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Affichage du contenu le plus aimé le 02/12/2022 dans toutes les zones

  1. 31 points
    Hello Ce soir je sors le tube tout en boitant on vas essayer d'avoir des captures plus recente a vous proposer surtout pour Mars même si il y a un jet a 110 annoncé Ici c'est encore du stock non présenté alors que c'était très bon ce jour-là Les Jupiter au Taka 250 barlow 2x raf adc pierro filtres asi 462 Mc Traitement Asi3 Cs Wj Astrosurface déconvolution Lucy 2022-10-18-1932_4-- 14 --L-Jupiter Taka 250 6355 (2) 2022-10-18-1942_5-- 13 --L-Jupiter Taka 250 6355 2022-10-18-1952_3-- 13 --L-Jupiter Taka 250 6355 2022-10-18-2023_3-- 11 --L-Jupiter Taka 250 6353 2022-10-18-2038_4-- 9 --L-Jupiter Taka 250 6353 2022-10-18-2057_4-- 7 --L-Jupiter Taka 250 6353 2022-10-18-2123_3-- 11 --L-Jupiter Taka 250 6353 2022-10-18-2138_5-- 9 --L-Jupiter Taka 250 6353 2022-10-18-2158_7-- 11 --L-Jupiter Taka 250 6353 2022-10-18-2213_0-- 11 --L-Jupiter Taka 250 6342 2022-10-18-2226_6-- 7 --L-Jupiter Taka 250 6342 2022-10-18-2239_6-- 6 --L-Jupiter Taka 250 6342 Les Saturnes au Taka 250 barlow 2x raf adc pierro filtres asi 462 Mc Traitement Asi3 Astrosurface Wj RGB filtres LRGB filtres bonne journée et bon ciel Zoppo
  2. 11 points
    Bonsoir, J'ai déjà eu le plaisir de partager ici quelques images de la comète P/2022 L3 (ATLAS)1 plutôt intéressante à imager malgré sa magnitude peu engageante. Je vous la propose ce soir dans son bain d'IFNs capturée dans la nuit du 28 au 29 octobre dernier : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Bas Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Nuit du 28 au 29 octobre 2022 entre 22h16 et 01h55 utc 79 poses de 02min à -15°C et Gain 120, Temps d'intégration de 02 h 38 min Traitement Siril 1.0.6, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage ramené à 2"/pixel Elle a grapillé une demi-magnitude en un mois : magnitude nucléaire : m2 = 16.1 (rayon d'ouverture de 6") magnitude totale, m1 = 14.7 (rayon d'ouverture de 50") Côté mensurations, l'image révèle : une chevelure de 1.3' de diamètre et une queue assez bien visible sur 12' de longueur vers PA=228° Si on pousse bien le contraste, on la suit sur 17' : ( Canal Vert, négatif, échelle native de 1.25"/pixel ) La comète est photogénique mais la queue reste assez faible (c'est quand même un astre de magnitude 15). Mine de rien c'est une chance du coup que la comète était placée dans une position exempte d'IFNs car ces dernières sont vraiment bien présentes dans le champ et elles auraient bien perturbé la détection de la queue si celle-ci s'était projetée devant elles... L'ensemble donne une composition assez originale je trouve qui, je l'espère, vous plaira aussi Bonne soirée. 1 : dernier post ici :
  3. 9 points
    Salut les ami-e-s, Mercredi 30-11 c'était un soir où le fameux X de la Lune était visible ( le X de Werner ). J'étais à Calern avec deux autres membres de Spica pour l'observer. Je me suis tout d'abord laissé tromper par une formation assez ressemblante au fameux X de Werner... indiqué par le cercle rouge sur la photo. Je me suis aperçu au bout de quelque temps, que le véritable X de Werner était un peu plus haut, cercle vert. Il était un peu plus discret car moins éclairé, c'est pour cela qu'il est presque invisible sur la photo. Mais il était tout à fait net à l'oculaire. Les photos ont été faites à main levée, l'APN contre l'oculaire. Mais il y a donc un deuxième X sur la Lune. A+ Bruno
  4. 9 points
    Ma version final de cette Mars du 24 novembre Je l'ai ajouté aussi en dessous de mon premier traitement à la première page pour mieux comparer. Bon ciel Martin
  5. 8 points
    Salut, histoire de participer, une image commencée vendredi dernier, avec seulement quelques heures de dégagées avant l'arrivée d'un épais brouillard, que je pensais pouvoir terminer mais la météo en a décidé autrement... Pour cette année il faudra se contenter de la luminance. Côté seeing le pire (2,5") à cotoyé le meilleur au moment où le brouillard s'installait (1,5"). Ce champ contient la galaxie elliptique NGC1023 en compagnie d'une galaxie satellite NGC1023a, qui figure dans le catalogue de Arp avec le numéro 135, et dans l'angle opposé la galaxie spirale de face IC 239 à faible brillance de surface. Elles font toutes deux partie du groupe dit de NGC1023 relativement proche de nous (20 millions d'a.l.). La version annotée Bon WE, Dan Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 169*60sec avec l'ASI183mm Turbulence variable, forte humidité, brouillard et pollution lumineuse (Tour Eiffel à 20km)
  6. 8 points
    Haaaaaaaaaaaaaaaaa, la règle à calcul ! j'étais au lycée quand on est passé de la règle à la calculatrice - et du tire-ligne au rotring, du gros criterium dont il fallait mettre en forme la pointe à la mine calibrée. un peu pénible à utiliser mais quelle belle démarche intellectuelle, obligeant à avoir l'ordre de grandeur du résultat escompté, tout réduire en puissance de 10, ne garder que quelque chose de significatif sans décimales excessives et souvent inutiles en application. Une merveille d'un pragmatisme inégalé - je trouve. Et quand on pense que bien des ouvrages d'art et quelques fusées ont été créés avec ces réglettes mobiles..... Quant au boulier, d'une autre culture, il faut avoir vu à l’œuvre un expert en la matière pour en rester baba.
