteins vraiment là les limites de mon matériel, du moins de mon capteur photo - un simple APN Canon 650D. J'ai eu beaucoup de mal à faire ressortir un signal très ténu malgré... presque 20h de poses cumulées à f/2 ! Pour donner une idée, voici la tête de couche Oiii : Plus chaud encore que le Calamar, je pense :-) Je n'ai pas réussi à obtenir un résultat qui me satisfasse vraiment, mais je ne pense pas être capable de faire mieux à ce stade. Je crois avoir atteint les limites de mon setup, il faudra que je la retente quand j'aurais enfin une nouvelle caméra astro! EXIFS (données techniques) : 386x180s =19h18 en 7 sessions fin février et début mars 2022 Canon 650D (APS-C) défiltré partiel, ISO 800 Samyang 135mm ouvert à f/2 Monture AZEQ6 Pas de guidage Logiciels : Kstar/Ekos sur Stellarmate RPI4, PHD2, Siril, Photoshop Ciel Bortle 4 dans le Vexin, pas de lune, qualité de ciel moyen. Températures nocturnes autour des 3°C, sauf a dernière session 8°C.

Bonjour à tous, Première vraie lumière de mon nouveau télescope avec dérotateur, (super matos je ferais plus tard quelques photos du set up ), il attendait depuis septembre 2021 dans mon garage... Pendant tout ce temps là pas le temps ni d'envie d'astro. Mais depuis 2 mois ça me reprend alors même si je me fais vampiriser par le boulot et les enfants j'ai dégagé un peu de temps pour profiter de ses belles nuits consécutives qu'on a eu en région parisienne. Donc soirée astro sans lune pour tester sérieusement l'imagerie en pose courte. Choix de l'objet NGC2903, brillante et contrastée mais avec également de fines et grandes extensions beaucoup plus faibles, histoire de voir ce que je peux espérer depuis mon jardin avec cette technique. Pour avoir une idée de la qualité de mon ciel les étoiles les plus faibles de la tête de la constellation du Lion ne sont pas souvent visibles. Il y a 2 lampadaires qui éclaires le télescope et de temps en temps les 2 allogènes de mon voisin éclaire jusqu' à chez moi. Bref le CP depuis mon jardin j'y croyais pas trop. Mais finalement je suis agréablement surpris du résultat, dès la première nuit j'ai trouvé ça honorable, ce qui m'a conforter à continuer les soirées suivantes. Concernant la détectivité on pourrait en vouloir plus, mais je pense que c'est vraiment le ciel qui limite plutôt que la technique "pose rapide". Niveau finesse même si on n'est pas dans du lucky imagine j’arrive quand même 2 soirée sur 3 en L à des FWHM de moins de 1.8"/p sur des brutes compositées d'environ 2H . Quand même sympa car pour obtenir ces valeurs il n'y a pas eu besoin de soigner l'autoguidage . Bien sur la galaxie est bien trop à l’étroit avec ce capteur, d’autant plus qu'une nuit j'ai un peu merdé le recadrage , mais à la base c'était surtout pour découvrir la technique et le matos. Avec une focale de 1605mm l’échantillonnage est trop fort à mon gout (0.37"). Donc je vous présente les images à 75%, l'échantillonnage que je souhaiterais obtenir avec ma future camera dédiée au CP. Les images L (env 5H10 poses de 1 et 2sec) sur 3 soirée et le RVB sur une nuit 40/40/40 min, pose unitaire de 2s. Dobson Skyvision 15" F/D 4.3en Alt-z (ServoCat)et derotateur (Pegasus) . Camera Asi 290mm au foyer direct sans correcteur. Prétraitement avec le simplissime d'utilisation et excellent Siril, Traitement (très basique) avec Prism et GImp. L Et en LRVB Suite a vos remarques, une version modifier un peu moins déséquilibré niveau couleur en attendant mieux car je voudrais me rapproché de ce que Martin à posté plus bas. là c'est pas encore ça. Édition: pour ma dernière version couleur Et aller tant qu'on y est une autre balance Très bon site pour avoir plus d'infos sur cette galaxie https://www.ciel-de-nuit.com/catalogue/ngc-2903-ngc-2905 Critiques, avis, questions, bienvenues. Merci et bon ciel !