  7. 7 points
    Plus haut dans ce fil, je m'étais permis d'exprimer mon émotion lorsque la fin de l'aventure d'Oppy s'était confirmée. Ce qui m'a attiré quelques remarques ironiques de certains "cyborgs" du forum qui ne voient à travers ces engins que des tas de tôles errant laborieusement sur Mars. Ils considéraient sans doute que je faisais montre ici d'une sensiblerie déplacée et en tout cas disproportionnée, comme un enfant qui perd un jouet. Alors à tous ceux qui ont la même approche, je vous le recommande haut et fort ! : NE REGARDEZ PAS CE DOC !!!!!!!!!!.... "Good Night Oppy" ne consiste pas seulement à examiner l’exploration d’autres planètes, mais l’exploration du lien indissoluble entre les humains et nos homologues robotiques. le 16 février 2019, toujours dans ce fil j'écrivais ceci : ".... on peut noter que pas mal d'intervenants ici semblent vouloir dénier à tout prix à cette mission le statut "d'aventure humaine" en cherchant à annihiler toute forme d'émotion qui tendrait à se manifester autour de l'évènement que constitue sa fin. Je trouve cette posture un peu inquiétante, et même destructrice. Si cette mission a duré si longtemps c'est qu'elle a été tenue à bout de bras par l'ingéniosité et le dévouement d'équipes de techniciens et d'ingénieurs, et par la perspicacité d'équipes scientifiques qui ont toujours réussi à lui faire donner le meilleur résultat possible en regard de ses objectifs." À mon tout petit niveau et pendant plus de 15 ans, j'ai tenté avec d'autres de faire vivre et partager sol après sol l'histoire de ces missions au travers de multiples images, de synthèses, de comptes rendus d'articles scientifiques. Je ne suis pas sûr que certains mesurent bien l'investissement que ça représente, et la relation qui se crée progressivement et forcément avec ces engins. Dans ce documentaire, Il me semble que c'est Abigail Fraeman (scientifique adjointe du projet MER) qui s'exprime ainsi : "C'était comme si nous étions en train de voir un ami nous quitter. Pour les gens c'est bizarre, car on a l'air de parler d'une personne". Quant à Steve Squyres, chercheur principal des missions MER, toujours dans ce doc et avec de vrais sanglots dans la voix, il a déclaré ceci : "Je n'ai pas besoin de vous dire qu'on s'attache émotionnellement à ces véhicules, pas vrai ?.. On aime ces rovers. En tant que "parent" je suis fier. En tant qu'être humain, c'était un ami. Tu aimes le rover et tu aimes les gens avec qui tu l'as construit, qui l'ont fait fonctionner, et j'y ai participé avec tant d'amour pendant tant d'années... Cela a été le privilège d'une vie, et on ne vit pas une aventure comme ça deux fois" Tous de grands enfants à la Nasa ??..
  8. 7 points
    C'est déjà super Quand j'étais petit on avait juste ça et que j'ai toujours
  9. 6 points
    Ca faisait quelques temps que je ne m'étais pas mis à faire de l'imagerie alors pour la même publi, vous avez deux images. Désolé, je sais, c'est en noir et blanc. Pour NGC7331, c'est un tri sévère de 294 images sur un total acquis de près de 700. J'ai beaucoup fait de déchet car je n'ai gardé que les meilleures, sans passages de satellites, sans la moindre élongation et avec la PSF la plus basse possible. Ces images ont été réparties sur 6 nuits en juillet, entre des sessions d'exoplanètes et de photométrie d'astéroïdes. Pour ceux qui ne connaissent pas trop les galaxies, celle-çi est située dans Pégase. Elle est très brillante et tellement facile à voir en visuel que je m'étonne toujours que Messier ne l'ai pas vue et inscrite dans son célèbre catalogue. Je me rappelle avoir passé quelques nuits à Aniane (ancien observatoire de l'AFA / Ciel & Espace, autrefois...) à la faire observer aux jumelles aux stagiaires présents, allongés sur la terrasse, milieu de nuit du ciel d'été. L'autre image est une galaxie peu connue : NGC404. Elle est située juste à coté de bêta Andromède, l'étoile à mi chemin entre M31 et M33. Elle n'a rien de particulier ; c'est une galaxie elliptique tout à fait banale mais elle est super proche de l'étoile, moins de 7 minutes d'arc ce qui la rend très difficile à voir d'une part et à imager d’autre part si on n'a pas une bonne optique. En effet, si on est un tant soit peu décolimaté, que le miroir est sale ou de qualité médiocre, elle est vite noyée dans le bruit de l'étoile et de ce fait, on ne voit rien. Grace aux qualités des CMOS, j'ai pu la faire relativement facilement. C'est une pile médiane de 6 poses de 5 secondes. Une toute petite reprise avec PixInsight (vraiment rien du tout : à peine bougé les curseur sur la montée d'histogramme) et hop, elle sort comme ça, direct. Je l'avais découverte grâce à Serge Brunier dans son bouquin de 1992 "astronomie du ciel profond" qui m'a longtemps accompagné sur le terrain. Mon setup n'a pas changé à part la caméra. Donc Télescope Planewave 20 pouces sur monture Nova120 ; caméra ZWO6200. Toute la chaine de pilotage et d'acquisition est faite en automatique avec Prism10 qui assure aussi le prétraitement. Le final est fait avec Pix. Eric
  10. 6 points
    Io transit, 60 imagens de 60 seg, 24/11/2022; 23h51 GMT em 25/11/2022; 01:22 UT C14 Edge + ASI 290MM + PM 2X + IR 685 Parsec Observatory, Canoas, Brasil por Avani Soares
  11. 6 points
    encore plus vieux une règle à calcul dans un très beau bois en excellent état, avant l'invention des règles à calculs en plastique
  12. 6 points