Dernier record avant la mise en service du JWST sans doute : (traduction automatique) https://www.nasa.gov/feature/goddard/2022/record-broken-hubble-spots-farthest-star-ever-seen Record battu : Hubble repère l' étoile la plus éloignée jamais vue Le télescope spatial Hubble de la NASA a établi une nouvelle référence extraordinaire : la détection de la lumière d’une étoile qui existait dans le premier milliard d’années après la naissance de l’univers dans le Big Bang – l’étoile individuelle la plus lointaine jamais vue à ce jour. La découverte est un énorme bond en arrière dans le temps par rapport au précédent détenteur du record d’une étoile; détecté par Hubble en 2018. Cette étoile existait lorsque l’univers avait environ 4 milliards d’années, soit 30% de son âge actuel, à une époque que les astronomes appellent « décalage vers le rouge 1,5 ». Les scientifiques utilisent le mot « décalage vers le rouge » parce que lorsque l’univers se dilate, la lumière d’objets éloignés est étirée ou « décalée » vers des longueurs d’onde plus longues et plus rouges lorsqu’elle se déplace vers nous. L’étoile nouvellement détectée est si éloignée que sa lumière a mis 12,9 milliards d’années à atteindre la Terre, nous apparaissant comme elle le faisait lorsque l’univers n’avait que 7% de son âge actuel, à 6,2 décalage vers le rouge. Les plus petits objets précédemment vus à une si grande distance sont des amas d’étoiles, intégrés à l’intérieur des premières galaxies. « Nous n’y croyions presque pas au début, c’était tellement plus loin que la précédente étoile la plus lointaine et la plus décalée vers le rouge », a déclaré l’astronome Brian Welch de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, auteur principal de l’article décrivant la découverte, qui est publié dans la revue Nature du 30 mars. La découverte a été faite à partir de données recueillies lors du programme RELICS (Reionization Lensing Cluster Survey) de Hubble, dirigé par le co-auteur Dan Coe au Space Telescope Science Institute (STScI), également à Baltimore. « Normalement, à ces distances, des galaxies entières ressemblent à de petites taches, avec la lumière de millions d’étoiles qui se mélangent », a déclaré Welch. « La galaxie abritant cette étoile a été agrandie et déformée par la lentille gravitationnelle en un long croissant que nous avons nommé l’arc du lever du soleil. » Après avoir étudié la galaxie en détail, Welch a déterminé que l’une des caractéristiques est une étoile extrêmement agrandie qu’il a appelée Earendel, ce qui signifie « étoile du matin » en vieil anglais. La découverte est prometteuse pour ouvrir une ère inexplorée de formation d’étoiles très précoce. « Earendel existait il y a si longtemps qu’il n’avait peut-être pas toutes les mêmes matières premières que les étoiles qui nous entourent aujourd’hui », a expliqué Welch. « L’étude d’Earendel sera une fenêtre sur une ère de l’univers que nous ne connaissons pas, mais qui a conduit à tout ce que nous savons. C’est comme si nous lisions un livre vraiment intéressant, mais nous avons commencé avec le deuxième chapitre, et maintenant nous aurons la chance de voir comment tout a commencé », a déclaré Welch. Quand les étoiles s’alignent L’équipe de recherche estime qu’Earendel est au moins 50 fois la masse de notre Soleil et des millions de fois plus brillante, rivalisant avec les étoiles les plus massives connues. Mais même une étoile aussi brillante et de très grande masse serait impossible à voir à une si grande distance sans l’aide d’un grossissement naturel par un énorme amas de galaxies, WHL0137-08, assis entre nous et Earendel. La masse de l’amas de galaxies déforme le tissu de l’espace, créant une puissante loupe naturelle qui déforme et amplifie considérablement la lumière des objets éloignés derrière elle. Grâce à l’alignement rare avec l’amas de galaxies grossissant, l’étoile Earendel apparaît directement sur, ou extrêmement près, d’une ondulation dans le tissu de l’espace. Cette ondulation, qui est définie en optique comme un « caustique », fournit un grossissement et un éclaircissement maximaux. L’effet est analogue à la surface ondulée d’une piscine créant des motifs de lumière vive au fond de la piscine par une journée ensoleillée. Les ondulations sur la surface agissent comme des lentilles et focalisent la lumière du soleil pour une luminosité maximale sur le sol de la piscine. Ce caustique fait sortir l’étoile Earendel de la lueur générale de sa galaxie d’origine. Sa luminosité est multipliée par mille ou plus. À ce stade, les astronomes ne sont pas en mesure de déterminer si Earendel est une étoile binaire, bien que la plupart des étoiles massives aient au moins une étoile compagne plus petite. Confirmation avec Webb Les astronomes s’attendent à ce qu’Earendel reste très magnifié pour les années à venir. Il sera observé par le télescope spatial James Webb de la NASA. La haute sensibilité de Webb à la lumière infrarouge est nécessaire pour en savoir plus sur Earendel, car sa lumière est étirée (décalée vers le rouge) vers des longueurs d’onde infrarouges plus longues en raison de l’expansion de l’univers. « Avec Webb, nous prévoyons de confirmer qu’Earendel est bien une étoile, ainsi que de mesurer sa luminosité et sa température », a déclaré Coe. Ces détails réduiront son type et son stade dans le cycle de vie stellaire. « Nous nous attendons également à ce que la galaxie Sunrise Arc manque d’éléments lourds qui se forment dans les générations suivantes d’étoiles. Cela suggérerait qu’Earendel est une étoile rare et massive pauvre en métaux », a déclaré Coe. La composition d’Earendel sera d’un grand intérêt pour les astronomes, car elle s’est formée avant que l’univers ne soit rempli des éléments lourds produits par les générations successives d’étoiles massives. Si des études de suivi révèlent qu’Earendel n’est composé que d’hydrogène et d’hélium primordiaux, ce serait la première preuve des légendaires étoiles de population III, qui sont supposées être les toutes premières étoiles nées après le big bang. Bien que la probabilité soit faible, Welch admet qu’elle est tout de même séduisante. « Avec Webb, nous pourrions voir des étoiles encore plus loin qu’Earendel, ce qui serait incroyablement excitant », a déclaré Welch. « Nous remonterons aussi loin que possible. J’adorerais voir Webb battre le record de distance d’Earendel. » Cette vue détaillée met en évidence la position de l’étoile Earendel le long d’une ondulation dans l’espace-temps (ligne pointillée) qui l’amplifie et permet de détecter l’étoile sur une si grande distance , près de 13 milliards d’années-lumière. Un amas d’étoiles qui est reflété de chaque côté de la ligne de grossissement est également indiqué. La distorsion et le grossissement sont créés par la masse d’un énorme amas de galaxies situé entre Hubble et Earendel. La masse de l’amas de galaxies est si grande qu’elle déforme le tissu de l’espace, et regarder à travers cet espace est comme regarder à travers une loupe – le long du bord du verre ou de la lentille, l’apparence des choses de l’autre côté est déformée et agrandie

Superbe ce gros plan rapide! Très bonne résolution. Un petit coup de main pour la couleur... Si tu n'aimes pas je la retire! Bravo Martin

Salut à tous Nouvelle image en commun avec le collègue Max Alain, un peu par hasard, il faut bien l'avouer....on s'est dirigé vers le Lion chacun de notre côté sans se consulter et sur le même champ Ni une ni deux, on a pas hésité de mettre en commun nos acquisitions pour aboutir à un peu plus de 14 heures de pose. On remarquera la galaxie visible en arrière plan de Messier 96 , 2MFGC 8391, vue par la tranche. Les données techniques : CTA 320 f/d 4 (correcteur Wynne Keller) Caméra ZWO ASI2600MC 108 poses de 300 secondes à -10°c (1x1) Collaboration avec Max alain Rives (https://www.astrobin.com/users/max/) Newton Skyvision de 300mm ouvert à 3.6 avec correcteur de champ 3’ TS Riccardi Caméra ZWO ASI2600MC 156 poses de 120 secondes à -20°C (1x1) Cliquez sur l'image pour la voir en pleine trame @+ Christian

Hello Hello. Chacun y va de sa version de M101 alors comme c'est un fruit de saison, je l'ai cuisiné également, servie sur feuilles de petites tâchouilles. 2h de pose (60x2') Esprit100Ed Optolong L-Pro Bon appétit !

Dans Le Monde daté du 30 mars 2022 :

Salut à tous, Voici le dernier lot d'images qui restaient à traiter de la mission d'octobre 2021 au RC 500 de St Véran. La turbulence était moins favorable que pour les images montrées précédemment. Elles sont faites avec l'ASI290 et le filtre rouge.