    Ahh les bon franchouillards qui aiment à se taquiner, voire en rajouter une couche...! On va pas refaire le débat... même supermachin ne voit pas de satellites sur ses photos prises en plein milieu de nuit (quand il ne sont pas éclairés!)... pas compliqué de comprendre sur la vue de Heavens-above que j'ai posté qu'il y a les starlinks non éclairés (rouge sombre) et ceux bien éclairés (rouge clair) et que dans ceux éclairés, certains sont au-dessus de la partie jour de la terre et d'autres au-dessus des régions dans le crépuscule ou la nuit... Vu leur orbite à 500km, il sont éclairés au zénith jusqu'à un soleil à 24° sous l'horizon, quelque soit la latitude de l'observateur entre -53 et +53°... Aujourd'hui il y a 3268 starlink en orbite entre 300 et 550km d'altitude, et ce n'est pas parce que les 53 du dernier lancement du 28 octobre sélectionné par V... ne passent pas au-dessus de lui en extrêmité de nuit ces jours-ci que les 3215 autres ne le font pas! Ensuite il y a le troupeau d'autruches grandissant de la génération smartphone (qui au passage vont se ruiner la vue avec les écrans et éclairages LED trop bleus... qui favorisent la DMLA), à qui il faudra une application pour dire si le feu devant eux est vert ou rouge pour leur dire ou non de traverser la rue car il ne savent plus regarder autour d'eux.. On n'est pas obligé d'être astram observateur du ciel, mais il ne faut pas prétendre l'être si on ne l'est pas... Tout observateur assidu a bien remarqué que le nombre de satellites qui défilent dans le ciel ne cesse d'augmenter (et il y en a plein qui ne sont même pas ou mal répertoriés par Heavens-above, cf ma vidéo), quand on regarde à l'heure où il sont éclairés avec un ciel qui permet quand même de voir quelques centaines d'étoiles... Calmez-vous...! Nicolas
  13. 6 points
    Pour ceux qui sont abonnés à Amazon video, il est possible de voir un film consacré à l'aventure du robot martien traduction automatique : https://www.universetoday.com/158924/good-night-oppy-illustrates-the-unbreakable-bond-between-humans-and-our-robotic-explorers/ « Good Night Oppy » illustre magnifiquement le lien indéfectible entre les humains et nos explorateurs robotiques Maintenant, avec l’aide d’Amazon Studios et disponible sur Amazon Video, nous pouvons revivre l’aventure de cet incroyable rover avec Good Night Oppy. Ce film incroyable donne des interviews approfondies et très émouvantes avec les nombreux scientifiques et ingénieurs responsables de l’envoi du rover le plus réussi dans un autre monde, avec une narration fantastique des voix du rover par la très talentueuse, Angela Bassett. « Au début, il n’y a rien », raconte le Dr Steve Squyres, chercheur principal de la mission Mars Exploration Rover (MER) qui comprenait Spirit et Oppy, l’ouverture du film alors que le spectateur est emmené sur un magnifique survol animé par ordinateur de la planète rouge. « Il n’y a pas de concept d’explorateur de robots rampant à la surface d’un autre monde. Et puis, progressivement, vous commencez à penser, vous commencez à agir, vous commencez à construire, et ces machines prennent vie. » Le Dr Squyres, ainsi que d’autres scientifiques et ingénieurs associés à la mission, racontent l’histoire de l’approbation de la mission, de la construction des rovers, ainsi que de leurs voyages personnels et professionnels tout au long de la mission elle-même. Ces entrevues incroyables incluent Jennifer Trosper (ingénieure des systèmes de projet MER et gestionnaire de mission), Rob Manning (ingénieur principal des systèmes MER), Ashley Stroupe (conductrice du rover MER), Kobie Boykins (ingénieur mécanique du MER), Ashitey Trebi-Ollennu (ingénieure en robotique du MER), Abigail Fraeman (scientifique adjointe du projet MER) et bien d’autres. Le film suit tous leurs incroyables voyages depuis deux ans avant le lancement et tout au long de la mission. Nous pouvons les voir surmonter l’adversité alors qu’ils s’attaquent à un obstacle après l’autre, non seulement pour lancer les rovers, mais aussi pour les problèmes mécaniques et scientifiques qu’ils ont rencontrés après avoir atterri sur Mars. Nous voyons leur jubilation alors qu’ils jouent des chansons de réveil pour les rovers, regardons ces courageux pionniers robotiques traverser un paysage martien, et leurs réactions d’émerveillement quand ils découvrent que les diables de poussière sont responsables du nettoyage des panneaux solaires du rover, ce qui leur permet finalement de fonctionner beaucoup plus longtemps que prévu initialement. Au fur et à mesure que la mission progresse, ils commencent à parier sur la durée de vie des rovers, mais cette excitation diminue lentement avec le temps à mesure que les rovers commencent à subir plus de défaillances mécaniques. Finalement, Spirit connaît sa fin après s’être retrouvé coincé dans le sable, et bien qu’Oppy ait continué pendant plusieurs années, il finit par périr lorsqu’une tempête de poussière mondiale empêche le rover de recevoir la lumière du soleil nécessaire pour le maintenir sous tension. En fin de compte, lorsque la réalité frappe qu’Oppy ne téléphonera pas à la maison, certains membres de l’équipe décrivent en larmes l’expérience comme la perte d’un être cher. Good Night Oppyne consiste pas seulement à examiner l’exploration d’autres planètes, mais l’exploration du lien indissoluble entre les humains et nos homologues robotiques, ces derniers étant responsables de l’exploration eux-mêmes. C’est une belle et réconfortante histoire d’adversité, d’excitation et de perte. Si vous voulez savoir ce que c’est que de travailler sur une mission de la NASA avec tous les hauts et les bas émotionnels, regardez Good Night Oppy sur Amazon Video.
  14. 5 points
    ça dépend du moment... Avant l'achat, tout le monde court après les tests, comparatifs, essais, avis...La peur de se tromper ! Par contre, après l'achat, il faut absolument bannir tout ça, au cas où un nouveau test jetterait le doute sur la pertinence de son choix. La peur de s'être trompé !