Bonsoir les astrams , Beau ciel avant-hier soir mais assez venteux, j'ai donc refais un grand champ, plus facile et peu sujet aux vibrations ... Ma cible cette fois: la constellation du Lion située presque au méridien mais qui entre au chausse-pied sur le capteur APS de mon Canon 600d avec le pancake de 40mm ... Pas grand chose à voir dans le Lion en grand-champ mis à part des étoiles, pas de nébulosités colorées à se mettre sous la dent mais bon, voici l'image en 1h 30 de pose environ ... Pour nous y retrouver un peu, voici un petit gif avec le tracé de la constellation avec quelques noms ... En traitant les images, j'ai remarqué sur mes poses unitaires de 1 minute, un tout petit trait fort discret se déplaçant de pose en pose. J'en ai fait un petit gif en sélectionnant 10 poses de 1 minute, espacées d'une dizaine de minutes chacune et qui montre le faible déplacement de l'objet sur environ 1 heure et demi de temps. On peut estimer qu'il aurait fallu plus de trois heures à l'objet pour traverser entièrement le Lion dans le sens de la longueur, peut-il s'agir d'un satellite géostationnaire, qu'en pensez-vous ? Merci pour votre avis ... Voici le gif ... Pour les esprits chagrins et autres taquineurs, l'objet est évidemment le petit trait bien faible situé sous les V que j'ai rajoutés en guise de flèches ...

ça va radio Moscou, on ne te dérange pas ? La demande d'entrée dans l'OTAN est postérieure à l'agression Russe au Donbass. C'est dans 1984 que l'on s'amuse à réécrire l'histoire en fonction des intérêts du parti. Là tu es dans le monde réel. C'est comme en science il y a des faits, n'en déplaise aux complotistes.

Salut à tous, J'ai réussi à avoir le soleil le 28, avant le retour du mauvais temps, ouf ! La transparence était moyenne, donc baisse du contraste, mais la turbulence bien calme. Très spectaculaire en visuel à la lunette de 107mm. Lunette triplet ED 107mm, ASI174mm, filtre continuum, barlow 3X et hélioscope Lunt. Traitement sous Astrosurface. Jean-Yves

Quelques vues, qui ont une certaine importance à mes yeux et qui ne sont pas trop banales... Il s'agit du compte rendu d'une observation simultanée en spectrographie de l'étoile 12 Boo (une binaire spectroscopique à rotation rapide), faite d'une part depuis Antibes pas moi même, et d'autre part depuis Paris par Valérie Desnoux. Une particularité est que l'équipement est quasi jumeau. Dans les deux cas, un spectrographe Star'Ex dans sa version haute résolution spectrale (rappel : une extension de Sol'Ex) et un télescope C9.25. Nous étions reliés (entre autre !) via le fil d'Internet pour cette expérience (via TeamViewer et en plus, une première lumière pour Valérie avec Star'Ex) : Il était bien sur possible de prendre le contrôle des observations de l'un et de l'autre. C'est aussi un très bon moyen pour enseigner aux nouveaux venus la manière de prendre en main de façon très interactive un spectrographe tel que Star'Ex (ultra facile et plaisant !). C'est à retenir. Résultats à venir... Christian Buil

Bonjour tous, Messier 98 est une galaxie spirale intermédiaire située dans la constellation de la Chevelure de Bérénice à environ 46 millions d'années-lumière. Plutôt faible pour un objet de Messier, c'est tout de même une galaxie bien photogénique dans une zone qui ne manque pas de galaxies remarquables. L'image a été prise depuis la Montagne de Lure le 23 mars dernier. La transparence était plutôt médiocre, mais assez stable au moment du passage au méridien pour la luminance (2 heures, FWHM 2.0'') . La chrominance (2h40) a été acquise après le lever de Lune (Dernier Quartier-1.4j). Matériel : C9.25EdgeHd, Sbig ST10. Je joins directement la pleine résolution (cliquer dessus). A bientôt, Philippe

Bonsoir à tous, Une image de début Mars j'ai tenté la toute "pitite" M102 pas évident avec mon setup d'aller lui grapiller des détails mais bon c'est dans la boite. Setup: Slywatcher 200/1000+correcteur,heq5,Asi 294mc Pro+filtre idas lps,Guidage au chercheur+224Mc,Traitement Pixinsight. M102 100x120" gain 120 capateur à -10dg: La version ab ici: https://astrob.in/dcfvr2/0/ Bon ciel!

Et allez, encore une video d'extrême droite.... T'as pas un peu l'impression de polluer plus qu'autre chose?

T'es rigolo à partager des "articles" ou videos issues de site d’extrême droite ou d’extrême gauche.... Pas très crédible et objectif, du coup...

Dobson Strock 254/1200 Au nord-est de mon jardin à Fors dans les Deux-Sèvres 5 dessins : 9759 à 9763. Je démarre les observations à 20h45. La Lune à 80% perchée dans le Taureau illumine le ciel et le site. C'est mon premier CROA dans ces conditions je crois. Je tente des astérismes avec le guide de Simon Lericque qui dormait sur mon disque dur depuis des années. A toutes fins utiles, je précise les coordonnées de ces astérismes dans le CROA, si vous voulez les tenter mais n'avez pas le guide de Simon. Ce dernier est téléchargeable ici : http://lericque.simon.free.fr/MON SITE/ARTICLES/asterismes/asterismes.htm Il fait froid, c'est de saison. J'enchaîne plusieurs astérismes d'Alexandre Renou pour commencer, d'abord dans Andromède, le pointage est délicat tellement c'est vers le zénith. Observation 9759 : Renou 17. Coordonnées alpha/delta : 2h27/+49°41'. Je le repère à 75x, puis grossis à 109x pour assombrir le fond de ceil. L'ensemle est assez visible plutôt faible. Puis j'en regarde un dans le Bélier. Observation 9760: Renou 21. Coordonnées alpha/delta : 2h02/+19°24'. Vu à 75x, il est en forme d'anneau, petit et dominé par une étoile assez faible à assez brillante. La turbulence est moyenne 3 sur 5 à 150x. Puis le dernier dans Orion. Observation 9761 : Renou 19. Coordonnées alpha/delta : 5h29/+3°44'. Il prend tout le champ à 75x avec ses étoiles faibles. Fourni, cet astérisme a des allures d'amas ouvert. J'ai froid aux mains, n'ayant pas encore mis les gants, mais ça disparaît vers 21h15. La buée est gênante à cette heure. Puis j'observe 2 astérismes à surnom dans le Taureau, puis la Licorne, pour finir la soirée. Observation 9762 : Le Spermatozoïde. Coordonnées alpha/delta : 5h43/+21°23'. Tout en longueur comme le nom le laissait supposer, il contient des étoiles assez faibles à perceptibles à 75x. L'éclairage du village s'est éteint à 22h53. Je m'offre une bienvenue pause chauffage avant le dernier dessin. Observation 9763 : La Pointe de Flèche. Coordonnées alpha/delta : 6h40/-9°01'. Il mérite son nom, cet astérisme. De plus les étoiles du motif sont assez brillantes à 75x, lui permettant de bien se détacher du fond de ciel. Un passage de train se fait bruyamment entendre à 23h50 alors que je remballe, car je me ménage pour la nuit prochaine. Du givre a recouvert la table IKEA et le duvet du télescope.

Merci à tous punaise, la grisaille et désormais le crachin. Heureusement, la cuisine ne chaume pas, le Stéphane est divin ! Pour ces dessins, un ciel laiteux, mais en effet un seeing bien sympa, ce qui offrait un beau niveau de détail, mais sans contraste exacerbé. On se prend à rêver de paramètres ultimes..... Et donc dernier dessin de la nuit, M101, poussé jusqu'à l'arrivée des premières lueurs de l'aube, mais aussi de l'humidité, bref, le temps de plier et d'aller se coucher. Là, j'avais préparé un champ pré-étoilé, mais bigre, une fois à l'oculaire, il aurait fallut faire bien plus grand car le détail était à foison et donc délicat à reproduite en miniature sur le papier. Ici, on pêche par excès de détails où l'on en oublie toujours en grand nombre. Ce dessin s'est monté touche par touche chacune étant une mèche échevelée, une filoche, une plume, absolument adorable. Ici, pas besoin de document de référence tant ça fourmille de toute part. Battista, je comprends tout à fait qu'on veuille fuir le monde. Mais de-diou, ce sont dans les rencontres qu'on va découvrir, toucher, tester des choses et se faire de belles relations de camaraderie, qui deviendront peut être de véritables liens amicaux. Et l'immense "privilège" d'observer dans des instruments que l'on n'aura jamais. L'exemple de ce post en témoigne.

On a des médias quand même étranges. En Belgique ils ont un cordon sanitaire pour empêcher cette propagande d'extrême droite. Il fallait fermé C News et Sud Radio en plus de RT et Spoutnik, ce sont des annexes et elles contreviennent tous les jours aux règles du CSA. Il y a un laxisme difficilement justifiable. Mais bon ça fait juste 35 ans que l'on joue avec l'extrême droite pour biaiser les élections. On n'est plus très loin du moment où on aura notre Poutine. La seule question est de savoir s'il ressemblera à Gargamel ou à Bécassine.

https://resistancextremismes.eu/la-5eme-colonne-russe-est-bien-implantee-partout-y-compris-en-france/ https://www.ladepeche.fr/2022/03/23/guerre-en-ukraine-la-strategie-russe-en-france-a-fait-des-degats-qui-demeurent-visible-selon-nicolas-henin-10190039.php On pourrait aussi ajouter les "ingérences" russes dans l'élection US 2016 pour favoriser Trump , l'ingérence russes dans le vote sur le Brexit pour affaiblir L'Europe https://www.csis.org/blogs/brexit-bits-bobs-and-blogs/did-russia-influence-brexit

Bonjour Une Nébuleuse que je voulais faire depuis longtemps ! Celle ci est très faible et j'ai voulu profiter d'une semaine entière de ciel clair ( un miracle ) pour faire cette cible Je savais qu'il faudrait beaucoup de temps de poses , mais je suis assez satisfait du résultat , même si en rajoutant d'autres poses elles sortiraient surement bien mieux . Dans cette image , du HA ( beaucoup) , du OIII , et du LRGB La luminance pour essayer de faire ressortir les IFN faible mais malgré tout présente , et la couleur pour les étoiles . En espérant qu'elle vous plaise ! Bon Ciel à tous et toute Dates: 22 mars 2022 · 23 mars 2022 · 25 mars 2022 · 26 mars 2022 · 27 mars 2022 Images unitaires: Antlia 3nm Oiii Pro: 79x300" (6h 35') (gain: 100.00) -15°C bin 1x1 Antlia 3nm Pro Ha: 358x240" (23h 52') (gain: 100.00) -15°C bin 1x1 Antlia Blue Pro: 15x120" (30') (gain: 100.00) -15°C bin 1x1 Antlia Green Pro: 15x120" (30') (gain: 100.00) -15°C bin 1x1 Antlia Lum Pro: 125x180" (6h 15') (gain: 100.00) -15°C bin 1x1 Antlia Red Pro: 15x120" (30') (gain: 100.00) -15°C bin 1x1 Intégration: 38h 12 Instruments De Prise De Vue Takahashi epsilon 130D Caméras D'Imagerie RisingCam ATR3CMOS26000KMA Montures ioptron CEM120 Logiciels PixInsight · NiNA La full ---> https://www.astrobin.com/full/1yf7hc/0/

Deux photos d'une scène de guerre stupéfiante, à Trostianets, dans le Nord-est de l'Ukraine. Les russes viennent de reculer en subissant de lourdes pertes. Au 1er plan un canon automoteur de 152mm, et derrière, un monument de la 2ème guerre mondiale, sur son socle : le légendaire T-34, lui même endommagé par les combats ! A 75 ans d' intervalle, deux conflits majeurs se chevauchent... Cela me remémore quelques souvenirs. Je suis allé deux fois en Russie (pour tourisme), la 1ère fois à St Petersbourg en 1992, et la 2ème en 1995 (Moscou, Irkoutsk, Pekin via le transmongolien...) A cette époque l'URSS venait à peine de s'effondrer à la stupéfaction générale, et surtout de la mienne. L'astronomie n'était pas encore ma passion n°1, c'était plutôt l'histoire et en particulier l'histoire militaire. Leningrad venait juste de retrouver son nom de baptême, et pour un de mes premiers voyages à l'étranger je voulais découvrir ce monde mystérieux que j'avais imaginé dans mes lectures de récits de la 2ème guerre mondiale et des romans de Dostoïevski (je m'étais promis de lire son oeuvre intégrale traduite par André Markowicz, hélas ça fait bien longtemps que je n'ai plus le temps de lire des romans, peut-être ça reviendra quand je serais à la retraite... et si j'arrête de squatter Astrosurf) Bref me voilà à l'aéroport de St Petersbourg, dont j'ai oublié le nom, pas facile à prononcer. Mais je me souviens qu'il était très loin de la ville, à env. 1h30 de bus. La route est une sorte de Nationale en mauvais état, sur laquelle roulent des camions qui semblent sortir des années 50. A mesure que je me rapproche de la ville, j'aperçois de part et d'autres des usines vétustes, rouillées comme je n'en avais jamais vu nulle part. La planète Mars, le nez collé à la fenêtre. Et soudain ,le choc, la claque qui justifie à elle seule le voyage : en bord de route, fortement incliné dans ce qui devait être un fossé anti char, un T-34, complétement rouillé, laissé tel quel aux intempéries et surtout à la vue des visiteurs. Pas besoin d'explication, pas besoin de discours. A chaque fois que l'on passe devant ce témoin de métal rouillé, c'est le souvenir du siège de Leningrad qui resurgit. 872 jours de siège, peut-être 1 millions de morts civils (la plupart de faim). Le monument parfait. Le reste, la splendeur de la ville, la richesse du musée de l'Ermitage, la beauté des femmes russes... ce n'est pas le sujet ici.