  15. 5 points
    Rhôôô du X sur Astrosurf Bonne journée, AG
  16. 5 points
    Et voici la capsule Orion/Artemis vue depuis mon jardin avec un télescope C11 + Atik 414ex 5 images de 120 secondes chacune, avec suivit sur la capsule (fonction "comet tracking" de PHD2 avec les vitesses en AD/DEC données par JPL/Horizons). Il bouge vite le bougre ! Images prises le 1er Décembre 2022 vers 1h UTC jf
  17. 4 points
    Bonjour, Une soirée attendue mais écourtée à 2h du mat par les nuages, heureusement j'ai pu commencer tôt. Petit coup de sèche cheveux tout de même vers le méridien sur l'optique de la lulu. J'ai pu faire les filtres Ha et SII , et un peu de OIII mais pas suffisamment pour la version HOO. On s'en contentera: L'équipe : Lunette APOTS81/352 sur AZEQ6GT_ ASI294MM _ tout le matos ZWO : EFW et filtres Ha,SII,OIII, non montés_ OAG et son focuser et mini290mm, EAF Le tout piloté par ASIAIR Plus dernière version . Pasde bug rencontré , au contraire amélioration significative de la mise au point avec EAF . Les poses : Ha : 60 x 180s gain 120 _ retenues 49 SII : 20 x 180 s gain 120 OIII : 20 x180 s gain 120 Siril pour le prétraitement avec Dark only et post avec Photoshop 2023 et pluggins Assemblage H_HOO et H_SHH personnalisé. Orientation différente de la "réalité", mais pas inversée miroir Je vous laisse découvrir. A une prochaine Alain
  18. 4 points
    Salut vous tous Hier matin, j'ai contacté mon revendeur de télescope pour me donné une petite idée du délai de livraison pour une commende d'un C14!!! Plus de 8 mois et l'a encore rien de sur!!! Il me propose alors, un C14 XLT model gris compatible fast star! Je lui ai dit grouille pas j'arrive!!! Une dizaine d'heures plus tard j'ai fait cette première capture de Mars au C14 La voici Les conditions n'étaient pas top! Alors vivement la suite... SERx4x180sec FireCpture, Winjopos et PS CS Edit: Version final Martin
  19. 4 points
    Petits on était plus pauvres : il suffisait d'avoir les mains pleines de doigts... Ensuite l'apprentissage des tables et des opérations (patrimoine culturel immatériel) Même pas besoin d'arbres pour fabriquer le boulier !
  20. 4 points
    Voilà le seul outil (outre le papier et le crayon) que nous avions le droit d'utiliser de la 1ere à la fin du BTS. Pas de piles, ça se mettait en mouvement à la force de nos petits bras musclés C'est vrai que depuis on a fait d'énormes progrès
  21. 4 points
    Bon tout çà en fait pour apprendre ce que l'on savait déja depuis le début, c'est à dire qu'une lunette écrase tout ce qui existe à diamètre égal voir un peu plus
  22. 3 points
    Ce sont assurément les cibles les plus délicates à traiter à ce jour de ma courte carrière d'astrophotographe. HFG1 et Abell 6, découvertes grâce au grand champ du coeur et de l'âme, pris précédemment au 135mm (voir le post ICI). Prises sur trois rares nuits exploitables du mois de novembre (pour pas dire de l'automne). Pas de lune, très peu d'humidité, ciel transparent, pas de nuages, pas de vent ou modéré et extinction des lampadaires du village à minuit, maigre consolation de la guerre de Vladimir. Un seeing moyen, faudrait pas déconner non plus. Full HFG1 ici Pour les intimes, HFG1 c'est celle qui ressemble à une méduse. Elle a été découverte en 1982 par Heckathorn, Fesen et Gull. Abell 6 est la petite bulle rose, autant présente en Ha qu'en OIII. Le signal OIII s'il n'est pas très puissant, reste assez facile à attraper moyennant des poses de 3 minutes à F3.3. Une fois n'est pas coutume, c'est le signal Ha qui donne le plus de fil à retordre à la prise de vue comme au traitement. Il aura fallu pousser à 5 minutes de poses unitaires pour apercevoir les tentacules rouges de la méduse. Au traitement il faut aussi trouver le bon dosage pour marier le OIII avec le Ha à l'intérieur de la méduse. Pas simple. Ca m'a bien occupé le week-end. Pris a l'Epsilon 130 avec l'ASI2600MM sur G11 guidée Filtre Ha MaxFR 80x300s Filtre OIII Max FR 114x180s et 30x60s par couleur pour les étoiles. Bon ciel à toutes et tous.
  23. 3 points
    Bonsoir à toutes et à tous J'essaie de rattraper une partie de mon retard en publiant une partie de mes photos de ciel profond de septembre et octobre derniers. Certaines sont encore perfectibles et je compte m'y atteler, mais je crois que ces photos peuvent être soumises à la sagacité du forum Config : lunette APO 130 f/7 ou 76EDPH, caméra ZWO ASI533MC Pro à -10°C, filtre L-Pro, guidage OAG + mini ASI290MM, monture EQ6-R Pro. Acquisition : ZWO ASIAIR Pro. Traitement : SIRIL (sorti tif 16 bit) puis Lightroom Classic (Jpeg en traitement final). Réduction (légère) d'étoiles avec Starnet++ sur NGC891. Grand amas d'Hercule (M13) Bruitée en raison du faible nombre de photos à cause des obstacles sur l'Ouest (sapins). Quelques artéfacts encore à corriger. A refaire en nomade ! APO 130, Filtre L-Pro, 12x180s, 30 darks, 60 flats, 60 biais, 19 septembre. NGC891 APO 130, Filtre L-Pro, 120x180s, 30 darks, 60 flats, 60 biais, 20 septembre. La star de l'automne : M31, la grande galaxie d'Andromède ! (un peu froide, peut-être ?) 76EDPH , Filtre L-Pro, 120x180s, 30 darks, 60 flats, 60 biais, 21 septembre. M74, la galaxie fantôme... Pas mal de détails finalement, mais encore beaucoup de bruit malgré un temps de pose et un nombre de prises élevés. Elle ne se laisse pas faire, la bougresse ! APO 130, Filtre L-Pro, 72x300s, 30 darks, 60 flats, 60 biais, 23 septembre. J'ai aussi un Pacman du 15 octobre, mais il demande encore du boulot... Ce sera peut-être sur un autre fil. Cordialement, Stef.
  24. 3 points
    Nouvel essai. Il n'y a pas, la bonne utilisation d'un objectif, ca se mérite ! :-) Ne soyez pas trop sévère. Je débute en astophoto de paysage et même en astrophoto tout court. Alors, j'apprends les bases avec tests/erreurs/rectifications ...