Commentaire de Mark Mc Caughrean sur l'annonce : (traduction d'une série de twitts) : Peut-être l'étoile connue la plus éloignée, détectée par Hubble grâce à une lentille gravitationnelle. Ou est-ce une étoile de notre propre Voie lactée qui se trouve juste sur la caustique de la lentille ? La bonne nouvelle : JWST obtiendra un spectre et nous le dira d'une manière ou d'une autre Les auteurs ont exclu cette dernière en suggérant qu'une étoile de notre propre galaxie se serait probablement déplacée un peu au cours des 3,5 années écoulées depuis sa découverte. Peut-être, mais dans une distribution semi-aléatoire des mouvements, toutes les étoiles ne se déplacent pas tangentiellement ; certaines se déplaceront principalement radialement. C'est le problème avec la détection d'un seul objet – les arguments statistiques sur la possibilité de trouver tel ou tel objet à un endroit donné ne vous seront pas toujours tendres. Cela dépend également du nombre d'endroits où vous avez recherché de tels objets. Bien sûr, il pourrait en effet s'agir d'une étoile à décalage vers le rouge fortement amplifiée en luminosité par l'amas de galaxies intermédiaire, comme le suggèrent les auteurs. L'essentiel est qu'un spectre est nécessaire pour le confirmer dans un sens ou dans l'autre, et NIRSpec sur JWST est juste l'instrument requis. Pour être clair, le décalage vers le rouge de 6,2 donné pour l'objet appelé Earendel est par association spatiale avec une galaxie à lentille plus brillante dans la même région, le "Sunrise Arc", et son décalage vers le rouge a été mesuré par photométrie, pas encore par spectroscopie. La justification pour affirmer qu'il s'agit d'une seule étoile est qu'elle n'est pas résolue et que les modèles de lentille suggèrent un rayon de 0,09 à 0,36 pc (selon le modèle). Bien que ce soit plus petit que la plupart des amas d'étoiles, il existe des groupements d'étoiles massives considérablement plus serrés que cela. Par exemple, Trapèze au centre de la nébuleuse d'Orion contient environ 10 étoiles de masse élevée dans un système hiérarchique comprenant plusieurs binaires serrés à environ r ~ 0,05 pc. Après tout, nous ne voyons pas d'étoiles de grande masse se former isolément aujourd'hui, bien qu'à z = 6,2, qui sait ? Pour être clair, je ne dis pas que ce * n'est pas * une seule étoile massive à redshift 6.2, mais plutôt que c'est une découverte potentiellement excitante qui nécessite des observations de suivi pour la confirmer (ou la nier). L'équipe a le temps de le faire avec JWST, nous le saurons donc très bientôt.

Dans la même publication ( https://mp.weixin.qq.com/s/YrsQV1mkaBwFrSyPMRghYw ) du 24 mars, on découvre aussi quelques autres images dont : - celle prise le 10/2/2022 par la caméra à résolution moyenne (MoRIC) de l'orbiteur de Tianwen-1, montrant la tempête de sable qui a commencé à sévir fin janvier au-delà de 60° Nord. Coordonnées au centre de l'image : 37,8° E, 72,9° N : - une assez inhabituelle vu que là, ce sont les chinois qui "traquent" les rovers US, comme ici "Perseverance" vu le 7 mars dans le cratère "Jezero", positionné à environ 200 m au Sud-Est de son site d'atterrissage. Image probablement prise par la caméra HiRIC à haute résolution (0,5 m) de l'orbiteur, qui n'atteint pas visiblement la finesse de l'HiRISE de MRO : Sinon, au 24 mars 2022, le rover "Zhurong" travaillait à la surface de Mars depuis 306 jours martiens, parcourant un total de 1784 m ...

Bonjour, protubérances solaires en H alpha , dimanche à 15h18 TU... PST modifié sur lunette SW achro 120/1000, filtre C-ERF Baader 105mm, caméra ASI 174MM, logiciels AS3 et IRIS. Autres photos de Dimanche: Geoffroi

Bonjour, Samedi soir ce fut encore une nuit sous les étoiles à imager le fameux triplet du Lion. J'ai utiliser le petit télescope Newton de l'association Repères (merci Maxence) de 150/750 mm, correcteur Baader, APN Fuji X-T1 et filtre Optolong L-Pro., sur monture HEQ5+ (sans autoguidage) 106 poses de 120 secondes et DOF traitées avec SIRIL et Photoshop. Je pense que ce test au 150/750 mm ma fortifié dans mon prochain achat. Le tube est parfaitement adapté à mon HEQ5+ Stéphane

on est plutôt dans l'hexagone ici

Et ça c'est moi... en 2033 !!.. : PS : Je viens de finir mon dernier régime

Hello Voici une région du ciel que j'ai découvert cet hiver, M106 et ses copines. Bel endroit avec du beau monde. M106 (NGC 4258) est une galaxie spirale intermédiaire située dans la constellation des Chiens de chasse à 23,5 ± 1,0 millions d'années-lumière. M106 a été découvert par l'astronome français Pierre Méchain en 1781. Apparemment, Charles Messier n'a ni observé ni enregistré cette galaxie dans son catalogue. C'est l'astronome américano-canadienne Helen Sawyer Hogg qui a ajouté NGC 3379, NGC 4258 et l'amas globulaire NGC 6171 au catalogue Messier sous les désignations M105, M106 et M107. (source Wikipédia: https://fr.wikipedia.org/wiki/M106) Les infos: Lunette ED80 (80x600) Asi294mc pro + filtre Optolong L-pro monture HEQ5 Rowan autoguidage au chercheur, Altair GPcam (IMX224) / PHD2 acquisition NINA 111 x120s Gain 120 -10°C Traitement Sirilic, Siril, Pixinsight. Une brute de 120s

Yo ! Perdu quelque part dans les vallées au pied du Mont Chiran, une bien belle semaine astro partagée avec les copains. L’occasion de belles retrouvailles et de mémorables ripailles. Mais hélas, sous un ciel qui invitait davantage à la sieste ou aux arts culinaires qu'à l'observation. Seule une nuit daigna montrer des étoiles bien pâlichonnes que néanmoins nous honorâmes. Fichtre, même avec une faible transparence, le un mètre de tonton David en montre. Si l'on ne va pas piocher dans le rare photon, on bénéficie d'un niveau de détail époustouflant, mais détail noyé par un faible contraste. Et donc peu de dessins, pas de cibles trop basses sur l'horizon car quasi invisibles, et que de la cible bien couillue. Et pour débuter, l’œil noir de M64. Ce qu'il y a de remarquable, c’est le niveau de détail qui s'offre à la rétine, détails bien présents mais demandant toutefois une belle bataille car le contraste n’est pas folichon. C’est là mais c’est timide, d'où la difficulté de bien analyser chaque détail perçu. On voit bien en comparant avec une image qu'il y a de l'idée, mais que ça manque de précision. Ne boudons pas, et apprécions : l'occasion d'une belle observation musclée avec ce ciel perfectible, tenter de détecter le jet de plasma de M87. Après bien du temps passé à l'oculaire, je détecte des glimpses d'un truc stellaire proche du noyau centrale de la galaxie, un truc très timide mais bien présent qu'il faut aller traquer en connaissant à peu près la position au regard de celle des deux petites galaxies à proximité, ici à environ 9h sur le dessin. Juste comme une étoile, témoin de a zone la plus lumineuse dudit jet . Il m'en reste une à finaliser, ça va viendre..... Voili-voilou, en espérant une autre nuit profitable dans les jours à venir - punaise, déjà l'heure de l'apéro.....

Bonjour à vous Ci dessous comme le titre l indique ,un petit éssai avec ce filtre avec ce qui suit Fuji xt2 defiltre avec optolong l extrem Et ensuite réducteur de focale TS 0.79 Instrument : TS photoline 80/560 doublet sur Azeq6 Guidage : MGEN 3 Conditions : campagne villes a 20 km mais lampadaire a 30 m Autant dire qu avec ce filtre très sélectif que les poses de 2 min on oubli Du cp j ai essayé des poses de 4 min Ouffff....rien de visible sur une brute Juste quelques étoiles ,avant de tout jeter j ai qd même empilé le tout et surpris de voir qd même qlq chose Par contre hyper bruité ect ....non montrable soirée suivante , on pousse a 8 minutes de poses , et la enfin qlq chose sur une brute , et résulta avec apn pas trop mal ...enfin je vous laisse juge Donc en tout je n es fait que 8 images pour essaie empilées sous siril A réessayer avec bcp plus de poses Vous pouvez cliquer c est pas trop moche Capture d écran d une brute Sortie de siril Et après un petit traitement sous dark table Voilà donc image cliquable , critiquable ,jetable ou pas Bonne journée à vous

On continue avec le beau temps Setup : ES 480/80 + Aplanisseur ES Monture Titan 50 - Pas d’autoguidage ASI2600MC Pro APT 90 poses de 90 s Gain = 100 - Offset = 50 - Tp = -10°C - bin 1x1 Traitement SIRIL +PS avec DOF (50-50-50) Les critiques sont les bienvenues notamment pour ces zones plus sombres malgré la suppression du gradient avec SIRIL Bon ciel Patrick

Bonsoir à Tous, Cela fait déja 1mois que je voulais poster cette photo,bien connue des astro photographes. Setup: Tube Rowe Ackerman Celestron11" Caméra Asi 094 24x36 36millions pixels Guidage caméra 237 tc Sbig via STL 6303e Monture NJP 160 /fs2 78 X300= 6h30 Commentaires bien venus

J'avais pas photographié cette merveille depuis... plus de quarante ans. A l'époque, c'était au Celestron 14, en 90 min, sur 2415 Hypersensibilisé. Il faudra que je la retrouve, je dois atteindre la magnitude 19, à tout casser... C'est pour moi la plus belle des galaxies, et l'un des astres les plus beaux, tout simplement. Gamin, je rêvais devant l'image de M 104 prise avec le télescope de 5 mètres du mont Palomar dans les années 50, ce halo de lumière qui environnait la galaxie, éblouissante, quelle splendeur... Bref, je suis très heureux de vous présenter M 104, prise dans des conditions très difficiles du plateau de Calern : au méridien, et à cette déclinaison, le ciel est éclairé par les lumières de Nice et de Cannes, la PL est terrible. Télescope de 1 mètre Omicron C2PU à F/3.3, caméra QHY600 à -5°C. RVB : 180 min, 120 min et 120 min. Prétraitement Siril. Traitement, bien sûr, @jeffbax avec Siril et Photoshop. Je rajouterai la couche de luminance un jour, quand le ciel sera clair, avec une mer de nuages, par exemple, pour aller plus profond, là, on est quelque part entre 23.5 et 24. S

Hello, Je continue doucement mais surement les traitements. Nous voici la nuit du 28/02 au 01/03/22. Direction la Baleine et la Crosse. Une cible que je voulais faire depuis longtemps. NGC 4631 (Caldwell 32) est une galaxie spirale barrée vue par la tranche et située dans la constellation des Chiens de chasse à environ 28 millions d'années-lumière de la Voie lactée. NGC 4631 a été découvert par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1787. NGC 4631 est aussi appelée la galaxie de la Baleine. NGC 4656 (aussi appelé galaxie du bâton de hockey) est une galaxie spirale barrée de type magellanique située dans la constellation des Chiens de chasse à environ 29 millions d'années-lumière de la Voie lactée. NGC 4656 a été découvert par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1787. (Source: Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/NGC_4631 https://fr.wikipedia.org/wiki/NGC_4656_et_4657 ) Les infos: Lunette ED80 (80x600) Asi294mc pro + filtre Optolong L-pro monture HEQ5 Rowan autoguidage au chercheur, Altair GPcam (IMX224) / PHD2 acquisition NINA 62 x120s Gain 120 -10°C Traitement Sirilic, Siril, Pixinsight (script GHS 2.0 / Autoscript). Une brute de 120s Soucis de suivi, les zétoiles ont un peu morflé, le champs imagé aussi. Bon la Baleine a encore un peu d'eau pour nager