  25. 3 points
    Attention de ne pas trouver un 3eme X sinon on dira que les images de la Lune sont XXX et elles seront censurées par les intégristes pudibonds qui sévissent sur les réseaux sociaux. …déjà que montrer la Lune à tous les passants, ça fait drôle…
  26. 3 points
    Ca c'est pour ceux qui ne font pas la différence entre la répartition orbitale et les lieux où l'offre commerciale est proposée (je crois que notre com... européen T.Bre..on n'était pas plus éclairé sur le sujet... en proposant IRIS2 pour les africains "contrairement" à starlink): Un satellite sur une orbite inclinée de 53.0 ou 53.2° comme 97% des starlink, va survoler toutes les latitudes comprises entre -53.2° et +53.2° (jusqu'au zénith) et plus si on considère un passage à plus de 20° de l'horizon... comme c'est le cas de la station orbitale chinoise que j'ai vu de 48.8°N alors qu'elle est sur une orbite inclinée à 41.5°. Avec Heavens-above on peut justement aussi visualiser la position de tous les starlinks:
  27. 3 points
    Bonsoir, Le JWST et le Keck s'associent pour suivre les nuages sur Titan, la lune de Saturne https://blogs.nasa.gov/webb/2022/12/01/webb-keck-telescopes-team-up-to-track-clouds-on-saturns-moon-titan/ Le matin du samedi 5 novembre, une équipe internationale de scientifiques planétaires s'est réveillée avec grand plaisir en pouvant regarder les premières images Webb de la plus grande lune de Saturne, Titan. Ici, le chercheur principal Conor Nixon et d'autres membres de l'équipe du programme 1251 d' observation en temps garanti (GTO) utilisant Webb pour étudier l'atmosphère et le climat de Titan décrivent leurs premières réactions à la vue des données. Titan est la seule lune du système solaire avec une atmosphère dense, et c'est aussi le seul corps planétaire autre que la Terre qui possède actuellement des rivières, des lacs et des mers. Contrairement à la Terre, cependant, le liquide à la surface de Titan est composé d'hydrocarbures, notamment de méthane et d'éthane, et non d'eau. Son atmosphère génère d'une brume épaisse qui obscurcit la lumière solaire et nous cache sa surface. Nous avions attendu des années pour utiliser la vision infrarouge du Webb pour pouvoir étudier l'atmosphère de Titan, ainsi que ses phénomènes météorologiques fascinants, sa composition gazeuse, et également voir à travers la brume pour étudier les caractéristiques d'albédo (taches lumineuses et sombres) de la surface. L'atmosphère de Titan est incroyablement intéressante, non seulement en raison de ses nuages de méthane et de ses tempêtes, mais aussi pour ce qu'elle peut nous dire sur le passé et l'avenir de Titan, de savoir s'il a toujours eu une atmosphère. Nous avons été absolument ravis des premiers résultats. Sebastien Rodriguez , membre de l'équipe de l'Université Paris Cité, a été le premier à voir les nouvelles images et a alerté le reste d'entre nous par e-mail : « Quel réveil ce matin (heure de Paris) ! Plein d'alertes dans ma boite mail ! Je suis allé directement sur mon ordinateur et j'ai immédiatement commencé à télécharger les données. A première vue, c'est tout simplement extraordinaire ! Je pense que nous voyons un nuage ! Heidi Hammel , responsable du projet Webb Solar System GTO , de l'Association des universités pour la recherche en astronomie (AURA), a eu une réaction similaire : "Fantastique ! J'adore voir le nuage et les marques d'albédo évidentes. J'attends donc avec impatience les spectres ! Félicitations, tous !!! Merci!" Commence alors une journée d'activités frénétiques. En comparant différentes images capturées par la caméra proche infrarouge du Webb (NIRCam), nous avons rapidement confirmé qu'un point lumineux visible dans l'hémisphère nord de Titan était en fait un gros nuage. Peu de temps après, nous avons remarqué un deuxième nuage. La détection des nuages est passionnante car elle valide les prédictions de longue date des modèles informatiques sur le climat de Titan, selon lesquelles les nuages se formeraient facilement dans l'hémisphère nord à latitude moyenne, à la fin de l'été, lorsque la surface est réchauffée par le Soleil. Images de Titan, la lune de Saturne, capturées par l'instrument NIRCam du télescope spatial James Webb le 4 novembre 2022. A gauche : Image utilisant F212N, un filtre de 2,12 microns sensible à la basse atmosphère de Titan. Les points lumineux sont des nuages proéminents dans l'hémisphère nord. A droite : Image composite couleur utilisant une combinaison de filtres NIRCam : Bleu = F140M (1,40 microns), Vert = F150W (1,50 microns), Rouge = F200W (1,99 microns), Luminosité = F210M (2,09 microns). Plusieurs caractéristiques de surface importantes sont signalées : Kraken Mare est considérée comme une mer de méthane ; Belet est composé de dunes de sable de couleur foncée ; Adiri est une caractéristique d'albédo brillante. NASA, ESA, CSA, A. Pagan (STScI). Science : Équipe Webb Titan GTO. Nous avons alors réalisé qu'il était important de savoir si les nuages bougeaient ou changeaient de forme, ce qui pourrait révéler des informations sur le flux d'air dans l'atmosphère de Titan. Nous avons donc rapidement contacté des collègues pour demander des observations de suivi à l'aide de l'observatoire Keck à Hawaï ce soir-là. Notre chef d'équipe pour Webb Titan, Conor Nixon du Goddard Space Flight Center de la NASA, a écrit à Imke de Pater de l'Université de Californie à Berkeley et à Katherine de Kleerchez du Caltech, qui ont une vaste expérience de l'utilisation du Keck : « Nous venons de recevoir nos premières images de Titan par le JWST, prises hier soir. Très excitant! Il semble y avoir un gros nuage, nous pensons au-dessus de la région polaire nord près de Kraken Mare. Nous nous interrogeons sur une observation de suivi de réponse rapide avec le Keck pour voir toute évolution du nuage ? » Après des négociations avec le personnel du Keck et les observateurs qui devaient déjà utiliser le télescope ce soir-là, Imke et Katherine ont rapidement mis en file d'attente une série d'observations. Le but était de sonder Titan, de sa stratosphère à la surface, pour essayer d'imager les nuages que nous avons vus avec le Webb. Les observations ont été un succès ! Imke de Pater a commenté: "Nous craignions que les nuages ne disparaissent lorsque nous avons regardé Titan deux jours plus tard avec le Keck, mais à notre plus grand plaisir, il y avait des nuages aux mêmes positions, semblant avoir changé de forme." Évolution des nuages sur Titan sur 30 heures entre le 4 novembre et le 6 novembre 2022, vue par Webb NIRCam (à gauche) et Keck NIRC-2 (à droite). L'hémisphère arrière de Titan vu ici tourne de gauche (aube) à droite (soir) vu de la Terre. Le nuage A semble tourner dans la vue tandis que le nuage B semble se dissiper ou se déplacer derrière le disque de Titan (autour de l'hémisphère qui nous fait face). Les nuages ne persistent pas longtemps sur Titan ou sur Terre, donc ceux vus le 4 novembre peuvent ne pas être les mêmes que ceux vus le 6 novembre. L'image NIRCam a utilisé les filtres suivants : Bleu=F140M (1,40 microns), Vert=F150W (1,50 microns), Rouge = F200W (1,99 microns), Luminosité = F210M (2,09 microns). L'image Keck NIRC-2 utilisée : Rouge = He1b (2,06 microns), Vert = Kp (2,12 microns), Bleu = H2 1-0 (2,13 microns). Après avoir obtenu les données du Keck, nous nous sommes tournés vers des experts en modélisation atmosphérique pour nous aider à les interpréter. L'un de ces experts, Juan Lora de l'Université de Yale, a déclaré : « En effet, passionnant ! Je suis content que nous voyions cela, car nous prévoyons une bonne activité nuageuse pour cette saison ! Nous ne pouvons pas être sûrs que les nuages des 4 et 6 novembre sont les mêmes, mais ils confirment les conditions météorologiques saisonnières. L'équipe a également collecté des spectres avec le spectrographe proche infrarouge du Webb (NIRSpec), qui nous donne accès à de nombreuses longueurs d'onde qui sont bloquées pour les télescopes au sol par l'atmosphère terrestre. Ces données, que nous analysons toujours, nous permettront de vraiment sonder la composition de la basse atmosphère et de la surface de Titan d'une manière que même le vaisseau spatial Cassini ne pouvait le faire, et d'en savoir plus sur ce qui cause la caractéristique brillante vue au-dessus du pôle sud. Nous attendons d'autres données de Titan avec NIRCam et NIRSpec ainsi que nos premières données de l'instrument infrarouge moyen (MIRI) en mai ou juin 2023. Les données MIRI révéleront une partie encore plus grande du spectre de Titan, y compris certaines longueurs d'onde que nous avons jamais vu avant. Cela nous donnera des informations sur les gaz complexes dans l'atmosphère de Titan, ainsi que des indices cruciaux pour déchiffrer pourquoi Titan est la seule lune du système solaire avec une atmosphère dense. Maël Es-Sayeh , étudiant diplômé à l'Université Paris Cité, se réjouit particulièrement de ces observations : « J'utiliserai les données du Webb dans ma thèse de doctorat, c'est donc très excitant d'obtenir enfin les vraies données après des années de simulations. J'ai hâte de voir ce qui arrivera dans la deuxième partie l'année prochaine !
  28. 2 points
    Dobson Strock 254/1200 Au centre de mon jardin de la maison à Fors dans les Deux-Sèvres 4 dessins : 10166 à 10169. Je me suis installé à 22h40 mais un cirro-stratus statique traîne plus d'une heure avant de commencer à se résorber. Il fait bon en tee-shirt. Je commence par un amas ouvert de la Lyre malgré le nuage qui stagne et peine à se résorber. Observation 10166 : NGC6791. Cet amas ouvert est vu malgré le nuage à 75x mais il faut composer avec l'épaisseur variable de ce dernier qui l'efface par moments. Sur fond nébuleux très faible à 75x et 109x, il fourmille d'étoiles à travers ce voile nébuleux à 109x. Le nuage ayant disparu, je passe à des cibles plus faibles, quelques galaxies d'Hercule vers M13. Observation 10167 : NGC6207. La galaxie voisine de M13 est facile à 75X, son centre ponctuel est faible à 150X. Elle est allongée et diffuse. Observation 10168 : NGC6196 et IC4614. NGC6196 se montre très faible à centre proéminent à 150x, après sa détection à 75x et sa confirmation à 109x. IC4614 est vue VI2, perceptible à 109x et confirmée à 150x. Un petit nuage gêne. Je pars à la cuisine pour la pause casse-croûte à minuit. Je suis toujours en tee-shirt mais les moustiques deviennent menaçants, je vais mettre le manteau pour me protéger. Des petits nuages restes du cirro-stratus gênent par moments mais courts. J'entends un chevreuil au nord. J'observe une galaxie du Verseau, là aussi un nuage isolé gêne bien que petit, pile au mauvais endroit et stagnant. Observation 10169 : NGC7198. La galaxie est assez petite à 150x, détectée à 75x et sûre à 150x. Elle est VI2 à VI1, à centre ponctuel. Je crois que je l'ai vue récemment aussi au Dobson 508. J'entends comme un bruit de bétonnière à l'Est, elle tourne donc la nuit chez le gars aux yourtes qui semble toujours être dans des travaux? A 1h je remballe.
  29. 2 points
    Salut les nuiteux, Un peu de CP dans le flux de planètes Suite à un traitement que j'avais fait pour @Nathanaelsur sa magnifique M 76, nous avons poursuivi nos échanges en MP sur quelques techniques de traitement. Il a souhaité prendre cette image de NGC 4151 comme support pour nos partages. Il m'avait prévenu que je l'aurais sur le dos un moment. Mais c'est un plaisir de traiter des images de cette qualité. Il avait publié un résultat ici en mai : J'ai tout repris à zero avec comme objectif d'affiner la luminance grâce à un montage de plusieurs couches triées, de gratter un peu plus les extensions et d'améliorer le contraste global sur la galaxie avec le jet. Le résultat lui plait et il m'a demandé de le publier (MERCI). Au final, le jet est bien visible, ce qui est assez rare sur les images amateur. L'image est d'une grande finesse. Bravo Nathanaël. Un crop sur le centre avec le jet : Puis deux Full. La première avec les aigrettes si particulières de son T250, et la deuxième sans les aigrettes (boulot assez fastidieux). ET le lien Astrobin : Voilà, j'espère que cet oeil de Sauron avec son jet vous plaira.