Bonjour à tous, c'était hier avant l'arrivée des nuages... Lunette 204mm Ha modifiée PST + BF-15 + barlow 2x / basler 1920-155 Traitement sous AS3, Astrosurface, Kolor autopanogiga et CS6. Mosaïque de 6 vues. Phil Version colorisée :

Extrême droite , extrême gauche , ils sont traités pareils par la banque centrale de la fédération de Russie qui à émis une série de billets en hommage au plus fervent soutiens de Vladimir Putain

Seul demeure le nom de la rue, à Donville :

Elle s'intéresse beaucoup à l'exploration spatiale en général, et aux "états d'âme de Curiosity en particulier . Il faut écouter son interview pour bien saisir le sens de son approche philo. C'est original et pertinent, elle est très bien renseignée, et j'aime bien ses commentaires sur "l'attachement" que ressentent tous ceux qui officient sur ce rover ou/et qui le suivent toutes ces années. Je vais donc me procurer son bouquin. Source : https://www.rts.ch/info/culture/livres/12014233-curiosity-le-moi-de-mars-imagine-par-sophie-divry.html Un rover sociable Avec "Curiosity", bref roman publié conjointement avec une nouvelle fantastique ("L’Agrandirox"), la plume inventive de Sophie Divry donne la parole à un robot de la Nasa, un "rover sociable" doté de qualités résolument humaines: empathique, mélancolique, capable d’imagination et d’humour, Curiosity nous parle à la première personne. Ou plutôt s’adresse, dans une forme de confession testamentaire, aux générations futures de rovers qui, comme lui, sont destinées à explorer cette planète poussiéreuse et bien peu hospitalière. "C’est marrant de rouler sur Mars. Ça craque sous les roues. Il n’y a pas d’encombrement de la circulation." Extrait de "Curiosity" de Sophie Divry Plongé dans "des gigaoctets de stupéfaction", le robot comprend bientôt que ses jours martiens sont comptés. Car Dieu, qui parle tous les jours à son ordinateur de bord et lui livre ses instructions, semble le négliger. Mais dans l’espace, personne ne vous entend prier. Alors Curiosity rêve d’une vie moins solitaire, se figurant la lointaine terre comme un paradis pour rovers amicaux, joignant leurs bras articulés dans un cratère bleuté. "Les questions que se pose le robot recoupent la condition humaine: pourquoi je suis là, moi, ici, maintenant. Des questions qui se retrouvent dans tout mon travail." Extrait de l’entretien avec Sophie Divry Mélancolique et malicieux, parfois potache, le monologue de ce robot nous tend un miroir métaphysique: quel est ce mirage qui fait entrevoir aux humains la possibilité d’une île dans une planète aussi impropre à la vie? Et quelle est notre mission à nous, humanoïdes sociaux remettant à une hypothèse divine le sens de notre destinée terrestre?

Récit d'aventures astronomique Fête sous les étoiles! Nous nous sommes donné rendez-vous sur notre lieu favori d'observation à 20h il y avait Jo qui est arrivé en premier armé de ma lunettes de 80, Jean-Pierre avec son 200, Franck et ses jumelles Leica 10X50 et moi avec mon Dobson 300 et mes jumelles 10X50. Un peu plus tard Yves, sortant de notre local, est arrivé puis encore plus tard Paolo nous a rejoint. L'idée de la soirée était de faire un comparatif des objets vu dans le 200 et le 300 afin d aider Jo qui voudrait le premier diamètre et Franck le second. Nous leur avons montré comment monter et régler les instruments. Une fois prêt la chasse a commencé par une bière et un superbe passage de l'ISS contenant à son bord 10 astronautes : 4 américains de la NASA, 5 cosmonautes russes de roscosmos et un astronaute allemand de L'ESA Matthias Maurrer. Jean-pierre a raté l'immortalisation photo sous la polaire... Tandis que Franck a tout suivi dans ses jumelles. Peu après on à vue aussi un train de starlinks . Jo a fait le tour des constellations du ciel à Franck et moi sans se tromper, belle performance. je lui avais montré lundi et il avait pus s'entraîner pendant sa semaine de vacances ensoleillée. Au 300 j'ai montré M31 Andromède, notre proche voisine galactique déjà basse sur l'horizon dans sa lumière diffuse vieille de 2,5 million d'années qui n'a pas manqué de nous émerveiller. Frank a pointé la géante rouge Bételgeuse puis la double serrée Rigel. L'émotion fût grande lorsqu'il a vu la nébuleuse d'Orion, la pouponnière d'étoiles dans son écrain verdâtre; Le Phénix né du grand nuage d' hydrogène. Pour fêter ça, il était temps pour nous de faire une petite pause bière en échangeant bon train. J'ai entrepris de chercher Messier 1 dans le taureau. Mais la tache n'a pas été aussi facile que je me souvenais, la bière était forte ? Mais finalement l'objet est tombé dans l'oculaire puis sur nos rétine. La roue à filtre a été sollicité faisant ressortir l'objet du le fond de ciel. l'Olll donne de bons résultats. Jipé s'est mit en quête des galaxies de Bode et du cigare dans la grande Ours. Superbement cadré dans son oculaire grand champs. Jipé m'a appris que c'est Bode qui a énoncé la loi des distances entre les planètes et Yves de souligner le facteur multipliant de 1,6. Comme nous étions dans le coin nous avons chaussé les jumelles pour rendre visite à Alcor et Mizar le plus grand système stellaire multiple connu , 6 étoiles gravitationnellement liés. Puis nous sommes parti sur l' astérisme du saxophone dans l'amas de mirfak dans Persé. Pour fêter ça Franck a débouché une première bouteille de champagne ! L'ambiance était assez bruyante j'espère que nous n'avons pas trop dérangé les étoiles... Pour nous en remettre nous sommes allés voir l'étoile la plus grosse visible à l' œil nu, l'étoile grenat sous Céphé cette géante carbonée, de couleur rouge, fait quand même 1000 fois notre Soleil; C'est un point qui en impose! De là, Paolo aux commandes du 300, nous sommes repartis dans le lion voir le duo M 95 /M 96, deux belles taches blanches, comme deux yeux flous qui nous regardaient éberlués dans la nuit, ''mais c'est quoi ces zigotos'' semblaient-ils nous dire. Tout près nous sommes restés un bon moment sur M105, a la détaillé sachant que Fred était en train de la photographier depuis une paire de jours. L'ami Fred résonnait donc jusque dans nos nuits sans lui..! J'entendais Yves qui parlait avec Jo d'astro... franchement est-ce vraiment le sujet ? Franck et moi étions à ce moment-là aux jumelles sur les Pléiades et les Iades, nous étions subjugué par le spectacle. Yves me fit remarquer que Spica de la vierge brillait fortement. Hummmm, Alors l'idée me vint d'aller faire un tour sur M104 '' le sombrero''. En poussant le grossissement la bande de poussière était apparente mais Franck ne l'a pas vu. Il était temps pour lui d'ouvrir une seconde bouteille de champagne ! Nous avons fait une pause encore plus bruyante que la première, du coin de l' œil j'ai vu les étoiles qui s'agitaient donc je suis retourné à nos pérégrinations. Cette fois il était temps de monter la bino afin de nous offrir une vision avec les deux yeux... Vu que nous en avions certainement perdu un pendant cette pause. Le ciel devait bien se moquer de nous alors nous sommes allés voir la nébuleuse du clown , la centrale et les coques étaient bien visible. Dans son 200 Jean-Pierre l'avais bien grossi et les détails étaient plus flagrants. D'un saut de télescope nous nous sommes rendus sur M13 l'amas globulaire d'Hercule et bien même proche de l'horizon nous l'avons trouvé superbe ! Ha Les bienfaits de l'alcool. Enfin vers 1h du matin pour terminer proche du Zénith, nous avons fait la galaxie du tourbillon Messier 51. Le cannibalisme galactique était impressionnant, les spires bien présentes et même le pont de matière reliant les deux galaxies était là, en vision décalée forcément... Encore une belle tartine d'étoiles avec deux nouveaux compagnons pour dévorer les mondes. Ce fut une belle fête d'intronisation dans notre association pour Franck et Jo. Lolodobs le dévoreur de monde 👽

AR 2978 Les taches solaires sont de petites « assombries » à la surface du soleil, qui se produisent lorsqu'un champ magnétique intense diminue à la fois le flux d'énergie émanant de l'intérieur du soleil et la température de la région. Ainsi, les taches solaires ne sont pas vraiment des taches noires ou ternes, juste moins lumineuses - les régions qui les entourent sont si lumineuses que, en revanche, les taches finissent par paraître sombres. Le fait est que les taches solaires sont directement liées à la plupart des éruptions solaires et des éjections de masse coronale (CME), qui causent des problèmes dans les satellites de télécommunications, les lignes de transmission et même une interruption de l'alimentation électrique, en plus de frapper les astronautes avec des radiations nocives pour la santé. Plus le nombre de taches solaires est élevé, plus le nombre d'éruptions solaires est élevé et plus le risque de problèmes majeurs résultant de cette activité solaire élevée est élevé. Ainsi, les taches solaires ont motivé des milliers d'investigations depuis la découverte du cycle solaire, il y a 175 ans - qui est une période d'environ 11 ans, où il y a toujours une augmentation puis une diminution du nombre de taches observées à la surface de la soleil. Depuis lors, la recherche s'est concentrée sur la compréhension de la physique de la formation de ces taches, en plus d'essayer de prédire les propriétés des cycles solaires à venir à l'aide de statistiques ou de méthodes physiques. De nos jours, un grand nombre de techniques permettent d'expliquer les délais, la forme géométrique et l'amplitude des cycles des taches solaires. Cependant, prédire ces caractéristiques à l'avance reste un problème ouvert. Une étude publiée, cependant, s'est avérée être l'une des alternatives les plus robustes jamais conçues. Le chercheur Scott McIntosh et ses collègues ont utilisé une méthode mathématique (transformées de Hilbert) pour approfondir la relation entre le cycle magnétique du soleil et l'amplitude du cycle des taches solaires, en utilisant 270 ans de données collectées. Les chercheurs ont identifié ce qu'ils ont appelé des événements de terminaison, qui pourraient être liés à plusieurs phénomènes - parmi eux, la fin du cycle de taches solaires précédent, l'intensification du cycle actuel et la fin des cycles d'activité magnétique. À l'aide de ces marqueurs, ils ont pu extraire une relation entre le nombre d'événements et le cycle solaire qui leur permet de faire une prédiction avec une fiabilité de 68 %. De là, les chercheurs en ont déduit que le prochain cycle solaire (qui commence maintenant) aura une magnitude très élevée, qui rivalisera avec la plus grande jamais enregistrée et pourrait devenir la plus intense de l'histoire - un résultat différent du consensus de la science actuelle. community., qui prédit un cycle moins actif similaire au précédent. Le résultat est essentiel pour comprendre comment le Soleil se comportera dans les 11 prochaines années - jusqu'en 2031 environ - et permettre à la société de prendre des mesures efficaces pour éviter les problèmes dans le réseau de communication et dans la transmission de l'énergie, ainsi que pour assurer la sécurité du prochains astronautes. . https://cdn.astrobin.com/images/3740/2022/58a09248-1c79-4b4a-b5b8-a3215e2c111b.png

Ne voyant pas de rubrique "Livres", je vous informe ici ! Dans la lignée des : Arago, Flammarion, Abbé Moreux, A. Berget; P. Rousseau ... Pour les fans de Lucien Rudaux, auteur, entre autres titres, du merveilleux "Sur les autres Mondes" (1937), je signale la parution de cet ouvrage, que j'ai acquis récemment et qui permet de mieux connaître l'illustrateur mais pas que... https://www.archives-manche.fr/a/849/lucien-rudaux/

merci Sauveur je regarderai ça ce soir

Ouvrir Google, ouvrir Wikipedia, chercher "second degré".

J'ai retrouver ca sur mon disque dur ic 434 30s 3200iso lulu 66 red 0.8 ou au newton f4 suis bordelique DSC01659.ARW

Un résultat vraiment extra vu le matériel utilisé. Si on me demande quel genre d'image du CP on peut réaliser avec une simple star adventurer et un boitier APN, je montrerai celle ci Ce sera en effet difficile de faire mieux sur cette cible. Chapeau et sacrée persévérance: 20h d'acquisition cumulée... Alain faut mettre les lunettes et / ou boire ton café avant d'ouvrir astrosurf

Superbe, toujours depuis mon téléphone portable, difficile de l'apprécier pleinement 😬pour ce qui est de la définition, la détection des faibles objets est grandiose. Bien joué.