  30. 2 points
    j'ai 14kg de paté de sanglier aux chanterelles... Alors qui c'est qui remet 10 balles dans le bastringue?
  31. 2 points
    Ce n'est pas nécessaire mais c'est utile. Et puis "Dieu essaie tout". Donc il y a de tout dans ce bas monde : des astronomes amateurs et des amateurs d'astronomie (10 fois plus nombreux). Et la richesse d'un forum c'est la rencontre de tout ce monde. Personnellement je ne serai jamais qu'un praticien astro, un pur contemplatif ; mais j'adore lire les théoriciens. Ça ne change pas ma pratique mais ça m'aère la tête...
  32. 2 points
    Merci Stephane C'est sympa j'espere une petite Mars en souvenir! bon apres midi Salut et Merci Polo cette aprèm ca vas mieux que ce matin du coup espérons un bon ciel pour ce soir bon après midi Merci Luc C'est bien dommage pour toi espérons que tu nous sorte des belle Mars bon ciel Merci Martin bonne journée
  33. 2 points
    @gitod Savez vous que l'astronomie d'amateur est une passion mais aussi et surtout un loisir? Est il vraiment nécessaire de tout mesurer, tester, évaluer ? Se faire plaisir avec les moyens que l'on a, parfois peu parfois beaucoup. Prendre du plaisir sans se prendre forcément la tête et observer/dessiner/photographier sans se poser pleins de questions existentielles, techniques etc.... Bref éviter la gitodisation....
  34. 2 points
    Je plussois totalement à ce qu'a dit Serge sur la règle à cunus. Ne conviendrait-il pas de créer une association des anciens de la règle à calculs pour faire savoir aux jeunes ce qu'ils perdent à ne pas connaître cet incomparable instrument (de bonheur*)? *Pour ceux qui connaissent allusion à Brassens
  35. 2 points
    Je ne dois pas être assez vieux encore ? Je n'ai pas connu cela !!!
  36. 2 points
    C'est vrai qu'elle est étendue mais ne pète pas le feu... Pourtant, même Alain a validé l'absence de la flèche d'identification Merci beaucoup Paul C'est vrai que les IFNs apportent un petit truc à l'image. Ce n'était pas du tout anticipé, je les ai découverts au traitement et suis bien content que la comète ne soit pas tombée pile dessus, car ils en auraient été gênants. Là, ce n'est pas le cas, j'ai donc eu de la chance Bon ciel à vous.
  37. 2 points
    Bonjour a tous, faut dire que ce Kepler est un monstre en planétaire ! Je n'ai aucun regret à l'avoir utilisé et bien évidemment @jldauvergne m'a convaincu sur son article de Ciel&Espace pendant l'essai de celui ci Bien collimaté ça en devient une bête de course ! Voici quelque images parmi les centaines que j'ai pu prendre avec ce magnifique instrument ( liste non exhaustive )
  38. 2 points
    Salut et merci Seb c'est sympa bonne journée Merci Christophe bonjour et merci René bonne journée Merci a toi pour ton message sympa bon ciel Merci William bonne journée Merci Julien je tenterai même en boitant de e faire au moins une Mars sì le temps le permet bonne journée et bon ciel Merci Jean Luc bon ciel su Paris Merci Rolf bonne journée Merci beaucoup passe une belle journée Merci a tous
  39. 2 points
    Et bien en espérant que tu ne sois pas encore parti, je retiens ça sur la base des derniers échanges. Tu as écrit ceci: Factuel @VNA1répond Il pose une question, c'est tout me semble-t-il. Je ne vois pas de sous-entendu. Tu lui réponds ceci, petite merveille d'amabilité. J'en profite pour te demander si tu es souvent allé observer avec ton instrument sur le 37è parallèle, histoire de te faire une idée. Là-dessus, pas méchant compte tenu de ta réplique , @VNA1 écrit ceci: Eh, oui, c'est couillon Astrojules, VNA1 a en effet un problème de vue assez grave. Déjà à ce stade, tu devrais commencer à te dire "oups". Mais non, pourquoi changer de cap? A nouveau des réflexions méchantes et insultantes. @VNA1 souffre ici à juste titre d'une mauvaise réputation due à son comportement passé sous divers pseudo. C'est un boulet qu'il devra trainer longtemps. Je constate cependant qu'il essaye depuis de longs mois de mieux se comporter. S'il en est un qui a dépassé les bornes de la bienséance dans la conversation que je viens d'évoquer, ce n'est pas lui.
  40. 2 points
    Même pas, tout dépend de la formule optique de la lunette vs l'obstruction du télescope. Face à un bon triplet APO le télescope de même diamètre est désavantagé. Mais si on parle de doublets plus ou moins bien conçus c'est autre chose. Et si le télescope est à 20% ou moins avec une aluminure qualitative, ... Ca donne presque envie de faire un Newton long avec des optiques doucies et une araignée 3 branches en guise de démonstrateur à faire tourner dans les star parties. Voire avec une lame plane à l'entrée. Ca par exemple c'est pris avec un Newton bien optimité de seulement 190 mm J'adore ce qu'ils font chez Yamamoto Suzuki. C'est de l'imagerie vous me direz, mais pour avoir ça à la sortie, aucun doute qu'il faut que les brutes soient très belles, et il a certainement très peu d'obstruction à f/8.5.
  41. 2 points
    seulement des astrams qui n'ont jamais porté 20Kg à bout de bras sur 100m .
  42. 2 points
    J'ai essayé de modifier le titre du fil mais apparemment c'est pas possible...
  43. 2 points
    hum! il n'y a pas qu'en mathématique qu'il faut respecter la ponctuation... ça n'est pas pour prendre parti dans l'opposition des matheux face aux littéraires, ou dans l’éternelle querelle des anciens et des modernes, mais en ce qui me concerne j'ai bientôt 70 ans, et je n'ai appris que très tardivement, fortuitement, et tout à fait hors scolarité la règle concernant la priorité des opérateurs arithmétiques. En revanche, j'ai appris très tôt les règles de l'orthographe tardivement figée, mais qui elles aussi ont parfois évolué avec le temps. Centaines semblent toutefois très pérennes, notamment l'usage des guillemets ou des parenthèses pour isoler une partie du texte sans ambiguïté. Ainsi l'emploi des guillemets sera préféré au changement d'attribut de caractère pour l'italique dans le cas d'une citation. On emploiera principalement l'italique pour citer un titre, un ouvrage, un nom particulier d'objet, un groupe de mot en langue étrangère etc. Les parenthèses en revanche seront préférées pour isoler la citation et introduire une rupture dans le texte, a fortiori lors de citations mettant l'accent sur des fautes dont on entend se gausser pour les citer en exemple. Le rôle des parenthèses est entre autres de renforcer la phrase ou l'argument qui s'y trouve développé. Pour introduire la citation "du moments qu'il ce prononce pareille." dans la configuration initiale que j'ai relevée, on a donc le choix entre les guillemets et les parenthèses, en revanche dans celle que je viens d'énoncer ce sont bien les guillemets qui sont nécessaires, car la citation est annoncée et fait partie intégrante de la phrase... en tout cas jamais l'italique... Je ne pense pas que cela ait beaucoup changé depuis mon certificat d'études primaires... Décidément, on débute avec le poids de la terre pour en arriver au poids des mots et à celui de la ponctuation, en passant par celui des mathématiques qui nous entrainent parfois sur des sentiers très éloignés... quel beau voyage!
  44. 2 points
    J'aime "les trous de serrure" en planétaire! j'ai nettement l'impression de pouvoir mieux concentrer mon regard sur l'objet, mais c'est probablement très subjectif...
  45. 1 point
    Intéressant. J'ajoute ça à mon programme marocain. Plus NGC 4145 juste à côté que j'ai vue sur astrobin.
  46. 1 point
    J'en ai encore deux qui me restent de mes aventures aériennes, mais ils sont ronds . Ça compte ??? Et ils me servent encore régulièrement avec toutes les conversions de diverses unités et comme ils tiennent facilement dans la poche (diamètre 90 mm), il y en a un à demeure dans la parka astro
  47. 1 point
    Et bien moi j'ai une préférence pour les deux
  48. 1 point
  49. 1 point
    alors on adore les optiques mais pas forcément tous leurs focusers. Merci tout plein. J'ai un site assez correct surtout vers le nord et l'est. L'ouest est pourri par la ville de Marseille à 20km. La montagne de la Sainte Baume me protège un peu au sud des lumières de Toulon. En ce moment, mon village coupe l'éclairage public à minuit ce qui aide un peu, même si je suis à l'écart du centre dans une zone non éclairée. oui j'avais pas pensé qu'à 1,8"/pixel on perd en résolution mais on capte plus de photons par pixel. J'utilise des filtres Astronomik en 6nm de bande passante mais ce sont des modèles MaxFR adaptés pour les courtes focales en dessous de F/D4. Mais j'ai fait une réduction d'étoiles pour mieux percevoir les nébulosités. En effet, j'ai utilisé SIRIL pour le prétraitement avec retrait de gradian polynomial d'ordre 1 sur la série et d'ordre 4 sur l'image empilée. Les algorithmes sont vraiement efficaces. Les nébuleuses sont traitées entièrement en Starless grâce à StarlessV2 et aussi avec NoiseXterminator, un plug in de Photoshop, particulièrement efficace pour débruiter le fond de ciel et permettre ensuite de tirer plus fortement sur l'histrogramme (je sais que pour certains c'est pécher, mais je trouve ça bien puissant pour aider sur les nébulosités faibles ou de toute manière la résolution ne sera pas au rendez-vous). La montée d'histrogramme finale est faite avec l'étirement hyperbolique généralisé de SIRIL, une fonction toute récente. Rajout des étoiles en dernier avec réductions d'étoiles. Bon ciel et merci pour ton commentaire et explications.
  50. 1 point
    https://www.nasa.gov/image-feature/vp-harris-french-president-get-first-look-at-galactic-get-together Cette nouvelle image Webb d’une paire de galaxies, connue des astronomes sous le nom de II ZW 96, a été prévisualisée pour la première fois pour la vice-présidente Kamala Harris et le président Français Emmanuel Macron lors d’une visite au siège de la NASA à Washington le mercredi 30 novembre. Le vice-président Harris et le président Macron ont également présenté en avant-première une nouvelle image composite des piliers de la création de Webb. II ZW 96 est à environ 500 millions d’années-lumière de la Terre et se trouve dans la constellation du Dauphin, près de l’équateur céleste. En plus du tourbillon sauvage des galaxies en fusion, une ménagerie de galaxies d’arrière-plan est parsemée tout au long de l’image. Les deux galaxies sont en train de fusionner et, par conséquent, ont une forme chaotique et perturbée. Les noyaux brillants des deux galaxies sont reliés par des vrilles brillantes de régions de formation d’étoiles, et les bras spiraux de la galaxie inférieure ont été déformés par la perturbation gravitationnelle de la fusion des galaxies. Ce sont ces régions de formation d’étoiles qui ont fait de II ZW 96 une cible si tentante pour Webb; La paire de galaxies est particulièrement brillante aux longueurs d’onde infrarouges grâce à la présence de la formation d’étoiles. Cette observation provient d’une collection de mesures Webb explorant les détails de l’évolution galactique, en particulier dans les galaxies infrarouges lumineuses proches telles que II ZW 96. Ces galaxies, comme leur nom l’indique, sont particulièrement brillantes aux longueurs d’onde infrarouges, avec des luminosités plus de 100 milliards de fois supérieures à celles du Soleil. Une équipe internationale d’astronomes a proposé une étude des écosystèmes galactiques complexes – y compris les galaxies en fusion dans II ZW 96 – pour mettre Webb à l’épreuve peu de temps après la mise en service du télescope. Leurs cibles choisies ont déjà été observées avec des télescopes au sol et le télescope spatial Hubble, qui fournira aux astronomes un aperçu de la capacité de Webb à démêler les détails des environnements galactiques complexes. Webb a capturé cette paire de galaxies fusionnées avec une paire de ses instruments de pointe: NIRCam - la caméra proche infrarouge - et MIRI, l’instrument infrarouge moyen. La nouvelle version des piliers :